#Le Goût des autres
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lefilmdujour · 11 months ago
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Le Goût des autres / Agnès Jaoui / France / 2000
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semena--mertvykh · 2 years ago
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Bilan musical 2021-2022
Catégorie Grand n'importe quoi
Effet Covid ou pas, on a été gâtés cette année.
Juste, petite parenthèse : j’adore être emmenée dans des endroits où je n’ai pas l’habitude d’aller, musicalement parlant ; c’est même la raison pour laquelle je continue, année après année, à écouter autant de nouveautés ; si c’est pour entendre ce qui berçait déjà mon adolescence, je vois pas bien l’intérêt d’avoir des oreilles (le premier qui me dit pour les lunettes sort).
Mais quand même. Même moi, il y a des limites à ce que je peux apprécier, en matière de conceptuel. Syndrome pré-dépressif, grosse flemme, envie d’essayer autre chose sans savoir quoi ? Les questions se sont bousculées, dans notre cerveau de vieille gardienne de phare bretonne de 90 ans, pour tenter de comprendre ce gros coup de mou qui semblait avoir saisi une partie de la scène indie, à mesure qu'on empruntait l'autoroute la nationale la départementale le chemin vicinal de l'expérimental relou, en se retenant de ne pas exploser la limitation de vitesse.
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Médaille d'honneur : Lingua Ignota avec The order of Spiritual Virgins
=> vocalises en roue libre + piano grandiloquent. Je savais pas qu’une chanson pouvait faire rire.
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Médaille en chocolat : Lingua Ignota avec Many Hands
=> le délire Retenez-moi je suis en transe se confirme. Tout un album dans la même veine, çà va pas être possible. Et je ne parle pas des clusters frénétiques sur les cordes à vide, en mode Hein, moi, apprendre à jouer ?
Au repêchage : Aya et tout "Im Hole"
=> les morceaux se succèdent, aussi palpitants à écouter que le voisin d’à côté qui fait chauffer son diesel. On se demande à quel moment çà va démarrer. Rien que de taper les titres à rallonge prend la tête. The Only Solution I Have Found Is To Simply Jump Higher vaut quand même le détour, rappelle le Sakamoto aventureux de "B2-Unit" ou "Esperanto".
Lot de consolation : Spirit of the Beehive avec Entertainment ex-aequo avec Tirzah et Colourgrade
=> à quel moment le mot songwriting a disparu du dictionnaire déjà ?
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perduedansmatete · 2 years ago
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je traverse une crise très très grave en ce moment: j'écume toutes les marques de glaces car celles au café ont de moins en moins goût de café, et alors même que j'en avais trouvé une qui faisait pas mal l'affaire les derniers pots achetés ont goût d'eau et ça me crispe atrocement car comment je fais si même les petits plaisirs de la vie ne sont plus des plaisirs ??? s'ils ont goût de l'eau la plus fade du monde ??? j'ai besoin de ma glace au café qui a du goût pour la noyer dans une tonne de chantilly sinon à quoi bon vivre sérieux enfin bref ma vie est terrible encore une fois et je pense qu'on est tous d'accord pour dire que j'ai de vrais combats
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blackswaneuroparedux · 1 year ago
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Wine is not just an object of pleasure, but an object of knowledge; and the pleasure depends on the knowledge.
Sir Roger Scruton, I Drink Therefore I Am
Si tu te souviens bien, il existe cinq bonnes raisons de boire : L'arrivée d'un hôte, la soif présente et à venir, le bon goût du vin et n'importe quelle autre raison.
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"Quand on a tout perdu...
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La beauté, la jeunesse, la gaieté, la santé et le goût de l'amour. Pourquoi désespérer ?... Il reste la tendresse, l'amitié, la beauté du jour. Inexorablement les jours fuient, le temps passe. Mais quand le soleil luit sur nos épaules lasses, moins lourd semble à porter le poids de nos années. Hélas, on ne vit pas tous en Méditerranée !
Bien sûr, l'hiver est triste et la pluie est maussade. Le cœur se sent plus lourd quand souffle la tornade. Mais un rire d'enfant chante par tous les temps. Si le chant de l'oiseau ne revient qu'au printemps, il reste les petits à regarder grandir. Et la rose en bouton qui va bientôt s'ouvrir. Il reste à savourer la jeunesse des autres, plutôt qu'à déplorer la perte de la nôtre. Le bel âge est discret il passe inaperçu, on n'en conçoit le prix, que lorsqu'on l'a perdu. Il ne faut jamais oublier que si nous avons le cœur jeune... Les années n'ont pas d'emprise sur nous.
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~ Katharine Hepburn ~
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peutetreplusblog · 2 months ago
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Comme le vin blanc dans une bouteille avec son éclat transparent, le nectar si goûtu, observer avec délectation ce contenu, et anticiper le goût de cet autre nectar…
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chic-a-gigot · 4 months ago
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Les Modes : revue mensuelle illustrée des arts décoratifs appliqués à la femme, no. 163, juillet 1914, Paris. "Lettre sur la mode: La silhouette actuelle et l'attitude-tango." Francis de Miomandre. Bibliothèque nationale de France
English translation by Google Translate (and edited for relative clarity).
Ma chère amie,
Vous me demandez mon avis sur la mode actuelle, comme ça, simplement?… Voilà bien une idée de femme!… Comme si Fou pouvait professer une opinion sur un pareil sujet, si ondoyant! Tout ce que peut faire un homme de goût, c'est d'admirer ses contemporaines qui passent, et de respecter cet effort martyrisant qu'elles t'imposent pour diversifier à l'infini leur séduisante figure. Je sais que cet effort n'est pas toujours heureux. Mais n'allez pas en incriminer la mode, qui n'y est pour rien. Il y a deux sortes de femmes, celles qui ont du goût… et les autres. Ces dernières ont le génie d'élire parmi les accoutrements du jour celui précisément qui les rendra ridicules.
Il arrive un moment où nous ne remarquons plus combien sont gracieuses les femmes de goût qui portent encore les choses à la mode le mois dernier, mais nous n'avons plus d'yeux que pour leurs malheureuses imitatrices. C'est à ce moment-là qu'une mode est démodée. Il faut la changer.
La question de changer ne se pose pas pour la mode actuelle, puisque sa caractéristique est d'etre au contraire en perpétuelle évolution. Une évolution! que dis-je? un vertige… On n'a pas le temps s'y reconnaitre… Il semble que toutes les les pays soient conviés à nous fournir des motifs d'inspiration sans cesse renouvelés. Et c'est la Perse et bientôt l'Inde, et c'est la Grèce, la Grèce de M. Pierre Loüys, la Grèce à demi orientale d'Alexandrie, et c'est la Turquie et demain ce sera la Chine. Et puis après, on remontera dans le moyen âge. On pillera les musées. La mode actuelle? Ah! bien quinaud celui qui essaierait de s'en moquer! Car il n'aurait pas plutôt achevé sa petite diatribe, si vaine ! que déjà on pourrait lui répondre: « Mais, Monsieur, vous datez, vous vous raillez d'une très vieille chose. Ce que vous trouvez ridicule, il y a au moins quinze jours que nous en avons assez nous-mêmes… » Consultez les caricatures des journaux amusants, et vous serez édifiée. La mode actuelle, qui a le désavantage de coûter très cher à celles qui veulent la suivre, et de les ahurir un peu, a au moins la supériorité d'échapper au ridicule. Elle court si vite!…
Et cependant, me direz-vous, elle existe. On s'habille, que diable ! A vous d'extraire de tout cela la ligne générale, je ne sais pas moi, la synthèse…
Je veux bien. Voyons. Cherchons ensemble. Est-ce la tunique ? Mais non, puisque la bonne moitié des toilettes ne comporte pas de tunique. Est-ce la cape? La cape donne une jolie silhouette, mais que de femmes restent fidèles à des manteaux d'une tout autre forme, et cependant demeurent très dans le train! La note serait-elle donnée par le chapeau? Je veux bien, mais alors lequel? Le petit, le grand, le plat, le large, l'immense, le rond, le roulé en cornet, le lourd ou l'aérien?… Ne cherchez pas plus avant et reconnaissez avec moi que ce qui caractérise la mode actuelle n'est pas tant une ligne plus ou moins souple et gracieuse du vêtement qu'une attitude de la femme qui porte ce vêtement, cette attitude molle, hanchée, abandonnée, douce, passive, un peu veule et que, pour tout dire, j'appellerai l'attitude-tango.
On a souvent dit: « Le ventre s'est beaucoup porté cette année. » Quelle impropriété fâcheuse d'expression! Vous le savez bien, vous qui vous habillez à ravir et vous tenez de même, qu'il n'a jamais été question de ventre, mais qu'il a été énormément question de tango. Or, dans l'exercice de cette danse charmante, et qui, malgré de retentissantes interdictions ecclésiastiques, n'est pas près de disparaître, on se trouve fort souvent le bras en l'air et le talon relevé, portant tout le poids du corps sur un seul côté, ce qui donne aussitôt aux dames un petit air langoureux et vide, une attitude molle et déjetée.
A force de s'adonner à cette danse, nos élégantes ont pris l'habitude de se tenir ainsi dans toutes les autres circonstances de la vie. Et c'est en tanguant qu'elles entrent dans un salon, qu'elles y prennent le thé, qu'elles écoutent les hommes d'esprit, qu'elles regagnent leur automobile, qu'elles essaient leurs robes, qu'elles attendent la balle au tennis, enfin qu'elles vivent.
Rappelez-vous comment elles étaient il y a seulement trois ans. Droites, fières, faisant valoir le moindre pouce de leur taille, et minces, si minces ! C'étaient des Florentines, des reines, d'inaccessibles idoles. Le tango a changé tout cela. Le tango les a humanisées, assouplies, le tango les a brisées.
Il y a même là un profond mystère. Car, enfin, le corset, lui, n'a rien abdiqué de son inflexible nature. Il a beau porter des noms de nixes et d'ondines, de fées, de magiciennes ou de déesses, tout ce qu'on peut dire c'est qu'il commence un peu moins haut pour finir beaucoup plus bas. Et certains ressemblent davantage à des culottes baleinées qu'à des corsets proprement dits. Mais le fait est que cet instrument n'a de suave que le nom et qu'il se compose toujours d'un buse rigide comme un principe, d'agrafes solides comme des crampons et de fanons qui rompent parfois, mais ne plient sous aucun prétexte. Comment une femme aussi farouchement maintenue peut-elle trouver le moyen de se pencher avec une langueur si délicieuse? Comment arrive-t-elle à donner l'impression de n'être, en dessous, couverte que de linons impondérables et de souples batistes? Énigme, vous dis-je. Enigme de courage et d'héroïsme. La femme d'aujourd'hui est cent fois plus étonnante que le jeune Spartiate qui souriait tandis qu'il était dévoré par son renard. Cet adolescent, en effet, personne ne lui demandait dé remuer. Mais la femme à la mode, non seulement elle sourit, mais encore elle va et vient, elle penche le buste à droite et à gauche, elle marche, elle danse, cependant qu'un appareil ingénieux et terrible lui froisse les côtes, lui comprime le ventre, lui lacère les jambes, lui meurtrit les genoux. Que lui importe ? Un sourire d'extase illuminant sa figure enivrée, elle s'avance, désarticulée et engageante, suivant toutes les règles de l'attitude, qui lui donne son grand cachet de chic, de l'attitude-tango.
My dear friend,
You ask me my opinion on current fashion, just like that?… That's a woman's idea!… As if Fou could profess an opinion on such a subject, so undulating! All a man of taste can do is admire his passing contemporaries, and respect this tormenting effort that they impose on you to infinitely diversify their seductive figure. I know that this effort is not always successful. But don't blame fashion, which has nothing to do with it. There are two kinds of women, those who have taste… and those who don't. The latter have the genius to choose from among the outfits of the day precisely the one that will make them look ridiculous.
There comes a time when we no longer notice how graceful the women of taste are who still wear fashionable things last month, but we only have eyes for their unfortunate imitators. That’s when a fashion goes out of fashion. It needs to be changed.
The question of changing does not arise for current fashion, since its characteristic is, on the contrary, to be in perpetual evolution. An evolution! what did I say? a dizziness… We don't have time to relate… It seems that all countries are invited to provide us with constantly renewed sources of inspiration. And it is Persia and soon India, and it is Greece, the Greece of Mr. Pierre Loüys, the semi-eastern Greece of Alexandria, and it is Turkey and tomorrow it will be China. And then afterwards, we will go back to the Middle Ages. We will loot the museums. Current fashion? Ah! very stupid anyone who tries to make fun of it! Because he would not have sooner finished his little diatribe, so vain! that one could already reply to him: “But, Sir, you are dating, you are making fun of a very old thing. What you find ridiculous, we have had enough of it ourselves for at least a fortnight…" Look at the caricatures in the amusing newspapers, and you will be edified. Current fashion, which has the disadvantage of being very expensive for those who want to follow it, and of bewildering them a little, at least has the superiority of escaping ridicule. She runs so fast!…
And yet, you will tell me, it exists. Let's get dressed, damn it! It's up to you to extract the general line from all this, I don't know, the synthesis…
I don't mind. Let's see. Let's search together. Is it the tunic? But no, since a good half of the toilets do not have a tunic. Is it the cape? The cape gives a pretty silhouette, but how many women remain faithful to coats of a completely different shape, and yet remain very in tune! Would the score be given by the hat? I'm willing, but which one? The small, the large, the flat, the wide, the immense, the round, the rolled into a cone, the heavy or the airy?… Look no further and agree with me that what characterizes current fashion is not so much a more or less supple and graceful line of the garment as an attitude of the woman who wears this garment, this soft, hip, abandoned, gentle, passive, a little spineless attitude and which, to tell the truth, I'll call it attitude-tango.
It has often been said: “The stomach has worn a lot this year." What an unfortunate impropriety of expression! You know well, you who dress beautifully and carry yourself the same, that it was never a question of stomach, but that it was very much a question of tango. Now, in the exercise of this charming dance, which, despite resounding ecclesiastical prohibitions, is not about to disappear, one very often finds oneself with one's arm in the air and one's heel raised, carrying the entire weight of one's body, on one side only, which immediately gives the ladies a little languorous and empty air, a limp and lopsided attitude.
By devoting themselves to this dance, our elegant ladies have gotten into the habit of holding themselves like this in all other circumstances of life. And it is while swaying that they enter a salon, that they take tea there, that they listen to men of wit, that they return to their car, that they try on their dresses, that they wait the tennis ball, finally let them live.
Remember how they were just three years ago. Straight, proud, showing off every inch of their waist, and thin, so thin! They were Florentines, queens, inaccessible idols. Tango changed all that. Tango humanized them, softened them, tango broke them.
There is even a deep mystery there. Because, finally, the corset has not abdicated any of its inflexible nature. It may bear the names of nixes and undines, fairies, magicians or goddesses, all we can say is that it starts a little lower and ends much lower. And some look more like boned panties than actual corsets. But the fact is that this instrument is sweet only in name and that it always consists of a nozzle as rigid as a principle, of solid staples like crampons and of baleen which sometimes break, but do not bend under any circumstances. Pretext. How can such a fiercely held woman find a way to bend over with such delicious languor? How does it manage to give the impression of being, underneath, covered only with imponderable lawns and soft cambric? Enigma, I tell you. Riddle of courage and heroism. The woman of today is a hundred times more astonishing than the young Spartan who smiled as he was devoured by his fox. This teenager, in fact, no one asked him to move. But the fashionable woman not only smiles, but also comes and goes, she leans her bust to the right and to the left, she walks, she dances, while an ingenious and terrible device crumples her ribs, compresses her stomach, lacerates his legs, bruises his knees. What does it matter to him? A smile of ecstasy illuminating her intoxicated face, she advances, disjointed and engaging, following all the rules of attitude, which gives her her great stamp of chic, of the tango attitude.
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coovieilledentelle · 29 days ago
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Et pour finir le repas un bon café... Holloween
Pumpkin spice latte
Halloween arrive et vous ne savez pas comment agrémenter la fin de votre soirée d'horreur ? je vous propose de découvrir une recette de Pumpkin spice latte (café au lait au potiron épicé) qui sera totalement raccord avec vos repas d'halloween.
Mélanger votre potiron et votre café est en soit une idée totalement farfelue me direz-vous, ce type de recette fait fureur outre-atlantique et a même été importée pour la saison dans la chaîne de café Starbuck !
Pour préparer cette potion au goût incroyable et étonnant voici la démarche à suivre
Ingrédients:
200ml de lait.
1 cuillère à soupe de purée de potiron (ou autre).
1 cuillère à soupe de sucre de canne en poudre.
Une pincée d'épices à pain d'épices.
Une pincée de vanille moulue.
1 expresso.
De la crème chantilly.
Préparation:
Mélangez la purée de potiron, le lait, le sucre, la vanille et vos épices.
Portez le tout à ébullition en mélangeant régulièrement .
Ajoutez l'expresso et remuer
Ajoutez la crème chantilly et une pince d'épice ou de chocolat en poudre suivant vos goûts.
Votre café aux couleurs d'halloween est maintenant prêt, il ne vous reste plus qu'à déguster.
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au-jardin-de-mon-coeur · 2 months ago
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«Que fais-tu grand-mère, assise là, dehors, toute seule ?
-Eh bien, vois-tu, j’apprends...
J’apprends le petit, le minuscule, l’infini.
J’apprends les os qui craquent, le regard qui se détourne.
J’apprends à être transparente, à regarder au lieu d’être regardée.
J’apprends le goût de l’instant, quand mes mains tremblent, la précipitation du cœur qui bat trop vite.
J’apprends à marcher doucement, à bouger dans des limites, plus étroites qu’avant et à y trouver, en espace plus vaste que le ciel.
-Comment est-ce que tu apprends tout cela grand-mère ?
-J’apprends avec les arbres, et avec les oiseaux,
J’apprends avec les nuages.
J’apprends à rester en place, et à vivre dans le silence.
J’apprends à garder les yeux ouverts, et à écouter le vent.
J’apprends la patience et aussi l’ennui.
J’apprends que la tristesse du cœur, est un nuage, et nuage aussi le plaisir .
J’apprends à passer sans laisser de traces, à perdre sans retenir, et à recommencer sans me lasser.
-Grand-mère, je ne comprends pas, pourquoi apprendre tout ça ?
-Parce qu’il me faut apprendre, à regarder les os de mon visage, et les veines de mes mains, à accepter la douleur de mon corps, le souffle des nuits, et le goût précieux de chaque journée, parce qu’avec l’élan de la vague, et le long retrait des marées.
J’apprends à voir du bout des doigts, et à écouter avec les yeux.
J’apprends qu’il faut aimer, que le bonheur des autres, est notre propre bonheur, que leurs yeux reflètent dans nos yeux, et leurs cœurs dans nos cœurs.
J’apprends qu’on avance mieux, en se donnant la main, que même un corps immobile danse, quand le cœur est tranquille.
Que la route est sans fin, et pourtant toujours exactement là.
-Et avec tout ça, pour finir, qu’apprends-tu donc grand-mère ? »
J’apprends, dit la grand-mère à l’enfant,
J'apprends à être vieille ! »
[ Joshin Luce Bachoux ]
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beluosus · 3 months ago
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Vieil océan, tes eaux sont amères. C'est exactement le même goût que le fiel que distille la critique sur les beaux-arts, sur les sciences, sur tout. Si quelqu'un a du génie, on le fait passer pour un idiot; si quelque autre est beau de corps, c'est un bossu affreux. Certes, il faut que l'homme sente avec force son imperfection, dont les trois quarts d'ailleurs ne sont dus qu'à lui-même, pour la critiquer ainsi! Je te salue, vieil océan! —Lautréamont, Les chants de Maldoror
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chifourmi · 3 months ago
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On est sorties avec mes potes ce soir et c'était une trop chouette soirée... Jusqu'à la fin où l'une de mes potes m'a sorti "franchement t'as parlé avec 3 mecs différents durant la soirée, si j'étais ton mec j'apprécierais pas". Comment vous dire que j'ai eu instantanément envie de pleurer. Pleurer parce qu'elle m'a fait culpabiliser d'un truc qui n'avait pas à me faire culpabiliser. Pleurer pcq ces mecs dès le début je leur disais que j'étais en couple et pas intéressée. Pleurer pcq j'ai essayé de les brancher avec elles dès la première occasion. Pleurer parce que je suis fatiguée. Fatiguée de devoir me justifier. Comment elles peuvent juger sans savoir ce qu'on s'est dit. J'ai aussi envie de pleurer à cause du sexisme qui est ancré bien profondément dans les têtes, même celles des filles. Comment tu peux avoir si peu confiance en ta pote? C'est évident que je n'ai rien tenté ni quoi que ce soit et ça me répugne d'avoir l'impression de devoir me justifier. Elle m'a sorti "je les aurais stoppé direct". Mais cocotte je l'ai fait!!! L'un est parti juste après et les 2 autres respectaient et ça n'allait absolument pas plus loin?? J'étais tellement contente de rencontrer des gens putain et elles m'ont donné un goût amer de tout ça. J'ai aussi sympathisé avec des filles et après je les cherchais partout mais là évidemment mes potes ne se sont rien dit. Je suis tellement fatiguée qu'on voit les femmes comme des grosses putes en manque quand elles PARLENT à un garçon. C'est tellement toxique. Comment on va changer les mentalités si absolument tout le monde pense qu'une femme qui parle à un homme c'est forcément pour de la tchatche?? Elle m'a vraiment dit ça comme si j'avais trompé mon copain, limite avec du dégoût dans la voix. Je suis tellement déçue et énervée en fait, je me sens trahie. J'ai toujours été une girls girl et c'est vraiment un truc que je prends trop mal quand les filles ne le sont pas. Vraiment je suis trop triste j'ai l'impression d'avoir reçu un couteau dans le cœur. J'aime trop le musicien et je ne voudrais pour rien au monde lui faire du mal. Franchement c'est trop injuste ça me fait trop mal au cœur ce qu'elle m'a dit. Et mon autre pote a sorti "mais pourquoi tu le prends si mal?" en sous-entendant que si je le prenais comme ça c'était que quelque part je culpabilisais ou j'avais quelque chose à me reprocher mais non ce qui me fait mal c'est que j'ai senti qu'elles se sont complètement désolidariser de moi à cause de ces 3 mecs random. J'en reviens pas qu'elles m'aient juger sans savoir. Et si je le prends mal c'est pcq je suis ultra sensible aussi??? Bref.
(07/09/2024)
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shakeskp · 26 days ago
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Dans ma vie, j'ai souvent été déçue par les mont-blancs - parce que, je l'avoue, je suis l'Anton Ego des mont-blancs, toujours en quête de la Saveur du Premier - mais je n'avais encore jamais, jamais été déçue comme j'ai été déçue par celui de la boulangerie Aki, rue Ste Anne à Paris, capitale de la France.
Oui, je nomme, j'accuse, je panneau lumineux-ise, parce que ce "mont-blanc" avait toute la saveur d'une hostie qu'on a oubliée au fond d'un tiroir.
Et de rhum. Il y avait du rhum.
Vous savez ce qu'il n'y avait pas ? Du marron. De la châtaigne ! L'ingrédient principal ! Oh, on essaie de vous faire croire que si, on essaie même de vous faire croire qu'il y en a deux couches ! Et puis vos papilles se taisent. C'est le calme plat. Le vide. Ce n'est même pas mauvais, il faudrait qu'il y ait plus de goût pour cela.
Le petit quart de marron glacé sur le dessus brille, moqueur, tandis que vous cherchez désespérément autre chose que la sensation râpeuse de la génoise enrobée de crème. Et du rhum.
N'oublions pas le rhum.
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perdrelacellule · 5 months ago
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Ce que je préfère dans la vie, hormis la gloire et la vengeance, c'est les dentifrices avec des goûts AUTRES que menthol. Qui a décidé que c'était le goût par défaut de tous les dentifrices du monde, sérieux ?
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crimson-veil-rpg · 6 months ago
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CRÉATURES JOUABLES
Bestiaux qui rôdent, se tapissent derrière les masques. Peut-être serez-vous l'un d'entre eux ? Ferez-vous partie des hostiles ou des protecteurs inoffensifs ? Vous ne trouverez ici qu'un aperçu, chaque créature fera l'objet d'une annexe plus détaillée sur le forum, cette liste est non exhaustive et pourrait être amenée à évoluer et grandir au fil du jeu. (tw : meurtres, sang, violence, consommation de sang ou de chair, manipulation) ¨:·. .·:¨ ¨:·. ☾ .·:¨ ¨:·. .·:¨ ¨:·. .·:¨ ¨:·. ☾ .·:¨ ¨:·. .·:¨
BANSHEES
Hostilité envers l'humain * Hostilité envers les autres espèces * Rareté **** Activité : principalement de nuit Regroupement : solitaires
Entités fantomatiques hurlant mélopées funèbres, elles sont les individus qui ont un jour été frappés accidentellement par la faucheuse, alors que cela ne faisait guère partie de leur destin, revenant ainsi à la vie après une expérience de mort imminente. Ces êtres en ont conservé un lien particulièrement fort avec l’au-delà. Simili sorciers protecteurs de clans humains ancestraux, les Banshees perçoivent la mort, la sentent venir. ---------------------------
DRYADES
Hostilité envers l'humain * Hostilité envers les autres espèces * Rareté ** Activité : jour et nuit Regroupement : solitaires ou cercles de trois à dix Dryades
Nymphes des forêts et des landes. Êtres de nature aussi curieux que doux, les Dryades sont pourtant en déclin constant depuis l’aube de l’urbanisation qui dévore chaque jour un peu plus leur habitat naturel. Leurs épidermes se fardent de fleurs et autres feuillages, faisant de ces êtres de véritables écosystèmes vivaces qui ne sont guère de chair et de sang.
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HARPIES
Hostilité envers l'humain **** Hostilité envers les autres espèces *** Rareté ** Activité : jour et nuit Regroupement : nids de trois à douze Harpies
Rapaces avisés à la réputation belliqueuse. Mi-oiseau, mi-humanoïde, leurs ailes puissantes se déploient afin de traquer les proies qu’elles saisissent de leurs serres affutées qui semblent pouvoir tout transpercer. Jadis nommées Sirènes, Érinyes voire Sirin Bird, l’évolution leur a donné une seconde apparence, celle d'humanoïdes dissimulant la bête. L’instinct de chasse et le goût sanglant les borde, avides de violence et d’observer la souffrance dont elles se délectent.
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LYCANTHROPES
Hostilité envers l'humain **** Hostilité envers les autres espèces **** Rareté *** Activité : les nuits de pleine lune Regroupement : solitaires et meutes de deux à vingt Lycans
Malédiction des pupilles de la lune. L’âcre venin d’une monstruosité les a frappés une nuit, gangrenant leurs chairs jusqu’à la lune ronde suivante. Bêtes aux instincts bestiaux qui prédominent sous les effets de l’astre, ils perdent toute conscience de leurs actes lors de leurs transformations en monstruosités mi-hommes mi-loups. Leurs sens demeurent cependant constamment affutés.
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SIRÈNES
Hostilité envers l'humain **** Hostilité envers les autres espèces *** Rareté * Activité : jour et nuit Regroupement : clans de deux à trente sirènes
Aussi surnommées Merrows, Ondines ou Vampires des eaux, elles errent dans l'onde à la recherche d'âmes pour en aspirer la jouvence et ainsi dé-sécher leurs proies sans vergogne. Créatures vicieuses et manipulatrices, elles ont évoluées avec le monde, arpentant en partie les terres afin de mieux saisir leurs proies, qu'elles capturent via de leur charisme. Omniprésentes, il se murmure qu'elles sont plus nombreuses sous l'écume qu'il y a d'êtres humains sur terre.
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STRYGES
Hostilité envers l'humain ** Hostilité envers les autres espèces ** Rareté *** Activité : la nuit Regroupement : solitaires ou nid de deux à vingt Stryges
Goules dévoreuses de macchabées. Gargouilles trônant dans les cimetières et reluquant du haut des églises. Elles se figent une fois l'aube levée en malédiction terrible qui les tourmente. Fardeau qui leur donne un aspect monstrueux aux antipodes des êtres humains qu'elles ont un jour été. La nuit les libère, ôte leurs traits de statue. Peu hostiles, elles se font gardiennes, veillent sur l'humanité.
--------------------------- VAMPIRES
Hostilité envers l'humain **** Hostilité envers les autres espèces ** Rareté *** Activité : la nuit Regroupement : solitaires et clans de deux à douze Vampires
Maîtres des nuits brumeuses. Créatures non mortes et non vivantes arpentant les terres sans jamais trouver repos éternel. La faucheuse est omnisciente dans leurs sillages, en ombre qu'ils laissent en relâchant leurs proies. Buveurs de sang, ils glanent l'ichor encore chaud aux gargues de leurs proies. Rigueur cadavérique qui fascine pourtant l'humain depuis toujours.
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insociablementcompliquee · 3 months ago
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Tout a commencé avec un papillon noir et un cauchemar. Il s’est envolé devant moi, hors de ma portée, et alors j’ai réalisé que rien de tout cela n’était la réalité. Et pourtant je jurais de l’avoir vu, il était sombre, hypnotisant, mal venu. En un battement d’ailes je revoyais tes prunelles. Je t’ai couru après, dans un rêve bien trop réel. Et il s’est volatilisé, comme s’il n’avait jamais existé, fruit d’un fantasme refoulé. Il a disparu et le goût amer de l’échec m’ait apparu. Comme notre union, c’était un fantasme, un peu fantasque, une pauvre idée saugrenue.
Les sourcils froncés, le cœur lourd et l’esprit préoccupé, je suis retournée d’un pas ferme dans le jardin. Le cauchemar m’avait eu, mais ce n’était pas un signe du destin, une simple coïncidence d’un cauchemar et d’un papillon noir. Les abeilles butinaient, les oiseaux s’envolaient, les fleurs fleurissaient. Tout était normal, je n’étais pas folle, pas plus que cette nature frivole. Et le revoilà. D’un coup d’œil, je l’ai aperçu, posé sur le muret. D’un noir profond, comme un mauvais présage.
Il ne volait pas, comme pour m’apprendre une leçon, attendant toute mon attention. Puis d’un battement d’ailes, il s’est envolé, et j’en suis restée hébétée. Un sourire idiot a fendu mon visage : ses ailes étaient d’un noir sans espoir à l’extérieur, et resplendissantes de couleurs à l’intérieur.
Comme une métaphore, j’ai compris que l’amour ne pouvait être compris des autres. Qu’ils ne voyaient pas ce que je te trouvais. Mais que nos cœurs s’étaient envolés, et que pour moi, tu les avaient déployés. Ces ailes multicolores, ces humeurs, ces douleurs. J’ai vu la complexité de tes ailes, sous la pluie et sous le soleil. J’ai eu accès à ton intimité, à ton rire et à ton toucher. Et j’espère de tout mon cœur que malgré les ailes sombres que tu me montres désormais, tu caches quelques part des ailes bien plus élaborées, et que tu les montres à celles et ceux qui sauront les respecter.
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e642 · 3 months ago
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Paralysée par l'angoisse, je suis incapable de faire autre chose que me réveiller, aller au travail, rentrer, me triturer la peau, attendre d'aller dormir, pas dormir. Le tout agrémenté d'innombrables clopes qui me donnent soit la nausée, soit un coup de barre, soit un dégoût de moi-même. J'aime pas le chemin que prend ma vie depuis assez longtemps pour que ça me soit douloureux d'y penser à chaque fois. Je sais que seul moi peut changer certaines choses mais la peur m'écrase les entrailles. J'ai peur de tout. De la douleur, des études, des repas, du sommeil, des relations sociales, de tout ce qui peut exister. Je me répète. Sans cesse. L'impression de ne plus évoluer me fait mal au cœur. J'enchaîne les petites douleurs psychosomatiques, les maux de tout genre, là pour me réveiller à la base, là pour me faire comprendre qu'il y a bien une chose qui cloche au minimum, mais je préfère attendre que ça passe. C'est juste une consécution. C'est bête d'attendre que ça passe quand on a aucune idée de ce qu'on attend. Ça ne partira jamais si je ne fais rien pour que ça parte. Les vacances sont passées en un clin d'oeil furtif. Je ne crois pas avoir eu le temps de rien. Mais si je l'avais eu, j'aurais rien fait pour autant. Donc j'ai peut-être eu du temps sans le savoir, j'en ai seulement tellement rien fait que ça m'a donné la sensation de ne pas en avoir eu. Ce ne sont que des impasses dans lesquelles je m'engouffre. Visiblement m'exprimer, écrire, réfléchir ne m'aident pas, peut-être que c'est parce que je me cache des choses, peut-être que je ne veux pas voir les choses en face. Je me suis connue tellement plus aventureuse et courageuse. J'ai l'impression d'être tombée mais de ne pas m'être relevée immédiatement me créant cette presque phobie de la prochaine chute. Comme si je pouvais y échapper. Le fait est que je crois qu'on n'échappe à rien dans la vie, on retarde uniquement et après on se plaint que c'est violent. Ça n'aurait pas pu en être autrement. Mon inaction est frustrante. J'attends que tout vienne de l'extérieur, que le monde me rejette pour ne pas avoir à rejeter, que le monde me blesse pour ne pas avoir à blesser, que le monde décide pour ne pas avoir à décider. L'urgence est pourtant précisément dans une prise de position. J'ai aussi peur de regretter ou peur de prendre une énergie monstrueuse à décider pour au final ne pas en voir la nuance, ni le changement, ni rien. Ce sont des excuses. Quand je me regarde j'éprouve une telle répugnance, ça ne m'était pas arrivé depuis longtemps. J'aimerais pouvoir mettre un goût de gomme et tout retracer. J'aimerais vraiment.
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