#Le Wooosh

[lesmiserablesproject]

Time to play spot the wonky anatomy XD

[tezret]

Sir, this is a McDonald’s

Vil, since his white noise machine broke: Rook, could you please make ocean noises so I can go to sleep.

Rook, sitting on a chair next to Vil’s bed: Woosh, hoaaa~ ckkkuu

Vil: a French beach

Rook: …

Rook: le wooosh??

[houkagochemistry]

Tenma: could you make ocean noises so I can sleep faster?

Shinsuke: wooosh

Tenma: …maybe something like a French beach?

Shinsuke:

Shinsuke: le wooosh?

[ladymiraclewings]

Edalyn: "Hooty, make some ocean noises so I can go to sleep."

Hooty: "Woosh hoot-hoot."

Edalyn: "A French beach."

Hooty:...

Hooty: "Le Wooosh??"

[duckiesdoodlesdelight]

Draw your friends as... invaders or even TALLESTS

i  did people who i   do b consider friend  do ba do la le doe 

anyways below th cut is an explanation of th colors

i did red for me, yellow for kiley, and blue for jamie bc… primary colors squad (plus red’s m favorite color)

green for ck because they like cyborg cookie (im p sure ck goes by she/her but i need to double check on m friends pronouns skskljfdlkjkglasjklgdsjlk)

purple for grimm bc……. night raven

ck and grimm r tallest bc theyre fucking giants why are 2 twelve year olds taller than me 

tar’s orange bc they like cinnamon and also i wanted a rainbow and orange is a really great color 

caro’s purpl because   she kins purple charactrs a lot her kintype is purple and tall and yea she does kin tallest purple and thts valid .  she has th pac legs bc  i felt like it 

ok so the antennae dont all really have much meaning but for caros i was like “cowboy lasso go wooosh” jamie and kileys r kind of heart shaped bc theyre kind of close friends (tho jamie isnt as close and tht makes me go waaaaaaaaaaaaa i wana play minecraft w them)

nny ways time to tag them : @cinnakinsss @oh-dinosour @sketches3d annd @2orsomething

idk if grimm or tar have a tumblrino but yea

edit: i  was originally gonna try to  change th names to be more iz-like but like theres no EXACT name rule 

though if i were to make them sound liek they were in th show: 

Kiley would b like... Ki or osmething and Jamie just jam its not tht hard

[journaljunkpage]

SOUS LA TOQUE ET DERRIÈRE LE PIANO #121

Joël Raffier / D.R

Qu’ont en commun le Comptoir de Sèze, restaurant d’hôtel des allées de Tourny, et le Wooosh, restaurant-bar-dancing rue des Piliers-de-Tutelle ? Pas grand-chose si ce n’est la passion qui pousse, chacun de leur côté et à leur manière, Louis Léger et Estelle Douady à aimer ce qu’ils font sans avoir peur de qui ils sont.

Fête de rentrée de Junkpage chez Alriq. Le directeur de l’hôtel de Sèze insiste pour m’inviter dans son restaurant : « Je voudrais vous faire goûter la cuisine du chef, Louis Léger. » C’est toujours délicat de refuser une invitation. Plus délicat encore de dire à quelqu’un qui vous a invité que, bof, ce n’est pas terrible et qu’on n’écrira pas une ligne. Ou pire qu’on écrira quelque chose de négatif. À moins de travailler pour une régie publicitaire : dilemme.

Dilemme léger toutefois. Les repas de presse sont choses communes. L’occasion de découvrir des endroits qu’on n’aurait peut-être pas trouvés dans une ville qui détient le record de France avec à peu près une enseigne pour 280 habitants, ou au contraire de consternantes opérations promotionnelles qui incitent à l’ironie ou au silence.

J’avais un bon souvenir du salon des illustres de l’hôtel de Sèze où j’avais rencontré Bruno Podalydès et le courageux baron de Sèze, juriste des Lumières, dont la dernière plaidoirie a consisté à défendre Louis XVI. Pourquoi alors refuser un repas du chef Louis Léger ?

J’ai été soulagé dès l’entrée. Un petit pavé de saint-pierre dans son bouillon au lait de coco et curry. La qualité du poisson et de sa cuisson, la sauce, jaune discret, et le fumet qui signale la grande cuisine dans la cuillère, m’ont convaincu de conseiller sans scrupule dans la chaussure. L’autre entrée, une poitrine de porc fondante dans sa croûte de sucs marinés, m’a conforté dans ce sens. Ces deux assiettes du menu à 29 € ressemblaient plutôt à des plats qu’à des entrées. Louis Léger travaille ainsi et il a une excellente raison : « Je demande à mes deux cuisiniers d’être autonomes, ce sont eux qui décident pour les entrées et les desserts. On reste cohérent pour le ratio mais sinon je donne carte blanche, chacun son univers et sa créativité. On fait du minimalisme avec des plats en quelque sorte. »

Le mot minimalisme est exagéré. Les portions sont généreuses. « À midi, il n’est pas rare que les dames se contentent d’une entrée et d’un dessert. » Le menu est alors à 21 €. « Un cadeau ! », estime le chef. La clientèle du quartier se presse au déjeuner. Le problème étant différent le soir. Le standing de l’hôtel effraie peut-être et il est moins facile de remplir la salle autrement qu’avec des touristes qui se régalent de foie gras marbré au chocolat et chutney de figues (15 €), de magret de canard et jus à la truffe (24 €) ; « on est obligé d’avoir des plats de la région dans un hôtel, les touristes les demandent, tout comme le tartare de boeuf et la salade Caesar ».

D. R.

Revenons au menu du soir. Le sauté de boeuf thaï n’était peut-être pas assez pimenté mais il était juteux avec une cuisson parfaite sur une purée pour remplacer le riz d’usage. Le financier à la noisette et compotée de banane flambée liqueur de vanille du dessert était spectaculaire mais il y a deux spécialistes en pâtisserie sur trois cuisiniers à l’hôtel de Sèze. La cuisine de Louis Léger et de sa brigade légère est plutôt du genre classicisme novateur. Ce Bordelais de 30 ans ne bouscule pas les leçons post-école hôtelière de Seguin au Relais du Médoc à Lamarque (désormais à la retraite monsieur Seguin a été remplacé) et de Philippe Gauffre (Ma maison à Mérignac) avec lesquels il a appris le respect du produit et une sorte de modestie. « Maîtriser la cuisine, c’est difficile. Se l’approprier, ce qu’on essaie de faire, c’est encore plus difficile. Inventer, tenter des trucs, improviser, c’est très très difficile ».

Au Wooosh, Estelle Douady n’a pas les contraintes d’un hôtel. Elle y est seule avec une carte blanche. Il est bon que cette Landaise tombée dans la marmite quand elle était petite puisse à nouveau s’exprimer autrement qu’avec des soupes et des tartes. Je l’ai connue en mode sourdine au restaurant de La Manufacture Atlantique, mais j’avais entendu dire beaucoup de bien de son travail préalable aux 4 Saisons d’Estelle.

Je suis tombé sur le cul (en fait, une banquette confortable à l’étage de l’ancien Wato Sita). Je m’attendais à un bon repas mais pas à ce point, vraiment. La carte de septembre était grecque, celle de ce mois-ci sera indienne. Elle change chaque mois pour ne pas s’ennuyer. Les plats nommés ci-après ne seront donc plus de saison mais il n’y a aucune raison que le pays de Ganesh l’inspire moins que celui de Dionysos. Je suis même sûr que le meilleur restaurant indien ce mois-ci sera le Wooosh en dépit de son nom bizarre (une exclamation d’admiration dans le milieu de la mode : « Wooosh !!! » mais Estelle n’y est pour rien).

Le meilleur tarama de ma vie, un peu plus épais que d’habitude, les premiers champignons à la grecque depuis le mariage de la Callas, un dakos crétois qui ne ment pas (tomate, feta et olive sur du pain) et la découverte de la recette de fava de Santorin (purée solide de pois cassés). Cette exquise assiette à partager (ou pas) coûte 15 €. La salade de poulpe avec patates (un peu craquantes), herbes fraîches et citron (16 €) et la grillade de gambas au citron avec des jeunes pousses (15,50 €) confirment les goûts d’Estelle Douady. Les herbes, les assaisonnements impeccables, les cuissons simples. Une cuisine qui a de la personnalité, du caractère. Autodidacte.

Autre exemple, mais cette fois pérenne à la carte car c’est un peu sa spécialité, le très japonais tataki de boeuf (18 €), boeuf mariné, à peine saisi et servi froid. Les plats de la carte sont aussi servis en demi-portion à moitié prix. La formule fonctionne depuis décembre 2017 en dépit d’une visibilité réduite, à l’étage, et d’une carte mal mise en valeur sous une enseigne qui évoque plus volontiers un bar qu’un restaurant. Le bar d’ailleurs n’est pas en reste. Les cocktails y sont excellents, par exemple le Kerala’s Jungle (vodka vanille, jus mangue et passion et épices, 8 €), une préfiguration du programme d’octobre.

Dans les deux restaurants du mois, les basiques sont respectés : bon accueil, service attentionné, pain choisi avec soin, salle agréable, bon choix de vins.

Le Comptoir de Sèze 23, allées de Tourny. Ouvert le lundi à midi, tous les jours du mardi au vendredi midi et soir, le samedi soir et le dimanche midi avec un brunch. Réservations 05 56 14 16 12 www.hotel-de-seze.com

Le Wooosh 8, rue des Piliers-de-Tutelle. Ouvert le mercredi de 19 h à 22 h 30 et du jeudi au samedi de 19 h à minuit. Réservations 05 79 80 63 50

[eye-cri]

Zeus: "Dima, make some ocean noises so I can go to sleep."

Aidma: "Woosh."

Zeus: "A French beach."

Aidma:

Aidma: "Le Wooosh??"

[emmaramsaytanniou]

CV

Emmarams.art@gmail.com | www.emmaramsaytanniou.tumblr.com

EDUCATION  

2021 

BA (Hons) Fine Art, Duncan of Jordanstone College of Art and Design, University of Dundee 

GROUP SCREENINGS & EXHIBITIONS

2022

'World of Film International Festival Glasgow'. The Alchemy Experiment. Glasgow

‘Tales of the Unexpected’. Lamb Gallery, University of Dundee. Dundee

'Nature & Culture - International Poetry Film Festival'. Husets Biograf. Copenhagen

‘10th International Video Poetry Festival’. Athens

‘Glasgow Zine Fest Community Shorts’. CCA. Glasgow

‘EuropeNow Film Festival’. Fábrica Braço de Prata. Lisbon

‘SPLICE Film Fest’. Film Noir Cinema, Brooklyn. New York City

'AVIFF, Cannes Art Film Festival’. Cannes

’Alchemy Film and Moving Image Festival’. Hawick

‘Visual Arts Scotland Annual Exhibition 2022′.  Royal Scottish Academy, National Galleries of Scotland, The Mound. Edinburgh

‘Fisura, International Festival of Experimental Film & Video’. Cineteca Municipal de Durango. Durango

‘L'Europe autour de l'Europe, Festival de films européens de Paris’. Cinéma Le Lincoln. Paris

‘Fargo Film Festival’. Fargo, North Dakota

‘Capricorn Film Festival’. Yeppoon, Australia.

‘34th Minimalen Short Film Festival’. Nova Kinosenter. Trondheim

2021

‘Southampton Film Week: Shorts 2021’. Online and MAST Mayflower Studios. Southampton

‘Tāctus, 17th Athens Digital Arts Festival’. Online and Museum of Modern Greek Culture. Athens

'Fine Art IRL Degree Show'. Generator Projects, Wellgate Centre. Dundee

‘Networks // Networks, Primarolia Festival 2021’. Kipos Chartopoiias (Polikentro Conference Center). Aigos

‘Wooosh Graduate Showcase 2021’. Wooosh Gallery. Dundee

‘Graduate Showcase’. University of Dundee. Dundee

'Generator Projects Annual Members' Show 2021'. Generator Projects, Wellgate Centre, Dundee

2020

‘GENERATOR TAKEOVER’. Generator Projects. Dundee

‘Fourth Year Take Over’. Generator Projects. Dundee

‘Message on a Bottle’. 201 Telephone Box Gallery. Strathkinness, Fife

‘Capture – A Digital Photography Exhibition’. Online

2019

‘Be Nice: Response to the Venice Biennale’. Duncan of Jordanstone College of Art and Design. Dundee

‘Mid Term Exhibition’. Duncan of Jordanstone College of Art and Design. Dundee

‘Labyrinth’. Duncan of Jordanstone College of Art and Design. Dundee 

‘Dain Hings’. Wild Rover. Dundee

‘Table for 1’. Duncan of Jordanstone College of Art and Design. Dundee

PUBLICATIONS AND ZINES

‘Books N Buts. Bridging the Gap’. First Publication. 2021. Online and Printed.

‘Silly Zine. Volumes 1, 2 & 5. 2020 & 2021. Online

GAADA. Quarantzine 03. 2020. Online

RELEVANT ART EXPERIENCE

2021. Invigilator, Generator Projects, Dundee.

2020-2021. Student Curatorial Team, The Cooper Gallery, Duncan of Jordanstone College of Art and Design.

2018-2019. Volunteer Activities Room Assistant, NEoN Digital Arts Festival, Dundee.

2018-2019. Invigilator, Wasps Artist Studios, Dundee.

2018. Invigilator, 201 Telephone Box Gallery, Strathkinness, Scotland.

REFERENCES

References can be given upon request

[edwardbarrow]

Au creux de ton visage (Collage original ©️Edward Barrow / Découpé à la main et collé avec beaucoup d’amour) 200€ / Disponible au Wooosh à Bordeaux durant tout le mois de mai! 8 rue Piliers de Tutelle / #lewooosh @le_wooosh #bordeaux #bordeauxmaville #bordeauxbynight #collage #collageart #exposition

[space-transgressor]

Dean a de l'eyeliner

Le 3e frère Winchester devient une dame avec beaucoup d'eyeliner

La première chanson c'est une baston contre des vampires lidl en parlant des Valeurs de la famille et de compter les uns sur les autres

Chorégraphies/20

Dès qu'un ange ou démon arrive : fumée partout

Un démon son seul gimmick c'est "j'ai des rubans noirs et j'hésiterai pas à m'en servir"

Castiel est ténor

Sam tente de faire des blagues. 80% sont nulles

Solo poignant tire-larmes de Castiel

Faux duo ou Dean chante sur la difficulté de la mission pendant que Dieu chante des trucs sur le Plan divin

Vers le 3eme acte Castiel lève les bras et deux grandes ailes d'ange méchaniques se déploient avec un WOOOSH. Le public fait "oooooh"

Y a une bataille avec des démons qui entourent nos héros perchés sur un pilier. Et paf. Spot lumineux étincelant

La dame meurt

actually actually actually to TRULY translate the supernatural experience to a french landscape it could not be a tv show. only one medium truly fits :

SURNATUREL, LA COMEDIE MUSICALE.

[agatheprnn]

Collection Auto-matic pour Wooosh, Chaussures Ligne Créateur et Ligne Bis

Pour la ligne créateur chaussures j’ai choisi de travailler sur une sélection de modèles allant du plat au talon de 10cm. J’ai voulu inclure des spartiates à talons haut, plus th��âtrale.

La ligne bis reprend le même style mais elle est plus simple car elle doit être plus abordable.

--

For the footwear designer line I wanted to work on a selection of shoes going from flats to 10cm heels. I also wanted to include high heeled sandals that are more theatrical then the rest of the collection. 

The second line is based on the same style but simpler, as it has to be more affordable.

[lmdupouy]

Soirée spéciale mexicains 💙 (à Le Wooosh) https://www.instagram.com/p/BuuT0Ypg5C50oqEIr1UzFyzT8o8xJ7rLVTYYj80/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=1w9115gi7yazs

[theloudpedal]

2019 Blancpain GT World Challenge: Sonoma Edition

What’s old is new. At Sonoma Raceway a weekend ago was the stop of the 2019 Blancpain GT World Challenge America, the first time the series, under its new name, has visited the rolling hills of Sonoma. If you are reading this and wondering what is this new series, the good news is its a furtherance of the Pirelli World Challenge continuing its 13th season under the sanctioning of the United States Auto Club (USAC). It’s the first season under the Blancpain sponsorship banner and under management of the Stephane Ratel Organization (SRO). SRO maintains promotion and management of the Intercontinental GT Challenge, Blancpain Endurance Series, Blancpain GT World Challenge Europe, Blancpain GT World Challenge America and Blancpain GT World Challenge Asia. That’s five continents of racing. The history of these events under the Pirelli World Challenge sponsorship was typically the “undercard��� to the main event at many race weekends, such as IndyCar and the WeatherTech SportsCar Championship.

Before the start of the 2019 season SRO presented a detailed plan to establish uniformity across continents in GT racing so that drivers and teams could compete on a truly global scale. Each weekend involves two 90 minute main event races with a total of 6-hours of overall track time per event. Classes are divided between Pro, Pro-Am, Silver and AM. A full description of regulations can be found here.

As with the Intercontinental GT Challenge that raced the California 8 Hours earlier this year Laguna Seca, SRO events follow a pattern of maximum engagement with fans. We have long commended those series that provide opportunities to be up close to the action with the lowest ticket price possible.

However, we digress. Enough talking about the rules and organization. The real reason for paying attention was the line-up of race ready top spec racing machines. Sonoma Raceway is also home to, in our view, the most intriguing and brutish (and…er..British) cars on the track, the K-Pax Bentley Continental GTs. The Porsche 911 GT3 R is also something to behold with its familiar 911 silhouette coupled the most aggressive aero and design features you can find in a racing GT car. Of course the Ferrari 488 GT3s are fun to listen to as they are to look at. On the other hand, the Bentley’s are something on their own. Perhaps it’s because when one thinks of Bentley the initial thought is luxury and fresh leather, or soft suspension to absorb every imperfection on the road #wooosh. That would be a mistake. Bentley has a long history of motorsports achievement and Sonoma’s own K-Pax racing is writing a new chapter in Bentley’s motorsport lineage in North America. The Continental GT3s are not the refined road cars seen cruising your local golf club. They’re big British full backs serving up some attitude. That sound though. They emit a snarling rumble more akin to an all-American big block than a refined British racing machine.

Two Bentleys paired Alvaro Parente/Andy Soucek and Rodrigo Baptista/Max Soulet in the two team cars. Expectations were low as even K-Pax knew that the sweeping and rolling turns of Sonoma were not friendly to the Bentley’s abilities. Exceeding expectations, the Bentleys captured second and third place on Saturday and third place on Sunday with good pit stop strategy and fighting through the field.

It would be breakthrough weekend for the new-gen Porsche GT3 R as Patrick Long and Scott Hargove would take the win for Wright Motorsports. Turn on a television most weekends and somewhere around the world you are likely see Porsche factory driver Patrick Long fighting for a podium or win in a Porsche. It was the first win for the new gen-Porsche the series and not likely to be it’s last this season.

Saturday’s race saw the R. Ferra Motorsport Ferrari 488 GT3 driven by experienced duo Miguel Molina and Toni Vilander take the win on Saturday and finish second on Sunday. R. Ferra Motorsport left Sonoma leading in the driver’s and manufacturer’s championship.

The RealTime Racing Acura NSX GT3 driven by Dane Cameron and Mike Hedlund won the World Challenge America Pro-Am class Saturday with fifth place overall. Dirk Werner and James Sofronas took Pro-Am on Sunday in the GMG Racing 911, finishing sixth overall.

Finally, just to demonstrate the international talent on display in Sonoma, five drivers made the trip directly from Sonoma Raceway to Le Mans after the last race on Sunday: Patrick Long, Matt Campbell, Toni Vilander, Miguel Molina, and Rodrigo Baptista.

In the middle of all the touring car madness was a corral of mostly modern import cars and vans. We’re not well versed in this scene, but we sure as hell enjoy the differing levels of restoration, customization ornamentation and lack of elevation. Please enjoy this gallery from the import corral.

As we were taking in all the racecars in the paddock, something very white and very sporty drove past us and down the row too fast for us to figure out exactly what is was. From the rear, we agreed it had similarities to Aston Martin…but then a little of the newer Porsche DNA maybe??? As we got closer we saw how wrong we were…so very wrong. It was the all new (to us at least) Saleen 1. You can buy this mid-engined, turbocharged 450HP I4 powered aluminum and carbon fiber super car for about $100k. If you’re not inclined to actually own one, Saleen has a way for you to wet your beak without having to sacrifice any precious garage space. They’ve created the Saleen Cup Series that will run on specified Blancpain GT World Challenge America race weekends. 20 equally prepared, track ready Saleen Cup cars will race in 50 minute races with the option to swap out for a second driver (event/season costs can be split between two drivers. Those who want to circulate in this spec super car series, will have to pay the admission price of $42,000 per race weekend, or $168,000 for the whole season.

***Note*** The following gallery also contains cars from other Pirelli racing classes that raced at the three-day event. These other touring cars raced against each other in the GT4 America, TC America, TC America TCR, TC America TC and TC America TCA classes. Please enjoy the gallery!