#Le protecteur maudit
Explore tagged Tumblr posts
Text
Christian Tămaș, Le protecteur maudit, Ars Longa, 2023
Une chronique de Sonia Elvireanu Christian Tămaș, Le protecteur maudit, Ars Longa, 2023 Un nouveau roman de Christian Tămaș vient de sortir aux éditions Ars Longa, Le protecteur maudit. Son titre oxymorique suffit pour susciter la curiosité du lecteur. L’incipit nous fait découvrir le thème de prédilection de l’auteur celui du voyage, avec une nuance inhabituelle puisqu’il s’agit de découvrir…
View On WordPress
0 notes
Text
#crackship#robert pattinson#victoria pedretti#robert pattinson crackship#victoria pedretti crackship#forum rpg#in the bleak midwinter#forumactif#pub forum#rpg français#rpg francophone
53 notes
·
View notes
Text
Psaumes 37
Contraste entre le juste et l’impie
1 De David. Ne t'irrite pas contre les méchants, N'envie pas ceux qui font le mal. 2 Car ils sont fauchés aussi vite que l’herbe, Et ils se flétrissent comme le gazon vert. 3 Confie-toi en l’Éternel, et pratique le bien ; Aie le pays pour demeure et la fidélité pour pâture. 4 Fais de l’Éternel tes délices, Et il te donnera ce que ton cœur désire. 5 Recommande ton sort à l’Éternel, Mets en lui ta confiance, et il agira. 6 Il fera paraître ta justice comme la lumière, Et ton droit comme le soleil à son midi. 7 Garde le silence devant l’Éternel, et espère en lui ; Ne t’irrite pas contre celui qui réussit dans ses voies, Contre l’homme qui vient à bout de ses mauvais desseins. 8 Laisse la colère, abandonne la fureur ; Ne t’irrite pas, ce serait mal faire. 9 Car les méchants seront retranchés, Et ceux qui espèrent en l’Éternel posséderont le pays. 10 Encore un peu de temps, et le méchant n’est plus ; Tu regardes le lieu où il était, et il a disparu. 11 Les misérables possèdent le pays, Et ils jouissent abondamment de la paix. 12 Le méchant forme des projets contre le juste, Et il grince des dents contre lui. 13 Le Seigneur se rit du méchant, Car il voit que son jour arrive. 14 Les méchants tirent le glaive, Ils bandent leur arc, Pour faire tomber le malheureux et l’indigent, Pour égorger ceux dont la voie est droite. 15 Leur glaive entre dans leur propre cœur, Et leurs arcs se brisent. 16 Mieux vaut le peu du juste Que l’abondance de beaucoup de méchants ; 17 Car les bras des méchants seront brisés, Mais l’Éternel soutient les justes. 18 L’Éternel connaît les jours des hommes intègres, Et leur héritage dure à jamais. 19 Ils ne sont pas confondus au temps du malheur, Et ils sont rassasiés aux jours de la famine. 20 Mais les méchants périssent, Et les ennemis de l’Éternel, comme les plus beaux pâturages ; Ils s’évanouissent, ils s’évanouissent en fumée. 21 Le méchant emprunte, et il ne rend pas ; Le juste est compatissant, et il donne. 22 Car ceux que bénit l’Éternel possèdent le pays, Et ceux qu’il maudit sont retranchés. 23 L’Éternel affermit les pas de l’homme, Et il prend plaisir à sa voie ; 24 S’il tombe, il n’est pas terrassé, Car l’Éternel lui prend la main. 25 J’ai été jeune, j’ai vieilli ; Et je n’ai point vu le juste abandonné, Ni sa postérité mendiant son pain. 26 Toujours il est compatissant, et il prête ; Et sa postérité est bénie. 27 Détourne-toi du mal, fais le bien, Et possède à jamais ta demeure. 28 Car l’Éternel aime la justice, Et il n’abandonne pas ses fidèles ; Ils sont toujours sous sa garde, Mais la postérité des méchants est retranchée. 29 Les justes posséderont le pays, Et ils y demeureront à jamais. 30 La bouche du juste annonce la sagesse, Et sa langue proclame la justice. 31 La loi de son Dieu est dans son cœur ; Ses pas ne chancellent point. 32 Le méchant épie le juste, Et il cherche à le faire mourir. 33 L’Éternel ne le laisse pas entre ses mains, Et il ne le condamne pas quand il est en jugement. 34 Espère en l’Éternel, garde sa voie, Et il t’élèvera pour que tu possèdes le pays ; Tu verras les méchants retranchés. 35 J’ai vu le méchant dans toute sa puissance ; Il s’étendait comme un arbre verdoyant. 36 Il a passé, et voici, il n’est plus ; Je le cherche, et il ne se trouve plus. 37 Observe celui qui est intègre, et regarde celui qui est droit ; Car il y a une postérité pour l’homme de paix. 38 Mais les rebelles sont tous supprimés, La postérité des méchants est retranchée. 39 Le salut des justes vient de l’Éternel ; Il est leur protecteur au temps de la détresse. 40 L’Éternel les secourt et les délivre ; Il les délivre des méchants et les sauve, Parce qu’ils cherchent en lui leur refuge.
0 notes
Text
L'ultime révolte de l'albinos - Lamine DIABATE - 2022 - Ed. L'harmattan Guinée
Quatrième de couverture « Elle » l’héroïne de la pièce, victime d’injustices, de violences physiques et morales de toutes sortes dans une société qui la considère comme une personne maudite et maléfique décide de se donner la mort suite à la mort tragique de son bien aimé Michel. Mais l’apparition d’un Génie protecteur dont le but principal est d’empêcher la jeune file de se donner la mort et…
View On WordPress
#Afrique#albinos#éditionslharmattan#blog#drame#instalire#instalivres#leeham#littérature#littératuredailleursdeleeham#malédictions#rejet#romans#société#Théâtre#tragédie#violences
0 notes
Text
paranormasight the seven mysteries of honjo
Vous croyez aux malédictions ?Cette histoire déroutante axée sur des lanceurs de malédictions qui se déroule à Honjo, dans l'arrondissement de Sumida à Tokyo durant l'ère Showa (1926-89), est inspirée par la légende urbaine macabre des Sept mystères de Honjo. Suivez les Sept maudits alors qu'ils sont plongés dans une épreuve surnaturelle de trois jours pendant laquelle ils devront tenter de réaliser leurs espoirs et rêves désespérés.https://youtu.be/sDuDbiie2r0
Les 7 mystères de Honjo
Avant de se lancer dans le test, voici les différents mystères auquels nous seront confrontés.The Beckoning Light : L'histoire d'une flamme menaçante... et de ses projets inconnus. À Ho'onji, on voit souvent une étrange lueur apparaître la nuit. En la suivant, on se retrouve plongé dans les ténèbres, dont on ne peut sortir qu'en suivant une autre lumière. Est-ce un esprit protecteur ou un monstre qui cherche à perdre les humains ? Everburning Lantern : L'histoire d'une lumière... qui permet d'échapper aux ténèbres. Une échoppe de soba isolée et sans vendeur, qu'on trouve au bord du canal. Sa loupiote reste allumée en permanence, malgré l'absence d'huile. Serait-ce un esprit qui la maintient ainsi pour repousser le danger ? Fool's Procession : L'histoire d'une parade... et de ceux qui n'osent pas y prendre part. Un homme entend une musique, évoquant le Kagura, et souhaite en savoir plus. S'agit-il juste d'une simple plaisanterie ou de quelque chose de plus lugubre ? The Foot-Washing Mansion : L'histoire d'un ordre terrible... et de son étrange origine. Une empreinte de pied sanglante apparaît au plafond d'une maison de Mikasacho, accompagnée d'un ordre : « Nettoyez ! ». Cette empreinte réapparaît toutes les nuits. Pourquoi faut-il la nettoyer, et que se passe-t-il si on ne le fait pas ? One Sided Reed : L'histoire d'un amour à sens unique... et de la souffrance d'un refus. Une femme repousse les avances d'un terrible criminel, qui décide de l'attaquer. Lui coupant un bras et une jambe, il les jette dans le canal. Sa malédiction persiste-t-elle parmi les roseaux ? The Haunting Clappers : L'histoire d'un homme brûlé... et de son avertissement aux vivants. Un gardien de nuit entend le signal d'un incendie, mais il ne trouve rien, malgré ses recherches. Serait-ce l'avertissement d'un esprit décédé ? Whispering Canal : L'histoire des pêcheurs qui disparaissent... et de la voix qui a causé leur perte. Les pêcheurs sur le canal entendent parfois une voix leur susurrer « Abandonne-le... Abandonne-le ». Ceux qui ignorent cet avertissement se font happer dans le canal et disparaissent à jamais. Mais d'où vient cette voix ?
Son histoire
On peut dire que d'emblée le jeu ne démarre pas comme les autres. PARANORMASIGHT : The Seven Mysteries of Honjo cherche à briser le quatrième mur. En effet, un personnage mystérieux s'adresse directement à vous en vous posant un certain nombre de questions. Ce narrateur masqué vous expose donc le contexte de l'aventure que vous êtes sur le point de vivre. Vous serez confronté à des mystères, de l'horreur et une malédiction au cœur d'un quartier de Tokyo dans les années 1980. Installez-vous à l'aise et explorez l'introduction de cette histoire en incarnant Shogi Okiie, un jeune homme de 25 ans qui s'est récemment lié d'amitié avec une adepte de l'occultisme...Et sinon... Jusqu'où seriez-vous prêt à aller pour ramener un être cher à la vie ?Shogo Okiie est un employé de bureau ordinaire dans ce Japon de la fin de l'ère Shōwa. Il décide de rendre visite à sa nouvelle amie Yoko Fukunaga dans un parc de Kinshibori en pleine nuit. Cette dernière est fascinée par une célèbre légende locale de fantômes : les Sept Énigmes d'Honjo. Apparemment, en résolvant ces énigmes, il serait possible de réaliser un rituel de résurrection. Malgré son scepticisme initial, le jeune homme verra ses convictions s'ébranler face à des événements plus que troublants. L'histoire ne se limite pas au point de vue de Shogo Okiie ; simultanément, d'autres individus mènent leur propre investigation sur les 7 mystères d'Honjo. Des lycéennes en quête de vérité sur le suicide d'une camarade aux enquêteurs sondant une série de décès inexpliqués, en passant par une mère ayant juré de venger la mort de son fils, tous ces personnages voient leurs désirs et motivations s'entremêler et interagir tout au long de cette aventure.La force du titre de Square Enix réside bel et bien dans sa narration. Les rebondissements se succèdent au fil d'un texte dense qui dévoile l'histoire de chaque protagoniste pour saisir l'intrigue globale du jeu. Il arrive que l'on se perde en route, que nos choix ne soient pas les plus judicieux. Dans ce cas, il faudra reprendre l'histoire à un moment donné pour bifurquer vers une trame narrative plus cohérente. Ce n'est qu'en reconstituant tous ces puzzles chronologiquement que vous pourrez assister à la conclusion de l'histoire. Mais méfiez-vous des malédictions qui rôdent. Elles sont au cœur de l'intrigue, mais également des interactions proposées par le jeu.
Son gameplay
Se rapprochant du point and click, vous pourrez explorer sommairement les scènes qui composent les séquences de jeu. D'ailleurs, l'utilisation de l'écran tactile de la console est possible. N'oublions pas que Paranomasight est également disponible sur iOS et Android.Vous devrez donc collecter les indices cruciaux, les utiliser au bon moment et choisir judicieusement vos dialogues pour progresser. Sinon, vous risquez de perdre la vie ! Les game over surviennent assez fréquemment lors de certaines séquences. Mais rassurez-vous, si vous êtes vraiment bloqué, le Conteur Masqué sera là pour vous guider sur la manière de surmonter les épreuves les plus difficiles. Il suffit parfois de fouiller les menus pour s'échapper indemne d'une situation délicate. De même, pour éviter tout spoiler, nous ne vous parlerons pas des différentes malédictions qui touchent certains personnages et des pouvoirs qui leur sont associés. Tous trouvent leurs origines dans les contes et légendes japonaises. L'histoire de ces yokaïs est souvent émouvante, d'ailleurs.L'attrait principal du jeu réside dans sa capacité à entrelacer habilement les différentes histoires des protagonistes. Mais nous vous laissons découvrir tout cela. Sachez simplement que vous n'incarnerez pas uniquement Okiee. D'ailleurs, le jeu vous révèle quelques surprises dès les premières minutes. Au final, l'interaction pure n'est pas très développée. Cependant, on appréciera la chasse aux « Mocking Birds », de petits autocollants disséminés dans les décors qui vous incitent à contempler les environnements du jeu. C'est l'occasion de nous pencher sur la réalisation.Comme nous l'avons déjà mentionné, PARANORMASIGHT : The Seven Mysteries of Honjo est un authentique visual novel. Les amateurs d'action intense devront passer leur chemin, car ce jeu n'est pas conçu pour vous défouler. De même, si vous pensez faire des cauchemars à la suite de ces récits, ce n'est pas vraiment le cas. Bien que certaines scènes puissent être parfois angoissantes et provoquer des sursauts, le jeu reste modéré et pourrait s'apparenter à un épisode de X-Files malgré son PEGI 16. Il est à noter que tous les décors sont conçus pour vous immerger dans ce quartier de Tokyo. Comme le mentionne la description du jeu via l'eShop : « Les paysages réels de Sumida ont été photographiés à l'aide d'un appareil photo à 360° et recréés sous forme de sphères photographiques incluant le ciel et les environs. Tout cela avec la coopération et le soutien complets de l'office du tourisme de l'arrondissement de Sumida, du musée local, de l'association touristique et de la communauté locale. » On regrette cependant que le jeu ne soit composé que de différents tableaux où vous ne pouvez que tourner la tête.En ce qui concerne les personnages, saluons le travail graphique de Gen Kobayashi qui permet de rendre l'aspect visuel du jeu très plaisant grâce à ses protagonistes, leurs postures et leurs expressions... L'artiste, ayant déjà travaillé sur The World Ends With You, par exemple, n'hésite pas à exagérer les expressions faciales et les mouvements pour sublimer l'atmosphère du jeu. Les thèmes musicaux contribuent également à rendre la tension palpable. Dommage qu'ils soient si peu nombreux et parfois carrément absents. Read the full article
0 notes
Text
The Girl Who Fell Beneath the Sea by Axie Oh (April 2022)
Deadly storms have ravaged Mina’s homeland for generations. Floods sweep away entire villages, while bloody wars are waged over the few remaining resources. Her people believe the Sea God, once their protector, now curses them with death and despair. In an attempt to appease him, each year a beautiful maiden is thrown into the sea to serve as the Sea God’s bride, in the hopes that one day the “true bride” will be chosen and end the suffering.
Many believe that Shim Cheong, the most beautiful girl in the village — and the beloved of Mina’s older brother Joon — may be the legendary true bride. But on the night Cheong is to be sacrificed, Joon follows Cheong out to sea, even knowing that to interfere is a death sentence. To save her brother, Mina throws herself into the water in Cheong’s stead.
Swept away to the Spirit Realm, a magical city of lesser gods and mythical beasts, Mina seeks out the Sea God, only to find him caught in an enchanted sleep. With the help of a mysterious young man named Shin — as well as a motley crew of demons, gods and spirits — Mina sets out to wake the Sea God and bring an end to the killer storms once and for all.
But she doesn’t have much time: a human cannot live long in the land of the spirits. And there are those who would do anything to keep the Sea God from waking…
Would I recommend it to anyone? Yes, it's a good book with a little romance and a nice plot.
Level of (dis)satisfaction based on the summary and my expectations? It was actually a nice surprise because I was expecting a basic plot with a basic romance but it ended up being better than I thought.
My thoughts on it? I really liked Mina's character, she's brave and her storyteller side was super cool. The secondary characters were very interesting, I'd love to know more about them, especially since the author confirmed on instagram that they were queer (which was kind of implied in the book), same with the Spirit World. I know that Axie Oh is Korean-American so I'm guessing a lot of elements were inspired by Korean mythology, but since I unfortunately know nothing about it, I couldn't tell for sure.
Some elements of the plot were a bit confused, especially the explanation of the Sea God's curse, but I'm willing to let it slide because the "how" wasn't really the most important.
I was a bit scared because the soul mates trope isn't necessarily something I'm going to like, it has to be done a specific way for me to get invested, but this case was slightly different so it was fine.
The book as a whole gave off Spirited Away vibes, especially the beginning when Mina gets to the Spirit World, it was amazing.
Also, I don't know what's going on with the editors but they should keep it up because their covers for Asian books are beautiful, DAMN. Iron Widow? A Magic Steeped in Poison? June Hur's books? This one? Seriously.
French version under the cut
Depuis des générations, des tempêtes destructrices ravagent le pays de Mina. Les inondations emportent des villages entiers tandis que des guerres sanglantes sont menée pour les quelques ressources restantes. Son peuple croit que leur protecteur, le Dieu de la Mer (Sea God), les a désormais maudits, condamnés au désespoir et à la mort. Chaque année pour l'apaiser, une belle jeune fille est jetée à la mer en tant que promise du Dieu de la Mer, dans l'espoir qu'un jour sa "véritable promise" sera choisie et mettra un terme à leurs souffrances.
Nombreux sont ceux à croire que Shim Cheong, la plus belle fille du village — et la bien-aimée de Joon, le frère ainé de Mina — pourrait bien être la véritable promise des légendes. Cependant, la nuit où Shim Cheong doit être sacrifiée, Joon la suit en mer, conscient que toute intervention entraînerait sa mort. Pour sauver son frère, Mina se jette à l'eau à la place de Cheong. Emportée dans le Monde des Esprits (Spirit World), une citée magique remplie de dieux mineurs et de créatures mythiques, Mina se met à la recherche du Dieu de la Mer et le retrouve plongé dans un sommeil enchanté. Avec l'aide d'un mystérieux jeune homme nommé Shin, ainsi qu'une équipe hétéroclite composée de démons, de dieux et d'esprits, Mina décide de trouver un moyen de réveiller le Dieu de la Mer, mettant enfin un terme aux tempêtes meurtrières. Seulement, elle n'a pas beaucoup de temps : une humaine ne peut pas survivre longtemps dans le monde des esprits. Et il y a ceux qui feraient tout pour empêcher le Dieu de la Mer de se réveiller...
Est-ce que tu le conseillerais à quelqu’un ? Oui, c’est un bon bouquin avec une petite romance et une intrigue sympa.
Niveau de déception/satisfaction par rapport au résumé et tes attentes ? J’ai été assez agréablement surprise parce que je m’attendais à avoir une intrigue un peu bateau avec une romance bateau mais au final c’était mieux que ce que je pensais.
Avis sans spoiler ? J’ai beaucoup aimé Mina, elle est courageuse et son côté conteuse était super cool. Les personnages secondaires étaient vraiment intéressants, j’aimerais bien en savoir plus sur eux, surtout que l’autrice a confirmé sur insta que deux d’entre eux était queer (ce qui était légèrement sous-etendu dans le livre), pareil pour le Spirit World. Je sais que Axie Oh est américano-coréenne donc j’imagine que beaucoup de choses étaient tirées de la mythologie coréenne mais malheureusement comme je n’y connais rien je saurais pas dire.
Certains éléments de l’intrigue étaient un peu flous, notamment l’explication de la malédiction du Sea God, mais je suis prête à passer outre parce que le “comment” n'était pas forcément le plus important.
J’avais un peu peur parce que les âmes sœurs c’est pas forcément quelque chose que je vais apprécier, il faut que ça soit fait d’une certaine façon pour que je sois vraiment investie, mais là c’était légèrement différent donc ça allait.
Pendant tout le bouquin j’avais des vibes du Voyage de Chihiro, c’était trop bien, surtout au début quand elle arrive dans le Spirit World.
Aussi, je sais pas ce que les éditeurs prennent mais qu’ils continuent avec les couvertures des livres asiatiques parce que DAMN elles sont magnifiques. Iron Widow ? A Magic Steeped in Poison ? les 3 June Hur ? Celui-là ? Sérieux.
#the girl who fell beneath the sea#axie oh#books#booklr#book recommendations#book recs#book review#book reviews#ya novel#ya books#asian literature#la fiancée du dieu de la mer
54 notes
·
View notes
Text
Mes OCs Kaamelott
Depuis mon quiz j’avais envie de vous en dire un peu plus sur mes OC sans forcément vous en révéler trop, donc voici un petite présentation!
Tout d’abord : Riwannon [ʁivanɔn]
Bon Riwannon (ou “Riw” pour ses proches, prononcé [ʁiv]) vous la connaissez plus ou moins déjà, je vous bassine assez avec elle depuis quelques mois, donc en bref c’est une jeune femme qui vit dans la forêt de Galvoie, forêt prétendue maudite et enchantée. Elle excelle au combat et dans le maniement des armes, et sa backstory à la fois triste et violente fait qu’elle est naturellement très méfiante des autres. Elle est très solitaire et s’est bâti au fil des années une carapace pour se protéger aussi bien mentalement qu’émotionnellement. C’est quelqu’un de réfléchi, d’intelligent et avec un sens de la répartie incroyable, mais elle cache beaucoup de faiblesses et un grand manque de confiance en elle. Elle se fait remarquer par Arthur alors qu’elle venait de sauver Kellig et Fagan (voir ci-dessous) des griffes d’une bête géante. Ses aptitudes et son bagout parviennent à “charmer” le Roi, et il lui proposera de donner des classes à Guenièvre pour qu’elle apprenne à se défendre, dans l’éventualité où Lancelot s’en prendrait une nouvelle fois à elle.
Rhett [ʁɛt]
Pour remettre les choses dans leur contexte, Riwannon est issue d’une fratrie de cinq enfants. Elle n’a eu que des grands frères avant elle; dans l’ordre on a Rideg, Rowan, Rión et Rhett. Et bien qu’il soit un peu plus âgé que Riwannon, Rhett pense et résonne comme un enfant. À la pré-adolescence, il est victime d’un accident dans la forêt qui bouleverse sa personnalité toute entière. Il est sauvé in-extremis par sa soeur, mais ses blessures laissent de larges entailles et cicatrices sur tout le côté gauche de son visage et de son crâne. Les séquelles sont telles qu’il grandit en restant bloqué dans son esprit d’enfant, s’émerveillant des trésors naturels que la forêt lui offre. Il s’intéresse alors aux plantes, aux fleurs et aux animaux, délaissant les armes et l’art du combat que ses autres frères prennent tant plaisir à apprendre. Il développe une hypersensibilité au bruit et se réfugie régulièrement dans des cabanes qu’il construit de ses propres mains, pour se retrouver au calme. Depuis l’accident, Riwannon agit comme une figure protectrice envers Rhett. Elle fait tout pour le sentir inclus, écouté et compris, chose que ses autres frères ne font pas forcément. En passant du temps avec lui, elle développe elle aussi un esprit sensible et apprend beaucoup de choses sur ce que la nature peut offrir. Elle est convaincue que Rhett est son ange gardien.
Rión [ʁiɔn]
Les parents de Riwannon et de ses quatre frères ont une histoire quelque peu particulière. Leur mère est celte, issue d’une famille de pêcheurs à l’Est des Cornouailles, et leur père est Goth, originaire d’une tribu barbare vivant sur les côtes de ce qu’on appelle aujourd’hui la Scandinavie. Ils se rencontrèrent par hasard sur une plage bretonne, le long de la mer du Nord. L’embarcation de l’un s’échoua non loin de l’habitation de l’autre, et d’un seul regard et dans la fougue de leur jeunesse, ils tombèrent fous amoureux. Leur culture et leur héritage rendant leur union impossible aux yeux de leurs familles respectives, ils décidèrent de tout laisser derrière eux et de fuir en Galvoie, dans l’unique but de vivre leur amour librement, rejetant les règles qui leur étaient imposées. Ils élevèrent leurs enfants en mélangeant leurs cultures et leurs personnalités ; la douceur de la femme celte, et la force de l’homme Goth.
Rión a surtout prit du côté de son père. Courageux, protecteur, combatif, il est le troisième enfant parmi les cinq. Celui du milieu, celui qui ne sait pas où se trouve exactement sa place et qui fait tout pour se démarquer aux yeux de ses parents. Le sang barbare qui coule dans ses veines ressort plus distinctement que chez ses semblables ; il grandit en développant un caractère débrouillard, belliqueux et impulsif. Il occupe ses journées à la chasse, à forger des lames et se battre avec ses frères aînés. Rión place sa famille au plus haut de ses priorités, mais il lui arrive parfois d’être en conflit avec eux, et plus particulièrement avec Rhett et Riwannon, qu’il considère comme plus faibles. Malgré les apparences, Rión a bon coeur et de belles valeurs, mais son naturel colérique le fait souvent sortir de ses gonds. Ses paroles peuvent dépasser sa pensée, au point de blesser les gens qu’il aime.
Seina [sɛi.na]
Seina apparaît dans la vie de Riwannon à son adolescence, alors qu’elle n’a que 15 ou 16 ans. Je veux pas vous en dire trop sur ses origines, dans quel contexte elles se rencontrent ni sur son rôle exact dans mon histoire (parce que même pour moi c’est encore un peu flou), mais elle a eu une très grande influence sur Riwannon autant dans son développement personnel et dans sa quête de sens. Seina est une jeune femme douce et réservée, d’un naturel peu bavard. La vie et l’autorité des hommes l’ont mené sur des chemins sinueux, qui l’ont intérieurement beaucoup torturé et l’ont fait développer un grand sens de la solidarité pour les figures féminines qui l’entourent. En partageant ses expériences avec Riwannon, elle fait ouvrir les yeux à la jeune femme sur beaucoup de choses en dehors de Galvoie, notamment sur leur condition de femme dans un monde fondamentalement masculin. Elle lui apprend l’existence de Kaamelott, d’Arthur et de la légende du Graal, initiant un désir chez Riwannon et ses frères de devenir peut-être un jour chevalier de la Table Ronde.
Seina a un mental d’acier qui contraste avec une tendresse et une bienveillance débordante, éveillant en Riwannon des sentiments qui lui sont inédits, et qui l’obsèdent autant qu’ils l’effraient.
Kellig [kɛlig]
Arthur est encore absent à la tête du Royaume de Logres lorsque Kellig rejoint la Résistance. Un peu par hasard, d’ailleurs. Lui et Fagan, son meilleur ami d’enfance, commençaient à trier les décombres d’une vieille bâtisse en ruine pour trouver de quoi dépiauter un lièvre, lorsque le Tavernier lui-même les prit en flagrant délit, interloqué par le bruit. Présentés à Perceval, Karadoc et le reste des Semi-Croustillants pour décider de leur sort, la sentence tombe très vite : ils les gardent avec eux. Les deux énergumènes n’ont pas l’air très brillants, mais ils savent préparer le lapin et soulever des pierres, alors bon...c’est déjà ça.
Kellig est un bon vivant, il aime les choses simples de la vie, comme un bout de viande ou le chant des oiseaux. Mais c’est aussi un râleur dans l’âme et l’idée d’être seul le terrifie. Il a toujours besoin de compagnie, même si celle de Fagan l’horripile très souvent. Entre lui et son ami, c’est sans hésitation lui la tête pensante, mais justement, peut-être qu’il pense trop. Il répare régulièrement les pots cassés (de Fagan), et même s’il paraît sans arrêt exténué par la bêtise de son compère, il lui porte beaucoup d’affection et lui est très fidèle.
Fagan [fagɑ̃]
Meilleur ami de Kellig, ce dernier le surnomme affectueusement “Faisan”. Fagan est persuadé que c’est parce qu’il chante bien, en réalité c’est parce que son cerveau est proportionnel à celui d’un piaf. Bien qu’il ne réfléchisse que très peu, les intentions de Fagan ne sont jamais mauvaises, ce qui fait de lui quelqu’un d’aussi bien insupportable que très attachant. Il est maladroit et très souvent dans la lune et Kellig l’a sauvé plus d’une fois d’une chute dans un ravin. Fagan est conscient que sa personnalité un peu loufoque et à côté de la plaque peut-être un fardeau pour son compère, alors il n’hésite pas à le complimenter de temps à autre ou à le remercier d’être là pour lui, sans quoi il serait sans doute déjà mort...
Les deux meilleurs amis n’ont pas un rôle principal dans mon histoire, mais ils apparaîtront parfois, histoire d’apporter un petit peu d’humour !
#kt oc#my ocs#riwannon de galvoie#rhett de galvoie#rión de galvoie#seina#kellig#fagan#kaamelott#l'oxalis
18 notes
·
View notes
Note
okok vu que tu prends aussi les ocs je propose tobias et merlin qui se tiennent par la main (évidemment you don't have to)
Tobias restait planté devant les escaliers. L'enfant tremblait, il n'osait pas escalader les marches seul. Il pouvait bien se promener seul dans la forêt de Brocéliande en pleine nuit mais il ne pouvait pas affronter les marches de pierre des escaliers de Kaamelott. Merlin, qui l'avait accompagné jusqu'ici, avait déjà commencé à gravir l'escalier. Il avait besoin de l'enchanteur, de son protecteur.
« Merlin, Merlin ! » Appela l'enfant.
Le druide se retourna en entendant l'enfant l'appeler. Il avait déjà franchi les six premières marches de l'escalier qui devait les mener, lui et Tobias, sur les remparts de la forteresse de Kaamelott. Le petit le regardait, seul en bas des marches, ses deux grands yeux larmoyants étaient plongés dans le regard bleu de Merlin. L'enchanteur de Bretagne descendit rapidement pour se mettre au niveau de son petit protégé, il s'agenouilla à côté de lui et lui demanda :
« Bah qu'est-ce qu'il y a ? Pourquoi tu ne me suis pas bonhomme ? »
Le petit triturait ses doigts en écoutant Merlin parler. Il n'osait pas répondre. Le druide n'était pas méchant pour deux sous mais il craignait quand même de recevoir des moqueries à l'encontre de sa peur enfantine. Le druide regardait l'enfant avec inquiétude, ne comprenant pas ce qui pouvait bien se passer dans la tête de son petit protégé.
« C'est les marches qui te dérangent ? Demanda Merlin avec une gentillesse attendrissante.
-Oui... Marmonna Tobias un peu honteux.
-Elles sont trop hautes ?
-Non c'est pas ça...
-Qu'est-ce que c'est alors ? » Il passa sa main dans la tignasse de Tobias avec affection. « Tu sais que tu peux tout me dire ? »
Tobias lui adressa un petit sourire gêné mais rassuré. Merlin se montrait compréhensif comme toujours, il n'allait pas se moquer de lui s'il lui avouait qu'il avait peur de ces maudites marches. Il reprit un peu de son assurance et bégaya :
« J'aime pas monter les escaliers... Ça fait trop peur quand on est en hauteur...
-T'as le vertige ? »
Il acquiesça en dodelinant doucement de la tête. Merlin lui adressa un sourire rassurant avant de se relever et de lui tendre la main avec un air paternel.
« Si je te tiens la main tu veux bien monter avec moi ? » Proposa-t-il.
L'enfant s'empressa de glisser sa petite paume dans la grande main chaude et chaleureuse de l'enchanteur de Bretagne. Merlin serra tendrement sa main dans la sienne et l'amena avec lui vers les marches de pierre. Il escalada la première avec Tobias.
« Viens ! On les compte ensemble ! Une ! Déclara Merlin avec enthousiasme.
-Une... Répéta l'enfant plus doucement.
-Deux !
-Deux. » Dit-il avec un peu plus d'assurance.
Ils continuèrent leur lente avancée, main dans la main, comptant les marches les unes après les autres. Tobias tremblait un peu mais la douceur de la paume du druide le rassurait. Ils s'approchaient de la fin de cet escalier de l'enfer.
« Seize ! S'exclama Merlin.
-Seize ! Reprit Tobias sur le même ton.
-Et...
-Dix-sept ! » S'exclama l'enfant en sautillant de joie.
Merlin l'attrapa par la taille et le souleva dans les airs. Il leur fit faire un petit tour sur eux-même avant de le rapprocher de son torse et de le serrer contre lui.
« C'est très bien ! Je suis très fier de toi bonhomme ! » Murmura-t-il à son oreille.
ask game
10 notes
·
View notes
Text
Le poids d'un passé heureux
Titre : Le poids d'un passé heureux
Fandom : Pokemon
Relation : Lillie et Lusamine - Lillie et le professeur
Lillie observait Hau triomphé de sa deuxième grande épreuves, sautant presque dans les bras de son pokémon alors que la doyenne Olivia le félicité. Sun était là aussi, déjà victorieux mais félicitant son ami et son raichu pour leur combat face à la spécialiste de type roche.
Les combats n'étaient pas comme ceux qu'avait décrits sa mère, du moins elle ne pouvait voir aucun pokémon souffrir aux mains de ses trois dresseurs, même quand le raichu de Hau de justesse les attaques de roches d'Olivia. Tout le monde s'amuse. Aussi bien les pokémons que les dresseurs.
Et les deux garçons semblaient encore plus heureux d'apprendre qu'ils pouvaient continuer leur chemin à traverser Alola, leur bonheur contagieux faisait sourire Lillie avant d'apprendre qu'ils avaient rendez-vous avec la fondation Æther. Hau était curieux, tout comme Sun mais le garçon avoue que la personne qui l'avait invité ne lui paraissait pas être quelqu'un de confiance. Aucun des garçons ne savaient vraiment de quoi ils parlaient, et Lillie pouvait bien comprendre pourquoi.
Même vivre là-bas ne l'avais fait réalisé que trop tard les attentions réelles de l'organisation, du moins de leurs présidentes. Æther semblait seulement alourdir son cœur maintenant. Et la peur d'être découverte était encore plus grande quand son ami secouait son sac, sentant sa peine et tentant de la réconforté.
Elle repensait à sa mère, Lusamine qui devait encore l'attendre la-bas. A moins qu'elle ait fini par oublier, plonger dans ses recherches comme elle avait fini par oublier Gladio.
Peut-être même qu'elle ne se souvenait pas de ses enfants, seulement que deux pokémons avaient disparu de ses mains. Peut être que Lillie et Gladio ne signifiait plus rien pour elle maintenant, comme le nom de leur père avait lentement disparut avec lui. Juste deux voleurs, partant avec le fruit de son travail, sans se rendre compte que c'était ses propres enfants qui la fuyait, des pokémons torturés et des esprits traumatisés voulant fuir sa main de fer.
Tout semblait avoir perdu toutes les valeurs aux yeux de sa mère, tout sauf ses maudites ultra-chimère.
Lillie sentait son cœur se brisé à cette pensée. De n'être plus une famille aux yeux de sa propre mère, qu'elle soit bien folle comme l'avais craché Gladio avant de partir. Qu'elle soit la femme aussi froide et cruelle qui avait poussé Lillie à fuir, son précieux pokémon avec elle pour qu'il évite le sort affreux qui l'attendait.
Que sa mère, si aimante était devenu son pire monstre, en soif de quelque chose d'impossible et perdant toutes humanités pour rien de plus que des créatures ayant blessé et tuer leur père, et gravement blesser sa propre fille.
Lillie du retenir ses larmes, reconnaissantes que personne ne prête attention à elle durant se cours instant de faiblesse. La blonde préféra mentir légèrement à ses amis, plutôt que risquer d'être reconnu, elle et son compagnon. Elle avait encore les alentours à fouiller pour Nebby.
Olivia et le professeur lui sourit, et soudainement la peur disparaissait pour laisser place à un sentiment plus chaleureux et de sécurité alors qu'elle disait au-revoir à Sun et Hau. Elle s'inquiète pour ses amis bien sur, mais sa peur disparaissant était soudainement alors que le professeur souriait et lui proposait de visiter les alentours.
Elle n'était plus seule maintenant. Gladio était toujours là, son précieux grand frère protecteur. Mais elle avait aussi maintenant Hau, Sun et Moon, et bien sur le professeur.
1 note
·
View note
Link
Chapters: 1/? Fandom: 僕のヒーローアカデミア | Boku no Hero Academia | My Hero Academia, Ao no Exorcist | Blue Exorcist Rating: Teen And Up Audiences Warnings: Graphic Depictions Of Violence Relationships: Todoroki Shouto/Uraraka Ochako, Iida Tenya & Midoriya Izuku & Uraraka Ochako, Midoriya Izuku & Todoroki Shoto & Iida Tenya, Todoroki Fuyumi & Todoroki Natsuo & Todoroki Shouto, Kirishima Eijirou & Yaoyorozu Momo, Other Relationship Tags to Be Added, Pas de beta - Relationship Characters: Todoroki Shouto, Uraraka Ochako, Aizawa Shouta | Eraserhead, Midoriya Izuku, Iida Tenya, Yaoyorozu Momo, Kirishima Eijirou, Todoroki Fuyumi, Todoroki Natsuo, Other Character Tags to Be Added, Demons (Blue Exorcist) Additional Tags: Demons, Mha est le futur de Blue Exorcist, Todoroki Enji | Endeavor's Bad Parenting, Dabi is a Todoroki, Les Todoroki sont les descendants de Satan, Mais personne ne veut le dire à Shoto, BAMF Uraraka Ochako, BAMF Todoroki Shouto, Mais il ne sait pas pourquoi il est si puissant, Other Additional Tags to Be Added, Slow Burn, Miko!Fuyumi Summary:
A son entrée à UA, Todoroki Shoto n'aurait jamais cru découvrir que les étranges créatures qu'il voyait depuis toujours existaient réellement.
Ni que cette " double-vue " serait la première pierre d'une amitié incongrue avec Uraraka.
Encore moins qu'ils allieraient leurs forces pour venir en aide à un dieu-paon égaré.
Et pourtant, le voilà ici, dans le loft d'Uraraka par une belle journée de printemps, à essayer de convaincre ce maudit piaf ─ pardon, leur nouveau protecteur ─ de lui expliquer ce qu'il veut dire par << coule du sang royal dans tes veines >>.
Les choses promettent de devenir de plus en plus bizarres.
#Mha#bnha#my hero academia#boku no hero academia#AoE#ao no exorcist#blue exorcist#todoroki shoto#uraraka ochako#todoroki family#crossover#fanfic#français
2 notes
·
View notes
Text
Psaumes 37
Contraste entre le juste et l’impie
1 De David. 2 Car ils sont fauchés aussi vite que l’herbe, Et ils se flétrissent comme le gazon vert. 3 Confie-toi en l’Éternel, et pratique le bien ; Aie le pays pour demeure et la fidélité pour pâture. 4 Fais de l’Éternel tes délices, Et il te donnera ce que ton cœur désire. 5 Recommande ton sort à l’Éternel, Mets en lui ta confiance, et il agira. 6 Il fera paraître ta justice comme la lumière, Et ton droit comme le soleil à son midi. 7 Garde le silence devant l’Éternel, et espère en lui ; Ne t’irrite pas contre celui qui réussit dans ses voies, Contre l’homme qui vient à bout de ses mauvais desseins. 8 Laisse la colère, abandonne la fureur ; Ne t’irrite pas, ce serait mal faire. 9 Car les méchants seront retranchés, Et ceux qui espèrent en l’Éternel posséderont le pays. 10 Encore un peu de temps, et le méchant n’est plus ; Tu regardes le lieu où il était, et il a disparu. 11 Les misérables possèdent le pays, Et ils jouissent abondamment de la paix. 12 Le méchant forme des projets contre le juste, Et il grince des dents contre lui. 13 Le Seigneur se rit du méchant, Car il voit que son jour arrive. 14 Les méchants tirent le glaive, Ils bandent leur arc, Pour faire tomber le malheureux et l’indigent, Pour égorger ceux dont la voie est droite. 15 Leur glaive entre dans leur propre cœur, Et leurs arcs se brisent. 16 Mieux vaut le peu du juste Que l’abondance de beaucoup de méchants ; 17 Car les bras des méchants seront brisés, Mais l’Éternel soutient les justes. 18 L’Éternel connaît les jours des hommes intègres, Et leur héritage dure à jamais. 19 Ils ne sont pas confondus au temps du malheur, Et ils sont rassasiés aux jours de la famine. 20 Mais les méchants périssent, Et les ennemis de l’Éternel, comme les plus beaux pâturages ; Ils s’évanouissent, ils s’évanouissent en fumée. 21 Le méchant emprunte, et il ne rend pas ; Le juste est compatissant, et il donne. 22 Car ceux que bénit l’Éternel possèdent le pays, Et ceux qu’il maudit sont retranchés. 23 L’Éternel affermit les pas de l’homme, Et il prend plaisir à sa voie ; 24 S’il tombe, il n’est pas terrassé, Car l’Éternel lui prend la main. 25 J’ai été jeune, j’ai vieilli ; Et je n’ai point vu le juste abandonné, Ni sa postérité mendiant son pain. 26 Toujours il est compatissant, et il prête ; Et sa postérité est bénie. 27 Détourne-toi du mal, fais le bien, Et possède à jamais ta demeure. 28 Car l’Éternel aime la justice, Et il n’abandonne pas ses fidèles ; Ils sont toujours sous sa garde, Mais la postérité des méchants est retranchée. 29 Les justes posséderont le pays, Et ils y demeureront à jamais. 30 La bouche du juste annonce la sagesse, Et sa langue proclame la justice. 31 La loi de son Dieu est dans son cœur ; Ses pas ne chancellent point. 32 Le méchant épie le juste, Et il cherche à le faire mourir. 33 L’Éternel ne le laisse pas entre ses mains, Et il ne le condamne pas quand il est en jugement. 34 Espère en l’Éternel, garde sa voie, Et il t’élèvera pour que tu possèdes le pays ; Tu verras les méchants retranchés. 35 J’ai vu le méchant dans toute sa puissance ; Il s’étendait comme un arbre verdoyant. 36 Il a passé, et voici, il n’est plus ; Je le cherche, et il ne se trouve plus. 37 Observe celui qui est intègre, et regarde celui qui est droit ; Car il y a une postérité pour l’homme de paix. 38 Mais les rebelles sont tous supprimés, La postérité des méchants est retranchée. 39 Le salut des justes vient de l’Éternel ; Il est leur protecteur au temps de la détresse. 40 L’Éternel les secourt et les délivre ; Il les délivre des méchants et les sauve, Parce qu’ils cherchent en lui leur refuge.
0 notes
Text
J’ai fait la guerre en blue jeans
Une fille marche. Elle a peut-être 17 ans, 20 ou 25. Elle avance d’un pas sûr, sur une route de campagne bordée de pâturages. Son souffle est saccadé. En fait, elle marche vite. Elle porte sur ses épaules un sac à dos en toile kaki et lanières de cuir, comme ceux qu’on donnait aux hommes pour leur service militaire, dans les années 50. Autour d’elle, rien hors le silence de la campagne, qui est un faux silence: chant d’oiseaux, des abeilles et des cigales, un vent d’après-midi. Bienvenu, le vent qui souffle dans les oreilles et dans les champs, fait s’agiter insectes et hautes herbes, chasse les rayons du soleil. Si écrasant le soleil, qu’on en entendrait presque le bruit.
Ses yeux sont marqués de larges cernes. Elle dort peu ou mal, depuis quelques mois déjà. Elle a retroussé les manches de sa chemise de lin indigo, attaché ses cheveux emmêlés en une queue de cheval négligée. Son visage et ses mains sont tâchés par une substance brune mais pour l’instant, elle n’y prête pas attention. Elle vient d’arriver à une fourche, en haut d’une colline. Un panneau indique l’Est “La Ferté - village 3km” et un autre panneau, dans la direction opposée “Fort de la Ferté 2km”. Elle s’arrête un moment, se dit “On dit toujours de ne pas regarder derrière soi.”. Un moment d’hésitation, si bref, puis elle opère un demi-tour complet: la campagne, à perte de vue. Elle contemple le paysage quelques instants puis tourne les talons et suit la route qui mène à l’Est.
Elle aperçoit maintenant le village au loin et semble contrariée par son apparence. Elle regarde ses mains, les frotte l’une contre l’autre, se penche dans l’herbe pour les essuyer. Mais la substance brune a séché. Elle avise le caniveau, où coule avec peine un filet d’eau claire. Elle y descend, lave ses ongles, lave bien entre ses doigts. La terre et le sang séchés teintent un instant l’eau fraîche puis s’évanouissent, disparaissent avec la nature. Elle lave ensuite son visage. L’eau nettoie ses joues, son cou, ses oreilles. Elle en verse quelques gouttes sur ses paupières closes. L’eau et son clapotis constituent la meilleure chose qu’elle ai connue de toute la journée. Elle sort de sa poche un tissu en coton blanc, le rassemble en une boule qu’elle trempe dans l’eau et porte ensuite au-dessus de sa tête. Elle ouvre la bouche et presse. Un peu d’eau claire s’écoule jusque dans sa gorge. Quelques gouttes seulement mais suffisamment pour reconnaître la saveur infecte de la mort. Elle déglutit, recrache, s’étouffe, tousse, bave, avec désespoir, avec sauvagerie. De sa bouche où elle a introduit ses doigts, elle semble vouloir extraire le goût maudit. Avec rage, elle range le tissu et essuie ses mains dans l’herbe. A grandes enjambées, la voila qui remonte le cours d’eau. Une masse sombre est couchée dans l’herbe, quelques dizaines de mètres plus loin. A mesure qu’elle s’en approche, un bourdonnement emplit l’espace sonore et visuel. Bientôt, les mouches sont partout dans l’air. Elles vrombissent, couvrent le bruit du soleil et fondent sur elle, par vagues. Elle se fraye un chemin, porte sa manche à son nez, suffoque. Un cadavre gît dans le caniveau. C’est le corps d’un garçon de 15 ans. Ses entrailles ont été déversées et l’eau coule à travers lui.
Il y a un arbre seul dans un pré, non loin de là. Elle marche jusqu’à lui, s’assied à son ombre, pose son sac devant elle, entre ses jambes. Elle porte un jean bleu délavé, usé, élimé sous les genoux et des chaussures de marche. Le bourdonnement est encore là dans sa tête. Il lui semble que des mouches l’ont suivie. Ses mains suivent le chemin de son imagination et frappent l’air avec violence. Elle souffle sa détresse, calme sa panique. Son regard se tourne une fois de plus vers le village, à quelques centaines de mètres. La chaleur forme des vagues dans son champ de vision, “Comme au-dessus d’un radiateur dans le frais matin, la fenêtre étant restée ouverte” pense-t-elle. Elle sort de son sac un fragment de miroir, qui étincelle au soleil. L’éclat est petit mais lui délivre le reflet de son visage, par morceaux: elle passe un doigt sur ses cernes. Ses traits sont durs, sa peau brunie par le soleil, ses lèvres sèches. Elle est tatouée dans le cou: un arc tendu, une main pour tendre l’arc, mais pas de flèche. De sa main libre, elle sort de son sac un petit pot d’huile, le pose en équilibre sur son genoux, l’ouvre, et y trempe son index qu’elle fait glisser sur ses lèvres meurtries. Sa tête retombe contre le tronc. Elle ferme les yeux, souffle. Pendant un instant plus rien ne compte que ses narines se dilatant sous l’effet de la chaleur et du repos enfin connu, que sa bouche entrouverte par le soulagement, devant et autour de laquelle vivotent des chagrins lumineux projetés par le miroir. L’arbre au-dessus d’elle est protecteur, elle pose ses mains sur son écorce. Au bout des longues branches, les feuilles bruissent de plaisir.
Cela dure quelques secondes ou quelques minutes, on ne sait pas. On a l’impression qu’elle rêve, qu’elle sommeille, qu’elle est au paradis. Elle pense “Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine, Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.” Brusquement, elle ouvre les yeux et se redresse. Il ne faut pas s’attarder. De ses doigts, avec des gestes vifs, elle coiffe ses cheveux comme avec un peigne, coince quelques mèches folles derrière ses oreilles, essuie les gouttes de sueur qui perlent à nouveau sur son front et dans sa nuque. En hâte, elle range le miroir, range l’huile. D’une dernière caresse, elle salue l’arbre et repart. Vers le village.
4 notes
·
View notes
Text
Je veux vraiment que tu sache que je t'aime du plus profond de mon âme, je suis fou de toi et c'est ma vérité la plus sincère.
J'ai qu'une envie, c'est d'être avec toi dans tes bras, parce que le 29 novembre, avoir été 2 fois dans tes bras, ce n'était pas assez et j'aurais du te demander si je pouvais rester.
Tu ne peux pas savoir à quel point que tu es importante pour moi dans ma vie, t'avoir dans mes bras, ce serait tellement rassurant et protecteur pour moi à la fois.
J'ai tellement besoin de toi si tu savais, tu es la seul que mon coeur aime et la seul que je vois partout, je suis fou dingue de toi.
Si tu venais à partir de ce monde, je ne sais vraiment pas ce que je vais devenir, sans toi, je suis perdu, mon âme disparaitrait comme une étoile s'éteint.
Tu es la personne la plus chère à mes yeux et je ne supporterais pas de te perde.
Je t'aime vraiment trop et je sais que je suis Baka, mais un Baka fou amoureux de toi qui veux seulement être dans tes bras pour toujours.
J'ai trop perdu de temps dans ma vie parce que j'ai été stupide avec mes conneries de jeunesse, j'ai été blessé souvent et je me suis infligé des supplices qui, aujourd'hui me tourmente.
Mon coeur est devenu fragile, mais il est sincère dans tous ce que j'éprouve.
Avec toi, j'ai l'impression d'avoir enfin tout le temps que je désirais avant, tous.... et ce tous c'est toi qui rayonne mes ténèbres de ta lumière trop belle.
Ce temps que tu me donne, je veux seulement le passé avec toi et pour toujours et à jamais.
Je t'aime et tu me manque parce que je suis un gros Baka amoureux de toi.
M + N = --->-->--<3 --->-->--<3 --->-->--<3
Le Corbeau Maudit
0 notes
Text
Bouches
Bouches cousues de fil d'or Muettes comme un étang d'huile coiffé de brume Nuée de cigognes noires obscurcissant le ciel blême de février Partout le silence résonne comme les pas clinquants de la mort boiteuse Endimanchée manteau d'hermine couronne de diamants saphirs et rubis Sceptre d'or sculpté aux orbes du Chaos Et son allure chancelante dansante comme le dernier souffle qui s'égare S'égare entre vos mains tremblantes S'égare dans l'air infini des derniers instants Chacun le sien comme vous savez Chacun sa doucereuse dernière caresse Sous le voile de la peur amoureuse suppliant sa libération Mais... Bouches jadis papillonnantes Extasiées de bonheur de beautés D'où coulait l'amour comme le miel des ruches lourdes du labeur Trente kilomètres pour un gramme Harassant jusque la mort Ces bouches d'où hurlait le plaisir d'exister La suavité d'aimer les bras en croix nu sur une plage de quinze kilomètres à l'autre bout du monde D'un bout à l'autre de nulle part Les bras en croix au bord des falaises normandes le vent fouettant les tempes Les bras en croix dans ses rêves d'enfants devenus doux comme tes caresses sur mon dos Je marchais sous la pluie le long du fleuve irréel La verve au cœur le désir à la main La peur au ventre l'amertume à la bouche Que trouve-t-on à l'embouchure quand il se jette dans la mer Coït explosatoire Ecume chaude comme le creux de tes reins Tourbillons et vagues arrachées comme le soleil déchiré C'est donc ça l'amour... Long périple d'incertitude et de doute avant la rencontre pulsionnelle et inévitable de deux cœurs fendus Deux cœurs ignorants et assoiffées Goutant le sang... Deux âmes égarées dans la forêt hantée de l'amère solitude Ta peau contre ma peau Chaude comme l'été et douce comme les jardins de l'Eden Mes mains dans ta chair molle et suave comme la chair d'un fruit Le sucre coule Coule de ta bouche Yeux écarquillés sous les orbes envoutants des premières extases Ciel immaculé comme un Saint Ciel ouvert sur l'infini Bleu comme un arbre millénaire Ouvert comme l'horizon de nos possibles Et nous irons plonger à la rivière glacée et claire comme tes yeux Nous irons serpenter entre les champs de blés rougeoyants d'or et de feu Courir au bord des falaises d'albâtre Puis... A l'ombre du grand saule ma tête sur ton ventre le regard lumineux Ses grandes branches flottant au vent comme des danseuses Toi sur la chaise longue un livre à la main tes jambes nues au soleil couchant Et ce grand château de sable que jamais la marée n'atteindra combien de temps tiendra-t-il sur cette plage déserte L'épaisseur de mon étreinte sur le quai de la gare un jour maudit d'au revoir Mes larmes sur ta nuque divinement tracée Et les tiennes brouillant ta vue Le mascara qui coule Les mains qui s'arrachent Le train qui part Jusqu'à la prochaine fois... Toi et moi sous le drap de coton Lumière jaune au chant des grillons L'air doux de la nuit par la fenêtre entrouverte qui lentement enveloppe tout Etreinte de bonheur Cathédrale de grès dressée sur les hauteurs de la ville ocre brulante de chaleur Entourée de remparts d'où dépassent les mats chancelants des voiliers Ville aux mille fontaines bleues vertes blanches Cathédrale surplombant la ville comme un ange protecteur Comme un oracle de pureté Bordée de son cimetière aux sépultures de marbre blanc vert et rose Herbes folles et fleurs sauvages entres les pavés rouges Cimetière enveloppé d'un mur blanc immaculé Vue sur la mer L'éternité Mer inégalable d'abnégation Mer caressante et cruelle Dans les ruelles étroites les chats se prélassent Nos pas discrets comme des timbales sourdes Et... Toujours revenants Notre étreinte ravageuse que rien n'éteint que tout allume Sur un cheval blanc et pur comme le Christ nous chevauchons la steppe Nous chevauchons le monde Nous galopons nos extases fières et dénudées Sous les yeux de l'innonence émerveillée A cru vers nulle part tes bras serrés autour de ma taille C'est le plus beau des voyages Le voyage ignoré Vers nulle part que l'odeur du sentiment révélé Vers la grande pyramide d'or et d'ambroisie Récompense de la rédemption de l'impossible étoile Brillant de mille feux sur nos têtes étourdies Sur nos coeurs sûrs et emportés Sur nos âmes survoltées et immortelles Dans nos bouches affamées Et dernière nous toujours se devine une traîne de bonheur consumé Comme de la cendre d'or comme une poussière d'étoile Poussière d'étoile sur les amours intouchables qui dansent ensemble Qui dansent la chanson de tous les extasiés De ceux qui ont touché la grâce L'œuvre ultime que l'homme peut caresser Le hurlement de ton regard et la chaleur de ton étreinte n'en sont que la façade Au dedans c'est un Eden infini et mirifique comme un monde écartelé entre beauté et tendresse De ta bouche à ma bouche Ecartelé Entre passion et exaltation Entre le tout et l'éternité sublime
0 notes
Text
Bonjour je voulais partager avec vous ce petit feuillet avec le psaume du jour :
1 De David. Ne t’irrite pas contre les méchants, N’envie pas ceux qui font le mal.
2 Car ils sont fauchés aussi vite que l’herbe, Et ils se flétrissent comme le gazon vert.
3 Confie-toi en l’Éternel, et pratique le bien; Aie le pays pour demeure et la fidélité pour pâture.
4 Fais de l’Éternel tes délices, Et il te donnera ce que ton cœur désire.
5 Recommande ton sort à l’Éternel, Mets en lui ta confiance, et il agira.
6 Il fera paraître ta justice comme la lumière, Et ton droit comme le soleil à son midi.
7 Garde le silence devant l’Éternel, et espère en lui; Ne t’irrite pas contre celui qui réussit dans ses voies, Contre l’homme qui vient à bout de ses mauvais desseins.
8 Laisse la colère, abandonne la fureur; Ne t’irrite pas, ce serait mal faire.
9 Car les méchants seront retranchés, Et ceux qui espèrent en l’Éternel posséderont le pays.
10 Encore un peu de temps, et le méchant n’est plus; Tu regardes le lieu où il était, et il a disparu.
11 Les misérables possèdent le pays, Et ils jouissent abondamment de la paix.
12 Le méchant forme des projets contre le juste, Et il grince des dents contre lui.
13 Le Seigneur se rit du méchant, Car il voit que son jour arrive.
14 Les méchants tirent le glaive, Ils bandent leur arc, Pour faire tomber le malheureux et l’indigent, Pour égorger ceux dont la voie est droite.
15 Leur glaive entre dans leur propre cœur, Et leurs arcs se brisent.
16 Mieux vaut le peu du juste Que l’abondance de beaucoup de méchants;
17 Car les bras des méchants seront brisés, Mais l’Éternel soutient les justes.
18 L’Éternel connaît les jours des hommes intègres, Et leur héritage dure à jamais.
19 Ils ne sont pas confondus au temps du malheur, Et ils sont rassasiés aux jours de la famine.
20 Mais les méchants périssent, Et les ennemis de l’Éternel, comme les plus beaux pâturages; Ils s’évanouissent, ils s’évanouissent en fumée.
21 Le méchant emprunte, et il ne rend pas; Le juste est compatissant, et il donne.
22 Car ceux que bénit l’Éternel possèdent le pays, Et ceux qu’il maudit sont retranchés.
23 L’Éternel affermit les pas de l’homme, Et il prend plaisir à sa voie;
24 S’il tombe, il n’est pas terrassé, Car l’Éternel lui prend la main.
25 J’ai été jeune, j’ai vieilli; Et je n’ai point vu le juste abandonné, Ni sa postérité mendiant son pain.
26 Toujours il est compatissant, et il prête; Et sa postérité est bénie.
27 Détourne-toi du mal, fais le bien, Et possède à jamais ta demeure.
28 Car l’Éternel aime la justice, Et il n’abandonne pas ses fidèles; Ils sont toujours sous sa garde, Mais la postérité des méchants est retranchée.
29 Les justes posséderont le pays, Et ils y demeureront à jamais.
30 La bouche du juste annonce la sagesse, Et sa langue proclame la justice.
31 La loi de son Dieu est dans son cœur; Ses pas ne chancellent point.
32 Le méchant épie le juste, Et il cherche à le faire mourir.
33 L’Éternel ne le laisse pas entre ses mains, Et il ne le condamne pas quand il est en jugement.
34 Espère en l’Éternel, garde sa voie, Et il t’élèvera pour que tu possèdes le pays; Tu verras les méchants retranchés.
35 J’ai vu le méchant dans toute sa puissance; Il s’étendait comme un arbre verdoyant.
36 Il a passé, et voici, il n’est plus; Je le cherche, et il ne se trouve plus.
37 Observe celui qui est intègre, et regarde celui qui est droit; Car il y a une postérité pour l’homme de paix.
38 Mais les rebelles sont tous anéantis, La postérité des méchants est retranchée.
39 Le salut des justes vient de l’Éternel; Il est leur protecteur au temps de la détresse.
40 L’Éternel les secourt et les délivre; Il les délivre des méchants et les sauve, Parce qu’ils cherchent en lui leur refuge.
(Psaumes 37:1-40 LSG)
0 notes
Text
LES DJINNS
Créatures incorporelles aux mille et uns visages, les Djinns font partie intégrante de la société magique depuis des temps immémoriaux. Il se dit qu’alors, iels étaient capables d’incarner la Mort comme la Compassion, le Feu comme la Glace ; tout puissants, omniscients, l’énergie indomptable était censée le rester jusqu’à ce que les Sorciers s’en mêlent, souillant ceux-là même qui leur avaient offert la Magie. Invoqués pour en tirer des faveurs, enfermés pour leur arracher davantage de pouvoir, pliés aux caprices de leurs geôliers, les Djinns, magnanimes et patients, virent leur espèce disparaître peu à peu. Corrompus par les désirs crasseux des Hommes, iels se sont recréés à leur image, l’âme pure noircie et l’offrande magique devenue mortelle : malédictions tombèrent en masse sur les pécheurs, les profiteurs et les avides. Cette histoire, en tout cas, sera celle que vous entendrez de la bouche de la Divine, les paumes tournées vers le ciel, demandant pardon pour les maux engendrés. Trop tard, pourrez-vous aussi entendre dans le vent. Bien trop tard. Il y a tous les autres récits, multiples, transmis de génération en génération, déformés par les cycles passés. Certains pensent que les fautifs ne sont personne d’autre que les puissants, d’autres s’égarent à assurer qu’iels ont aujourd’hui pris forme et se baladent à leurs côtés, certains encore pensent que les Djinns ont toujours été l’incarnation du Mal. Toute croyance déviant de celle de la Couronne est toutefois considérée blasphématoire, et rares sont ceux qui osent les partager en public. Ceci même quand leurs mensonges sont évidents : le Cycle 624 de l’ère de Naos fut marqué par la déclaration éplorée d’une Monarque assurant l’extinction finale des êtres divins, utilisant le désastre pour rallier et rassembler la population. Éteints, officiellement, oui, mais pourtant toujours là : n’existe-t-il pas, après tout, des trafics liés à leur Essence ? Ne murmure-t-on pas que l’explosion de l’artefact du temps a été causée par le sacrifice d’un Djinn ?
L'IMPACT DE LA RELIGION
L’Institut religieux a été créé durant le Cycle 203 de l’ère d’Hadar, faisant d’une croyance déjà répandue depuis des siècles une organisation bien décidée à prendre le pouvoir. Aujourd’hui, si les mœurs ont évolué, les Djinns gardent une place importante dans la vie de tout sorcier. iels se manifestent de différentes façons, dont par exemple le rituel entourant la naissance d’un enfant, durant lequel il lui est remis une pierre afin de le protéger des créatures. Il n’est pas rare de voir des sorciers prier pour leur bienveillance et leur pardon, espérant ainsi échapper aux difficultés qui pourraient leur être imposées dans leur quotidien — ceci, bien sûr, généralement avant de faire quelque chose d’illégal, immoral ou tout à la fois. Au cas où. Le dogme n’est pas contraint par des règles difficiles à suivre : pas de réunions obligatoires, pas de mantra, pas de restrictions particulières, si ce n’est celles que la Divine du moment aime mettre en place. Cette absence de ligne conductrice rend cependant souvent la Moralité floue ; maudit, un sorcier, soit-il le plus grand médecin de sa génération, sera de facto considéré comme ayant fauté. Hérétique, teinté par le poids de ses erreurs, les Djinns lui auront tourné le dos. Et la société leur emboitera le pas. Entre mythes et réalité, manipulation de masse et foi inébranlable, il ne reste finalement qu’une seule vérité : le Peuple, dans sa plus grande majorité, vénère autant qu’il craint ceux qui les ont bénis puis maudits.
LES PUNITIONS DIVINES
Les Malédictions sont apparues il y a trop longtemps pour que l’on puisse avoir recensé quoique ce soit à leur sujet. On entend cependant bien souvent l’histoire d’un adolescent, âgé d’une quinzaine d’années tout au plus, ayant trahi toute sa famille lors d’une chasse aux sorcières dans l’espoir de s’en tirer. Hissé sur les cadavres de son village, sain et sauf, il put savourer sa victoire pendant quelques jours… Avant de perdre la tête. Assailli de visions, entendant la voix de sa soeur le suppliant de l’aider, croyant voir apparaître d’autres non-mages au pas de sa porte pour lui arracher la vie qu’iels lui avaient laissée ; paranoïaque, reclus, s’adressant plus souvent aux monstres tapis dans l’ombre qu’à ses comparses, oui, il était en vie. Mais à quel prix ? D’autres encore racontent à leurs enfants l’affreuse histoire d’une jeune femme membre d’un Coven, s’essayant à la magie bannie pour communier avec les animaux, finissant par en prendre l’apparence et le comportement. La tête renversée en arrière, chantant son désespoir à la Lune, elle ne reprit jamais forme humaine, répandant sa malédiction avec chaque morsure. Les malédictions peuvent prendre de nombreuses formes, et sont généralement transmises de génération en génération, punissant des lignées entières. Évitées comme la plèbe de peur d’être à leur tour touché par la disgrâce, l'opprobre va parfois jusqu’à briser des unions et des alliances, isolant ceux qui en sont touchés. Ainsi sont nés les Covens, assure-t-on d’ailleurs avec éloquence : enchaînés à la coupable magie noire, iels se sont maudits et la Divine elle-même ne pourrait plus les sauver.
COMMERCE ET DÉRIVES
Malfrats, Coven et fous, dit-on, se saisissent de l’Essence des Djinns pour en tirer du pouvoir ou du profit. Utilisés pour recréer des Pierres brisées, pour insuffler de la vie à un Artefact juré véridique (pas du tout de la contrefaçon !), pour offrir des bijoux protecteurs ou permettant de soi-disant guérir des malédictions, il n’a jamais existé de marché aux créatures éteintes aussi prolifique. Pour certaines organisations en particulier, les Djinns sont devenus leur fond de commerce, et deals peu recommandables autant qu'arnaques sont monnaie courante. Si la plupart de ces échanges sont faits sans finalement arracher quoique ce soit à un Djinn — puisqu’il faudrait déjà pour cela parvenir à en maîtriser un, et la plupart des marchands véreux n’ont ni le temps ni l’envie de s’y essayer —, le marché fonctionne à la demande : pour un bon prix et si l'on ne s'inquiète pas de concept dépassé tel que l'éthique, il est possible de trouver n’importe quoi. Bien sûr, si un Artefact explose à cause d’un produit tout-à-fait-adéquat, personne n’est coupable : c’est écrit en toutes petites lettres en bas du contrat.
0 notes