#La saignée
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Alors premier degrés je m'y attendais full pas à hozier premier l'ironie c'est que ce soir je le vois en concert-
#JAVAIS PAS REALISER QUE JAVAIS SAIGNÉ EAT YOUR YOUNG A CE POINT#le deuxieme apres hozier cest la bande son de layton-#fou rire#aussi on est passé de 47000 l'année dernière a 149000 cette annee la mental illness est toujours bien la-#kenshi's life#kenshi's playlist#spotify wrapped#(seul deception de pas voir ajr la cest juste car leur album est sortie trop tardivement dans l'année-?
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Transcript of all the French dialogue in Interview with the Vampire S2 E03 "No Pain".
You asked, yours Frenchly delivered. Bonne lecture ! (long-ass post incoming)
(did not use timestamps as these may vary, but rather scene descriptions)
Armand’s Children of Darkness:
Coven vampire: La mort punira toute infraction de la première et de la cinquième des grandes lois.
Armand sees Lestat at the theatre (performing Marivaux’s Le Triomphe de l’amour):
Lestat (as Arlequin): Ah ! Vous êtes donc des femmes !… (vous êtes deux) friponnes !… et par-dessus le marché, un honnête homme !...
Armand: Tu es le bâtard de Magnus. Je sais que tu peux m’entendre, mon enfant.
Lestat: Qui m’appelle « enfant » ?
Armand: Il est mort, n’est-ce pas ? Je peux prendre soin de toi. Je peux t’apprendre ce qu’il ne t’a pas appris. Viens à moi.
Lestat (as Arlequin): Mais de quoi s’agit-il, mes libérales dames ?
Armand: Viens à moi.
Lestat (as Arlequin): Encore plus honnête.
Armand confronts Lestat and Nicolas:
Armand (to the coven vampires): À la maison.
Coven vampires: Oui, maître. Désolés, maître.
Lestat (to Nicolas): Tu es si distrayant dans la fosse que je ne me rappelle plus du texte.
Nicolas: Je ne peux pas lire mes notes quand j’entends tes pieds sur le plancher… Nous allons nous faire attraper.
Lestat: Je l’espère… Entends-tu cela ?
Nicolas: Par-dessus tes incessantes divagations ? Comment pourrais-je entendre quoi que ce soit ?... Qu’est-ce ?
Lestat: Là… Quelqu’un me regarde.
Nicolas: Tu es toujours au centre de l’attention.
Lestat: Il pense que je ne sais pas qu’il est là.
Nicolas: Est-ce encore de la poésie ?... Viens plus près de mon oreille. Je peux seulement comprendre quand tu t’approches.
Lestat: En pardessus.
Armand: Gardes-tu ce garçon comme aide-mémoire ?
Nicolas: Lestat, connais-tu ce gitan ?
Armand: La solitude que tu ressens, il ne l’atteindra jamais. Sois avec les tiens.
[Side note: they translated « the loneliness you feel, he will not reach it » for « atteindra », but i think Armand is actually saying « il ne l’éteindra jamais », in the sense of « he will not extinguish it ». It makes a LOT more sense.]
Lestat: Et abandonner mon gilet à carreaux ? Mon col jabot ? Vivre comme une larve ?
Nicolas: Lestat, que se passe-t-il ?
Lestat: Rien. Il n’est rien… Bonne nuit, homme étrange !
Armand: Lestat ! Là !
Nicolas: Lestat ?
Lestat: Nicki !
Armand: Tu ne lui as pas révélé ta vraie nature, n’est-ce pas ?
Lestat: Quel est ce pouvoir ?... Je n’ai pas ce pouvoir !
Armand: Mais tu l’auras. Tu as le sang de Magnus. Tu gâches ton potentiel en menant cette vie-là.
Lestat: Relâche-le ! Relâche-le !!!
Armand: Et voici un buveur de sang !
Lestat: Qui es-tu ?
Armand: Je suis Armand. Je suis le chef de ton clan.
Lestat: Nicki !
Armand: Ramène ton gilet chez les larves, veux-tu ?
Lestat confronts the Children of Darkness:
Armand: Je suis heureux que tu sois venu. Il est sain et sauf.
Lestat: Il est saigné. Il ne se réveille pas… Est-ce si amusant de vivre dans une telle saleté et la puanteur ?
Coven vampire: Nous devons servir Dieu au travers de Satan et au travers d’Armand.
Lestat: Ah… Une trinité crottée.
Coven vampire: Tu vas attirer la colère de Dieu sur nous avec tes péchés !
Lestat: Qui sont ?
Coven vampire: Tu vis parmi les mortels ! Tu marches dans le temple de Dieu !
Lestat: Il parle de l’homme triste avec les mains clouées ? Ah… Bien. C’est un arbre tombé. Raboté simplement pour les simples d’esprit. Du même arbre, on fit le pied d’une table et, là, une flûte ! Rampez hors de cette prison qu’il bâtit pour vous… Dieu… Satan… Armand… Est-ce vrai ? Hm ? Nous sommes les Dieux. Vous êtes les Dieux !
Lestat visits Armand:
Lestat: Que s’est-il passé ?
Armand: Je pourrais parler jusqu’à la fin du monde sans jamais te dire tout ce que tu as détruit ici.
Lestat: Nous sommes seuls. Satan ne nous écoute pas… Comment transformes-tu l’air en feu ? Comment bouges-tu des objets par la simple force de ton esprit ?
Armand: Demande-t-il, tout en dansant dans les cendres… Tu as fait de ton Nicolas l’un des nôtres ? Est-ce que le garçon a accepté le don ?... Trop fragile. J’aurais pu te prévenir.
Lestat: Il s’en remettra.
Armand: Certainement pas.
Lestat: J’ai une idée.
Lestat performs for Armand at the theatre (again, Le Triomphe de l’amour) :
Lestat (as Arlequin): Oh ! Mes mignonnes, avant que de vous en aller, il faudra bien, s’il vous plaît, que nous…
(As Lestat) Ils viennent accompagnés, séduits dans un élan collectif. Ils rient ensemble, pleurent ensemble.
Armand: Qu’est-ce, pour un vampire ?
Lestat: Une opportunité. Hamlet est mort sous les coups d’une lame empoisonnée, mais l’acteur qui gît sous leurs yeux respire encore. Dans ce temple, croire protège. Annonce que tu es un vampire. Bois le sang à la vue de tous. Mets en scène les rituels de ton clan, pas depuis les égouts mais depuis le premier balcon.
Armand: Je n’ai pas de clan. Tu m’en as privé.
Lestat: Au contraire, maître.
(as Arlequin): Je n’ai encore qu’un commencement d’envie de n’en plus faire.
Outside the theatre:
… assouvir vos cruelles envies au théâtre des vampires !
At the theatre performance:
Victim: J’ai tant d’années ! Tant d’années !
Theatre vampire: Des années ? La mort ne respecte pas l’âge !
Armand: Regarde comme ils sont immobiles. Ils croient vraiment que c’est une pièce de théâtre. Des clous sur une porte à Wittenberg. Tu as mené une réforme, Lestat.
Lestat: Nous l’avons fait ensemble.
Armand: Tu fais une meilleure Mort.
Lestat: La faux fait tout le travail.
Armand: Après une centaine de nuits ici, tu t’ennuies déjà ?
Lestat: Seulement avec le jeu d’acteur… Allons-y.
Armand: Ici ? Maintenant ?
Lestat: C’est une loge spacieuse.
Armand: Il nous observe.
Lestat: Il devrait regarder sa partition.
Armand: Lestat… Je t’aime.
Lestat: Oui… Je t’aime aussi.
Aaaand that's it (for now), folks! Will do subsequent episodes if there's more French in them (more likely than not!). Bisous !
Episode 2 here
Episode 4 here
Tagging the peeps who requested: @nalyra-dreaming @indelicateink @chicalepidoptera @zailafaneez
#interview with the vampire#iwtv#iwtv s2#amc interview with the vampire#amc iwtv#scene transcripts#french dialogue
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🇫🇷: Marine s'est blessée lors du match contre Angers ; elle a saigné du nez ou de la lèvre. On l'a vue courir vers les toilettes, suivie par Gabby. Durant les cinq dernières minutes, Gabby a fait des allers-retours entre les toilettes pour voir comment allait Marine.
🏴🇺🇸: Marine got injured during the match against Angers; she was bleeding from her nose or lip. We saw her run to the restroom, followed by Gabby. During the last five minutes, Gabby kept going back and forth to the restroom to check on Marine.
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La Mode illustrée, no. 28, 15 juillet 1883, Paris. Toilettes de Mme Coussinet, rue Richer, 43. Collection of the Rijksmuseum, Netherlands
Description de toilettes (Bibliothèque Forney):
Robe en surah bleu Sèvres. Le bord inférieur de la jupe est garni de deux rangées de coques en même étoffe, surmontées de trois volants de dentelle blanche. Sous le deuxième volant se trouvent deux draperies en même surah, qui garnissent les côtés et se rattachent à une large écharpe de même étoffe, terminée par un très grand nœud, qui soulève le volant de dentelle pour former un pouf. Corsage montant en même surah, froncé sur l'épaule, ouvert en cœur. Manches demi-longues faites en dentelle, retenues à la saignée par un ruban bleu noué ; le devant de la jupe est orné d'une guirlande de chrysanthèmes; demi-guirlande pareille sur l'épaule gauche.
Jupe ronde en soie crème, couverte de volants de dentelle crème. Redingote eu serge crème doublée de soie rubis. Le corsage est croisé avec revers de soie rubis. La redingote, drapée devant, retombe derrière en quatre gros plis-tuyaux. Col droit rubis. Petite pèlerine en dentelle crème. La redingote, fendue à droite, est retenue sur la hanche par une boucle d'argent ciselé.
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Sèvres blue surah dress. The lower edge of the skirt is trimmed with two rows of shells in the same fabric, surmounted by three flounces of white lace. Under the second ruffle are two draperies of the same surah, which trim the sides and are attached to a wide sash of the same fabric, ending in a very large bow, which lifts the lace ruffle to form a pouf. Bodice rising in the same surah, gathered on the shoulder, open in heart. Half-long sleeves made of lace, held at the kerf by a tied blue ribbon; the front of the skirt is decorated with a garland of chrysanthemums; similar half-garland on the left shoulder.
Round skirt in cream silk, covered with flounces of cream lace. Frock coat in cream serge lined with ruby silk. The bodice is crossed with ruby silk lapels. The frock coat, draped in front, falls behind in four large pipe pleats. Ruby straight collar. Small pelerine in cream lace. The frock coat, split on the right, is held on the hip by an engraved silver buckle.
#La Mode illustrée#19th century#1880s#1883#on this day#July 15#periodical#fashion#fashion plate#color#description#rijksmuseum#Forney#dress#bustle#velvet#coat#Modèles de chez#Madame Coussinet
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Durant l’été 2015, l’organisation Etat islamique (EI) met en scène la démolition de deux des principaux temples du site de Palmyre, dans le centre de la Syrie, suscitant une vague sans précédent de condamnations dans le monde entier. Irina Bokova, directrice générale de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco), dénonce alors « un crime intolérable contre la civilisation » qui « n’effacera jamais 4 500 ans d’histoire ».
La communauté internationale n’avait pourtant pas exprimé, durant les quatre années précédentes, une indignation comparable face aux ravages infligés par le régime de Bachar Al-Assad à l’inestimable patrimoine de la Syrie : la vieille ville d’Alep avait été défigurée, le centre historique de Homs n’était plus que ruines, le site romain d’Apamée était livré aux pillards et même Palmyre avait déjà souffert des exactions de la soldatesque, quoique dans des proportions bien moindres que sous le joug djihadiste. Ces destructions n’étaient en effet pas perçues comme une agression spécifique, mais plutôt comme une conséquence de la brutale répression par la dictature syrienne de toute forme d’opposition. Cette confusion était entretenue par le fait que Bachar Al-Assad et ses partisans, à la différence de l’EI, ne revendiquaient pas de telles destructions, perçues comme les dégâts collatéraux d’une campagne qualifiée d’« antiterroriste ».
C’est le même registre qui permet à l’armée israélienne d’atténuer l’impact des coups portés au patrimoine de Gaza, et ce en l’inscrivant dans l’offensive censée, depuis un an, conduire à la « victoire totale » contre le Hamas. On sait que cette offensive se déroule loin du regard de la presse étrangère, interdite d’accès à Gaza, et qu’elle a déjà causé la mort de près de 2 % de la population locale, ainsi que la destruction de tout ou partie de deux tiers des immeubles.
La guerre contre le patrimoine
Une telle saignée n’a pu être opérée qu’en réduisant l’enclave palestinienne à n’être qu’un bastion des islamistes palestiniens, occultant par là même son histoire plurimillénaire. L’oasis de Gaza a néanmoins été depuis la plus haute Antiquité un carrefour d’échanges entre l’Asie et l’Afrique, convoité par tous les empires qui voulaient, depuis le Levant, s’emparer de l’Egypte, et inversement. Dès la fin du IIe millénaire avant notre ère, Gaza constitue, avec quatre autres cités, aujourd’hui situées en territoire israélien, une fédération dénommée Philistie, du fait du peuple philistin qui la constitue (c’est en écho de cette Philistie que, des siècles plus tard, les Romains appelleront « Palestine » la province couvrant le sud du littoral levantin).
L’armée israélienne, qui occupe la bande de Gaza de 1967 à 2005, est bien consciente de la richesse du patrimoine de l’enclave palestinienne. Moshe Dayan, ministre de la défense de 1967 à 1974, organise même des fouilles plus ou moins sauvages pour enrichir sa collection personnelle. C’est ainsi qu’un extraordinaire ensemble de sarcophages anthropomorphes, datant des XIVe et XIIIe siècles avant notre ère, est acquis par Moshe Dayan, avant d’être cédé par ses héritiers. Il est désormais exposé à Jérusalem, dans la section archéologique du Musée d’Israël, dont il est l’un des fleurons.
Cette forme de prédation préservait malgré tout les œuvres concernées, alors que les ravages infligés par Israël à l’ensemble du tissu urbain de Gaza, en une année de bombardements, sont d’une ampleur inédite : non seulement les douze universités de l’enclave palestinienne ont toutes été détruites, totalement ou partiellement, mais la majorité des mosquées et des églises du territoire ont aussi subi le même sort, alors que certaines étaient porteuses d’une histoire pluriséculaire. La masse des débris accumulés atteint d’ores et déjà la proportion affolante de 300 kilogrammes par mètre carré.
L’inventaire d’un patrimoine bombardé
Le monde académique, entre autres en France, a multiplié les initiatives face à un tel désastre. C’est ainsi que l’archéologue René Elter a présenté au Louvre, en avril, devant un amphithéâtre comble, les actions de préservation du site byzantin de Saint-Hilarion. Un colloque a été consacré, en septembre, à Paris, au défi de la protection du patrimoine de Gaza, avec l’intervention de spécialistes de l’Ecole biblique et archéologique française de Jérusalem, engagés depuis des décennies sur ce terrain. Et un groupe d’une vingtaine d’universitaires vient, après des mois de travaux préparatoires, de mettre en ligne un « inventaire du patrimoine bombardé » de Gaza. Ce site ne cesse de s’étoffer pour offrir à la fois une cartographie des destructions, une liste de dizaines de monuments sinistrés et une fiche explicative détaillant certains d’entre eux. Des liens ouvrent par ailleurs l’accès aux bases de données pertinentes pour prendre la mesure d’une telle catastrophe.
On apprendra ainsi que l’église Saint-Porphyre, touchée par un bombardement israélien, le 19 octobre 2023, avait déjà été endommagée lors de l’offensive israélienne de l’été 2014. Ce lieu de culte grec orthodoxe, datant dans sa forme actuelle du XIIe siècle, est censé abriter la tombe de l’ancien évêque de Gaza, Porphyre, canonisé pour avoir christianisé la cité au début du Ve siècle.
D’autres fiches sont consacrées à des sites plus contemporains : les cimetières militaires regroupant, à Gaza comme à Deir Al-Balah, les milliers de tombes de soldats du Commonwealth tombés, en 1917-1918, durant la conquête britannique de la Palestine ; le siège de la municipalité de Gaza, installé en 1930 dans un quartier plus proche de la mer ; les cinémas Samir et Nasr, qui ont marqué la vie culturelle de Gaza au milieu du XXe siècle. Un tel inventaire est, à bien des égards, précieux pour apprécier la diversité de l’immense patrimoine de Gaza, au moment même où il est en train de disparaître sous nos yeux, au moins en partie.
Jean-Pierre Filiu (Professeur des universités à Sciences Po)
#article copié en entier car réservé aux abonné-es#palestine#free palestine#zionism#colonialism#racism#israel#genocide#cultural heritage#french#upthebaguette#french side of tumblr#bee tries to talk
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Saigné jusqu'à l'os
Je rendis les armes au bord de la mort
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Thomas Fabius
C’est une enfance dans un milieu très aisé, il est le premier résidu d’éjaculat de Laurent Fabius, et le petit-fils de l’antiquaire véreux Élie Fabius. C’est un parcours de privilégié, collège Henri IV, Lycée Montaigne, classe préparatoire privée pour HEC qu’il ne termine pas. C’est le kéké de plage, il sera ainsi prof de tennis au Club Med de Gregolimano en Grèce. Pistonné par son petit papa entre deux saignées d’hémophiles, il entre chez Accor, le groupe hôtelier. C’est l’hôtelier de luxe, de 2002 à 2003, il bosse au Novotel de Bagnolet, où il met en place une méthode de yield management qui consiste à faire payer plus en fonction de la demande. Il devient directeur adjoint de l’hôtel avant de partir, selon sa hiérarchie, il n’a pas laissé « le souvenir d’un grand bosseur ». C’est l’entrepreneur véreux, il cofonde People and baby, une boîte de crèches privées pour les entreprises, au bout de 18 mois ses associés l’évincent pour son comportement imbuvable et ses escroqueries. C’est le conseiller foireux, après avoir tenté de mettre en place un système de paiement frauduleux auprès d’Unipay’s il est entendu par la police et sera condamné pour abus de confiance. C’est aussi la fraude, ne déclarant aucun revenu, il s’achètera pour 7 millions d’euros un appartement de 285 mètres2. Tracfin pointera du doigt la transaction après des mouvements inhabituels. Il s’en tire en arguant qu’il a acheté cet appartement avec ses « économies » et un emprunt d’usure. C’est la petite racaille de la jeunesse dorée, ainsi en 2014, au volant de son Audi cabriolet dernier cri, il force un barrage. Arrêté par la BAC il arguera qu’il est le fils du ministre des Affaires Étrangères, il ressortira libre, sans garde à vue et notre petit con de 34 ans s’en tirera avec une bonne volée de son père. C’est le parvenu, pas de sobriété dans une maison bretonne, Thomas aime ce qui brille et Las Vegas c’est son crédo, amateur de roulette, il gagnera beaucoup et perdra aussi beaucoup. Accroc, il sera interdit de Casino en France à sa demande. C’est les passes droit, ainsi il bénéficiera d’un effacement d’une dette de jeu par la Société des bains de mer pour 700 000€. C’est aussi le fugitif, sous le coup d’un mandat d’arrêt aux États-Unis, il est effectivement accusé d’avoir émis des chèques sans provision de façon consciente après avoir perdu 3,5 millions d’euros dans trois hôtels de Las Vegas. Encourant 10 ans de prison en Amérique, il « ne juge pas utile de s’y rendre à nouveau ». C’est l’escroc, il sera mis en examen en France pour une arnaque similaire dans un casino marocain pour un montant de 200 000€. Il sera condamné en 2019 à 75 000 d’amende. C’est le parfait exemple de ce que la République vous offre, quand vous ne devez pas payer pour les parasites qui vous gouvernent, vous devez supporter les frasques de leurs progénitures. À 42 ans Thomas est toujours un petit con.
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La main déshabilla mon bras, s’arrêta près de la veine, autour de la saignée, forniqua dans les dessins, descendit jusqu’au poignet, jusqu’au bout des ongles, rhabilla mon bras avec un long gant suédé, tomba de mon épaule comme un insecte, s’accrocha à l’aisselle. Je tendais mon visage, j’écoutais ce que mon bras répondait à l’aventurière. La main qui se voulait convaincante mettait au monde mon bras, mon aisselle. La main se promenait sur le babil des buissons blancs, sur les derniers frimas des prairies, sur l’empois des premiers bourgeons. Le printemps qui avait pépié d’impatience dans ma peau éclatait en lignes, en courbes, en rondeurs. Isabelle allongée sur la nuit enrubannait mes pieds, déroulait la bandelette du trouble. Les mains à plat sur le matelas, je faisais le même travail de charme qu’elle. Elle embrassait ce qu’elle avait caressé puis, de sa main légère, elle ébouriffait, elle époussetait avec le plumeau de la perversité. La pieuvre dans mes entrailles frémissait. Isabelle buvait au sein droit, au sein gauche. Je buvais avec elle, je m’allaitais de ténèbres quand sa bouche s’éloignait. Les doigts revenaient, encerclaient, soupesaient la tiédeur du sein, les doigts finissaient dans mon ventre en épaves hypocrites. Un monde d’esclaves qui avaient même visage que celui d’Isabelle, éventaient mon front, mes mains. Violette Leduc, La Bâtarde, Galllimard, 1964
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hier j’ai rejoint youcef tout beau dans son jean de cowboy en fin d’après-midi pour qu’on aille faire mon cadeau d’anniversaire à savoir mes deux piercing tant attendus autant par lui que par moi!! le salon dans lequel il avait pris rendez-vous n’a pas pu nous prendre car le perceur était en vacances finalement donc on a eu peur on était trop déçus mais on nous a proposé d’aller dans un autre qui s’appelait joli cœur (comme moi il a dit) et la perceuse était trop mimi, j’ai saigné mais dans la bonne humeur et c’est trop trop beau donc je suis trop contente depuis… et une fois sortis du perceur je pensais qu’on prenait juste notre temps pour boire un peu et se balader avant le match mais en allant sur les quais il a commencé à me raconter une histoire sans fin en me regardant bien dans les yeux pour que je ne puisse regarder nulle part ailleurs puisque juste devant nous mes meilleurs copains m’attendaient ce que je n’avais pas vu venir après il faut dire que j’étais encore un peu toute étourdie des piercing bref il a organisé tout ça et on a passé une trop cool soirée, il avait acheté un gâteau absolument délicieux que personne sauf lui et moi n’a su apprécier car ils ont tous des mauvais palais, on a gagné le match donc je me sens vengée des portugais et tout le monde m’a offert des cadeaux trop mimis donc je suis remplie d’amour, il avait bien raison quand il m’a promis que je passerai un meilleur anniversaire que la semaine dernière
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Ils ont tweeté
et puis après?
Je n'ai pas x mais j'ai du thé; toutes sortes de thé, en blanc, en noir et en verde bien plus digestes à reposer sans doute tout aussi adict mais excitant sans s'exciter. Au milieu des patati et des patatras où chacun glose et furonculose sa vérité ou celle à la gloire du voisin inconnu mais forcément très bien heu! rance saigné, je prends la tasse et scrute le tourbillon de la vie
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L'étoile a pleuré rose au cœur de tes oreilles,
L'infini roulé blanc de ta nuque à tes reins
La mer a perlé rousse à tes mammes vermeilles
Et l'Homme saigné noir à ton flanc souverain.....💞✨🪶
A.Rimbaud
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Les Couloirs des Délires
Dans les couloirs macabre, Alice s’égare,
Entre les murs où le silence est rare.
Les horloges grincent, le temps recule,
Et dans ses veines coulent des centaines de molécules.
On murmures des soins, des guérisons promises,
Mais la douleur ici, est une étreinte compressive.
Une aiguille enfoncée, une saignée sans fin,
Où l’âme se perd dans un gouffre sans lendemain.
Électrochocs d’orages dans son crâne éclaté,
Les souvenirs volent, deviennent fragmentés.
Chaque choc est un éclair, un dans la nuit,
Effaçant les rêves, les espoirs anéantis.
Puis vient l’orbitoclaste, l’étrange mot pour l’étrange chirurgie,
Dans le secret des chambres où l’on sculpte l’esprit.
Lobotomie douce, où la conscience s’éteint,
Dans un néant infini, sans début ni fin.
Alice, les yeux ouverts, fixe le ciel diaphane,
Où les merveilles se fanent, sous les coups qui les insane.
Dans cet asile étrange, son coeur bat sans bruit,
Cherchant la sortie d’un labyrinthe sans vie.
(Petit montage vidéo de Alice Madness Returns, sur la partie à l'asile.)
https://drive.google.com/file/d/1pSjp88fc072ltY0wOCRlVFiAAYafAoKV/view?usp=drive_link
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au verre, dose
ça nous va bien en dessous de la ceinture les petites tapes a mi cales, intercalées au creux de la raie fesses serrées ça nous va bien, les claques raclées au fond des gorges ouvertures impromptues béances buccales bruissements labiaux des remugles que l'été oublie au fond des mouilles corollées : mais Madame, vous louchez des seins! permettez que je vous boutonne n'est-ce pas un beau jour pour vous faire enfiler, puis-je vous sur prendre? voyez-vous ma petite infamie mignonne et moi ne sommes plus ce que nous fûmes et vous êtes bonne fumeuse fumez-nous donc vous savez bien le faire dans votre langue, avec le bon accent et des ronds dans l'air, vous savez faire aussi aspire-nous, petite fumée!
vous verrez ça nous irait bien tellement bien en dessous de la ceinture les coups affables fabulés dont on s'affuble. et c'est parce que je t'aime bien que je te crache à la figure; puisque la guimauve tue je te fais boire mon arsenic - ça te va bien les saignées gustatives en dessous de la ceinture tu pourras même t'en mordre les doigts.
n'oublie pas de mettre ta tristesse en dentelle celle qui moule tes yeux et ta rondeur suspendue aux canines te va si bien en dessous de la ceinture.
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J’avais pas envie de rentrer chez moi, alors j’ai traîné dans les rues à la recherche d’un endroit où boire un coup. Je suis tombée sur un bistrot qui avait l’air fermé, mais la porte était entrouverte. Je suis entrée sans faire de bruit. Personne en vue, juste des tables et des chaises renversées, des verres cassés, des bouteilles vides. Le comptoir était couvert de poussière, le miroir tout fendu, le juke-box sans voix. On aurait dit que ça faisait des lustres que personne n’avait mis les pieds ici. Frissons dans l’dos, comme si j’étais entrée dans un tombeau. Je me suis approchée du bar, j’ai fouillé dans les tiroirs, j’ai trouvé une bouteille de whisky à moitié pleine. Je me suis servi un verre, je l’ai bu d’un trait. Ça m’a brûlé le gosier, mais ça m’a réchauffé le cœur. Je me suis assise sur un tabouret, j’ai regardé autour de moi. Il y avait des photos accrochées aux murs. Des gueules souriantes, levant leur verre. Souvenirs d’une époque où l’endroit était bouillant de vie. Je me suis demandé ce qui s’était passé, pourquoi ils avaient mis la clef sous la porte, où étaient passés les clients, le patron, la serveuse. Peut-être qu’ils étaient partis ad patres, peut-être qu’ils avaient foutu l’camp ailleurs, peut-être qu’ils avaient tout oublié. J’ai englouti un autre verre, puis un autre, puis un autre. Je me suis mise à parler toute seule, à vider mon sac. J’ai pleuré, j’ai ri, j’ai gueulé. J’ai commencé à délirer, à voir des spectres, à entendre des voix. J’ai balancé les chaises, fracassé les bouteilles contre le mur. J’ai saigné, vomi, suffoqué. Je me suis effondrée à terre. Je me suis assoupie, sans savoir combien de temps. Quand je me suis réveillée, la lueur du jour s’infiltrait. Le bistrot était toujours là. Vide de tout. Vide de moi.
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La Mode nationale, no. 19, 10 mai 1902, Paris. Groupe de toilettes pour dames et jeunes filles. Bibliothèque nationale de France
(12) Robe de visites pour jeune femme ou jeune fille, en canevas vert-mai. Jupe en forme, ornée au bas d'un volant surmonté d'un biais en taffetas pékiné, encadré de straps. De place en place, trois plis "capucine" fixés par des petits boutons traversent le biais. Corsage à trois collets finissant en pattes sous une ceinture ronde. Deux autres pattes servent de fermeture. Le plastron est de mousseline de soie blanche, pékinée de velours noirs. Le col est recouvert de trois pattes boutonnées de côté. Manche ample, bordée d'une bande pékinée; bouffant de mousseline de soie.
(12) Visiting dress for young woman or girl, in May green canvas. Shaped skirt, decorated at the bottom with a ruffle topped with a bias in pekiné taffeta, framed by straps. From place to place, three "nasturtium" folds fixed with small buttons cross the bias. Bodice with three collars ending in tabs under a round belt. Two other tabs serve as closures. The bib is white silk muslin, pekined with black velvet. The collar is covered with three side buttoned tabs. Loose sleeve, edged with a pekiné band; silk chiffon bouffant.
Matériaux: 7 mètres de tissu vert, 1 mètre de taffetas; 3 mètres de mousseline de soie.
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(13) Robe simple pour jeune femme ou jeune fille, en voile neigeux rose-pastel moucheté de noir ou en mousseline imprimée. Au bas de la jupe, plis en série. Corsage-blouse décolleté et bordé de belle broderie. Plastron de mousseline de soie plissée. Manche plissée sous un jockey de dentelle, et froncée dans un poignet uni. L'allure de l'ensemble est très simple et très élégante.
(13) Simple dress for young women or girls, in pastel pink snowy veil speckled with black or in printed muslin. At the bottom of the skirt, serial pleats. Bodice-blouse with low neckline and edged with beautiful embroidery. Pleated silk chiffon bib. Pleated sleeve under a lace jockey, and gathered into a plain cuff. The overall look is very simple and very elegant.
Matériaux: 6m,50 de tissu rose; 1 mètre de mousseline de soie.
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(14) Robe de promenade pour jeune femme ou jeune fille, en serge très fine "marengo". La jupe courte, bordée de repincés, tombe sur un volant également à plis. Boléro croisé, garni d'un straps et de boutons brodés. Manche serrée au coude; bas de manche collant boutonné.
(14) Walking dress for young women or girls, in very fine “marengo” serge. The short skirt, edged with repinqués, falls on a flounce also with pleats. Crossed bolero, trimmed with straps and embroidered buttons. Sleeve tight at the elbow; buttoned sticky cuffs.
Matériaux: 7m,50 de serge
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(15) Toilette de visites pour jeune femme ou dame d'âge moyen, en crêpe de Chine gris-argent. Á la jupe, trois volants remontant derrière. Jaquette Louis XV à devants droits; col de dentelle rebrodée; gilet de taffetas même ton à fins brandebourgs et boutons émaillés. Manche droite et parement allongé, orné dans le même esprit que le gilet.
(15) Visiting ensemble for young women or middle-aged ladies, in silver-grey crepe de chine. On the skirt, three ruffles going up behind. Louis XV jacket with straight fronts; embroidered lace collar; Same-tone taffeta vest with fine frogs and enameled buttons. Straight sleeve and elongated facing, decorated in the same spirit as the vest.
Matériaux: 15 mètres de crêpe; 0m,60 de taffetas ivoire.
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(16) Robe de visites pour jeune femme ou dame d'un certain âge, en taffetas bronze. Jupe découpée sur des quilles de liberty même ton. Torsade mélangée or autour de la jupe et des découpures. Corsage habit décolleté sur un empiècement bouillonné en liberty bronze; autour du décolleté, dentelle perlée. Manche courte, bouillonnée, en liberty, finie par un grand sabot de dentelle. A l'épaule et à la saignée du bras, nœuds Louis XV en velours noir.
(16) Visiting dress for young women or ladies of a certain age, in bronze taffeta. Skirt cut out on liberty keels in the same tone. Mixed gold cable around the skirt and cutouts. Low-cut dress bodice with a bubbled bronze liberty yoke; around the neckline, beaded lace. Short, bubbled sleeve, in liberty, finished with a large lace shoe. At the shoulder and at the arm opening, Louis XV knots in black velvet.
Matériaux: 12 mètres taffetas; 6 mètres de liberty.
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(17) Robe de visites pour jeune femme ou dame d'âge moyen, en voile vieux rouge à motifs de soie noire. Au bas de la jupe, corselet volant badiné en liberty noir surmonté de biais en dents rondes. Le corselet s'entoure des mêmes biais. Boléro-cuirasse, d'un dessin original, rayé de plis ou de biais et se terminant en pointe devant. Grand col rouge en forme et croisé; nœud d'attache. Manche coquette à plis en long et très élargie sur un bouffant rouge.
(17) Visiting dress for young women or middle-aged ladies, in old red veil with black silk patterns. At the bottom of the skirt, a flying corselet in black liberty surmounted by round tooth bias. The corselet is surrounded by the same bias. Bolero-breastplate, with an original design, striped with folds or bias and ending in a point at the front. Large shaped and crossed red collar; attachment knot. Flirty sleeve with long pleats and very widened on a red bouffant.
Matériaux: 5 mètres de voile rouge; 6 mètres de liberty noir.
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(18) Robe de promenade pour jeune femme ou jeune fille, en suédoise d'été bleu clair. Gros pli devant la jupe, traversé de barrettes de taffetas noir sur straps de lainage bleu. Cercles semblable autour de la jupe. Basque rapportée garnie de même. Corsage blouse serré à la taille par une ceinture piquée en taffetas; col découpé et descendant à la ceinture; autour, broderie de soie ton sur ton. Manche à coude avec biais de taffetas.
(18) Walking dress for young women or girls, in light blue summer Swedish. Large pleat in front of the skirt, crossed with black taffeta barrettes on blue woolen straps. Similar circles around the skirt. Basque attached garnished with the same. Blouse bodice tightened at the waist with a stitched taffeta belt; collar cut out and going down to the belt; around, tone-on-tone silk embroidery. Elbow sleeve with taffeta bias.
Matériaux: 6m,50 de suédoise.
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Lounès Darbois: Paris ce n’est pas une ville pour “investir”, où n’importe quel putois mondial aurait droit à son “pied-à-terre”. Paris c’est la concentration du génie pratique français de la construction et de l’art ornemental passés par de crucifiants essais et erreurs étalés sur des siècles, trouvant début 17ème son type classique fixé dans la pierre calcaire et le toit d’ardoise, pour enfin en obtenir fin 19ème-début 20ème siècle, une merveilleuse résurrection néo-classique. Paris c’est pour les Français seuls, c’est “pour nous, à nous, chez nous”. Les squatteurs étrangers qui y résident n’ont pas été une seule fois capable de créer un seul bâtiment qui ait le quart de la beauté du plus laid bâtiment érigé durant l’âge d’or 1880-1914. Ce ne sont pas des parisiens ce sont des squatteurs de cavités laissées vacantes par les morts à la guerre et il y a un terme pour les gens qui cherchent ce mode d’habitation: des troglodytes. Et pas plus que de génie pratique, quantifiable, mesurable, concret, ils n’ont de sens esthétique du mode de vie. En vêtement, en gastronomie, en choix de locomotion ils sont lourdingues et nuls. Ils foncent aux grossiers commerces crasseux, aux viandes mal saignées étalées sans bardage sous les présentoirs sans feuillage, à côté de cela comparons ce qu’est une boucherie française traditionnelle, une boulangerie, une cordonnerie bien tenue, avec travail en tablier. Et l’ambiance de frénésie gaie des samedi après-midi de Paris jusque vers 2010, avec ses familles françaises nombreuses, ses jeunes femmes habillées, coiffées, ses darons sans ventre en manteau longs et chaussures cirées qui passaient en coup de vent acheter la tarte aux poires du déjeuner, toute cette petite beauté gratuite de la rue, la vraie France organique, parquet et lambris, ascenseur �� grillage et escalier à tapis serti de tiges de maintien, tout le savoir-faire d’hommes inconnus d’avant, qui avaient des vrais beaux noms de provinces francophones, pas ces noms trafiqués de tricheurs importés, de gougnafiers qui n’ont jamais rien embelli et qui se prétendent des droits sur nous. C’est le ressentiment? Mais le ressentiment contre une telle exploitation, un tel mensonge, une telle colonisation forcenée alors que nous n’avions rien fait, cela ne s’appelle pas ressentiment cela s’appelle du sang qui crie justice, un véhément redressement qui renverse la pensée contre soi-même, cela s’appelle la Grâce, et merde et cent fois merde aux catégories nietzschéennes et à leur engrenage mental incapacitant. La vie organique d’abord bordel! Et l’évidence, l’intuition, l’instinct d’abord. Nous disons ce que nous disons pas pour l’avoir “pensé” (penser la société...) mais pour l’avoir expérimenté, payé sur le terrain depuis 20 ans, depuis 50 ans même pour certains, et il faudrait s’inhiber l’évidence par respect d’un philologue allemand d’université qui n’a jamais vu venir l’invasion barbare contrairement aux grands Français Art Déco, les Céline, les Morand dès 1925 avec L’Europe galante, dès 1928 avec Magie Noire? Et Lapouge même avant. La vraie impulsion révolutionnaire c’est ça, et tout ce que ça induit.
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