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#Les immanquables du jour
prono-turf-gratuit · 1 month
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Quinté du jour
Pronostics PMU pour le quinté du samedi 24 août 2024 à Clairefontaine
4 tuyaux immanquables ?
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ondessiderales · 6 months
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Shin Seiki Evangelion, ou L'Évangile du Nouveau Siècle
Aujourd'hui je voulais vous parler de ce dessin animé culte et célèbre dans le monde entier qu'est Shin Seiki Evangelion (L'Évangile du Nouveau Siècle), aussi connu sous le nom de Neon Genesis Evangelion (L'Évangile de la Nouvelle Genèse).
« En 2000, une gigantesque explosion se produit en Antarctique. Ce cataclysme, officiellement provoqué par la chute d'un astéroïde, entraîne une montée des eaux de plusieurs dizaines de mètres et dévaste une grande partie de la planète, provoquant la mort de deux milliards de personnes ainsi qu'une nouvelle guerre mondiale.
Quinze ans plus tard, l'humanité a surmonté cet événement dramatique désigné comme le « Second Impact » mais de mystérieuses créatures géantes, les Anges, font leur apparition et tentent de détruire Tokyo-3, la nouvelle capitale-forteresse du Japon. Pour les combattre, l'organisation secrète NERV a mis au point les « Evangelion » (ou « EVA »), des géants humanoïdes d'apparence mécanique.
Shinji Ikari, jeune garçon de 14 ans, se rend à Tokyo-3 sur l'invitation de son père, directeur de la NERV, qu'il n'a pas revu depuis dix ans. Il est loin de se douter qu'il a été appelé pour piloter une EVA et prendre part au combat contre le « Troisième Ange ». Celui-ci n'est que le premier d'une longue série où il sera accompagné par Rei Ayanami, et plus tard Asuka Soryu Langley, et où chaque affrontement peut conduire à la disparition de l'humanité. Mais ils devront également régler leurs propres conflits intérieurs alors que la mystérieuse organisation SEELE, qui dirige secrètement la NERV, tente de mettre en place son « Plan de complémentarité de l'Homme » dont le but est de faire évoluer le genre humain vers un nouveau stade, ce qui n'est pas sans rappeler le concept de Surhomme de Nietzsche. »
« La série connaît immédiatement un grand succès et est saluée pour la qualité de son animation et son scénario sophistiqué. Commençant comme un anime classique de mecha post-apocalyptique, Evangelion surprend le public en accordant une grande place à l'introspection des personnages et en abordant des thèmes comme la dépression et le suicide, chose jusque-là rare dans l'animation. Plébiscitée autant pour ses scènes d'action parfois très sanglantes que pour ses réflexions, la série a acquis au fil des années un statut d'icône culturelle majeure de l'animation japonaise dont elle est aujourd'hui considérée comme l'un des fleurons des années 1990.
Hideaki Anno réalise cette série comme thérapie alors qu'il est en pleine dépression. Les trois protagonistes principaux représentent chacun l'un des aspects par lesquels le réalisateur se définit à cette période. Neon Genesis Evangelion est reconnu pour avoir plusieurs niveaux de lectures. Mais l'anime reste une véritable critique du phénomène otaku auquel Anno s'identifie. D'ailleurs les Evas représentent le corps maternel où les enfants peuvent se réfugier et fuir la réalité du monde. C'est ce cheminement scénaristique et psychologique qui explique que de nombreux fans n'aient pas apprécié la fin originale. »
Très connu au Japon, la popularité de ce dessin animé a largement dépassé ses frontières, et est devenu avec le temps une référence immanquable de la pop-culture.
Evangelion porte des messages très actuels qui raisonnent avec notre monde moderne et je souhaitais lui rendre hommage aujourd'hui.
Voici son opening.
Version courte
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Version longue
ATTENTION, les images qui vont suivre peuvent être choquantes (sang, mort, nudité). Son contenu s'adresse à un public averti.
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Zankoku na tenshi no teeze (La thèse de l'ange cruel)
Tel un ange cruel Jeune garçon, deviens une légende (un mythe)
Le vent bleuté (kamikazé) frappe maintenant à la porte de ton coeur Tu me regardes simplement et tu me souris En plein rêve, tu cherches à comprendre ce qui te touche doucement Avec tes yeux innocents, tu ne vois même pas encore ta destinée
Mais un jour tu réaliseras que tu as sur ton dos Des ailes capables de t'emmener vers un futur lointain
La thèse de l'ange cruel S'envole enfin par la fenêtre Avec un pathos (passion) brûlant qui surgit en toi Trahis tes souvenirs (ton passé) Et brille en enlaçant ce ciel (cet univers) Jeune garçon, deviens une légende (un mythe)
(Chœur)
Dormant depuis longtemps dans le berceau de mon amour Le matin où toi seul seras appelé le messager des rêves arrive Le clair de lune éclaire ton cou fin J'aimerais pouvoir arrêter le temps et me replier sur moi-même
Mais s'il y a un sens au fait que l'on se soit rencontrés Alors je suis la Bible qui te fera connaître la liberté
La thèse de l'ange cruel Ainsi commence la tristesse A l'instant où la forme de vie que tu as enlacée Se réveille de ce rêve Mieux que quiconque, tu émets la lumière Jeune garçon, deviens une légende (un mythe)
Les Hommes créent l'Histoire en filant l'amour Même si je ne deviens jamais une déesse, je vivrai
La thèse de l'ange cruel S'envole enfin par la fenêtre Avec un pathos (passion) brûlant qui surgit en toi Trahis tes souvenirs (ton passé) Et brille en enlaçant ce ciel (cet univers) Jeune garçon, deviens une légende (un mythe)
J'ai rajouté des choses entre parenthèses dans la traduction pour éclaircir des double-sens ou sous-entendus intraduisibles en français
Kamikazé : "vent divin", protection de Dieu accordée au Japon et à l'humanité (qui donne le mot "kamikaze" en français)
Les termes "mythe" et "pathos" (passion) font référence à la mythologie antique (en particulier grecque)
L'usage de ces deux termes (ainsi que le terme "thèse") fait également écho à la pensée allemande, notamment la psychanalyse de Freud et la philosophie de Nietzsche (Surhomme) et Hegel (dialectique).
Le thème de la grossesse fait référence à la maïeutique (accouchement des idées) de Socrate
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lisontd · 2 years
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Quels sont les avantages de l'essayage virtuel du maquillage ?
J’ai choisi d’aborder le sujet de l'offre d’essayage virtuel des produits de maquillage.
Disponibles sur les plateformes en ligne et les réseaux sociaux, des filtres vous permettent d’essayer des produits d’une marque en s’appuyant sur la technologie de réalité augmentée qui scanne votre visage pour y apposer un maquillage virtuel. 
L’industrie des cosmétiques avec L’Oréal, Nyx professional makeup, Benefit, Maybelline et les grandes maisons de luxe comme Dior, Guerlain ou Yves Saint Laurent ont vite sauté le pas.
Dns une première partie nous verrons comment l’offre de l'essayage virtuel du maquillage a vu le jour. Dans une deuxième partie nous étudierons les avantages de ce service et les impacts de ces nouvelles stratégies de marketing digital.
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Cent l'essayage virtuel du maquillage a vu le jour ?
En 2006, Microsoft a déposé un brevet sur un procédé de maquillage virtuel pour les visio-conférence. En 2014, l’OREAL Paris a été un des pionniers en proposant l’application MakeUp Genius au Festival de Cannes en 2014…
Ce sont donc bien les progrès techniques et l’innovation qui ont permis de créer des applications, des procédés avec des filtres ou des logiciels qui ont permis de toucher autrement les clients ou des nouvelles générations.
En période de pandémie, les marques de cosmétiques ont dû repenser leur engagement client et adapter leurs stratégies de marketing afin de permettre à leurs clients de profiter d'une expérience shopping en ligne similaire à celle proposée dans une boutique physique.
La semaine dernière, Perfect Corp, le leader mondial des solutions logicielles de Beauty et Fashion tech organisait son événement annuel, le Global Beauty & Fashion Tech Forum sur ZOOM, un rendez-vous immanquable pour les décideurs du secteur ce qui montre que ce marché est plus que jamais d’actualité.
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Quels avantages pour les consommateurs et pour la marque ?
La technologie d’essayage de maquillage virtuel permet aux consommateurs de voir à quoi ressemblent certains produits avant l’achat. Les clients sont libres de décider, essayer et choisir à leur propre rythme, sans ressentir la pression d’avoir à acheter.
Avec les procédés de réalité virtuelle ou augmentée, les marques offrent une véritable personnalisation aux clients qui peuvent ainsi combiner des produits (par exemple un rouge à lèvres avec et différentes ombres à paupières), de créer des produits customisés et d’exprimer leur personnalité et leur sens du style, ce qui contribue à augmenter les ventes.
Les consommateurs auront une expérience d'achat personnalisée avec leurs marques préférées ce qui réduit le taux d’insatisfaction et stimule la fidélité et les ventes.
Pendant ses tests, le consommateur peut se prendre en photo et partager avec les réseaux sociaux et les communautés, ou avec les amis et la famille. Il devient ainsi un propagateur volontaire de la marque.  Il peut même demander aide et conseil en direct.
La technologie d’essayage virtuel aide à réduire les retours de produits, ce qui se traduit par une réduction des coûts et des chaînes d’approvisionnement plus fluides.
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FOCUS sur MODIFACE par L’OREAL (source : rapport d’activité 2020)
ModiFace réinvente l’expérience beauté…
>  Date d’acquisition : 2018 > 1 équipe de 50 ingénieurs, chercheurs et scientifiques > 1 milliard de visites au total, une moyenne de sept minutes en ligne > Taux de conversion X 3 avec le service Modiface > 26% de progression du e-commerce > 30 % du chiffre d’affaires > Multiplication des partenariats avec de nombreuses plateformes de e-commerce, Amazon ou Tmall, de réseaux sociaux, comme Facebook ou Instagram et de messagerie instantanée, comme WeChat.
Pour conclure on notera que le futur de la beauté se façonne donc par les consommateurs eux-mêmes et par l’augmentation des expériences digitales qui se veulent plus authentiques et focalisées sur les communautés qui se développent. Dans ce contexte, l’expérience client doit être repensée afin de générer de l’engagement et fédérer des audiences autour de nouvelles valeurs partagées : créativité, inclusion et engagement écologique.
 Sources :
https://hapticmedia.com/blog/fr/essayage-virtuel/
https://www.loreal-finance.com/fr/rapport-annuel-2020/digital-4-4-0/rendre-la-beauty-tech-accessible-sur-tous-les-points-de-vente-4-4-4/
https://www.journaldunet.com/ebusiness/crm-marketing/1514745-asmita-dubey-l-oreal/
https://journalduluxe.fr/fr/beaute/perfect-global-beauty-fashion-tech-forum-2022
https://www.premiumbeautynews.com/fr/l-impact-de-la-technologie-et-des,20839
 Tredan Lison, IUT Paris Rives de Seine, Tech de co, 2022, 1A
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Melbourne, Victoria
Un long city trip dans une ville réputée pour être l’une des plus agréable au monde. Alors notre verdict ? 
Autant être honnête tout de suite, après le coup de foudre pour Sydney, difficile de détrôner notre ville coup de coeur. Si Melbourne possède bien des qualités et que nous y avons passé de très bons moments, il manque sans conteste ce petit plus qui fait de Sydney LA ville de nos rêves (enfin l’une des villes, car la liste commence à être longue !).
Melbourne est une mégalopole, dont le centre des affaires se mêle agréablement aux bâtiments victoriens emblématiques du patrimoine architectural. Les tours ultra modernes côtoient les cathédrales anglicanes. 
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Melbourne est avant tout la capitale du Victoria, après avoir été la capitale de l’Australie jusqu’en 1927. La région, peuplée autrefois par le peuple aborigène Kulin, fut colonisée par les anglais bien après le New South Wales. La ville de Melbourne n’a en effet été fondée qu’en 1835, près de 60 ans après Sydney. Son essor fut fulgurant notamment grâce (à cause ?) à la ruée vers l’or qui attira de nombreux européens en quête d’une vie meilleure, menant à la quasi extinction de la culture aborigène et de ses représentants (la sempiternelle histoire de la colonisation, sujet vaste et complexe qui me passionne toujours autant, mais  je tente de canaliser ma prose et de ne pas perdre en chemin mes chers lecteurs par des égarements philosophiques ^^)
Notre visite au Musée national de l’immigration nous a à ce sujet apporté beaucoup d’informations sur la construction de la société australienne. L’histoire post coloniale de ce pays est marquée par des périodes de gros flux/ besoins migratoires, en alternance avec des politiques restrictives vis à vis de certaines populations. 
Encore une fois, nous retrouvons dans cette ville, peut être bien plus qu’ailleurs, un brassage ethnique et culturel assez incroyable. Les populations d’origines indiennes ou asiatiques sont omniprésentes à Melbourne. Malgré cela, aucune trace de ce multiculturalisme dans l’architecture de la ville mais seulement dans les propositions culinaires ! 
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La ville est reconnue pour la présence d’art urbain qui embellit les rues et grandes artères. Nous qui sommes amateurs de street art, nous attendions avec impatience la déambulation dans la ville pour découvrir les oeuvres de rue, mais malheureusement, elles n’ont pas été à la hauteur de nos attentes : beaucoup de simples graffitis ou de fresques au format réduit, concentrées dans des rues “attrape touriste” manquant cruellement d’authenticité ! 
Toutefois, la richesse culturelle de la ville nous a largement comblé. Tout comme à Sydney ou Brisbane, les musées d’art sont tous gratuits et possèdent des collections absolument incroyables, avec des expositions temporaires prestigieuses ou très pointues. Nous avons ainsi pu découvrir l’art aborigène lors d’une exposition de jeunes femmes issues de cette communauté, mais aussi d’incroyables oeuvres d’art de diverses périodes artistiques. 
De plus, depuis Singapour, nous continuons de savourer la place donnée aux enfants au quotidien. C’est absolument extraordinaire de se sentir réellement apprécié en tant que famille, de bénéficier de tout ce qui facilite la vie avec un jeune enfant, mais aussi de pouvoir profiter d’activités gratuites partout et tout le temps. Les musées, les restaurants, les hôtels ont tous pour mission de proposer une expérience agréable en famille et cela nous réchauffe le coeur et nous surprend chaque jour un peu plus. Les australiens sacralise la famille, comme nous l’avions remarqué en Floride ou à Singapour et c’est un vrai bonheur !
Ce séjour australien n’est pas tout à fait terminé, bien que ce post sonne comme un prè-bilan ! Il nous reste une petite aventure dans le Victoria, passage immanquable dans ce coin de l’Australie. 
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elysium-poetry · 3 years
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Les longs trajets en bus
“L’appartement est teinté par la lumière bleue de la fin de la nuit, les gouttes de pluie perlent sur les carreaux et la rue dort encore. Le réveil à l’aube n’est donc pas synonyme de grasse matinée ce qui est étrange pour un dimanche. Le sac de courses est rempli d’affaires de sport, les crampons sont encore tâchés de boue séchée. La porte se ferme et interrompt le silence pesant du couloir. Là, des phares illuminent la rue sombre, il est l’heure d’y aller. Arrivés sur le parking du centre commercial où ils se donnent tous rendez-vous les jours de match, le bus les attend. C’est alors un long chemin qui commence sur les routes du Grand Ouest. Les premières minutes sont silencieuses, certains s’allongent dans l’allée centrale pendant que le plus malin a réservé la couchette de la chauffeuse. D’autres restent stoïques, bien droits sur leur siège, les écouteurs vissés dans les oreilles ou en train de regarder le replay du match de la veille. Le boulot, la famille ou les histoires passées rythment les conversations au fond du bus. Première pause à la traditionnelle station essence, les langues se délient autour d’un café et parfois d’une clope pendant que les types de Trélissac demandent des chocolatines. Après le repas, il est temps de découvrir l’enceinte dans laquelle ce groupe passera son après-midi. Ils se rassemblent en cercle, serrés au milieu du terrain pour écouter les consignes des entraîneurs. C’est une cérémonie immanquable pour se sentir, se regarder, se faire confiance et entamer le début du partage car au fond, tout ceci n’est qu’une histoire de partage. Ils entrent maintenant dans l’intimité du vestiaire, se préparent, se soignent avant de se faire du mal. Les rituels diffèrent selon les joueurs, l’un scotche une photographie de sa famille à côté de son porte-manteau, un autre fait une prière tandis qu’un dernier se strappe à l’endroit d’une vieille blessure. L’heure du coup d’envoi approche et la chaleur des vingt-deux joueurs embrase le vestiaire. Ils enfilent leur maillot et sont décidés à entrer sur le pré, déterminés. Le capitaine distille ses derniers encouragements et dans le couloir, derrière la porte fermée, l’arbitre siffle pour signaler aux équipes qu’il est temps de sortir. Quatre-vingts minutes plus tard, le scénario du match a été favorable et leur a offert une victoire à la dernière minute. Chacun s’est sacrifié pour ceux qui se trouvaient à côté d’eux, ils tombent dans les bras des uns et des autres, se congratulent. De retour au vestiaire, les nerfs se relâchent, les rires, les larmes de joie et des émotions différentes traversent les corps. Le calme revient, les discours s’enchaînent et enfin les voix s’unissent pour entamer le chant de la victoire. C’est alors que l’on repense au brouillard du réveil aux aurores, bien vite oublié grâce à toutes ces émotions partagées entre ces personnes si différentes mais unies par le lien du rugby. Semper Fidelis” Elysium
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inesgil · 4 years
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Isratine : journal d'Israel / Palestine
Début avril 2018, je me lance un défi : rouler de Tel-Aviv Jaffa à Ramallah en vélo. Outre l’insolation, les courbatures, et une fatigue extrême, ce périple m’offre un nouveau regard sur la Cisjordanie, et en fin de course, une rencontre. 
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Vélo dans une main, téléphone portable dans l’autre, je dévale péniblement les escaliers d’un petit immeuble typique de Jaffa. Une bâtisse centenaire aux plafonds immenses usés par le temps. Je traverse la cour intérieure, des braillements d’enfants résonnent sur fond de bruits de casserole. Situé au sud du quartier Ajami, le secteur est très familial. Depuis un mois, je partage un appartement avec Ameed et Khaled. Originaires de Nazareth, les deux cousins se sont installés ensemble il y a des lustres. Mais depuis quelques temps, l’ambiance est froide dans l’appartement. Trop différents, ils ne veulent clairement plus vivre ensemble. Telle un Casque bleu posté à la frontière entre le Liban et Israël, ma présence semble apaiser les tensions. 
Au dehors, l’humidité lèche mes narines. La sensation de rosée matinale flotte dans l’air et caresse mon visage. Elle éveille des souvenirs de lendemain de camping derrière la maison de ma grand-mère maternelle. Cette délicieuse époque qu’est l’enfance, où dormir hors de mon lit résonnait comme une incroyable odyssée. Aujourd’hui, une tout autre aventure se dessine devant moi. Une idée qui semble absurde : rouler à vélo de Tel-Aviv à Ramallah. D’après mes souvenirs, une soixantaine de kilomètres sépare les deux villes. Rien d’insurmontable pour quiconque bouge ses gambettes de temps à autres. Mais relier ces deux localités à vélo semble dépasser toute logique. J’en ai parlé à quelques collègues de la chaîne dans laquelle je travaille : “énorme connerie” d’après eux. Ils ont sûrement raison, mais leurs remarques m’ont un peu plus motivée dans mon projet. Surtout parce qu’elles viennent des gens de la chaîne. 
En sortant du bâtiment, je repense à mon besoin constant de réaliser de nouveaux défis (aberrants pour certains), me dépasser, et un peu dépasser les autres aussi. Trois ans plus tôt, déjà installée en Israël pour un stage de quelques mois, j’avais tenté Haïfa-Tel-Aviv à pied. Je m’étais arrêtée à Atlit, épuisée. Bien tenté, Ines... Aujourd’hui, ce nouveau défi est plus que bienvenu. J’ai débarquée en Israël deux mois plus tôt, assoiffée de renouveau, persuadée que Paris n’avait rien à m’offrir après 6 mois de grisaille émotionnelle. Mais je commence à tourner en rond. L’euphorie des premières semaines est un peu retombée. Je me sens censurée par mon supérieur (celui qui s’assure qu’on ne dise pas COLONIE ou OCCUPATION à l’antenne), dont l’attitude me met mal à l’aise. Et mon ex me manque. Un bon Tel-Aviv-Ramallah à deux roues s’impose donc.
Je sors du bâtiment, comblée de m’être réveillée de bonne heure pour faire autre chose que poser mes fesses sur les plages tel-aviviennes. Les deux litres d’eau enfouis dans mon sac clapotent au rythme de mes pas. J’ai préparé une salade, comme toujours, noyée dans un amas de fruits secs et quelques affaires de rechange. Je compte dormir à Ramallah. “Peut-être chez Ahmad”, me dis-je. Seule personne avec qui j’entretiens encore des contacts réguliers à Ramallah (la ville se trouve en Cisjordanie, où j’ai vécu en 2014). Il m’a convié à une soirée le soir même et il sait que je n’ai nul part où dormir. En réalité, en arrivant, je vais découvrir que non, je ne dormirai pas chez Ahmad. Et cela va tout changer pour moi. Je pose le vélo le long d’un mur, j’ouvre les trois-quatre feuilles de papier déjà broyées par mon légendaire toucher délicat. J’ai imprimé à la va-vite le trajet à suivre pour me rendre à Ramallah. En Israël, je n’aurai aucun problème d’orientation. Il suffit de rouler dos à la mer et je suis sûre de me rendre en Cisjordanie. Mais par quel checkpoint passer? Quelles routes emprunter un fois arrivée en territoires palestiniens? Sont-elles toutes ouvertes? (checkpoint fermé le mardi? Caprice de l’armée? Regain de violences? Barrière en béton? Interdit aux Palestiniens? Aux Arabes? Aux non-juifs? Aux Chinois?...). La Cisjordanie est un gruyère incompréhensible. Mais adepte du bordel, de l’improvisation totale, je n’ai pas préparé grand chose. Seulement ce vieux plan imprimé d’une encre hideuse. Il m’indique d’emprunter le checkpoint de Rantis, puis de descendre la Cisjordanie, direction Ramallah.
Sur mon téléphone, Google Maps n’annonce pas le chemin à suivre. Ou plutôt, il me recommande de rouler… pendant 3 jours. Nombreuses sont les routes palestiniennes qui n’ont pas été enregistrées par l’application. D’une ville à l’autre, c’est toujours le même scénario : elle fait passer voitures et vélos par des détours impossibles, une perte de temps effroyable. J’utiliserai donc ma bonne vieille carte, à l’ancienne. Mon téléphone me servira pour repérer ma position en cas de problème.
J’empoigne mon deux-roues d’une motivation d’acier. Premier coup de pédale, début du périple. Le vent frais marin frappe mon visage d’une claque délicieuse. Un doux début d’avril à 8 heures du matin à Jaffa. Il fait un peu froid, mais c’est agréable. La rue Yefet, habituellement chargée à bloc, n’est pas encore tout à fait réveillée. Après une demi-heure de route, je sors de la ville, petite en largeur. Tel-Aviv est bien la cité des vélos. Mais en quittant la mégalopole, j’entre dans une tout autre réalité. Je sillonne une voie étroite. Aucune place pour les deux roues sur le bas côté. Les voitures me frôlent en passant. Au loin, j’essaye déjà d’apercevoir les collines palestiniennes de Cisjordanie, mais impossible. La route semble infinie. De chaque côté, des champs s’étalent. Le paysage prend des couleurs jaune paille et verdâtre. “On dirait la Lorraine en moins beau”, me dis-je. Le temps nuageux et l’effet de pollution n’arrangent pas les choses. Une pensée stupide traverse mon esprit : “C’est pour ça qu’ils se sont battus il y a 70 ans?”.
Outre l’absence d’espace peu commode, la route est facile. Du plat à l’infini. Au total, il me faut deux heures pour traverser Israël. En milieu de matinée, les premières côtes se dessinent. Mes mollets déjà bien formés doivent redoubler d’efforts. Plusieurs kilomètres comme ça, et toujours pas de checkpoint. Je m’arrête, saisis mon téléphone : je n’ai pas encore passé la ligne verte (ligne de démarcation entre Israël et la Cisjordanie). Je reprends la route, et soudain, les petites cabanes du checkpoint se dessinent de chaque côté de la chaussée. Trois ou quatre soldates israéliennes discutent. Les battements de mon coeur accélèrent. Je crains qu’elles ne m’arrêtent, abasourdies de voir une cycliste se rendre en Cisjordanie. Mais il ne se passe rien. Elles remarquent à peine ma présence. Avec ma tête (blanche, blonde aux cheveux frisés), j’entre dans la catégorie des physiques types israéliens. D’ailleurs, les gens me prennent souvent pour une Russe dans la rue (les Russes sont très nombreux en Israël, notamment depuis leur arrivée en masse après la chute de l’URSS). Checkpoint passé, ça y est : je suis en Palestine.
Arrivée au sommet d’une petite colline, je la dévale à toute vitesse. L’histoire des heures à venir. Une lutte acharnée pendant 30 minutes à chaque montée, et la jouissance de la descente… qui dure 30 secondes. Durant la course, le vélo m’offre plus de temps pour observer, me connecter avec l’environnement et les structures urbaines, symptomatiques de la situation politique. Avec leur structure carrée à la Wisteria Lane et leurs toits orange, les colonies israéliennes sont immanquables. Les villages palestiniens, eux, sont reconnaissables grâce aux minarets des mosquées, et sont plutôt construits au pied des montagnes. Une scène se répète sans fin : à chaque fois, les colonies israéliennes sont implantées au sommet des collines. Postés dans leurs confortables miradors, les colons scrutent toute la région. Les agissements des Palestiniens sont visibles de partout et de très loin. Aussi anodins qu'ils puissent paraître, l'urbanisme et l'architecture sont les premiers outils du contrôle israélien dans la région.
En contraste à la première partie de mon voyage en Israël, le paysage est remodelé. D’une piètre médiocrité entre Tel-Aviv et Rantis, il se transforme en une petite merveille méditerranéenne. Le gris vert des oliviers plantés entre les roches sèches, envahit mes yeux. Le soleil, qui s’est soudain levé, éblouit ce tableau coloré. En dévalant une longue pente, j’admire la région. Sans trop savoir pourquoi, une vive émotion s’empare de moi : “c’est tellement beau, putain”.
Le soleil frappe mon crâne à mesure que les heures passent. Durant une pause méritée sous un olivier, j’entoure ma tête d’un châle. Je me regarde dans l’appareil photo de mon téléphone : “J’ai vraiment l’air d’une colon…”. En entrant en Cisjordanie, j’ai quitté une relative “normalité”. Ici, je m’expose à bien plus de tensions. Or, mon physique me classe directement dans la case Israélienne. En reprenant la route, lorsque certaines voitures me frôlent, la crainte traverse mon esprit : “et si un Palestinien me prenait pour une colon israélienne? Ca serait vraiment trop con…”. Mais les heures défilent, et il ne se passe rien. 
Sur le chemin, je rencontre des Israéliens bien plus apeurés que moi. Une voiture militaire m’arrête dans ma course : “vous faites quoi?”, me demande une soldate avec la légendaire “douceur” locale (équivalente à une claque donnée à l’aide d’un cactus). Je réponds en anglais : “je… fais du vélo. Il y a un problème? Je ne parle pas hébreu”. Elle regarde son collègue, d’un air un peu ébahi. Elle continue, en hébreu, bien sûr : “du vélo? Ici ?” Le reste, je ne le comprends pas. Je hausse les épaules, la regarde d’un air gêné : “but, it is not forbidden…” Elle ne répond rien, et l’air exaspéré, retourne dans sa camionnette militaire. Pédaler à vélo dans la rue, un acte surréaliste dans ces territoires. Je reprends ma course. Le cagnard devient insupportable. Le soleil perce ma peau avec violence, mon visage a viré au rouge. J’ai le sentiment que ma tête va éclater sous la chaleur. Je m’arrête près d’une heure et demie. Sur le côté du sentier, j’ai repéré un arbre assez grand pour protéger mon mètre 70 du soleil brûlant. Cette pause me fait un bien fou. Une envie dingue de m’endormir pour les 10 heures à venir me submerge. Après cette vague tentative de me remettre d’un début d’insolation, je reprends la route sans grande motivation. Je n’ai pas le choix, il me reste un bon morceau à parcourir. J’enfourche le deux-roues en soufflant : “Pourquoi je n’ai pas de vélo électrique, déjà?”. Je repose mes fesses avec peine sur la selle anormalement dure. Mon popotin doit se réhabituer au supplice. “Bordel, quel enfer”. Les trois heures suivantes, les mêmes paysages se succèdent. Mais plus aucun émerveillement dans mes yeux. Je ne pense qu’à une chose… enfin débarquer dans cette foutue Ramallah. Sur le chemin, deux voitures aux plaques vertes et blanches (palestinienne) me dépassent en se foutant de moi. Le fait qu’ils me prennent pour une colon doit les motiver. Même si je suis au bout de ma vie, je les comprends un peu. J’ai vraiment une sale tronche. Étant donnés les rapports plus que tendus entre Israéliens et Palestiniens en Cisjordanie, s’ils peuvent s’offrir le plaisir de se moquer d’une galérienne de colon israélienne… why not. 
Sur le chemin, une voiture, plaque jaune et bleue (israélienne) s’arrête : “Shalom” me lance un homme : “Shalom, ani lo medaveret ivrit (je ne parle pas hébreu)”. L’homme acquiesce, l’air compréhensif : “heu… vous allez bien? Vous avez besoin d’aide?” cela ressemble plus à une affirmation qu’à une question. Mon visage, rouge feu, semble exploser. Je souris : “non, merci, je fais un tour à vélo. Il fait juste un peu chaud”. “Vous allez où?”, je réponds, l’air un peu gêné : “heu… un peu plus loin, j’en ai pour 10 minutes à peine”. Il enchaîne : “Pourquoi faire du vélo?! C’est dangereux!” Je réplique : “tout va bien merci!” Il remonte dans sa voiture, en me lançant un dernier regard inquiet. “Honnêtement, non”, me dis-je, “tu as vu juste, je ne vais pas très bien”. Mais j’ai de l’énergie. J’ai encore espoir de terminer mon parcours à vélo. “Et puis j’imagine que tu n’as pas très envie de me déposer à Ramallah.” 
Une heure (et des montées de collines infernales) plus tard, une bifurcation s’ouvre sur la droite. Un panneau immense est planté à l’entrée de la chaussée, avec, écrit en lettre blanche sur fond rouge en arabe, en hébreu et en anglais : “cette route mène vers la zone A, sous autorité palestinienne. L’entrée est interdite aux Israéliens, elle représente un danger pour leur vie et elle est contraire au droit israélien.” Je regarde mon Google maps, je compare avec ma carte : je dois tourner. Si je continuais tout droit, je serais toujours sur une route de la zone C (contrôle administratif et sécuritaire israélien). Moderne, lisse, agréable, séparée par des petits pointillés jaunes, et même ensoleillée. Pas un seul trou. Mais à droite, la voie est criblée de culs de poule. Grise-noire, délabrée, il semble même que le soleil ait déserté le chemin (zone A, interdite aux rayons de soleil dans le droit israélien?) 
La colline mène sur une dizaine d’habitations. Elle est particulièrement pentue. Je suis déjà désabusée. Après quelques mètres, une voiture palestinienne s’arrête. Quatre hommes sortent du véhicule : “Hello! Vous avez besoin d’aide?” me demandent-il en anglais. Je suis en zone A, ils ont donc tout de suite compris que j’étais Européenne. “YES! Please!” 
Enfin, je pose les pieds à Ramallah. Finalement, je n’aurai pas fait tout le chemin à vélo. Une dizaine de minutes en voiture ont achevé ma course. Je l’avoue, pour la première fois dans ce texte. J’ai toujours omis cette dernière partie de mon voyage, trop fière d’assurer que “oui, bien sûr, j’ai fait tout le chemin sans aucune aide”, ravie de voir les yeux impressionnés de mes interlocuteurs. 
Je me pose dans le premier café sur le chemin. Un lieu plutôt hype, décoré comme un jardin à l’anglaise. Mal habillée, mal coiffée, toujours aussi rouge, l’air desséchée, je pue. Je suis aux antipodes des codes ramallawis et des codes arabes en général. Avec un petit air honteux, je m’assois loin des autres clients. Mon vélo est resté dehors, sans cadenas. Ce n’est plus Tel-Aviv, ici, “personne ne le prendra”, m’affirme un serveur. Ahmad débarque, le sourire éclatant. Plus de trois ans sans le voir. Je refuse de le prendre dans mes bras : “I smell so bad !” Il s’assoit, curieux de découvrir le café où nous nous trouvons, trop “girly” pour lui. Il est bien plus branché bars à bières. Pendant une heure, on se refait les trois ans passés et les 10 heures de presque enfer que je viens de vivre : “Ahmad, can I take a shower at your place please?” il répond : “Of course! But tonight, you cannot sleep there, my cat did shit in the room. Anyway… you will sleep in an apartment with French people. Is it ok?” Je réponds, juste soulagée de pouvoir prendre une douche d’ici peu : “oh yeah yeah! That’s nice from them!” 
La soirée est organisée à Birzeit, un petit village chrétien coquet à 10 minutes en voiture de Ramallah. En quatre roues, cette fois, pas à vélo. Plus jamais. Comme une sensation de gueule de bois, je refuse de penser à cet objet maudit pour les heures qui viennent. “Who is organizing the party?” Ahmad me répond : “German people studying in Birzeit”. Outre le petit village, Birzeit est surtout connue pour son immense université, légèrement excentrée. Un programme de langue arabe y accueille des étrangers venus du monde entier.
Arrivés à destination, je descends des petits escaliers en suivant Ahmad. Un chemin étroit mène sur une terrasse noyée de plantes. Au milieu, une grande table est installée pour accueillir une vingtaine de personnes. “Ines!” s’écrit Ahmad, “those are the French people”.
Je me dirige vers la terrasse, quand un mec m’arrête : “Hi! I am Adam!” Pas d’une beauté frappante, mais plutôt mignon. Je souris : “Hi! My name is Ines”. Son accent laisse penser qu’il est américain. Mais sa tête : totalement british. Des petits yeux malicieux, un nez imparfait, une bouche légèrement charnue. La peau blanche, une masse de cheveux sombre en bataille. Il n’est pas très grand. “Where are you from?” Il répond d’un air fier : “From Palestine”. Je suis surprise. Je n’y étais pas du tout. On parle un peu, de banalités, de politique, il est plutôt drôle, assez sûr de lui. Je suis sa proie ce soir. Je ne comprendrai les habitudes de drague de ce mec que bien plus tard. Je finis par m’éclipser pour passer à table avec les autres. Je ne lui reparlerai plus de la soirée. Jusqu’à comprendre que les “French people” chez qui je vais dormir sont ses colocataires.  
La soirée achevée, retour à Ramallah. Moi, les “French people” (Rebecca et Ghali) et Adam. Arrivés à l’appartement, les deux Français filent dans leurs chambres respectives, épuisés. Je m’assois sur le canapé avec Adam. Je ne sais plus de quoi on parle, mais il installe un petit jeu de séduction. Dans la conversation, la question de son âge survient : “j’ai 22 ans.” C’est idiot, mais mon souffle se coupe net. J'acquiesce en souriant d’un air un peu faux, tout en pensant : “ça va pas le faire. Trop jeune pour moi. J’aurais 26 ans dans un mois...” Derrière ses grandes lunettes, ses yeux ne trompent pas. Je sens qu’il en a envie. Il croit que c’est réciproque. Mais non. 22 ans, bordel. Et ce n’est pas tout. Il ne me plait pas spécialement. J’observe son jeu de séduction avec un peu d’arrogance. Ce dédain qu’on a tous connu un jour : savoir que l’autre ne pense qu’à cela, et se dire : “mouais... pourquoi pas…” Sentir qu’on a le contrôle sur la situation. Au milieu du numéro de drague, son colocataire sort de la chambre : “hum, please, can you go to the kitchen to speak?” Je souris, et me tourne vers Adam : “I will go to sleep.” Il ne se passera rien. Tant mieux, je ne suis pas déçue. Presque soulagée que son pote ait débarqué pour nous dire de la mettre en sourdine. Mais finalement, un mois plus tard, ce mec, Adam, deviendra MON mec. Pour les deux années à venir. L’effort du vélo en valait sûrement la peine.
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a-royal-obsession · 4 years
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The Princess of Wales to the Prince of Wales
26 Apr. [1796]
J’ai bien murément réflechie sur ma situation actuelle et je désire pour cela infinement qu’a l’avenir vous me donnerez vos ordres par écrit, pour qui tout mésentendue dire soit pour toujours bani entre nous ce qui ne peut que me rendre ma situation que plus inconfortable.
L’appelle comme vous le nomé, que j’ai fait à mon digne oncle de Gloster était bien naturelle n’ayant personne dans ce imence pays qui peut s’interressé si vivement a mon bonheur que lui, et que je regarderez tout ma vie comme mon second père, cela ne pas pu vous étonner un moment? Mais l’appelle que vous avez fait à Milord Malmesbourg ma étonné au possible, un homme que vous même aviez bani de ma societé d’abord aprés mon arrivée dans ce pays, de le faire venir chez vous que pour vous plaindre de moi et de faire des imprecations et des accusations très injuste et très fause sur ma conduite vers vous, cela choque chaque âme sensible et pénetré de sentiments d’honneur et de probité.
Au sujet de la dame en question, je suis beaucoup trop fiere pour de nouveau me disculpé d’une accusation si parfaitement injuste et qui me révolte qu’en j’y pense. Pour le troisieme article j’avoue sincerement que je ne le comprend pas du tout, et je désire pour cela bien vivement un éclairecissement d’une ou autre façon, comme j’ai l’avantage d’une conscience intacte de pouvoir marcher tête levée dans toutes les occasions de la vie, elle me servent d’egide dans ce monde et me suviera [sic] dans l’autre. Vous dit que trop vrai que je dois toujours prendre la Reine pour model, je croie je pourrai avec plus fort raison vous conjure les mains jointes de suiver la conduite ferme et exacte du Roy vis-à-vis de la Reine, pour ce qui concerne d’étudié vos gout cela a été de tout tems mon seul but (fait en appelle à nos amies) qui vous diront la même chose, mais, hélas!, en vous voyant jamais com̄ent les tout diviné et prévenir et pouviez vous en être seulement un moment surprie du contraire?
C’est une grande consolation de pouvoir se dire j’oublie les torts que l’on a vis-à-vis de moi, je m’occupe a remplir tous mes devours envers mon mari, mon enfant, et mes digne parents, et c’est en suivant une marche toujours égale, que j’espere de remplir les vues de la Providence, qui en me faisant naitre et me plaçant dans les positions si difficiles n’a surement pas voulu mon malheur, mais bien plus tôt me mettre a l’epreuve et m’attirer à elle en me faisant voir de près le néant de toutes les choses de ce monde; il est nécessaire de se dire souvent que nous sommes dans les mains de Dieu, parvu que me principes soient bons, et que ma conduite soit sage, il fera enfin thriompher la vertu de tous les maux, qui l’environment, avec de la pastience et de la perseverance mon bonheur est immanquable, les positions difficile servent à relever le mérite de ceux qui les surmontent et ce sera mon sort un jour, si je rend le bien pour le mal, si je me sacrifiers a l’interêt de la nation et au bonheur de ma fille de ne jamais, jamais de m’en séparere et de ne pas être egoiste dans ce moment; c’est le moien le plus immanquable pour faire taire mes ennemis, et de les confondre et de les ramener à la raison et à la justice; soyé persuadé que le merite d’une femme sage et prudente peut d’avantage dans des situations difficiles que dans la marche ordinaire des choses, aureste mon coeur vous est sincerement voué et j’ai la plus grande confiance dans le tems.
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matthias-songbook · 5 years
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David Bowie : exposition exceptionnelle à St-Étienne
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Du 4 au 13 octobre prochains, l’École de design et des Beaux Arts de la ville de Saint-Étienne accueille la nouvelle itération d’une exposition sur David Bowie devenue incontournable. Cette année, la “Bowie Odyssée” embarque Jean-Charles Gautier et Yves Gardes, deux inconditionnels aux collections plus qu’impressionnantes. Rencontres
“C’est fou – tout le monde connaît David Bowie.” Une phrase prononcée par Éric Tandy, résonnant au propre comme au figuré : assis au milieu d’un des immenses halls de l’École de design et des Beaux Arts de St-Étienne, le commissaire de l’exposition “Bowie Odyssée” répond calmement et avec passion à nos quelques questions. Pourtant, il a un sacré poids sur les épaules : celui de faire vivre la plus grosse exposition consacrée à David Bowie, pour la deuxième année consécutive – rien que ça. En effet, dans le cadre du festival Rhino Jazz(s) – rendez-vous immanquable pour tous les amateurs du genre qui fête ses quarante ans en 2018 – que Jean-Paul Chazalon (président) et son fils Ludovic (directeur artistique de l’événement) organisent ensemble, David Bowie sera mis à l’honneur du 4 au 13 octobre prochains pour un événement en trois parties. “Hors-normes, énorme,” à l’image du “personnage” selon Jean-Paul Chazalon, dont le “rapport très étroit avec les musiques de jazz” (Ludovic Chazalon) sera entretenu jusqu’à la fin sur l’album Blackstar, un disque enregistré avec la crème des jazzmen new-yorkais, dont un certain Donny McCaslin.
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Polymorphe par essence
Les trois étapes de l’odyssée Bowie proposée par l’expo : un concert acoustique (avec, entre autres, Sandra Nkaké), un autre symphonique (avec notamment Nosfel), organisé à l’Opéra de St-Étienne, et une monstrueuse exposition, dont le contenu est en partie assuré par deux collectionneurs, Jean-Charles Gautier et Yves Gardes. Au programme : plus de 600 pièces (une première), dont un acte de naissance original (!), et autant de témoins de la force de frappe musicale et artistique d’un personnage à part dans le paysage pop moderne.
Photographies originales, press kits, tirages, disques rarissimes, partitions (celle “du premier morceau qu’il ait jamais écrit !” s’exclame Éric Tandy)... une collection qui, sans être éclectique (est-ce seulement possible ?), devrait laisser sans voix fans et curieux. Mais d’où peut provenir un tel appétit autour des souvenirs d’un artiste ? Un culte, une dévotion ? “Je n’y ai jamais vraiment réfléchi” répond Yves Gardes. Plutôt “une grande passion” qui “agrémente la vie,” finit-il par répondre. “Ce qui est intéressant, c’est la façon dont son univers a marqué des personnes à des niveaux et des façons totalement différentes” nous confirmait un peu plus tôt Éric Tandy. “Chacun a une petite histoire de sa vie liée à Bowie.” Car si Bowie a pu déranger, particulièrement en France – “Ça a tellement gêné qu'[il] n’ait pas d’étiquette” rappelle, amusé, Jean-Charles Gautier – difficile de ne pas lui accorder le crédit de sa richesse, de ses expérimentations tentaculaires, de ses changements permanents. En cinquante ans de carrière (ce dont peu d’artistes peuvent se targuer, “sauf Dylan”), “il a fait exploser les formats pop,” a “réécrit son histoire” d’après Éric Tandy, qui rappelle son influence majeure dans les années 80 notamment. “Un artiste au grand sens du terme” pour le collectionneur Jean-Charles Gautier, qui déplore la dégradation du terme au profit d’une “starification” qui peut prêter à sourire en comparaison aux boulimies artistiques et stylistiques du Thin White Duke.
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Un projet titanesque
Un déchaînement de passion indispensable lorsqu’il s’agit de célébrer la carrière d’un artiste aussi marquant. Et pourtant : le projet, dont la première saison fut lancée en 2017, a failli ne jamais voir le jour suite à la disparition brutale de Bowie, le 10 janvier 2016 à New York, quelques jours seulement après la sortie de son album-testament Blackstar. Mais ce qui ressemblait à un coup de massue n’a fait que renforcer les intentions et les ambitions de l’équipe, se rappelle Jean-Paul Chazalon. Des ambitions portées cette année par le double concert qui accompagne l’exposition, “une nouvelle réflexion autour de l’opus musical de Bowie” nous explique Ludovic Chazalon, qui cherche tout particulièrement à “proposer une réécriture autour des musiques de Bowie.”
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“The stars are out tonight” à St-Étienne
Culte, incontournable, David Bowie s’immisce jusque dans un festival de jazz à St-Étienne – une nouvelle preuve de son omnipotence musicale, qui confine presque à l’insolence. “Ce mec-là est beaucoup plus immense que ce que j’avais pu imaginer à un moment donné” nous confie Jean-Paul Chazalon, immense passionné de jazz mais encore novice au sujet de l’œuvre de Bowie, sur laquelle il en apprend encore aujourd’hui. “Il s’ouvre à tout” rappelle Yves Gardes, pour qui “chaque état d’esprit qu’on peut avoir dans sa vie, (…) on a un album.” Un constat qui renvoie les deux collectionneurs aux origines de leur passion commune, “avec Diamond Dogs en 74″ se rappelle Jean-Charles Gautier, qui s’est rapidement demandé “comment quelqu’un pouvait aborder deux thèmes aussi différents (en rapport avec l’album précédent, ndlr) ?” “Beaucoup plus tard” pour Yves Gardes, qui est “remonté dans le temps” en le découvrant dans les années 80 : “blond, bronzé,” avec une “musique pop hyper abordable, succès mondial...”
Un artiste complet qu’on ne présente plus mais qui suscite une curiosité intarissable, pour des raisons tout aussi nombreuses : ses expérimentations, son héritage (”un passeur” pour Yves Gardes, qui a autant pris que donné à des artistes comme Sonic Youth, les Pixies, Placebo, Iggy Pop, Lou Reed…), mais aussi sa discrétion. Comme le rappelle Éric Tandy dans une saillie : “Tout le monde s’en fout de sa vie intime (…) il a tout dit de suite.” Sûrement une façon pour lui de se consacrer exclusivement à son art, sans jamais l’occulter avec des histoires nuisibles. Et une raison supplémentaire d’en apprendre encore aujourd’hui sur un véritable caméléon de la pop culture, à qui la ville de St-Étienne rend ici un hommage aussi vibrant et foisonnant que ne le fut sa carrière.
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frtodaynews · 6 years
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Ce qu’il ne fallait pas rater dans l’actu de ce jeudi 30 août…
(Photo d'illustration). Il existe plusieurs espèces de raies électriques, dites «raies torpilles». — Kelvin Aitken / VWPics / SIPA
Vous n’avez pas eu le temps de consulter votre site d'infos préféré aujourd’hui ? Vous pouvez réparer cette (impardonnable) erreur en lisant les immanquables du jour. On vous laisse apprécier.
L’article le plus lu du jour : La police intercepte un véhicule dans un état hors du commun
Les policiers nantais ont dû se pincer pour y croire. Dans la nuit de mardi à mercredi, une patrouille de la Brigade anti-criminalité est tombée nez à nez avec un véhicule hors du commun en circulation non loin du parc des expositions de la Beaujoire.
[#insolite] Quand la Bac Nuit croise un objet roulant non identifié bd de la beaujoire #Nantes. #LeAlloChefDuJour
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Le conducteur de la Peugeot 205 entièrement découpée refuse le contrôle & accélère sur 3 km. Âgé de 16 ans, il est interpellé & remis à sa mère.#FileDansTaChambre pic.twitter.com/WuD85GFb7u
— Police Nationale 44 (@PoliceNat44) August 29, 2018
Cet « objet roulant non identifié », comme le décrit la police, était en fait une Peugeot 205 dépourvue de portes, de capot et dont l’habitacle avait été découpé ! Evidemment non conforme. La suite est à lire par ici.
L’article le plus partagé du jour : Le réalisateur Costa-Gavras obligé de démentir son propre décès
Victime d’un imposteur. Le réalisateur Costa-Gavras a été obligé de démentir à la télévision publique grecque son propre décès ce jeudi. Le cinéaste franco-grec, âgé de 85 ans, a indiqué qu’il s’agissait « d’une blague de mauvais goût ». Plusieurs médias, mais pas 20 Minutes, ont annoncé le décès de Costa-Gavras après la publication d’un tweet jeudi après-midi. « URGENT. Je reçois à l’instant de Paris la nouvelle du décès du réalisateur et producteur grec Costa-Gavras », a annoncé un compte au nom de Myrsini Zorba, la nouvelle ministre de la Culture grecque, nommée il y a seulement deux jours. Pourtant, ce compte était faux et a été supprimé dans la foulée. On vous explique dans cet article qui est l'auteur de ce canular de mauvais goût.
L’article de la rédaction du jour : Pourquoi Emmaneul Macron pourrait reporter la réforme du prélèvement à la source
Cette fois-ci, ce devrait être la bonne. Enfin, peut-être pas. Officiellement, la réforme du prélèvement à la source sera bien mise en place en janvier 2019. Le gouvernement n’a pas ménagé ses efforts pour communiquer dessus. Mais ce jeudi, le chef de l’État a déclaré – publiquement – qu’il voulait « des réponses précises » avant de se décider. De quoi préparer le terrain à un nouveau report, après celui de l’année dernière ? Voici pourquoi cette possibilité est loin d'être farfelue.
L’interview à lire du jour : Une raie électrique, «ça peut assommer un nageur», prévient un spécialiste
« C’est une grosse mémère ! » On ne se serait pas permis cette description, mais c’est un spécialiste qui nous la propose, alors pourquoi pas. Une raie torpille a été filmée sur la plage de l’Estaque, à Marseille. On a analysé les images avec le biologiste Nicolas Ziani, fondateur du Groupe phocéen d’étude des requins. Découvrez l'interview par là.
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Une #raie torpille a été aperçue à l’Estaque à #Marseille !
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Attention, cette espèce n’est pas venimeuse mais elle est électrique
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Merci à Sofyane Moutata pour sa vidéo pic.twitter.com/R57Z7UGlCe
— La Provence (@laprovence) August 29, 2018
20minutes Economie
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monsieurcyclopede · 5 years
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Jour 78 et 79 : De Lyon à Tencin 159 kilomètres
Mon passage sur Lyon fut de courte durée. L'occasion tout de même d'y passer un bel après-midi et une belle soirée en de bonne compagnie... Encore merci à vous Caro et Nico pour votre accueil. J'étais heureux de vous retrouver dans votre nouveau chez vous et d'y arriver avec Monsieur Cyclopède. Votre jolie ville annonce avec douceur les prémisses du sud tout proche, on y entend quelques cigales à l'ombre des platanes. Si on sait où se rendre, on y voit les massifs alpins.
C'est une occasion trop belle, inespérée et immanquable qui m'a poussé à partir si vite. Celle de filer à grands coups de pédales en direction de Grenoble et d'y arriver le plus vite possible. J'avais des Amis à y retrouver et pour rien au monde je ne les aurais rater...
Je suis sorti de la gueule du Lyon par le sud-est, c'était ma foi encore plus douloureux que d'y rentrer... Vingt-cinq kilomètres suffoquants à travers une urbanisation affolante avant de voir un champs et de respirer un peu. J'ai parcouru 100 kilomètres d'une traite jusqu'au très beau village de Beaucroissant. Un bel endroit perché.
En observateur privilégié, je me suis reposé là, juste devant la Chartreuse et le Vercors, prêt à viser entre les deux pour rejoindre Grenoble. Depuis Lyon, la route n'a pas été fameuse. La chaleur m'a écrasé dans les plaines cultivées et sèches de l'Isère. Au bout de 100 kilomètres, la vision des montagnes m'a fait l'effet d'une carafe d'eau fraîche et d'une promesse de journées plus palpitantes.
Le lendemain, une dernière longueur d'environ 60 kilomètres m'a permis de retrouver mes amis. Après la traversée de Grenoble, j'ai remonté le cours de l'Isère dans la magnifique vallée du Grésivaudan, entre les beaux noyers, les blés et les maïs, le panorama sur la Chartreuse est merveilleux... Les montagnes sont majestueuses et leur vision rappelle instantanément à mon esprit à quel point je les aime et elles m'attirent. Le ciel est envahit de parapentes qui colorent l'azur en une centaines de petits croissants volants. J'ai envie de plonger dans ces reliefs de beauté. Bientôt...
Mon arrivée à Tencin a été triomphale, les maillots jaunes infusés aux amphétamines et autres pois rouges aux mollets imberbes peuvent aller se rhabiller. Le tour de France, je l'ai commencé avant vous et c'est par ici qu'il passe !!
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familleserez · 5 years
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Plateau des Bolovens
J 37 à J 40 - 26 au 30 juin 19
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jeudi 27 juin
Arrivée à Paksé à six heures du matin après une nuit de bus depuis Ventiane. Rencontré Nala qui voyage depuis un an et qui c’est cassé la jambe, mais continue de faire son voyage avec deux béquille ! Nous la retrouverons plus tard dans les iles de Khone. On se dirige vers le loueur de scooters.
Rencontre avec Yves, un Belge exilé au Laos qui tient la boutique,  et qui nous fait un bon briefing sur le Plateau des Bolovens : où aller que et qui voir, les routes à ne pas faire, les cascades immanquables, etc. Après une petite prise en main des machines,  départ pour quatre-vingts kilomètres de piste jusqu’à notre première guesthouse. En chemin, on s’arrête chez un producteur de café , Mr Vieng, qui nous fait visiter sa plantation et déguster son café arabica et robusta de très bonne facture, on se régale. On roule sur un beau plateau très végétal , la route est bordée de petites échoppes et de boui-boui, on on se tape une  soupe de nouilles avant de finir notre journée à Tade Lo, petite bourgade dotée d’une très jolie cascade et de quelques éléphants en retraite qui font le bonheur des touristes. Nous posons nos sacs à la Fandee GestHouse tenue par un français que nous ne rencontrons pas, car il est au pays pour quelques semaines, mais accueillis par la cuisinière et gardienne Lao « du temple « . Jolis petits bungalows qui nous serviront de base pour deux jours. On y mange bien , c’est cool. Rencontre avec Yann, un pote du patron, qui a le projet de faire un acrobranche dans la région.
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Départ pour le plateau
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Chez Mr Vieng
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les route du plateau
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Station essence !
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Les plantations de café
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Vendredi 28 juin Nous partons visiter le village de Captain Hook. Personnage étrange qui fait des visites journalières de son village. Communauté de minorité ethnique un peu recluse, animiste. Nous  avons de longues discussions sur le café, les mariages arrangés , les croyances ancestrales. Certains villageois croient encore  que la terre est plate et que les photos prélèvent leurs âmes. On en apprend beaucoup sur les plantes médicinales. Il nous fabrique un fil indestructible avec deux bouts de liane, fait une flèche capable de tuer un petit animal à 5m avec une tige de papyrus. Bref, une belle journée riche en découvertes.
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Plantation de manioc , eh oui ce n’est pas de la ganja ....
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Samedi 29 juin Après une nuit plutôt calme , pas de pluie, on prendra la route pour une étape de 60km, on se prend un orage carabiné sur la route, donc arrêt de quelques heures dans un hangar transformé en restaurant où la famille nous accueille tellement bien, que nous y passons une partie de l’après-midi à jouer avec eux. Après la pluie et sous un ciel gris, nous roulons jusqu’aux magnifiques chutes jumelles où nous dormirons à nouveau dans la jungle, pour notre troisième nuit au Boloven.
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repas dans le hangar.  Pas très grand les Laos, mais quel sourire
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Dimanche 30 juin Réveil sous la pluie, on tente une nouvelle cascade, mais la route qui y conduit est argileuse et glissante comme une savonnette , nos mobylettes crient misère et nous reculons à contrecœur. Nous retournons à Paksé après plusieurs stops pour nous abriter de la pluie. On se trouve un hôtel miteux et l’on achète un billet de bus pour les 4000 Iles de Don Khone.
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on the road, again....
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chantier à Paksé
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marché de Paksé
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anaisanaistl-blog · 5 years
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#savetheamazon Honteux ! Les infos immanquables du 22 août selon 20 minutes : "Saucisse au cannabis, torse nu hors la loi et consomonaute de 160kg". Infos du 20H de TF1 : chirurgien soupçonné de pédophilie, les fruits et légumes bio trop chers en grande surface, le Gard en état de crise hydrologique, l'épave du Titanic dégradée et le feu souterrain qui brûlé depuis plus de 60 ans dans une ville des États-Unis. Mais 0 mentions aux milliers d'hectares qui brûlent depuis 16 jours en Amazonie ! #prayforamazonia #amazonrainforest #amazonfire https://www.instagram.com/p/B1ezT-_IDvw4sHkFCNVgbzGouptoDTkGH1YV0c0/?igshid=n32cj90xdf5s
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Les Everglades : Shark valley
Mythiques et immanquables lors ce road trip, nous avons choisi de découvrir les Everglades lors d’une journée à Shark Valley, l’un des trois sites possibles pour accéder au parc national des Everglades. Nous avons fait l’impasse du populaire “airboat” ou aéroglisseur (cf le générique des experts Miami #horaciocaine) car bien que ludique et attractif, ce mode de transport peut s’avérer bruyant et pas franchement très respectueux de l’environnement déjà fragile des Glades. Nous avons donc opté pour une balade en vélo de 24km, un circuit durant lequel nous avons pu rencontrer une trentaine d’alligators plus ou moins gros (et plus ou moins flippants). La population des alligators en Floride est estimée à plus d’un million actuellement et les habitants de la région vivent littéralement avec cet animal impressionnant (nous nous sommes amusés à rechercher les actualités sur les infos insolites liées à la cohabitation homme / alligator, nous n’avons pas été déçus !). Les attaques sont heureusement rarissimes, l’alligator étant un poil moins agressif que son cousin marin le crocodile. Avec un cerveau de la taille d’une cacahuète, il n’en demeure pas moins redoutablement dangereux, nous avons donc respecté LA consigne de rester toujours à 4 mètres de distance. Nous avons beaucoup apprécié cette visite, qui nous a donné le sentiment de traverser un environnement sauvage tout en ne faisant que passer sans le lui nuire ni le déranger. Sentiment exacerbé quand nous avons découvert, stupéfaits, une couvée de bébés alligators férocement gardée par leur maman. Cette balade intense fut également ponctuée de rencontres avec plusieurs espèces d’oiseaux dont le majestueux héron bleu et l’anhinga (assez semblable à un cormoran) ou encore la spatule rose. Mais les Everglades c’est quoi ? C’est partis pour le “Jamy & Fred” moment : pour faire simple, c’est une région très vaste de 611 hectares qui recouvre une grande partie de la Floride et qui est composée de zones humides (marais, lacs, rivières) dont le niveau fluctue en fonction des saisons. L’écosystème y est extrêmement riche bien que hostile. C’est d’ailleurs cette région qui repoussa l’essor de la Floride par rapport aux états voisins car perçue comme un grand marécage inaccessible et inexploitable. Mais impossible n’est pas américain, une solution pour assécher ou dévier les cours d’eau fut vite trouvée et les Everglades sont aujourd’hui menacés notamment par la pollution des sols liées à l’agriculture intensives (ça mange du steak et du poulet à toute heure par ici) et l’extension des villes ou du réseau routier. Bien que protégés par le statut de parc national, les Everglades, ce paradis ornithologique, souffre déjà grandement des dégâts de l’Homme. Autre menace insolite, un nuisible très envahissant et dérangeant : le python birman, apparu dans le parc il y a quelques décennies probablement par des propriétaires paniqué de vivre avec un gros serpent constrictor (peut être que le vendeur de Jardiland ne lui avait pas précisé la taille adulte) et qui se plaît à merveille en Floride. Il est aujourd’hui un véritable fléau pour l’équilibre de la faune. L’un des bénévole du parc nous a d’ailleurs raconté que deux jours plus tôt, il y avait eu un affrontement entre un alligator et un python. On vous laisse deviner qui a gagné.
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lemoustachuvolant · 5 years
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Bristol, suite et fin
Comme annoncé, mes deux derniers jours à Bristol m'ont permis d'aller voir les immanquables. Mon objectif annoncé dimanche était même atteint dans l'après-midi, avec le franchissement de la vallée d'Avon via le Clifton Suspended Bridge, symbole de la ville culminant à 74m de hauteur et achevé en 1864!
Les deux jours sont passés bien vite, mais voici un aperçu de ce que j'ai fait et vu :
• Le Clifton College, parfaite représentation de l'école anglaise typique
• La même vue de la chambre de Grégoire que dans mon précédent billet, avec un temps plus authentique
• St Mary Redcliff Church et au premier plan le rail du tramway projeté à quelques pas de l'église par un bombardement en 1941
• Le dernier dîner bristolien, tourte à l'agneau et scotch egg au menu : pas vraiment raffiné mais diablement bon!
• Le Bristol Museum, un peu brouillon mais sympa (à l'exception des représentations de batailles navales napoléoniennes..)
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Actuellement dans le bus vers Londres, écoutant les groupes locaux Beatles, Queen et Pink Floyd (impressionnant changement de répertoire, n'est-il pas?), je quitte Bristol conquis et comblé ! Merci à Grégoire pour cet accueil aux little onions!
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sukoshionigiri · 5 years
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Gunkan-jima Island
Au large de Nagasaki il y a une île ... une île abandonnée, une île qui a inspiré la ville abandonnée dans Skyfall, vous savez l'épisode de James bond... la scène où ce bon vieux Daniel Craig se fait interroger par Javier Bardem de façon légèrement malsaine .. ? Vous voyez pas? Regardez le film il est bien. Vous voyez, tant mieux mon allusion ne tombe pas à l'eau !
Et donc cette île abandonnée... quand est-il ? quel est son nom? Pourquoi est elle inhabitée ? Une tempête, une invasion zombie, une soirée karaoké qui a mal tourné ? Il faut que j'en sache plus..
Premiere info son nom : Ha-shima Island. On l'appelle aussi Gunkanjima Island qui signifie l'île Navire de guerre. Woh. Ok. De mieux en mieux.
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Il n'y a que quelques départs par jour pour cette île, tous via des tours organisés pour préserver le lieu (et les gens .. les bâtiments sont en ruine tout de même, l'accident bête peut vite arriver) Je prends donc un ticket la veille qui combine tour en bateau / visite de 2-3 spot de l'île + une entrée pour le Gunkan-jima Digital Museum.
Il est 15h, mon bateau est demain matin je vais prendre quelques info au musée.
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Très chouette musée : beaucoup de vidéo (dont j'ai la version anglaise via une appli mobile..le futuuuur), des maquettes, des expériences en réalité virtuelle (masque sur le nez je peux visiter des parties de l'île interdite au public ou la survoler à vol d'oiseau)? Ils ont également reproduit une pièce de vie.
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Et c'est là que j'apprends (ce que je recopie de wikipédia en aggrémentant un peu:)
En 1810, un important gisement de houille est découvert sur l'île alors inhabitée.   Celle-ci est rachetée en 1890 par le conglomérat japonais Mitsubishi qui exploite cette ressource et installe ainsi sur Hashima la main-d'œuvre nécessaire. Après la guerre, la population augmente rapidement au point qu'en 1950, elle atteint 5 300 habitants pour 6,3 hectares de superficie, soit une densité de 83 500 hab/km2 . Ces chiffres augmentent encore pour culminer à 84 100 hab/km2 pour l'ensemble de l'île et 139 100 hab/km2 pour le quartier des habitations en 1959. C'est alors une des plus fortes densités de population enregistrées au monde. Au fur et à mesure de son accroissement d'activité l'île va être agrandie pour ajouter des quais et des plateformes en béton.
Le travail à la mine est très dur, la population très dense, le moindre conflit peut vite devenir une insuréction. Pour palier à ça on fournit au employés un bon salaire qui permettra à chaque foyer de recevoir la télévision (encore très rare au Japon). Afin de contenir toute cette population on construira sur Hashima les premiers grands immeubles en béton du Japon.
L'île possède une école primaire, secondaire. Sur les toits des immeubles on organise des jardins communautaires, des terrains de jeux (un peu à l'image des cité de Le corbusier) L'île possède également ses bains publics, un cinéma et un quartier des plaisirs.
Pour descendre à la mine les mineurs doivent prendre un monte charge qui les descendra à une profondeur qui équivaut à la Tokyo Sky Tree soit 634m !! Après bon c'est une mine où  on fait les 3/8, où on risque sa vie et où, d'après la guide il n'y a eu qu'un accident mortel (au vue des conditions je trouve que c'est très peu..) Bon en regardant la page wikipédia j'apprends aussi que : “Le site fut le théâtre de crimes de guerre durant la Seconde Guerre mondiale : alors que la Corée est sous occupation japonaise, 800 travailleurs forcés coréens sont envoyés sur l'île. Plus de 120 y sont morts et ceux tentant de s'échapper étaient soumis à des tortures extrêmes selon le rapport d'une commission d’enquête gouvernementale, publié en 2012.) “ Et ça on me l'a pas vraiment dit pendant la visite..  
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Hashima connaît ensuite un déclin rapide avec le remplacement de la houille par le pétrole comme principale source d'énergie dans l'économie japonaise.
L'activité des puits diminue au point que les derniers habitants sont évacués en 1974.
Les conditions climatiques, notamment le passage des typhons, accélèrent le délabrement des bâtiments et des installations minières abandonnés.
Anecdote typhons : Les typhons étaient tellement courant sur cette île (et violents) que les habitants avaient vraiment pris l'habitude de vivre avec et les considéraient comme un spectacle à ciel ouvert. Les adolescents devaient d'ailleurs passer une sorte de rites de passage à l'age adulte en regardant un typhon droit dans les yeux sans chouiner. Car là bas « si t'es pas cap de sortir les jours de typhons et d'aller voir ce que ça donne de plus près t'es pas digne d'habiter sur cette île ! »
Voilà pour mon excursion, ce n'est pas un immanquable d'une visite à Nagasaki mais si on est pas pressé c'est sympa à voir. A noter que si le temps manque la visite au musée peut être suffisante.
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Ah et pourquoi Gunkan-jima du coup, le navire de guerre tout ça .. tout simplement parce que si on la regarde de profil...bah ça y ressemble :
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Demain direction Okinawa !
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affairesasuivre · 6 years
Video
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HAMZA ET SCH, DOUBLE IMPACT SUR « HS »
Teasé depuis pas mal de temps déjà, le featuring entre Hamza et SCH titillait la curiosité des auditeurs... Aujourd'hui, place enfin au clip qui célèbre la fameuse collaboration. Et sans surprise, elle s'avère aussi originale qu'explosive, à l'image ce que le Belge et le Marseillais sont capables de nous offrir en solo. HS ou une combinaison qui se classe déjà comme incontournable en ce début d'année 2019.
« HS », un hit de hustlers
Dans un rap qui a pris des largesses avec certains codes, plusieurs artistes ont pris soin d'imposer leurs règles sans jamais regarder dans le rétro. Parmi eux, on peut compter sur le « new Michael Jackson » Hamza, autant que sur le S. Deux hommes qui font le travail dans des styles bien définis, qui n'appartiennent qu'à eux. En dévoilant l'imposant HS, à la fois violent et entêtant, ils renforcent cette image avec classe. Du côté du Plat-Pays, on a le droit à des hustlers proches des leurs, le tout sous un grain vintage et des sapes de luxe. Le clip est signé Jean-Charles Charavin, sous la direction artistique de Nico Bellagio. Un Bellagio qui a eu son rôle à jouer dans l'impactante production composée en compagnie de Ponko et Prinzly.
Ma conscience me dit que ces niggas mentaient / Ma monnaie, prends-la, demain, j'la reprendrai / Pas d'remède pour un traître à part le fer, yeah / Ma confiance, j'la donne seulement à ma mère, yeah
Son album « Paradise » disponible le 1er mars
Après avoir fait la différence avec 1994, Hamza débarquera avec un tout nouveau projet le 1er mars prochain. Rendez-vous avec un Paradise qui s'annonce immanquable. Fort de 17 morceaux, il comptera le featuring du jour HS, mais également Minuit 13 réalisé avec Christine and the Queens et Oxmo Puccino, puis Dale x Love Therapy en collaboration avec Aya Nakamura.
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