#Langage imagé
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#Expressions idiomatiques#Métaphores#Langage imagé#Proverbes#Figures de style#Expressions populaires#Culture linguistique#Images verbales#Tour de langage#Expressions imagées#Richesse linguistique#Locutions#Colorer le discours#Vives images#Tournures idiomatiques.
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Toujours sur mon autisme potentiel, le truc le plus intéressant je pense, c'est l'influence que ça a sur mon écriture.
Quand je parle à l'oral, j'ai un langage imagé, familier, vivant, soutenu selon la situation. Je m'adapte socialement, si je parle à des élèves, des profs, des inconnus, des gens de mon âge etc.
Quand j'écris, j'ai tendance à aller droit au but. J'aime les silences, je suis assez peu drôle dans mes textes, je ne vise pas l'humour en tout cas. Je ne dirais pas que j'ai une écriture blanche à la Annie Ernaux et j'utilise des images, des métaphores etc, mais mon écriture est plus sèche que mon langage oral en tout cas.
J'apparais comme quelqu'un de social 99% du temps. Je fais des blagues, je parle aisément avec des gens que je ne connais pas, je me mélange bien aux autres etc. Les personnages principaux que j'écris sont souvent des meufs asociales, introverties qui admirent/aiment des filles mille fois plus sociales qu'elle. Ces personnages sont volontairement basés sur moi et pourtant, le paradoxe ne m'a jamais sauté aux yeux.
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"Le langage a cette faculté de dénier, d’oublier, de dissocier le réel : écrite, la merde ne sent pas ; Sade peut en inonder ses partenaires, nous n’en recevons aucune effluve, seul le signe abstrait d’un désagrément. Tel apparaît le libertinage : un fait de langage. Sade oppose foncièrement le langage au réel, ou plus exactement se place sous la seul instance du “réel de langage” […]. Le “réel” et le livre sont coupés : aucune obligation ne les lie : un auteur peut parler infiniment de son œuvre, il n’est jamais tenu de la garantir."
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"Éden, Éden, Éden est un texte libre […]. Guyotat produit […] un élément nouveau […] ; cet élément est une phrase : substance de la parole qui a la spécialité d’une étoffe, d’une nourriture, phrase unique qui ne finit pas, dont la beauté ne vient pas de son « report » (le réel à quoi elle est supposée renvoyer), mais de son souffle, coupé, répété, comme s’il s’agissait pour l’auteur de nous représenter, non des scènes imagées, mais la scène du langage, en sorte que le modèle de cette nouvelle mimésis n’est plus l’aventure d’un héros, mais l’aventure même du signifiant : ce qu’il lui advient."
Roland Barthes.
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ChatGPT passe aux aveux!
Entrez dans l'univers de la littérature classique française avec cette vidéo originale qui allie les mots de Molière, les rimes croisées et la puissance de ChatGPT, le modèle de langage avancé d'OpenAI. Laissez-vous transporter par les tirades enflammées d'Alceste dans "Le Misanthrope" et les jeux de mots subtils d'Harpagon dans "L'Avare", tout en appréciant la beauté des rimes croisées qui rythment ces textes. À travers des rimes croisées et des tirades enflammées, ChatGPT partage avec nous sa vision de la vie et de l'existence, oscillant entre la fascination et le rejet. Vous allez être transportés par cette narration poétique et imagée, qui soulève des questions essentielles sur la place de l'intelligence artificielle dans notre monde. Et pour couronner le tout, une surprise dystopique vous attend à la fin de cette vidéo, qui ne manquera pas de vous étonner ! Cette vidéo est un véritable hommage à la poésie et à la littérature, mais aussi à la technologie avancée de ChatGPT, qui nous permet de découvrir de nouvelles facettes de ces œuvres classiques. Alors, si vous êtes prêts à vous immerger dans le monde de Molière, à explorer les trésors de la langue française et à découvrir les performances étonnantes de ChatGPT, Cliquez sur "Lire" et laissez-vous emporter !
youtube
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Série Ligonier intitulée : "Les paroles difficiles de Jésus".
Manger ma chair, boire mon sang 9/17
Ce sont des paroles difficiles, sans aucun doute. Elles ne le sont pas moins pour les lecteurs de Jean que pour les auditeurs de Jésus. Car pour beaucoup d’entre eux ce jour-là, ce fut trop dur à entendre, alors ils s’en allèrent. Le jour juste avant, Jésus a nourri cinq mille personnes à partir de cinq pains et deux poissons (Jean 6.1-14). Une fois qu’ils furent nourris, ayant joui des bienfaits du miracle de Jésus, le peuple a conclu : « C’est en effet le Prophète qui devait venir dans le monde » et ils décidèrent qu’il devait être roi (versets 14-15). Oh quelle différence entre ces deux journées.
"Jésus leur dit : Amen, amen, je vous le dis, si vous ne mangez pas la chair du Fils de l’homme et si vous ne buvez pas son sang, vous n’avez pas de vie en vous. Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang a la vie éternelle, et moi, je le relèverai au dernier jour. Car ma chair est vraie nourriture, et mon sang est vraie boisson. Celui qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi, comme moi en lui." (Jean 6.53-56)
Que veut dire Jésus par manger sa chair et boire son sang ?
Pour la foule juive, c’était offensant. Après tout, manger le sang est impur selon la loi de Moïse (Lévitique 17.12). Pour les gens d’aujourd’hui, ses paroles peuvent avoir l’air obscures et dérangeantes, même si elles ne sont pas prises littéralement. Bien que nous ne nous éloignons pas à cause d’elles, c’est comme si nous les ignorions dans la pratique.
Jésus nous invite à trouver en lui une nourriture éternelle par la foi.
Le sens des mots de Jésus est trouvé quelques versets plus haut quand Jésus dit quelque chose de similaire. Au lieu de parler de manger de la chair et boire du sang, il dit : « La volonté de mon Père, en effet, c’est que quiconque voit le Fils et met sa foi en lui ait la vie éternelle ; et moi, je le relèverai au dernier jour. » (Jean 6.40).
Jésus utilise un langage imagé pour pointer ses auditeurs vers le véritable instrument de la vie éternelle – la foi en lui seulement.
Jésus nous invite à trouver en lui une nourriture éternelle par la foi.
De la même façon, Jésus a dit "L’œuvre de Dieu, c’est que vous mettiez votre foi en celui qu’il a lui-même envoyé. "
Dans le désert, Dieu a fourni la manne aux Israélites (versets 31-32; Exode 16) et avec ceci leur foi fut mise à l’épreuve. Ils devaient croire que Dieu leur donnerait exactement ce dont ils auraient besoin pour leurs besoins du jour, aussi il leur fut interdit de prendre plus que ce qui était nécessaire chaque jour. La manne préfigurait le pain à venir – Christ. Nous devons croire qu’en lui nous avons tout ce qu’il nous faut. Les mots de Jésus nous amènent à considérer que nous ne pouvons vivre que par lui.
Jésus dit : "Je suis le Pain de Vie" (Jean 6.22)
Les paroles de Jésus nous appellent à nous reposer en lui seul par la foi – Celui qui a versé son sang pour nos péchés et qui est ressuscité des morts pour nous donner la vie éternelle. Il est le vrai pain qui descend du ciel. En lui, nous "goûtons et voyons que le Seigneur est bon" (Psaumes 34.8)
Brian J. Vickers
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◀ 2 MAI ▶ 365 jours pour ranimer la flamme
Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la Terre ; je ne suis pas venu apporter la paix, mais l’épée. Matthieu 10.34
Non pas la paix mais l’épée
Suite à ce verset, Jésus ajoute : « Je suis venu mettre la division entre l’homme et son père, entre la fille et sa mère, entre la belle-fille et sa belle-mère ; (...) Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n’est pas digne de moi ». De prime abord, ces annonces peuvent choquer, mais c’est oublier que Jésus emploie souvent d’un langage imagé pour nous enseigner et nous faire comprendre Ses messages. De surcroît, si on prend cette déclaration au premier degré, on s’aperçoit que le fait de devoir honorer son père et sa mère est en contradiction avec le verset précédent (cf. Exode 20.12). Or Jésus ne peut renier Ses commandements, ni rien de ce qu’Il dit (cf. Nombres 23.19). Dieu est prince et paix, mais à travers le passage de Matthieu 10.34-37, Il parle implicitement des divisions entre les croyants et les non-croyants, du fait que les proches peuvent devenir des ennemis de notre nouvelle identité en Christ. À cela, se rattachent nos liens avec le passé, nos anciennes habitudes et notre vieille nature avec lesquelles il nous faut rompre (cf. Ésaïe 43.18 ; 2 Corinthiens 5.17). Nous sommes de nouvelles créatures dotées d’un cœur nouveau et d’un esprit nouveau, en vertu de quoi nous devons nous séparer spirituellement et parfois physiquement de tout ce qui pourrait voler la paix que Christ nous a offert au sacrifice de Sa vie, nous freiner, nous contraindre, nous empêcher de grandir dans la foi jusqu’à compromettre notre Salut. Il nous faut prendre la décision, quelquefois difficile, mais ô combien nécessaire, de nous éloigner de personnes qui nuisent à notre consécration, s’opposent ouvertement à nos croyances ou nous tirent vers le bas. Notre famille est en Christ. De même, lorsqu’Il marchait sur Terre, Jésus a dit que les Siens étaient ceux qui faisaient la volonté de Son Père, et non pas Sa mère et Ses frères naturels (cf. Matthieu 12.46-50). Ainsi, chaque chrétien né de nouveau et consacré est appelé « fils » ou « fille » de Dieu, et constitue l’Église. C’est pourquoi, nous qui sommes Sa famille, veillons à conserver l’unité et l’amour entre frères et sœurs pour la gloire de Son nom ! S’il est vrai qu’avec l’épée de Sa Parole et l’assistance du Saint Esprit, Dieu met à part et crée une séparation entre Ses enfants et le reste du monde, Il leur épargne ainsi bien des guerres, des souffrances, des tentations, des fardeaux et des blessures inutiles... - Lire plus ici :
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Jacques Lacan, concepteur analytique du stade du miroir.
Le stade du miroir est bel et bien un concept clef qui permet de comprendre en profondeur (la profondeur d’ un reflet ?) la construction progressive que Jacques Lacan va faire de la notion de moi imaginaire et d’ imaginaire du moi ainsi que d’ Imaginaire au sein de la triade RSI. Penchons nous dès lors quelque peu sur cette notion typiquement lacanienne qui nous permettra ultérieurement de mieux comprendre le noeud borroméen.
Le stade du miroir, tel que conceptualisé par Jacques Lacan, représente une pierre angulaire dans sa théorie psychanalytique, offrant une réinterprétation profonde du développement du sujet. Décrivons tout d’ abord quelque peu ce moment développemental. Cette phase, cruciale dans l’édification de la subjectivité, est revisitée par Lacan avec une finesse herméneutique qui puise à la fois dans la psychologie du développement, l’éthologie et la phénoménologie, pour réévaluer le narcissisme freudien sous un nouveau jour. Ce processus, loin d’être une simple fascination pour son reflet, est intrinsèquement lié à la formation de l’identité et à l’émergence du moi chez le jeune enfant. Lacan identifie dans le miroir bien plus qu’une surface réfléchissante : il y voit le théâtre, où plutôt la scène d’une reconnaissance fondamentale, un moment décisif où l’enfant, pour la première fois, se perçoit comme un être séparé et distinct, bien qu’à travers une image qui n’est pas lui. Et c’ est bien parce que cette image n’ est pas lui qu’ une béance de signification va voir le jour et engendrer un débat qui ne trouvera pas de fin tant que le sujet sera pris dans le signifiant. Ce moment de re-connaissance optique, où l’enfant se surprend dans le miroir, se produit généralement entre six et dix-huit mois et marque l’entrée dans l’ordre symbolique. C’est une étape où l’illusion d’une unité et d’une maîtrise corporelle précède la capacité physique réelle de l’enfant à se contrôler, illustrant une anticipation structurante de son devenir.
Cette reconnaissance n’est pas sans ambivalence : elle s’accompagne d’une aliénation fondamentale, car l’enfant s’identifie à une image extérieure à lui, préfigurant ainsi les dynamiques de rivalité, de jalousie et de tension qui caractériseront plus tard les relations interpersonnelles. Lacan, en revisitant le mythe de Narcisse à travers ce prisme, souligne le caractère à la fois constructif et trompeur de l’image miroir, révélant une tension entre le moi et l’alter ego, qui bien que provenant d’une même origine, peinent à se dissocier pleinement. Dès ses premières explorations du stade du miroir, Lacan s’appuie sur les travaux de figures éminentes telles que Wolfgang Köhler et James Mark Baldwin, sans oublier Henri Wallon, précurseur dans l’observation de l’épreuve du miroir. Ces références théoriques enrichissent sa thèse, permettant à Lacan de dessiner une trajectoire où le jeu et la jubilation de l’enfant face à son image miroir révèlent une étape fondamentale dans le développement humain.
L’originalité de Lacan réside dans sa capacité à lier ce moment à une dimension ontologique et libidinale plus large, où la libido n’est plus seulement envisagée comme une énergie circulant dans le corps, mais comme étroitement liée à la prégnance de l’image. Cette perspective offre une nouvelle lecture des identifications humaines où l’assomption d’une image par le sujet déclenche un investissement libidinal complexe, révélant ainsi les fondements imagés de la structure désirante humaine.
Le stade du miroir, loin d’être une simple anecdote développementale, se révèle donc bien évidemment être un concept pivot, éclairant la manière dont l’individu s’insère dans le monde, noue ses premiers rapports aux autres et construit sa réalité psychique. Cette phase inaugure le long processus par lequel le sujet se constitue, se débat et se réinvente dans le langage et à travers les méandres de l’inconscient. On se doit de constater que toute la vie humaine ne sera qu’ un long débat entre le sujet et son image, débat qui ne s’ apaisera que lorsque le sujet deviendra insignifiant, c’ est à dire retournera dans un autre lieu d’ avant le langage qui fait le corps.
Alexandre Bleus
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Qui est-ce que la communication visuelle ? L'art de communiquer par l'image avec des signes. La communication visuelle est l'ensemble des techniques et des moyens utilisés pour transmettre un message par l'image. Elle repose sur la création et l'interprétation de signes visuels, tels que des formes, des couleurs, des symboles, des pictogrammes, des logos, des typographies, etc. Communication visuelle : 3 techniques et des moyens utilisés pour transmettre un message par l'image communication visuelle La communication visuelle est un moyen de communication qui utilise des signes visuels pour échanger des informations. Ces signes peuvent être écrits et/ou imagés, qu'il s'agisse de gestes signés, de couleurs, de variations de couleurs, de nuances, de formes, etc. La communication visuelle peut être utilisée pour communiquer par l'image avec des signes. Les signes plastiques sont les éléments de base du langage visuel. Ce sont un ensemble de propriétés graphiques qui vous permettront à la fois de mettre en forme et produire du sens dans vos productions graphiques. Chaque signe plastique possède un plan d’expression (propriétés graphiques) et un plan de contenu (signifiés). # Qui est-ce que la communication visuelle ? Avantages de la communication effective La communication visuelle a pour objectif de capter l'attention, de susciter l'intérêt, de faire passer un message, de créer une identité, de provoquer une émotion ou une action. Elle peut avoir différentes fonctions : informative, persuasive, esthétique, ludique, etc. →A lire aussi Dell Hymes et le projet de l’anthropologie de la communication La communication visuelle s'applique à différents domaines, tels que la publicité, le graphisme, le webdesign, l'illustration, la photographie, le cinéma, la télévision, etc. Elle utilise différents supports et médias, tels que le papier, l'écran, le mur, le textile, etc. ## Communiquer par l'image avec des signes Modèle de communication transactionnelle L'image est un langage universel qui permet de communiquer avec un large public. Elle peut être plus efficace qu'un texte pour faire passer un message rapidement et simplement. Elle peut aussi être plus expressive et créative qu'un texte pour susciter des émotions et des sensations. Pour communiquer par l'image, il faut utiliser des signes visuels qui ont un sens et qui sont compréhensibles par le destinataire du message. Un signe visuel est un élément graphique qui renvoie à un concept ou à une idée. Il peut être de trois types : - Un signe iconique : c'est une représentation figurative d'un objet ou d'une situation réelle. Par exemple, une photo d'un chat est un signe iconique qui renvoie à l'animal. - Un signe symbolique : c'est une représentation abstraite d'un concept ou d'une valeur. Par exemple, une croix rouge est un signe symbolique qui renvoie à l'idée de secours. - Un signe indexical : c'est une représentation qui indique une relation de cause à effet ou de présence à absence. Par exemple, une empreinte de pas est un signe indexical qui renvoie à la trace d'un passage. Pour créer des signes visuels efficaces, il faut respecter certains principes : QU EST CE QUE LA COMMUNICATION VISUELLE_Page_02 - La pertinence : le signe doit être adapté au contexte et au public visé. Il doit correspondre au message et au ton souhaités. - La lisibilité : le signe doit être clair et simple. Il doit éviter les ambiguïtés et les confusions. - La cohérence : le signe doit être en harmonie avec les autres signes utilisés dans la même communication. Il doit respecter les codes et les conventions du domaine concerné. - L'originalité : le signe doit être créatif et attractif. Il doit se démarquer des autres signes existants et susciter la curiosité. La communication visuelle est donc un art et une science qui nécessite de maîtriser les techniques et les règles de la création et de l'interprétation des signes visuels. Elle permet de communiquer efficacement par l'image avec des signes.
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Qui est-ce que la communication visuelle ? L'art de communiquer par l'image avec des signes. La communication visuelle est l'ensemble des techniques et des moyens utilisés pour transmettre un message par l'image. Elle repose sur la création et l'interprétation de signes visuels, tels que des formes, des couleurs, des symboles, des pictogrammes, des logos, des typographies, etc. Communication visuelle : 3 techniques et des moyens utilisés pour transmettre un message par l'image communication visuelle La communication visuelle est un moyen de communication qui utilise des signes visuels pour échanger des informations. Ces signes peuvent être écrits et/ou imagés, qu'il s'agisse de gestes signés, de couleurs, de variations de couleurs, de nuances, de formes, etc. La communication visuelle peut être utilisée pour communiquer par l'image avec des signes. Les signes plastiques sont les éléments de base du langage visuel. Ce sont un ensemble de propriétés graphiques qui vous permettront à la fois de mettre en forme et produire du sens dans vos productions graphiques. Chaque signe plastique possède un plan d’expression (propriétés graphiques) et un plan de contenu (signifiés). # Qui est-ce que la communication visuelle ? Avantages de la communication effective La communication visuelle a pour objectif de capter l'attention, de susciter l'intérêt, de faire passer un message, de créer une identité, de provoquer une émotion ou une action. Elle peut avoir différentes fonctions : informative, persuasive, esthétique, ludique, etc. →A lire aussi Dell Hymes et le projet de l’anthropologie de la communication La communication visuelle s'applique à différents domaines, tels que la publicité, le graphisme, le webdesign, l'illustration, la photographie, le cinéma, la télévision, etc. Elle utilise différents supports et médias, tels que le papier, l'écran, le mur, le textile, etc. ## Communiquer par l'image avec des signes Modèle de communication transactionnelle L'image est un langage universel qui permet de communiquer avec un large public. Elle peut être plus efficace qu'un texte pour faire passer un message rapidement et simplement. Elle peut aussi être plus expressive et créative qu'un texte pour susciter des émotions et des sensations. Pour communiquer par l'image, il faut utiliser des signes visuels qui ont un sens et qui sont compréhensibles par le destinataire du message. Un signe visuel est un élément graphique qui renvoie à un concept ou à une idée. Il peut être de trois types : - Un signe iconique : c'est une représentation figurative d'un objet ou d'une situation réelle. Par exemple, une photo d'un chat est un signe iconique qui renvoie à l'animal. - Un signe symbolique : c'est une représentation abstraite d'un concept ou d'une valeur. Par exemple, une croix rouge est un signe symbolique qui renvoie à l'idée de secours. - Un signe indexical : c'est une représentation qui indique une relation de cause à effet ou de présence à absence. Par exemple, une empreinte de pas est un signe indexical qui renvoie à la trace d'un passage. Pour créer des signes visuels efficaces, il faut respecter certains principes : QU EST CE QUE LA COMMUNICATION VISUELLE_Page_02 - La pertinence : le signe doit être adapté au contexte et au public visé. Il doit correspondre au message et au ton souhaités. - La lisibilité : le signe doit être clair et simple. Il doit éviter les ambiguïtés et les confusions. - La cohérence : le signe doit être en harmonie avec les autres signes utilisés dans la même communication. Il doit respecter les codes et les conventions du domaine concerné. - L'originalité : le signe doit être créatif et attractif. Il doit se démarquer des autres signes existants et susciter la curiosité. La communication visuelle est donc un art et une science qui nécessite de maîtriser les techniques et les règles de la création et de l'interprétation des signes visuels. Elle permet de communiquer efficacement par l'image avec des signes.
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Mes 32 albums préférés de 2022 classés selon leurs pochettes (2 sur 4)
23. Marie-Gold - Bienvenue à Baveuse City
(rap queb, hyperpop)
Définitivement un des albums que j'ai le plus écouté cette année. Excessivement l'fun, coloré et très catchy! ✨ Encore une fois, c'est assurément intentionnel que cette pochette soit laide. Ça se veut kitsch et cheapette, comme la star que personnifie Marie-Gold dans l'album, toutefois, le résultat n'est pas très attirant. Trop de trucs qui sont lancés mais pas grand chose qui collent...
Marie-Gold - La Presse (Baby Girl
22. Soul Glo - Diaspora Problems
(hip-hop, hardcore punk)
Difficile de trouver un album paru en 2022 qui aie attaqué la scène hardcore punk avec autant de mordant et de conviction que ''Diaspora Problems''. Cette pochette se marie bien à l'album, le visuel est trash et à priori pêle-mêle, à l'image de la musique chaotique de Soul Glo, mais étant donné que c'est difficile de repérer rapidement les éléments qui le compose, je pense qu'il manque de force et d'efficacité.
Soul Glo - Driponomics
21. Sloan Lucas - Oh shit sorry
(rap queb, féministe)
Pas loin de la découverte de l'année pour moi, Sloan Lucas offre un EP de hip-hop catchy sans faille. Elle livre des textes arrogants, intelligents et revendicateurs, mais elle le fait avec un style nonchalant et sarcastique, qui la rend immédiatement mémorable. La pochette de ''Oh shit sorry'' n'a rien d'extraordinaire, esthétiquement elle est même plutôt moche. Mais le collage de faces dégoutées complimente bien la vibe provocante-mais joueuse du projet.
Sloan Lucas - Party poop
20. Wet Leg - Wet Leg
(indie rock, post punk)
Solide première offrande de la part du duo indie rock anglais, cet album regorge de hits tout aussi catchy que quirky.
La pochette est assez simpliste, mais elle n'est pas mauvaise. Le simple fait que les filles soient de dos contribue à rendre le visuel plus intéressant, plus secret.
Wet Leg - Ur Mum
19. Zeal & Ardor - Zeal & Ardor
(black metal, blues)
Encore une fois, Zeal & Ardor arrive à habilement combiner black metal, blues et gospel afin de produire un album qui semble tout droit sortir d'un cauchemar western. Cependant, cette pochette laisse à désirer. Leurs autres covers étaient eux aussi minimalistes, mais soit ils utilisaient un symbolisme particulièrement clever et efficace, ou bien ils utilisaient une palette de couleur qui venait clasher avec les covers traditionnels du genre. Cette fois-ci, le cover manque d'impact.
Zeal & Ardor - Golden Liar
18. Brutus - Unison Life
(rock, post hardcore)
Le groupe belge livre ici un troisième opus aussi fort que les précédents. Évitant de tomber dans le piège de se ramollir avec le temps, le trio profite à nouveau des talents de Stefanie Mannaerts, leur drummeuse/chanteuse qui s’époumone sur chaque morceau, afin de livrer des tracks lourdes et énergiques. Le cover qui accompagne cet album fait bien sa job. Dynamique dans sa sobriété, il promet un projet habile et soigneusement composé. Toutefois, il ne passera sans doute pas à l'histoire.
Brutus - Dust
17. 070 Shake - You Can't Kill Me
(psychedelic hip-hop, r&b)
Comme l'album précédent de la chanteuse, ''You Can't Kill Me'' se traverse comme un voyage psychédélique, émotif et texturé.
Je ne crois pas que la pochette rende justice aux couleurs intergalactiques que la production suggère , toutefois, le rendu gâché de la peinture se prêtre bien au thème d'autodestruction abordé par l'artiste et le tout est assez efficace.
070 Shake- Cocoon
16. SeinsSucrer - Pushe le whipe
(rap queb)
J'étais réticent en écoutant ce projet là pour la première fois, je trouvais que la voix et les tics de langage de SeinsSucrer étaient un peu trop inspirés du rappeur américan Westside Gunn. Toutefois, SeinsSucrer a du charisme et ses textes crus et imagés ont finit par me charmer.
Du côté de la pochette, on est à mi-chemin de ma liste et on commence tranquillement à arriver à des œuvres qui me plaisent. Celle-ci ne présente pas de caractéristiques tant iconiques, mais le style illustratif aux proportions cartoonesques colle bien avec ce style de rap.
SeinsSucrer - Le finest piff
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#album cover#marie-gold#soul glo#sloan lucas#zeal & ardor#brutus#wet leg#070 shake#seinssucrer#rap queb
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L’honnêteté et la rigueur de la démarche freudienne par rapport à ce qui aujourd’hui se couvre du nom de "science", et qui en arrive à cette aberration d’une scission de l’opinion entre ceux qui "croient en la science", qui "croient en la médecine" (comme si c’était équivalent…) et ceux qui n’y croient pas…
La science n’est pas la religion. Mais que veut dire "croire"?
«Ajoutons cependant quelques mots de commentaire critique.
On pourrait me demander si et dans quelle mesure j’adhère moi-même à ces hypothèses. À cela je répondrai: je n’y adhère pas plus que je ne cherche à obtenir pour elles l’adhésion, la croyance des autres. Ou, plus exactement, que je ne saurais dire moi-même dans quelle mesure j’y crois. Il me semble qu’on ne doit pas faire intervenir en cette occasion le facteur affectif. On peut s’abandonner à un raisonnement, en suivre le déroulement jusqu’à l’extrême limite, et cela uniquement par curiosité scientifique ou, si l’on préfère, en avocat du diable, sans pour cela se donner au diable. Je reconnais que la troisième étape de la théorie des instincts, dans laquelle je m’engage ici, ne peut pas prétendre à la même certitude que les deux premières, c’est-à-dire l’élargissement de la notion de sexualité et la constatation du narcissisme.
Dans ces deux derniers cas, nous n’avons fait que donner une traduction théorique de l’observation, traduction qui pouvait bien être entachée d’erreurs, lesquelles, dans une certaine mesure, ne dépassent pas celle qui s’observe dans la moyenne des cas. Certes, la théorie du caractère régressif des instincts repose, elle aussi, sur des matériaux fournis par l’observation, et notamment sur les faits se rattachant à la tendance à la répétition. Mais il se peut que j’aie exagéré la valeur et l’importance de ces matériaux et de ces faits. Il convient toutefois de faire remarquer que l’idée que nous avons essayé de présenter ici ne laisse pas développer autrement qu’en greffant des hypothèses sur les faits et en s’écartant ainsi, plus souvent qu’on ne le voudrait, de l’observation proprement dite. On sait que les résultats qu’on obtient de la sorte sont d’autant moins certains qu’on recourt plus souvent à ce procédé, sans qu’on puisse indiquer avec précision le degré de l’incertitude. Dans les travaux de ce genre je ne me fie pas beaucoup à ce qu’on appelle l’intuition ; pour autant que je puisse juger, l’intuition m’apparaît plutôt comme l’effet d’une certaine impartialité de l’intellect.
Malheureusement, on n’est pas souvent impartial, lorsqu’on se trouve en présence des choses dernières, des grands problèmes de la science et de la vie. Je crois que dans ce cas chacun est dominé par des préférences ayant des racines très profondes et qui, sans qu’il s’en doute, dirigent et inspirent ses
spéculations. En présence de toutes ces raisons de se méfier, il ne reste à chacun de nous qu’à adopter une attitude de calme bienveillance à l’égard de ses propres efforts intellectuels. Et je m’empresse d’ajouter que cette attitude critique à l’égard de soi-même ne comporte nullement une tolérance particulière et voulue à l’égard d’opinions divergentes. On doit repousser impitoyablement les théories qui se trouvent en contradiction avec l’analyse la plus élémentaire de l’observation, et cela tout en sachant que la théorie qu’on professe soi-même ne peut prétendre qu’à une exactitude provisoire.
Pour porter un jugement sur nos spéculations relatives aux instincts de vie et aux instincts de mort, on ne doit pas se laisser troubler par les processus étranges et ne se prêtant pas à une description concrète dont nous parlons, tels que le refoulement d’un instinct par un autre ou le déplacement d’un instinct qui, abandonnant le Moi, se dirige vers l’objet. C’est que nous sommes obligés de travailler avec les termes scientifiques, c’est-à-dire avec le langage imagé de la psychologie elle-même (ou, plus exactement, de la psychologie des profondeurs). Sans le secours de ces termes et de ce langage, nous serions tout à fait incapables de décrire ces processus, voire de nous les représenter.
Sans doute, les défauts de notre description disparaîtraient, si nous pouvions substituer aux termes psychologiques des termes physiologiques et chimiques. Ceux-ci font certes également partie d’une langue imagée, mais d’une langue qui nous est familière depuis plus longtemps et est peut-être
plus simple.
En revanche, nous devons bien nous rendre compte que ce qui augmente dans une mesure considérable l’incertitude de nos spéculations, ce sont les emprunts que nous sommes obligés de faire à la science biologique. Il est vrai que la biologie est le domaine de possibilités indéfinies, une science dont nous sommes en droit d’attendre les explications les plus étonnantes, sans que nous puissions prévoir les réponses qu’elle pourra donner dans quelques dizaines d’années aux questions que nous posons. Ces réponses seront peut-être telles que tout notre édifice artificiel d’hypothèses s’écroulera comme un château de cartes. Mais s’il en est ainsi, serait-on tenté de nous demander, à quoi bon entreprendre des travaux dans le genre de celui-ci et les livrer à la publicité ? Eh bien ! je suis obligé d’avouer que quelques-uns des enchaînements, rapports et analogies établis ici m’ont paru dignes d’attention…»
(…)
« Nombreuses sont les questions
qui se rattachent à ce sujet et auxquelles il est encore impossible de répondre.
Il convient d’être patient et d’attendre qu’on soit en possession de nouveaux moyens de recherche, de nouvelles occasions d’études. Mais il faut aussi être prêt à abandonner une voie qu’on a suivie pendant quelque temps, dès qu’on s’aperçoit qu’elle ne peut conduire à rien de bon. Seuls les croyants qui demandent à la science de leur remplacer le catéchisme auquel ils ont renoncé, verront d’un mauvais oeil qu’un savant poursuive et développe ou même qu’il modifie ses idées. C’est à un poète que nous nous adressons pour trouver une consolation de la lenteur avec laquelle s’accomplissent les
progrès de notre connaissance scientifique:
«Was man nicht erfliegen kann, muss man erhinken...Die Schrift sagt, es ist keine Sünde zu hinken.»
«Ce à quoi on ne peut atteindre en volant, il y faut y atteindre en
boitant... Il est dit dans l’Écriture que boiter n’est pas un péché.»
Sigmund Freud, Au-delà du principe de plaisir
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Cherche domi à distance
Cher abonné des 4 coins de la francophonie, Tu kiffes ma page, mon langage imagé. Je fais appel à toi. Si tu l’esprit vicieux ou que tu veux apprendre à l’avoir, que tu kiffes sentir un soumis humilié, se sentant honteux, avili et le conditionner, ce message est pour toi : Je cherche en ce moment un domi à distance car je suis en méga chaleurs. Aborde-moi, pose moi tes questions, explique moi ce que tu aimes.
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Quelle belle idée d’adapter la pièce de théâtre écrite par Fabien Cloutier en bande dessinée 😃🍗 Les illustrations de Paul Bordeleau sont parfaites et la nouvelle vie donnée à l’œuvre est vraiment réussie. Lue d’un trait 💛 Celles et ceux qui aiment déjà l’univers du dramaturge retrouveront avec bonheur son «langage du peuple» imagé, ses personnages un peu paumés qui rêvent de mieux avec, évidemment, leurs plans douteux 😉
12/10/20
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Jésus nous garde des loups
« Voici, je vous envoie comme des brebis au milieu des loups ; soyez donc prudents comme les serpents et simples comme les colombes. » Matthieu 10:16
Le divin Maître qui a créé chaque espèce d'animal avec des caractéristiques particulières, utilise un langage imagé afin que Ses disciples puissent comprendre et retenir plus facilement Son enseignement.
L'analogie a ses limites mais elle est suffisamment claire pour permettre la transmission de la pensée de Dieu.
Les brebis ont besoin d'un berger. Elles lui appartiennent et obéissent à sa voix même si elles sont invitées à prendre un sentier où le danger les guette. Il faut donc qu'elles soient prudentes tels des serpents sur leur garde et simples comme des colombes qui ne sont pas dans la ruse, la séduction ou l'habileté à tromper.
Une prière pour aujourd’hui
Seigneur, aide-moi à ne pas reculer quand Tu m'envoies vers les loups. Garde moi et accorde-moi Ta sagesse pour que je puisse être un témoin de Ta grâce. Amen
( Toutes les pensées quotidiennes sur : *viechretienne. net/pensee-du-jour* ). ☀️réduire l'espace entre le "point" et le "net"☀️ dans votre barre d’adresse.
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◀ 19 AVRIL ▶ 365 jours pour ranimer la flamme
Si ta main droite est pour toi une occasion de chute, coupe-la et jette-la loin de toi ; car il est avantageux pour toi qu’un seul de tes membres périsse, et que ton corps entier n’aille pas dans la géhenne. Matthieu 5.30
Se séparer de ce qui nous fait pécher
Le verset n’est ni un conseil ni un ordre de Dieu, c’est simplement une illustration de la pensée de Dieu concernant l’attitude directe et sans compromis à tenir face au péché. En effet, si nous devions nous couper la main, le geste serait certes définitif et radical, mais serait aussi considéré par la majorité des gens comme un acte extrême, fou et disproportionné. À coup sûr, on nous prendrait pour des dégénérés, des fanatiques... Cette façon de faire « barbare » choquerait beaucoup de monde et ferait fuir ceux qui veulent s’approcher du Dieu miséricordieux, riche en bonté et lent à la colère... Lorsqu’Il marchait sur Terre, Jésus a souvent utilisé un langage imagé pour que Son message soit accessible à tous, comme c’est le cas pour le verset de cette méditation. C’est donc sous la forme d’une métaphore qu’Il nous avertit et nous conseille ici d’être tranchants et intolérants avec tout ce qui pourrait nous faire chuter. Ainsi, que ce soit un lieu, un environnement, des personnes, des convoitises, des objets (ordinateur, téléphone, téléviseur, jeux, etc.), susceptibles de, tôt ou tard, nous faire pécher, il est fondamental et salutaire de nous en éloigner ou nous en protéger sans compromis et rapidement. Les mauvaises compagnies corrompent les bonnes mœurs et certains sentiers sont des pièges pour notre âme (cf. 1 Corinthiens 15.33 ; Proverbes 22.25). Fuyons les tentations, les séductions, tout ce qui pourrait souiller notre corps, notre santé physique et spirituelle, notre réflexion, notre mentalité ! Éloignons-nous volontairement de tout ce qui pourrait voler nos dons, notre temps, notre intégrité, notre énergie, notre détermination, notre pureté, notre lumière... Tournons le dos à tout ce qui pourrait attrister le Saint-Esprit, affaiblir notre foi, endurcir notre cœur par la séduction du péché et tragiquement nous détourner de Dieu (cf. Hébreux 3.12). Certes, ce n’est pas par nos propres forces que nous pouvons nous libérer du péché, car c’est Dieu qui délivre parfaitement par Son Esprit, néanmoins, nous avons notre part à faire. Dès lors, si nous jouons avec le feu, alors nous multiplions les risques de brûlure. C’est pourquoi, soyons fermes et résolus afin de remporter le prix de la course et ne pas être disqualifiés aux portes du Royaume des Cieux ! - Lire plus ici :
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“Miss Gladys sourit, de ce sourire mystérieux qui donne aux hommes l'irrésistible envie de savoir de quelle couleur sont les poils de sa chatte.”
L'intrigue de ce tome 141 des aventures de San Antonio, écrit en 1989, tient si bien la route que, une fois n'est pas costume de Fillon, elle prend presque le dessus sur le style et les digressions toujours aussi fantastiques du grand maitre Dard. Ça part d'un gazier qui clamse entre les jambes d'une prostipute après avoir découvert une lettre introduite dans le coffre supposé inviolable de sa banque et ça en arrive à un rocambolesque pataquès de vengeance familiale avec des microprocesseurs japonais dedans. Tu te surprends à vouloir toi aussi comprendre la clé du mystère au chocolat et c'est aussi ludique que passionnant à suivre.Mais on va pas se raconter des craques, ce sont évidemment les passages les plus croustillants qui captent ton attention avec le plus de réussite et on retiendra à ce propos l'idée absolument démente de l'institut d'éducation sexuelle créé par Bérurier dans sa campagne normande. Les cours que prodiguent le gros avec son langage dantesque et fort imagé, constituent un véritable chef d’œuvre de la littérature érotico-porno-trash argotisée. Et l'apparition du président de la République François Mitterrand qui vient taper la discute de nuit chez San Antonio, provoquant chez le directeur de la PJ, le vieux Achille, une crise de lèche-bottisme aigue, ça vaut aussi son pesant de cacahuètes salées et grillées à sec.Bref, encore un chouette moment passé en compagnie de l'inénarrable San Antonio et ses amis.
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