#Luca Ghérasim
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Indiens de Matto Grosso
Luca Ghérasim, 1970
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Luca Ghérasim drawing in La Fin Du Monde's book 1969
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Embody
(i) I flora you you fauna me I flesh you I door you and window you you bones me you ocean me you courage me you meteor me I gold key you I extraordinary you you paroxysm me you paroxysm and paradox me I harpsichord you you silently me you mirror me I wristwatch you you mirage me oasis me you bird insect cataract me I lunar you you cumulus me you high tide me I transparent you you twilight me translucent me you empty castle and maze me parallax and parabola me you horizontal and vertical me you oblique me I equinox you I poet you you dance me I particular you you perpendicular and mezzanine me you visible me silhouette me you infinite me indivisible me you irony me I fragile you and ardent you I phonetically you you hieroglyph me you space me and cascade me I cascade you in turn but you you fluid me you comet me you volcanic me we pulverize each other we scandalously each other night and day we each other this very day you tangent me I concentric you you soluble me you insoluble me you asphyxiating and liberating me you heart-beat me you dizzy me ecstasy me you passionately and absolute me I absent you you absurd me I nostril you hair you and hip you you haunt me I breast you I chest your breast then guise you I corset you you odor me you dizzy me you slide I thigh you caress you I quiver you you stride me you unbearable me I amazon you I throat you stomach you skirt you garter you stockings you I Bach you yes I Bach you for harpsichord breast and flute (ii) I trembling you you seduce me absorb me I dispute you I risk you I climb you you skim me I swim you but you, you swirl me you graze me you circle me you flesh leather skin and bite me you black lace me you red slipper me and when you do not heel my senses you crocodile them you whale them you fascinate them you cover me I discover you invent you sometimes you uncover yourself you moist lips me I deliver and delirious you you delirious and passionate me I shoulder you and vertebra you I ankle you eyelash and pupil you and if I do not scapula before my lungs even after you armpit me I breathe you night and day I breathe you I mouth you I palate you I tooth and claw you vulva and eyelid you I breath you groin you blood you neck you I calves you I certain you I cheek and vein you I hands you sweat you tongue you nape you I sail you I shadow you I body and ghost you I retina you in my breath you iris yourself I write you you think me GHÉRASIM LUCA «Prendre Corps», Paralipomènes. José Corti, 1986. Translated from the French by Michael Tweed and Raphaëlle Dedourge.
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Prendre corps
❝ Je te narine je te chevelure je te hanche tu me hantes je te poitrine je buste ta poitrine puis te visage je te corsage tu m’odeur tu me vertige tu glisses je te cuisse je te caresse je te frissonne tu m’enjambes tu m’insupportable je t’amazone je te gorge je te ventre je te jupe je te jarretelle je te bas je te Bach oui je te Bach pour clavecin sein et flûte
je te tremblante tu me séduis tu m’absorbes je te dispute je te risque je te grimpe tu me frôles je te nage mais toi tu me tourbillonnes tu m’effleures tu me cernes tu me chair cuir peau et morsure tu me slip noir tu me ballerines rouges et quand tu ne haut-talon pas mes sens tu les crocodiles tu les phoques tu les fascines tu me couvres je te découvre je t’invente parfois tu te livres
tu me lèvres humides je te délivre je te délire tu me délires et passionnes je t’épaule je te vertèbre je te cheville je te cils et pupilles et si je n’omoplate pas avant mes poumons même à distance tu m’aisselles je te respire jour et nuit je te respire je te bouche je te palais je te dents je te griffe je te vulve je te paupières
je te haleine je t’aine
je te sang je te cou je te mollets je te certitude je te joues et te veines
je te mains je te sueur je te langue je te nuque je te navigue je t’ombre je te corps et te fantôme je te rétine dans mon souffle tu t’iris
je t’écris tu me penses ❞
— Ghérasim Luca (1913-1994), Prendre corps (1999)
youtube
Arthur H - Prendre corps [Arthur H & Nicolas Repac | Album L'Or d'Eros (2014)]
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But the very term poetry seems distorted to me. Perhaps I prefer “ontophany”. He who opens the word opens the matter and the word is only the support of the material of a quest for transmutation of reality for an end. More than situating myself in relation to a tradition or a revolution, I strive to reveal an unacceptable resonance of being. Poetry is a “silensophone”, the poem, a place of operation, the word is subjected to a series of sound mutations, each of its facets releases the multiplicity of meanings with which it is charged. Today I travel across an area where noise and silence collide -- a shock center, where the poem takes the form of the wave that sets it in motion. Better, the poem disappears in the face of its consequences. In other words: I oralize myself.
“ontophanie est la poésie est un silensophone”
—
remix de l’introduction de Ghérasim Lucas “Héros-limite”
Mais le terme même de poésie me semble faussé. Je préfère peut-être “ontophanie”. Celui qui ouvre le mot ouvre la matière et le mot n’est que je support de la matériel d’une quête de transmutation du réel pour fin. PLus que me situer par rapport à un tradition ou à une révolution, je m’applique à dévoiler une résonance d’être, inadmessible. La poésie est un “silensophone”, le poème, un lieu d’opération, le mot y est soumis à sur série de mutation sonores, chacune de ses facettes libère la multiplicité des sens dont elle sont chargées. Je parcours aujourd’hui une étendue ou le vacarme et le silence s’entrechoquent - centre choc, ou le poème prend la forme de l’onde qui l’a mis en marche. Mieux, le poème s’éclipse devant ses conséquences. En d’autre termes : je m’oralise.
P.13
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Sous les regards hagards
du témoin oculaire
/ Ghérasim Luca
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Tu me vertige tu m'extase tu me passionnément tu m'absolu je t'absente tu m'absurde
Je te narine je te chevelure je te hanche tu me hantes
...
Tu me lèvres humides je te délivre je te délire tu me délires et passionnes je t'épaule je te vertèbre je te cheville je te cils et pupilles
... Je t'écris tu me penses
Ghérasim Luca
*
Jessica Clements
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la manière de
la manière de ma de maman
la manière de maman de s’asseoir
sa manie de s’asseoir sans moi
sa manie de soie sa manière de oie
oie oie oie le soir
de s’asseoir le soir sans moi
la manie de la manière chez maman
la manie de soi
le soir là
de s’asseoir là
de s’asseoir oui ! de s’asseoir non ! le soir là
là où la manière de s’asseoir chez soi sans moi
s’asseoir à la manière de
à la manière d’une oie en soie
elle est la soie en soi oui ! oui et non !
la manie et la manière de maman de s’asseoir chez soi
sans moi
s’asseoir chez soi chérie ! chez soi et toute seule chérie !
le soir à la manière d’un cheval
s’asseoir à la manière d’un cheval et d’un loup
d’un châle-loup ô chérie !
ô ma chaloupe de soie ! ô ! oui ! s’asseoir non !
s’asseoir le soir et toute seule chez soi ô ! non et non !
manière de s’asseoir sans moi chez soi
sans moi sans chez ô chérie !
c’est une manière chérie !
une manie de
une manie de la manière de
manière de s’asseoir chez soi sans chaise
s’asseoir sans chaise c’est ça !
c’est une manière de s’asseoir sans chaise
ghérasim luca
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J'ai publié 923 fois en 2022
C'est 923 billets de plus qu'en 2021 !
69 billets créés (7%)
854 billets reblogués (93%)
Les blogs que j'ai le plus reblogués :
@the-illusions-of-reality
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@lorenzens-soil
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J'ai étiqueté 23 billets en 2022
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#poppy-bohememonciel
Mes billets vedette en 2022 :
n°5
J'aime ce qui n'a pas de sens, ça réveille les cellules du cerveau. Boris Vian
33 notes - publié le 12 décembre 2022
n°4
Prendre corps
je te flore ~ tu me faune ~ je te peau ~ je te porte ~ et te fenêtre ~ tu m’os ~ tu m’océan ~ tu m’audace ~ tu me météorite ~ je te clé d’or ~ je t’extraordinaire ~ tu me paroxysme ~ tu me paroxysme ~ et me paradoxe ~ je te clavecin ~ tu me silencieusement ~ tu me miroir ~ je te montre ~ tu me mirage ~ tu m’oasis ~ tu m’oiseau ~ tu m’insecte ~ tu me cataracte ~ je te lune ~ tu me nuage ~ tu me marée haute ~ je te transparente ~ tu me pénombre ~ tu me translucide ~ tu me château vide ~ et me labyrinthe ~ tu me parallaxes ~ et me parabole ~ tu me debout ~ et couché ~ tu m’oblique ~ je t’équinoxe ~ je te poète ~ tu me danse ~ je te particulier ~ tu me perpendiculaire ~ et sous pente ~ tu me visible ~ tu me silhouette ~ tu m’infiniment ~ tu m’indivisible ~ tu m’ironie ~ je te fragile ~ je t’ardente ~ je te phonétiquement ~ tu me hiéroglyphe ~ tu m’espace ~ tu me cascade ~ je te cascade à mon tour ~ mais toi ~ tu me fluide ~ tu m’étoile filante ~ tu me volcanique ~ nous nous pulvérisable ~ nous nous scandaleusement ~ jour et nuit ~ nous nous aujourd’hui même ~ tu me tangente ~ je te concentrique ~ concentrique ~ tu me soluble ~ tu m’insoluble ~ en m’asphyxiant ~ et me libératrice ~ tu me pulsatrice ~ pulsatrice ~ tu me vertige ~ tu m’extase ~ tu me passionnément ~ tu m’absolu ~ je t’absente ~ tu m’absurde ~ je te marine ~ je te chevelure ~ je te hanche ~ tu me hantes ~ je te poitrine ~ je buste ta poitrine ~ puis ton visage ~ je te corsage ~ tu m’odeur ~ tu me vertige ~ tu glisses ~ je te cuisse ~ je te caresse ~ je te frissonne ~ tu m’enjambes ~ tu m’insupportable ~ je t’amazone ~ je te gorge ~ je te ventre ~ je te jupe ~ je te jarretelle ~ je te peins ~ je te Bach ~ pour clavecin ~ sein ~ et flûte ~ je te tremblante ~ tu m’as séduit ~ tu m’absorbes ~ je te dispute ~ je te risque ~ je te grimpe ~ tu me frôles ~ je te nage ~ mais toi ~ tu me tourbillonnes ~ tu m’effleures ~ tu me cerne ~ tu me chair cuir peau et morsure ~ tu me slip noir ~ tu me ballerine rouge ~ et quand tu ne haut talon pas mes sens ~ tu es crocodile ~ tu es phoque ~ tu es fascine ~ tu me couvres ~ et je te découvre ~ je t’invente ~ parfois tu te livres é~ tu me lèvre humide ~ je te délivre ~ je te délire ~ tu me délire ~ et passionne ~ je t’épaule ~ je te vertèbre ~ je te cheville ~ je te cil et pupille ~ et si je n’omoplate pas ~ avant mes poumons ~ même à distance ~ tu m’aisselle ~ je te respire ~ jour et nuit ~ je te respire ~ je te bouche ~ je te baleine ~ je te dent ~ je te griffe ~ je te vulve ~ je te paupière ~ je te haleine ~ je t’aime ~ je te sens ~ je te cou ~ je te molaire ~ je te certitude ~ je te joue ~ je te veine ~ je te main ~ je te sueur ~ je te langue ~ je te nuque ~ je te navigue ~ je t’ombre ~ je te corps ~ je te fantôme ~ je te rétine ~ dans mon souffle ~ tu t’iris ~ je t’écris ~ tu me penses
Ghérasim Luca - La fin du monde, « Poésie »
33 notes - publié le 5 octobre 2022
n°3
34 notes - publié le 28 août 2022
n°2
La pénombre
41 notes - publié le 2 octobre 2022
Mon billet n°1 en 2022
L'élégance, qu'elle soit vestimentaire et/ou de comportement a quasi disparu et pourtant c'est la fleur qui apparaît dans la gadoue, la touche de beauté dans le décor gris, la lueur dans le train-train quotidien...
63 notes - publié le 13 octobre 2022
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Déférés devant un tribunal d’exception. 1968. (Remitido a un tribunal especial), 1968.
Litografía de Jacques Hérold.
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Nous nous convulsions –Hommage au surréaliste Ghérasim Luca, 30 ans après sa disparition–
Nous nous convulsions –Hommage au surréaliste Ghérasim Luca, 30 ans après sa disparition–
Mardi 5 novembre 2024 Matreselva (32 Rue du Hameau, 75015 Paris, France) Entrée libre, réservation conseillée pour le concert : [email protected]
Distribution : Masahiro Aogaki, Chiku Komiya, Kanae Mizobuchi, Yukari Yagi, Christophe Collin
[Exposition] 15h00-19h00 Masahiro Aogaki Chiku Komiya Vidéo du récital télévisuel de Ghérasim Luca « Comment s’en sortir sans sortir »
[Concert] 19h00-20h00 Chiku Komiya : And then, O-ren Knew ‘twas a Song (2024, Création française) Poésie-performance par Christophe Collin : Héros-limite Kanae Mizobuchi : L’échelle de Luca (2024, Création mondiale) Masahiro Aogaki : L’Autre Mister Smith (2024, Création mondiale)
Organized by Masahiro Aogaki, Chiku Komiya, Kanae Mizobuchi, Yukari Yagi Supported by Arts Council Tokyo (Tokyo Metropolitan Foundation for History and Culture), Nomura Foundation and NPO Con-Tra Culture
Graphisme : Tomoyuki Yanagawa -— Nous nous convulsions / 私たちは痙攣する -シュルレアリスト ゲラシム・ルカ没後30年-
2024年11月5日(火) Matreselva (32 Rue du Hameau, 75015 Paris, France) 入場無料・コンサートは予約推奨: [email protected]
出演:青柿将大、小宮知久、溝淵加奈枝、八木友花里、クリストフ・コラン
【展示】15:00-19:00 青柿将大 小宮知久 ゲラシム・ルカ朗読映像« Comment s’en sortir sans sortir »
【コンサート】19:00-20:00 小宮知久:そしてO-renはそれが歌であることを知った(2024,フランス初演) クリストフ・コランによる朗読パフォーマンス:Héros-limite 溝淵加奈枝:ルカの梯子 (2024, 世界初演) 青柿将大:もう一人のスミス氏(2024, 世界初演)
主催:青柿将大、小宮知久、溝淵加奈枝、八木友花里 助成:公益財団法人東京都歴史文化財団 アーツカウンシル東京[スタートアップ助成] 、野村財団、NPO Con-Tra Culture
グラフィックデザイン:柳川智之
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Prendre corps - Ghérasim Luca (Roumain 1913-1994)
Tu me flore, je te fauneJe te peau, je te porte, et te fenêtreTu m’os, tu m’océan, tu m’audace, tu me météoriteJe te clé d’or, je t’extraordinaire, tu me paroxysmeTu me paroxysme, et me paradoxeJe te clavecin, tu me silencieusement, tu me miroir, et je te montreTu me mirage, tu m’oasis, tu m’oiseau, tu m’insecte, tu me cataracteJe te lune, tu me nuage, tu me marée haute, je te transparenteTu me…
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«La bellezza del tuo sorriso il tuo sorriso
di cristallo il cristallo di velluto
il velluto della tua voce la tua voce e
il tuo silenzio il tuo silenzio assorbente
assorbente come la neve la neve
calda e lenta lenta è
la tua andatura la tua andatura diagonale
diagonale sete sera seta e fluida
fluida come i pianti le piante
sono nella tua pelle la tua pelle le
spettina spettina il tuo profumo
il tuo profumo è nella mia bocca la tua bocca
è una coscia una coscia che s’invola
s’invola verso i miei denti i miei denti
ti divorano divoro la tua assenza
la tua assenza è una coscia coscia o
scarpa scarpa che bacio
bacio questa scarpa la bacio sulla
tua bocca perché la tua bocca è una bocca
non è una scarpa specchio che bacio
come le tue gambe come
le tue gambe come le tue gambe
come le tue gambe le tue gambe
gambe del sospiro sospiro
della vertigine vertigine del tuo viso
scavalco la tua immagine come si scavalca
una finestra finestra del tuo essere e dei
tuoi miraggi la tua immagine il suo corpo e
la sua anima la tua anima la tua anima e il tuo naso
sorpreso sono sorpreso naso dei tuoi
capelli la tua capigliatura in fiamme la tua anima
in fiamme e in lacrime come le dita dei
tuoi piedi i tuoi piedi sul mio petto
il mio petto nei tuoi occhi i tuoi occhi
nella foresta la foresta liquida
liquida e in ossa le ossa delle mie grida
scrivo e grido nella mia lingua lacerante
lacero le tue braccia le tue calze
delirando desidero e lacero le tue braccia e le tue calze
il basso e l’alto del tuo corpo fremente
fremente e puro puro come
il temporale come il temporale del tuo collo collo delle
tue palpebre le palpebre del tuo sangue
il tuo sangue carezzevole palpitante fremente
fremente e puro puro come l’arancia
arancia delle tue ginocchia delle tue narici del
tuo fiato del tuo ventre dico
ventre ma penso al nuoto
al nuoto della nuvola nuvola del
segreto il segreto meraviglioso meraviglioso
come te stessa
tu sul tetto sonnambolica e nuvola
nuvola e diamante è un
diamante che nuota che nuota con agilità
tu nuoti agevolmente nell’acqua della
materia della materia del mio spirito
nello spirito del mio corpo nel corpo
dei miei sogni dei miei sogni in azione»
(Ghérasim Luca)
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The Coming Mental Range, by Will Alexander, out now from Litmus Press: "Gathering together a group of Alexander’s short prose writings in his signature “vertical philosophy” with essays in poetics touching on the work of admired artists and poets (Byron Baker, Wanda Coleman, Pablo Jofré, Bob Kaufman, and Ghérasim Luca to name a few), in addition to several key interviews with the author, The Coming Mental Range serves as a critical introduction to Alexander’s work and thought..."
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Corps angoissant engendré
par un triangle
rectangle angoissé
qui tourne angoissé
autour d'un des côtés angoissants
de l'angle droit de l'angoisse
/Ghérasim Luca
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