#Lune du chêne
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Pleine Lune Décembre 2024
La pleine lune de décembre 2024 vous intéresse et vous souhaitez en savoir plus sur son influences ainsi que ses significations ésotériques. Que vous ayez un intérêt prononcé pour l’astrologie ou que vous soyez simplement curieux de la nature et de la spiritualité, cette lune ne passera pas inaperçue. Dans ce contenu, nous vous révélerons la date de cette pleine lune, le signe astrologique qui…
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Un peu de musique - Victor Hugo
Écoutez ! — Comme un nid qui murmure invisible, Un bruit confus s’approche, et des rires, des voix, Des pas, sortent du fond vertigineux des bois. Et voici qu’à travers la grande forêt brune Qu’emplit la rêverie immense de la lune, On entend frissonner et vibrer mollement, Communiquant aux bois son doux frémissement, La guitare des monts d’Inspruck, reconnaissable Au grelot de son manche où sonne un grain de sable ; Il s’y mêle la voix d’un homme, et ce frisson Prend un sens et devient une vague chanson : « Si tu veux, faisons un rêve : Montons sur deux palefrois ; Tu m’emmènes, je t’enlève. L’oiseau chante dans les bois.
« Je suis ton maître et ta proie ; Partons, c’est la fin du jour ; Mon cheval sera la joie, Ton cheval sera l’amour. « Nous ferons toucher leurs têtes ; Les voyages sont aisés ; Nous donnerons à ces bêtes Une avoine de baisers. « Viens ! nos doux chevaux mensonges Frappent du pied tous les deux, Le mien au fond de mes songes, Et le tien au fond des cieux. « Un bagage est nécessaire ; Nous emporterons nos vœux, Nos bonheurs, notre misère, Et la fleur de tes cheveux. « Viens, le soir brunit les chênes ; Le moineau rit ; ce moqueur Entend le doux bruit des chaînes Que tu m’as mises au cœur.
« Ce ne sera point ma faute Si les forêts et les monts, En nous voyant côte à côte, Ne murmurent pas : « Aimons ! » « Viens, sois tendre, je suis ivre. Ô les verts taillis mouillés ! Ton souffle te fera suivre Des papillons réveillés. « L’envieux oiseau nocturne, Triste, ouvrira son œil rond ; Les nymphes, penchant leur urne, Dans les grottes souriront ; « Et diront : « Sommes-nous folles ! « C’est Léandre avec Héro ; « En écoutant leurs paroles « Nous laissons tomber notre eau. » « Allons-nous-en par l’Autriche ! Nous aurons l’aube à nos fronts ; Je serai grand, et toi riche, Puisque nous nous aimerons. « Allons-nous-en par la terre, Sur nos deux chevaux charmants, Dans l’azur, dans le mystère, Dans les éblouissements ! « Nous entrerons à l’auberge, Et nous paîrons l’hôtelier De ton sourire de vierge, De mon bonjour d’écolier. « Tu seras dame, et moi comte ; Viens, mon cœur s’épanouit ; Viens, nous conterons ce conte Aux étoiles de la nuit. » La mélodie encor quelques instants se traîne Sous les arbres bleuis par la lune sereine, Puis tremble, puis expire, et la voix qui chantait S’éteint comme un oiseau se pose ; tout se tait.
19ème siècle, Poèmes, Victor Hugo
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Dans l'interminable ennui de la plaine
Dans l’interminable Ennui de la plaine La neige incertaine Luit comme du sable.
Le ciel est de cuivre Sans lueur aucune. On croirait voir vivre Et mourir la lune.
Comme des nuées Flottent gris les chênes Des forêts prochaines Parmi les buées.
Le ciel est de cuivre Sans lueur aucune On croirait voir vivre Et mourir la lune.
Corneille poussive Et vous, les loups maigres, Par ces bises aigres Quoi donc vous arrive ?
Dans l’interminable Ennui de la plaine La neige incertaine Luit comme du sable.
Paul Verlaine, Romances sans paroles, 1874
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Jeudi à dimanche matin (rattrapage)
Séjour de rêve dans la jolie maison en bois de mes amis J et A, dont les baies vitrées sont grandes ouvertes sur le Parc naturel régional du Luberon, sur les villages perchées que dore le soleil couchant, sur le ciel toujours changeant animé par le mistral et où on voit se lever la lune. Heures très douces en bonne compagnie, dans un paysage boisé où les oliviers se mêlent aux champs de lavande, aux vignobles, aux chênes et cerisiers. Et de belles balades, enrichies de visites variées : distillerie de lavande des Agnels à Apt, village de Saignon, superbe domaine vinicole du château de Mille, où sont en outre présentées expositions et créations artistiques, comme cette aérienne "graVitéO" de Michèle Trotta, pont Julien, antique ouvrage romain enjambant une rivière sèche. Grâce à nos amis, nous avons aussi pu rencontrer le photographe-plasticien Alfons Alt dans son atelier de Bonnieux qui offre une vue panoramique sur le mont Ventoux. Il nous a montré ses gammes de pigments et a feuilleté pour nous les magnifiques ouvrages photographiques consacrés à son ami Bartabas et au cirque Zingaro. Bref, une petite poignée de jours inoubliables à travers le plus aimable des pays. Il y a bien sûr les people, artistes, écrivains et hommes d'affaires dont les Porsche, Ferrari et autres Aston Martin, se montrent près des lieux à la mode, mais disparaissent vite derrière les murs de pierres de propriétés disséminées et discrètement noyées dans la nature.
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✨ HOT FAE SUMMER HAS OFFICIALLY STARTED! ✨
— forum city low fantasy, 1 rp par mois, challenges d'écriture et paillettes rpgiques.
✨ ftf, en bref - ouvert depuis le 5 mars 2022. qu’il vente, qu’il pleuve, qu’il neige - on est là. on a eu des périodes fastes, des creux énormes, et on continue de mener la barque quoi qu’il arrive, que notre qeel affiche complet ou pas. - no discord(e) (lol) (vive l’humour) (bref) - forum city low fantasy, avec ce qu’il faut de touche fantastique pour pimenter le rp, résolument tourné vers le slice of life, enrichi et sublimé par l’imagination et la créativité de nos membres. don’t let the sparkles fool you! - un rythme tranquille, activité surtout en fin de semaine - au début, ça peut paraître déroutant mais juré, on s’y fait et c’est hyper reposant. 🫶 - 1 rp par mois, des joueur.eu.ses matures et bienveillant.e.s, ambiance chill et conviviale. viens parler jeux vidéo, livres ou séries entre deux rps!
✨ tu peux m’expliquer un peu les fées ? - sur ftf, tu peux incarner une fée (utilisé au féminin indépendamment du genre du perso, mais tu peux aussi utiliser fae), un.e bright (la progéniture d’une fée et d’un.e humain.e) ou un.e humain.e - les fées sont divisées en quatre maisons : l’Aurore (pouvoirs élémentaires, en rapport avec la nature, méfiantes envers les humains), le Crépuscule (pouvoirs psychiques, redoutées par leurs congénères fées, soi-disant victimes de malédictions en tous genres), la Comète (pouvoirs en rapport avec le temps et l’espace, à la réputation sulfureuse) et enfin, la Lune (pouvoirs liés au corps, épris.e.s de liberté). - chaque Maison possède ses us et coutumes, son tatouage féerique, sa pierre et son astre protecteur. les fées doivent aussi vivre près d’une source magique pour conserver leurs pouvoirs : à Dupree, il s’agit de Cabeswater, la rivière surplombée d’un chêne blanc dissimulé au creux de la forêt de Sherdale. - au creux de chaque source est dissimulé un Trésor, sur lequel les fées locales sont sensées veiller. à Dupree, pas de chance, ce Trésor a été découvert par des humains curieux et la ville est désormais prise d’assaut par tout un tas de chercheurs d’or et autres chasseurs de surnaturel...
✨ ça m’intéresse... mais je ne sais pas trop quoi jouer. des idées ? - une fée de la Lune virtuellement immortelle grâce à son pouvoir - un.e humain.e qui a tout plaqué pour enquêter sur Dupree et ses mystères, au grand dam de sa famille/ses amis/son love interest - un.e Bright qui découvre tout juste ses pouvoirs et aurait bien besoin d’un.e mentor fae - une fée de la Comète en cavale - un.e humain.e qui habite à Dupree depuis toujours et est au courant de l’existence des fées pour de mystérieuses (et sombres ?) raisons - VILLAINS CROOKS THIEVES AND BASTARDS (we need more faes using their powers for evil and looking hot doing it!!!!) - on a aussi des pré-liens et une zone d’aide à la création ! - wanted: personnages de tous genres, orientations, origines, etc <3 venez seul.e en groupe, ressuscitez ce perso qui vous manque à la sauce féerique, bref, venez comme vous êtesTM
✨ et cette version 7 alors ? au programme : nos célébrissimes events, des prompts d’écriture, un rythme de croisière tranquillou pour l’été, des NOUVEAUX BADGES et puis juste du love quoi <3 ah oui et si vous venez et que vous avez un otp/ship/etc etc, je fais des crackships aux kilomètres (ftf members only sorry not sorry c’est le jeu ma pauv’ lucette) http://follow-the-fairies.forumactif.com http://follow-the-fairies.forumactif.com http://follow-the-fairies.forumactif.com much love, cabeswater
#follow the fairies#rp francophone#rp français#forumactif#french rp#rpg écrit#bon vous venez ou bien ?
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Mon inspiration de la nuit
Sur les lisières de nos rêves
Quand l'illusion des jours s'achèvent,
Aux pas feutrés des brumes bleues
Les ombres griffonnent les cieux...
Se cachent des lueurs sauvages
Dans le dédale des branchages
D'un chêne sculpté par le temps...
Il vibre et frémit sous le vent !
Alors dans ces secrets du soir,
La magie d'un trop fol espoir
S'étale en nuances bleu nuit
Quand un trait de lune surgit...
La terre se vêt de velours,
Dans ses plis se love l'amour...
En silence, sous les étoiles
La fée des nuits a peint sa toile...
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Dans l'interminable Ennui de la plaine La neige incertaine Luit comme du sable Le ciel est de cuivre Sans lueur aucune On croirait voir vivre Et mourir la lune Comme les nuées Flottent gris les chênes Des forêts prochaines Parmi les buées Le ciel est de cuivre Sans lueur aucune On croirait voir vivre Et mourir la lune Corneille poussive Et vous, les loups maigres, Par ces bises aigres Quoi donc vous arrive ? Dans l'interminable Ennui de la plaine La neige incertaine Luit comme du sable.
Paul Verlaine, Romance sans parole
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Elijah est né en 976 dans un petit village d'Amérique connu aujourd'hui sous le nom de Mystic Falls. Il s'agit du troisième enfant et deuxième fils de Mikael et Esther, deux propriétaires norvégiens ayant quitté leur pays avec leur fils Finn après la "mort" de leur fille, Freya. En vérité, cette dernière avait été prise par Dahlia, la sœur d'Esther en tant que paiement pour le service qu'elle avait rendu à sa sœur. Elijah est ainsi le premier de sa fratrie à être né dans le Nouveau Monde et fut suivi par trois frères, Niklaus, Kol et Henrik ainsi qu'une sœur, Rebekah. La perte de Freya avait rendu Mikael sévère envers ses enfants, estimant que ces derniers devaient apprendre à survivre. Il était de ce fait craint par ses enfants, y compris Elijah. Durant leur vie d'humain, Elijah et Klaus étaient tous deux amoureux de Tatia, une descendante d'Amara. Même si elle était veuve et avait un enfant, beaucoup de villageois souhaitaient l'épouser. La famille vivait également aux côtés de loups-garous. Un soir de pleine lune, Niklaus et Henrik allèrent voir la transformation mais Henrik fut attaqué. Dans l'objectif de s'assurer que le reste de la famille survive, Esther utilisa un sort qui ferait de ses enfants des immortels. Après être devenus des vampires, la famille détruisit le chêne blanc, seule arme pouvant retirer leur immortalité. Toutefois, la nature rétablit un équilibre et de ce fait, pour chaque force, il y avait une faiblesse, aucune n'étant plus forte que le désir de ce qui les avait fait immortels : le sang humain. Ils devinrent ainsi les premiers vampires, connus sous le nom de Vampires Originels. Au 12ème siècle, il vécut un temps avec Alexander, un chasseur de vampire qui ignorait pendant un temps la véritable nature de ses compagnons. Mais un jour, Alexander planta une dague dans le coeur de Elijah, Rebekah et Klaus. Mais ce dernier étant à moitié loup-garou, la dague n'eu aucun effet sur lui, et il tua par vengeance Alexander et les 4 autres chasseurs mais il se retrouva hanté pendant plus de 50 ans par la malédiction des chasseurs. En 1492, Elijah tomba amoureux de Katerina Petrova mais cette dernière s'enfuit après avoir apprit que Klaus comptait la sacrifier pour briser le sortilège muselant son coté loup-garou. A la (pseudo) mort de Kol, tué par Klaus pour le garder près de lui, Elijah abandonna Klaus et Rebekah, convaincu que Klaus représentait un danger. A la(pseudo) mort de Rebekah, Elijah nourrit le désir de tuer son frère. Mais ne trouva pas d'occasion jusqu'à la découverte d'Elena. Bien qu'il soit âgé de plus de mille ans, Elijah est un très bel homme qui semble avoir été transformé vers l'âge de 23-24 ans. Il possède des cheveux court brun ainsi que des yeux noisette. Ses traits de visage sont anguleux : pommettes hautes, mâchoire forte et nez droit. En terme de visage, Elijah ressemble beaucoup à son frère cadet Kol. J'ai une préférence pour le jouer dans la série TVD uniquement, mais ne refuse pas dans TO pour autant, même si ça me plaît moins.
Joue avec : Katherine Pierce ; Elona Petrova
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COMMENT JÉSUS EST-IL LA LUMIÈRE DU MONDE ?
Il y a quelques semaines, je coupais du bois dans une petite parcelle de forêt à côté de notre maison et j'ai remarqué comment les arbres tendent vers le soleil : au centre, les arbres poussent plus haut et aux bords, de longues branches se tendent vers une force vivifiante. Je me suis alors souvenu qu’Ésaïe avait prédit les effets de la prédication du Christ :
L'Esprit du Seigneur Dieu est sur moi,
parce que le Seigneur m'a oint
pour apporter la bonne nouvelle aux pauvres. . .
afin qu'on les appelle chênes de justice,
l'implantation du Seigneur, afin qu'il soit glorifié. (Ésaïe 61:1, 3)
Dieu a donné naissance à la lumière en disant : « Que la lumière soit », et la lumière fut – une substance qui n'est ni une énergie pure ni une matière, qui reste néanmoins un mystère pour nous (Genèse 1 : 4). Dieu a également créé des porteurs de lumière : « Plus la lumière est grande pour gouverner le jour, plus la lumière est petite pour gouverner la nuit et les étoiles » (Genèse 1 : 16). La plus grande lumière – le soleil – est un réacteur à fusion nucléaire aux dimensions et à l’énergie stupéfiantes qui baigne la terre d’une puissance ahurissante. Nous oublions facilement cela - occupés et distraits par des choses de moindre gloire ou sans gloire du tout - jusqu'à ce que nous nous retrouvions à tâtons dans une nuit sombre, ou que nous aspirions à nouveau à l'allongement des sombres journées d'hiver en une vie printanière et une longue gloire d'été. La lumière est la vie.
Mais la lumière a également été créée pour représenter le salut. La colonne de feu était le salut pour Israël, mais l'Égypte vivait dans les ténèbres (Ex. 14 :20). Le chandelier brillait sur les douze pains, une scène expliquée par la bénédiction du Seigneur sur les tribus d’Israël : « Le Seigneur fait briller sa face sur vous » (Nombres 6 : 24-27). Le psalmiste s'est exclamé : « Le Seigneur est ma lumière et mon salut » (Ps. 27 : 1). À l’inverse, ce monde est ténèbres à cause du péché humain. La désobéissance signifie que l’homme naturel « tâtonnera à midi, comme l’aveugle tâtonne dans les ténèbres » (Deut. 28 :29). Mais le chemin du salut est éclairé par la Parole de Dieu, qui est une lampe à nos pieds et une lumière sur notre chemin (Ps. 119 : 105).
Le passage des ténèbres à la lumière est le salut, et ainsi, lorsque Jésus a dit : « Je suis la lumière du monde », il a revendiqué avec force à la fois une gloire éclatante et une puissance salvatrice (Jean 8 : 12).
Dans ce texte, Jésus affirme sa divinité. Il est l’éternel « Je Suis Qui Je Suis », le Créateur du soleil, de la lune et des étoiles (Exode 3 : 14). Il est l'initiateur et le modèle de la gloire de la lumière. Il est le Seigneur qui est lumière – comme l’a écrit Jean : « Dieu est lumière, et en lui il n’y a point de ténèbres » (1 Jean 1 : 5). Il est l'agent de la vie divine qui rayonne du Père, qui demeure dans la lumière et la gloire inaccessible. Jean 1 : 4-5 dit à propos de Jésus : « En lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes. La lumière brille dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont pas vaincue. » Ces déclarations ne sont intelligibles que lorsque nous considérons d’abord la gloire de la lumière naturelle (en particulier le soleil), puis que nous élevons nos cœurs vers la majesté du Père, du Fils et du Saint-Esprit. L’étoile la plus brillante – en fait toutes les étoiles – n’est que le plus petit indicateur du poids éternel de la gloire de notre Dieu.
Jésus est la seule source de vie spirituelle dans un monde rempli des ténèbres du péché.
Mais Jésus parlait aussi de son œuvre salvifique. Il est la seule source de vie spirituelle dans un monde rempli des ténèbres du péché. Malachie anticipait la venue du Messie comme « le soleil de justice [...] ». . . avec la guérison dans ses ailes » (Mal. 4 : 2). Le visage transfiguré de Jésus brillait comme le soleil (Matthieu 17 : 2). Paul considérait sa vision salvatrice de la gloire de Jésus-Christ comme étant plus brillante que le soleil (Actes 26 : 13). Jean voyait la gloire de Christ comme « le soleil qui brille dans toute sa force » (Apocalypse 1 : 16-20). Lorsque nous devenons chrétiens, c'est parce que « Dieu, qui a dit : « Que la lumière brille des ténèbres », a brillé dans nos cœurs pour donner la lumière de la connaissance de la gloire de Dieu devant Jésus-Christ » (2 Cor. . 4:6). La plus grande Lumière – le Fils – révèle notre état de péché par sa sainteté flamboyante, puis fait briller une puissance purificatrice et vivifiante dans les recoins les plus profonds de nos cœurs. Jésus brillait brillamment à la croix, plus brillamment devant le tombeau vide, et encore plus brillamment dans sa gloire exaltée. Son retour sera comme un éclair unique qui éclairera le monde. Toute cette lumière est offerte au monde dans l’Évangile et elle est reçue par une simple confiance en Jésus-Christ.
Lorsque nous faisons confiance à Jésus, un changement permanent se produit : « Celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais aura la lumière de la vie » (Jean 8 : 12). Comme le dit Paul : « Autrefois vous étiez ténèbres, mais maintenant vous êtes lumière dans le Seigneur », et nous vivons comme des lumières dans un monde de ténèbres (Éph. 5 : 8). Par notre union avec Christ, là où nous allons, sa lumière brille. Cela devrait nous réconforter, surtout lorsque le monde nous oppose. Cela devrait également nous encourager à prier pour que les hommes puissent voir nos bonnes œuvres, glorifier notre Père céleste et venir à la Lumière.
Plus encore, Jean dit que la vie du Christ est la lumière des hommes (Jean 1 : 4). Nous ne venons pas simplement à la Lumière et poursuivons notre chemin. Nous cherchons plutôt à ce que la gloire du ciel brille toujours plus sur nous. Nous avons vu une gloire au-delà du soleil levant ardent face à Celui qui la soutient, et maintenant notre faim est tournée vers la gloire magnifique et sans limites de Dieu. Et lorsque notre petit soleil se transformera en ténèbres et la lune en sang, ce sera le signal que nous sommes à l’aube de la vie dans la gloire absolue du Dieu trinitaire. Nos feuilles de chêne se tourneront pour recevoir la lumière de la vie, jaillissant toujours du trône au cœur d'une ville qui n'a besoin ni du soleil ni de la lune, car la gloire de Dieu l'éclaire (Apocalypse 21 : 23). Le Seigneur sera notre lumière et il régnera pour toujours et à jamais.
C’est tout cela que Jésus voulait dire lorsqu’il a dit : « Je suis la lumière du monde » (Jean 8 : 12).
- Peter VanDoodewaard
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Pleine Lune Décembre 2023
La pleine lune de décembre 2023 est imminente, et il est possible que vous souhaitiez en savoir plus sur ses influences sur votre vie et ses significations ésotériques. Que vous ayez un intérêt prononcé pour l’astrologie ou que vous soyez simplement curieux de la nature et de la spiritualité, cette lune ne passera pas inaperçue. Dans ce contenu, nous vous révélerons la date de cette pleine lune,…
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Sublimes défaites
J’ai vécu tant de choses qui ne m’appartiennent pas. Ou plutôt qui m’ont échappées, qui ne m’appartiennent plus. Qui ont glissées des mains de mon indolence. Dont on a étêté la substance. Oté la légèreté. Brisées, atrophiées et lourdes. De ces moments, de ce sang versé dans le vase du fil des jours, restent des souvenirs d’une pesanteur effroyable. Quand elles perlent à mon âme je ressens comme une déchirure, un abîme. Un vertige pointé vers le ciel. J’ai la sensation d’une mort imminente, d’un dédoublement de mon être, éclaté dans sa temporalité. Morcelé à travers les milliers de jours qui ont passé comme un train de fret d’un kilomètre de long.
Je me souviens de la poussière. La poussière du bush australien. Interminable. Ces routes en terre, qui ne se courbent pas pendant des kilomètres. Etourdissants mirages. Par plus de quarante degrés dans un vieux van Mitsubishi aménagé. Je me souviens d’aubes bleutées comme des nébuleuses, perchées sur les crêtes de l’horizon. Je me souviens du soleil surgissant de la mer tel un ange porte un nuage rose. Jaune profond, irradié. Je plonge nu dans le Pacifique, il n’est pas encore 7h. La plage, sauvage et touffue, s’étire parfois sur quinze kilomètres. Telle une ligne de front entre l’exaltation et l’éternité crue.
Là-haut, à Bouhy, toit de la Puisaye, perdu sur une carte. Un point que personne ne regarde. Un village qui sommeille depuis si longtemps que des toiles d’araignées se tissent sur les poignées de portes des habitations. Un tracteur passe. Son conducteur soulève son béret vers les étrangers que nous sommes. Une épicerie-café est ouverte, seule commerce de ce minuscule village. C’est comme entrer chez ses grands-parents. La tenancière prépare deux sandwichs. Puis c’est le repos à l’ombre du grand château d’eau, avant de repartir. Sur le plateau rasé se dresse, mystique et pesant, un Calvaire érodé. Il est comme un phare dans la nuit. Dieu nous tient en son sein. Nous laissons le septentrion s’égrainer derrière nous. Insouciants et légers. L’éternité reconnaitra les siens. Et les blés… Que l’on fauche en juillet. Tragiques et hurlants, terre pelée, comme écorchée, et, disséminés çà et là, des ballots de paille. Paysage d’aquarelle. On grimpe dessus comme si c’était le Colisée. Et la route serpente, à demi fondue par le soleil de plomb. Descendant la vallée du Rhône, sertie par des champs de tournesols insolents. Avaler le bitume, les pointillés, jusqu’à l’arrivée. Puis. Embrasser la mer azur-cuivrée.
Je me souviens de tes cheveux éparpillés dans l’herbe à l’ombre d’un grand chêne. Siestant à demi, offerte à la beauté de l’instant. Offerte aux souvenirs indélébiles. Ta bouche entrouverte buvant le sommeil des braves et une coccinelle noire se dandinant sur ton épaule. Un autre jour, ailleurs. Faire l’amour sur la plage sous un croissant de lune acéré. Le bruit des vagues. Extase tranchante comme une lame de rasoir. Moments volés à la félicité. A l’unicité christique de l’effarement des voies impénétrables de la Joie. Planté en mon âme comme un poignard dans les tripes. Souvenir cru et palpable comme la courbe de tes seins. Une réalité que le temps estompe mais dont la remembrance reste éternelle.
Plusieurs fois j’ai dit : Adieu. Ou plutôt, j’ai répondu… murmuré… bredouillé et même pleuré des adieux. S’abîmer en mer, je connais la musique. Chaque note, chaque nuance, chaque timbre arraché à l’impossible espoir. Vibrant et pathétique. Les veines palpitent et le cœur balbutie. La locomotive ivre fonce vers l’abîme écartelé. Le viaduc s’est écroulé. Le chemin s’arrête au fond des gorges, le fil d’or reliant l’amour à l’éternel est sectionné. Comme une paire de ciseaux planté dans le bras. On ne peut plus enjamber l’horreur. Toucher les étoiles et se perdre dans les yeux l’un de l’autre. Tu criais quand on faisait l’amour. Aujourd’hui le silence est lourd comme une pyramide de béton, froide et inflexible. Le sang gicle au rythme des pulsassions. Elles s’espacent et bientôt, la bête sera exsangue. Car est-on toujours un homme quand on survit encore à tous ces naufrages ? Est-ce une résilience extraordinaire ou le cœur s’est-il changé en pierre ? Ou encore s’agit-il des hurlements de cette urgence de vivre…
Partir. Prendre la mer. Encore… Idyllique traversée, de la matrice à l’empyrée, interrompue par le naufrage. Inévitable, peut-être. Terrifiant, sans doute. Réel, à coup sûr. C’est un obstacle qui ne dit pas son nom. Un obstacle fardé d’un espoir malin qui ne distille que du mensonge. Rien ne l’empêche. Ni les cris étouffés des noyés, ni la fadaise d’une seconde chance. On ne nait qu’une fois, chaque seconde s’écoule sur la mort de la précédente. Il n’existe aucun retour possible. Droit devant, sur un fil, étriqué entre le vide et la falaise. Ite missa est.
La lumière du phare tourne dans la nuit sans accroc depuis plus de deux cents ans. De loin c’est un clignotement, comme un battement de cœur. Il représente le salut. Stoïque, fiable. Ce phare, auguste, à la pointe de sa péninsule, vise les horizons avec précision, il prévient et accueille les âmes errantes sur les flots d’encre de la mer infinie.
Reprendre la mer, partir. Sans réfléchir. Reprendre la mer, aimanté. Oublieux des risques. Oublieux des naufrages passés. Partir. Encore… Que faire d’autre, après tout ? Alors, nous voilà. Sur la rade. Embarquement. Cœurs galvanisés, cotillons et farandoles. Les trompettes de l’insouciante et fulgurante passion sonnent leur mélodie suave. Doux est le cuivre comme blanche est ta peau de nymphe. Prendre la mer et ne jamais la rendre. Allons gaiement, le Purgatoire n’est jamais bien loin. Et j’agrippe tes cheveux noirs pour mieux t’étreindre. Dans la pénombre de ta petite chambre tapissée de crème brulent trois bougies bleues sur un candélabre d’airain. Il siège sur ta table de chevet. De l’autre côté, une autre bougie, blanche, plantée sur une bouteille vide de Meursault 2019, menace de s’éteindre. Je reprends mon souffle. Tes cheveux collent à ton visage béat. Je t’enlace sous le drap de coton imprimé Liberty. Corps à corps dans la nuit sans lune, je m’endormirai avec ta main sur ma hanche et ton rire dans la tête.
Alors pourquoi s’éteindre si l’on sait si bien s’étreindre ? Pourquoi hurler quand on sait si bien murmurer à l’oreille, des faux secrets, des douceurs et des gâteries. Pourquoi sauter du haut du pont quand on pourrait prendre le train en marche ? Je m’égosille de douleur. J’ai pris un train qui court à travers la plaine. Je regarde par la fenêtre. Lucarne frénétique qui avale le paysage et tout ce qui s’étend sur les centaines de kilomètres de voies. Forêts, champs de colza, villages, usines, entrepôts… Comme un nuancier d’un monde bien bâti. Fier. Un monde vautré dans sa purulence. Forniquant avec la nausée. Stupide et suffisant. Un monde blafard où l’on croit vivre la nuit et dormir le jour. Tout, maintenant et tout de suite ! On vivra une éternité, voire deux ! Un monde où nul n’a besoin d’idéal car tout est possible. Un monde violé par la cupidité existentielle de l’homme. Un monde pour ceux qui ne savent pas mourir. Un monde que je regarde se consumer comme un feu de paille au lieu de se tirer une balle dans la bouche.
Je suis monté jusqu’à la chapelle qui surplombe la ville du haut d’un promontoire escarpé. J’ai passé par le chemin du Calvaire, jalonné du récit de la Passion du Christ. Je t’ai emmenée ici cet été… Aujourd’hui c’est un jour venteux et froid de février. Le mistral est sans pitié. Je me suis assis sur les marches, regardant vers ma petite maison cachée entre les collines en contrebas. Et j’ai observé. J’ai contemplé le paysage. Les dents de Fourcade, le pic de Bertagne et toute la chaine de la sainte Baume qui court vers l’est. Malheureusement d’ici on ne voit pas la mer. Si colossale et absente. Tout comme toi… Il m’arrive encore, même après tous ces mois, de te chercher dans le lit. Alors c’est le désastre, le grand effarement. J’ai contemplé cette campagne que j’aime tant. J’ai dénudé ma vie aussi. Vidé la remorque à souvenirs. Feuilleté le livre des milliers de jours passés. Restent peut-être un milliard de secondes si le Seigneur est clément. Ça laisse le temps de réfléchir. J’ai prié un peu. Pensé à ceux qui restent. Ils sont si peu… et si précieux. D’horreurs en terreurs on élague, on taille, on affine, on rend la pierre tranchante et l’arbre prêt à se redécouvrir. Mais toi… Toi, monolithique et impossible. Toi je t’ai perdue à jamais. Les souvenirs sont fades et contrits. Trop douloureux. Je me suis enduit d’amertume. Baigné dans un lac glacé d’angoisses. J’ai fait le deuil de la Grande Défaite. Il ne me reste que mon Salut. Patiemment, je l’attends. Qu’Il me rappelle en son sein. Qu’Il me rappelle en son sein et embrasse mon front avec miséricorde.
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Catherine Boissaye -Loup garou (micro nouvelle)
La peur l’étreint. Là, tout près du vieux chêne, elle a cru voir briller deux points lumineux, à hauteur d’homme. Un ours ? Non, il n’y en a plus depuis longtemps dans cette région, elle en est sûre. Réfugiée dans le vieux cabanon, au milieu des bois, elle observe par la vitre encrassée les arbres proches. La lune facétieuse, se farde de nuages, par moments, rendant tout obscur. Des…
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Nouveautés 15 JuinVenez vous hydrater avec toutes cette sélection de soif :Microbrasserie Le Castor Brewing Co. - Pêch-anan-icotUn assemblage de bière maturée en fûts de chêne pendant un à deux ans. La bière a ensuite refermentée sur pêche, ananas & abricots biologiques pendant plusieurs semaines avant d'être refermentée en bouteille.- Cassis BleuetNous avons alors brassé une saison avec de l'orge et du blé maltés, que nous avons transférée sur une quantité considérable de cassis et de bleuets sauvages, avec levures sauvages. Microbrasserie Cardinal Brewing - Golden Square Mile Golden Ale doréeAle dorée avec des pointes d’agrumes, de poire, et de pêche. Légèrement houblonnée et rafraîchissant.- NANO IPA Cardinal x LOUKS Cette délicieuse IPA légère et brumeuse est plus faible en alcool et riche en saveurs houblonnées et juteuses.- Wanderlust HefeweisenNotre Wanderlust est délicatement houblonnée, brumeuse, et pâle, avec des arômes de clous de girofle, de bananes, et d’agrumes. Brasserie Sir John Brewing co. - L'expression De Mes Sentiments Les Plus Houblonnés collaboration @Toltèk Brasseur Artisan C'est avec une profonde délicatesse que je vous présente notre dernière création, une Kölsch goûteuse et légèrement trouuble, évoquant le tumulte de la mer un soir de tempête, et la force de notre tendresse. - Les âmes FlânentD'un jaune bien voilé, cette pale ale d'épautre fait espérer les âmes et les fait rêver. L'espace garde en otage ce doux parfum dank de fruits tropicaux où la lune vous suit de ses flambeaux. Lagabière - Comme un bon 20Bière officielle du Festival Bières Et Saveurs De Chambly - Farmhouse houblonnée au moût de chardonnay Cidres Fleuri - GriottesFidèle à nos habitudes, nous avons fait un cidre avec une concentration importante de fruits, où 30% de délicieuses griottes d’Arthabaska ont été plongées dans du moût de McIntosh en pleine fermentation. Cette teinture a été assemblée avec un cidre de macération de pommettes et un autre de pure Dolgo. Le résultat est un clafoutis de plaisirs gourmands, de tannins marqués et de notes boisées de noyaux. BAM!
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12 Tribus, 2 Maisons " Juda & Ephraïm “, 1 seul Peuple : Israël
Quelques versets pour comprendre ce qu’est Un Peuple selon Dieu.
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Promesses faites à Abraham : Alliance inconditionnelle et éternelle
Quand nous tenons un gland de chêne dans nos mains nous tenons un futur chêne, si la graine est plantée en terre. Nous n’éprouvons pas de peine à imaginer cela. L’Eternel voit plus loin… il voit déjà une forêt.
C’est ce qui est arrivé avec Abram, qui allait devenir Abraham, quand l’Eternel lui a demandé de quitter son pays, la maison de son père et ses dieux, notamment le dieu lune dont il était un adorateur.
Déjà, en choisissant cet homme, l’Eternel avait en vision un pays, des nations, un peuple et le Messie d’Israël, bien que sa femme était stérile.
Abraham et Sarah ont été choisis par Dieu pour :
. participer au rachat de toute créature de l’Eternel, . paver le chemin du Salut par la foi à tous ceux qui viendront rejoindre la Maison d’Israël.
“ L'Eternel dit à Abram : Va-t-en de ton pays, de ta patrie, et de la maison de ton père, dans le pays que je te montrerai. Je ferai de toi une GRANDE NATION, et je te BENIRAI ; je rendrai ton nom grand, et tu seras une source de BENEDICTION. Je BENIRAI ceux qui te BENIRONT, et je maudirai ceux qui te maudiront ; Et toutes les familles de la terre seront BENIES en toi. “ (Genèse 12:1-3)
Une grande nation,
Un nom grand et Dieu bénira ceux qui le béniront et maudira ceux qui le maudiront,
Une source de bénédiction et toutes les familles de la terre seront bénies en lui (par Yahshua).
Ces promesses sont scellées par une alliance formalisée lors d’une cérémonie en lui précisant les dimensions de la terre promise pour lui et sa descendance :
“ Et l'Eternel lui dit : Prends une génisse de trois ans, une chèvre de trois ans, un bélier de trois ans, une tourterelle et une jeune colombe. Abram prit tous ces animaux, les coupa par le milieu, et mit chaque morceau l'un vis-à-vis de l'autre; mais il ne partagea point les oiseaux. Les oiseaux de proie s'abattirent sur les cadavres ; et Abram les chassa. Au coucher du soleil, un profond sommeil tomba sur Abram ; et voici, une frayeur et une grande obscurité vinrent l'assaillir. Et l'Eternel dit à Abram : Sache que tes descendants seront étrangers dans un pays qui ne sera point à eux ; ils y seront asservis, et on les opprimera pendant quatre cents ans. Mais je jugerai la nation à laquelle ils seront asservis, et ils sortiront ensuite avec de grandes richesses. Toi, tu iras en paix vers tes pères, tu seras enterré après une heureuse vieillesse. (Exil en Egypte) A la quatrième génération, ils reviendront ici ; car l'iniquité des Amoréens n'est pas encore à son comble. A la quatrième génération, ils reviendront ici; car l'iniquité des Amoréens n'est pas encore à son comble. (Sortie d’Egypte) Quand le soleil fut couché, il y eut une obscurité profonde ; et voici, ce fut une fournaise fumante, et des flammes passèrent entre les animaux partagés. En ce jour-là, l'Eternel fit alliance avec Abram, et dit : Je donne ce pays à ta postérité, depuis le fleuve d'Egypte jusqu'au grand fleuve, au fleuve d'Euphrate, le pays des Kéniens, des Keniziens, des Kadmoniens, des Héthiens, des Phéréziens, des Rephaïm, des Amoréens, des Cananéens, des Guirgasiens et des Jébusiens. “ (Possession de la terre promise) (Genèse 15:9-21)
Par la suite, Dieu a donné à Abraham le rite de la circoncision comme un signe spécifique de l'alliance d'Abraham.
Cette alliance a été confirmée à plusieurs reprises à Abraham et à Jacob.
Tout au long de l’histoire de la Genèse, il y a systématiquement une rivalité entre 2 frères dont un seul doit être choisi pour poursuivre le Plan de Dieu :
. Abel et Caïn, . Isaac et Ismaël, . Jacob et Ésaü.
Puis, il y a une nouveauté dans la descendance :
. Joseph et ses frères.
Fin des comparaisons entre deux frères car le plan de Dieu prévoit la construction de Son Peuple.
La Genèse se termine avec la fin des patriarches pour laisser place au début du Peuple d’Israël dont le fondement est posé au travers de la constitution des 12 fils de Jacob (12 tribus) qu’il a eu avec ses 2 femmes Rachel et Léa ainsi qu’avec leurs 2 servantes Zilpa et Bilha :
Ruben
Siméon
Lévi
Juda
Zabulon
Issacar
Dan
Gad
Aser
Nephtali
Joseph
Benjamin
12 tribus associées activement au projet divin dans une vision collective.
“ Jacob appela [tous] ses fils, et dit : Assemblez-vous, et je vous annoncerai ce qui vous arrivera dans la suite des temps. Rassemblez-vous, et ECOUTEZ, fils de Jacob ! ECOUTEZ Israël, votre père ! “ (Genèse 49:1-2)
A la fin de sa vie et dans un esprit d’unité familiale, Jacob demande qu’ils se regroupent et soient solidaires pour écouter à la fois en tant qu’individu et fils, et en tant que futur peuple, leur père Israël.
Le peuple se caractérisera aussi bien par une histoire collective porteuse d’un message universel que par une multitude de singularités.
Puis il les bénit collectivement et individuellement selon la bénédiction propre du peuple qu’ils vont représenter : identité et vision sur l’avenir qui se déroule entre la sortie d’Egypte jusqu’à la Fin des Temps.
Jacob conclut en mentionnant pour la première fois “Tribus d’Israël” :
“ Ce sont là tous ceux qui forment les douze TRIBUS D’ISRAEL. Et c'est là ce que leur dit leur père, en les bénissant. Il les bénit, chacun selon sa bénédiction. “ (Genèse 49:28)
Chacun des fils ayant compris les enjeux des bénédictions conservera à partir de cet instant la notion de Tribu. Par exemple, dans le désert, chaque tribu aura son drapeau et sa place attitrée. En arrivant en Terre Sainte, la location des terres aux familles se fait tribu par tribu.
L’objectif n’étant pas d’avoir toutes les familles identiques, mais de préserver une spécificité attribuée par Dieu à chaque tribu au sein d’une même unité : ISRAEL.
Pas d’uniformité, mais la richesse d’une diversité de personnes qui va composer cette unité selon les bénédictions proclamées.
Toutes les tribus sont complémentaires pour le bien de la collectivité et ont leur caractère propre, selon leur vocation, leurs compétences et potentialités.
Les bénédictions vont permettre à Jacob d’expliquer pourquoi c’est Juda qui est choisi pour être Roi et pas les autres :
“ Ruben, toi, mon premier-né, Ma force et les prémices de ma vigueur, Supérieur en dignité et supérieur en puissance, Impétueux comme les eaux, tu n'auras pas la prééminence ! Car tu es monté sur la couche de ton père, Tu as souillé ma couche en y montant.
Siméon et Lévi sont frères (binômes) ; Leurs glaives sont des instruments de violence. Que mon âme n'entre point dans leur conciliabule, Que mon esprit ne s'unisse point à leur assemblée ! Car, dans leur colère, ils ont tué des hommes, Et, dans leur méchanceté, ils ont coupé les jarrets des taureaux. Maudite soit leur colère, car elle est violente, Et leur fureur, car elle est cruelle ! Je les séparerai dans Jacob, Et je les disperserai dans Israël.
Juda, tu recevras les hommages de tes frères ; Ta main sera sur la nuque de tes ennemis. Les fils de ton père se prosterneront devant toi. Juda est un jeune lion. Tu reviens du carnage, mon fils ! Il ploie les genoux, il se couche comme un lion, Comme un grand lion : qui le fera lever ? Le sceptre [royal] ne s'éloignera point de Juda, Ni le bâton souverain d'entre ses pieds, Jusqu'à ce que vienne le Schilo, Et que les peuples lui obéissent. Il attache à la vigne son âne, et au meilleur cep le petit de son ânesse ; Il lave dans le vin son vêtement, et dans le sang des raisins son manteau. Il a les yeux rouges de vin, dt les dents blanches de lait.
Zabulon habitera sur la côte des mers, Il sera sur la côte des navires, et sa limite s'étendra du côté de Sidon.
Issacar est un âne robuste, Qui se couche dans les étables. Il voit que le lieu où il repose est agréable, Et que la contrée est magnifique ; Et il courbe son épaule sous le fardeau, Il s'assujettit à un tribut.
Dan jugera son peuple, Comme l'une des tribus d'Israël. Dan sera un serpent sur le chemin, Une vipère sur le sentier, Mordant les talons du cheval, Pour que le cavalier tombe à la renverse.
J'espère en ton secours, ô Eternel ! (Messie mentionné)
Gad sera assailli par des bandes armées, Mais il les assaillira et les poursuivra.
Aser produit une nourriture excellente ; Il fournira les mets délicats des rois.
Nephthali est une biche en liberté ; Il profère de belles paroles.
Joseph est le rejeton d'un arbre fertile, Le rejeton d'un arbre fertile près d'une source ; Les branches s'élèvent au-dessus de la muraille. Ils l'ont provoqué, ils ont lancé des traits ; Les archers l'ont poursuivi de leur haine. Mais son arc est demeuré ferme, Et ses mains ont été fortifiées Par les mains du Puissant de Jacob : Il est ainsi devenu le berger, le rocher d'Israël. C'est l'oeuvre du Dieu de ton père, qui t'aidera ; C'est l'oeuvre du Tout-Puissant, qui te bénira Des bénédictions des cieux en haut, Des bénédictions des eaux en bas, Des bénédictions des mamelles et du sein maternel. Les bénédictions de ton père s'élèvent Au-dessus des bénédictions de mes pères Jusqu'à la cime des collines éternelles : Qu'elles soient sur la tête de Joseph, Sur le sommet de la tête du prince de ses frères !
Benjamin est un loup qui déchire ; Le matin, il dévore la proie, Et le soir, il partage le butin.
A cela s’ajoutent les bénédictions des 2 fils de Joseph : Ephraïm et Manassé que Jacob a adopté :
“ Lui (Manassé) aussi donnera naissance à un peuple, lui aussi sera grand, mais son frère cadet (Ephraïm) sera plus grand que lui et sa descendance remplira les nations “ (Genèse 48:19)
Ainsi se concrétise la promesse que l’Eternel a faite à Jacob lors de l’épisode de l’Echelle :
“ Je suis l’Eternel, le Dieu de ton grand-père Abraham et le Dieu d’Isaac. La terre sur laquelle tu es couché, je te la donnerai, à toi et à ta descendance. Ta descendance sera pareille à la poussière de la terre : tu t’étendras à l’ouest et à l’est, au nord et au sud et toutes les familles de la terre seront bénies en toi et en ta descendance. Je suis moi-même avec toi, je te garderai partout où tu iras et je te ramènerai dans ce pays, car je ne t’abandonnerai pas tant que je n’aurai pas accompli ce que je te dis. “ (Genèse 28:13-15)
Lors de la promesse d’une descendance nombreuse, Dieu avait dit à Abraham que des rois et des nations seraient issus de lui. Cette promesse s'est accomplie par l'avènement du Trône de David.
Le sacrifice et la résurrection de Yahshua sera la réalisation de la dernière promesse, celle de la bénédiction et de la rédemption d'Israël, Son Peuple.
Un projet d’unité et de fraternité selon la Torah et sous l’égide de Yahshua, notre Bannière, notre Etendard, notre Messie / Roi pour la gloire du Père.
Il réunifiera des 12 tribus (Juda & Ephraïm) afin de former un seul peuple avec un seul Esprit pratiquant les mêmes Ordonnances, les mêmes Commandements, les mêmes Fêtes et les mêmes Lois de Dieu dans Son Amour.
Ensemble, TRANSFORMES A L’IMAGE DIEU, mais tous uniques, chacun ayant la fonction que Dieu lui a attribué au sein du peuple dans une nation définie.
Nous avons des rôles et des missions différents et c’est en connaissant notre identité spirituelle définie par Dieu que nous pouvons y arriver tous ensembles.
Si nous méditons la Bible dans sa totalité et avons les mêmes enseignements sur la saine doctrine, alors cela nous amène automatiquement à être en harmonie les uns avec les autres et à devenir un Peuple selon la volonté de Dieu.
C’est un projet qui sera prochainement achevé par notre Roi Yahshua lors de son second avènement avec la difficulté particulière de le réaliser sur la Terre d’Israël (Erets Israël).
Belle journée bénie à toutes et tous.
Source : Juda & Ephraïm
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Je suis née de la mer
Je suis née de la mer et ne le savais plus
Trop de pavots avaient maculé mes pieds nus
Les soirs où les bergers m’appelaient dans la ronde
Pour passer le furet de ma main dans leurs mains
Furet des bois jolis furet des vieux jardins
Je suis née de la mer et ne le savais plus
Trop de chênes avaient appris à mon corps nu
Cette haute caresse où l’écorce connaît
La façon d’arracher aux jeunes filles blondes
Des gouttes de bonheur de quelque sainte plaie.
Je suis née de la mer et ne le savais plus
Trop de bêtes avaient partagé mon coeur nu
Dans les hautes futaies habitées par la lune
Trop de sangliers forts à renifler l’oronge
Trop de biches mes soeurs effrayées par leurs songes
Trop de martins-pêcheurs gonflés d’humides chants
Délivrés par leurs becs en baisers trop savants.
Je suis née de la mer et ne le savais plus
Mais l’homme au bras marin me parla de l’écume
Et l’humus des forêts fut le sable des dunes
Et les bergers laissant leurs troupeaux de moutons
Au premier loup venu gardèrent des poissons
Le nez du sanglier fouilla le goémon
La biche apprivoisa chaque lame de fond
Et les désirs des fûts chantèrent un navire
Que les oiseaux pêcheurs voilèrent sans rien dire
De leurs ailes tendues à des ciels inconnus.
Je suis née de la mer et ne l’ai reconnu
Qu’au bras de mon amour et ne l’oublierai plus.
Extrait de « Choix de Poèmes »Angèle Vannier
Seghers (l’Arbre à feu) 1950
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1. Comptines
"Promenons-nous, dans les bois," chantent les enfants d'un air enjoué, "tant que le loup n'y est pas."
Mère-grand les attend de l'autre côté du bois. À l'approche de l'orée, la fumée qui sort de la cheminée transporte jusqu'à eux le doux parfum du repas préparé, encore sur le feu.
"Un, deux, trois, j'irai dans les bois," chantent les enfants d'un air enjoué, "quatre, cinq, six, cueillir des cerises." Mère-grand a promis de préparer un clafoutis, s'ils participaient à la cueillette. "Sept, huit, neuf, dans mon panier tout neuf," même si leur panier date probablement du temps où mère-grand était encore "mainada".
"Au clair de la lune, mon ami Pierrot," chantent les adolescents dans un murmure amusé, "prête-moi ta plume, pour écrire un mot… Ma chandelle est mort-euh, je n'ai plus de feu..."
Marcel éteint la torche, Émeline crie, puis le groupe rigole. C'est nuit de pleine lune ; dans le bois, le loup est de sortie… et il n'est pas seul.
"Dans la forêt lointaine," chantaient les enfants fût un temps, "on entend le coucou, du haut de son grand chêne."
"Dans la forêt voisine," personne ne chante, "on entend les loups-garous, sous la pleine lune."
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