#Les dessous de table
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François Simon visite Hambourg en 2014.
#François Simon#Hambourg#Allemagne#Deutschland#Hamburg#Germany#Simonsays#simon says#Les dessous de table#Youtube
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Les prépositions
A
À - to (je vais à la plage - I’m going to the beach), at (le chat est à la maison - the cat is at the house), indirect object/complément d’attribution (c’est au chat - it’s the cat's), adverbial phrase of way (une peinture à l’huile - an oil painting), adverbial locution introducer (à l’instant - just now), price indicator (le kilo de pommes est à deux euros), infinitive form introducer (c’est à prendre ou à laisser - take it or leave it), approximation introducer (c’est à dix minutes d’ici - it’s about ten min. away), against (dos à dos), after (pas à pas), until (aimer à la folie)
Après - after (je te rejoins après le travail - I’ll join you after work)
Avant - before (je me suis levée avant toi - I got up before you did)
Avec - with (je vis avec mes deux chats - I live with my two cats)
C
Chez - at X’s > person or brand of a shop (je suis chez mon père - I'm at dad's)
Concernant - regarding, about (concernant ton offre, je la refuse - about your offer, I'm refusing it)
Contre - against (je suis contre ta décision - I stand against your decision, le chat est assis contre le mur - the cat is sitting against the wall)
D
Dans - in (le chat est dans mon sac - the cat is in my bag)
D’après - according to (d’après Victor Hugo, Fantine est blonde)
De - of (au bout de la rue - at the end of the street)
Dedans - inside of it (le chat est dedans - the cat is inside of it)
Dehors - outside (le chat est dehors - the cat is outside)
Depuis - since (j'ai mon chat depuis que j'ai dix ans - I've had my cat since I was 10), from (tout était beau, depuis la décoration jusqu’aux couleurs - everything was lovely, from the decoration to the colours)
Derrière - behind (le chat est derrière toi - the cat is behind you)
Dès - as soon as (je te préviens dès que j’arrive - I’ll let you know as soon as I get there), immediately (si je pouvais, je partirais dès maintenant)
Dessous - under (la clé était dessous le lit - the key was under the bed)
Dessus - on (le chat est assis dessus - the cat is sitting on it),
Devant - in front of (j’attends devant la maison - I’m waiting in front of the house)
Durant - during (il est mort durant la famine - he died during the famine), for (elle a vécu là-bas durant des années - she lived there for years)
E
En - at (je suis nul en Français - I’m bad at French), material indicator (une table en bois - a wooden table), change indicator (il s’est transformé en papillon - it turned into a butterfly), division mood (couper en deux - cut in two pieces), during (en hiver, j’ai toujours un rhume - during the winter season, I always get a cold), gerundive element (elle tomba en criant - she fell, screaming), shape/appearance indicator (un arbre en fleurs - a blossoming tree)
Entre - between/out of (entre tous les garçons, Louis est le plus grand - out of all of the boys, Louis is the tallest)
Envers - towards/to (il est méchant envers elle - he’s mean to her)
Ès - in (licencié-e ès sciences - bachelor of sciences) - rare, uni titles
Excepté(e/s) - except (exceptée Louise, elles sont toutes arrivées)
H
Hormis - except (hormis Pierre, nous avons tous le permis - except from Pierre, we all have a driving license)
Hors - out of (il est hors de lui - he’s beside himself)
J
Jusque/jusqu’à (+ subjunctive) - until (il a miaulé jusqu'à ce que je le nourrisse - he meowed until I fed him)
M
Malgré - despite (il est venu malgré sa grippe - he came despite his flu)
Moyennant - in exchange for (moyennant un changement de ton, tu pourras rester - If you change your tone, you’ll be allowed to stay) - rare
N
Nonobstant - in spite of (”Charles Myriel, nonobstant ce mariage, avait, disait-on, beaucoup fait parler de lui” Les Misérables) - rare/old
O
Ôté - taken of from (6 ôté de 10 égale 4)
Outre - besides (outre mes deux cats, il n'y a personne chez moi - outside of my cats, there's no one at my house)
P
Par - by (la Joconde a été painte par Léonard de Vinci), direction indicator (il est parti par là - he went that way), with (je commence par une entrée - I start with an entree), per (j’en prends trois par jour - I take three per days)
Parmi - amongst (parmi mes chats, c'est le plus petit - he’s my smallest cat)
Passé - after/past (passé 2h, tout est fermé - past 2AM, everything is closed)
Pendant - during (je t’appellerai pendant ma pause - I’ll call you during my break)
Pour - for (je suis là pour toi - I’m here for you), to (je pars pour Paris - I’m heading to Paris), according to (pour moi, c'est une erreur - I think it's a mistake)
Près (de) - near (je suis près de Paris - I’m near Paris)
S
Sans - without (je suis sans voix - I am speechless)
Sauf - except (j’aime tout sauf la pluie - I like everything but rain)
Selon - according to (selon moi, tu as tort - in my opinion, you’re wrong)
Sous - under (le chat est sous la table - the cat is under the table)
Suivant - according to (suivant ce que j’ai entendu, il ne reviendra pas - according to what I’ve heard, he won’t come back)
Sur - on (le chat est sur la table - the cat is on the table), about (c’est un film sur la guerre - it’s a movie about the war), towards (regarde sur ta droite - look on your right), out of (deux fois sur trois il est en retard - two out of three times he's late)
V
Vers - towards (elle avance vers moi - she’s coming towards me), somewhere around (elle habite vers l’église - she lives near the church), about (Elle est rentrée vers minuit - she got home around midnight)
Voici - here is/are (voici mon chat - here’s my cat)
Voilà - there is/are (et voilà les miens - and there are mine), it’s been (voilà deux ans que je ne les avais pas vues - it had been two years since I last saw them)
Vu - given (vu la situation, c’est mieux comme ça - given the circumstances, that’s better that way) - casual
Movie: La Chinoise - Jean-Paul Godard, 1967
Fanmail - masterlist (2016-) - archives - hire me - reviews (2020-) - Drive
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Avec la màj d'hier sur Epicode, j'ai eu envie d'updater mes LS/tutos dessus et je commence par reprendre le guide des différentes versions de forum ! Malheureusement, il faut avoir un compte pour lire, donc pour ceux qui en ont un voici le lien du sujet :
et pour ceux qui n'en ont pas, je vous invite à cliquer sur le lien ci-dessous pour lire l'article complet directement sur tumblr.
Disclaimer : je suis quasi sûre qu'il reste plein de choses à dire, n'hésitez pas à me suggérer des rajouts (notamment sur phpbb3 et punbb que je connais pas bien) et j'updaterai ça ✨
Choisir la version de son forum
La première étape de la création d’un forum est de choisir parmi 6 versions différentes celle que vous souhaitez. Mais ce n’est pas forcément évident pour tout le monde, surtout quand on a aucune idée de ce que ces noms signifient !
A quoi ça sert, la « version » du forum ?
Pour simplifier, il s’agit de l’élément qui va déterminer la structure HTML de base de votre forum. PhpBB2 va par exemple faire une structure en tableaux (= avec <table>, <tr>, <td>) alors qu’Invision va faire une structure avec des éléments en flottement (=avec float, position) ModernBB et AwesomeBB sont beaucoup plus modernes que les autres et utilisent des standards comme flexbox et grid.
Globalement, ce choix ne vous empêchera pas de coder les choses comme vous le voulez par la suite si vous êtes déjà à l’aise avec vos templates, ce n’est que pour déterminer la structure de base, mais il est quand même important de partir sur une base de templates qui vous convient plutôt que d’avoir à tout transformer vous-même.
Comment choisir ?
— PhpBB2
Forumactif la décrit ainsi : « PhpBB2 est la version qui vous permet de totalement personnaliser votre forum. Si vous avez besoin d'un forum flexible et stable, n'hésitez pas à essayer cette version. » En réalité, toutes les versions permettent de personnaliser de A à Z son forum, c’est surtout la plus ancienne version sur la plateforme et elle est donc très datée, mais elle est toujours fonctionnelle.
Avantages
Beaucoup, beaucoup des LS disponibles sur les forums d’entraide sont des LS compatibles avec PhpBB2 seulement. Pour les utilisateurs de LS qui n’ont pas forcément de connaissances en HTML, la version PhpBB2 est plus riche en ressources. De plus, les tutoriels d’apprentissage sont aussi très souvent en PhpBB2, ce qui rend cette version très accessible… Malgré de nombreux désavantages.
Désavantages
La structure en elle-même n’est pas extrêmement claire pour les débutants, même si encore une fois la plupart des tutos d’apprentissage sont sur PhPBB2. De plus, elle ne donne pas forcément de bases très correctes puisque, comme je disais en introduction, cette structure est basée sur des tableaux et peut inciter à structurer tous vos futurs codes en tableaux là où des techniques plus actuelles permettraient de produire des codes nettement plus modernes et clairs. (En utilisant flexbox ou grid notamment, comme ce sera le cas dans Modern et AwesomeBB.)
— Invision
Forumactif la décrit ainsi : « Invision est une des versions les plus performantes de Forumactif, sa puissance et sa stabilité rendent cette version incontournable aux utilisateurs qui souhaitent exploiter au maximum leur forum. » Je conseillerais en effet plutôt cette version aux personnes déjà à l’aise avec le codage, puisqu’elle intègre des techniques plus modernes de codage… Qui ne sont déjà plus assez modernes.
Avantages
Elle est bien plus facile que PhpBB2 d’un point de vue codage. Les templates sont construits de façon bien plus claire et l’affichage du thème de base contient des petites choses sympathiques comme (entre autres) des catégories rétractables, et l’affichage de la liste des membres en petits blocs plutôt qu’en liste. Il permet également d’aligner les profils à gauche ou à droite dans les messages en utilisant un simple bouton dans le panneau d’admin (Général → Forum → Configuration → Structures des pages, option Position du profil dans les messages).
Désavantages
À nouveau, le désavantage majeur est le manque de LS/tutos sur cette version qui est pourtant très intéressante. À noter cependant qu’elle utilise les flottements (float et position) pour placer ses éléments, un standard aujourd’hui déprécié au profit de flexbox/grid. Cette version a quelques LS disponibles, mais les ressources et les aides demeurent limitées, car elle a été très vite éclipsée par ModernBB.
— ModernBB
Forumactif la décrit ainsi : « Le thème ModernBB permet de créer un forum design, simple et intuitif. Le code a été modernisé pour faciliter les personnalisations du forum. » En effet, le look de base est beaucoup plus plaisant et moderne que les versions précédentes ; et le code est beaucoup plus conforme aux standards de codage d’aujourd’hui, utilisant en majorité flexbox pour créer des colonnes. Il est donc aussi beaucoup plus clair pour apprendre à coder.
Avantages
L’affichage de base de ModernBB offre des fonctionnalités sympas, comme un header pleine largeur, une barre de navigation qui suit le scroll, les catégories rétractables, la position droite/gauche du profil dans les messages, et des statistiques qui s’affichent en footer du forum. De plus, elle est en partie responsive (c’est-à-dire qu’elle s’adapte aux petites largeurs d’écrans) avec un mode mobile-friendly. Récemment, Forumactif a aussi permis d’afficher des images dans la liste des sujets sous cette version.
On note également l’existence d’une ressource très utile, le Blank Theme de @code-lab, qui permet d’avoir une base propre et optimisée pour commencer à coder sur cette version et la rend beaucoup plus accessible aux débutants comme aux confirmés.
Désavantages
Bien qu’on pousse désormais pour que les ressources s’adaptent à cette version, il n’y en a toujours pas autant que pour PhpBB2. Néanmoins, cette version est celle qui est privilégiée désormais pour les nouveaux LS.
— AwesomeBB
Forumactif la décrit ainsi : « Le principal avantage de la version AwesomeBB est sa fonction responsive. Votre forum s'adapte à toutes les tailles d'écran, les membres peuvent ainsi discuter, partager des photos et chatter aussi bien sur PC que sur mobile. » Effectivement, cette version est entièrement responsive car elle est codée de façon moderne et cohérente avec les standards de codage actuels.
Avantages
AwesomeBB regroupe tous les avantages de ModernBB avec quelques différences d’affichage, notamment la prise en compte de la toolbar directement dans la barre de navigation, offrant des panneaux latéraux qui s’ouvrent au clic.
Désavantages
Il n’y a littéralement aucunes ressources disponibles en forum d’entraide pour cette version.
Changer de version
Il est possible de changer de version de forum à n’importe quel moment.
Panneau d’administration → Affichage → Choisir un thème → Onglet « Version »
Mais attention ! Puisque chaque version a sa propre structure HTML pour le forum, vos templates modifiés ne seront plus compatibles avec, et l'opération supprimera votre CSS. Certains javascripts peuvent aussi être incompatibles et devront être modifiés pour fonctionner. En clair, votre contenu (messages, avatars, comptes, etc…) sera sauf, néanmoins votre forum n’aura plus du tout la même apparence.
Et en résumé ?
Au final la véritable hésitation se situe entre PhpBB2 et ModernBB. Actuellement, l’offre des forums d’entraide permet surtout de se familiariser avec PhpBB2 qui est pourtant très vieillot. La version ModernBB est néanmoins très intéressante malgré le manque d’encadrement pour ceux qui veulent s’y lancer, et gagne en présence sur les nouveautés en LS/tutos.
Pour ceux qui ne souhaitent pas se plonger dans le code profond de leurs forums et simplement personnaliser l'apparence grâce au PA et aux images, le choix est nettement plus simple : basez vous simplement sur l'apparence de chaque version pour décider de la structure qui vous plaît le plus. Pour voir les différentes versions "en action", voilà les liens d'aperçu fournis par forumactif :
PhpBB2
PhpBB3
PunBB
Invision
ModernBB
AwesomeBB
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🍁 DÉCORATION DE TABLE 🍁
D'AUTOMNE
Je dirai que pour moi, l'Automne est la saison la plus riche en terme d'idées et d'éléments décoratifs.
La Nature, les Forêts nous offrent des trésors pour nos tables de réception.
Pour ce qui est des Palettes de Couleurs, vous n'avez que l'embarras du choix !
Choisissez des teintes chaudes, comme les Oranges foncés, les Bordeaux riches et les Jaunes dorés qui reflètent la beauté de la Saison.
Ces couleurs évoquent une atmosphère chaleureuse et romantique qui complète le paysage naturel.
Vous pouvez également envisager d'incorporer des nuances de Vert Olive ou de Taupe doux pour ajouter de la profondeur.
N'hésitez pas non plus à mélanger les textures.
Des chemins de table en velours d'un Rouge profond peuvent créer un contraste saisissant avec des tables en bois, tandis que des serviettes en lin d'un or discret peuvent rehausser la sophistication générale.
Vous pouvez même jouer avec des accents métalliques comme le Cuivre ou le Laiton pour ajouter une touche d'élégance !
Concernant les Compositions Florales, utilisez des fleurs de saison dans la palette de votre choix.
Tons chauds, les Tournesols, les Dahlias et les Chrysanthèmes peuvent égayer vos tables et harmoniser magnifiquement votre thème.
Des feuillages de saison comme des feuilles d'eucalyptus ou d'érable renforceront cette ambiance Automnale.
Vous pouvez également intégrer des éléments naturels que vous aurez rapportés de vos promenades dans la Forêt, des glands, des chataignes, des branchages.
Pensez à utiliser de petites citrouilles ou des courges comme décorations de base et créer ainsi une composition discrète avec un mélange de fruits, comme des pommes et des poires.
Cette combinaison ajoutera de la texture et de la couleur tout en gardant votre table propice aux conversations.
Optez pour des nappes qui complètent la palette de couleurs que vous avez choisie, Bordeaux, Orange ou Jaune doré.
Une nappe plus claire surmontée d'un chemin de table plus foncé peut ajouter de la profondeur et de l'élégance !
Des serviettes en tissu aux couleurs ou motifs contrastés peuvent créer un impact visuel agréable.
Pour la Table, choisissez une vaisselle élégante qui correspond à votre thème général. Des touches d'or ou de cuivre rehaussent le décor, tandis que la poterie rustique apporte une touche chaleureuse.
Des dessous d'assiettes apporte un look soigné et des Bougies ou des petites Lanternes, plus de chaleur.
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Petites histoires de l'histoire.
Il y a un certain temps, on utilisait de l'urine pour tanner les peaux d'animaux, donc les familles (appelées "pisse pauve") urinaient dans une marmite qui était achetée quotidiennement par des tanneries.
Pourquoi la plupart des mariages avaient-ils lieu en juin.
Le grand bain annuel se prenait en mai donc les gens sentaient encore bon plus ou moins en juin.
Cependant, chaleur aidant, les mauvaises odeurs refaisant surface, les mariées portaient un bouquet de fleurs pour les cacher.
D'où la coutume aujourd'hui de porter un bouquet lors du mariage.
Les bains étaient composés d'un grand bassin d'eau chaude.
L'homme avait le privilège de l'eau propre, puis les fils, les femmes et enfin les enfants.
En dernier lieu, les bébés.
À ce moment-là, l'eau était si crasseuse qu'on pouvait réellement le perdre dedans.
D'où le dicton : « Ne jetez pas le bébé avec l'eau du bain ! ”
Les maisons avaient des toits de chaume épaisses en paille, sans structure de bois dessous.
C'était le seul endroit où les animaux pouvaient se réchauffer, donc les chats et autres petits animaux (souris, insectes) s'y réfugiaient.
Quand il pleuvait, cela devenait glissant, faisant tomber les animaux qui s'y trouvaient.
Ce qui entraîna l'idiome : « Il pleut des chats et des chiens. ”
Cela posait également un vrai problème dans la chambre à coucher par exemple car le toit laissait passer insectes et autres excréments, salissant le lit et sa lingerie.
Un grand accroché par de grands poteaux offrait alors une certaine protection.
C'est ainsi que les lits à baldaquin sont nés.
Parfois, les moins pauvres pouvaient obtenir de la viande de porc.
Quand les visiteurs venaient, ils accrochaient leur bacon.
C'était le signe d'une certaine richesse : un homme pouvait
" ramener de la viande à la maison "
Ils en coupaient un morceau pour le partager avec les invités.
Ceux qui avaient de l'argent avaient des assiettes en étain. Les aliments à forte teneur en acide engendraient la lixiviation du plomb sur les aliments, causant la mort d'empoisonnement.
Cela se produisait le plus souvent avec les tomates, donc pendant des centaines d'années, les tomates ont été considérées comme toxiques.
Tout comme les tasses en plomb dans lesquelles on servait la bière ou le whisky.
La combinaison mettait parfois KO les imbibés pendant quelques jours.
On pouvait parfois même croire qu'ils étaient morts et on les préparerait pour l'enterrement.
Dans le doute, on les allongeait sur la table de la cuisine pendant quelques jours, la famille se rassemblait pour manger, boire en attendant de voir s'ils se réveilleraient, ..
Ainsi est née la coutume de tenir une veillée.
L'Angleterre est vieille et petite manquant d'endroits pour enterrer les gens.
On a donc commencé à déterrer des cercueils, emmener les os dans une "maison d'os" pour pouvoir réutiliser les tombes.
Lors de la réouverture de certains cercueils, plusieurs d'entre eux avaient des égratignures à l'intérieur, des malheureux avaient été enterrés vivants.
Pour éviter ces drames, une corde était attachée au poignet du cadavre se terminant à l'extérieur par une clochette.
On payait une personne qui passait la nuit près du défunt pour guetter le bruit d'un tintement.
En cas de silence, la personne était considérée comme réellement défunte.
Qui a dit que l'histoire était ennuyeuse ?
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Time for a multilingual post about positions!
ENG - ITA - FRA - ESP - KOR
positions - (le) posizioni - (les) positions - las posiciones - 직위(들)
on/upon - sopra - sur - sobre/encima de/arriba/en - 위 under/below - sotto - sous/en-dessous - debajo de - 아래 / 밑 right - (a) destra - droite - derecha - 오른(쪽) left - (a) sinistra - gauche - izquierda - 왼(쪽) near - vicino (a) - près (de) - cerca (de) - 근처 far - lontano (da) - loin - lejos - 멀리 in front of - di fronte a/davanti a - devant - en frente/delante de - 앞 behind - dietro (a) - derrière - detrás de - 뒤 on the side - a lato (di) /a fianco (di) - à côté - al lado de - 옆 inside - dentro - dans - dentro de/en - 안 outside - fuori - dehors - afuera - 밖 between - in mezzo a - entre - mediante - 사이 around - attorno/intorno - autour - alrededor - 주위
under the car - sotto (al)la macchina - sous la voiture - debajo del coche - 차 밑에 on the table - sopra al/il tavolo - sur la table - en la mesa - 테이블 위에 in front of the bank - di fronte alla banca - devant la banque - delante del banco - 은행 앞에 behind the park - dietro al parco - derriére le parc - detrás del parque - 공원 뒤에 inside the restaurant - dentro al/il ristorante - dans le restaurant - dentro del restaurante - 식당 안에 on the side of the house - a lato della casa - à côté de la maison - al lado de la casa - 집 옆에 on the right of the desk - a destra della scrivania - à droite du bureau - à la derecha del escritorio - 책상 오른쪽에
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On est dans la salle d'attente du médecin et il y a une petite qui a rangé tous les jouets parfaitement dans les bacs et qui a remonté les tabourets sur la petite table de jeux.
Ça va super bien avec mes toc mais elle a oublié une petite pièce verte en dessous de la table et j'ai hâte qu'elle soit dans le cabinet du médecin pour pouvoir aller ramasser cette pièce.
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j’ai fait la vaisselle, nettoyé la cuisine (table et benchtop), je me suis douchée, j’avais encore du mascara en dessous des yeux et j’ai frotté en me demandant si ça allait empirer mes rides ou pas? il y a du football à la TV, mais pas le football que vous croyez, le football qu’ils jouent en australie. j’ai baissé le son et mis cage the elephant plus fort. je bois de l’ice tea dans un verre à vin et m’empiffre de muffins qu’on a acheté à woolies aujourd’hui. ma semaine de vacances se termine et franchement ça passe trop vite, je voulais faire une rando, mais j’ai jamais trouvé le courage. je me sens vieille et immature. j’ai l’impression que j’attends encore le moment où je serais une adulte. comme quand on te demande “tu veux faire quoi quand tu seras grande” bah pareil, j’attends toujours de savoir alors qu’en vrai bah voilà ce que je fais. c’est là c’est maintenant. avec mes routines, ma peur du changement, l’anxiété des responsabilités et les rêves inachevés.
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Elle lui a préparé un repas de fête. Elle le sait gourmand, plus qu'elle, ce qui n'est pas peu dire. Elle a préparé des dessous harmonieux et appétissants, un petit haut léger et transparent laissant voir des montagnes qu'il aime à déguster. Le repas se fera sans couvert, juste manger avec les mains, le regard.
Une peau fraîche et douce suivra et sera à déguster sans égard et autant qu'il le voudra.
Une chaise et une table pour décor, simplicité oblige.
Elle n'a pas oublié les deux bougies posées un peu plus loin, ça peut toujours être utile. La musique, ce sera celle de leurs coeurs qui se répondront.
En dessert, une dégustation de fruits plus doux et délicieux les uns que les autres.
La boisson, elle lui laisse le soin de l'apporter lui-même, elle sait qu'il choisira la meilleure, la plus délicieuse pour son palais à elle.
Les persiennes sont un peu tirées, jouer avec les ombres de leurs corps sous les rayons du soleil.
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LA PUTAIN SOUMISE DANS UN BAR A PUTES A PIGALE
LA PUTAIN SOUMISE DANS UN BAR A PUTES A PIGALE
Pour la première fois ma Maîtresse a décidé de vérifier mes capacités en public... en m'emmenant dans un bar à putes à pigale
Apres m'avoir administré plusieurs lavements Elle m'a fait porter ses dessous préférés style wetlook noirs... bas à coutures... guépière porte jarretelles... des escarpins à hauts talons... une perruque cheveux longs blonde... un colier de cuir... cage pour le sexe
Pour partir je suis habillé en tenue civile masculine rien que de plus classique jeans chemise veste sur mes dessous de pute
Arrivés sur place nous traversons la salle du bar devant une faune hétéroclite d'hommes et de femmes qui nous regardent traverser la salle du bar pour nous diriger vers une pièce dérobée.
A peine entrés dans la pièce ma Maitresse me demande de retirer mes fringues "civiles" puis me fait enfiler les escarpins... la perruque... et me maquille de façon très hard et outrageusement provoquante... Une fois apprêtée elle attache une laisse au collier et m'entraine dans la salle... je suis à la fois émoustillée et inquiète de ce qu'il risque de m'arriver... surtout habillée comme je le suis... ma tenue ne prêtant pas à équivoque
Nous passons le long des tables devant tout le monde ce qui permet aux clients de me palper... me pétrir... ou de me claquer les fesses au passage. Après cette déambulation Elle me fait m'assoir sur les cuisses au bar sur un haut tabouret le cul dépassant largement pour être facilement accessible. Si quelques personnes avaient un doute sur les velléités, ces dernières tombent rapidement pour laisser place au désir de me baiser. Assise au bar, les jambes décroisées pour dévoiler mes bas couture, une bouche bien rouge pour attirer les queues Elle me claque les fesses et demande à l'assistance si quelqu'un serait intéresse pour s'occuper de moi....
Aussitôt un male se présente... me claque plusieurs fois les fesses, il enfile rapidement un préservatif puis commence a se frotter sur ma raie pour bander et sans autre préparation me pénètre brutalement avec des vas et viens profonds... le tabouret ne va pas résister longtemps si cela continue comme ca
Ma Maitresse décide de me faire descendre de mon perchoir afin d'être plus disponible et ouverte. Une fois descendue du tabouret Elle me promène en laisse dans le bar. Devant le comptoir et m'ordonne de mettre les mains sur la tête et d'écarter les jambes pour que l'on puisse admirer mes cuisses gainées des bas noirs. Une cordelette me lie les couilles sur laquelle Elle tire pour que tout le monde m'entende gémir.
Autour de nous commence à se former un petit attroupement. Une femme qui était assise à une table s'avance, se place derrière moi, me presse les seins et commence à me travailler les tétons... Elle les pince sévèrement et les étirent me provoquant une douleur difficilement supportable. Elle repasse devant moi le slape les seins puis enfile un gant latex et doigte ma chate anale vigoureusement en m'insultant de tous les noms correspondant à ma tenue. Ma Maitresse lui tend le lien qui enserrent mon sexe et mes couilles La femme tire fermement par petits coups qui m'arrachent des plaintes. Elle lui conseille de tirer plus fermement mais pour éviter la douleur je me rapproche de la femme. Ma Maitresse m'immobilise pour que la femme puisse satisfaire ses désirs de douleur par la tension de la corde. Tous dans le bar les clients sont unanimes et me considèrent maintenant comme une bonne pute à baiser.
Ma Maitresse reprend la main en me tirant par le collier. Elle me plaque contre une table, vautrée sur cette dernière... bien cambrée le cul en l'air avec toujours les couilles liées. Elle propose des préservatifs et des gants pour que chacun puisse fouiller mon trou de pute afin que je sente bien les doigts forcer mon orifice de salope. Plusieurs personnes s'y exercent vigoureusement et me dilatent peu à peu. Une main est entrée presque entièrement dans ma chate anale pendant que la femme continue à me tirer sur les couilles. Fermement tenue, des mains me plaquent et m'aplatissent sur la table. Immobilisée et le cul ouvert, me voilà totalement soumise et offerte à la débauche des plus pervers.
Ma Maitresse applique du gel sur mon trou à bites et propose à qui le veut de venir me défoncer la rondelle. Je suis maintenue sur la table afin que je ne puisse pas bouger. Ma Maitresse indique à l'assemblée que chacun n'aura que 3 minutes afin qu'un maximum de personnes puissent s'occuper et abuser de moi. Aussitôt le défile de queues commence à aller et venir au fond de ma chatte pendant que l'on me traite de chienne... de pute... et de salope. Ca glisse plutôt très bien au fond de moi mais je m'angoisse voyant le nombre de prétendants à la baise.
Ma Maitresse propose qu'un des baiseurs s'offre une petite pipe dans ma bouche. Bien sur plusieurs pantalons tombent. Une belle bite se pose sur ma bouche qui s'ouvre pour accueillir ce sexe qui va aller et venir dans ma gorge. Pendant ce temps le défilé des queues qui continue à me dilater et à me baiser sauvagement. Une femme arrive devant moi... relève sa jupe me prend la tête à deux mains et la plaque sur sa chatte pour se faire lécher pendant que des bourrins continuent de me défoncer vigoureusement. Mais la position ne lui convenant pas elle demande à ma Maitresse de m'allonger sur le dos. Ce que je fais immédiatement... La femme monte à genoux sur la table et applique sa chatte sur ma bouche et commence à se frotter... puis elle me demande de la pénétrer avec ma langue pendant que dans le même temps elle me travaille fermement les tétons... ce qui l'excite encore plus et la fait se frotter plus fortement. Pendant ce temps des queues se glissent dans mes mains pour se faire branler... La femme continue à se frotter jusqu'à en jouir. Une fois redescendue de la table... Elle me fourre sa langue dans la bouche en tournant longuement puis se retire y enfourne 3 doigts et me dit que je suis vraiment une bonne chiennasse.
C'est à ce moment la que j'ai vu arriver un black musclé comme pas deux... et avec une queue effrayante qui lui descend jusqu'au genoux... Il me remonte les jambes sur ses épaules puis commence à claquer sa queue sur ma chatte... Je suis effrayé voyant la taille de son sexe qu'il a beaucoup de mal à faire bander... Il la prend à deux mains... présente son gland sur mon trou et force l'entrée... je la sens s'enfoncer en moi de plus en plus... Un vrai serpent qui glisse et me pénètre au plus profond de mon ventre... La douleur est incommensurable... Sans se préoccuper de mes plaintes il s'agrippe à mes hanche et fait de long et profond vas et viens... Je n'ai jamais rien ressenti de pareille une grosseur énorme et qui aille autant en profondeur... avec une douleur et un plaisir jamais ressentis
Quelques temps plus tard deux hommes viennent glisser un mot a ma Maitresse qui répond favorablement à leur demande....
Elle me relève de la table et me traine vers une banquette ou l'un des deux hommes s'est allongé sur le dos. Elle me demande de me mettre à quatre pattes sur lui... A peine ai je pris cette position qu'il m'enfile et commence à me baiser vigoureusement... Après quelques minutes il s'arrête... et quelle ne fut pas ma surprise de sentir une autre présence derrière moi... Une deuxième queue se présente... insiste... force et entre sauvagement dans ma chatte anale.. Je lâche un cri de douleur ce qui fait bien rire l'assistance qui encourage les deux baiseurs a me défoncer encore plus fort
Apres plus d'une heure de ces traitements intensifs ma Maitresse décide de mettre fin à la séance laissant bon nombre de frustrés qui n'ont pas eu le loisir de me prendre. Elle les rassure en leur disant que nous reviendrons prochainement.
Cette expérience aussi troublante qu'intensive se répètera à plusieurs reprises mais l'émotion les fois suivantes était différente et moins intense bien que j'ai aimé et j'aime toujours n'être qu'un objet de plaisir une esclave sexuelle offerte totalement soumise et passive et qui n'a que le seul choix de subir sans jamais rechiner
#panty sissy#slave and mistress#subs wanted#faggot humiliation#sissi slave#esclave#dominate me#bd/sm brat#beta slave#sissi femboi
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2024-11-02 - Illustration - MIAOU MIAOU
À tous ces chats qui mettent leurs papattes sur la table pour réclamer de la bouffe et/ou de l'attention.
~1h15, Marqueurs Alcool, A7 Personnage - carbonacat
Description - Un dessin représentant carbonacat, un chat à la fourrure bleue et aux yeux très gros rouges, portant un collier et les deux pattes avant sur une table, regardant vers la caméra avec deux MIAOU écrits en lettres rouges au dessus et en dessous, et des lignes pâles irradiant de sa tête.
#traditionalart#illustration#alcoholmarkers#lilaverse#owncharacter#cat#askingforfood#meowing#meow#bluefur#redeyes
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✈︎ (premier poste j'espère que sa vous plaira ) jalousie — [ Enhyphen Jake ] genre ⋆ cochonnerie
"Je pensais que nous étions censés rester un peu plus longtemps." Vos mots sont sortis brouillés, votre petit ami Jake vous tirant derrière lui par le poignet et jusqu'à la voiture.
il était furieux et tu avais beaucoup trop bu pour comprendre pourquoi. ce que vous saviez, c'est que le voir si frustré vous excitait au-delà de toute croyance.
ce soir était censé être amusant. Jake a toujours aimé sortir et boire avec les garçons. il pensait que vous inviter à le suivre serait une bonne idée, mais bon sang, il avait tort.
il lui a suffi de surprendre Heeseung en train de vérifier vos fesses pendant que vous vous penchiez sur la table de billard, la lèvre coincée entre ses dents, pour qu'il vous traîne hors du bar. vous portiez votre jupe plissée préférée, ignorant innocemment qu'elle était un peu trop courte et, en vous penchant, vous pouviez voir un petit aperçu de votre culotte lacée en dessous.
Jake l'a remarqué bien sûr. il l'a toujours fait. cette jupe était sa préférée et tu le savais aussi. c'était la seule raison pour laquelle vous l'aviez mis en premier lieu. pour lui .
la mâchoire serrée et les sourcils froncés, il vous a ouvert la portière passager de la voiture. même quand il était énervé, il était toujours un gentleman. votre esprit bourdonnant ne pouvait s'empêcher de fourmiller des pensées les plus sales alors qu'il montait dans le véhicule.
"Tu es tellement sexy quand tu es en colère." les mots sont sortis comme du vomi, les yeux de Jake se sont tournés vers toi pendant qu'il mettait la clé dans le contact, "tu sais que tu m'appartiens, n'est-ce pas ?" ses mots sortaient à travers les dents serrées, brisant le silence qui remplissait la voiture.
ses doigts serraient si fort le volant que ses jointures devenaient blanches. tu ne pouvais pas t'empêcher de penser à quel point sa main serait jolie autour de ta gorge, la serrant tout aussi fort.
Tu as hoché la tête d'un air penaud et tu as tendu la main pour passer tes doigts dans ses cheveux noirs pour le rassurer, "je suis à toi, Jake." ses épaules se détendirent immédiatement, sa prise sur le volant se relâchant également. tu as adoré voir l'effet que tu avais sur lui.
il ne savait pas qu'il avait un effet très durable sur vous. ta jolie culotte était maintenant trempée dans ta propre excitation. Jake tendit la main pour caresser ta cuisse. c'était un geste innocent de sa part. pourtant, ta chatte palpitait et tes hanches bougeaient, la chaleur de sa main te donnant une sensation de chaleur insupportable.
"Je ne supporte pas de voir d'autres gars te regarder, _____. ça me rend fou. Les ongles de Jake s'enfoncèrent en toi, serrant ta peau somptueuse. "je sais bébé." tu gémissais, ne voulant rien d'autre que qu'il te touche. te touche vraiment .
il savait aussi ce que tu voulais. Jake l'a toujours su. il adorait juste te taquiner. c'était sa partie préférée, t'entendre supplier et plaider pour qu'il te baise. il aimait à quel point ta voix devenait pleurnicheuse, à quel point tu te tortillais contre lui. mais par-dessus tout, Jake aimait le fait qu'il était le seul à pouvoir vous faire ressentir cela.
vous ne saviez pas si c'était l'alcool ou les doigts magiques de votre petit ami, mais dès qu'il a trouvé votre clitoris, la zone autour de vous a commencé à tourner. ta tête retomba contre le siège et tes cuisses s'écartèrent immédiatement pour lui.
"Putain, tu es trempé." sa voix était rauque, de jolis yeux scrutant l'extérieur du bar. il y avait quelques personnes qui fumaient près des portes d'entrée et des voitures vides remplissaient la majeure partie du parking. n'importe qui pouvait s'approcher et vous attraper tous les deux et, d'une manière ou d'une autre, cette pensée l'excitait encore plus.
Quand Jake a tenté de tirer ta culotte sur le côté, tu as tenu son poignet en place pour l'arrêter, "non". ta voix était ferme et tu as retiré sa main. au début, il a été blessé. mais tu avais pas mal bu et ce n'était pas le genre de petit-ami à profiter de toi. même s'il était déjà visiblement dur dans son jean.
puis ta voix était douce, se déplaçant pour s'asseoir sur tes jambes pendant que tes mains tendaient la console centrale pour tâtonner avec impatience avec la boucle de sa ceinture. "laisse-moi te montrer combien je t'aime." tu voulais être celui qui lui plaisait cette fois. pour prouver à quel point vous l'adoriez, lui et sa belle bite. comment il était le seul que l'on puisse souhaiter.
Une fois que vous avez baissé sa fermeture éclair, vous avez rapidement retiré sa queue de sous son slip. et la bite de Jake s'est redressée, toute prête à être touchée par toi. il avait l'impression qu'il avait dû rêver lorsque vous avez léché une longue bande allant de la base de sa queue jusqu'à son bout, pour finalement le prendre dans votre bouche.
sa main saisit rapidement tes cheveux, te tirant plus près et enfonçant sa longueur plus loin dans ta gorge. "Putain, c'est ma gentille fille." ses louanges ont fait serrer vos cuisses, votre mâchoire s'est relâchée pour prendre davantage de lui. tu en prendrais autant que Jake le voulait. toujours.
ce n'est que lorsque sa pointe a touché le fond de ta gorge qu'il a arrêté de pousser ta tête vers lui. tes doux yeux se sont fermés et tu as creusé tes joues avant de rapidement balancer ta tête sur son manche.
"Oh mon Dieu. juste comme ça." Les sourcils de Jake étaient froncés, ses lèvres légèrement entrouvertes et, sans même réfléchir, ses hanches relevées pour rencontrer votre visage. tu l'as bâillonné et tes ongles se sont enfoncés brutalement dans ses cuisses, ce qui lui a valu un gémissement pleurnichard.
avec la prise serrée que Jake avait sur ta tête et les contractions incessantes de sa bite dans ta bouche, tu savais que ton petit ami était proche de son apogée. en plus, il devenait beaucoup plus bruyant. les louanges et les malédictions sortaient de ses lèvres de manière incohérente. tu as accéléré sur lui, sa tête a fini par tomber en arrière et ses jambes ont tremblé lorsque sa charge chaude a finalement recouvert l'intérieur de ta bouche.
vous vous êtes assuré de le sucer lentement de la base à la pointe, en faisant tournoyer votre langue le long de chaque courbe et veine striée de sa bite pour le nettoyer entièrement. le sourire qui dessinait les lèvres de Jake était absolument magnifique. de belles petites gouttes de sueur coulaient sur son front et il gémissait de manière audible lorsque vous le retiriez avec un pop. Vos yeux se sont croisés dans les siens et il a immédiatement pressé ses lèvres contre les vôtres.
vous vous êtes immédiatement fondus tous les deux dans le baiser, vous vous penchant encore plus sur la console jusqu'à ce que vous soyez penché à quatre pattes avec votre jupe retroussée au niveau de vos hanches. Jake ne put s'empêcher de sourire narquoisement lors du baiser. puis il s'est reculé, tendant sa main derrière vous pour vous gifler les fesses à moitié nues, ce qui vous a fait crier bruyamment. et cette fois, Jake ne se souciait pas de savoir qui te voyait ou qui voyait ta jolie culotte parce qu'après tout, tu étais à lui.
#enhypen #enhypen x lecture #enhypen charbon
#jake enhypen#enhypen jake#jake sim#jake x lecteur#jake cochonnerie
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Au premier passage, mon œil avait été dévié par un modèle ancien, une Berlinette rouge dont le moteur chantait une note de musique particulièrement agréable à mon oreille.
C’est au retour que je l’ai aperçue, seule, assise à la terrasse de ce café, entre ombre et soleil. Un café devant elle sur la petite table ronde, l’œil rivé sur son téléphone, les doigts tapotant sur les touches. Consultait-elle des informations? Regardait-elle les dernières créations de mode? Ou tout simplement écrivait-elle un message à un ami, un mari, un amant...?
Sa robe blanche offrait ses frêles épaules aux regards des passants, juste barrées par deux fines bretelles laissant apparaître un joli dessous blanc. Un peu de vent voletait sous les volants de sa robe laissant parfois apparaître un peu plus que le genou. De belles sandales à lanière autour de sa cheville complétaient ce joli tableau. Parfois, elle retirait ses lunettes de soleil pour porter la branche à sa bouche, laissant apparaître des yeux d’une beauté extrême. Ses lêvres d’un rouge éclatant dessinaient parfaitement les contours de sa bouche.
Je suis resté un instant à la contempler lorsqu’elle m’a jeté un regard, accompagné d’un sourire absolument renversant. Je suis resté comme tétanisé, une suée m’envahissant à m’en faire rougir les joues.
Plutôt que de lui rendre son sourire, paniqué, je me suis retourné et reparti vers la Berlinette qui, cette fois-ci, n’avait plus le moteur en marche.
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13 août
de retour sur mon île, cette fois j'ai pris le petit-déjeuner, pas le temps de déjeuner à la maison, je voulais arriver le plus tôt possible pour éviter la chaleur. hier après-midi en remontant le rivage du treptower park j'ai pris le soleil sans m'en rendre compte et j'ai du m'assoir sur le petit banc en bois devant le centre d'informations parce que j'avais la tête lourde et remplie de magma. la femme qui travaillait au centre était française. j'avais envie qu'elle me parle. je portais mon tshirt céline sciamma. je me demandais comment elle avait atterri là et pourquoi. je me suis imaginé qu'on devenait amies mais je suis repartie avant d'en avoir eu l'occasion. en rentrant à l'appart, pendant que je me passais de l'après-soleil sur le visage j'ai entendu d. j. et leurs cinq amis rentrer et j'osais plus sortir de ma chambre. ça faisait quatre jours que j'avais parlé à personne alors sept personnes d'un coup c'était trop. au bout d'un moment je me suis quand même dit lara t'as 33 ans t'es chez toi t'as le droit d'aller te faire un sandwich à la tomate dans la cuisine arrête de te faire souffrir tout le temps bordel alors j'ai pris mon courage à deux mains et j'ai ouvert la porte de la cuisine, ils étaient tous les sept assis autour de la table avec leurs gros sacs à dos qui prenaient toute la place, sales et fatigués et détendus, contrairement à moi. j'ai fait coucou vite fait, encore ensuquée par le soleil, je me suis fait mon sandwich avec mon thsirt pyjama croppé qui me glissait sur l'épaule (sexy) et je suis repartie me terrer dans ma chambre pour regarder un épisode de bored to death.
j'ai rêvé de r. il était à moitié allongé sur moi, je sais plus dans quel contexte. il avait la tête cachée sous un drap et je le découvrais doucement. je crois que je lui caressais les cheveux, même si c'était interdit. les filles et les garçons que j'ai envie de toucher sont toujours des territoires interdits, même si on m'a jamais explicitement interdit de toucher quoique ce soit.
l'hydrogéologue de l'expo l'autre jour disait qu'elle aimait pas trop anthropomorphiser l'eau et je la suis là-dessus, mais je note quand même que l'eau est un peu longue à la détente dans son temps de réaction aux évènements extérieurs, comme le passage d'un bateau par exemple. elle commence à s'agiter avec quelques instants de retard et elle met beaucoup de temps à se calmer, longtemps après que le bateau soit passé. à la soirée de spoken word une poétesse disait que l'eau prenait les coups sans rien dire. on jette une pierre dans la rivière. elle avale la douleur et elle souffre en silence. l'eau est un sujet très à la mode. l'anthropomorphisation aussi. on l'utilise beaucoup je veux dire. moi aussi je le fais. mais pour donner une voix à la nature on est bien un peu obligé de le faire non?
j'ai presque frais à l'ombre de mon saule pleureur qui ne pleure pas. il fait tremper la pointe de ses branches dans la rivière. ça me donne envie de me mettre dessous pour me faire caresser. mon fantasme écosexuel numéro un: le poulpe, numéro deux: le saule pleureur. on dirait les lanières-serpillère du carwash qui s'agitent dans tous les sens. n. m'a parlé d'un poète qu'elle suit sur ig qui a fait des expéditions de poète en arctique et en antarctique. sa bio dit artist-on-boat. peut être que je pourrais me faire envoyer en antarctique pour écrire un recueil de poèmes écosexuels de la banquise? est-ce que je peux fantasmer sur un iceberg? je parie que oui. c'est les fleurs de nénuphar qui se font effleurer à ma place par les branches du saule, petites veinardes. c'est toujours quelqu'un d'autre qui se fait toucher à ma place de toute façon.
14 août
j'ai rêvé de oleg, l'hydrogéologue de la fête dans le jardin. j'étais à l'école mais c'était le soir, le prof un peu spécial et mystérieux nous avait conviés à une espèce de soirée et tout le monde était odieux avec moi, y compris le prof. c'était comme en 7e, y avait même quelques personnes de ma classe de 7e, mais en cent fois pire. on me faisait remarque sur remarque méchante, on se moquait de moi, on me traitait de nulle, tout ce que je faisais était critiqué, on me trouvait répugnante on me disait de pas m'assoir là et on me disait de fermer ma gueule. et puis mon téléphone a sonné et c'était oleg. il était resté chez lui pour faire des traductions latines. il me parlait d'une phrase avec une araignée et j'essayais de me rappeler comment on disait araignée en latin. je suis sortie de la salle pour être au calme mais j'arrivais pas à comprendre ce qu'il me racontait parce qu'il disait des choses trop intelligentes et j'avais l'impression d'être trop bête pour le comprendre. mon cerveau était tout embrouillardé. mais j'étais contente de discuter avec lui et j'avais très envie de lui proposer de passer jeter un oeil à ses traductions. mais je me suis réveillée avant d'en avoir eu l'occasion. à un moment m. voulait que je lui montre le chou que j'avais accroché à la porte de ma chambre, mais quand je le lui ai fièrement montré, il était mort. elle m'a montré comment le faire revenir à la vie mais il était trop mort. c'est la deuxième fois de ma vie que je rêve d'un chou mort.
de retour au treptower park avec ma serviette, un pique-nique, mon kindle et un litre d'eau. il m'aura fallu du temps pour y arriver mais ça y est. on m'a volé mon spot sous le saule pleureur alors je me suis mise sous un autre arbre non identifié parce que je suis nulle en arbres. je les aime mais je retiens pas leurs noms. je suis allongée en face du cimetière sur la presqu'île. hier après-midi comme j'avais pas envie de rentrer de peur qu'y ait encore les amis de j. et d. à l'appart (ils ont l'air gentils mais j'ai du mal à me refaire à la vie sociale après quatre jours de solitude intense, presque six maintenant vu que je continue à voir personne) j'ai entrepris l'exploration de l'autre rive. je me suis arrêtée au supermarché pour me ravitailler en pain (edeka font les meilleurs petits pains de supermarché, j'adore surtout leurs laugenbrötchen briochés salés qui sont légèrement élastiques à la mâche) et au bout d'une marche trop longue sous l'écrasante chaleur je suis tombée sur un cimetière au bord de l'eau avec beaucoup de fleurs, des petites colonnes de pierres empilées sur les tombes dont j'ignore la signification mais j'aime bien, le joli clocher qui me donne l'heure depuis l'autre rive et que j'entends sonner toutes les demies heures et une petite allée de saules pleureurs dont les branches ondulaient sous la brise. je me suis mise dessous pour qu'elles m'effleurent mais j'étais plus dans le mood. c'était un peu décevant. peut être que c'était tout simplement pas le bon saule, chaque arbre est son propre individu, comme les humains, ça peut pas matcher ave tout le monde. et puis on fait pas l'amour dans un cimetière. enfin j'en sais rien, si, pourquoi pas, qu'est-ce qu'ils en ont à foutre les morts, ils sont morts. n. elle aime pas les cimetières et elle aime pas les hôpitaux. je crois qu'on a un rapport à la mort très différent. moi je me sens plus à l'aise au cimetière ou à l'hôpital que dans un club. la mort c'est sur le dancefloor que je le vois. comme rebeka warrior. (je vois la mort ELLE DANSE SUR LE DANCEFLOOR)
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Encore des rêves indociles de justice handie pour la fin du monde
[initialement publié dans la revue Multitude 94, Justice handie pour des futurs dévalidés, traduit de l’anglais (Canada) par Emma Bigé et Harriet de G. Texte Original et Image d'illustration de Leah Lakshmi Piepzna-Samarasinha]
Comme tous les textes de ce blog avant lui, il est disponible à la commande à prix libre, pour permettre de soutenir cette activité. Pour cela, il suffit de m’envoyer un message privé en précisant sa commande, le prix qu’on veut payer, son mail & selon le mode d’envoi : une adresse. Vous pouvez aussi le retrouver ci-dessous ou dans sa version imprimable ici (en pleine page) ou ici (en format cahier).
Tu te rappelles comment, en 2019, on a survécu ? Comment tu as appris que tu avais un cancer, et comment tu as cru que tu allais mourir, soit du cancer, soit de la négligence du chirurgien sur la table d’opération ?
Tu te souviens comment, en 2018, c’était l’année où un groupe de personnes handicapées avait construit un réseau de distribution de masques pendant les incendies de forêt en Californie, distribuant près de 80’000 masques en un mois ? Tu te souviens de la première fois où tu as entendu les termes « pic de pollution de l’air à grande échelle », et comment ce n’était pas la dernière ? Tu te souviens de la première fois où tu as vu une section « justice handie » à la bibliothèque municipale, avec les visages d’Audre Lorde et de Leroy Moore côte à côte sur l’étagère créée par Dustin Gibson ? Tu te souviens quand la loi sur les revenus annuels garantis est passée, et quand le revenu minimum a été augmenté et quand les personnes sous protection sociale avons enfin pu garder nos revenus ? Tu te souviens des réparations obtenues après les abus médicaux ? Tu te souviens du jour où le dernier centre d’internement de force pour jeunes autistes a fermé, et où on s’est retrouvées pour des cérémonies de deuil et de célébration ? Tu te souviens du jour où on a commencé à faire des réserves de masques, d’eau et d’essence avant d’emménager dans la ferme, tenue par des crip racisées, où nous vivons maintenant ? Tu te souviens quand nous avons construit notre premier monument aux mort·es pour célébrer celleux que nous avions perdu‧es, Carrie Ann Lucas, Steve, et toustes les autres ?
Au printemps 2019, Alice Wong du Disability Visibility Project [projet de visibilité handie] m’a demandé d’écrire une suite à mon article de 2017, « Cripper l’apocalypse : rêves indociles pour une justice handie » pour son anthologie Disability Visibility. J’ai dit oui. Et puis, j’ai eu du mal à l’écrire. Il est difficile de rêver quand on est terrifié·e, et c’est et c’était des temps terrifiants. La répétition incessante des traumatismes des trois dernières années, des horreurs du trumpisme qui sont souvent pires que ce que l’on pouvait imaginer, et qui ne cessent de s’empiler les unes sur les autres, m’ont mis·e, moi et tant d’autres de mes proches, dans une sorte d’état perpétuel d’immobilité du type « chevreuil pris dans les phares d’une voiture ». Des camps de concentration aux durcissements des conditions d’accès à la nationalité, de l’ascension de Brett Kavanaugh à la Cour suprême à l’interdiction d’entrée aux ressortisssant·es de pays musulmans, aux feux de forêt dans tous les coins du monde et à la glace qui fond aux deux pôles : on dirait qu’il est plus facile d’apprendre à lire le monde dans un livre que d’essayer de répondre à ses urgences en temps réel.
L’année dernière, au cours de la tournée pour mon livre Care Work: Dreaming Disability Justice [le travail de prendre soin : rêver la justice handie], je me suis souvent retrouvé·e à porter (à l’occasion des conversations publiques et sur les campus) le T-shirt conçu par la militante queer handie Latinx Annie Elainey Segarra où il est écrit que LE FUTUR EST ACCESSIBLE. Je fais ce truc régulièrement pendant mes interventions, où je demande au public de fermer les yeux un instant, de plonger au dedans, et d’imaginer le futur. En tant que personnes actives dans le mouvement pour la justice handie, nous savons que l’accès n’est que le premier pas sur la voie d’un futur handi libéré : c’est la rampe qui nous permet d’accéder à la porte où le futur pourra être façonné, mais ce n’est pas le futur comme tel. Mais quand je demande : « okay, à quoi êtes-vous arrivé·es ? », on entend le son des grillons. Tout le monde reste bloqué. Au mieux, iels arrivent à imaginer un futur où iels ne mourront pas dans des camps de concentration.
Mais en tant que personnes handies, nous savons que l’un des plus beaux dons que nous recevons, ce sont nos rêves Fols, malades, handis et Sourds, ces rêves que nous rêvons au-delà de ce que nous sommes autorisé·es à rêver. Et non, je ne parle pas de la « pornographie inspirationnelle », cet imaginaire validiste des rêves handis qui voudrait que « nous ne laissions pas le handicap nous arrêter », qui s’imagine que nous voulons marcher, voir ou être « normales » à tout prix. Être une super-estropiée ou une inspiration, mais jamais un être humain.
Je parle des petites, énormes façons quotidiennes dont nous rêvons de révolutions crips, de la façon que j’ai de me regarder dans le miroir, cheveux en désordre et mon vieux jogging et mes douleurs le cinquième jour d’une poussée majeure, et de dire : vous savez quoi, je ne vais pas me détester aujourd’hui. Et nos rêves de révolutions crips sont aussi dans nos manières de créer des refuges pour handicapées, des réseaux de parrainage pour handicapées, des façons d’aimer, de se battre et de s’organiser pour les handicapées que même les valides les plus talentueux·ses ne pourraient imaginer en un million d’années.
Et malgré toutes les manières dont nous sommes en enfer, nous sommes toujours en train de rêver. Alors que je vais à trois réunions du réseau de soutien par semaine pour des amies confrontées au cancer, à une chirurgie rénale et à des besoins continus en matière de handicap psy. Au moment où je prends, enfin, une profonde inspiration et demande l’aide dont j’ai le plus besoin à mes amies, et que je suis capable de le faire grâce au travail collectif effectué pour rendre l’acceptation de ce soutien sûr et possible. Alors que je commence à devenir l’artiste handicapéE d’âge moyen que j’avais peur de devenir, alors que j’arrête de prendre autant l’avion et que j’apprends à écrire et à parler et à partager mon travail sans voyager dans le Nebraska ou le Maine, dans une communauté d’autres écrivain‧es et artistes handicapé‧es qui ont trouvé une manière crip de produire et de vivre d’excellentes vies d’artistes handicapé·es.
Nous rêvons de brillantes réponses handies à la violence du changement climatique. Mask Oakland distribue 80 000 masques gratuits lors de l’urgence aérienne à grande échelle des incendies de forêt de l’automne 2018 en Californie. #PowerToBreathe, un réseau de douze organisations de justice pour les personnes handicapées, s’unit lors de l’incendie de Kincade de 2019 pour créer un réseau de « centres de survie » accessibles avec des générateurs et des purificateurs d’air pour et par les personnes handicapées qui s’organisent pour survivre aux coupures de courant potentiellement mortelles de de la compagnie électrique PG&E. Nous créons un espace culturel public de justice pour les personnes handicapées racisées, alors que Dustin Gibson, activiste noir basé à Pittsburgh, construit une collection dédiée à la justice handie dans une bibliothèque de quartier.
Quand UnitedHealthcare assassine la militante et avocate handiqueer latinx fèm grosse Carrie Ann Lucas en refusant de lui rembourser un antibiotique à 2000$, nos peurs, nos deuils et nos rages conduisent le Health Justice Commons à établir la toute première ligne d’assistance téléphonique contre les abus médicaux. Les travailleureuses du sexe handicapé·es, les migrant·es handicapé·es, les prisonnier·s handicapé‧es, les personnes handicapées qui sont en invalidité ou utilisent Medicaid se sont auto-organisé·es pour survivre face à Trump – et sont la raison pour laquelle Medicaid et l’ACA ont tenu bon tandis la règle de la « charge publique » de Trump n’a pas été adoptée1.
De nouveaux collectifs de justice handie se multiplient partout, du Disability Justice Network of Ontario à Detroit Disability Power et à Fat Rose. Mon adelphe, læ militant·e queer coréen·ne Stacey Milbern, a acheté et rendu accessible sa maison à East Oakland – le Disability Justice Culture Club – avec les 30’000$ qu’elle reçoit, tous les mois, en petits montant de vingt dollars envoyés des quatre coins de la planète par la communauté handie. Et deux cent personnes handies, grosses et vieilles brandissent des pancartes qui disent irremplaçable et #PersonneN’estJetable aux manifestations de Crips and Fatties Close the Camps [Les estropié·es et les gros·ses ferment les camps] en face des bureaux de la police aux frontière de San Francisco – un aperçu d’un mois de manifestations quotidiennes en août 2019 contre les camps de concentration formés par les services d’immigration aux ordres de Trump, manifestations menées par des personnes grosses et handicapées qui créent des liens entre d’un côté, nos expériences de l’enfermement dans les institutions psy, les maisons de retraites et les hospices, et de l’autre celles des immigrant·es (y compris les immigrant·es handicapé·es) qui sont enfermé·es.
J’écris tout cela pour me rappeler et pour nous rappeler. Même et surtout quand nous sommes terrifiées au point d’être immobilisées, nous continuons à rêver collectivement des futurs de justice handie et à les rendre possibles.
Se souvenir du passé pour rêver le futur : nous nous sommes toujours trouvé·es les un·es les autres
« Tu connais, toi, ce genre de personne handicapée qui veut juste être là pour les autres personnes handicapées, qui ne demande aucune reconnaissance, qui veut juste faire ce qu’il faut ? », me dit mon ami Lenny au téléphone. Bien sûr, je connais. Je ne lui dis pas, mais il a justement toujours été ce genre de personne pour moi.
À l’époque à Toronto, nous étions les deux seules maisons avec des rampes d’accès faites-mains du quartier. Avec le triomphe de la gentrification dans les quartiers ouest de Toronto, nous vivions au milieu de gens pauvres et de maisons aux porches à moitié déglingués. Des années avant le mouvement pour la justice handie qu’on connaît aujourd’hui, sa maison était un lieu où les gens pauvres, les personnes multiraciales, queer et handicapées, pouvaient venir traîner, se soutenir, faire de plans et rire ensemble. Pendant des années, il tenait des « dîners du vendredi soir » où n’importe qui pouvait venir manger. Il me disait toujours à quel point il était important pour lui de centrer le travail sur les estropié·es les moins populaires : celleux qui tiraient la gueule, qui étaient en colère, les « difficiles », les tellement cinglé·es que même les autres Fols s’éloignaient en disant que c’était « vraiment trop ». Parce que le validisme nous tue en nous isolant les unes des autres, il voulait que les gens qui ont le moins de communauté puissent se sentir quelque part à la maison.
Quelques semaines avant cet appel, je donnais un atelier sur les « réseaux de soin (care webs) » dans un centre communautaire local tenu par des personnes queer et trans racisées : comment créer des réseaux d’entraide en tant que personnes handicapées, comment bien recevoir et comment bien offrir du soin. La première moitié de l’atelier s’était bien passée ; j’avais beaucoup parlé du travail de soin non-payé que de nombreuses personnes réalisent, de la difficulté qu’il y a à demander du soin quand on est une personne racisée malade et handicapée en raison de toutes les fois où l’on est forcé de faire ce travail gratuitement, et où l’on est puni·es pour en avoir besoin. Toutes ces manières qui ne cessent de nous rappeler que les bonnes filles, et mêmes les enfants queer, sont celles qui restent pour aider. Toutes ces peurs d’être un fardeau.
Mais les choses se sont corsées quand j’ai commencé à demander : « Ok, maintenant, pensez à un besoin que vous avez, et prenez un temps pour réfléchir à ce qu’il faudrait pour que ce besoin soit bien satisfait ! » Les gens ont répété plusieurs fois : « Pardon, est-ce que tu pourrais réexpliquer la question ? » La température dans la salle est descendue de dix degrés. En bonne facilitatrice, j’ai dit : « Hé, je commence à remarquer une tension, est-ce que quelqu’un veut en parler ? » Et c’était bien le cas. Iels m’en voulaient parce qu’iels avaient l’impression que je leur racontais des contes de fée à propos d’une chose qui ne leur arriverait jamais : recevoir de l’attention. Certain·es d’entre elleux dirent qu’iels n’y croyaient pas : les personnes ne recevraient jamais l’attention appropriée. Quand je leur ai demandé de penser à une chose dont iels avaient besoin et sous quelles conditions ce besoin pourrait recevoir le soin adéquat, une personne a répondu, dégoûtée, « Je comprends pas pourquoi je devrais m’embêter à lister ce dont j’ai besoin – y a pas moyen que je reçoive quoi que ce soit sans qu’on abuse de moi. »
Face à ce cercle de gens tristes, traumatisés et en colère, j’ai ressenti beaucoup de choses. Je me sentais salement triste. Je me sentais stupide. Du genre, comment avais-je pu ne pas me rappeler, en préparant l’atelier, que tant de personnes handicapées et malades n’avaient jamais reçue de soin sans être traitées comme de la merde ? Et une partie de moi aussi était incrédule, frustrée et énervée. À l’intérieur, je me disais : Allez, personne ne t’a jamais donné de cigarette quand tu faisais la queue au bureau des bons alimentaires, personne ne t’a jamais apporté de plats à emporter quand tu étais malade ? Si moi j’ai déjà donné à plus pauvre que moi, vous aussi, non, arrêtez l’embrouille !
Mais je comprends. Au cours des quinze dernières années, depuis que l’expression « justice handie » [disability justice] a été inventée par un petit groupe de personnes handicapées intersectionnelles et radicales, nous avons fait tellement de choses : nous nous sommes retrouvé‧es et nous avons changé le monde. Nous avons fait en sorte qu’il y ait un mouvement des personnes handicapées qui ne soit ni blanc, ni masculin, ni cis. Un mouvement handi où l’on a enfin pu commencer à parler non seulement des meurtres policiers de personnes handicapées noires et racisées, mais aussi des olympiades de la désirabilité validiste qui s’imposent à la communauté queer trans racisée. Nous avons créé des communautés handies et des manières profondes de prospérer. Alors évidemment, je peux l’imaginer ! J’ai eu tellement d’exemples de réseaux de soins handis, imparfaits et beaux. J’ai une décennie de discussions archivées et animées de Sick and Disabled Queers (SDQ) sur mon ordinateur, des souvenirs des moments où nous avons collecté des fonds pour offrir à mon ami Dorian une camionnette accessible en fauteuil roulant que nous voulions également être un accès communautaire à du transport à la demande ou quand les gens envoient des pilules à de parfaits inconnus qui en manquaient. Le tout passant sous le radar valide, le tout sans financement extérieur, intégralement payé par nous. Et bien plus que les collectes de fonds et les collectifs de soins : la façon dont nous avons passé du temps ensemble sans essayer de nous « réparer » ; et comment nous sommes allé‧es rendre visite à des amis dans des maisons de retraite, et comment nous avons joué à des jeux de société, créant des amitiés et des socialisations communautaires où le handicap était au centre. On s’est mutuellement sauvé la vie. Et pourtant, si vous n’étiez pas là au bon moment en 2013 sur SDQ, ce monde-là vous est peut-être invisible, parce que vous n’avez pas pu nous retrouver.
En tant que personnes handicapées, nous sommes à la fois hyper visibles et invisibles. Simultanément dévisagé·es et invisibilisé‧es, notre travail et nos vies sont effacées. Je pense qu’une partie de notre plus grand pouvoir réside dans ce qu’un ami appelle « l’obscurité révolutionnaire ». Nous nous organisons d’une manière inconnue des personnes valides, pour passer sous leur radar. On ne rejoint pas le mouvement pour la justice handie en payant une cotisation à une organisation nationale de justice handie. La justice handie existe partout où deux personnes handicapées se rencontrent à une table de cuisine, sur des bouillottes dans leur lit, discutant de nos amours. N’importe qui peut faire partie de la justice handie s’iel s’organise à partir de ses propres cuillères, de son propre corps et de son esprit, et de sa propre perception des besoins de sa communauté.
Les fondations commencent à comprendre que la « justice handie » est le nouveau truc sexy à financer. Même si l’argent pourrait bien nous être utile, on sait ce que ça fait habituellement aux mouvements. Nous savons que le complexe industriel de la charité a une longue et riche histoire histoire d’investir dans des mouvements puis de les déstabiliser et de les déradicaliser. Dressant les groupes les uns contre les autres, donnant souvent de l’argent aux plus blancs et à celleux qui ont la peau la moins foncée, à ceux qui ont le plus de diplômes et payent leurs impôts. L’argent est tellement compliqué, et pas compliqué du tout, mais tentant. Nous nous creusons la tête en essayant de comprendre comment et quel type prendre. Je ne pense pas qu’il y ait une seule bonne réponse, ni que l’argent soit même le plus risqué pour nous – mais la tension que nous pourrions ressentir à mesure que le Justice handie grandit et que les gens qui ne sont pas nous pensent qu’il est important de s’éloigner d’un mouvement bancal entièrement horizontal d’anonymes où n’importe qui peut avoir une idée, n’importe qui peut diriger, ce que nous avons été, vers un endroit où seuls les estropié·es avec les diplômes et les mots qui ont un sens pour celleux pouvoir sont adoubées comme des stars.
Je crois fermement, comme j’y croyais dans mes années de jeunesse à étudier les techniques de guérilla radicale, que notre pouvoir est plus fort lorsque nous employons une diversité de tactiques selon nos propres conditions – des tactiques qui nous renforcent, qui frappent là où l’ennemi est faible ou faillible. Nous faisons de notre mieux lorsque nous nous battons pour gagner selon nos propres conditions de personnes handies. Pas de compromis. Créez quelque chose de handi et de merveilleux.
Quand j’ai peur de tout perdre, je me rappelle qu’avant même de disposer d’un nom pour nous dire, nous arrivions déjà à nous trouver les un·es les autres. Dans la maison de Lenny, sur les porches de nos maisons avec leurs rampes d’accès bricolées. Et dans les maisons de retraite, dans les prisons, dans les hôpitaux psy, et oui, dans les camps. Je sais que aussi terribles que puissent être les circonstances, nous continuerons à nous trouver les un·es les autres. Nous l’avons toujours fait. Nous nous retrouverons, que nous soyons exalté·es comme le dernier parfum à la mode ou ciblé·es pour être éliminé·es, ou les deux.
Propagations indociles
Je parle depuis le début de l’indocilité des rêves handis, alors voici quelques rêves handis pour les temps qui viennent :
À mesure que grandissent nos réseaux, les personnes qui les composent, les collectifs et les groupes culturels dans lesquels ils s’organisent, pouvons-nous imaginer des formes de communication entre nous ? Pouvons-nous développer des principes pour nos actions et nos solidarités là où le complexe industriel caritatif et les systèmes de pouvoir essayent de nous mettre en compétition ? Pouvons-nous nous préparer à affronter les luttes de pouvoir et les dégâts qui, inévitablement, en résultent ?
Les personnes handies radicales – en particulier les personnes handies noires, autochtones, racisées, queer et trans – vont continuer à écrire, à créer, à faire de l’art. Quelles structures voulons-nous créer pour construire les unes avec les autres ?
Les réseaux sociaux nous ont donné un outil important pour nous connecter les unes aux autres et en finir avec l’isolation des dernières décennies, mais Facebook, Instagram et la plupart des réseaux sociaux étouffent et censurent secrètement nos paroles au point d’empêcher un certain nombre d’entre nous de publier leurs idées, ou de voir leurs idées relayées. Et si nous créions nos propres réseaux sociaux de communication ?
La vieille garde des luttes pour les droits handis est en colère contre les militant·es pour la justice handie parce que nous avons réussi à convaincre davantage de genxtes à se dire handicapées, parce que nous ne sommes pas racistes et parce que nous ne concentrons pas seulement sur le travail de réforme. Nous nous dédions à la construction de maisons, à la construction d’un million de petits groupes plus bizarres les uns que les autres et d’actions et de projets et de hashtag sur Instagram et de médias et d’histoires et de partages de rampe d’accès et de boîtes à outil prêtes à l’emploi pour des bibliothèques et de projets d’habitats partagés et de pratiques de sexe collectives. Alors que se passerait-il si nous prenions la direction de Centres pour la vie en autonomie ou de programmes en Études Handies ? Et si nous faisions quelque chose de complètement nouveau ? Et si nous créions des Centres pour la vie en interdépendance plutôt qu’en autonomie ?
D’ici vingt-cinq ans, les personnes noires, indigènes et racisées constitueront la majorité des personnes vivant aux États-Unis, et l’une des grandes victoires du mouvement pour la justice handie est d’avoir fait en sorte que moins en moins de jeunes personnes racisées ont peur du handicap – de plus en plus d’entre elleux s’en revendiquent, ou l’intègrent à leurs activismes. Que faire de ce potentiel ?
Poussées à quitter les villes côtières par les forces croisées de l’hypergentrification et de la montée des eaux, quelles nouvelles maisons et communautés handies pourrons-nous construire dans ces banlieues et ces terrains vagues de l’exode ? Quels foyers crip construirons-nous sur les îles que deviendront la Floride dans les zones industrielles désaffectées, dans les réserves autochtones ? Que se passerait-il si nous crippions le Green New Deal ? Que se passerait-il si les infrastructures vertes qu’on nous promet adoptait, dès leur point de départ, les principes de justice handie ?
Nous luttons pour maintenir la sécurité sociale tout en sachant que les structures de soin payant telles qu’elles existent ne payent pas suffisamment les soignant·es, et restent trop souvent difficiles d’accès ; nous faisons éclore des structures de soin collectif mais nous savons que pour nombre d’entre nous, elles ne sont pas accessibles, notamment parce que nous aimerions que ce ne soit pas nos ami·e·s qui nous torchent les fesses, ou parce que nous n’avons pas le capital social/amical qui le permettrait, ou parce que nous savons que prendre soin continuellement épuise. Et nous nous demandons : quels sont nos rêves de réseaux d’entraide collective, d’une société où le soin gratuit, juste, accessible, est un droit humain pour toustes ? Et si nous pouvions créer un système d’entraide et de soin à l’échelle de la société fondé sur les principes de justice handie ? Je pense à quelque chose comme la société des Dépossédés de Ursula K. Le Guin où une lune anarcho-syndicaliste est dotée de logements, de travail et d’entrepôts remplis des biens nécessaires pour toustes. Et si tout le monde avait accès à ce genre de soin ? Et si le droit au soin et à l’accès se trouvait inscrit dans toutes les constitutions ? Et si des Réformes du Soin étaient implantées biorégionalement, en lien avec les autochtones qui vivent dans chaque ville, chaque localité ?
Dans son appel à financer sa maison, Stacey Milbern avait écrit « les rêves de justice handie m’ont portée jusqu’ici, et je continuerai à m’appuyer sur eux. » Il n’est pas exclu que d’ici cinq ou cinquante ans, nous soyons toustes mortes, étouffées par les airs viciés des incendies provoqués par le changement climatique. Mais je sais que nous avons déjà persévéré et survécu face à l’adversité. Et je sais cela aussi :
Nous avons ce que nous avons toujours eu, et davantage encore.
Nous savons vivre nos deuils, prier
persister
trouver la résistance dans les plus petits espaces
nous retrouver les unes autres et créer des foyers
nous allonger au milieu de la rue et, animées par le deuil et par la rage, bloquer la circulation
déployer des trésors d’imagination crip
faire des trucs que tout le monde pense impossibles
inventer des gestes indociles et inattendus, qui passent sous les radars et nous permettent de continuer.
1 NdT : L’Affordable Care Act ou « Loi sur la Protection des Patients et les Soins Abordables », surnommée Obamacare, est une législation de 2010 qui, aux États-Unis, édicte l’interdiction pour les assurances de refuser d’exercer des discriminations du fait de maladies ou handicaps. La règle de la « charge publique » permet, sous l’administration Trump, à un État des États-Unis, de refuser un visa à une personne du fait de son handicap/sa maladie faisant d’elle une « charge » pour la collectivité.
Leah Lakshmi Piepzna-Samarasinha
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US Vogue March 1, 1950
Our model, Pat Blake faces a difficult choice. Which beige gloves should she wear with her Belding-Corticelli silk Shantung dress piped in black, by Henry Rosenfeld? "Mango", pinkish yellow, above left? "Casaba", with a yellow reflection, above? "Curry" in the center, spicy yellow? "Sherbet" on the right, light mauve-white or else "Chutney", spicy orange, below? All from the new Kislav glove palette. Second question: which of the new necklaces combining crystal colors with pseudo-pearls? At the level of his throat, the crystals are clear. In hand, they are pale pink. On the table, on the left, topaz color: on the right, coral. Tous, by Jacques Fath designed for Marvella. Marvella earrings, unilateral hat in beige felt, made to order at Chanda. Beauty note: Her creamy, rosy lipstick, "Heart Throb" by Ponds.
Notre modèle, Pat Blake fait face à un choix cornélien. Quel gants beiges dois-elle porter avec sa robe en Shantung de soie Belding-Corticelli passepoilée de noir, par Henry Rosenfeld ? "Mango", de teinte jaune rosé, ci-dessus, à gauche ? « Casaba », de reflet jaune, au-dessus ? "Curry" au centre, jaune piquant ? "Sherbet" à droite, mauve-blanc clair ou bien "Chutney", orange épicée, ci-dessous ? Le tout, de la nouvelle palette de gants Kislav. Deuxième question : lequel des nouveaux colliers associant des couleurs de cristal à des pseudo-perles ? Au niveau de sa gorge, les cristaux sont clairs. En main, ils sont rose pâle. Sur la table, à gauche, couleur topaze : à droite, corail. Tous, par Jacques Fath conçu pour Marvella. Boucles d'oreilles Marvella, chapeau unilatéral en feutre beige, réalisé sur commande chez Chanda. Note beauté : Son rouge à lèvres crémeux et rosé, "Heart Throb" de Ponds.
Photo Erwin Blumenfeld vogue archive
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