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Mikro-Test für meine Lesung aus meinem Krimi „Der Fluch von Eddessen“ im Lesegarten der Landesgartenschau Höxter am 6. Juli. Schön war’s! Fanden auch die rund 30 Zuhörer, wie sie mir im Anschluss beim Bücher kaufen erzählt haben. So kann es weitergehen!!
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La frontière rhénane
Stratification du paysage
Le Rhin est aujourd’hui considéré comme une frontière administrative mais est au cœur d’un paysage commun plus large.
Le long du fleuve, se déploient des entités paysagères fortes qui se répondent de part et d’autre : la forêt de la Hardt, les reliefs de la Forêt-Noire et des Vosges, les plaines agricoles, les infrastructures industrielles, le Grand Canal d’Alsace, le Rhin et ses forêts alluviales. Ces marqueurs paysagers séquencent la plaine entre Mulhouse, Bâle et Fribourg, territoire élargi de notre étude.
Au cœur de ce paysage stratifié, le Rhin n’est plus que lisière, mais avant tout charnière.
« Das Land der Vogesen und das Land des Schwarzwaldes waren die zwei Seiten eines aufgeschlagenen Buches – ich sah es deutlich vor mir, wie der Rhein sich nicht trennte, sondern vereinte, indem er die mit seinem festen Falz zusammenhielt. »
« Le pays des Vosges et le pays de la Forêt Noire étaient comme deux pages d’un livre ouvert et je voyais distinctement devant moi le Rhin qui ne les séparait pas mais les unissait en les reliant solidement dans son pli.»
René Schickele extrait de “Rundreise des fröhlichen Christenmenschen in Werke III”(p. 532). trad. Bernard Umbrecht
Histoire du Rhin
Auparavant, ce fleuve-frontière était une large épaisseur, floue et mobile, définie par les eaux rhénanes au sens large: le fleuve, ses crues et décrues, ses plaines et forêts alluviales et le biotope particulier qui en résulte.
Historiquement, le Rhin formait un élément commun de part et d’autre de ses rives. Les communautés humaines implantées de manière régulière sur son territoire s’appuyaient sur le fleuve : il existait à l’époque une relation étroite entre les territoires naturels et habités.
Au 19ème siècle, l’homme a mis en œuvre un profond processus de transformation du Rhin afin de le rendre navigable et salubre. Sous la direction de l’ingénieur allemand Johann Gottfried Tulla, des travaux pharaoniques se sont déroulés sur plus d’un demi-siècle. Son emprise et son tracé ont été corrigés, se sont peu à peu amenuisés, entraînant la mise à distance des communautés humaines et l’invisibilisation du fleuve.
Puis le Grand Canal d’Alsace a été édifié, accentuant la mise à profit des eaux rhénanes par les territoires exploités. Les terres gagnées sur l’emprise du fleuve ont peu à peu été colonisées par les industries, les plateformes portuaires, les gravières, les réseaux ferrés et routiers. Les eaux du fleuve et du canal deviennent une ressource utile à la production et au transport fluvial.
Aujourd’hui, le fleuve et son canal sont un outil au service du réseau logistique et productif. Ils structurent un réseau large, une infrastructure européenne, qui relie un chapelet d’agglomération importantes dont Mulhouse, Freiburg et Bâle font partie.
Réseaux humains, hydrographiques et logistiques
Notre regard sur l’histoire du Rhin nous a amené à questionner plus largement sa centralité au sein de trois réseaux prédominants, qui structurent l’épaisseur frontalière que nous étudions.
Le premier est un réseau urbain. Les villages frontaliers, établis à distance régulière et symétrique de part et d’autre du lit naturel du Rhin, suivent une implantation ordonnée. Les communautés qui y vivent partagent ainsi un territoire commun, bien qu’ils soient aujourd’hui séparés par la frontière. Le second est un réseau hydrographique complexe. Sa partie visible est constituée de canaux et cours d’eau naturels issus des Vosges et de la Forêt-Noire, qui irriguent la plaine cultivée et la rendent fertile. Invisible, la nappe phréatique rhénane fournit plus de 7 millions d’européens en eau potable de Bâle à Francfort. Le dernier est le réseau logistique, particulièrement prégnant dans ce territoire à l’intersection de grands axes autoroutiers, ferrés et fluviaux, véritable carrefour européen.
Si auparavant les réseaux urbains disposaient d’une relation privilégiée au fleuve et à ses berges, les eaux rhénanes sont devenues une infrastructure-outil à l’échelle européenne au service de la logistique, de l’extraction, du transport, de la production. La mainmise du réseau logistique sur le fleuve et ses abords met à distance les deux pays : le Rhin, infrastructure majeure qui relie à l’échelle européenne, est devenue une fracture à l’échelle locale, régionale, et binationale.
L’enjeu de cette étude est d’interroger la relation entre les trois réseaux, pour dépasser le service unilatéral rendu par le réseau hydrographique au réseau logistique. Le projet ambitionne de retrouver l’union du réseau urbain à son paysage et son fleuve, sans pour autant nuire à la force des infrastructures logistique, essentielles au bon fonctionnement économique du territoire.
Interférence dans le système de l’épaisseur frontalière
Au sein d’un réseau urbain régulier, deux villages implantés depuis le début des siècles aux portes du Rhin forment une interférence, un pincement : Chalampé et Neuenburg-am-Rhein. C’est un lieu de tension des réseaux humains, au contact de la frontière, un des rares endroits où les territoires habités semblent encore aujourd’hui entrer en contact. Cette mise sous tension, qui se traduisait historiquement par une liaison forte - physiquement par la traversée du Rhin, ou de manière abstraite par la proximité et la complémentarité des deux communautés - se trouve désormais gommée, atténuée, effacée. Le projet s’appuie sur cette ancienne tension frontalière, travaille à la réinstaller, la réaffirmer, la réinventer.
Chalampé et Neuenburg-am-Rhein
Les bourgs historiques de Neuenburg-am-Rhein et Chalampé se sont implantés au contact direct du Rhin. La correction du fleuve a par la suite mis à distance les villes des berges. Pour autant, les différents lits du fleuve, ses tracés et méandres disparus laissent des traces vivaces à travers les âges, dans l’implantation urbaine et paysagère de toute l’épaisseur du Rhin historique.
L’interstice libéré entre les bourgs et le fleuve est investi par des cultures, des habitations et des tracés viaires, témoignant de liens à l’échelle locale entre les deux pays. Deux axes majeurs transversaux se détachent clairement : une voie de chemin de fer au sud, supportée par un pont, et une route menant à un pont de bateau détruit pendant la guerre, plus au nord.
Au cours des années 1950, les constructions se densifient côté français, et deux pontons renaissent sur les vestiges du pont de bateaux, permettant la traversée du fleuve par bac, au nord. La tension frontalière se renforce.
A la fin des années 1950, l’édification du Grand Canal d’Alsace transforme profondément la berge française, amorçant l’effacement de cette tension historique transfrontalière. Rasant plus d’un tiers de la ville de Chalampé, le canal laisse une plaie béante sur le nouveau front de ville. Les quelques constructions laissées orphelines sur l’île du Rhin témoignent de la violence de l’arrivée de cette infrastructure. Le canal coupe irrémédiablement le lien de la ville au Rhin, auprès duquel elle s’est construite.
Le long du canal, la zone industrielle d’Ottmarsheim-Chalampé se développe ensuite rapidement, modifiant profondément le paysage en remplaçant les anciennes forêts alluviales.
Sur la berge allemande, la construction de l’autoroute au début des années 1960, met elle aussi à distance le ville de Neuenburg-am-Rhein de son fleuve. Cette autre infrastructure, bien que très différente du canal, empêche le lien privilégié qu’elle entretenait avec la berge.
Suite à l’adjonction du canal, Chalampé s’est développée depuis les années 60 en lui tournant le dos, sans réussir à dépasser la lésion qu’il a provoqué. Le front de ville, fragmenté, est fait de l’addition successive d’édifices et de nécessités.
Pourtant, aujourd’hui, la relation historique des villes au Rhin refait surface côté allemand. La ville de Neuenburg am Rhein a été choisie pour accueillir le Landesgartenschau de 2022. Cet événement est saisi par les collectivités locales comme l’occasion de renouer avec les berges, et de développer un urbanisme qui se tourne de nouveau vers le Rhin. L’accès de la ville à ce nouvel aménagement paysager fait renaître sur la berge allemande l’ancien axe du pont de bateaux, au nord, qui avait disparu. L’axe sud, seule liaison persistante entre les deux villes, concentre désormais différentes mobilités : le chemin de fer, les routes et bientôt une piste cyclable liée au nombre grandissant de cyclistes empruntant cet axe.
La programmation choisie résonne de part et d’autre de la frontière : un ensemble de structures autour du cyclo-tourisme - une activité très présente dans la région, en France comme en Allemagne, tant à l’échelle locale, régionale, qu’européenne, grâce à un réseau de routes cyclables très dense qui parcourent l’épaisseur frontalière.
Le projet, qui cherche à révéler la tension perdue entre les deux villes - et par ricochet entre les deux pays - s’appuie sur les deux axes transversaux historiques qui relient Chalampé à Neuenburg-am-Rhein. Leur révélation délimite deux nappes, sur chaque rive : c’est leur dessin qui constitue le projet.
par Bérénice Aubriot, Rose Deslandes et Alexandra Javellaud
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„Herzensanliegen“ Landesgartenschau Umweltministerin Ursula Heinen-Esser übernimmt Baumpatenschaft für Hopfenbuche
Die Berufsgrünen organisiert in der LAGL (Landesarbeitsgemeinschaft Gartenbau und Landespflege Nordrhein-Westfalen) (vlnr) mit Eva Kähler-Theuerkauf (Präsidentin Landesverband Gartenbau NRW), H. Christian Leonhards (Präsident Verband Garten-, Landschafts- und Sportplatzbau NRW, VGL), Christoph Lau (Geschäftsführer VGL NRW), Ursula Heinen-Esser und Heinrich Sperling Die Ministerin für Umwelt, Landwirtschaft, Natur- und Verbraucher-schutz des Landes Nordrhein-Westfalen, Ursula Heinen-Esser, besuchte vorgestern Nachmittag, Montag, 9. September, das künftige Laga-Gelände. Sie übernahm die Baumpatenschaft für eine Hopfen-buche, die auf dem Quartiersplatz im Zechenpark steht. Sie freue sich sehr, nun einen ersten Blick auf das künftige Laga-Gelände werfen zu können, sagte sie. Sie sei „beeindruckt, wie positiv sich das Gelände bereits entwickelt“ habe. „Hier in Kamp-Lintfort wird die Landesgartenschau dazu genutzt, das Herz der Stadt neu zu ge-stalten", betonte Heinen-Esser: Man könne erahnen, „welch gewal-tiger Umwandlungsprozess stattfindet.“ Sie freue sich, dass die Landesregierung dabei helfen könne. Gartenschauen seien ihr ein „Herzensanliegen", so die Ministerin weiter – sie sind ein „hervor-ragendes Instrument“, um „den Blick der Besucherinnen und Besucher in einem positiven Umfeld für die Bedeutung von Grün zu schärfen.“ „Es ist beeindruckend, wie sich die Stadtgesellschaft diesen Raum zurückerobert“, lobte auch Dr. Ansgar Müller, der Landrat des Kreises Wesel, das breite ehrenamtliche Engagement der Kamp-Lintforter für ihre Laga, mit Blick auf den Zechenpark. Dass der Zuschlag für die Laga nach Kamp-Lintfort gegangen sei, werte er denn auch als „Wert-schätzung“ für genau dieses Engagement. „Die Kamp-Lintforter stehen wirklich hinter dem Projekt“, bestätigte diese Einschätzung auch Prof. Dr. Christoph Landscheidt, der Bürgermeister Kamp-Lintforts. So sei beispielsweise die Resonanz auf das Angebot der öffentlichen Baustellenführungen beeindruckend – Hunderte kämen. „Wir freuen uns daher sehr, dass die Ministerin uns heute besucht hat!", sagte Landscheidt.
Den aktuellen Sachstand der Baumaßnahmen und Pflanzungen erläuterte Heinrich Sperling, der Geschäftsführer der Laga GmbH. Die Hopfenbuche habe die Laga deswegen für die Patenschaft aus-gesucht, weil der Baum „stadtklimafest“ und „anpassungsfähig“ sei, so Sperling. Die aktuellen klimatischen Veränderungen verlangten nach einer Auswahl von Arten, die „Hitze und trockene Luft ertragen“. „Wir werden pünktlich fertig!“, versicherte Martin Notthoff, ebenfalls Laga-Geschäftsführer. „Ich drücke Ihnen ganz fest die Daumen, dass alles termingerecht fertig wird“, so Heinen-Esser. Und sie bat alle, sich „ganz fest“ anzustrengen, „um dieses gemeinsame Ziel auch zu erreichen. Fotos: Imma Schmidt, Laga Kamp-Lintfort 2020)
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Delegation aus Edremit besucht Kamp-Lintfort
Seit 2014 ist Kamil Saka Bürgermeister der türkischen Partnerstadt Edremit. Jetzt besuchte er zum ersten Mal mit einer Delegation die Stadt Kamp-Lintfort und trug sich bei einem offiziellen Empfang im Ratssaal in das Goldene Buch der Stadt ein. Nach ersten Kontakten ab 2009 wurde die Partnerschaft 2011 in Edremit offiziell besiegelt. „Besonders freut uns, dass es neben dem Kontakt auf offizieller Ebene auch eine lebendige Partnerschaft zwischen der Europaschule in Kamp-Lintfort und der Ülkü Muharrem Ertaş Schule in Edremit gibt“, erklärte Bürgermeister Prof. Dr. Christoph Landscheidt beim Empfang der Delegation. Auf dem Programm für die Delegation steht u.a. auch der Besuch des LAGA-Geländes. „Wir werden die Freunde aus Edremit genauso wie aus den anderen Partnerstädten natürlich zur Landesgartenschau 2020 einladen“, so der Bürgermeister weiter. „Vielleicht ergibt sich ja eine Möglichkeit, die Partnerstädte in besonderer Weise auf dem Gelände zu präsentieren.“. Bildzeile: Müberra Karaca (Ratsmitglied Edremit), Dr. Christoph Müllmann (1. Beigeordneter), Kamil Saka, Bürgermeister der Stadt Edremit, Bürgermeister Prof. Dr. Christoph Landscheidt, Frau Özgirgin (Ratsmitglied Edremit), Martin Notthoff (Geschäftsführer der Landesgartenschau GmbH) obere Reihe von links: Ayse Yildirim (Übersetzerin), Ali Diker(Ratsmitglied Edremit), Fahri Yasar (Ratsmitglied Edremit), Sibylle Skrzypczak (Ratsmitglied Kamp-Lintfort), Matthias Gütges (Ratsmitglied Kamp-Lintfort), Maskottchen Kalli Foto: Privat Read the full article
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Achtung, liebe Leute: Aufgrund der Unwetterwarnung im Kreis Höxter wird die o.g. Lesung verschoben, und zwar auf Donnerstag, den 6. Juli, gleiche Zeit, selber Ort!
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Eben bei der Thalia in Höxter: Man merkt, es geht langsam auf die Landesgartenschau zu!
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Bald findet in Höxter die Landesgartenschau statt und ich freue mich schon total darauf. So viel sei verraten: Es wird groß! Meine persönlichen Highlights: Ich werde dort als Gruppenführer arbeiten (ja, man kann mich dann buchen) und im Rahmen zahlreicher Veranstaltungen aus meinen Krimis vorlesen, aus „Rabenvatersorgen“ oder „ Der Fluch von Eddessen“. Oder vielleicht schon aus meinem neuesten Buch? Bleibt gespannt!!
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