#Les Petits Marchands
Explore tagged Tumblr posts
Text

Le Petit écho de la mode, no. 21, vol. 20, 22 mai 1898, Paris. 1. Toilettes pour jeunes filles ou jeunes femmes. Modèles de Mlle Thirion, 47, boulevard Saint-Michel, Paris. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
(1.) Roue en voile "fil de la vierge" composée d’une jupe unie posée sur un fond de jupe de taffetas; et d’un corsage froncé, monté sur un empiècement plissé à plis lingerie, entouré d’une berthe formant épaulettes coupées d'entre-deux et ourlées de dentelle; plusieurs rangs de fronces retiennent l’ampleur du bas du corsage qui se termine sous une ceinture de ruban fermée par une boucle finement ciselée, col droit garni d’une ruche, manches froncées, garnies de coques de ruban. Chapeau en paille orné de tulle et de fleurs.
(1.) Wheel in “thread of the virgin” voile composed of a plain skirt placed on a taffeta skirt background; and a gathered bodice, mounted on a pleated yoke with lingerie pleats, surrounded by a berthe forming shoulder pads cut in between and hemmed with lace; several rows of gathers retain the fullness of the bottom of the bodice which ends under a ribbon belt closed by a finely crafted buckle, straight collar trimmed with a ruffle, gathered sleeves trimmed with ribbon shells. Straw hat decorated with tulle and flowers.
Matériaux: 7 mètres de voile en 1m20 de large, 6 mètres de ruban.
—
(2.) Robe en voile posée sur un fond de jupe en taffetas, ourlée de petits galons de velours noir; mêmes galons posés, à mi-jupe, en dents aiguës retenues par des nœuds de dentelle. Corsage blouse devant, composé d’un dos tendu, plissé à plis horizontaux bordés de dentelle, décolleté du haut sur un empiècement en broderie écrue posé sur un transparent de soie; et d’un devant sans pince, plissé en travers, garni de dentelle; empiècement en broderie, fermeture invisible sur le côté, ornée de nœuds de dentelle; col droit recouvert de dentelle, manches en dentelle plissées dans le haut, bordées d’un volant, ceinture en ruban fermée par une boucle. Toquet en tulle noir gracieusement drapé, relevé sur le côté gauche par deux touffes de fleurs d’où s’échappent deux plumes pailletées de jais.
(2.) Voile dress placed on a taffeta skirt, hemmed with small black velvet braids; same braids placed, mid-skirt, in sharp teeth held by lace bows. Blouse bodice in front, composed of a taut back, pleated with horizontal folds edged with lace, top neckline on an ecru embroidery yoke placed on a transparent silk; and a front without pleats, pleated across, trimmed with lace; embroidery yoke, invisible closure on the side, decorated with lace bows; straight collar covered in lace, lace sleeves pleated at the top, edged with a ruffle, ribbon belt closed with a buckle. Gracefully draped black tulle toquet, enhanced on the left side by two tufts of flowers from which two jet-glittered feathers escape.
Matériaux: 7 mètres de voile, 9 mètres d’entre-deux, 1 mètre de guipure, 1 mètre de taffetas.
Chapeaux de Mme Marchand, 96, avenue Victor-Hugo.
—
Le Sautoir Sapho que représente notre gravure est une délicieuse création parisienne; il se compose d’une chaîne en cordonnet de soie avec coulants d’acier d’un effet charmant. Cette chaîne mesure 1m50 de long, elle est destinée a retenir une montre, un face à main ou un joli crayon. C’est un objet que toutes nos lectrices voudront se procurer, étant donné sou prix minime de 2 fr. 45 franco.
The Sautoir Sapho represented by our engraving is a delicious Parisian creation; it is made up of a silk cord chain with steel slides for a charming effect. This chain measures 1.5 meters long, it is intended to hold a watch, a faceplate or a pretty pencil. It is an object that all our readers will want to obtain, given its minimal price of 2.45 francs.
#Le Petit écho de la mode#20th century#1890s#1898#on this day#May 22#periodical#fashion#fashion plate#cover#color#description#Forney#dress#flower#Modèles de chez#Mademoiselle Thirion#Madame Marchand
56 notes
·
View notes
Text
Green related voc
Evergreen - à feuilles persistantes (trees), indémodable (movies)
Green - vert-e
Greenish - verdâtre
Green/eco-friendly - écolo(gique)
Green/envious - vert-e de jalousie
Greenfield - jamais construit-e, vierge de construction
Green/immature - jeune, innocent-e, naïf/naïve
Green/sickly - pâle
Green/unripe - vert-e
Green/unseasoned - vert-e (wood)
-
Bice green - vert bis
Blue-green - bleu-vert
Bottle green - vert bouteille
Dark green - vert foncé
Emerald green - vert émeraude
Forest green - vert forêt
Grey green - vert de gris
Hunter green - vert armée
Jade green - vert jade
Kelly green - vert irlandais
Light green - vert clair
Lime green - vert citron
Mint green - vert menthe
Olive green - vert olive
Pea green - vert pomme
Pistachio green - vert pistache
Sage green - vert sauge/cendré
Sea green - vert d'eau
Turquoise green - vert turquoise
Yellow green - vert-jaune
-
Green beans - les haricots verts, m
Green cabbage - le chou vert
Greengage - la reine Claude
Green gram - le haricot mungo
Green onion - la ciboule
Green pea - le petit pois
Green pepper - le poivron vert
Greening - la pomme reinette
Greens - les légumes verts, m
Salad green - le légume-feuille
-
Evergreen - le conifère
Evergreen magnolia - le magnolia d'été
Evergreen oak - le chêne vert
Greenback - le billet de banque
Greenbelt - la ceinture verte
Green card - la carte de séjour/de résident
Green (drug) - l'herbe, f; la beuh
Greenfinch - le verdier
Greenfly - le puceron
Green foliage - la verdure
Green (golf) - le green
Greengrocer - le marchand de fruits et légumes/primeur
Greenhorn - le blanc-bec, le bleu, le jeunot
Greenhouse - la serre
Greenland - le Groenland
Green light - le feu vert
Greenmail - le chantage financier
Green man (traffic) - le petit bonhomme vert
GMT - l'heure de Greenwich, f
Green (money) - le fric
Greenness - la verdeur
Green (party) - les Verts/Ecologistes
Green screen - le fond vert
Green snake - la couleuvre verte
Green space - l'espace vert, m
Green (sports) - le gazon
Greenstone - la néphrite
Greensward - la pelouse
Green tea - le thé vert
Green vehicle - le véhicule vert
Green (village square) - la place
Greenwashing - l'éco-blanchiment, m
Greenwood - la forêt verdoyante
Green woodpecker - le pivert
Shagreen - le chagrin
Verdant space - le coin de verdure
Wintergreen - la gaulthérie
-
Giving the green light (to) - donner le feu vert (à)
Going green - devenir écolo
Greening an area - verdir (planting trees)
Having a green thumb - avoir la main verte
Looking green - avoir mauvaise mine
Making (sm) green with envy - rendre (qqun) vert-e de jalousie
Turning green again - reverdir
Turning green (traffic) - passer au vert
54 notes
·
View notes
Text
Robert Kime, la maison-monde
"Les trésors d'au-delà des mers afflueront vers toi"
Robert Kime exerçait le métier d'antiquaire. Son travail consistait à parcourir le monde à la recherche d'objets de mobilier artisanal rare pour revenir les installer dans l'écrin de la rigueur londonienne qui lui était familier. Monsieur Kime avait trouvé la sprezzatura du logement en le rendant chaleureux sans qu'il ait l'air professionnellement décoré. Son style est le plus abouti de la catégorie "foyer colonial", un genre qui évoque les vies romanesques antérieures au tourisme, où le doux foyer du voyageur ancien s'enrichissait de trouvailles durement acquises au fur et à mesure des retours de pays lointains. Chaque salle exprime ici en miniature quelque chose d'impérial, chaque élément décoratif est la strate d'une sédimentation patiente, chaque objet concourt à former un vaste cabinet de curiosités. Lorsqu'un coin de salon abrite plusieurs continents et plusieurs époques, le terme de musée vient à l'esprit. Plutôt que d'être statufié, le passé est ici habité. Installé dans une demeure il peuple l'arrière-plan de la vie quotidienne d'une famille, il accompagne un foyer tourné vers l'avenir, il est témoin du passage des jeunes de l'enfance à l'âge adulte, des allées et venues, des éclats de rire, des grands départs et des réconfortants retours. Les intérieurs Robert Kime ont une âme.
Le style d'habitat fixé par Robert Kime était courant chez la bourgeoisie du 20ème siècle. La peau de panthère au milieu des boiseries victoriennes, nous voyons cela dans Tintin, Blake & Mortimer, c'est une image d'Épinal. Ralph Lauren Home a puisé tardivement mais abondamment à cette source. Les appartements meublés dans ce goût éclectique étaient courants chez les diplomates, médecins coloniaux, antiquaires, marchands au long cours, collectionneurs, officiers de marine, anciens expatriés et autres catégories sociales baroques qui faisaient le charme des beaux-quartiers. La maison selon Kime est une maison coloniale placée en Europe pour qu'elle raconte le monde entier. Accomplissement des promesses messianiques, elle est la salle du trône où les richesses du monde ont afflué : tapis iraniens, carapaces de tortue des Maldives, vases chinois, instruments de musique indonésiens, estampes japonaises, table de changeur byzantin, bas-reliefs moghols, fragment d'ostrakon athénien. Jalonnées de mobilier occidental plus sobre, ces raretés rassemblées en un même lieu offrent un panorama de provenances et d'époques. Kime est l'assembleur d'une beauté composite comme les parties juxtaposées d'un vitrail, il est le découvreur de l'harmonie entre des tons, des volumes, des grammages que tout séparait.
Transportés en navire de fort tonnage à travers les tempêtes, débarqués par les dockers, les exigences du plaisir esthétique supposent une rude logistique. À Mayfair, Chelsea, Marylebone, à Jasmin, Trocadéro, Saint-Germain-des-Prés, l'honnête homme faisait de son foyer un résumé du monde où chaque mètre carré chantait la légende coloniale. "Saïgon", "Macassar" ou "Singapour", sont des mots teintés d'une telle force évocatrice que, prononcés pour qualifier la provenances des objets dans un appartement donnant sur un boulevard venteux, ils suffisaient à rappeler la position heureuse où la Providence avait placé votre petite nation capable d'en administrer d'autres situées à cinq semaines de bateau.
La maison de famille est elle aussi devenue universelle. Le monde est venu à elle, tandis que son génie local, occidental, s'est étendu au monde. La maisonnée en a rapporté les nectars les plus purs, chacun d'entre eux exprimant l'intégralité des sucs d'une cité étrangère, d'une histoire, d'un peuple. Toute cosmopolite qu'elle soit, la maison Robert Kime est une maison européenne d'abord, universelle ensuite.













Ne pas se fier aux apparences. Des richesses autrement précieuses que de menus chiffons gisent en ces demeures. Chaque motif de chaque étoffe provient de traditions anciennes, de savoirs-faire délaissés, de palais sauvés des orages d'acier du 20ème siècle. Le damas, le Jouy, l'arabesque, le point d'Alençon, ont chacun leur signification profonde. Le paisley par exemple ne figure-t-il pas la larme du Boudha dans une tradition antérieure de 800 ans à notre ère, et transmise par des générations d'artisans indo-aryens ? La maison Robert Kime c'est la petite Europe maintenue au sommet de sa forme, si haut qu'elle peut voir l'intégralité du monde, et le donner à voir.
Monsieur Kime a eu des goûts sûrs et des dégoûts encore plus sûrs, il était connu pour exprimer en public des opinions tranchées (il n'était donc pas un gentleman). En un temps de désastreux designers Monsieur Kime persistait disait-il, à "faire des intérieurs pour qu'ils soient habités, non pour qu'ils soient regardés". La dualité radicale de l'ergonomie et du design est ancienne or il existe une ergonomie de l'habitat qui la réconcilie c'est cet ameublement smart, terme jailli des fontaines de l'intuition qui se traduit chez nous par "intelligent", mais encore par "joli", "élégant", et "fonctionnel". L'accord gracieux du fond et de la forme, du principe et de l'exécution, tient en un mot.
À l'origine de cette passion pour la beauté on trouve dans l'enfance de cet homme un modèle familial menacé, puis l'équilibre trouvé à l'adolescence dans la stabilité du foyer de son beau-père, un lieu embelli de fournitures curieuses rapportées de l'Inde à l'époque de sa grandeur. "J'essaie de créer une atmosphère dont j'ai été privé enfant. Tout est là, c'est une histoire d'atmosphère". Il fut un jeune homme précoce mais inadapté, connut Oxford, les années 1960, la charnière entre une Europe productrice, religieuse, éduquée, et le monde moderne passif, consommateur, avide de loisirs.
Au terme de l'université, Sotheby's lui offre un emploi mais Kime se retrouve à la tête de sa propre boutique par la rencontre fortuite d'une héritière qui cherchait un antiquaire pour l'aider à vendre sa collection de famille. En 1970, il épouse Helen Nicoll, auteur de livres pour enfants, et le couple s'installe dans une ancienne école gothique. La propriété est si vaste que Robert Kime y ouvre un commerce d'antiquités spécialisé dans les objets antérieurs à 1700. "Chaque salle doit commencer par un tapis" sera sa devise, ainsi commenceront les premiers voyages en Egypte et en Turquie pour y trouver des textiles anciens.
En pleine dégringolade libérale-libertaire 1970, alors que la transmission s'effondrait, quelques rares passionnés remontaient la source. Ce parcours eut pour Kime deux étapes. Sa première période antiquaire lui enseigna les étoffes, objets et motifs issus des colonies qui venaient de fermer. Dans sa seconde période, la plus hardie et la plus belle, il devint en 1988 fabricant de ces objets, aussi la production d'ornements tombés en désuétude trouva par cette initiative une résurrection.
Les créateurs compétents sont en général formés d'une base de culture classique à laquelle ils ajoutent peu à peu des apports exogènes. Peu nombreux, ils sont des hommes ordonnés, configurés à un ordre supérieur, à un Surmoi qui leur enseigne le bon usage en toutes choses, et s'ils extravaguent parfois ils ne transgressent jamais. Chez les hommes de goût la seule faute grave est la faute de goût.
Le grand désarroi des gens riches: comment dépenser l'argent. How to spend it est d'ailleurs le titre d'un mensuel catalogue à snobismes hors de prix. L'éducation du goût permet des économies, et une conduite de vie où s'enrichir et dépenser concernent l'esprit aussi. Les hommes seront davantage portés à l'héllenisme s'ils ont côtoyé enfant chez leur parent un buste d'Athéna.
L'offre d'ameublement pour la bourgeoisie a versé depuis la fin des année 1980 dans l'asepsie de loft Patrick Bateman, dans la cuisine et salle d'eau de style "bloc opératoire", dans l'armoire en métal, dans le noir et blanc. L'épure était chez les mondains une aubaine pour fuir dans l'abstrait, une transposition concrète d'un rapport au monde imposé. Le lissage des textures, la granulométrie faible, visaient à présenter un visage objectif, glissant, neutre. Les européens avaient soudain honte de tout charme qui leur soit spécifique et c'étaient les débuts de l'art-robot, anti-local, anti-artiste. Certains historiens avaient compris que 1945 serait une épuration non pas ponctuelle mais le prélude à une épuration continuelle. Épurer les lignes du mobilier était une manière d'offrir des surfaces où un coup ne peut que ricocher. Passion nouvelle, il fallait ne laisser nulle prise à la critique, n'être jamais soupçonné pour ses goûts de quelque intention condamnable. Qu'est-ce que nos intérieurs sinon les lapsus de nos intentions profondes? Un chez-soi, c'est soi-même rendu lisible par les autres. Une époque de toute-puissance du second degré dans les invitations à dîner commençait, langage de l'équivoque et du compromis, grammaire de toutes les servitudes. Ne pas nommer, ne pas assumer, ne pas penser. Patrick Bateman est l'archétype du mondain lisse, au point qu'il est contraint de chercher une soupape dans la violence, au point d'épurer L'Épuration elle-même pour pouvoir la supporter.
Robert Kime s'est consacré au parti-pris, au subjectif, au palpable qui se donne tel qu'en soi-même, il a pris le risque du ridicule et a triomphé par la beauté. Ne dit-on pas d'un travail très réussi qu'il est "désarmant"? Ainsi de ces arrangements mobiliers qui tombent sous le sens au point qu'ils renvoient même le second degré dans son repaire, complètement battu. En une époque de showroom publicitaire Robert Kime a osé la ligne courbe, le matériau noble, la texture granuleuse présente au toucher. En une époque de grisaille et de conformisme Robert Kime reste la solution idéale pour colorer son intérieur en lui conservant un goût parfait.

#Robert Kime#home decor#antiques#Fabric#Craft#Paisley#London#Style#Paris#Éclectique#home interior#interior design#interior decorating#Chelsea
25 notes
·
View notes
Text
Hello tout le monde 💛
Après presque deux ans de pause dans l’univers des rpg, je reviens avec un projet qui me tient particulièrement à cœur. L'idée a commencé à germer il y a plus d’un an (voire même deux), nourrie par de nombreuses lectures de romans fantasy, et depuis, j’ai pris le temps de coucher chaque inspiration sur papier. Aujourd’hui, mon obsession envers ce projet est telle, que je me sens enfin prête à lui donner vie, alors j’espère que cette aventure vous plaira également ! ✨
✧ OCT, qu'est-ce que c'est ?
Un forum RPG médiéval-fantasy inspiré en grande partie par The Bridge Kingdom de Danielle L. Jensen, mais qui prend place dans un univers totalement original : le royaume insulaire d’Elyrian. Vous verrez qu’il y a également quelques autres sources d’inspiration, comme The Dark Shore (toujours de la même auteure) ainsi que d’autres œuvres diverses (Tolkien, Demon Slayer) et quelques éléments de mes anciens forums qui m’ont marqué à jamais.
🔱 Le Royaume insulaire d’Elyrian
Elyrian, c’est un petit royaume insulaire aussi sublime qu’imprévisible, où la mer façonne tout – les terres, les croyances et même les destins. C’est un territoire jalousement fermé aux étrangers, sculpté par les vents et les marées, où les îles surgissent et disparaissent au gré des caprices du monde.
Le royaume est composé de trois grands archipels, où la magie danse avec les éléments et où les îles elles-mêmes semblent obéir aux caprices de forces anciennes. Son destin est lié aux deux saisons :
Les Marées Guerrières : période où l'océan s'apaise, ouvrant la voie au commerce et aux invasions ennemies.
La Saison des Tempêtes : lorsque le ciel se déchaîne et que les vagues engloutissent tout sur leur passage, offrant néanmoins un moment de répit au royaume.
Elyrian prospère grâce au Pont des Brisants, unique lien terrestre entre Elyrian et le continent, qui confère au royaume une puissance stratégique. Mais une ombre plane : le Monarque des Marées, garant de l'équilibre, est plongé dans un sommeil mystérieux, et déjà, des tensions éclatent entre les archipels. Maintenant, reste à savoir qui tirera avantage de ce chaos...
⚔️ Quel personnage incarner ?
J’ai souhaité créer un univers qui laisse une grande liberté dans la création de personnages. Que vous aimiez jouer des nobles, des pirates ou des mystiques hantés par des visions étranges, il y a une place pour tout le monde à Elyrian !
Les possibilités de personnages : marins, marchands, érudits, prêtres, guerriers, explorateurs, espions, alchimistes, chasseurs de reliques, assassins, nobles etc... les possibilités ne manquent pas.
Guildes & Sociétés Secrètes : vous retrouverez des guildes qui auront leur importance dans le déroulement de l'histoire. Je vous les dévoilerai plus tard, mais je peux d'ores et déjà vous annoncer qu'il vous sera possible de jouer des pirates écumant les mers.. 👀
La Magie des Souffles : il vous sera possible d'intégrer un peu de magie dans vos RP, car chaque Elyrien naît avec des pouvoirs appelés "Souffles", étroitement liés à leurs îles natales...
Les Seigneuries : chaque archipel sera dirigé par une Seigneurie (sous l'autorité du Monarque des Marées). il vous sera également possible de jouer un.e seigneur.esse ou un.e héritier.e ! Je mettrai donc à disposition des places vacantes dans des familles prédéfinies ! La Religion & les croyances : elle sera omniprésente dans l'univers, les dieux et les croyances ayant une importance particulières dans la vie quotidienne.
🌊 Les possibilités de jeu
Intrigue principale : Le Monarque des Marées est tombé dans un sommeil fiévreux, les îles se transforment et la stabilité du royaume vacille. Les alliances se forment et se brisent, tandis que des murmures parlent d’un pouvoir ancien prêt à être réveillé.
Conflits & alliances : Entre batailles navales, jeux de pouvoir et intrigues politiques, chaque choix peut influencer le destin d’Elyrian. Les tensions entre les archipels s'intensifient, et l’ombre de la guerre plane à l’horizon.
Exploration & quêtes : Partez à la découverte d’îles inconnues, affrontez des créatures mythiques, déchiffrez d’anciennes runes ou traquez un artefact qui pourrait changer l’avenir du royaume.
Une mer vivante : L’univers évolue avec les actions des joueurs. Les marées ne sont jamais les mêmes, les vents soufflent au gré des caprices des dieux et les légendes prennent vie sous vos yeux.
Des possibilités infinies : Que vous soyez un guerrier en quête de gloire, un érudit cherchant la vérité, ou un simple marin pris dans la tempête du destin, votre histoire est la vôtre à écrire.
⎈ Autres informations
Le but de ce forum ? Un espace chill, sans pression, où chacun peut s’amuser à son rythme. Que l’on soit là pour l’intrigue épique ou juste pour faire évoluer son personnage tranquillement, tout est possible !
J’ai aussi envie de proposer une vraie dimension jeu de rôle, avec un système de quêtes bien ficelé (c'est la fan d'animes/webtoons qui parle là), où nos choix auront un vrai impact sur l’histoire. La mythologie, les artefacts qui y sont liés ainsi que le bestiaire joueraient donc un rôle très important et serait possible de débloquer des trésors et monstres légendaires… Et bien sûr, une boutique pour y claquer fièrement la moula que nous aurons durement gagnés (ne me dites pas que je suis la seule à adorer cumuler des points/argents sur mon profil pour tout dépenser dans des artefacts magiques qui ne me serviront peut-être jamais en RP???).
En bref, il vous sera aussi possible de partir à l’aventure comme un héros de JDR que de simplement faire évoluer son personnage à travers des RP plus simples.
☕︎ Un projet solo, mais bien avancé !
Je travaille seule sur OCT, mais l’univers est quasi finalisé, notamment la rédaction : les annexes, les lieux, le plus gros du lore est plus ou moins terminé (même s’il est fort probable que que je modifie pour la centième fois certaines informations sur les quasi 100 pages word que je garde précieusement sur mon pc).
Toutefois, le forum en lui-même n’en est qu’au début de sa création et comme j’ai envie de bien faire les choses afin de proposer une plateforme agréable et pratique (et surtout puisque je suis bien rouillée en codage/graphisme), l’ouverture n’est clairement pas prévue pour demain...
J’essaie donc dans un premier temps de prendre un peu la température pour savoir si ce projet peut éventuellement vous plaire.
Un serveur Discord est également ouvert si vous souhaitez venir discuter du projet avec moi ! ☺️
RENDEZ-VOUS SUR DISCORD
Donc voilà, plus d’infos à venir… en espérant que ce petit projet vous plaise autant qu’il me passionne ! 💙
#forumactif#rpg#forum rpg#projet rpg#fantasy#medieval fantasy#medfan#projet forum rpg#the bridge kingdom#Le Pont des Tempêtes
13 notes
·
View notes
Text
Never forget.
En ce jour le plus long, plus de 200'000 hommes se trouvaient face à face, sur les plages de Normandie.

Les forces alliées débarquaient sur les plages de Normandie, le 6 juin 1944

Au nom de code Neptune, a été le plus important de l’histoire en termes de navires engagés.
Alliés
Effectifs: 156'177 hommes 5 divisions d’infanterie et 3 divisions aéroportées sont débarqués le jour J, dont 10'470 seront tués, blessés ou disparus, selon les chiffres du Mémorial de Caen, dans l’ouest de la France. Par mer, environ 133'000 hommes: soit 58'000 Américains sur les plages Utah et Omaha, 54'000 Britanniques sur Gold et Sword et 21'000 Canadiens sur Juno 177 Français débarquent aussi sur Sword.
Par air, 23'000 hommes: 13'000 parachutistes américains sont largués sur l’ouest de la France, dans le Cotentin et 10'000 Britanniques entre l’Orne et la Dives.
Aviation: pendant la seule journée du 6 juin, 11'500 appareils dont 3500 planeurs de transport, 5000 chasseurs et 3000 bombardiers survolent les plages normandes et déversent 11'912 tonnes de bombes sur les défenses côtières allemandes. Les pertes seront faibles: 127 avions perdus et 63 endommagés.
Marine: l’opération Neptune engage 6939 navires et la force de débarquement proprement dite comprend 4126 navires et barges constitués en 47 convois. Une partie des transports les LCA, Landing craft assault accompliront la traversée à bord de bateaux plus puissants pour n’être mis à la mer qu’au large de l’une de leurs cinq plages de débarquement. Les autres types de péniches traverseront la Manche par leurs propres moyens, notamment: les LCI (Landing craft infantry), petits transports de troupes, les LCT (Landing craft tanks) qui transportent des chars et des véhicules, les LCVP (Landing craft vehicle personal), les LST (Landing ship tanks), ainsi que les fameux «ducks» (canards), engins amphibies propulsés par une hélice. 20'000 véhicules et un millier de chars ont ainsi été transportés. La flotte logistique compte 736 navires auxiliaires et 864 navires marchands pour le transport de vivres, munitions et les hôpitaux flottants. Parmi les navires marchands, 54 blockships seront coulés pour former des rades artificielles.
L’escadre de combat totalise 137 navires de guerre dont sept cuirassés, une vingtaine de croiseurs, 221 destroyers, frégates, corvettes, 495 vedettes, 58 chasseurs de sous-marins, 287 dragueurs de mines, quatre poseurs de mines, deux sous-marins.
Forces allemandes
Effectifs: ~ 148'000 hommes de la 7ème armée sont stationnés en Normandie et environ 50'000 dans la zone de débarquement. A proximité des plages, une seule division blindée, la 21ème, au sud-est de Caen, et six divisions d’infanterie. Deux autres divisions blindées, la 12e SS (Hitler-Jugend) et la division Panzer-Lehr, sont respectivement près d’Evreux et vers Alençon-Le Mans. Trois autres divisions 1ère SS, 2ème et 16ème se tiennent au nord de la Seine, aux environs de Mons, Péronne et Senlis.
Aviation: une bonne partie des appareils vient d’être envoyée sur le front est. Restent quelques dizaines de bombardiers et chasseurs.
Marine: 30 vedettes, quatre destroyers, neuf torpilleurs, 35 sous-marins.
31 notes
·
View notes
Text
Mayotte
Un tiers de la population est sans papiers. Seule la moitié des habitants est française (ayant droit aux aides). Les statistiques concernent les habitations cadastrales (très minoritaires), et on sent le déni colonial partout dans les analyses journalistiques.
À Mayotte, on est dans les affres les plus extrêmes de la République. Une population blanche et assimilée, privilégiée de fait, utilise au quotidien l’avantage d’une population sous-payée qui vit sous les radars et au rabais, du fait de logements informels, de salaires au noir et d’une volonté de se faire oublier.
Ces populations échappent donc à toute règle, qu’elle soit sanitaire ou locative. Les propriétaires des parcelles indiquaient certainement qu’elles étaient squattées, mais les logeurs et les loyers existent partout ! Les propriétaires fonciers touchaient-ils une part des loyers (vu la densité de masures au mètre carré, la somme globale doit être conséquente) ? On ne le saura pas in fine, mais cet argent partait forcément quelque part… On peut imaginer, en revanche, la collusion tacite des autorités et les corruptions administratives et policières qui permettent à ces situations de perdurer. On les constate jusqu’en métropole, c’est dire...
Les revendications de ces travailleurs n’ont jamais abouti qu’à des sanctions pénales, des expulsions préfectorales, qui ne peuvent aboutir vu les relations avec les Comores. En revanche, les cercles mafieux, les marchands de rêve et les proxénètes, eux, échappent à toute mise au pas. Mais pas les soi-disant "meneurs politiques" des émeutes revendicatrices et donc démocratiques. Ces derniers se retrouvent déportés et neutralisés d’une manière ou d’une autre.
Et c’est là que la vase de la politique postcoloniale resurgit sous la fine pellicule de ciment tout frais. On retrouve du Bob Denard, des juntes mafieuses islamistes, des retournements d’ennemis et des sabordages d’anciens alliés. Cela ressemble à d’autres situations coloniales, mais celle-ci est tardive (1975) et tellement éloignée. Et elle concerne un président encore connu : Giscard.
Comme en Kanaky ou à Mururoa, le lointain révèle nos parts les plus sombres et les salauds les plus aventuriers de nos gouvernements. Il faut bien comprendre toutes les opérations secrètes des années 1975-1980, et celles qui vont suivre, pour estimer les soi-disant "indépendances" des pays et territoires sous l’emprise française.
Cela se traduit dans l’imaginaire et la création par la vague des romans d’espionnage des années 1980, notamment la série SAS. Gérard de Villiers avait ses entrées chez les salauds opérationnels. "Mais pas que" ! En reprenant une enseigne de transport aérien (au départ), puis sa concurrente Air France, en mélangeant les symboles du luxe petit bourgeois (Cognac Gaston Delagrange VSOP, Seiko Quartz pour SAS) et les attributs aristocratiques, il magnifiait un sexe de droite (souvent tarifé ou conditionnel, pornographique, éjaculateur précoce, violent, souvent abusif ou torturant).
Ces récits vantent les espions, barbouzes, agents secrets et leurs gadgets électroniques, mécaniques, connectiques, leurs poisons et leurs armes. Tout cela nous ramène à l’actualité explosive et à la tech meurtrière, qui a toujours la préférence de nos dirigeants. (Les années 1980, c’est le gadget partout et la poudre de perlimpinpin dans le nez ou dans les veines, pour mémoire.)
La France reproduit dangereusement ses dérives postcoloniales et ses dénis d’ingérence et de manipulation. Une transparence sur les actions passées, un enseignement des pratiques réelles et des faits permettraient de ne pas projeter toute une population métropolitaine dans des fantasmes républicains d’une France réifiée.
Non, De Gaulle n’était pas un "émancipateur" des peuples colonisés par leurs indépendances, et surtout pas par leur assimilation citoyenne. Il visait "l’intérêt supérieur de la nation", qui se confondait depuis l’avènement de la République avec celui des grandes compagnies marchandes coloniales.
Non, Giscard ne souhaitait pas l’accès des peuples colonisés à une revendication "majoritaire" en leur sein, quelle qu’elle fût. Les gouvernements successifs ont toujours privilégié l’accès aux ressources, la mainmise économique et les intérêts particuliers, ceci par des opérations secrètes, des manœuvres politiciennes et économiques. Ce sont des faits qui méritent l’éclairage pour une compréhension des situations catastrophiques qui s’enchaînent et de l’incurie des services de l’État aux confins de ses territoires.
On rappelle que ces services sont en mesure d’affréter à prix d’or un jet dans l’heure pour acheminer un tout nouveau Premier ministre vers ses obligations cumulatives d’élu, d’où il se permettra d’allouer une somme dérisoire, mais prélevée sur les fonds publics, à l’aide humanitaire pour Mayotte.
13 notes
·
View notes
Text
Printemps 1937, Hylewood, Canada (10/27)
Lola est la dernière des enfants naturels de mes parents, et, à nos yeux à tous, elle a toujours été le bébé de la famille. Je me suis plu à m’occuper d’elle, de ma petite sœur, dès sa toute petite enfance, quand Papa était en Egypte. Ce bébé gai, qui riait en permanence, est devenu une petite fille pleine de vie et le prétexte idéal pour négliger mes études. J’ai passé mes soirées à lui lire des histoires plutôt qu’à faire des équations. Quand elle était triste à cause de quelque chose, je l’étais aussi, mais j'avais cependant ce plaisir égoïste et coupable de savoir que j’allais pouvoir la réconforter.
Tout ce qu’elle fait et tout ce qu’elle ressent, elle le fait avec intensité. Je pense à ses trépignations semi capricieuses quand ses yeux s’éclairent à la vision d’un marchand de crème glacée à la foire, à ses larmes lorsque sa boule vanille est tombée sur le sol et qu’elle s’en est trouvée inconsolable, je pense à tous ses jeux et aux histoires qu’elle inventait, je pense à son amitié intense, possessive et exclusive avec Layla, je pense sa passion fulgurante et aussitôt abandonnée pour le chant lyrique. Il était donc naturel que cette façon intense de vivre et de ressentir s’applique également à ses premiers amours, et ça n'a pas loupé.
Lorsque Lola s’est confiée à moi sur ses amours contrariés, je l’ai écoutée avec la même attention que d’habitude, mais j’ai pris toute la mesure du fait que cette petite fille était en train de devenir une jeune femme, et que d'une façon ou d’une autre, sans que je m’en aperçoive, on avait dépassé le temps où, pour la réconforter, il me suffisait d’embrasser le pansement ouaté enduit de mercure sur le genou écorché. Il fallait que j’accepte que face à cette situation nouvelle, j’étais dépassé. J’ai immédiatement pensé à toi, à ta manière si calme et posée d’aborder tous les problèmes de la vie, au fait que ton regard féminin était ce qu’il lui fallait.
Est-ce que j’ai mal fait ? Lorsque je lui ai conseillé de t’écrire, je ne voulais que son bien. A-t-elle pensé que comme Agathon, je l’envoyais balader et que je ne m’intéressais pas à elle ? Est-ce qu’elle s’est sentie invisible ? Pas entendue, pas écoutée ? Elle a coupé ses cheveux - d’une certaine manière elle nous appelait à l’aide, et nous n’avons rien vu. C’est Lorita qui a commencé à lui donner de la cocaïne à cette époque. Gratuitement les premières fois. C’est plus tard, quand ma sœur a commencé à en réclamer d’elle-même, que Lorita lui a demandé compensation et que Lola a commencé à y réserver une portion de son salaire. Je n’en savais rien. Je ne m’en doutais pas. Je pensais simplement qu’elle était très mal payée. J’avais vu son amaigrissement flagrant, je l’avais mis sur le compte du chagrin d’amour.
Cette découverte dans sa chambre m’a forcé à accepter deux vérités. La première, évidente : Lola n’était plus une petite fille mais une jeune femme de vingt ans qui luttait à sa manière pour tenir, comme nous tous. La seconde, moins évidente : Lorita n’était pas l’agneau que nous avions tous cru connaître, et quelqu’un, quelque part, avait des affaires à lui reprocher.
[Transcription] Dolorès LeBris : Tu es vraiment fâché ? Agathon LeBris : Oui. Agathon LeBris : Je ne te pensais pas capable de faire ce genre de choses. Tu es plus futée que ça. D’où tu tiens ça ? Dolorès LeBris : Ne touche pas mes affaires ! Dolorès LeBris : De toutes façons, je n’ai pas envie d’en parler. Agathon LeBris : Dans ce cas, je vais demander à Layla, peut-être qu’elle pourra m’en dire plus. Ou à ton cher fiancé Ives, peut-être ? Dolorès LeBris : Non ! Attends. Dolorès LeBris : C’est… C’est Lorita qui m’en fournissait. Agathon LeBris : Lorita ? Qu’est-ce que Lorita crissait avec des réserves de cocaïne ? Dolorès LeBris : Je ne sais pas, mais… Elle a commencé à m’en donner quand toute cette histoire avec Fabien a commencé. Tu te souviens, j’étais triste tout le temps… J’avais essayé de t’en parler. Agathon LeBris : Et dans trois secondes ce sera ma faute si tu n’es pas capable d’endurer tes peines de cœur sans te mettre aux drogues dures. Dolorès LeBris : Ce n’est pas ce que j’ai dit… Dolorès LeBris : Je vais arrêter, je te jure. De toutes façons, je ne saurais même pas où en retrouver. Je t’en supplie, ne dis rien. Agathon LeBris : C’est la dernière fois que je garde un secret pour toi.
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen4#Lucien Le Bris#Agathon Le Bris#Dolorès LeBris#Layla Bahar#Eugénie Bernard#Jules Le Bris#Ives Bernard#Fabien Bernard
9 notes
·
View notes
Text

“Les Maris, les Femmes, les Amants” de Pascal Thomas (1989) avec Jean-François Stévenin, Clément Thomas, Anne Guinou, Susan Moncur, Catherine Jacob, Hélène Vincent, Guy Marchand, Michel Robin, Catherine Bidaut, Daniel Ceccaldi, Sabine Haudepin, Alexandra London, Isabelle Petit-Jacques et les jeunes Ludivine Sagnier, Ludivine Sagnier, Vanessa Guedj, Damien Morel, Émilie Thomas et Leslie Azzoulai, février 2025.
#films#spirit#Thomas#Stevenin#Guinou#Moncur#Jacob#Vincent#Marchand#Robin#Bidaut#Ceccaldi#Haudepin#London#PetitJacques#Sagnier#Guedj#Morel#Azzoulai
6 notes
·
View notes
Text

Charles Popineau, La marchande de fleurs, Lyon, 1930.
La profession de bouquetière est un métier ancien entièrement féminin. Travaillant probablement pour les jardiniers, ces femmes qui agencent des bouquets de fleurs naturelles, se sont constituées progressivement d’elles-mêmes en communauté professionnelle, prenant ainsi une petite indépendance au XVe siècle. Leur statut est reconnu par le pouvoir royal à partir du XVIIe siècle. Appartenant à ce qu’on peut appeler « les petites professions », désignant un travail modeste, ces femmes sont présentes au quotidien et deviennent ainsi des figures marquantes dans les rues des villes. Les sources mentionnant cette profession et ses vendeuses sont très minces. Ce qui est sûr, c’est que l’émergence et le fonctionnement d’une communauté féminine attenante au métier de bouquetière traduisent une réalité assez éloignée de la perception romantique et fantasmée de la jolie jeune femme, marchande des Halles, représentée par les illustrateurs dans un mode idyllique pour les besoins de la création artistique. Travaillant pour des jardiniers ou allant s’approvisionner entre 4 heures et 8 heures du matin, les journées d’une marchande de fleurs demandent bien des qualités. Satisfaire la clientèle et vendre les fleurs avant qu’elles ne se fanent est une priorité surtout quand certaines espèces coûtent parfois des prix exorbitants dépassant largement le salaire d'une employée. Devant l’église Saint-Bonaventure, cette marchande de fleurs des années 30 constitue son bouquet.
23 notes
·
View notes
Text
ooc
lol I can't believe that they actually let people swim in La Seine. The way I gagged even thinking about it. Eww. But I heard some athletes got sick... I was expecting it lol.
Honestly Idk if y'all, people that don't live in france , know about this but at some point, an hastag trended #jevaischierdanslaseinele23juin which translates to I'm gonna nner 2 in La Seine the 23rd of June....
Yeahh soo when I actually saw the mayor of Paris, Hidalgo, swim in la Seine I just stared at the TV like damn she actually did it... and after talking with lots of people, everyone is like almost sure she had something on her skin which protected her, or that she took lots of meds before and after....
Anyway, wishing the best to all the ....unlucky swimmers who got the chance to swim in the Seine, hope they'll survive. I would never do it.
ALSO PETITION TO GIVE SIMONE BILES SOME REAL CROISSANT.
When I heard she loved the croissant she ate I thought it was like a good bakery croissant like cedric groket or smth...no it was one of those cheap ass croissant you find at Carrefour... like girl those aren't good at all, please give her some real one.
Uhh also I suppose it's great to host the Olympics, especially for the economy because damnn the prices rose.
Like 6€ for a subway ticket was like the normal price. During the Olympics it's like over 14€ in some places.... also please don't fall for "les pièges a touristes", I don't know a single parisien who only wears red nail polish or idk what
Also please, please and I'm begging y'all, don't annoy parisiens, they are a whole specie to themselves, like ok french don't like tourists lots, but parisiens?? They just can't stand y'all. That's a real deal I'm not kidding. Don't go asking for directions or even talk to them , they will probably go like "I don't understand" , "me not speak english" , "heinn???" Or just not even try... no hate to y'all. They just don't have time lol.
Anyways with this I close my little rant and please bring money to my countryyyy <333 (jk jk, I mean we wouldn't say no tho-)
PS: shout out to Léon Marchand, and muffin man lol
8 notes
·
View notes
Text
Nouvelle campagne dnd nouveau story time
Cette fois c'était du Humblewood (le principe c'est que c'est exactement comme dnd sauf que les seuls races sont des petits animaux façon rougemuraille, le roman de Renart etc.)
Le groupe (pour l'instant) se compose d'un barde renard, d'un guerrier loutre et d'une chauve-souris occultiste.
La première session c'était vraiment digne du Discworld de Pratchett.
On arrive dans un petit village chacun pour des raisons différentes. Le barde fait le tour de toutes les tavernes du pays pour raconter des histoires et en apprendre (et picoler) et se trouvait là par hasard. L'occultiste (jouée par moi!) devait livrer un paquet à une amie de sa grand mère. Et le guerrier on sait pas... mais il était loin de l'eau c'est chelou...
Alors qu'on fait nos trucs chacun de notre côté une colombe garde arrive paniquée et poursuivie par une nuée d'insectes et de chauve-souris enflammées.
Donc on empêche le village de partir en fumé et on se retrouve avec la mission d'envoyer un message a la capitale disant que le nombre d'incident du genre augmente et qu'il faudrait envoyer des renforts.
En l'espace de 3 heures on sauve une marchande chat d'un groupe de bandit en arnaquant les bandits grâce à un move de génie du barde, le guerrier crée une mode de lancer des cailloux comme façon de se battre, je ruine une performance du barde en étant la pire régi du monde, on accepte une mission botanique, j'établis le service postal comme mon ennemi juré, on harcèle le maire d'un village pour une plume de sa femme (elle a disparue et mon sort de localisation a besoin d'un bout de la personne comme composante OK?!), on retourne dans les caverne marécageuses natales de mon personnage et on se fait prendre en embuscade par des slimes (alors que mon perso est sensé être un chasseur de slime hors pair) façon épisode 1 de dungeon meshi
Pour le moment c'est vraiment l'éclate, on joue des petits animaux mignons, l'ambiance est beaucoup plus légère et dissipé que d'habitude et je joue une sous-classe qui rend le gameplay d'occultiste beaucoup trop fun
5 notes
·
View notes
Text
Souvenirs de Minuit I.
Vingt cinq ans à naviguer, neuf à dix mois par an. Avec une compagnie pratiquement masculine. Le peu de femmes à bord étaient extrêmement respectées, choyées et sous la protection des plus hauts galons du navire. Les plaisirs étaient donc le plus souvent solitaires, homosexuels ou l'abstinence pour les plus valeureux et ceux forgés avec les années. Ce qui était devenu le cas pour Evaniel, mais il ne laissait jamais passer une occasion dès que le navire accostait.
Son allure plus fine, noble et androgyne et son côté "exotique" lui avait souvent valu de très nombreuses sollicitations.
La chaleur était particulièrement écrasante ce soir, ne laissant de la place qu'à la suffocation et des corps partiellement dénudés pour tenter de récupérer le moindre degré de fraîcheur. Son corps réclamait du plaisir.
Evaniel quitta sa blouse de mage rouge promptement. La journée avait été. particulièrement chargée et frustrante par moment. Ses larges épaules et son torse bien faits laissaient des reflets cuivrés attrayants.
Il avait appris avec le temps à être patient et discret concernant son intimité. Il avait surtout appris à se respecter. Evaniel ferma les yeux. Le souvenir de sa première fois lui revenait souvent dans ces moments solitaires.
Elisa Panhard, une noble de Sharlayan, une femme de vingt huit ans alors qu'il en avait que dix-sept. Elle était de passage à Limsa pour régler une partie de l'héritage de sa famille qui était de grands commerçants de la marine marchande de guerre, elle restera. Evaniel était un jeune homme à tout faire du port marchand travaillant pour continuer à apprendre la médecine et l'alchimie auprès de quelques vieux médecins de bord qui cherchaient à former et transmettre leur savoir.
Un nouveau navire venait d'accoster pour quelques jours, Evaniel, le seul elezen présent, avait été mandé par le capitaine... Un certain Michak... Pour s'occuper exclusivement d'une cliente particulière... Une belle femme Elezenne aux allures nobles forcées, qui cachait péniblement son attitude naturelle désinvolte. La peau claire, les cheveux châtains nouées dans un gracieux chignon qui laissait dégagé son cou fin et délicat, des lèvres légèrement charnues d'un rouge carmin, des petites oreilles relevées. Un regard de feu qui imposait l'admiration. Ce jour-là Evaniel avait ressenti pour la première fois, une attirance physique intense et cela n'avait pas échappé à la belle. Evaniel était déjà très grand pour son âge et ses traits étaient plutôt matures. Elle s'approcha de lui, il n'en menait pas large, il essayait temps bien que mal de cacher son rougissement et son désir pour la femme en baissant les yeux. Il bégaya quelques formules de politesse à la femme et pris ses bagages. "Où dois je porter vos effets Madame?" La femme releva délicatement le menton de Evaniel, plongeant son regard dans le sien. Discrètement elle caressa la joue puis l'oreille de Evaniel en lui souriant. "Au paradis, bel homme." Le coeur de Evaniel s'arrêta. "Je m'appelle Elisa et toi?" Evaniel avait perdu la parole. Elle se retourna et lança à Michak. "Cher ami, pourquoi m'avoir caché un tel trésor?". Michak éclata de rire. "Elisa, sache que ce jeune homme est Sharlayanais comme toi, donc la question est plutôt, comment cela se fait-il qu'un tel trésor se soit échappé de chez vous?" Elisa se retourna et regarda Evaniel avec un intérêt encore plus appuyé. Elle reprit le visage de Evaniel entre ses mains fines. "Tu respires l'intelligence, la vivacité et l'innocence à la fois..." Evaniel ferma les yeux, il prit la main de la jeune femme dans la sienne et se trahit en y déposant un baiser délicat, transmettant tout le désir qu'il ressentait. Il plongea son regard dans le sien et se surprit à dire. "Où se trouve le paradis, chère Dame Elisa?". Elle rougit...
Sur le pont un homme Elezen de belle allure observait la scène avec méfiance...
"Le plaisir charnel est un des piliers de la décision humaine. Il vous détruit autant qu'il vous fait grandir, mais il ne vous laissera jamais indifférent."
3 notes
·
View notes
Text
Hagio Moto's Egg Stand

I wanted to get Hagio's Houmonsha (訪問者) one shot collection off my reading list, and read this one shot, Egg Stand (エッグ・スタンド) yesterday. This 100-page one shot was first published in Petit Flower's 1984 March issue. It tells the story of a young orphan boy (Raoul), a dancer girl (Louise) and an activist who's part of the French Resistance movement (Marchand) in an occupied Paris.
I cheated and read the French version (Le coquetier) published in the second volume of Hagio's collected works, De l'humain. This actually kind of added to the story, considering that it takes place in France... Anyway... Egg Stand was quite a depressing story on the worth of life and meaning of death, while terrible stuff happens to another Hagio bishounen. I enjoyed reading a serious, historical work by her.
The page I posted above is a reference to Hermann Hesse's Demian and the chick-egg allegory there. Let's refresh our minds:
“If the chick is not able to break the shell of his egg, he will die without being born. We are - chick. The world - is our egg. If we do not break the shell of the world, then we will die without being born.”
This where the main theme of the story comes from: If a chick dies inside its egg without hatching, does it even know it was alive? Does it realize it's dying? What do people feel as they die? What do people feel as they kill others? The chick's world is inside of the shell, and it lives and dies without ever seeing what's outside... Are we not the same? Do we actually break our shells as we "live"? If you don't, can you still call it "living"? Are we dead inside our shells, or are we really alive? While the whole drama might feel like every other WW2 movie, this one shot leaves you with all these questions, and thus is worth reading. I am weak for literary references in manga.
#hagio moto#moto hagio#萩尾望都#エッグ・スタンド#egg stand#24年組#year 24 group#80s manga#80s shoujo#WW2#la Résistance#french resistance#one shot#hermann hesse#demian
34 notes
·
View notes
Text

"Les marchands modernes ne veulent pas non plus que Peter grandisse. Mais ce n’est pas pour préserver son innocence, ni pour le protéger du monde du commerce ; ils veulent faire de lui leur fidèle client, exploiter sa séparation d’avec sa mère et sa famille pour mettre la main sur lui, pour le pousser à acheter cet "amusement" auquel sa jeunesse, autrefois, lui donnait accès gratuitement. Envole-toi pour le Pays imaginaire, Peter, nous t’y attendons avec tout ce que le petit garçon en toi a toujours voulu – mais attention : tu devras l’acheter avec des dollars d’adultes. Ou achète-le, dans ce pays imaginaire perverti qu’a fabriqué la marque Michael Jackson, en vendant à la fois ta famille et ton innocence. Laisse tes parents derrière toi, mais surtout n'oublie pas d’emporter ton porte-monnaie et ton érotisme corrompu."
Benjamin Barber, Comment le capitalisme nous infantilise, trad. Lise et Paul Chemla, 2007.
11 notes
·
View notes
Text
Bonjour 💙 Voici venu le temps de vous dévoiler une première partie d’annexe du forum ! J’ai longuement hésité sur ce que je pourrais partager avec vous, car les annexes sont presque terminées. Après mûre réflexion, je me suis dit que commencer par vous présenter globalement l'univers géographique d'Elyrian avec sa carte pourrait être une belle manière de vous immerger dans l'aventure. Voilà, j'espère que cette petite introduction vous plaira !
Introduction
Elyrian est un royaume insulaire aussi vaste que mystérieux, s’étendant sur un labyrinthe de terres éparpillées au gré des flots. Officiellement, chaque archipel est structuré autour de trois grandes îles principales, véritables piliers de la civilisation elyrienne. Pourtant, au-delà de ces centres de pouvoir et de commerce, l’océan dissimule des centaines d’autres îles, de tailles et de natures variées. Certaines abritent des villages de pêcheurs ou des avant-postes oubliés ; d’autres, à peine cartographiées, sont des sanctuaires perdus, ensevelis sous les marées ou cernés de récifs infranchissables. Il existe des îles accueillantes, escales essentielles aux navigateurs, et d’autres, maudites, où plus personne n’ose s’aventurer. Entre cités fortifiées, havres discrets et terres abandonnées aux légendes, Elyrian demeure un royaume insaisissable, dont chaque île porte en elle une part de mystère.

Le Pont des Brisants
Le Pont des Brisants est l'épine dorsale d’Elyrian, un passage colossal qui traverse le royaume d’un bout à l’autre, reliant le sud au nord en un arc de pierre et de mystère. Il débute à Nepthis, à la sortie du Port de Varasel et du marché des Brisants, qui doit son nom aux vagues écumeuses qui s’écrasent contre les falaises de l’île. De là, il s’étire sur des centaines de kilomètres, serpentant d’île en île, porté par d'immenses piliers qui s’ancrent tantôt dans la roche, tantôt dans les profondeurs marines, avant d’achever sa course au port fortifié de Sasterra, sur l’île de Cresta. Construit pour défier le temps et les flots, le pont est un chef-d’œuvre d’ingénierie et de magie ancienne. Son architecture massive évoque une forteresse en suspension : ses murs de pierre sombre, polis par le vent et le sel, sont gravés de runes marines censées repousser l’usure des siècles et les colères de l’océan.
Un passage stratégique
Le Pont des Brisants est bien plus qu’un simple ouvrage d’art : c’est le cœur du commerce et de la survie d’Elyrian. Seul le royaume en connaît tous les secrets, notamment l’emplacement des portes cachées, dissimulées dans ses fondations et accessibles uniquement à ceux qui détiennent les clefs du savoir militaire. Ce contrôle absolu permet à Elyrian d’imposer ses propres taxes et règlements sur le commerce, forçant les royaumes voisins à se soumettre à ses conditions s’ils veulent accéder aux ressources et marchés d’outre-mer. Bien que quelques échanges maritimes soient possibles, ils restent limités lors des Marées Guerrières, période durant laquelle les flots demeurent calmes. En dehors de ces quelques mois, le pont est la seule connexion entre les deux continents, faisant d'Elyrian un carrefour incontournable du commerce international.
L’intérieur du Pont
Aussi majestueux soit-il, le passage du Pont des Brisants n’a rien d’une traversée plaisante. Son intérieur est plongé dans une obscurité permanente : il ne dispose d’aucune fenêtre, contraignant voyageurs et marchands à avancer à la lueur des torches. Il faut trois jours entiers pour le traverser en calèche, un périple éprouvant où l’air devient plus lourd à chaque île franchie. Seuls les soldats d’Elyrian et les commerçants dûment autorisés peuvent l’emprunter, et chaque entrée est farouchement gardée. C’est l'endroit le plus surveillé du royaume, un passage où aucun intrus ne peut espérer avancer sans être repéré.
Origines du Pont
La légende raconte que le Pont des Brisants fut façonné par les déesses Sylmara et Iskara, en offrande aux Elyriens qu’elles chérissent comme leurs enfants. On dit que les fondations du pont plongent si profondément dans l’océan qu’elles touchent le royaume des abysses, et que ses arches sont indestructibles. Certains racontent même que les piliers de pierre battus par les flots sont en réalité les restes pétrifiés de titans marins endormis…
NB : Il ne s’agit-là que de la carte principale d’Elyrian avec la présentation du Pont des Brisants. Je vous dévoilerai prochainement des cartes et des lieux plus détaillés de chaque archipel afin que vous puissiez vous immerger au mieux dans l’univers.
#forumactif#forum rpg#projet forum rpg#projet rpg#rpg#fantasy rpg#medfan#map#carte#elyrian#pont des brisants
9 notes
·
View notes
Text

Fernand Iveton at the time of his arrest: the police officers who arrested him deliberately soiled his clothes and disheveled his hair, even though he was always impeccable, surely in order to begin discrediting him in the press
Fernand and Helene Iveton a couple in the algerian revolution part V : the end of Fernand Iveton
We have seen here the condemnation to death of Fernand Iveton and its consequences. Even in prison, Fernand continues to write letters to Hélène, and Jean Claude also sent a letter from mainland France to President René Coty requesting clemency for his father-in-law. He often talks with Bakri. In one of his notebooks, Fernand has drawn a sickle and hammer. He inscribed the date of his death sentence, November 14, 1956, and is waiting to mark the date he is pardoned. He befriends the prison chaplain, Jules Declerq, who is intrigued by the fact that a European is condemned to death for his independence activities. The chaplain later explained that he wholeheartedly supports Algerian independence but must keep his feelings quiet due to his public role. This doesn't prevent him from offering the prisoner a gift: "Les Misérables." He also promises to visit his wife’s home because Fernand is worried about her, knowing that despite her hiding it from him, she is in significant financial difficulty.
Lawyer Joé Nordmann reports that there are finally petitions and telegrams demanding his clemency from Parisian women, the gas workers of Rue d'Aubervilliers, the CGT section, etc. On the other hand, the press and intellectuals are silent. L'Humanité (the newspaper of the French Communist Party) eventually mentions him but only in a few lines inside the paper. Emmanuel Roblès, a prominent French writer born in Algeria and a close friend of the famous Algerian author Mouloud Feraoun (who would be assassinated on March 15, 1962, along with Education Inspector Max Marchand, Ali Hamoutène, Salah Ould Aoudia, Etienne Basset, and Robert Aymar by the OAS), urged Camus to try to help Fernand Iveton. Camus did nothing, at least publicly.
There is also a letter sent to Guy Mollet for make protest about the torture (authorized, as Massu would say years later to journalist Florence Beaugé, by government members like Max Lejeune and Maurice Bourgès-Maunoury, who visited interrogation centers and encouraged torture, even though these two politicians claimed they had nothing to do with it). On January 14, Bakri is released and hugs his two colleagues before leaving. He is replaced by another prisoner named Zamoun.
Abdelkader Guerroudj, known as Djilali, and Jacqueline Guerroudj are arrested. In an attempt to save Fernand Iveton, Jacqueline confesses her role and confirms that he had no intention of killing anyone. The Battle of Algiers intensifies, with events like the eight-day strike (January 28, 1957 - February 4, 1957), during which the army commits new atrocities to break the strike: forced store openings, looting authorizations, and new arbitrary arrests of Algerians.
A new prisoner, Mohamed ben Hamadi el Haziz, who asks to be called Abdelaziz, arrives. He is an Iraqi who came to Algeria to fight for the revolution. He was captured after being wounded in combat and has just been sentenced to death by the military tribunal. He announces this sentence calmly. Fernand also shares his story with him.
President René Coty receives Fernand Iveton’s three lawyers, as required by French procedure at the time. Before deciding whether to use presidential clemency, the president must listen to the defense lawyers, Albert Smajda, Charles Lainné, and Joe Nordmann, who speak of the parody of justice that is unfortunately common in the military tribunal and the toxic atmosphere. René Coty agrees that the sentence was disproportionate and even acknowledges the courage and certain nobility in Fernand Iveton but stresses that public opinion wants Fernand Iveton’s death and that, given the increasing violence in Algiers, the pieds-noirs will want his head. He also recalls a chilling anecdote from 1917 when, as a young officer, he saw two young French soldiers executed. As one of them was being led to the execution post, the general said to him, "You too, my boy, are dying for France."
Albert Smajda realizes that his client will not be pardoned. Joe Nordmann protests to the president with clear and lucid arguments that this execution will not diminish the will of Algerian revolutionaries to continue fighting and that blind violence solves nothing. He also shares an anecdote: Iveton was insulted by one of the guards, and he retorted that he was in this situation for him. This ensures that Fernand is fighting for an Algeria where there will be equality and happiness for all. Smajda produces a letter signed by Hélène for the president, while Lainné insists that Fernand should be a witness to the torture he endured. Coty says it is indeed disgraceful that he suffered such treatment, but this treatment had already been applied to many activists both before and throughout the Algerian revolution.
On February 6, the Supreme Council of the Judiciary reviews the case again. However, François Mitterrand, the Minister of Justice, is the last to vote before René Coty makes his decision. The man who would later be known as the president who abolished the death penalty in France opposes clemency and favors executions (at least 32 out of 45 executions). He likely does this for political calculation to keep his position and provide guarantees in hopes of securing a post.
On Saturday, Chikhi is freed. He shakes hands with Abdelaziz and hugs Fernand, thanking him for what he did for Algeria. A few hours later, a newcomer named Achouar arrives. He is 20 years old, was arrested during the fighting, and demands prisoner-of-war status. He also shares his story.
Fernand is convinced he will be pardoned. Then, a few days later, while he is sleeping, the guards come and tell him to get up immediately. Abdelaziz understands right away, unlike Achouar, who looks lost. When Fernand understands, he wants to address his cellmates one last time. The guards take him immediately. Despite everything, Fernand stands tall and shouts "Tahia el Djazair" (long live Algeria) as other condemned prisoners do when going to execution. A guard tells him to be quiet and raises his baton to his height. Too late, as other Algerian prisoners, who usually witness the execution and immediately understand what is happening, start shouting, singing in Arabic, singing patriotic songs, others bang the cell walls with their bowls and spoons, and women make youyou. The prisoners do this to accompany the independence militants to death so they do not falter. Soon, other Algerians in the nearby streets, alerted by the noise, join in the chants and youyou. Despite the guards' attempts, the support demonstrations do not weaken. When the clerk asks if Fernand has anything to say, he first asks for pants. Then he says for the clerk to note, "The life of a man, mine, matters little. What matters is Algeria, its future. I am convinced that the friendship between French and Algerians will be restored."
Two other FLN militants, often forgotten, will be executed with him: Mohamed Lakhnèche, known as Ali Chaflala, and Mohamed Ouenouri, known as P'tit Maroc. The three condemned men walk to the guillotine and embrace. One of them says, "Iveton, my brother." Charles Lainné also embraces him and says he is dying because of public opinion. Fernand repeats three times, "Public opinion." Declerq is there and asks if he needs religious assistance. Fernand tries to smile and replies, "No... Freethinker." The guards tie his hands behind his back, and Fernand murmurs that he will die, but Algeria will be independent. The Casbah joins in the cries and patriotic songs. Lainné kneels and prays for Fernand, while Albert Smajda sobs and looks at the wall to avoid seeing what is about to happen.
Despite his support for French Algeria,the executioner, Fernand Meysonnier says that Fernand Iveton shows great courage and almost regrets the task he is about to perform (he would only have such regrets three times in his career of executioner, according to him).
On February 11, 1957, at 5:10 am, Fernand Iveton is guillotined more by "the spirit of the times than by his act," to use Albert Camus's words, and his execution is condemned by Jean-Paul Sartre in "Les Temps Modernes" in 1958: "We are all murderers."
The next and final part will be the epilogue. But I must say one thing. When you think that François Mitterrand (and the government in power) made films criticizing the Montagnards of the French Revolution for the guillotine, I find it very misplaced on his part because, as we have just seen, he did far worse than they did.
6 notes
·
View notes