#Les Voleurs
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hayaomiyazaki · 7 months ago
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When we were younger, we should have fought. It would have done us a world of good. I never dared. You neither. We were too sensible, too well-bred. It's a pity. When violence has no outlet... For a couple, that's the end.
a film from each year of my life: Thieves • Les voleurs (1996) dir. André Téchiné
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verypersonalscreencaps · 4 months ago
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TOP 5 FIRST-TIME WATCHES OF JULY 2024 1. A PASSAGE TO INDIA (1984, dir. David Lean) 2. JANET PLANET (2023, dir. Annie Baker) 3. LES VOLEURS (1996, dir. André Téchiné) 4. EMPRESS MICHIKO, THE STRENGTH OF THE REED (2021, dir. Anne-Sophie Chaumier Le Conte) 5. BABES (2024, dir. Pamela Adlon)
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sacredwhores · 10 months ago
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André Téchiné - Thieves (1996)
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katerinadeannika · 7 months ago
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Catherine Deneuve has the most wonderful chemistry and kisses with so many women in so many films 😩 Belle De Jour, 8 Femmes, The Hunger, Les Veleurs, to name a few. It’s so sad that most are lost or rare media in the USA
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BELLE DE JOUR 1967 | dir. Luis Buñuel
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ranjevel · 4 months ago
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i'm very normal about him
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les-portes-du-sud · 1 month ago
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Ma mère aimait généralement donner des noms aux choses.
Un jour, je l'ai entendu dire bonjour à une théière qu'elle a soigneusement essuyée puis placée sur le rebord de la fenêtre, le bec verseur face à la vitre, pour qu'elle puisse admirer la vue.
Mark Levy
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falsenote · 1 year ago
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Florinda Bolkan, Robert Hossein and Jean-Louis Trintignant on the set of Crime Thief (1969)
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laurapetrie · 2 years ago
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GENEVIEVE BUJOLD in LE VOLEUR (1967)
I'm always wrong when I make promises, but it's undeniable - Genevieve makes me think of the all-time greats: Jeanne Moreau, Julie Christie. [When I wanted her for Le Voleur], I called her the next day and said, "I can't forget your face. I only think of you." - LOUIS MALLE
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male-spirit · 4 months ago
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Vu sur X
😁😁😁
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yuyuthecat · 13 days ago
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Adèle
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jt1674 · 5 months ago
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larmaro · 2 years ago
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Rosette vole les voleurs, 1988
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sacredwhores · 11 months ago
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André Téchiné - Thieves (1996)
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anticbrvtalist · 2 years ago
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" La solitude ne m'est pas donnée, je la gagne."
— Jean Genet
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ranjevel · 1 year ago
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no way i forgot to post it
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mmepastel · 1 year ago
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J’ai fini hier soir ce roman très addictif et réussi publié cette rentrée chez Gallmeister.
Je me suis vraiment régalée avec ce récit gothique d’une étrange malédiction. Dans la famille Chapel, lorsque les femmes enfantent, elles meurent ou bien lorsqu’elles consomment leur mariage, elles meurent. Avouez que c’est atrocement diabolique et assez handicapant.
La famille semble possédée. A commencer par la mère, hantée par des fantômes la nuit ; le père est un taiseux inintéressant. Les six filles sont le cœur du roman. Elles sont toutes nommées à partir de fleurs, dont raffole Belinda, la mère, plus portée sur la botanique que sur la maternité heureuse. Une première union se profile pour Aster, l’aînée, et tout bascule.
L’histoire est racontée depuis la « presque plus jeune », Iris. L’histoire est abracadabrantesque pourrait-on dire, mais elle est rendue délicieusement horrifique par l’écriture, juste et un peu pince sans rire, et une ambiance surannée : ça commence dans les années 50, dans le faste d’une demeure riche (argent salement gagné, le père est vendeur d’armes), une demeure présentée comme une pièce montée blanche et victorienne, qui s’apparente à un gâteau de mariage. Cocon d’abord, puis bonbonnière étouffante.
Le sujet sous-jacent est évidemment la toxicité masculine (les armes, la virilité dangereuse des hommes, leur mépris des propos de bonne femme). Iris va parcourir un trajet douloureux, émaillé de deuils, pour parvenir à s’émanciper, en faisant beaucoup de sacrifices. Honnêtement, je n’ai pas trouvé la thèse très bien défendue, mais je me suis régalée à lire l’histoire de ces six sœurs, attachantes et émouvantes. Quelque chose vous happe, et vous avez du mal à lâcher le livre quand bien même les morts sont pour ainsi dire annoncées. Il y a une dimension de conte, voire de comptine, qui rend le récit entraînant, envoûtant. Un halo de mystère en même temps qu’une profondeur psychologique non négligeable.
Roman étrange, trop charmant pour être vraiment dérangeant, mais qui ensorcelle à merveille.
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