Tumgik
#Les Petits Marchands
lepetitlugourmand · 2 years
Text
Effervescence dans la sphère sucrée niçoise... Julien Dugourd, Gaël Moutet, Maison Céline...
Effervescence dans la sphère sucrée niçoise… Julien Dugourd, Gaël Moutet, Maison Céline, Les Petits Marchands… Après les chefs, les pâtissiers sont les nouvelles stars des réseaux sociaux et leurs « instagrammables » créations provoquent tant l’émulation numérique que de longues queues devant leurs boutiques. Les aficionados sont prêts à dépenser de belles sommes pour déguster ou faire un selfie…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
chic-a-gigot · 4 months
Text
Tumblr media
Le Petit écho de la mode, no. 21, vol. 20, 22 mai 1898, Paris. 1. Toilettes pour jeunes filles ou jeunes femmes. Modèles de Mlle Thirion, 47, boulevard Saint-Michel, Paris. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
(1.) Roue en voile "fil de la vierge" composée d’une jupe unie posée sur un fond de jupe de taffetas; et d’un corsage froncé, monté sur un empiècement plissé à plis lingerie, entouré d’une berthe formant épaulettes coupées d'entre-deux et ourlées de dentelle; plusieurs rangs de fronces retiennent l’ampleur du bas du corsage qui se termine sous une ceinture de ruban fermée par une boucle finement ciselée, col droit garni d’une ruche, manches froncées, garnies de coques de ruban. Chapeau en paille orné de tulle et de fleurs.
(1.) Wheel in “thread of the virgin” voile composed of a plain skirt placed on a taffeta skirt background; and a gathered bodice, mounted on a pleated yoke with lingerie pleats, surrounded by a berthe forming shoulder pads cut in between and hemmed with lace; several rows of gathers retain the fullness of the bottom of the bodice which ends under a ribbon belt closed by a finely crafted buckle, straight collar trimmed with a ruffle, gathered sleeves trimmed with ribbon shells. Straw hat decorated with tulle and flowers.
Matériaux: 7 mètres de voile en 1m20 de large, 6 mètres de ruban.
(2.) Robe en voile posée sur un fond de jupe en taffetas, ourlée de petits galons de velours noir; mêmes galons posés, à mi-jupe, en dents aiguës retenues par des nœuds de dentelle. Corsage blouse devant, composé d’un dos tendu, plissé à plis horizontaux bordés de dentelle, décolleté du haut sur un empiècement en broderie écrue posé sur un transparent de soie; et d’un devant sans pince, plissé en travers, garni de dentelle; empiècement en broderie, fermeture invisible sur le côté, ornée de nœuds de dentelle; col droit recouvert de dentelle, manches en dentelle plissées dans le haut, bordées d’un volant, ceinture en ruban fermée par une boucle. Toquet en tulle noir gracieusement drapé, relevé sur le côté gauche par deux touffes de fleurs d’où s’échappent deux plumes pailletées de jais.
(2.) Voile dress placed on a taffeta skirt, hemmed with small black velvet braids; same braids placed, mid-skirt, in sharp teeth held by lace bows. Blouse bodice in front, composed of a taut back, pleated with horizontal folds edged with lace, top neckline on an ecru embroidery yoke placed on a transparent silk; and a front without pleats, pleated across, trimmed with lace; embroidery yoke, invisible closure on the side, decorated with lace bows; straight collar covered in lace, lace sleeves pleated at the top, edged with a ruffle, ribbon belt closed with a buckle. Gracefully draped black tulle toquet, enhanced on the left side by two tufts of flowers from which two jet-glittered feathers escape.
Matériaux: 7 mètres de voile, 9 mètres d’entre-deux, 1 mètre de guipure, 1 mètre de taffetas.
Chapeaux de Mme Marchand, 96, avenue Victor-Hugo.
Le Sautoir Sapho que représente notre gravure est une délicieuse création parisienne; il se compose d’une chaîne en cordonnet de soie avec coulants d’acier d’un effet charmant. Cette chaîne mesure 1m50 de long, elle est destinée a retenir une montre, un face à main ou un joli crayon. C’est un objet que toutes nos lectrices voudront se procurer, étant donné sou prix minime de 2 fr. 45 franco.
The Sautoir Sapho represented by our engraving is a delicious Parisian creation; it is made up of a silk cord chain with steel slides for a charming effect. This chain measures 1.5 meters long, it is intended to hold a watch, a faceplate or a pretty pencil. It is an object that all our readers will want to obtain, given its minimal price of 2.45 francs.
57 notes · View notes
Text
Never forget.
En ce jour le plus long, plus de 200'000 hommes se trouvaient face à face, sur les plages de Normandie.
Tumblr media
Les forces alliées débarquaient sur les plages de Normandie, le 6 juin 1944
Tumblr media
Au nom de code Neptune, a été le plus important de l’histoire en termes de navires engagés.
Alliés
Effectifs: 156'177 hommes 5 divisions d’infanterie et 3 divisions aéroportées sont débarqués le jour J, dont 10'470 seront tués, blessés ou disparus, selon les chiffres du Mémorial de Caen, dans l’ouest de la France. Par mer, environ 133'000 hommes: soit 58'000 Américains sur les plages Utah et Omaha, 54'000 Britanniques sur Gold et Sword et 21'000 Canadiens sur Juno 177 Français débarquent aussi sur Sword.
Par air, 23'000 hommes: 13'000 parachutistes américains sont largués sur l’ouest de la France, dans le Cotentin et 10'000 Britanniques entre l’Orne et la Dives.
Aviation: pendant la seule journée du 6 juin, 11'500 appareils dont 3500 planeurs de transport, 5000 chasseurs et 3000 bombardiers survolent les plages normandes et déversent 11'912 tonnes de bombes sur les défenses côtières allemandes. Les pertes seront faibles: 127 avions perdus et 63 endommagés.
Marine: l’opération Neptune engage 6939 navires et la force de débarquement proprement dite comprend 4126 navires et barges constitués en 47 convois. Une partie des transports les LCA, Landing craft assault accompliront la traversée à bord de bateaux plus puissants pour n’être mis à la mer qu’au large de l’une de leurs cinq plages de débarquement. Les autres types de péniches traverseront la Manche par leurs propres moyens, notamment: les LCI (Landing craft infantry), petits transports de troupes, les LCT (Landing craft tanks) qui transportent des chars et des véhicules, les LCVP (Landing craft vehicle personal), les LST (Landing ship tanks), ainsi que les fameux «ducks» (canards), engins amphibies propulsés par une hélice. 20'000 véhicules et un millier de chars ont ainsi été transportés. La flotte logistique compte 736 navires auxiliaires et 864 navires marchands pour le transport de vivres, munitions et les hôpitaux flottants. Parmi les navires marchands, 54 blockships seront coulés pour former des rades artificielles.
L’escadre de combat totalise 137 navires de guerre dont sept cuirassés, une vingtaine de croiseurs, 221 destroyers, frégates, corvettes, 495 vedettes, 58 chasseurs de sous-marins, 287 dragueurs de mines, quatre poseurs de mines, deux sous-marins.
Forces allemandes
Effectifs: ~ 148'000 hommes de la 7ème armée sont stationnés en Normandie et environ 50'000 dans la zone de débarquement. A proximité des plages, une seule division blindée, la 21ème, au sud-est de Caen, et six divisions d’infanterie. Deux autres divisions blindées, la 12e SS (Hitler-Jugend) et la division Panzer-Lehr, sont respectivement près d’Evreux et vers Alençon-Le Mans. Trois autres divisions 1ère SS, 2ème et 16ème se tiennent au nord de la Seine, aux environs de Mons, Péronne et Senlis.
Aviation: une bonne partie des appareils vient d’être envoyée sur le front est. Restent quelques dizaines de bombardiers et chasseurs.
Marine: 30 vedettes, quatre destroyers, neuf torpilleurs, 35 sous-marins.
31 notes · View notes
olympic-paris · 9 days
Text
saga: Soumission & Domination 267
GP de France (suite)
Dimanche
Réveil difficile ! Je traine et suis le dernier à passer sous la douche ! J'enfile à toute vitesse un café très serré et engouffre un froissant tout en me faisant enfiler... ma combi par PH et Franck. Samir et Ammed nous accompagnent et, non pas dans leur tenues habituelles : short cuir moulant, mais en jeans et polos.
Notre groupe navigue le long du circuit et, en block, envahi, entre les différentes courses, les " magasins ". Après 2/3 bières, les essayages sont chauds ! Nous faisons le spectacle alors qu'avec PH, Franck, Phil et Luc, combis sur les hanches malgré le temps plus que moyen, nous nous retrouvons torses nus pour enfiler chacun une bonne demi douzaine de t-shirts. Les deux vendeurs sont tendus le temps que Marc les assure qu'ils ne risquent rien. Nous faisons les mannequins puis quelques minutes plus tard nous achetons toutes les pièces que nous avons essayées. Ils ne sont pas déçus !
Dans une autre " boutique ", c'est Cédric, Louis et Kamal qui font le show. Ils nous imitent et nous kiffons bien leur manège. Les vendeurs sont plus cools et en rajoutent. Faut dire qu'un bel attroupement s'est constitué devant. Ils nous font même une ristourne sur le total. En 9 t-shirt j'en laissais quand même pour plus de 350€ ! Plus tard dans l'après midi, C'est PH qui attire mon attention sur Kamal bloqué devant l'étal d'un marchand de cuirs. Son regard s'est fixé sur un blouson noir assez " mauvais garçon ". Je le vois instinctivement tâter ses poches puis ses épaules tomber. Il n'a pas encore intégré sa nouvelle situation chez moi et l'augmentation du pouvoir d'achat que cela entraine. Je passe mon bras sur son épaule et lui demande si c'est celui là qu'il veut. Il est surpris et balbutie qu'il est trop cher. C'est sûr que c'est pas sur le circuit qu'on fait les meilleures affaires. Sans le lâcher, j'attire l'attention d'un des deux jeunes vendeurs et lui demande le blouson dans la bonne taille. PH a le temps de convaincre Kamal d'accepter le cadeau avant qu'il ne revienne avec deux exemplaires. C'est le plus petit qui lui va. Je comprends, alors que le vendeur fini de l'aider à l'enfiler, pourquoi il avait kiffé ce modèle. Une lanière en Y passe entre ses jambes et une fois clipsée devant, évite que le dos soit dénudé quand il se couchera sur une moto comme mon premier véritable blouson que Marc m'avait acheté. Sans compter que ça fait ressortir son paquet avec évidence ! Le vendeur le remarque et sans façon caresse la bosse mise en avant puis recule près de moi pour nous laisser admirer. Il me glisse à l'oreille que j'ai là un beau p'tit mâle bien craquant. Je rigole et passe le bras autour du cou de PH et lui dis que c'est celui là mon mec, l'autre c'est un petit ami en apprentissage des choses de la vie. Le vendeur se démonte pas et me demande alors s'il peut lui aussi apporter sa pierre à l'édifice. Kamal qui nous a entendus, intervient alors et lui demande carrément ce que cela lui rapportera. Le vendeur me regarde un peu surpris. Je lui dis qu'ils n'ont qu'à s'arranger ensemble mais qu'en tout état de cause ce sera sous kpote. Ils s'isolent derrières deux portant au fond du stand.  Bien que discrets, il est évident que ça baise au fond du stand ! L'autre vendeur a bien du mal à se concentrer sur les autres clients. Il fiat quand même en sorte qu'ils ne s'enfoncent pas trop et les devance quand ils veulent voir un article du fond. Nous l'aidons en bloquant l'autre allée. Quand le vendeur ne peut retenir son " enthousiasme " lorsqu'il jouit, PH et moi en noyons l'expression par une quinte de toux.
Lors du passage en caisse, Kamal me dira qu'il avait négocié sa rondelle contre 20% du blouson. Le vendeur me le confirme et m'assure que c'était pas volé bien qu'il ne lui ait pas appris grand-chose ! Trop content, Kamal garde son nouveau cuir sur le dos et nous rejoignons les autres.
Il se fait bousculer, moquer alors qu'il parade entre nous. Comme Cédric et Louis le trouvent génial, Eric me demande où je l'ai acheté et nous rebroussons chemin. Le vendeur qui nous voit revenir s'avance vers nous interrogatif. Eric pousse alors Cédric et Louis devant nous et lui demande le même blouson pour ces deux là. Après discussion, ils l'auront avec 10% de remise mais sans intermède sexuel !
Nous prenons quand même le temps de regarder les courses. L'ambiance est chaude même si elle est très différente de celle des 24h moto. Personne ne fait de remarque sur nos façons de nous tenir (correctes quand même : bras autour du cou ou dans les reins).
Pas pressés, nous trainons sur le circuit alors que la masse des spectateurs en part. Nous sommes attablés devant des bières quand nous sommes abordés par 4 mecs d'environ 20/25ans qui nous demandent si nous restons sur place ce soir encore. Réponse positive de Marc. On discute des courses puis d'où nous sommes. Eux sont de Bordeaux. Y'en a un pour nous demande comment on a fait pour rester aussi " frais ". Marc leur dis que nous avons loué un gîte à deux pas d'ici. Ils n'en avaient pas eu l'idée et le regrettent vu le confort limité du couchage sous tente ! Celui qui me semble le plus jeune nous demande si nous serions suffisamment cool pour leur permettre de se laver chez nous. Eric nous regarde tous avant de leur faire remarquer que s'ils n'ont pas peur de se faire violer, c'est tout à fait possible. Celui qui nous avait posé la question l'assure que vu la brochette de beaux mecs que nous faisons, ils seraient " cons " de ne pas profiter de ça aussi. Au moins ça le mérite d'être clair ! La conversation devient tout de suite plus " amicale " et, finalement, nous décidons de rentrer au gîte. Allez savoir pourquoi un tel empressement.
Avec PH je les accompagne à leur tente. Nous comprenons mieux. Deux petites tentes deux places entourées de 2 ZX10R de 2012 et 2 R1 de la même année. Ph rigole devant les motos et explique qu'ils ne pouvaient plus me plaire avec ces modèles là. Ils font vite leurs sacs. Je leur dis de démonter aussi leurs tentes à moins qu'ils ne veuillent vraiment passer une nuit de plus dans l'humidité. PH ajoute que nous leur ferons une petite place sur les 20m² de lits du gîte. Ils ne relèvent pas mais plient aussitôt le reste du matériel.
Ils nous suivent jusqu'à nos propres motos. Ils admirent les nouveaux modèles et je leur dis de nous suivre. 10 mn plus tard nous les béquillons au milieu des autres.
Ils sont quand même surpris par l'ambiance. Les combi sont toutes accrochées et tout le monde déambule en slip ou shorty et même jock pour Cédric et Kamal. Marc leur dit de se mettre à l'aise et PH et moi montrons l'exemple en quittant nos combis. Ils quittent leurs cuirs. Effectivement les douches ne seront pas du luxe. J'emmène un couple avec moi et PH l'autre jusqu'aux salles de bain. Je suis le premier à les voir à poil. Plus que corrects ! Musclés suffisamment même si moins que moi, peu poilu et bien entretenus (torses et aisselles rasés, couilles idem et pubis tondu). Ils sont ravis des installations et se font tout beaux, je fais de même.
Propres et changés nous rejoignons le séjour. Les mecs remercient Eric et Marc alors que nous attaquons l'apéro. Ce dernier leur demande, en nous montrant tous, si la variété des mecs leurs convient. Y'en a deux qui rougissent grave alors que les deux autres éclatent de rire.  L'apéro s'éternise quand Kamal et Cédric attaquent les deux plus " mâles " de nos invités. Faut dire que depuis quelque temps déjà, ça bandait dur dans les slips ! C'est le signal de départ pour la dernière touze du WE. Marc attrape le plus jeune de nos invités et l'invite à se pencher sur son cas ou plutôt sur sa bite. Nous n'avons pas fait le mauvais choix. Ils sont chauds comme la braise et il ne faut pas longtemps pour qu'ils se retrouvent à poil comme nous tous.
Je ne laisse pas passer mon tour et m'octroi d'autorité, avec PH, le jeune que j'avais accompagné à la douche. Sa langue se bat bien avec la mienne et il me laisse pousser mes doigts dans son cul. PH m'aide bien en lui faisant une pipe dont je connais personnellement l'efficacité ! Quand je sens une langue contre mes doigts, je jette un oeil. C'est Louis que nous a envoyé Franck. Mes doigts remontent sur ses pecs et alors que je joue avec, j'ai le plaisir de l'entendre gémir.
Quand Louis me dis qu'il lui semble prêt, PH m'encapuchonne et je me glisse derrière notre invité pour l'honoré comme il faut. Avec moins de circonvolutions, je l'encule grave ! Bon et même Très Bon ! Un anneau bien serré entre deux fesses musclées je ne connais rien de mieux. PH installe Louis sous notre invité et profite de son cul. J'explore les capacités de ce nouveau trou. Il me prend bien en entier (mais je ne fait que 20 aussi !). Sa muqueuse colle bien à ma bite et sa rondelle me comprime bien. J'aime surtout quand il la serre avant que je ressorte mon gland totalement. Il apprécie quand je force pour entrer de nouveau et laisse échapper des grognements significatifs. Rythme de croisière, mes mains ancrées sur ses hanches, je jette un coup d'oeil autour de nous. J'aperçois 3 autres regroupements, chacun autour d'un des autres invités. Les gémissements vont bon train et dénotent des enculades efficaces. Avec PH nous échangeons nos " culs ". Dans le mouvement, notre invité prend l'initiative de se mettre en 69 avec Louis, ce dernier tout content de se faire pomper à son tour. C'est en se regardant dans les yeux avec PH que nous jutons après une bonne série de pénétrations profondes et parfois brutales. En dessous de nous, je vois qu'ils se sont bien recouverts avec leurs spermes respectifs.
Nous nous décollons les uns des autres. Deux autres " amalgames " se sont déliés aussi. Il ne reste que celui d'Eric et Marc avec le deuxième " jeune " du quatuor. Ce dernier semble inquiet à l'idée de laisser l'énorme bite noire lui perforer l'anneau. Nous nous approchons tous. Son mec lui dit qu'il n'aura pas l'occasion de rencontrer souvent un matériel pareil et qu'il devrait en profiter. Cédric se place devant lui et se laisse monter par Eric pour lui prouver que c'est possible. Kamal s'insinue et lui mange la rondelle pour la préparer alors que Phil ouvre son flacon de poppers pour aider.
Eric sort de Cédric et se kpote. Le p'tit mec est poussé à sur le dos, les jambes à la verticale et son mec se charge de le gazer au poppers. Tous, autour, nous l'encourageons. Son mec lui parle à l'oreille et le détend alors qu'Eric le défonce lentement mais sûrement. L'enculé halète, snif et pleure en même temps. Mon enculé ouvre de grands yeux devant l'exploit de son copain. Je lui glisse de bien regarder car après dîner c'est sûr que ce sera son tour. Il me regarde interloqué. Je lui dis qu'à par Marc, tous les autres se le sont déjà pris dans le cul et que nous n'en sommes pas morts. En attendant, son pote commence à prendre son pied. Sous nos encouragements et surtout sous l'effet du glissement du gland d'Eric contre sa prostate, il explose littéralement et c'est un véritable geyser qui sort de sa queue. Chaque coup de rein d'Eric propulse le jet un peu plus haut. Il sort pour ajouter son sperme et le pauvre mec se retrouve recouvert de grandes traines blanches.
Bousculades sous les douches. Les 4 invités ne sont pas les derniers dans la mêlée. Nous retournons à poil dans le séjour pour chercher nos sous vêtements. Ils sont surpris de la complicité qui règne entre nous tous. Ils le sont aussi par le diner que samir et Ammed ont rapidement mis en place. Nous discutons de tout et de rien. Ils nous remercient encore pour l'ébergement. Ils sont tous les 4 étudiants en médecine à Bordeaux. Les deux plus âgés sont en en 6ème année alors que les deux plus jeunes finissent leur 2ème (ils n'ont que 19ans). Ils sont en coupe depuis deux ans seulement quand ils les avaient repérés/attrapés parmi les autres. Les jeunes nous disent que c'est grâce à eux (les plus vieux) qu'ils ont eu leur première année du premier coup. A bordeaux, ils vivent tous les 4 ensembles en colocation. L'un des plus vieux nous invite à venir les voir quand nous voudrons mais hors période d'exams. Marc leur dit que de toutes les manières c'est aussi le cas de tous les jeunes présents.
Ils sont vraiment sympas et avec PH nous sommes très partants pour les revoir. Marc nous dis que nous aurions qu'à trouver un gite sur le bassin d'Arcachon début juillet. Ça nous ferait une pause sur la route de l'Espagne.
Lors du couchage, nouvelle surprise pour nos invités quand ils voient la chambre " baisodrome " que nous avions organisé.
Je glisse à celui que j'avais bien défoncé qu'il allait maintenant tester les dimensions hors normes d'Eric. Ce sera chose faite, non sans difficultés, quelque une heure plus tard, avec les encouragements de tous les autres, dont son mec !
Le lundi matin, après avoir remis en état le gîte, nous roulons ensemble jusqu'à Angers où nos routes se séparent.
Jardinier
Tumblr media
~~
Tumblr media
~~
Tumblr media Tumblr media
17 notes · View notes
vieuxmetiers · 4 months
Text
Tumblr media
Charles Popineau, La marchande de fleurs, Lyon, 1930.
La profession de bouquetière est un métier ancien entièrement féminin. Travaillant probablement pour les jardiniers, ces femmes qui agencent des bouquets de fleurs naturelles, se sont constituées progressivement d’elles-mêmes en communauté professionnelle, prenant ainsi une petite indépendance au XVe siècle. Leur statut est reconnu par le pouvoir royal à partir du XVIIe siècle. Appartenant à ce qu’on peut appeler « les petites professions », désignant un travail modeste, ces femmes sont présentes au quotidien et deviennent ainsi des figures marquantes dans les rues des villes. Les sources mentionnant cette profession et ses vendeuses sont très minces. Ce qui est sûr, c’est que l’émergence et le fonctionnement d’une communauté féminine attenante au métier de bouquetière traduisent une réalité assez éloignée de la perception romantique et fantasmée de la jolie jeune femme, marchande des Halles, représentée par les illustrateurs dans un mode idyllique pour les besoins de la création artistique. Travaillant pour des jardiniers ou allant s’approvisionner entre 4 heures et 8 heures du matin, les journées d’une marchande de fleurs demandent bien des qualités. Satisfaire la clientèle et vendre les fleurs avant qu’elles ne se fanent est une priorité surtout quand certaines espèces coûtent parfois des prix exorbitants dépassant largement le salaire d'une employée. Devant l’église Saint-Bonaventure, cette marchande de fleurs des années 30 constitue son bouquet.
22 notes · View notes
Text
ooc
lol I can't believe that they actually let people swim in La Seine. The way I gagged even thinking about it. Eww. But I heard some athletes got sick... I was expecting it lol.
Honestly Idk if y'all, people that don't live in france , know about this but at some point, an hastag trended #jevaischierdanslaseinele23juin which translates to I'm gonna nner 2 in La Seine the 23rd of June....
Yeahh soo when I actually saw the mayor of Paris, Hidalgo, swim in la Seine I just stared at the TV like damn she actually did it... and after talking with lots of people, everyone is like almost sure she had something on her skin which protected her, or that she took lots of meds before and after....
Anyway, wishing the best to all the ....unlucky swimmers who got the chance to swim in the Seine, hope they'll survive. I would never do it.
ALSO PETITION TO GIVE SIMONE BILES SOME REAL CROISSANT.
When I heard she loved the croissant she ate I thought it was like a good bakery croissant like cedric groket or smth...no it was one of those cheap ass croissant you find at Carrefour... like girl those aren't good at all, please give her some real one.
Uhh also I suppose it's great to host the Olympics, especially for the economy because damnn the prices rose.
Like 6€ for a subway ticket was like the normal price. During the Olympics it's like over 14€ in some places.... also please don't fall for "les pièges a touristes", I don't know a single parisien who only wears red nail polish or idk what
Also please, please and I'm begging y'all, don't annoy parisiens, they are a whole specie to themselves, like ok french don't like tourists lots, but parisiens?? They just can't stand y'all. That's a real deal I'm not kidding. Don't go asking for directions or even talk to them , they will probably go like "I don't understand" , "me not speak english" , "heinn???" Or just not even try... no hate to y'all. They just don't have time lol.
Anyways with this I close my little rant and please bring money to my countryyyy <333 (jk jk, I mean we wouldn't say no tho-)
PS: shout out to Léon Marchand, and muffin man lol
8 notes · View notes
asnowperson · 1 year
Text
Hagio Moto's Egg Stand
Tumblr media
I wanted to get Hagio's Houmonsha (訪問者) one shot collection off my reading list, and read this one shot, Egg Stand (エッグ・スタンド) yesterday. This 100-page one shot was first published in Petit Flower's 1984 March issue. It tells the story of a young orphan boy (Raoul), a dancer girl (Louise) and an activist who's part of the French Resistance movement (Marchand) in an occupied Paris.
I cheated and read the French version (Le coquetier) published in the second volume of Hagio's collected works, De l'humain. This actually kind of added to the story, considering that it takes place in France... Anyway... Egg Stand was quite a depressing story on the worth of life and meaning of death, while terrible stuff happens to another Hagio bishounen. I enjoyed reading a serious, historical work by her.
The page I posted above is a reference to Hermann Hesse's Demian and the chick-egg allegory there. Let's refresh our minds:
“If the chick is not able to break the shell of his egg, he will die without being born. We are - chick. The world - is our egg. If we do not break the shell of the world, then we will die without being born.”
This where the main theme of the story comes from: If a chick dies inside its egg without hatching, does it even know it was alive? Does it realize it's dying? What do people feel as they die? What do people feel as they kill others? The chick's world is inside of the shell, and it lives and dies without ever seeing what's outside... Are we not the same? Do we actually break our shells as we "live"? If you don't, can you still call it "living"? Are we dead inside our shells, or are we really alive? While the whole drama might feel like every other WW2 movie, this one shot leaves you with all these questions, and thus is worth reading. I am weak for literary references in manga.
31 notes · View notes
raisongardee · 6 months
Text
Tumblr media
"Les marchands modernes ne veulent pas non plus que Peter grandisse. Mais ce n’est pas pour préserver son innocence, ni pour le protéger du monde du commerce ; ils veulent faire de lui leur fidèle client, exploiter sa séparation d’avec sa mère et sa famille pour mettre la main sur lui, pour le pousser à acheter cet "amusement" auquel sa jeunesse, autrefois, lui donnait accès gratuitement. Envole-toi pour le Pays imaginaire, Peter, nous t’y attendons avec tout ce que le petit garçon en toi a toujours voulu – mais attention : tu devras l’acheter avec des dollars d’adultes. Ou achète-le, dans ce pays imaginaire perverti qu’a fabriqué la marque Michael Jackson, en vendant à la fois ta famille et ton innocence. Laisse tes parents derrière toi, mais surtout n'oublie pas d’emporter ton porte-monnaie et ton érotisme corrompu."
Benjamin Barber, Comment le capitalisme nous infantilise, trad. Lise et Paul Chemla, 2007.
12 notes · View notes
nesiacha · 3 months
Text
Tumblr media
Fernand Iveton at the time of his arrest: the police officers who arrested him deliberately soiled his clothes and disheveled his hair, even though he was always impeccable, surely in order to begin discrediting him in the press
Fernand and Helene Iveton a couple in the algerian revolution part V  : the end of Fernand Iveton
We have seen here the condemnation to death of Fernand Iveton and its consequences. Even in prison, Fernand continues to write letters to Hélène, and Jean Claude also sent a letter from mainland France to President René Coty requesting clemency for his father-in-law. He often talks with Bakri. In one of his notebooks, Fernand has drawn a sickle and hammer. He inscribed the date of his death sentence, November 14, 1956, and is waiting to mark the date he is pardoned. He befriends the prison chaplain, Jules Declerq, who is intrigued by the fact that a European is condemned to death for his independence activities. The chaplain later explained that he wholeheartedly supports Algerian independence but must keep his feelings quiet due to his public role. This doesn't prevent him from offering the prisoner a gift: "Les Misérables." He also promises to visit his wife’s home because Fernand is worried about her, knowing that despite her hiding it from him, she is in significant financial difficulty.
Lawyer Joé Nordmann reports that there are finally petitions and telegrams demanding his clemency from Parisian women, the gas workers of Rue d'Aubervilliers, the CGT section, etc. On the other hand, the press and intellectuals are silent. L'Humanité (the newspaper of the French Communist Party) eventually mentions him but only in a few lines inside the paper. Emmanuel Roblès, a prominent French writer born in Algeria and a close friend of the famous Algerian author Mouloud Feraoun (who would be assassinated on March 15, 1962, along with Education Inspector Max Marchand, Ali Hamoutène, Salah Ould Aoudia, Etienne Basset, and Robert Aymar by the OAS), urged Camus to try to help Fernand Iveton. Camus did nothing, at least publicly.
There is also a letter sent to Guy Mollet for make protest about the torture (authorized, as Massu would say years later to journalist Florence Beaugé, by government members like Max Lejeune and Maurice Bourgès-Maunoury, who visited interrogation centers and encouraged torture, even though these two politicians claimed they had nothing to do with it). On January 14, Bakri is released and hugs his two colleagues before leaving. He is replaced by another prisoner named Zamoun.
Abdelkader Guerroudj, known as Djilali, and Jacqueline Guerroudj are arrested. In an attempt to save Fernand Iveton, Jacqueline confesses her role and confirms that he had no intention of killing anyone. The Battle of Algiers intensifies, with events like the eight-day strike (January 28, 1957 - February 4, 1957), during which the army commits new atrocities to break the strike: forced store openings, looting authorizations, and new arbitrary arrests of Algerians.
A new prisoner, Mohamed ben Hamadi el Haziz, who asks to be called Abdelaziz, arrives. He is an Iraqi who came to Algeria to fight for the revolution. He was captured after being wounded in combat and has just been sentenced to death by the military tribunal. He announces this sentence calmly. Fernand also shares his story with him.
President René Coty receives Fernand Iveton’s three lawyers, as required by French procedure at the time. Before deciding whether to use presidential clemency, the president must listen to the defense lawyers, Albert Smajda, Charles Lainné, and Joe Nordmann, who speak of the parody of justice that is unfortunately common in the military tribunal and the toxic atmosphere. René Coty agrees that the sentence was disproportionate and even acknowledges the courage and certain nobility in Fernand Iveton but stresses that public opinion wants Fernand Iveton’s death and that, given the increasing violence in Algiers, the pieds-noirs will want his head. He also recalls a chilling anecdote from 1917 when, as a young officer, he saw two young French soldiers executed. As one of them was being led to the execution post, the general said to him, "You too, my boy, are dying for France."
Albert Smajda realizes that his client will not be pardoned. Joe Nordmann protests to the president with clear and lucid arguments that this execution will not diminish the will of Algerian revolutionaries to continue fighting and that blind violence solves nothing. He also shares an anecdote: Iveton was insulted by one of the guards, and he retorted that he was in this situation for him. This ensures that Fernand is fighting for an Algeria where there will be equality and happiness for all. Smajda produces a letter signed by Hélène for the president, while Lainné insists that Fernand should be a witness to the torture he endured. Coty says it is indeed disgraceful that he suffered such treatment, but this treatment had already been applied to many activists both before and throughout the Algerian revolution.
On February 6, the Supreme Council of the Judiciary reviews the case again. However, François Mitterrand, the Minister of Justice, is the last to vote before René Coty makes his decision. The man who would later be known as the president who abolished the death penalty in France opposes clemency and favors executions (at least 32 out of 45 executions). He likely does this for political calculation to keep his position and provide guarantees in hopes of securing a post.
On Saturday, Chikhi is freed. He shakes hands with Abdelaziz and hugs Fernand, thanking him for what he did for Algeria. A few hours later, a newcomer named Achouar arrives. He is 20 years old, was arrested during the fighting, and demands prisoner-of-war status. He also shares his story.
Fernand is convinced he will be pardoned. Then, a few days later, while he is sleeping, the guards come and tell him to get up immediately. Abdelaziz understands right away, unlike Achouar, who looks lost. When Fernand understands, he wants to address his cellmates one last time. The guards take him immediately. Despite everything, Fernand stands tall and shouts "Tahia el Djazair" (long live Algeria) as other condemned prisoners do when going to execution. A guard tells him to be quiet and raises his baton to his height. Too late, as other Algerian prisoners, who usually witness the execution and immediately understand what is happening, start shouting, singing in Arabic, singing patriotic songs, others bang the cell walls with their bowls and spoons, and women make youyou. The prisoners do this to accompany the independence militants to death so they do not falter. Soon, other Algerians in the nearby streets, alerted by the noise, join in the chants and youyou. Despite the guards' attempts, the support demonstrations do not weaken. When the clerk asks if Fernand has anything to say, he first asks for pants. Then he says for the clerk to note, "The life of a man, mine, matters little. What matters is Algeria, its future. I am convinced that the friendship between French and Algerians will be restored."
Two other FLN militants, often forgotten, will be executed with him: Mohamed Lakhnèche, known as Ali Chaflala, and Mohamed Ouenouri, known as P'tit Maroc. The three condemned men walk to the guillotine and embrace. One of them says, "Iveton, my brother." Charles Lainné also embraces him and says he is dying because of public opinion. Fernand repeats three times, "Public opinion." Declerq is there and asks if he needs religious assistance. Fernand tries to smile and replies, "No... Freethinker." The guards tie his hands behind his back, and Fernand murmurs that he will die, but Algeria will be independent. The Casbah joins in the cries and patriotic songs. Lainné kneels and prays for Fernand, while Albert Smajda sobs and looks at the wall to avoid seeing what is about to happen.
Despite his support for French Algeria,the executioner, Fernand Meysonnier says that Fernand Iveton shows great courage and almost regrets the task he is about to perform (he would only have such regrets three times in his career of executioner, according to him).
On February 11, 1957, at 5:10 am, Fernand Iveton is guillotined more by "the spirit of the times than by his act," to use Albert Camus's words, and his execution is condemned by Jean-Paul Sartre in "Les Temps Modernes" in 1958: "We are all murderers."
The next and final part will be the epilogue. But I must say one thing. When you think that François Mitterrand (and the government in power) made films criticizing the Montagnards of the French Revolution for the guillotine, I find it very misplaced on his part because, as we have just seen, he did far worse than they did.
5 notes · View notes
francebonapartiste · 7 months
Text
1er mars 1815 : Napoléon débarque à Golfe-Juan, c'est le début des Cent-Jours
Tumblr media
Le 1er mars 1815, un événement historique majeur se produit lorsque Napoléon Bonaparte débarque à Golfe-Juan, marquant ainsi le début d’une période connue sous le nom des Cent-Jours. Ce jour-là, une petite flottille apparait au large des côtes françaises, mettant fin à la période d’exil de Napoléon sur l’île d’Elbe. Parti de l’île d’Elbe le 26 février, Napoléon est à bord de l’Inconstant, accompagné de six autres navires. Avec lui se trouvent ses proches et environ mille soldats de sa garde.
Tumblr media
Aux côtés de l’Empereur se trouvaient les hommes qui formaient en quelque sorte son gouvernement sur l’île d’Elbe : le général Bertrand, chargé des affaires intérieures et l’un de ses plus proches conseillers, le général Drouot, assumant le rôle de ministre de la Guerre, et Peyrusse, trésorier de la Couronne. Se trouvaient également le général Cambronne, le Dr Fourreau de Beauregard mais aussi Pons de l’Hérault, ainsi que son personnel, incluant Marchand, son premier valet de chambre, et Saint-Denis, surnommé “le mamelouk Ali”.
Pendant la traversée, Napoléon s’était retiré dans sa cabine, plongeant dans l’élaboration des proclamations qui marqueraient son retour. Ces missives, soigneusement préparées à l’avance, étaient destinées à être distribuées dès son arrivée, toutes deux datées du 1er mars, jour symbolique de son débarquement et du renouveau.
Dans son discours adressé au peuple français, il justifiait son retour en expliquant les circonstances de son départ en 1814, attribuant son échec à la trahison des maréchaux Augereau et Marmont.
Aux soldats, il dévoile les voies de la gloire et prononce les paroles qui deviendront emblématiques :
“La victoire avancera au pas de charge. L’Aigle, arborant fièrement les couleurs nationales, planera de clocher en clocher jusqu’aux tours de Notre-Dame.”
Après trois jours de navigation, la flottille arrive enfin au mouillage dans l’anse du golfe Juan. Napoléon, arborant fièrement le drapeau tricolore français, décide de procéder au débarquement. Une escouade de grenadiers est envoyée en reconnaissance pour s’assurer que les côtes sont sûres. La côte est en effet sans défense, aucune batterie côtière n’étant présente à cet endroit, démontrant ainsi que les autorités n’ont à aucun moment envisagé que Napoléon tenterait un débarquement dans le sud de la France.
Tumblr media
Le lendemain matin, Napoléon consulte une carte pour planifier la suite de son itinéraire vers Grenoble. Il décide de suivre la route des Alpes plutôt que de traverser la vallée du Rhône, où il a été conspué l’année précédente en se rendant à l’île d’Elbe. La troupe se remet en marche, avec Napoléon montant à cheval et ses hommes à pied.
Au cours de la journée, des contacts sont établis avec les autorités locales et la population. Certains habitants manifestent leur soutien à Napoléon en illuminant leurs maisons et en criant “Vive l’Empereur”, tandis que d’autres observent son passage avec une certaine indifférence.
Après avoir stationné quelques heures à Cannes, Napoléon repart à l’aube en direction de Grasse. Ainsi se clôt, sur le littoral français, la première étape de ce que l’on appellera plus tard le “vol de l’Aigle”, un périple qui devait mener l’Empereur jusqu’à Paris en vingt jours.
***
On March 1st, 1815, a major historical event occurred when Napoleon Bonaparte landed at Golfe-Juan, marking the beginning of a period known as the Hundred Days. That day, a small flotilla appeared off the French coast, ending Napoleon's exile on the island of Elba. Departing from Elba on February 26th, Napoleon was aboard the Inconstant, accompanied by six other ships, along with his close associates and about a thousand soldiers from his guard.
Alongside the Emperor were the men who formed his government on the island of Elba: General Bertrand, in charge of internal affairs and one of his closest advisors; General Drouot, serving as Minister of War; and Peyrusse, the Crown Treasurer. Also present were General Cambronne, Dr. Fourreau de Beauregard, as well as Pons de l'Hérault, along with his staff, including Marchand, his head valet, and Saint-Denis, nicknamed "the Mameluke Ali."
During the crossing, Napoleon retreated to his cabin, immersed in drafting proclamations that would mark his return. These carefully prepared messages were intended to be distributed upon his arrival, both dated March 1st, the symbolic day of his landing and renewal.
In his address to the French people, he justified his return by explaining the circumstances of his departure in 1814, attributing his failure to the betrayal of marshals Augereau and Marmont. To the soldiers, he unveiled the paths to glory and uttered words that would become iconic: "Victory will advance at a quick pace. The Eagle, proudly displaying the national colors, will soar from steeple to steeple to the towers of Notre-Dame."
After three days of sailing, the flotilla finally anchored in the bay of Golfe-Juan. Napoleon, proudly displaying the French tricolor flag, decided to proceed with the landing. A squad of grenadiers was sent out for reconnaissance to ensure the coast was secure. Indeed, the coast was undefended, with no coastal battery present, demonstrating that the authorities had never considered Napoleon attempting a landing in southern France.
The next morning, Napoleon consulted a map to plan the rest of his route to Grenoble. He chose to follow the Alpine route rather than crossing the Rhône Valley, where he had been reviled the previous year on his way to Elba. The troop resumed their march, with Napoleon riding on horseback and his men on foot.
Throughout the day, contacts were made with local authorities and the population. Some residents showed their support for Napoleon by lighting up their homes and shouting "Long live the Emperor," while others watched his passage with indifference.
After spending a few hours in Cannes, Napoleon set off again at dawn towards Grasse. Thus ended, on the French coast, the first stage of what would later be called the "Flight of the Eagle," a journey that would lead the Emperor to Paris in twenty days.
7 notes · View notes
epopoiia-leblog · 2 months
Text
L'admiration
Il était une fois l’admiration. Il y a la musique et les mots, la beauté et la grâce, l’intelligence et la persévérance, la force et le courage.Il y a des chanteurs, des acteurs, comédiens et danseurs, des auteurs, écrivains, peintres et illustrateurs. Il y a les activistes, les féministes, les philosophes et les scientifiques, les astronautes et les sportifs, les passionnés, les ambitieux, les victorieux. Ceux dont on parle, ceux qu’on acclame, à la télé, dans les journaux, les magazines. Une petite fille, elle les regarde, elle les admire, elle les envie. Marchand de sable et de désirs, rêves de paillettes, contes de fée... À son réveil, le coq chante, les oiseaux volent, une montagne et des collines, chauds dans ses mains tous ces croissants, la sonnette pousse la chansonnette, c’est la voisine et ses tomates, si rouges, si grosses, comme des pastèques, et puis tiens voilà ce vieil ami, champion de Plants vs Zombies, et puis voilà aussi la sœur, prête pour Mario Party, dans sa voiture, elle les emmène et les ballade, après Zelda c’est la zumba, une vieille dame avec son chat, un vieux monsieur avec son chien, celui qui saute et c’est la fête, une petite fille fait du poney, une petite fille joue du violon, la petite sœur et sa guitare et tous ses amis à la maison, papi qui siffle dans la voiture, le disque tourne, papa qui rit, papa qui chante lui aussi, il est content et c’est marrant, et puis maman, dans le colis, un gros carton, son petit mot, plein de cookies. Et tous ces gens, tout ce beau monde, petites vies, autres récits, la petite fille, elle les regarde, elle les chérit.
Tumblr media
4 notes · View notes
chic-a-gigot · 2 years
Photo
Tumblr media
Le Petit écho de la mode, no. 9, vol. 20, 27 février 1898, Paris. 1. Toque de tulle et toque de fleurs. Modèles de Mme Marchand, 96, avenue Victor-Hugo. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
1. Toque drapée en tulle illusion, draperie et coques en velours, boucle en strass posée sur le côté, sous un chou.
2. Toque en fleurs et feuillage. Col en mousseline de soie blanche avec pans devant. (Modèle de la Maison Jeanne d’Arc, 203, rue Saint-Honoré.)
1. Toque draped in illusion tulle, velvet drapery and shells, rhinestone buckle placed on the side, under a cabbage.
2. Toque in flowers and foliage. White silk chiffon collar with panels in front.
56 notes · View notes
Text
Tumblr media
Aux thèses pseudo-marxistes selon lesquelles le moteur du capitalisme serait le "désir", nous apposons que le capitalisme est un discours, et il s’agit en l’occurrence de ne pas confondre le désir et l'envie, qui diffèrent radicalement.
Une petite histoire raconte que Dieu demanda un jour à un homme: "Fais un vœu, je te donnerai ce que tu voudras, mais je donnerai le double à ton voisin."
L'homme réfléchit quelques instants et répondit : "Alors crève-moi un œil!"…
Voilà la pierre angulaire, refoulée, de l’idéologie qui sous-tend le "libéralisme".
Si le désir, n’est pas à confondre avec l'envie, c’est que le désir tel qu’il se découvre dans la psychanalyse n’est pas désir de tel ou tel objet mais manque à être par où le désir se révèle lui-même sujet de la parole; le désir fait la loi au sujet, le langage fait la loi du désir.
Désir désirant désirer le désir, le désir (indestructible selon Freud qui en fait le dernier mot de la Traumendeutung) laisse toujours à désirer...
Car le désir en son essence, s’il est toujours désir de l’Autre, au génitif objectif comme au génitif subjectif, c’est que le désir est à entendre comme désinence du dire.
Pour faire suite aux divers développements que je donne depuis mars 2020 au fait toujours plus manifeste, plus massif, plus incontestable selon lequel "si le virus est réel, la contagion est idéologique", voici un petit exemple qui permet de saisir la faille du "raisonnement" le plus courant dans nos sociétés régies par le Discours Capitaliste [et la problématique (de l'absence) de lien social dans les échanges dominés par des considérations comptables, mathématiques et marchandes]: dans une crèche, il y a des parents qui arrivent systématiquement en retard, ce qui perturbe le bon accueil des enfants et l'organisation du travail des professionnelles.
Les responsables de la crèche se réunissent et finissent par prendre la mesure suivante: les retardataires devront s'acquitter d'une amende.
Sans se rendre compte qu'avec cette décision, ce qui devait être de l'ordre d'un échange socio-symbolique (entre les parents et le personnel de la crèche) vient de basculer dans l'échange commercial.
Résultat: non seulement les retards ne cessent pas, mais ils ont au contraire tendance à augmenter, les retardataires ayant la possibilité de se dédouaner avec l'argent versé, ils n'ont même plus de culpabilité à éprouver.
Les responsables atterrés décident alors de supprimer le système des amendes, mais las ...le problème des retards loin de s'en trouver amélioré se dégrade encore, les retardataires récurrents éprouvant, cette fois, un sentiment de gain lié à l'idée d'une gratuité pour leurs méfaits… (S’ils avaient lu Hegel — ou fait une psychanalyse — ils n’auraient pas été sans savoir que la négation d’une négation ne revient jamais à l'affirmation première...)
L’éthique, qui est à entendre ici comme un equivalent de "lien social", n’est jamais une question de chiffres, mais de lettres à partir desquelles s’articule le réel d’une parole, la parole qui engage, parole donnée et parole tenue. La parole ne peut pas être "modélisée", nul algorithme ni protocole ne peut se substituer à la parole, par laquelle l’imaginaire et le symbolique sont noués d’un réel qui détermine le sujet de l’inconscient, le grain de sable de l’énonciation...
"De notre position de sujet, nous sommes toujours responsable, qu’on appelle cela où on veut du terrorisme." (Jacques Lacan)
7 notes · View notes
Text
Tumblr media
200 ans après la création du Shadow Fold…
Un pays scindé en deux par un épais brouillard surnaturel, déchiré par des conflits sanglants. Une ville au bord du chaos, nécrosée par la camarde et l’avarice. Une nation à l’aube d’une nouvelle ère, plus violente, plus fervente. Belligérants comme spectateurs de guerres qui n’en finissent pas, de fureur contre la différence, dans un monde où cabale, science et superstition se mêlent et sont autant de mots pour le divin que pour ces quelques uns doués d’une magie toute particulière.
À Ravka, les traversées successives du Shadow Fold grâce aux Grisha, les victoires plus fréquentes contre Fjerda et le traité, bien que fragile, avec Shu Han, réconcilient doucement le peuple ravkan avec ses magiciens. Les Grisha sont de plus en plus tolérés dans la société ravkan, bien que les préjudices et le blâme soient encore profondément ancrés dans la vie quotidienne et toujours fortement ressentis à mesure que l’on s’éloigne de la capitale ou du front. Un équilibre précaire pour la dynastie Lantsov qui tente d’apaiser les tensions alors que les mots dissension et rébellion bourdonnent à travers le pays. Certains Otkazat’sya reprochent à la couronne les avantages accordés aux praticiens de la Petite Science, rappellent à qui veut l’entendre que l’un des leurs est à l’origine de la sombre fracture de leur nation. Les Grisha qui jouissaient jusqu’à alors du choix de s’engager dans la Seconde Armée sont désormais confrontés au service obligatoire. Mais la rumeur court d’un sanctuaire dans les entrailles du Sikurzoi, un refuge gouverné par et pour les Grisha.
À Kerch, les canaux de la capitale sont gorgés d’un infâme sang mêlé, marchands et gangsters gisent dans les manoirs et sur les pavés glissants, fauchés par la caneuse autant que par la cupidité. L'assassin ne discerne ni la fortune ni l’autorité, l'amoral unique point commun de ses victimes. Malgré la menace, les bourgeois se disputent les postes vacants au sommet de l’oligarchie guillotinée, assoiffés de toujours plus, d’argent, d’influence, de contrôle. Dans le Barrel, dans l'cœur faisandé et criminel de la capitale, on se fout de la mort, elle est éternelle compagne, presque amante, on ne croit pas que ce soit l'œuvre d’un seul homme. On se méfie des autres gangs, on se méfie même des siens, le bras de fer est sanglant, à coup de lame ou de revolver.
À Fjerda, au-delà de l’étendue glacée du permafrost, les tambours des célébrations résonnent à travers la cité fortifiée de Djerholm, le Roi est mort, vive le Roi ! Tove Grimjer succède au paternel fauché par l’âge et la démence. Oriflamme de son puissant royaume, le fils prodige de la dynastie implacable et puritaine reprend les rênes avec la ferveur de ceux qui sont venus avant. Le roi-guerrier pieux, qui a fait ses classes et ses preuves au sein des redoutables Drüskelle, renforce les règles des anciens : disparité des sexes, dévotion au pouvoir militaire et aux avancements technologiques, combat toujours plus féroce sur le front dans l’éternel conflit contre Ravka et assauts furtifs au sud de leur frontière, dans ce pays qui ose considérer en égaux des êtres contre-nature. Les Grisha fjerdan n’ont d’autre choix que de fuir ou de se cacher, ne peuvent faire confiance ni à leur voisin ni à leur propre sang, leur sorcellerie est une abomination, la découverte mène à des exterminations systématiques ou des procès absurdes. On raconte qu’on entend l’écho de hurlements incessants sous le bastion du Palais de Glace, où les gardes empilent les corps mutilés des exécutés dans le brasier qui jamais ne cesse au cœur de la cour, alors qu’on tourne l’oeil, qu’on ignore l’évidence des expérimentations.
7 notes · View notes
ruuu-by · 3 months
Text
❝ A ton tour Sorcière. _ J'ai un nom je te signale. C'est Feyra. _ Je sais, mais je préfère Sorcière. Je trouve que ça te va mieux. ❞
Les élémentaris constituaient autrefois un peuple de faeries vénéré et respecté. Ils pouvaient contrôler les éléments auxquels ils étaient rattachés : la terre pour les terrarius, le vent pour les ventis, l’eau pour les aquarius et le feu pour les infernis. Mais le grand exil et l’instabilité qui s’en suivit eurent raison de leur race. Les autres faeries crurent, à tort, qu’ils descendaient des dragons et que, tant qu’ils vivraient, le sacrifice bleu ne serait pas complet. A l’instar des daemons, ils furent traqués et massacrés pendant des siècles et aujourd’hui, seule une petite poignée d’individus subsiste encore, vivant cachés, la peur au ventre de tomber entre les mains de mercenaires ou de marchands d’esclaves.
AO3 | fanfiction.net | Wattpad
4 notes · View notes
raisongardee · 9 months
Text
Tumblr media
“Une fois écartée la filiation, structure anthropologique essentielle qui institue le sujet et lui rappelle qu’être c’est exister, autrement dit littéralement "sortir de", une fois répudiés l’héritage et la culture de référence qui inscrivent l’individu dans une mémoire, une fois déverrouillées les sécurités ontologiques qui le maintiennent dans une histoire fléchée où la vie et la mort prennent sens, que reste-t-il aux apprentis sorcier de mai, si ce n’est l’invention utopique de l’homme à partir de zéro, le fantasme de l’auto-engendrement répudiant toute ascendance, l’obscur désir de ne tenir son être que de soi seul dans une histoire qui commence et finit avec le sujet. L’homo novus des années soixante est son propre modèle et son propre horizon, il se suffit à lui-même. Revisitant la période, le philosophe allemand Peter Sloterdijk a pu parler d’une "expérience anti-généalogique" caractérisée par la victoire de la mode sur les mœurs et l’avènement d’un système où les vivants remplacent les morts dans la fixation des normes en substituant à l’héritage culturel et à la transmission de modèles un processus d’"imitation mono-générationnelle". Des millions de Johnny et de Sylvie, identiques aux originaux, expérimentent le premier clonage de masse. Paradoxale promotion que celle des jeunes qui s’autocélèbrent par le biais des "idoles" que leur propose, pour son plus grand profit, l’industrie naissante du divertissement comme si, ayant cessé d’être l’ombre portée des idéologies politiques, la jeunesse ne pouvait s’accomplir qu’en tant qu’avant-garde de l’idéologie marchande.”
Patrick Buisson, La fin d’un monde. Une histoire de la révolution petite-bourgeoise, 2021.
16 notes · View notes