#Maison Blum
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chic-a-gigot · 1 year ago
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La Mode illustrée, no. 34, 21 août 1910, Paris. Robe de ville. Modèle d'Alice Blum. Robe d'après-midi. Modèle de Raudnitz. Costume en cachemire. Modèle d'Antoine Hubert. Doc. Phot. Henri Manuel. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Robe de ville.
Composée d'une jupe en shantung beige et d'un corsage en crépon; ce dernier, blousé à la taille, est garni de biais de mousseline de soie noire, posés sur une large bande de crépon. Le haut est découpé en carré sur un empiècement en broderie.
Les manches demi-longues sont terminées par des revers bordés de biais de mousseline de soie.
La jupe, bordée d'un ourlet de 6 cent, de largeur dans le bas, est garnie d'un large biais piqué disposé de façon à simuler une tunique; le haut remontant "est bordé d'un liséré.
City dress.
Composed of a beige shantung skirt and a seersucker bodice; the latter, bloused at the waist, is trimmed with black silk muslin bias, placed on a wide strip of crepon. The top is cut in a square on an embroidered yoke.
The half-long sleeves are finished with turn-ups edged with bias-cut silk muslin.
The skirt, edged with a 6 centimeter wide hem at the bottom, is trimmed with a wide stitched bias laid out so as to simulate a tunic; the high top is edged with a border.
Robe d'après-midi.
Le modèle, l'ait en crépon bleu Chine, est orné de larges bandes en taffetas soutaché, assorti à la teinte de la robe: la jupe remontante est disposée en petits plis, piqués à la taille sur 30 cent. de longueur; le bas, froncé, est retenu sous une bande soutachée et retombe sur un volant en taffetas; le devant delà jupe est garni dans le haut de boutons et de broderie de soutache, le bas en taffetas est disposé en un large pli formant tablier.
La garniture de la jupe est répétée sur le corsage blousé devant sous une ceinture en taffetas; on ferme le corsage en croisant à gauche; l'encolure échancrée est comblée par une petite guimpe en dentelle.
Les manches, demi-longues, sont taillées d'un seul morceau avec le corsage; on les garnit avec du galon et on les complète par des poignets en linon plissé et broderie.
Afternoon dress.
The model, in China blue crepon, is adorned with wide strips of soutache taffeta, matching the color of the dress: the rising skirt is arranged in small pleats, stitched at the waist on a length of 30 centimeters; the bottom, gathered, is held under a soutache band and falls on a flounce in taffeta; the front of the skirt is trimmed at the top with buttons and soutache embroidery, the bottom in taffeta is arranged in a wide fold forming an apron.
The skirt trim is repeated on the front bloused bodice under a taffeta waistband; close the bodice by crossing to the left; the scooped neckline is filled with a small lace gimp.
The half-long sleeves are cut in one piece with the bodice; we trim them with braid and we complete them with cuffs in pleated linen and embroidery.
Costume en cachemire.
Écru, composé d'une jupe ronde et d'une veste doublée de soie; on dispose la jupe de chaque côté du devant en trois plis couchés, de façon à former un tablier.
La veste est brodée de soie vieux rose; on retient les devants découpés à l'aide d'un bouton; les manches plates sont ornées de broderie.
Cashmere suit.
Ecru, composed of a round skirt and a jacket lined with silk; the skirt is arranged on each side of the front in three lying folds, so as to form an apron.
The jacket is embroidered with old rose silk; the cut-out fronts are held in place with a button; the flat sleeves are embellished with embroidery.
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arthistoryanimalia · 5 months ago
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#InsectWeek fashion:
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Elsa Schiaparelli (Italian, 1890–1973) for Maison Schiaparelli (French, founded 1927) Necklace & Suit, Fall 1938 collection necklace: rhodoid (cellulose acetate plastic) & metal; suit: rayon, silk, plastic Metropolitan Museum of Art 2009.300.1234, 2009.300.2374
Necklace: "From the fall 1938 pagan collection, this iconic necklace epitomizes Schiaparelli's Surrealist tendencies, perhaps more than any other design she executed because of the unreal idea of insects crawling on your skin as a fashion statement. Because of the clear Rhodoid, a type of cellulose acetate plastic, the multicolored insects seem to be resting on the wearer's skin. Rhodoid was a newly developed material and Schiaparelli was unafraid of using inventive materials for her designs. She appreciated the avant-garde quality and element of surprise infused into the design by using unconventional materials. The pagan collection was inspired by Botticelli's lush paintings; therefore flowers, woodland creatures, foliage, and insects decorated dinner suits, evening gowns and accessories. The multicolored metal insects were also seen securing a ribbon hatband on a doll hat and resting on the collar of a suit [shown here]. This necklace was worn by Millicent Rogers (who also owned the suit previously mentioned), one of Schiaparelli's best clients who was brave enough to wear her outré designs."
Suit: "Elsa Schiaparelli was influenced by the Surrealist art scene of Paris in the 1930s, and references to that movement frequently materialize in her designs. Artists were using collage, photography and paint as their medium; Schiaparelli was using clothing. Here, in a suit from her fall 1938 Pagan collection, she incorporates three elements that have become hallmarks of her career-- interesting fabric, Surrealist elements and unconventional buttons. Schiaparelli scoured fabric houses to find fabrics that perfectly translated her artistic ideas. The crepe used for this jacket and dress is highly textured, adding a rough dimension to the overall design. The Surrealist elements here, the plastic bug ornaments, are shockingly realistic and in juxtaposition to the delicate pink silk of the collar where they rest. As Dilys Blum states in Shocking! The Art and Fashion of Elsa Schiaparelli, many designs from this collection featured earthy decorations inspired by Botticelli's paintings, like flowers, fruits, animals and insects. Buttons were another form of expression for Schiaparelli. In this case, the leaf-shaped buttons represent foliate forms, another common motif seen throughout the Pagan collection. This unusual ensemble would require a certain level of fashion bravado, and the previous owner, Millicent Rogers, definitely possessed that."
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puchkinalit · 5 months ago
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Une vie pleine de sens
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David Badenbauer, neurobiologiste et chercheur en laboratoire, travaille sur la synapse, les protéines et les relations neuronales. Pour pallier à son quotidien fade et routinier, il s'inscrit à un cours de découverte musicale où il rencontre Deborah qui deviendra sa femme. Mais Herzfeld, le père de Deborah, un psychanalyste pédant, autoritaire et envahissant, ne l'acceptera jamais comme gendre et ne cessera de le rabaisser. Encouragé par Blum, éditeur de vulgarisation scientifique et de développement personnel, David réussit tant bien que mal à écrire et faire éditer un livre sur ses recherches mêlées à des considérations autobiographiques. Quelques années plus tard, alors que son livre n'a récolté qu'un succès confidentiel et le mépris de ses collègues scientifiques, David est rappelé par Blum qui lui demande de le rejoindre en Allemagne pour assister à une mystérieuse réunion. A son retour, les serrures de sa maison ont été changées et Deborah demande le divorce... Une vie pleine de sens met en scène un personnage maladroit et frustré qui impute (peut-être à raison) une grande partie de son malheur à son beau-père. Le narrateur, David Badenbauer lui-même, fait preuve d'autodérision et d'une grande éloquence en racontant son histoire tout en faisant comprendre au lecteur que dans la vraie vie il bafouille et perd ses moyens. Ce qui crée un contraste comique qui réjouit le lecteur. Une histoire colorée d'humour juif où la religion et le développement personnel en prennent pour leur grade. Une lecture hautement recommandée en cas de déprime et de perte de confiance en soi !
8,5/10
Une vie pleine de sens / Pablo Casacuberta.- Métailié.
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stephanedugast · 2 years ago
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🎉  Belle, heureuse et lumineuse année 2023 🌠
BILLET D’ordinaire, les rétrospectives de fin d’année, je les abhorre car je les trouve autocentrées, voire même un brin narcissiques. Elles me renvoient sûrement à mes défauts et à mes insuffisances.
Pourtant à quelques heures de minuit le 31 décembre dernier, je me suis décidé de sélectionner 10 clichés de l’année écoulée, et de les diffuser sur mon compte Instagram.
Rapidement et naturellement, j’ai eu envie de mettre des mots sur ces images 😑 Ce n’est finalement pas si idiot de dresser un bilan de l’année écoulée afin de mieux se projeter.  
Dès lors, je vous propose MA rétrospective 2022, histoire de vous raconter une année singulière entre pépins de santé et aventures intempestives. La vie, quoi !
> En janvier, je me suis, en effet, remis doucement d’une intervention chirurgicale avec anesthésie générale et 5 jours d’hospitalisation. Artiste-auteur régime Urssaf du Limousin (ça ne s’invente pas !), je ne bénéficiais d’aucun congé maladie. J’avais donc accepté sans rechigner 2 contrats d’édition offerts sur un plateau alors que je m’étais promis de ne plus réalisé de livres illustrés. Vous savez, ceux avec des images et des récits que personne ne lit… en entier !
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> En mars, à peine remis, je me suis rendu dans le Jura à Lons-le-Saunier au festival « Les Rendez-Vous de l’Aventure » avec l’équipe du journal Embarquements. J’ai enchainé avec le festival « Curieux Voyageur » à Saint Étienne où était projeté mon dernier documentaire « Odyssées Blanches ». La forme était de retour. > Rebelote en mars ! Je veux dire nouvelle opération, nouvelle intervention chirurgicale, nouvelle anesthésie générale. Cette fois, il s’agissait de me redresser les cloisons nasales. Une opération bénigne mais douloureuse. 3 jours plus tard, bien déglingué (et avec des mèches dans le nez ), je partais néanmoins pour Thénac en Charentes.
Ce festival littéraire à peine achevé, je fonçais depuis Saintes jusqu’à Souillac dans le Lot pour réaliser avec les amis Bruno et Julien de l’agence Zeppelin un reportage sur le vélo vintage. À La Bicicleta Ravito chez Cécé, Romu (des partenaires techniques de mon aventure La France Réenchantée), j’étais sûr de réaliser un beau sujet pour le magazine GEO.
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> Parce que j’aime à raconter les explorations du passé, à les relier à celles du présent et du futur, j’ai enchainé en mai les conférences. Plus précisément durant 2 jours d’affilée et 8 conférences par jour au lycée Léon Blum du Creusot, et dans un collège de cette même ville.
J’ai dans la foulée ou presque donné l’une de mes plus belles conférences à la maison de Solenn à Paris auprès d’adolescentes en difficulté. Mon intervention devait durer 1 heure, elle en a duré au moins le double. Les émotions ont été décuplées.
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> Côté « exploit » sportif, j’ai décidé cet été de boucler à vélo Paris > Le Mont-Saint-Michel. Cette fois, j’ai appuyé fort sur les pédales, 100 kilomètres par jour afin de me prouver que la santé était bonne.
En route, j’ai rechargé les batteries (pas solaires car je n’en ai pas sur ma bicyclette). Il faut dire que je venais de boucler les récits de mes livres « Navigatrices : portraits d’aventurières de la mer » (Vagnon éditions) et « Une histoire de l’exploration : des neiges et des glaces » (Glénat éditions).
Promis, les titres de mes prochains livres seront plus courts.
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> Je me suis aussi mis cet été à la plongée sous-marine. Jamais aussi heureux qu’à fleur d’eau, et parce que j’étais interdit de pratiques sportives les 3 premiers mois de l’année (un crève-cœur), j’ai décidé de réaliser ce « vieux » rêve (un autre !), celui de pratiquer un sport en communion avec les éléments et l’océan.
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Avouons-le, je ressemble à un Bibendum en néoprène !
De surcroît, je ne suis pas un bon chasseur sous-marine. Je suis un sentimental, et j’ai du mal à tirer au fusil à harpon sur un poisson. En revanche, j’adore barboter dans une eau fraîche de préférence. Avec l’ami Tristan, j’y ai vécu des moments iodés et même un instant de panique avec une bascule de marée mal gérée un après-midi où le vent s’est levé. Le tout au pied d’un sémaphore où les marins de quart devaient s’amuser de ces « pieds-nickelés-en-néoprène » se débattant dans les vagues et le courant.
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> La mer, je ne l’ai pas délaissé à l’automne.
En effet, j’ai embarqué durant quasiment 1 mois et demi entre les Seychelles et l’île Maurice afin d’enquêter sur un herbier sous-marin aussi vaste que la Suisse, pour le compte de Monaco Explorations et de la grande presse. Ce grand reportage a aussi été l’occasion de découvrir un lieu naturel unique : l’atoll d’Aldabra.
Concarneau, Toulouse, Nantes, Clermont-Ferrand… J’ai raté de nombreux festivals d’aventures dans lesquels j’étais programmé. J’ai néanmoins de nouveau goûté au large et à la vie embarquée à l’occasion de cette mission océanographique dans l’océan Indien.
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> Quant à l’aventure du journal Embarquements, elle a continué avec la parution de 4 numéros dans lesquels je me suis escrimé, avec les amis Bruno, Julien et la team Zeppelin, de raconter le monde tous azimuts via le spectre du photojournalisme et de l’aventure. L’une de mes manières de témoigner de notre monde en surchauffe...
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> Quant à la suite ?
À l’heure des bonnes résolutions, je me suis promis en vrac cette année : de courir de nouveau en compétition, de lire un roman par mois, de faire un voyage à vélo insolite, de m’attaquer à un projet littéraire plus ambitieux, de continuer à nager, d’écrire un scenario pour la BD (voire plus), de maigrir, de réaliser un film documentaire (voire une série) d’envergure, de développer l’excellent journal Embarquements que je co-pilote avec de beaux sujets et des hors-séries à la pelle...
Bref, j’en ai pour 500 ans de projets, comme disait un dénommé... Paul-Émile Victor !
Voilà donc en bref les « dessous » de mon année écoulée. Puisse la suite être toujours autant fructueuse, le corps et l’esprit à l’unisson 😉 
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🎉 Quant à cette nouvelle année 2023 , je vous la souhaite belle, heureuse et lumineuse année 🌠 Une nouvelle année avec toujours plus d'aventures ! 💚
Pour conclure, comme j’aime à le dire : restons forts et inspirés,
Stéphane Dugast
Paris, le 5 janvier 2023
Post-scriptum : Et sachez qu'il est toujours temps de s'abonner ou d'abonner des amis 🎁 au journal Embarquements que je copilote 👉 www.embarquements.com/
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tynatunis · 2 years ago
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Voici une maison passive en Australie Photographie par @timothykaye. Architecture par @melbourne.design.studios. Construction par Hütt Homes. Paysage par @fytogreen_australia. Solutions de rangement par Blum. #Repost @thelocalproject The Sustainability Series • Video Feature • The @blumaustralia Series • Desiring to create a passive living house, @homebyhutt and @blumaustralia collaborate on TMRW Home with carbon neutral materials that promote a sustainable way of building and living. From the exterior of the small home, the architecture considers brick and concrete as main elements of the design, while the interior uses timber as a key material to minimise the home’s carbon footprint. Head to the link in bio to watch the full video on The Local Project. Photography by @timothykaye. Architecture by @melbourne.design.studios. Build by Hütt Homes. Landscape by @fytogreen_australia. Storage Solutions by Blum. https://www.instagram.com/p/Cmgrxx8NDAp/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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maisondufutur · 2 years ago
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WALKS -Beispielformate “HereOnAir”,u.a.  DER SPAZIERGANG. Beispiele von “Visual Radio”
Projektblog (dieser interne Blog wird im Dezember 2022 dauernd aktualisiert, aufgrund von Urheberrechten (Robert Walser u.a. ) richtet sich der Blog nur an Projektbeteiligte, die Videos sind alles “interne Links”)  Als ein Beispielformat, wie  das “HereOnAir”-Programmatik von 400asa/Maison du Futur sich anfühlen wird, haben wir DER SPAZIERGANG/THE WALK entwickelt. Zusammen mit dem Verein Churer Ensemble. Spaziergänge sind 2023 im Kanton Graubünden, Kanton Bern zu erleben. Beachten sie auch den Podcast zu DAVID FRANKFURTER in Davos, am Ende des Beitrags. Die Audio-Erfahrung vor Ort ist wichtig, aber auch ein Substitut zu schaffen für Leute, die nicht vor Ort sein können. Oder zu “faul” sind um Spazieren. 
 Bei THE WALK/DER SPAZIERGANG spielen Theater, Radio-Kunst, Stadtraums-Erkundung, Naturerlebnis-und physisches Zusammenkommen des Publikums zusammen. Hier setzen wir auch die Leitpunkt des Manifests aus Harvard um. Siehe hier auch LINK, Manifest für eine Bühne der Zukunft (Praxis nach Corona) 
Natürlich nehmen wir auch Entwicklungen vorweg, die gerade auch bei den öffentlich-rechtlichen Sendern  - wie SRF - wichtig werden (Visual Radio) 
Natürlich ist das “Spazieren”, nun nicht 100% nacherlebbar über Video, u.a. die besonders synästhetische Erfahrung (Kälte, Wärme, Luft, Geruch etc)  die während der körperliche Bestätigung gemacht wird.  Das Projekt steht aber beispielhaft für unseren Zugriff. Wir beschäftigen uns hier sehr stark auch mit den Folgen der Pandemie auf unsere Kulturpraxis.  Die sprunghafte Anstieg von Podcast-Rezeptions-Praxis zum Spazieren gehört dazu (siehe auch Link),  als auch die Möglichkeit, etwas zeitversetzt zu erleben. 
Gerne laden wir sein, eine dieser Vorstellungen (siehe Daten unten)  zu besuchen oder in diese Video konzentriert reinzuschauen. Schlüsselthema sind “Immersion” und “Resilienz”, also beglückende Erfahrungen mit literarischen und musikalischen Inhalten -  in Bewegung.  Das Video schaut sich am besten auf einem kleinen Screen an und am besten mit Kopfhörern.   Wir testen, mit welcher Kamera und Software sich die physische Erfahrung vor Ort am besten übersetzt.  Ziel der Videos ist  es, eine Form zu finden für Menschen, die anstatt reiner Audiopodcast auch eine visuelle Erweiterung suchen, oder auch neue Formen von Internet-Bühnen. Natürlich sind es auch Übungen für kommenden Anwendungen im Metaverse, wenn diese visuellen, analogen Reize (Feuerwerk, Wolken, Leuchtballone etc) auf neuste Hololenses übertragen werden können.  Zusätzlich entsteht so auch - auch Material auch für “kleine Clips”, die das ganze Format auf Social Media bewerben können. 
Aber auch die längere Videos entwickeln einen immersiven Reiz, da sich Location und Inhalt auf einander beziehen. SPAZIERGANG/BEISPIEL 1:  Ausschnitte aus dem WALK mit Simon Froehling Ausschnitte. Hier kann man das grundsätzliche Prinzip der Lesungen erkennen (gekürzt, mit Zwischentiteln) 
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                           Prototyping mit Simon Froehling (Ausschnitte) 
SPAZIERGANG/ BEISPIEL 2: 
Lesung mit der Autorin Julia Weber (Ganze Lesung). Hier haben wir eine andere  Kamera benutzt (hochauflösende Pocket 2), hier können sie den Flow einer ganzen Lesung erleben. Das Format ist ein Audiopodcast, kann aber auch als Visual Podcast erlebt werden über Youtube. 
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                                     Ganze Lesung mit Julia Weber
Besondere Momente bei Spaziergang mit Julia Weber: Rund Ballon-Momente….(Minute 19 bis 20:30 und am Ende der letzten Lesung  - Und natürlich der Song der Cobra Killer (Minute 57 bis 63  und gleich folgende Lesung Julia Weber
--- MEHR VIDEOS MIT KATJA BRUNNER, DONAT BLUM: LINK hier
Die Lesungen waren gebunden an die Aktion #dosomethingelse es ging darum, während der WM  in Katar etwas “anderes” zu tun. 
Veranstaltungstipp der Republik: Siehe hier: https://www.republik.ch/2022/12/02/journal?share=10
Und auf einen Blick alle Daten:
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VARIANTE (Zugfahrt mit prominentem Gast)
In März 2022 testeten wir ein ähnliches Format auch mit einem Gesprächs-Podcast- Der Intendant des Schauspielhaus Zürich Nicolas Stemann spricht über Dürrenmatt, Pandemie und Krieg, während einer Zugfahrt. Auch hier ist der Mensch, der den Podcast rezipiert, frei ihn als reinen Audiopodcast anzuhören (überall wo er will), als immersiver Podcast auf der Zugfahrt - oder eben auch als “Visual Radio-Format, welches die Zugfahrt überträgt. Die Fahrt ins Emmental entwickelt - u.a. auch wegen den Lichtstimmungen - zunehmend einen immersiven Reiz, dem man sich aussetzen kann - oder auch nicht. So wird ein ganz eigenes Format etabliert, bei dem Gespräche über Literatur, Ausschnitte aus Literatur sich verbinden mit der Schweizer (Kultur)-Landschaft.  Gesprächspodcast mit Nicolas Stemann. Folgende Momente eignen sich für die Rezeption, wenn wenig Zeit vorhanden:
WICHTIGE MOMENTE Einfahrt nach Ostermundigen: Minute 6:30 - Minute 8.00 Reflexionen über Nestlé: Einfahrt/Abfahrt in Konolfingen  Minute 21:30-39:00 (Reflexionen über Nestlé) 
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Nicolas Stemann zu Dürrenmatt, Krieg und Pandemie (März 2022)
VARIANTE: ERINNERUNGRAUM Ein weiteres Beispiel für ortsspezifisches Podcasting und Visual Radio ist auch das #DIGITALDENKMAL für David Frankfurter in Davos, das wir im Sommer 2022 implementiert haben. Auch hier kann sich ein Effekt herstellen, wenn man “cor Ort” ist, das kleine Audiostück besteht aber auch für sich. PODCAST ZU DAVID FRANKFURTER in Davos.
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In Kooperation mit dem Verein Churer Ensemble
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Weitere Videos mit  Spaziergängen: LINK hier
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fashionbooksmilano · 2 years ago
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Shocking
The Surreal World of Elsa Schiaparelli
Marie-Sophie Carron de la Carrière, Johannes Huth, Olivier Gabet, Dilys Blum, Emanuelle de l'Écotais
Thames & Hudson, London 2022, 288 pages, 25 x 31,5 cm., ISBN  978-0500025949
euro 65,00
email if you want to buy :[email protected]
Published to accompany the major exhibition at the Musée des Arts Décoratifs, Paris
The couturiere Elsa Schiaparelli (1890-1973) was a key figure in Paris fashion between the two World Wars. Following in the footsteps of her mentor Paul Poiret, she designed her first knitwear collection in January 1927 announcing the arrival of a major new designer. Decorated with trompe-l’oeil motifs in black and white, her sweaters were an immediate success in both France and the US. In 1935, the Maison Schiaparelli opened on the Place Vendôme in Paris, selling collections designed for sports, city, and evening wear.
Like her arch-rival Gabrielle Chanel, Schiaparelli also worked closely with artists, including Man Ray, Jean Cocteau, and Salvador Dalí, with whom she created her now-iconic lobster dress. Taking a cue from Surrealism, her creations were hugely imaginative and made use of innovative new materials. The “Schiap” style continued to develop through the 1930s and her designs were renowned for their originality and creativity. Her most famous collections addressed themes including the circus (Summer 1938) and astrology (Fall/Winter 1938-39). In 1937, Schiaparelli launched the fragrance “Shocking,” named after shocking pink, which had become her signature color.
Alongside vintage photographs, sketches, and contemporary features from Harper’s Bazaar and Vogue, this volume presents specially photographed masterpieces from the collection of the Musée des Arts Décoratifs in Paris. Destined to be the definitive volume on the great designer, this lavishly produced and illustrated book brings to life the work of this influential figure in the history of fashion.
19/09/22
orders to:     [email protected]
ordini a:        [email protected]
twitter:         @fashionbooksmi
instagram:   fashionbooksmilano, designbooksmilano tumblr:          fashionbooksmilano, designbooksmilano
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cosmiclovestyle · 7 years ago
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#965 by maartinavg featuring food storage containers
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memoire2cite · 4 years ago
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63 ¤¤ CLERMONT FERRAND 1968 - vue de viaduc - Au fond, la cité Muraille de Chine un village horyzontal voué à la démolition en 2023 ¤¤ De son vrai nom Résidence Henry-Andraud, Georges Bovet, l'architecte en chef du grand ensemble.. la Muraille de Chine fait partie du paysage dans le quartier Saint-Jacques à Clermont-Ferrand. Cet imposant immeuble est susceptible de disparaître dans les années à venir, suite à un plan de rénovation urbaine. Retour sur l'histoire de ce bâtiment où vivent près de 900 personnes. Long de 320 mètres, le bâtiment surnommé la Muraille de Chine compte 8 étages et 354 logements sociaux. Visible à des kilomètres, elle surplombe le quartier Saint-Jacques depuis 1961. Cependant, les jours de cette barre d'immeuble sont comptés. Même si rien ne devrait bouger avant 2020, une démolition de l'ensemble de la bâtisse est envisagée dans le cadre du plan de rénovation urbaine de la ville. • 1957 : l'année du projet C'est à la fin des année 50, et plus précisément en 1957, que les premières études débutent pour le bâtiment 101 de l'Office public HLM dans la capitale auvergnate, connu pour les Clermontois sous le nom de Muraille de Chine. • 1961 : l'année où les premiers locataires arrivent Les travaux durent plusieurs mois. Rapidement après la fin de la construction, les locataires posent leurs valises dans l'une des premières Zup (Zone à urbaniser en priorité). • 1967 : la Muraille est reliée au centre-ville Après quatre ans de travaux, le viaduc est mis en service en 1967. Il permet enfin aux habitants du quartier Saint-Jacques de se rapprocher du centre-ville. Ce viaduc est officiellement inauguré deux ans plus tard. • 1980 : un coup de neuf sur la façade et des panneaux solaires Vingt ans après sa construction, la Muraille de Chine subit un ravalement de façade. L'Office public HLM lance une opération de peinture sur la façade nord de l'édifice. Résultat : des bandes horizontales habilleront les murs. 411 mètres carrés de panneaux solaires ont été installés sur le toit de l'immeuble et permettent de produire de l'eau chaude. Ainsi, en deux décennies, ils ont produit 40 % de la consommation annuelle des locataires et permis de réaliser une économie de 65 tonnes de CO2 par an. En 2007, de nouvelles installations solaires thermiques sont installées. • 1991 : opération de réhabilitation D'importants travaux sont entrepris à tous les niveaux : sanitaire, réfection des salles d'eau et WC, électricité, mis aux normes des ascenseurs, réaménagement des parkings, des halls d'entrée et des aires de jeux, pour un investissement moyen de 54.839 francs par logement. • 2006 : l'arrivée du tramway Quarante ans après la construction du viaduc, un autre équipement vient faciliter la vie des habitants de la Muraille : le tramway. Avec un arrêt, au pied de leur logement, ils peuvent davantage se déplacer en transport en commun. • 2016 : la décision de la démolition Le maire de Clermont-Ferrand, Olivier Bianchi annonce la prochaine démolition du bâtiment vers 2023, dans le cadre du plan de rénovation urbaine. La Muraille de Chine ou des souvenirs en béton La Muraille de Chine va tirer sa révérence. Avec elle, c’est un tout un pan de l’histoire sociale de Clermont qui s’efface. La cité HLM laissera le souvenir aux habitants de ce "petit village" regroupé en quelques 350 appartements. Nicole Dumas, l'une des premières habitantes, témoigne d'une certaine nostalgie... La Muraille de Chine, ainsi que l’immeuble perpendiculaire situé à son bout, allée des Dômes, le “14 étages” côté avenue Léon Blum, vont disparaître après 60 ans de sociaux services. Les travaux de démolition débuteront en 2020 pour s’achever en 2022. Trois ou quatre petites résidences seront bâties en lieu et place, côté est. Le reste sera aménagé en parc, de la rue du Pont Saint-Jacques en montant jusqu’à la rue des Plats. Quant à la crèche, elle sera transférée dans le nouveau Pôle Enfance planifié dans le cadre du plan ANRU 2 à la place de l’école Jean Jaurès, elle-même reconstruite. Bref, un grand chambardement qui ne laisse pas insensible les habitants initiaux de l’ensemble. Dans les sixties C’est au tout début des années 60 que s’installent les premiers locataires, rue Henry Andraud. Les parents de Nicole Dumas sont concierges au n° 16, à partir de 1966. Ils sont cinq à vivre dans un F3 exigu. Le père de famille disparaît en 1978. Sa mère déménage, alors, du 16 au 6. Elle y travaille en compagnie d’une autre dame jusqu’à sa retraite en 86. Dans les années 60, en effet, les concierges fonctionnaient encore en binôme. Le mari et la femme généralement. Il en faut toujours un dans l’appartement pour répondre aux sonneries d’ascenseur et au téléphone (le mobile n’existe pas) qui est toujours relié par un fil à une fiche encastrée dans le mur. Au concierge de prévenir les pompiers, les services techniques ou la société en charge de l’entretien des ascenseurs. La singularité des ascenseurs de la Muraille est de s’arrêter entre les étages. Le premier arrêt étant situé entre le 3ème et le 4ème. Ce qui rend difficile voire impossible l’accès aux personnes à mobilité réduite. Nicole quitte la Muraille en 1978. Pour mieux y revenir… « Quand on a vécu à Saint-Jacques, on a qu’une hâte, c’est d’y retourner. C’est ce que j’ai fait après avoir divorcé. » “La Muraille, c’était le luxe” Dans les premières années, on trouve beaucoup d’hospitaliers et de personnels de l’AIA (Atelier Industriel de l’Aéronautique) parmi les locataires. Des foyers avec de bonnes situations pour l’époque qui font vivre les nombreux commerces du plateau Saint-Jacques. Pour faire les “grosses courses”, les résidents se rendent au Casino des Salins en empruntant les “tortillons” derrière la Muraille, avant que ne soit construit le viaduc en 1967. Une population principalement européenne y cohabite, des Portugais, des Espagnols, des Italiens. « On venait presque tous de la campagne pour travailler en ville. Pour nous, la Muraille, c’était le luxe. À la campagne, on n’avait ni salle de bain, ni ascenseur. C’était très confortable pour l’époque. On vivait vraiment en communauté, c’était un petit village. » La disparition de la Muraille est un pincement au cœur pour Nicole qui conclue par un nostalgique « ça va dénaturer le quartier. » https://www.youtube.com/watch?v=qowrXkkf1-s Sur le plateau en construction, les premières études pour l’édification de la « muraille » (datent de 1957) @ La muraille de Chine, un des secrets de Clermont Ferrand @ Sur le plateau en construction, les premières études pour l’édification de la « muraille » (datent de 1957) Saint-Jacques a une histoire qui garde la trace visible de ses plus grands moments. Ses édifices marquent le paysage urbain clermontois depuis les années 1950 ! La première des opérations urbanistiques, voire architecturales, significatives à Clermont-Ferrand fut sans doute la construction de la Muraille de Chine. Le plateau Saint-Jacques devint alors le quartier-phare de la cité clermontoise, que la muraille dominait de ses huit étages sur 320 mètres de long! Ce qui engendra la « controverse de Saint-Jacques »: comme si la muraille voulait supplanter l'autre élévation sur laquelle s'était érigée la cathédrale. Muraille et cathédrale semblaient se défier. Comme si deux mondes, l'ancien et le moderne s'affrontaient. Son histoire remonte à 1957, année à laquelle les premières études furent effectuées. C'est en 1961 que la construction démarra. Aujourd'hui, elle s'étend sur la rue Henry-Andraud, du numéro 2 au numéro 28, et compte 14 cages d'escalier qui permettent aux résidents des 354 logements d'accéder à leur appartement. Elle abrite en majorité une population jeune (52 %) et des foyers monoparentaux. En général, beaucoup de ses habitants sont en situation de précarité. Cela dit, bâtie sur un éperon rocheux, au-dessus du quartier de la Rotonde (bien connu des étudiants en droit), la plupart des logements de la « muraille » bénéficient d'une belle ouverture sur la ville. Les commerces alentour y sont nombreux. La proximité des résidences universitaires, du CHU Gabriel-Montpied (conçu à partir de la fin des années soixante), de la faculté de médecine et de pharmacies, lui confère, ainsi qu'aux autres résidences publiques ou privées (*), une belle animation. Au cours des années, la « muraille », surnommée ainsi par dérision, a connu des améliorations. Et, aujourd'hui, elle doit faire face à des restaurations et aménagements indispensables pour être conforme aux normes contemporaines. À Logidôme, gestionnaire de résidences sociales, la réflexion est entamée…Le viaduc en direct @ Un mot encore sur le viaduc Saint-Jacques. Construit entre janvier 1964 et juin 1967, il a remplacé avantageusement le chemin de Saint-Jacques. Actuellement en cours de rénovation, l'édifice est devenu incontournable avec ses 500 mètres de long, 18 mètres de large et 27 mètres de haut à son maximum. Avec une pente de 6 %, il est posé sur 12 portiques. Il a permis de relier rapidement le plateau au centre-ville. Et par cette voie, le tramway rapproche encore le plateau et Jaude (en 5 ou 6 minutes). (*) Il existe encore beaucoup de maisons individuelles, résurgence du temps des cités Michelin, et quelques autres bâtiments publics de l'époque. https://www.lamontagne.fr/.../la-muraille-de-chine-un.../ @ LE VIADUC établi la jonction entre le centre-ville de Clermont-Ferrand et un quartier populaire devenu haut lieu universitaire, médical et hospitalier. Son initiateur, Gabriel Montpied avait même, vu encore plus grand ! Menant campagne pour accomplir un quatrième mandat municipal, en 1964, Gabriel Montpied, l’inamovible maire de Clermont depuis la Libération, avait annoncé à ses concitoyens-électeurs la construction du viaduc Saint-Jacques. Au-delà de la stratégie politicienne, un projet d’aménagement plus pratique qu’esthétique doublé d’une forte charge symbolique puisque reliant deux rives, presque deux mondes : le centre-ville et un nouveau quartier populaire de 15.000 habitants. Une ZUP (acronyme de zone à urbaniser en priorité) pour atténuer la crise du logement aggravée par le rapatriement des pieds-noirs d’Algérie. Autoroute aérienne @ Inscrivant ce projet dans un vaste plan de circulation urbaine (l’époque était au tout automobile !), Montpied avait même vu encore plus grand : il ambitionnait que soit percé en complément deux artères souterraines, l’une sous la place Delille entre le boulevard Trudaine et les Carmes ; l’autre au pied du jardin Lecoq pour déboucher place Gaillard. Du monumental, pour ne pas dire de la démesure… Le bâtisseur du Clermont moderne remporta les élections dès le premier tour avec 66 % des suffrages malgré la présence de cinq listes concurrentes. Le viaduc et ses prolongements un soupçon mégalo y furent-ils pour beaucoup ? Si les deux voies souterraines restèrent dans les cartons eu égard à leur coût et à la complexité des chantiers, le pont-viaduc fut édifié en moins de trois ans, de 1964 à 1967. 430 m de long et 27 m de haut à son sommet L’imposant ouvrage s’appuie sur douze portiques, de 430 m de long et 18 m de large, de 27 m de haut à son point culminant pour se profiler sur une pente de 6 %. Sorte d’autoroute aérienne éventrant la ville, doutons qu’il s’intègre sans déparer dans le paysage urbain clermontois. À l’image de la Muraille de Chine, l’esthétique n’a jamais été une préoccupation première chez nos bâtisseurs politiques locaux… 21.000 véhicules chaque jour Au fil du temps, corollaire du développement du CHU et du campus des Cézeaux, le viaduc a vu son trafic s’intensifier : il est aujourd’hui emprunté par plus de 21.000 véhicules chaque jour, contre moins de 15.000 à sa mise en service. En s’ouvrant en 2007 au tram et à ses 70.000 voyageurs/jour, il a dû subir neuf ans plus tard de lourds travaux d’étanchéité et de renforcement pour 8,4 millions d’euros. Le prix de son utilité. https://www.lamontagne.fr/.../ce-23-juin-le-viaduc-saint.../ De son vrai nom Résidence Henry-Andraud, cette barre d’immeuble, située dans un quartier prioritaire du Sud de Clermont-Ferrand, est surnommée « Muraille de Chine » par les habitants en raison de ses dimensions : 320m de long pour 8 étages et 354 appartements, soit l’une des plus grandes barres d’immeubles de France. Composée à 100% de logements sociaux, elle offre aux 550 familles qui y vivent actuellement (dont certaines depuis plus de 40 ans) des loyers parmi les moins chers de la ville et une vue imprenable sur le Puy-de-Dôme et le centre-ville. Elle a été construite en 1961 à l’époque des grands ensembles. Ce terme désigne les ensembles de logements collectifs construits entre le milieu de années 1950 et le milieu des années 1970, marqués par un urbanisme de barres et de tours. Elle a permis d’accueillir de nombreuses familles d’ouvriers et d’employés qu’il fallait loger rapidement en raison de l’essor de Michelin notamment. Mais aujourd’hui, la Muraille ne répond plus aux attentes des habitants à cause de surfaces trop petites, des appartements mal conçus et mal isolés thermiquement et phonétiquement. Afin de pallier cette situation, l’agglomération Clermont Communauté a étudié 3 solutions : La première consiste à simplement réhabiliter les logements, mais elle n’améliore pas l’organisation ni la taille des appartements et ne règle pas la question de la non-attractivité de ces logements. La deuxième solution est d’entreprendre une restructuration lourde des bâtiments mais les études menées à cette occasion montrent que les structures ne le supporteraient pas. Dernière solution : la déconstruction. C’est cette solution que l’Agglomération et la Ville ont choisi, comme l’a annoncé le maire Olivier Bianchi au cours d’une réunion publique avec les habitants du quartier. Pour l’Agglomération, démolir la Muraille de Chine permettra d’accueillir un habitat nouveau adapté aux besoins des ménages, de construire un quartier plus aéré et de répondre aux nouvelles attentes écologiques. Cette solution permet aussi de bénéficier des financements de l’Agence National pour la Rénovation Urbaine (ANRU) car elle a été retenue parmi les 200 « quartiers d’intérêt national » par l’ANRU dans le Nouveau Programme National de Renouvellement Urbain (NPNRU). La Loi de programmation pour la ville et la cohésion urbaine, votée en février dernier, pose le cadre et fixe les objectifs et les moyens du NPNRU. Un investissement de 5 milliards d’euros de l’ANRU, financé avec le concours d’Action Logement, sera ainsi réparti comme suit : 83% pour les sites d’intérêt national et 17% pour les sites d’intérêt régional, dans le cadre des Contrats de plan Etat-région (CPER). Carte des quartiers d'intérêt national Cette déconstruction ne devrait démarrer qu’à partir de 2021 car il faut d’abord reloger toutes les familles. Cela représente 900 habitants étant donné qu’il y aussi l’immeuble de l’Allée des Dômes situé à proximité qui va être démoli. Le processus de relogement débutera en 2017-2018, après acceptation définitive de proposition de démolition par l’ANRU le 8 Décembre 2016. En revanche, à l’heure actuelle, même si l’on sait que la démolition devrait laisser place à de nouveaux logements, « le projet urbain n’était pas encore connu » a précisé le maire. Sources : http://www.leparisien.fr/.../clermont-ferrand-la-muraille... http://www.europe1.fr/.../urbanisme-clermont-ferrand-va... https://www.francebleu.fr/.../la-muraille-de-chine-de... https://www.cyberbougnat.net/.../demolition-muraille-de... https://lafautealecorbusier.wordpress.com/.../les-grands.../ http://www.anru.fr/.../Nouveau-programme-national-de... https://www.geocaching.com/.../GC64R3G_point-de-vue-sur... https://patrimoine.auvergnerhonealpes.fr/.../9f1ad824... La maquette du Secteur industrialisé sur laquelle apparaît pour la première fois la barre de grande longueur qui sera baptisée Muraille de Chine date de 1955. Le bâtiment 101 de la première tranche de construction du Secteur industrialisé a fait l'objet de plans datés du 15 septembre 1957. Il s'agit de la Muraille. Le 29 juillet 1958, le permis de construire est délivré. Le grand ensemble fait l'objet d'un premier concours d'entreprises. Le 26 janvier 1959, le maître d'ouvrage, l'Office municipal d'habitation à loyer modéré, soumet le procès-verbal du jury de concours, daté du 15 octobre 1958, à l'approbation du préfet. A partir de la date fixée par ordre de service, le délai d'exécution était de 24 mois. 32 entreprises ont été présentes sur le chantier. L'ensemble des immeubles ont fait l'objet de travaux postérieurement à ces dates. Une réhabilitation intérieure a notamment concerné la Muraille de Chine en 1991. Après que ses habitants auront été relogés, la Muraille devrait être démolie dans les années 2020. Afficher le détail de l'historique Description Le bâtiment 101 de la première tranche du Secteur industrialisé se présente comme une barre légèrement coudée, épousant le rebord du plateau Saint-Jacques, longue de 320 mètres en tout. Elle est constituée d'un même bloc de 8 étages (R+8, sur premier sous-sol et second sous-sol partiel), haut de 30 mètres, couvert en terrasse, répété 14 fois. C'est ainsi que 14 escaliers la desservent et 14 ascenseurs (dont les machineries apparaissent en surélévation sur la terrasse). Un mur de refend longitudinal la divise en deux parties. La structure est du type poteaux/poutres, dont la trame est ignorée en façade. La barre se décompose en 354 logements (16 F1, 102 F2, 118 F3, 102 F4 et 16 F5). Des passages en rez-de-chaussée permettent de traverser la barre à intervalles réguliers. Les vestibules d'entrée sont ouverts sur l'extérieur, formant des espaces semi-publics. La porte d'entrée franchie, on se trouve directement dans la cage d'escalier. Le procédé d'exécution Costamagna n'est pas indiqué dans le cahier des prescriptions techniques, ni dans le dossier d'exécution, mais dans un document de l'agence de Georges Bovet (conservé au Centre des archives de l'architecture du XXe siècle). En revanche dans le dossier d'exécution, on trouve mentions de : ciment artificiel, chaux, sable, agglos creux de pouzzolane, agglos pleins et briques de cloisons. Il est précisé que les claustras seront exécutées en béton vibré, préfabriqué et ajouré, les appuis de coisées en béton moulé, les agglos seront utilisés pour les murs de cages d'escaliers et d'ascenseurs ; le béton armé, logiquement, sera coulé en fouilles, coulé entre banches pour les poutres, les voiles, les poteaux, les dalles et les dalles de balcons. Il y est spécifié que les briques seront "courantes du type NFP 13301, toutefois les architectes pourront accepter des briques d'autres dimensions correspondant aux fabrications régionales". Ces briques renvoient au procédé Costamagna qui consiste à monter une âme en briques creuses entre deux parois de béton. Masquer le détail de la description Murs béton béton armé enduit brique appareil mixte béton parpaing de béton Toit bitume Plans plan rectangulaire régulier Étages 2 étages de sous-sol, rez-de-chaussée surélevé, 8 étages carrés Couvrements béton en couvrement Élévations extérieures élévation ordonnancée Couvertures terrasse Escaliers escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour suspendu Autres organes de circulations ascenseur Mesures l : 320.0 m Précision dimensions Il s'agit de la longueur totale de la barre qui est divisée en quatorze blocs accolés. Statut, intérêt et protection Barre d'un grand ensemble d'une longueur remarquable conjuguée à une implantation sur une hauteur dominant la ville de Clermont-Ferrand, faisant de cette barre un repère et un emblème. Destinée à la démolition. Statut de la propriété propriété d'un établissement public communal, Propriété de l'Office municipal des habitations à loyer modéré, à l'origine. Propriété d'un bailleur social, Assemblia, en 2020. Documentation Références documentaires Documents d'archives Archives départementales du Puy-de-Dôme. 328 W 95-103. Office municipal d'habitation à loyer modéré de Clermont-Ferrand. Dossiers techniques (1957-1960). Plans d'ensemble, plans des blocs, dossier des marchés, travaux préliminaires, menuiserie, plomberie, voirie, réseaux. 328 W 96. Concerne le bâtiment 101 (Muraille de Chine) : série de plans, coupes et façades datés du 15 sept. 1957 ; portant les noms de Georges Bovet (architecte en chef), G. Lescher et Marquet (architectes d'opération) ; approuvés par le secrétaire général de préfecture, pour le préfet, Pierre Servais, le 24 février 1959. AD Puy-de-Dôme : 328 W 95-103 Dessornes, Maud, Dias, Céline. La muraille de Chine. Sédimentation des grands ensembles de la ville. Ecole normale supérieure d'architecture de Versailles. 03/17/2773. Ecole nationale supérieure d'architecture de Versailles : 03/17/2773 Liens web Fonds Georges Bovet. Voir moins— avec Colline Dolly Pengle Keums et 3 autres personnes.
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reseau-actu · 4 years ago
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Voilà cent ans presque jour pour jour, du 25 au 31 décembre 1920, lors du congrès de Tours, la majorité des délégués de la SFIO votent l’adhésion à la IIIe Internationale de Lénine. Ainsi naît le PCF, «grand parti populiste à orientation totalitaire» au sein de la société française, qui va peser lourd dans son histoire au XXe siècle, raconte le célèbre historien du communisme, directeur de recherche honoraire au CNRS, directeur de la revue Communisme et maître d’ouvrage du Livre noir du communisme (Robert Laffont, 1997), au retentissement international.
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En ce 25 décembre 1920, pendant que les chrétiens chantent Noël et la venue du Sauveur, les militants de la SFIO - la Section française de l’Internationale ouvrière (la IIe Internationale) -, fascinés par une Russie bolchevique autoproclamée «patrie socialiste et du pouvoir des travailleurs», se réunissent à Tours au chant de L’Internationale pour célébrer la gloire de Lénine, qui fait figure de sauveur d’un socialisme européen traumatisé par la guerre.
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Les divers courants socialistes sont les héritiers de la Révolution française, dont ils assument la période jacobine - celle de Robespierre, des sans-culottes, de la terreur et de la guillotine. Cependant, après la défaite de la Commune en 1871, ils ont privilégié le suffrage universel et la voie légale et parlementaire vers le pouvoir. Réunis depuis 1905 par Jean Jaurès autour de son journal L’Humanité, ils ont obtenu en mai 1914 un beau succès avec plus de cent députés et 18 % des voix. Cet avenir prometteur est pourtant bouleversé par une double catastrophe: l’assassinat de Jaurès le 31 juillet et l’éclatement, le 1er août, de la Première Guerre mondiale.
La guerre ouvre une crise profonde chez les socialistes français et européens. Jusque-là pacifistes, voire antimilitaristes, et opposants par principe au pouvoir «bourgeois», tous rallient leurs gouvernements respectifs sous l’égide de l’Union sacrée. Le sentiment national balaie le vieux slogan de Karl Marx dans son Manifeste du parti communiste de 1848, «Prolétaires de tous les pays, unissez-vous!». Tous, sauf Lénine, qui lance à l’automne 1914 un slogan radical: «Transformez la guerre impérialiste en guerre civile» ; autrement dit: que les prolétaires sous les armes en profitent pour renverser la bourgeoisie et instaurer partout le socialisme.
À Tours, les minoritaires sont les socialistes. Ce sont eux qui font scission pour garder « la vieille maison » de la SFIO [...], c’est-à-dire un parti démocratique à idéal révolutionnaire.
Ce slogan est pour l’instant inaudible par la SFIO, qui, face aux horreurs de la guerre, se divise néanmoins dès 1916 entre tenants de l’Union sacrée jusqu’à la victoire et partisans d’une paix blanche. Mais l’Histoire s’accélère. En Russie, le 7 mars 1917, une révolution jette à bas l’empire des tsars et instaure une démocratie naissante qui tourne vite à l’anarchie. Les bolcheviks en profitent pour s’emparer du pouvoir à Pétrograd le 7 novembre. Ils promettent la paix et la terre aux paysans et annoncent la venue du communisme, puis ils liquident l’Assemblée constituante et déclenchent une féroce guerre civile placée sous le signe de la «dictature du prolétariat».
Les dés sont jetés. Si, en novembre 1918, la SFIO fête la victoire de la France, elle est contrainte de se positionner face au pouvoir bolchevique et à la création par Lénine, en mars 1919, d’une IIIe Internationale dite communiste. Or la voie électorale s’éloigne quand, lors des législatives de novembre 1919, la coalition des droites triomphe avec la Chambre «bleu horizon». Par contre, la voie insurrectionnelle pointe son nez lorsque, au printemps 1920, éclate une puissante grève des cheminots qui, après un 1er Mai très violent, tente de s’élargir en grève générale. Elle est réprimée par le patronat et le gouvernement, mais la tension interne entre réforme démocratique et révolution bolchevique est à son comble.
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La SFIO décide alors d’engager des négociations d’adhésion à la IIIe Internationale. En juillet 1920, poussant son avantage, Lénine en organise le IIe congrès dans un climat d’euphorie, alors que l’Armée rouge fonce sur Varsovie pour porter le feu révolutionnaire dans toute l’Europe. Il édicte 21 conditions impératives d’adhésion, logiciel idéologique, politique et organisationnel du parti de révolutionnaires professionnels qu’impose, selon son vocabulaire, «notre époque de guerre civile aiguë». Tant il est vrai qu’en matière de révolution la surenchère est une arme redoutable.
Ces conditions visent à combattre les «sociaux-traîtres» et «sociaux-patriotes» dans tous les domaines: le parlementarisme, le légalisme, le militarisme et, plus généralement, le capitalisme, l’impérialisme et le colonialisme. Elles accentuent de nouvelles lignes de clivage: patrie contre internationalisme, défense nationale contre défaitisme révolutionnaire, réforme contre révolution, dictature du prolétariat contre démocratie parlementaire, défense inconditionnelle ou non d’une Russie bolchevique prônant guerre civile, dictature et terreur. Et la 12e condition impose à chaque parti communiste le «centralisme démocratique», défini comme «une discipline de fer, quasi militaire».
C’est dans cette tension que s’ouvre le 25 décembre 1920 à Tours le 18e congrès de la SFIO, dans la salle du Manège où s’entassent plus de 400 personnes dont 285 délégués. Parmi eux, un jeune Indochinois nommé Nguyen Aï Quôc, le futur Ho Chi Minh ; et aussi plusieurs agents russes qui œuvrent en coulisse. Une à une, les 86 fédérations déclinent leur choix. Pour l’adhésion: motion Cachin (directeur de L’Humanité)-L.-O. Frossard (secrétaire général du parti) ; pour l’adhésion «sous conditions»: motion Jean Longuet, petit-fils de Karl Marx ; contre l’adhésion: motion Léon Blum.
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D’emblée, les fédérations paysannes, qui ont payé le plus lourd tribut à la guerre, expriment un fort antiparlementarisme, une volonté d’action et une mystique révolutionnaire. Le délégué de l’Ariège s’exclame: «Nous sommes, quant à nous, en extase devant les camarades de la IIIe Internationale». Et Veyren, des Bouches-du-Rhône, oppose «la discipline occulte» des «consortiums de candidats» aux élections, à la «dictature du comité central de la IIIe Internationale» qui est «moins humiliante pour les militants» ; il exige que de «parti d’opposition», la SFIO devienne «un parti d’action à qui il faut des hommes résolus».
Le 27 décembre, dans un discours fondateur et prémonitoire, Léon Blum, s’il réaffirme sa foi marxiste et révolutionnaire - y compris en la «dictature du prolétariat» -, dénonce l’obligation de créer un appareil clandestin et la soumission de fait au parti bolchevique et à son régime dictatorial, qui suppriment la démocratie interne dans le parti.
Le lendemain, ses adversaires brandissent les télégrammes des militants français emprisonnés, dont le plus ardent léniniste est alors Boris Souvarine. Puis éclate le «coup de revolver de Zinoviev»: pour empêcher un compromis unitaire entre motions, le président de l’Internationale exige l’exclusion de Longuet. C’est enfin le clou du spectacle: la lumière s’éteint et apparaît soudain à la tribune une femme recherchée par toutes les polices, la socialiste allemande Clara Zetkin - preuve vivante de l’internationalisme -, qui, après un discours enflammé pour l’adhésion, disparaît. Bouleversée, la salle se dresse et chante L’Internationale. Difficile d’imaginer meilleure manipulation de psychologie collective.
Le PCF enferme dans ses bastions des populations qui, volens nolens, se solidarisent avec le totalitarisme soviétique et, en politique intérieure.
Le 29, par 3.208 mandats - contre 1.022 à la motion Longuet -, la SFIO devient la Section française de l’Internationale communiste (SFIC, rebaptisée PC-SFIC l’année suivante). Les 30 et 31 décembre, ce sont les socialistes qui, minoritaires - Blum, Longuet et leurs amis -font scission pour garder «la vieille maison» de la SFIO, selon l’expression de Blum, c’est-à-dire un parti démocratique à idéal révolutionnaire.
Lénine a remporté un succès éclatant, mais la gauche française est désormais fracturée pour un siècle en deux partis frères ennemis. Ceux des militants communistes qui pensaient que les 21 conditions étaient une clause de style sont bientôt contraints de les appliquer. Et le jeune PCF s’engage dans un processus de purges des dissidents, à commencer, en 1923, par Frossard. Suivi, en 1924, par Souvarine, avec ce commentaire de L’Humanité : «La “valeur”, le “talent”, le “savoir” de tel ou tel ne sauraient justifier un relâchement du contrôle auquel tous les communistes sont astreints. (…) C’est dans la mesure où toutes les survivances du “Moi” individualiste seront détruites que se formera l’anonyme cohorte de fer des bolcheviks français.»
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Ainsi naît au forceps un parti de révolutionnaires professionnels toujours plus étroitement soumis au système totalitaire soviétique. Dès 1924, la bolchevisation restructure le PCF sur la base des cellules, locales et d’entreprise. À Moscou, l’École léniniste internationale forme à l’idéologie léniniste puis stalinienne des centaines de jeunes français appelés à former l’appareil central du PCF. En 1930-1931, l’envoyé plénipotentiaire de l’Internationale, le slovaque Eugen Fried, prend clandestinement la direction politique du parti et devient jusqu’en 1939 le mentor secret du secrétaire général, Maurice Thorez. Il crée le service des cadres chargé durant des décennies de sélectionner les responsables, de la base jusqu’au bureau politique.
Désormais intégré au système communiste mondial organisé autour du PC d’Union soviétique - sa matrice et son moteur - dominé par Staline, le PCF inaugure sa double vie.
D’un côté, il construit une puissante dimension sociétale, par la promotion en son sein des ouvriers - Thorez, Duclos, Frachon, Marty, etc. -, par sa défense des conditions de travail dans les usines et des conditions de vie, en particulier dans les banlieues, et, à partir de 1934-1935, par son ralliement à la République (tenue jusqu’alors pour «bourgeoise») et au drapeau tricolore. Cette base sociale se manifeste avec force lors des municipales de 1935, qui assurent la conquête de nombreuses mairies - la «banlieue rouge» - et des législatives du Front populaire, où il obtient 72 députés.
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Ces succès, amplifiés à la Libération, sont complétés par la conquête de la CGT en 1946-1947. Cet âge d’or du PCF - premier parti en 1946 avec 28 % des voix - laisse aux militants âgés le souvenir radieux des colonies de vacances, de l’ouverture à la culture par le livre, le théâtre ou le cinéma et d’une vie prise en mains de la naissance à la tombe. Le parti catalyse une forte identité ouvrière, au point de se nommer «le grand parti de la classe ouvrière», même si les divers mondes ouvriers français sont loin d’être tous communistes.
Mais, en même temps, sa dimension téléologique - celle du projet léniniste et stalinien - pousse le PCF à enfermer dans ses bastions municipaux et syndicaux des populations qui, volens nolens, se solidarisent avec le totalitarisme soviétique - jusqu’à cautionner les crimes de masse des régimes communistes - et, en politique intérieure, avec les méthodes de diffamation, d’insulte et d’intimidation du Parti envers ses adversaires. Le PCF crée ainsi un écosystème séparatiste au sein de la société, ce qu’Annie Kriegel, pionnière des études sur le communisme français et longtemps éditorialiste au Figaro, nomma la «contre-société» communiste.
Ce phénomène devient politique quand, en 1939-1940, contraint d’approuver l’alliance Hitler-Staline, le PCF est dissous par la IIIe République ; puis quand en septembre 1947 il déclenche sur ordre de Staline des grèves insurrectionnelles pour empêcher la France d’adhérer au plan Marshall américain ; et encore, après mai 1958, quand il accuse de Gaulle de «fascisme» ; et quand, en 1979, Georges Marchais déclare que «le bilan» des pays d’Europe de l’Est est «globalement positif», puis approuve, le 5 janvier 1980 depuis Moscou, l’invasion de l’Afghanistan. In fine, le téléologique l’a toujours emporté sur le sociétal. Et ce n’est qu’en 1997, lors d’un débat télévisé autour du Livre noir du communisme, que le directeur de L’Humanité, Roland Leroy, reconnaîtra que «le fait de penser qu’il n’y avait pas d’autre voie que la guerre civile induisait la terreur».
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La chute du Mur et l’implosion de l’URSS, entre 1989 et 1991, avaient déjà sonné le glas de ce grand parti populiste à orientation totalitaire campé au cœur de la République française.
Stéphane Courtois est également professeur à l’ICES. Son dernier ouvrage Lénine, l’inventeur du totalitarisme (Perrin, 2017) a été salué par la critique. Membre du conseil scientifique de la Fondapol, l’historien y publiera en janvier, avec son collègue Sylvain Boulouque, une synthèse historique sur le PCF.
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dosomethingelse2022 · 2 years ago
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Spazieren statt Fussball
Teil 5 der Audiowalk-Reihe, heute mit Simon Froehling (Host: Donat Blum)
Wir spazieren und lesen und hören Robert Walser. Heute mit Simon Froehling als Stargast. Froehling spricht mit Donat Blum und liest auch einen eigenen Spaziergang. Jede Zuschauer:in kriegt einen individuellen Startpunkt.
Maison du Futur
08., 09. & 10. Dezember 2022, ab 20:00 Uhr, Grosse Halle Reitschule, Bern: Pulp Noir
Eine 360°-Performance von vier Kunstformen und zwei Wissenschaften, vereint gegen den Vormarsch populistischer und ideologischer Weltvereinfachungen. Denn angesichts der immer komplexeren Welt sind sie ja tatsächlich verlockend, aber bis weit ins 20. Jahrhundert führten sie allzu oft ins Chaos.
Pulp Noir
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6. Dezember 2022, 16:00 Uhr, Max Frisch Bad, Zürich: «Der Spaziergang»
Spazieren statt Fussball
Teil 4 der Audiowalk-Reihe, heute mit Donat Blum (Host: Wanda Wylowa)
Wir spazieren und lesen und hören Robert Walser. Heute mit Donat Blum als Stargast. Blum spricht mit Wanda Wylowa und liest auch einen eigenen Spaziergang. Jede Zuschauer:in kriegt einen individuellen Startpunkt.
Maison du Futur
5. Dezember 2022, 16:00 Uhr, Max Frisch Bad, Zürich: «Der Spaziergang»
Spazieren statt Fussball
Teil 3 der Audiowalk-Reihe, heute mit Ivona Brđanović (Host: Wanda Wylowa)
Wir spazieren und lesen und hören Robert Walser. Heute mit Ivona Brđanović als Stargast. Brđanović spricht mit Wanda Wylowa und liest auch einen eigenen Spaziergang. Jede Zuschauer:in kriegt einen individuellen Startpunkt.
Maison du Futur
4. Dezember 2022, ganzer Tag, Basislager, Zürich: Open Doors – Flohmarkt und offene Ateliers
Offene Ateliers
Basislagermarkt Kunst & Handwerk zum Kauf
Briefkastenbar mit Suppe, Grill und wärmenden Getränken
20 Runden-Spazieraktion mit Marie-Anne Lerjen & Peti Wiskemann 
14:00 Uhr bis 16:30 Uhr, Start Basislager Briefkastenbar, Einstieg jede Runde möglich, jede Runde ein anderes Thema: https://www.lerjentours.ch/20-runden/
Weitere Performances
Basisager Zürich
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4. Dezember 2022, 16:00 Uhr, Bern: Spaziergang mit der Autorin Bettina Dyttrich
Wir treffen uns um 16:00 Uhr beim Bärengraben (oben auf der Brücke), wandern durch die Dämmerung zum Botanischen Garten und weiter zur Brasserie Lorraine, wo Bettina Dyttrich aus ihrem Buch «Es hilft, dass ich Leute anschreien darf» liest. Ende der Aktion ca. 17:45 Uhr.
Link zum Buch
4. Dezember 2022, 16:00 Uhr, Max Frisch Bad, Zürich: «Der Spaziergang»
Spazieren statt Fussball
Teil 2 der Audiowalk-Reihe, heute mit Katja Brunner (Host: Wanda Wylowa)
Wir spazieren und lesen und hören Robert Walser. Heute mit Katja Brunner als Stargast. Brunner spricht mit Wanda Wylowa und liest auch einen eigenen Spaziergang. Jede Zuschauer:in kriegt einen individuellen Startpunkt.
Maison du Futur
4. Dezember 2022, 20:00 Uhr, Hottingerstrasse 8, Zürich: Erzählwelt Benno Besson in Kooperation mit dem Schauspielhaus Zürich
Am 4. Dezember nimmt das «Maison du Futur» in Kooperation mit dem Schauspielhaus Zürich an der Hottingerstrasse gleich neben dem Pfauen einen Live-Podcast zur Erzählwelt von Benno Besson auf. Mit Sylvia Sasse, Leonie Sowa, Samuel Schwarz, u.a.
Wir tauchen in Erinnerungen an Benno Bessons Wirkungszeit am Schauspielhaus Zürich ab. Eingeladen sind alle. Es gibt Suppe und Bier.
Melden Sie sich: [email protected] (Platzzahl beschränkt)
Schauspielhaus Zürich
3. Dezember 2022, 16:00 Uhr, Max Frisch Bad, Zürich: «Der Spaziergang»
Spazieren statt Fussball
Premiere der Audiowalk-Reihe mit Julia Weber (Host: Wanda Wylowa)
Wir spazieren und lesen und hören Robert Walser. Heute mit Julia Weber als Stargast. Weber spricht mit Wanda Wylowa und liest auch einen eigenen Spaziergang. Jede Zuschauer:in kriegt einen individuellen Startpunkt.
Maison du Futur
2. Dezember 2022, ab 18:00 Uhr: Human Rights Film Festival, Zürich
Kino statt Fussball
Am 2. Dezember, während des Schweiz-Serbien Spiels zeigt das Human Rights Film Festival Zurich um 18:00 Uhr im Kosmos den Spielfilm «Vera Dreams Of The Sea» von Kaltrina Krasniqi (Kosovo, Mazedonien 2021), um 18:30 Uhr «Among Us Women», den Dokumentarfilm von Sarah Noa Bozenhardt und Daniel Abate Tilahun (Deutschland, Äthiopien) und um 20:00 Uhr den Dokumentarfilm «The Return – Life After ISIS» von Alba Sotorra Clua (Spanien, UK). Wer Lust hat auf einen musikalischen Ausflug nach Marokko ist mit «Casablanca Beats» um 21:00 Uhr (Marokko, Frankreich 2021) bestens bedient.
Human Rights Film Festival Zurich 
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alexmotamots · 4 years ago
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Une maison sur l'eau - Emuna ELON
Une maison sur l'eau de Emuna ELON : un roman en train de s'écrire
Yoel Blum, célèbre auteur israélien, se rend à Amsterdam, sa ville natale, pour assurer la promotion de son nouveau roman, et ce en dépit de la promesse qu’il avait faite à sa mère de ne jamais y retourner. En visite au Musée historique juif, il voit un film d’archives où apparaît sa mère tenant un bébé qu’il ne reconnaît pas. Qui peut bien être cet enfant et pourquoi sa mère, aujourd’hui morte,…
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votresante · 4 years ago
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12 Conseils d’Experts comment faire Pour accélérer la Perte de Poids chaque semaine
Le début de l’année, c’est cette saison que beaucoup de gens font des plans et des engagements pour le mois à venir, et l’une des résolutions, qui apparaît généralement dans ces listes, il est de perdre du poids. Mais comment voulez-vous faire de ce projet de ne pas faire une promesse, sans avoir à suivre un régime alimentaire restreint, sont de prendre ce genre de médicament pour la perte de poids, ou de prendre toute nourriture provenant de l’alimentation pour de longues périodes de temps? La solution est de commencer petit à petit et faire de petits sacrifices.
Avec cela à l’esprit, nous avons mis en place une série de conseils qui vous aideront à perdre du poids en une semaine, menée par des experts de partout dans le monde. La recommandation est de choisir au moins quatre d’entre eux, et de les suivre fidèlement au cours de la période de sept jours. Bien sûr, si vous êtes en mesure de rejoindre plus de quatre, il sera encore mieux, car ils sont susceptibles de perdre plus de poids. Il ne vous coûte rien de l’essayer, vous ne pensez pas?
Ci-dessous, vous pouvez consulter ces 12 conseils:
1. À prendre en plus de l’eau
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Pour ceux qui veulent perdre du poids, la meilleure option est de le boire, sans doute, il est dans l’eau. C’est parce que les boissons pour sportifs, un fruit ou un verre de bière à la lumière contient environ 100 calories par portion. Ne pas mentionner le fait qu’ils ne laissent pas de l’office, comme heureux autant que 100 calories de tous les aliments peuvent faire, et qui est un gaspillage.
Il y a aussi des boissons qui peuvent être riches en sodium et en glucides, ce qui entraîner votre corps à retenir l’eau, ce qui lui donne l’apparence de gonflement disgracieux. Dans le temps, l’eau a zéro calories, pas de glucides, et à peu, le cas échéant, le montant de sodium. Comme si cela ne suffisait pas, il aide également à faire disparaître l’excès de liquide dans le corps et augmente le métabolisme du corps.
Ceux qui trouvent ça ennuyeux à boire seulement de l’eau pendant une grande partie de la journée, vous pouvez ajouter des tranches de citron ou des feuilles de menthe pour la boisson.
2. Couper le pain blanc et les pâtes
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Découper tous les aliments de grains, riz blanc, blanc spaghetti, et une baguette de pain, vous aider à perdre du poids en raison de la simple hydrates de carbone présents dans la composition de ces aliments apporter des ballonnements dans le corps, surtout dans la région de l’estomac.
Dr Jana Klauer explique pourquoi cela est vrai: les glucides sont digérés très rapidement, et cela ne laisse qu’une personne a faim, et plus enclin à trop manger plus tard sur.
Voir aussi:
Une option serait de remplacer la nourriture pour plus tard sains, fabriqués à partir de grains entiers, mais ils peuvent également provoquer un gonflement du corps. Pour cette raison, il est d’être un peu plus dramatique, et de les remplacer par des légumes pour la semaine.
Tourner un sandwich au poulet dans une salade de poulet et d’échanger les aliments frits pour un bâton à la carotte, par exemple). Les glucides complexes présents dans les légumes prennent plus de temps à être digérés et laissez votre corps satisfait pour un temps plus long. Et la façon dont ils sont composés, en partie, par l’eau, et de l’aider à se débarrasser de l’excès de liquide dans le corps.
3. Faire des exercices cardio pendant 30 minutes par jour
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Exercice accélère le cœur, vous aide à brûler des calories. Mais, si vous choisissez une séance d’entraînement aérobie qui va travailler plusieurs muscles dans le corps, tandis que dans le même temps, l’activité peut être encore plus efficace, selon un entraîneur personnel, Wendy Larkin.
Parmi les options proposées est pour le spinning, le kick boxing aérobic, fitness, militaire boot camp). Une demi-heure brûle environ 200 à 300 calories alors que dans le même temps, tonifier les bras, les jambes et les muscles du haut du corps.
Un autre morceau de conseils de formateurs est de passer la session courte et intense, des exercices d’aérobie avec plus de poids et de passer encore plus de calories.
4. Boire du café une heure avant l’entraînement
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L’exception à la règle, je prends beaucoup d’eau tout au long de la journée est de boire une tasse de café une heure avant le début de la formation. Ainsi que de boissons vous aide à vous sentir plus vivant et être plus productif au travail, prendre une tasse de café, peu de temps avant vous donnera plus d’énergie pour faire les exercices.
“Vous êtes susceptible de brûler plus de calories sans s’en rendre compte que vous avez du mal le plus,” dit-il de la Dra. Jane Klauer.
5. Sexe
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Pas que vous avez besoin de trouver une excuse pour avoir une relation intime de la nuit en tant que mari et femme, ce que nous avons ici est juste une incitation à faire plus, surtout si vous êtes au moment de la relation. C’est que cela vous permet de déplacer plus pendant les rapports sexuels, et de disposer d’environ 144 calories en 30 minutes.
Ce n’est pas à dire que l’activité sexuelle augmente les niveaux de neurotransmetteurs, la bonne, et la production d’endorphines, qui aident à soulager ces désirs, rempli d’un amour de la nourriture.
6. Faire 36 push-ups ou les fentes tous les autres jours
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Le fait de plier le bras, et fend – l’exercice dans lequel le genou va au sol, et travaillées sur l’intérieur des cuisses, également appelé l’évier – il permet de sculpter les muscles. L’astuce est de le faire en trois sessions de 12 répétitions de chaque exercice, tous les autres jours.
L’entraîneur Wendy Larkin a expliqué que, bien que push-ups travailler les muscles de la partie supérieure, et les fentes de toucher les fesses, les hanches et les cuisses.
Une façon d’améliorer le tonus des muscles pendant le push-up est de faire en sorte que votre dos et vos jambes sont retinhas au cours de l’année. Sur l’avant, est-il possible de continuer à construire plus de muscles, maintenez haltères dans chaque main que vous effectuez le mouvement.
7. Dormir pendant une demi-heure tout au plus
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Il n’a pas d’importance si vous avez l’habitude de dormir cinq à huit heures par nuit, une demi-heure de plus de sommeil peut vous rendre plus énergique et vous empêcher de faire le mauvais choix de la nourriture, comment faire une tasse de café dans la matinée, rapide et riche en fonctionnalités, ce n’est pas toujours mieux d’avoir plus d’énergie et vous serez de plus de sommeil, et avec un désir de tuer cette classe de l’académie, qui vous ont été convenus avant le travail, comme il est averti d’un diététicien Esther Blum.
En plus de cela, c’est une bonne nuit de sommeil va vous aider à améliorer votre métabolisme pendant que vous dormez, la construction de l’muscles de votre corps.
8. Pour faire un sacrifice pour la nourriture
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La cour, au moins l’une de ces collations que vous savez que vous ne travaillez pas à perdre du poids, mais vous ne pouvez pas sortir. Il est peut-être la collation que vous mangez dans le milieu du travail, et le sweet relish sur le chemin de la maison, ou le gâteau au chocolat que vous avez pour le dessert après le dîner. Dans une semaine, les calories, moins ils vont certainement faire une différence dans votre corps.
9. Pas sûr de ce que la caméra vous engorde
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Il ne peut pas vous donner les effets de réel poids, mais il vous aidera à faire mieux dans les images. Lorsque vous êtes en posant pour la caméra, mettez votre menton en avant, maintenez vos bras loin de votre corps, et est légèrement sur le côté de la machine, avec un pied devant l’autre.
10. Manger du saumon pour le déjeuner
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Bourré d’ingrédients qui aident à tonifier les muscles et de faire la peau un aspect plus sain et brillant, et le saumon est un grand plat pour le déjeuner. Certains nutritionnistes affirment même que la consommation d’une portion de poisson et de faire face à deviennent instantanément plus profilée, sans égard à la manière dont la nourriture est préparée.
11. Garder votre corps droit
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Il suit la même ligne de sujet dans le 9ème et donne un peu plus mince. Une position droite, en laissant la colonne vertébrale rigide et vos épaules vers le bas, tandis que dans le même temps, le ventre plat vous donne un look plus mince du corps.
12. Faire des squats et des sit-ups
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C’est la technique qui est utilisée pour l’automobile de bâtiment de corps, avant de s’affronter l’un contre l’autre pour rendre les muscles plus définis. Les trois sessions de 12 répétitions de chaque et chaque un de ces exercices qui font le bas de l’abdomen, les fesses et les jambes à cet effet.
Heureux pour vous d’essayer de suivre certains de ces conseils pour une semaine. Pour quelqu’un qui est dans le besoin de quelque chose avec un sens de l’urgence, sans causer de dommage à la santé, c’est un grand débouché. S’il vous plaît commentaire ci-dessous!
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livreslusdepuisjuillet · 4 years ago
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« D’où il résulte que la critique de « l’américanisme » quand elle n’est pas au service d’une simple défense, légitime par ailleurs, d’une part de marché menacée, n’est que le signe d’une incapacité à saisir critiquement nos propres réalités européennes »
Souvent, un élève me déclare : « Oh non, Madame, pas les guerres mondiales… on connaît déjà… on a déjà fait ». Plus tôt dans mes études, peut-être qu’une telle pensée m’a traversée. D’accord, j’ignore des pans entiers de l’Histoire mais le XXe siècle, je connais déjà, j’ai déjà fait. Weimar, c’est la république allemande de l’entre-deux-guerres. Buchenwald, c’est le camp de concentration nazi le plus connu (à distinguer des camps d’extermination). Comme Antelme et Levi, Jorge Semprún est un écrivain de l’expérience concentrationnaire. Sa captivité s’est déroulée au même endroit que celle de Maurice Halbwachs, professeur de sociologie au Collège de France, et de Léon Blum, dirigeant du Front Populaire.
Ces apparents repères ne sont pas faux mais ils n’ont pas d’intérêt s’ils persistent tel quel, sans être de temps à autre revivifiés par la lecture d’un essai comme Mal et modernité. Ce qu’il importe de savoir se situe au-delà de la capacité à donner une définition. Buchenwald fut installé à la place d’un bois où Goethe venait se promener un siècle plus tôt, habitant de la belle et classique Weimar. À Buchenwald, Léon Blum ne résidait pas dans le camp : il était interné dans une petite maison individuelle, ignorant tout des autres milliers de prisonniers parqués à quelques centaines de mètres de lui. Semprún n’avait que 22 ans quand il allait rendre visite tous les dimanches à Halbwachs et à son collègue du Collège de France Henri Maspero. Il ne dit ni n’écrivit rien à propos de sa captivité pendant des dizaines d’années, essayant de survivre à ses souvenirs en militant puis en rédigeant des scénarios de films. Ce n’est que dans les dernières décennies de sa vie qu’il put raconter Buchenwald et y retourner. C’est ce processus qu’il décrit à l’occasion dans les deux conférences des années 1990 ici éditées et qui donne toute sa force à l’idée de l’Europe dont il est le porteur. Dans la bouche d’une telle vie, jamais la défense de la mémoire et de la démocratie ne se fossilise pour devenir un lieu commun.
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memoire2cite · 4 years ago
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63 ¤¤ CLERMONT FERRAND 1968 - vue de viaduc - Au fond, la cité Muraille de Chine un village horyzontal voué à la démolition en 2023 ¤¤ De son vrai nom Résidence Henry-Andraud, Georges Bovet, l'architecte en chef du grand ensemble.. la Muraille de Chine fait partie du paysage dans le quartier Saint-Jacques à Clermont-Ferrand. Cet imposant immeuble est susceptible de disparaître dans les années à venir, suite à un plan de rénovation urbaine. Retour sur l'histoire de ce bâtiment où vivent près de 900 personnes. Long de 320 mètres, le bâtiment surnommé la Muraille de Chine compte 8 étages et 354 logements sociaux. Visible à des kilomètres, elle surplombe le quartier Saint-Jacques depuis 1961. Cependant, les jours de cette barre d'immeuble sont comptés. Même si rien ne devrait bouger avant 2020, une démolition de l'ensemble de la bâtisse est envisagée dans le cadre du plan de rénovation urbaine de la ville. • 1957 : l'année du projet C'est à la fin des année 50, et plus précisément en 1957, que les premières études débutent pour le bâtiment 101 de l'Office public HLM dans la capitale auvergnate, connu pour les Clermontois sous le nom de Muraille de Chine. • 1961 : l'année où les premiers locataires arrivent Les travaux durent plusieurs mois. Rapidement après la fin de la construction, les locataires posent leurs valises dans l'une des premières Zup (Zone à urbaniser en priorité). • 1967 : la Muraille est reliée au centre-ville Après quatre ans de travaux, le viaduc est mis en service en 1967. Il permet enfin aux habitants du quartier Saint-Jacques de se rapprocher du centre-ville. Ce viaduc est officiellement inauguré deux ans plus tard. • 1980 : un coup de neuf sur la façade et des panneaux solaires Vingt ans après sa construction, la Muraille de Chine subit un ravalement de façade. L'Office public HLM lance une opération de peinture sur la façade nord de l'édifice. Résultat : des bandes horizontales habilleront les murs. 411 mètres carrés de panneaux solaires ont été installés sur le toit de l'immeuble et permettent de produire de l'eau chaude. Ainsi, en deux décennies, ils ont produit 40 % de la consommation annuelle des locataires et permis de réaliser une économie de 65 tonnes de CO2 par an. En 2007, de nouvelles installations solaires thermiques sont installées. • 1991 : opération de réhabilitation D'importants travaux sont entrepris à tous les niveaux : sanitaire, réfection des salles d'eau et WC, électricité, mis aux normes des ascenseurs, réaménagement des parkings, des halls d'entrée et des aires de jeux, pour un investissement moyen de 54.839 francs par logement. • 2006 : l'arrivée du tramway Quarante ans après la construction du viaduc, un autre équipement vient faciliter la vie des habitants de la Muraille : le tramway. Avec un arrêt, au pied de leur logement, ils peuvent davantage se déplacer en transport en commun. • 2016 : la décision de la démolition Le maire de Clermont-Ferrand, Olivier Bianchi annonce la prochaine démolition du bâtiment vers 2023, dans le cadre du plan de rénovation urbaine. La Muraille de Chine ou des souvenirs en béton La Muraille de Chine va tirer sa révérence. Avec elle, c’est un tout un pan de l’histoire sociale de Clermont qui s’efface. La cité HLM laissera le souvenir aux habitants de ce "petit village" regroupé en quelques 350 appartements. Nicole Dumas, l'une des premières habitantes, témoigne d'une certaine nostalgie... La Muraille de Chine, ainsi que l’immeuble perpendiculaire situé à son bout, allée des Dômes, le “14 étages” côté avenue Léon Blum, vont disparaître après 60 ans de sociaux services. Les travaux de démolition débuteront en 2020 pour s’achever en 2022. Trois ou quatre petites résidences seront bâties en lieu et place, côté est. Le reste sera aménagé en parc, de la rue du Pont Saint-Jacques en montant jusqu’à la rue des Plats. Quant à la crèche, elle sera transférée dans le nouveau Pôle Enfance planifié dans le cadre du plan ANRU 2 à la place de l’école Jean Jaurès, elle-même reconstruite. Bref, un grand chambardement qui ne laisse pas insensible les habitants initiaux de l’ensemble. Dans les sixties C’est au tout début des années 60 que s’installent les premiers locataires, rue Henry Andraud. Les parents de Nicole Dumas sont concierges au n° 16, à partir de 1966. Ils sont cinq à vivre dans un F3 exigu. Le père de famille disparaît en 1978. Sa mère déménage, alors, du 16 au 6. Elle y travaille en compagnie d’une autre dame jusqu’à sa retraite en 86. Dans les années 60, en effet, les concierges fonctionnaient encore en binôme. Le mari et la femme généralement. Il en faut toujours un dans l’appartement pour répondre aux sonneries d’ascenseur et au téléphone (le mobile n’existe pas) qui est toujours relié par un fil à une fiche encastrée dans le mur. Au concierge de prévenir les pompiers, les services techniques ou la société en charge de l’entretien des ascenseurs. La singularité des ascenseurs de la Muraille est de s’arrêter entre les étages. Le premier arrêt étant situé entre le 3ème et le 4ème. Ce qui rend difficile voire impossible l’accès aux personnes à mobilité réduite. Nicole quitte la Muraille en 1978. Pour mieux y revenir… « Quand on a vécu à Saint-Jacques, on a qu’une hâte, c’est d’y retourner. C’est ce que j’ai fait après avoir divorcé. » “La Muraille, c’était le luxe” Dans les premières années, on trouve beaucoup d’hospitaliers et de personnels de l’AIA (Atelier Industriel de l’Aéronautique) parmi les locataires. Des foyers avec de bonnes situations pour l’époque qui font vivre les nombreux commerces du plateau Saint-Jacques. Pour faire les “grosses courses”, les résidents se rendent au Casino des Salins en empruntant les “tortillons” derrière la Muraille, avant que ne soit construit le viaduc en 1967. Une population principalement européenne y cohabite, des Portugais, des Espagnols, des Italiens. « On venait presque tous de la campagne pour travailler en ville. Pour nous, la Muraille, c’était le luxe. À la campagne, on n’avait ni salle de bain, ni ascenseur. C’était très confortable pour l’époque. On vivait vraiment en communauté, c’était un petit village. » La disparition de la Muraille est un pincement au cœur pour Nicole qui conclue par un nostalgique « ça va dénaturer le quartier. » https://www.youtube.com/watch?v=qowrXkkf1-s Sur le plateau en construction, les premières études pour l’édification de la « muraille » (datent de 1957) @ La muraille de Chine, un des secrets de Clermont Ferrand @ Sur le plateau en construction, les premières études pour l’édification de la « muraille » (datent de 1957) Saint-Jacques a une histoire qui garde la trace visible de ses plus grands moments. Ses édifices marquent le paysage urbain clermontois depuis les années 1950 ! La première des opérations urbanistiques, voire architecturales, significatives à Clermont-Ferrand fut sans doute la construction de la Muraille de Chine. Le plateau Saint-Jacques devint alors le quartier-phare de la cité clermontoise, que la muraille dominait de ses huit étages sur 320 mètres de long! Ce qui engendra la « controverse de Saint-Jacques »: comme si la muraille voulait supplanter l'autre élévation sur laquelle s'était érigée la cathédrale. Muraille et cathédrale semblaient se défier. Comme si deux mondes, l'ancien et le moderne s'affrontaient. Son histoire remonte à 1957, année à laquelle les premières études furent effectuées. C'est en 1961 que la construction démarra. Aujourd'hui, elle s'étend sur la rue Henry-Andraud, du numéro 2 au numéro 28, et compte 14 cages d'escalier qui permettent aux résidents des 354 logements d'accéder à leur appartement. Elle abrite en majorité une population jeune (52 %) et des foyers monoparentaux. En général, beaucoup de ses habitants sont en situation de précarité. Cela dit, bâtie sur un éperon rocheux, au-dessus du quartier de la Rotonde (bien connu des étudiants en droit), la plupart des logements de la « muraille » bénéficient d'une belle ouverture sur la ville. Les commerces alentour y sont nombreux. La proximité des résidences universitaires, du CHU Gabriel-Montpied (conçu à partir de la fin des années soixante), de la faculté de médecine et de pharmacies, lui confère, ainsi qu'aux autres résidences publiques ou privées (*), une belle animation. Au cours des années, la « muraille », surnommée ainsi par dérision, a connu des améliorations. Et, aujourd'hui, elle doit faire face à des restaurations et aménagements indispensables pour être conforme aux normes contemporaines. À Logidôme, gestionnaire de résidences sociales, la réflexion est entamée…Le viaduc en direct @ Un mot encore sur le viaduc Saint-Jacques. Construit entre janvier 1964 et juin 1967, il a remplacé avantageusement le chemin de Saint-Jacques. Actuellement en cours de rénovation, l'édifice est devenu incontournable avec ses 500 mètres de long, 18 mètres de large et 27 mètres de haut à son maximum. Avec une pente de 6 %, il est posé sur 12 portiques. Il a permis de relier rapidement le plateau au centre-ville. Et par cette voie, le tramway rapproche encore le plateau et Jaude (en 5 ou 6 minutes). (*) Il existe encore beaucoup de maisons individuelles, résurgence du temps des cités Michelin, et quelques autres bâtiments publics de l'époque. https://www.lamontagne.fr/.../la-muraille-de-chine-un.../ @ LE VIADUC établi la jonction entre le centre-ville de Clermont-Ferrand et un quartier populaire devenu haut lieu universitaire, médical et hospitalier. Son initiateur, Gabriel Montpied avait même, vu encore plus grand ! Menant campagne pour accomplir un quatrième mandat municipal, en 1964, Gabriel Montpied, l’inamovible maire de Clermont depuis la Libération, avait annoncé à ses concitoyens-électeurs la construction du viaduc Saint-Jacques. Au-delà de la stratégie politicienne, un projet d’aménagement plus pratique qu’esthétique doublé d’une forte charge symbolique puisque reliant deux rives, presque deux mondes : le centre-ville et un nouveau quartier populaire de 15.000 habitants. Une ZUP (acronyme de zone à urbaniser en priorité) pour atténuer la crise du logement aggravée par le rapatriement des pieds-noirs d’Algérie. Autoroute aérienne @ Inscrivant ce projet dans un vaste plan de circulation urbaine (l’époque était au tout automobile !), Montpied avait même vu encore plus grand : il ambitionnait que soit percé en complément deux artères souterraines, l’une sous la place Delille entre le boulevard Trudaine et les Carmes ; l’autre au pied du jardin Lecoq pour déboucher place Gaillard. Du monumental, pour ne pas dire de la démesure… Le bâtisseur du Clermont moderne remporta les élections dès le premier tour avec 66 % des suffrages malgré la présence de cinq listes concurrentes. Le viaduc et ses prolongements un soupçon mégalo y furent-ils pour beaucoup ? Si les deux voies souterraines restèrent dans les cartons eu égard à leur coût et à la complexité des chantiers, le pont-viaduc fut édifié en moins de trois ans, de 1964 à 1967. 430 m de long et 27 m de haut à son sommet L’imposant ouvrage s’appuie sur douze portiques, de 430 m de long et 18 m de large, de 27 m de haut à son point culminant pour se profiler sur une pente de 6 %. Sorte d’autoroute aérienne éventrant la ville, doutons qu’il s’intègre sans déparer dans le paysage urbain clermontois. À l’image de la Muraille de Chine, l’esthétique n’a jamais été une préoccupation première chez nos bâtisseurs politiques locaux… 21.000 véhicules chaque jour Au fil du temps, corollaire du développement du CHU et du campus des Cézeaux, le viaduc a vu son trafic s’intensifier : il est aujourd’hui emprunté par plus de 21.000 véhicules chaque jour, contre moins de 15.000 à sa mise en service. En s’ouvrant en 2007 au tram et à ses 70.000 voyageurs/jour, il a dû subir neuf ans plus tard de lourds travaux d’étanchéité et de renforcement pour 8,4 millions d’euros. Le prix de son utilité. https://www.lamontagne.fr/.../ce-23-juin-le-viaduc-saint.../ De son vrai nom Résidence Henry-Andraud, cette barre d’immeuble, située dans un quartier prioritaire du Sud de Clermont-Ferrand, est surnommée « Muraille de Chine » par les habitants en raison de ses dimensions : 320m de long pour 8 étages et 354 appartements, soit l’une des plus grandes barres d’immeubles de France. Composée à 100% de logements sociaux, elle offre aux 550 familles qui y vivent actuellement (dont certaines depuis plus de 40 ans) des loyers parmi les moins chers de la ville et une vue imprenable sur le Puy-de-Dôme et le centre-ville. Elle a été construite en 1961 à l’époque des grands ensembles. Ce terme désigne les ensembles de logements collectifs construits entre le milieu de années 1950 et le milieu des années 1970, marqués par un urbanisme de barres et de tours. Elle a permis d’accueillir de nombreuses familles d’ouvriers et d’employés qu’il fallait loger rapidement en raison de l’essor de Michelin notamment. Mais aujourd’hui, la Muraille ne répond plus aux attentes des habitants à cause de surfaces trop petites, des appartements mal conçus et mal isolés thermiquement et phonétiquement. Afin de pallier cette situation, l’agglomération Clermont Communauté a étudié 3 solutions : La première consiste à simplement réhabiliter les logements, mais elle n’améliore pas l’organisation ni la taille des appartements et ne règle pas la question de la non-attractivité de ces logements. La deuxième solution est d’entreprendre une restructuration lourde des bâtiments mais les études menées à cette occasion montrent que les structures ne le supporteraient pas. Dernière solution : la déconstruction. C’est cette solution que l’Agglomération et la Ville ont choisi, comme l’a annoncé le maire Olivier Bianchi au cours d’une réunion publique avec les habitants du quartier. Pour l’Agglomération, démolir la Muraille de Chine permettra d’accueillir un habitat nouveau adapté aux besoins des ménages, de construire un quartier plus aéré et de répondre aux nouvelles attentes écologiques. Cette solution permet aussi de bénéficier des financements de l’Agence National pour la Rénovation Urbaine (ANRU) car elle a été retenue parmi les 200 « quartiers d’intérêt national » par l’ANRU dans le Nouveau Programme National de Renouvellement Urbain (NPNRU). La Loi de programmation pour la ville et la cohésion urbaine, votée en février dernier, pose le cadre et fixe les objectifs et les moyens du NPNRU. Un investissement de 5 milliards d’euros de l’ANRU, financé avec le concours d’Action Logement, sera ainsi réparti comme suit : 83% pour les sites d’intérêt national et 17% pour les sites d’intérêt régional, dans le cadre des Contrats de plan Etat-région (CPER). Carte des quartiers d'intérêt national Cette déconstruction ne devrait démarrer qu’à partir de 2021 car il faut d’abord reloger toutes les familles. Cela représente 900 habitants étant donné qu’il y aussi l’immeuble de l’Allée des Dômes situé à proximité qui va être démoli. Le processus de relogement débutera en 2017-2018, après acceptation définitive de proposition de démolition par l’ANRU le 8 Décembre 2016. En revanche, à l’heure actuelle, même si l’on sait que la démolition devrait laisser place à de nouveaux logements, « le projet urbain n���était pas encore connu » a précisé le maire. Sources : http://www.leparisien.fr/.../clermont-ferrand-la-muraille... http://www.europe1.fr/.../urbanisme-clermont-ferrand-va... https://www.francebleu.fr/.../la-muraille-de-chine-de... https://www.cyberbougnat.net/.../demolition-muraille-de... https://lafautealecorbusier.wordpress.com/.../les-grands.../ http://www.anru.fr/.../Nouveau-programme-national-de... https://www.geocaching.com/.../GC64R3G_point-de-vue-sur... https://patrimoine.auvergnerhonealpes.fr/.../9f1ad824... La maquette du Secteur industrialisé sur laquelle apparaît pour la première fois la barre de grande longueur qui sera baptisée Muraille de Chine date de 1955. Le bâtiment 101 de la première tranche de construction du Secteur industrialisé a fait l'objet de plans datés du 15 septembre 1957. Il s'agit de la Muraille. Le 29 juillet 1958, le permis de construire est délivré. Le grand ensemble fait l'objet d'un premier concours d'entreprises. Le 26 janvier 1959, le maître d'ouvrage, l'Office municipal d'habitation à loyer modéré, soumet le procès-verbal du jury de concours, daté du 15 octobre 1958, à l'approbation du préfet. A partir de la date fixée par ordre de service, le délai d'exécution était de 24 mois. 32 entreprises ont été présentes sur le chantier. L'ensemble des immeubles ont fait l'objet de travaux postérieurement à ces dates. Une réhabilitation intérieure a notamment concerné la Muraille de Chine en 1991. Après que ses habitants auront été relogés, la Muraille devrait être démolie dans les années 2020. Afficher le détail de l'historique Description Le bâtiment 101 de la première tranche du Secteur industrialisé se présente comme une barre légèrement coudée, épousant le rebord du plateau Saint-Jacques, longue de 320 mètres en tout. Elle est constituée d'un même bloc de 8 étages (R+8, sur premier sous-sol et second sous-sol partiel), haut de 30 mètres, couvert en terrasse, répété 14 fois. C'est ainsi que 14 escaliers la desservent et 14 ascenseurs (dont les machineries apparaissent en surélévation sur la terrasse). Un mur de refend longitudinal la divise en deux parties. La structure est du type poteaux/poutres, dont la trame est ignorée en façade. La barre se décompose en 354 logements (16 F1, 102 F2, 118 F3, 102 F4 et 16 F5). Des passages en rez-de-chaussée permettent de traverser la barre à intervalles réguliers. Les vestibules d'entrée sont ouverts sur l'extérieur, formant des espaces semi-publics. La porte d'entrée franchie, on se trouve directement dans la cage d'escalier. Le procédé d'exécution Costamagna n'est pas indiqué dans le cahier des prescriptions techniques, ni dans le dossier d'exécution, mais dans un document de l'agence de Georges Bovet (conservé au Centre des archives de l'architecture du XXe siècle). En revanche dans le dossier d'exécution, on trouve mentions de : ciment artificiel, chaux, sable, agglos creux de pouzzolane, agglos pleins et briques de cloisons. Il est précisé que les claustras seront exécutées en béton vibré, préfabriqué et ajouré, les appuis de coisées en béton moulé, les agglos seront utilisés pour les murs de cages d'escaliers et d'ascenseurs ; le béton armé, logiquement, sera coulé en fouilles, coulé entre banches pour les poutres, les voiles, les poteaux, les dalles et les dalles de balcons. Il y est spécifié que les briques seront "courantes du type NFP 13301, toutefois les architectes pourront accepter des briques d'autres dimensions correspondant aux fabrications régionales". Ces briques renvoient au procédé Costamagna qui consiste à monter une âme en briques creuses entre deux parois de béton. Masquer le détail de la description Murs béton béton armé enduit brique appareil mixte béton parpaing de béton Toit bitume Plans plan rectangulaire régulier Étages 2 étages de sous-sol, rez-de-chaussée surélevé, 8 étages carrés Couvrements béton en couvrement Élévations extérieures élévation ordonnancée Couvertures terrasse Escaliers escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour suspendu Autres organes de circulations ascenseur Mesures l : 320.0 m Précision dimensions Il s'agit de la longueur totale de la barre qui est divisée en quatorze blocs accolés. Statut, intérêt et protection Barre d'un grand ensemble d'une longueur remarquable conjuguée à une implantation sur une hauteur dominant la ville de Clermont-Ferrand, faisant de cette barre un repère et un emblème. Destinée à la démolition. Statut de la propriété propriété d'un établissement public communal, Propriété de l'Office municipal des habitations à loyer modéré, à l'origine. Propriété d'un bailleur social, Assemblia, en 2020. Documentation Références documentaires Documents d'archives Archives départementales du Puy-de-Dôme. 328 W 95-103. Office municipal d'habitation à loyer modéré de Clermont-Ferrand. Dossiers techniques (1957-1960). Plans d'ensemble, plans des blocs, dossier des marchés, travaux préliminaires, menuiserie, plomberie, voirie, réseaux. 328 W 96. Concerne le bâtiment 101 (Muraille de Chine) : série de plans, coupes et façades datés du 15 sept. 1957 ; portant les noms de Georges Bovet (architecte en chef), G. Lescher et Marquet (architectes d'opération) ; approuvés par le secrétaire général de préfecture, pour le préfet, Pierre Servais, le 24 février 1959. AD Puy-de-Dôme : 328 W 95-103 Dessornes, Maud, Dias, Céline. La muraille de Chine. Sédimentation des grands ensembles de la ville. Ecole normale supérieure d'architecture de Versailles. 03/17/2773. Ecole nationale supérieure d'architecture de Versailles : 03/17/2773 Liens web Fonds Georges Bovet. Voir moins— avec Colline Dolly Pengle Keums et 3 autres personnes.
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kechdesign · 4 years ago
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