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#La règle du jeu
nine-frames · 4 months
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La règle du jeu (The Rules of the Game), 1939.
Dir. Jean Renoir | Writ. Jean Renoir & Carl Koch | DOP Jean Bachelet
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jacobwren · 2 years
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“The awful thing about life is this: Everyone has their reasons.” Scene from La Règle du jeu (1939), a film by Jean Renoir.
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rainymovies · 1 year
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The Rules of the Game (1939)
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sindirimba · 10 months
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influence-sable · 1 year
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La règle du jeu de Jean Renoir (1939)
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miguelmarias · 2 years
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La Règle du jeu (Jean Renoir, 1939)
Es difícil comprender por qué esta película fue en su momento causa de escándalo. No hay en ella provocaciones como las que algunos pueden encontrar, si las buscan, en La edad de oro: todo es aquí elegancia y soltura, drama pero también gracia, sensibilidad y discreción; la acidez y la caricatura alternan sin ruptura con la nobleza y el sentido moral. No creo, pues, contra lo que se ha dicho siempre, que fuesen los temas de La Règle du jeu lo que soliviantó a sus contemporáneos ni el ver que la pantalla les devolvía un reflejo que —como con su vandálica e intolerante conducta ellos mismos se encargaron de demostrar— no hacía sino enaltecerles. El problema era, ha sido y podría ser aún, si esta película no hubiese alcanzado ya el estatuto de «clásica» cuando todavía se mantiene viva y en vigor, otro bien distinto, a mi entender: La regla del juego es, como quien no quiere la cosa, tal vez sin que el propio Renoir se lo propusiera o se percatase de ello a tiempo de evitarlo, una obra de vanguardia, innovadora y audaz, que se aventuraba en terreno entonces desconocido, incluso hoy poco transitado, salvo por cineastas marginales o marginados, como Straub, Rivette, Raúl Ruiz, Bresson, Pialat, Godard, Eustache, De Oliveira, es decir, los que piensan que Dreyer, Ford, Mizoguchi, Lang o Buñuel no hicieron cine para que luego vengan otros a remedarles ni para las filmotecas, y que tratan de prolongar los senderos por ellos abiertos a machetazos con sus nuevos machetes, igualmente afilados.
Naturalmente, Renoir no tiene nada de falso profeta, y no presumió nunca de sus audacias. Se contentó con hacer lo que nadie hacía, y no por pretensiones de originalidad, sino porque así veía las cosas y creía que su manera de mostrarlas era, si no la única ni la mejor, más justa o progresista, sí la más adecuada a sus intenciones. La regla del juego aparenta no romper nada, y sin embargo viola todas las reglas comerciales y académicas —tan a menudo las mismas— vigentes en 1982 en más de medio mundo. Estoy convencido de que, de acabar de rodarse, sería considerada inestrenable, si no impresentable, y condenada a languidecer en los circuitos de arte y ensayo, a los que, como es evidente, se la ha desterrado definitivamente.
Para ser marginal no basta con ponerse esa etiqueta. Hay que, más simplemente aún, pero con mucho más riesgo, estar al margen, que es tanto como fuera de la ley (aunque sea «la ley del mercado») y no atender otra demanda que la de la propia exigencia de integridad y de hacer lo que de verdad, para uno, vale la pena. Así que, para mí, una película marginal no es Arrebato, sino L'Atalante, Sauve qui peut (la vie), La Maman et la Putain, Nous ne vieillirons pas ensemble, Chronik der Anna Magdalena Bach, L'Hypothèse du tableau volé, Im Lauf der Zeit, Jonas qui aura 25 ans en l’an 2000, Gertrud, Quatre Nuits d'un reveur, la apropiadamente llamada The Edge, The Naked Kiss, El ángel exterminador, Le Testament du docteur Cordelier o, en la acepción más absoluta y literal de la palabra, La Règle du jeu. Esta última lo es tan totalmente porque, quizá por vez primera, empuja el drama a los márgenes de la acción, y los desplazamientos de los actores a los bordes del encuadre, haciendo de las entradas y salidas de campo el eje dinámico de sus evoluciones. Los personajes más dramáticos son, justamente, los más periféricos, los que durante casi todo su transcurso se mantienen en la orilla, para luego, súbitamente, zambullirse en la tragedia (Octave), o los que, iluminados al comienzo, pasan a ocupar un segundo plano, en la penumbra, para verse finalmente proyectados al protagonismo involuntario (el aviador Jurieu), o bien aquellos que —como Christine— vacilan temblorosamente o, por el contrario —como su marido, Robert de la Chesnaye—, son víctimas de una excesiva movilidad, delatora, bajo una capa de afectada seguridad de «hombre de mundo», de idéntica falta de confianza en sí mismo, de la misma zozobra frente a la necesidad de elegir, ante el peligro que suponen los sentimientos. Y Renoir ha sabido mover sus peones con una gracia que los humaniza, precisamente porque no ha retrocedido ante el riesgo que suponía seguir sus saltos de una actitud a la contraria, sus bruscos cambios de humor, los imprevistos giros de la enredada trama, los continuos quiebros de tono que el juego del azar y la lógica requieren. Todo en La regla del juego es movimiento, tránsito, fugacidad, idas y venidas por un pasillo sin fondo, en un escenario abierto, sin límites, en el que reina el tiempo. Por eso resiste tan bien su paso.
Publicado en el nº 16 de Casablanca (abril de 1982)
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oysterie · 8 days
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quick should I do my project on continued influence and relevance of medieval literature on how Skyrim is a Beowulf esque heroic poem yes /no. Or how parasite is an estate satire I rly don't want to do this project 😭
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soeurdelune · 2 months
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tag game du rpg ♡
règles du jeu: créer un nouveau billet en copiant-collant les questions ci-dessous, y répondre, puis tagger d'autres rpgistes !
depuis combien de temps fais-tu du rp? — plus de 10 ans c'est sûr.
quel était le premier personnage que tu as créé? — il s'appelait Taylor, son fc était Eddie Remayne et il était photographe 😎
quels sont les faceclaims que tu utilisais souvent à tes débuts? — c'était surtout des fc que mon petit cœur d'emotumblrgirl appréciait beaucoup (Alex Turner, Jenna Coleman, Evan Peters, etc)
y a-t-il un genre/univers dans lequel tu n'aimes pas du tout rp? — rien ne me vient en tête! je pense surtout ce qui est "mafia sombre romance toxique", ça ne me parle pas trop 💀
quelles sont les dynamiques entre personnages/types de liens que tu aimes le plus? — j'aime beaucoup les bandes d'amis soudés un peu idiots qui font n'importe quoi, les amis d'enfance et le bon vieux enemies to friends to lovers, pas forcément dans cet ordre d'ailleurs ✨
dans quels fandoms ou univers aimes-tu le plus rp? — généralement, toujours du city/réel ou surnaturel, et côté fandoms en ce moment je penche surtout vers les jeux vidéos, donc resident evil, bioshock, dishonored, tomb raider, l'anthologie dark pictures, etc.
un personnage que tu ne joues plus actuellement mais que tu aimerais reprendre? — je jouais une prophétesse hyper sarcastique et casse-pied qui faisait des doigts d'honneur aux archanges, avec des inspirations d'american horror story et good omens dans une vibe générale southern gothic, elle me manque un peu et je la ramènerais bien un jour pour jouer des mauvais tours!
y a-t-il des archétypes de personnages que tu joues souvent? — généralement j'aime les spooky babies avec des penchants artsy, des personnages sortis tout droit d'un cliché d'halloween, souvent avec un métier en lien avec le funéraire ou les baraques hantées; je ne sais pas si emo est un archétype mais bon.
y a-t-il un livre ou un écrit autre qui t'as beaucoup influencé·e pour écrire? — il y en a plusieurs mais le plus récent était L'ombre du vent de Carlos Ruiz Záfon.
une recommandation pour finir (livre, film, ou pourquoi pas un forum)? — je recommande le roman L'Hacienda d'Isabel Cañas pour celleux qui aiment les histoires de fantôme et les ambiances "mexican gothic" ♡ idéal pour se mettre dans le mood de la spooky season qui approche à grands pas!
☞ je tag: (c'est entièrement facultatif, si vous n'avez pas envie de le faire pas de pression !!) @beautyisakillerqueen @lisan-algaib @adeadpoetsociety @thiphus @rollinginthedeep-swan @timuschaos @un-mare-di-stelle @flying-corvidae @monocleunivers @soletear @etangsnrs @mybrainsamess @valhdia @zaynsjm (et je m'arrête là mais tout le monde est invité à participer si vous le souhaitez évidemment ♡)
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olympic-paris · 6 days
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saga: Soumission & Domination 274
Espagne - 2 soirées chaudes(2013)
Juan nous emmène (PH, Ernesto et moi) sur la plage à l'heure où les Gogos des boites la parcourent à la recherche de clients à appâter.
Par 3 ou 4, dans leurs maillots blancs portés bas sur les hanches, tirés vers le sable par des sexes lourds, musclés comme sur des publicités pour protéines et bien sûr, tout bronzés, ils sont rapidement le point de mire de toute l'étendue de sable.
Nous jouons les indifférents mais le carré que nous faisons, avec nos petits culs musclés serrés dans nos maillots à la taille calculée au plus juste, attire leurs regards. Ils dévient vers nous et je vois se pencher au dessus de nous le plus beau gosse du groupe, tout sourire, dévoilant deux rangées de dents blanches. Il nous apostrophe en anglais nous proposant des entrées pour la soirée qui vient. Mes trois collègues se retournent et matent leur petit groupe. Comme on tarde à répondre, un des autres s'accroupi à nos cotés et ajoute que, pour nous, ils pourraient aller jusqu'à nous offrir  les boissons toute la nuit.
Comme il nous voit encore hésiter, il m'attrape le poignet et clipse son bracelet " tout compris ". Quand Ernesto leur demande le dress-code, ils nous répondent que nos maillots seront bien suffisants, les kpotes et le gel sont fournis en libre service. On leur garde un flyer et comme nous leur promettons d'y venir, ils bouclent le reste de mon groupe.
Nous rentrons à la villa, tout contents. Nous racontons l'invitation à nos mecs et que nous avons même décrochés le sésame conso. Ils rigolent, comme si nous n'avions pas les moyens de payer. Je leur dis que c'était une question de principe. Hervé dit reconnaitre là ma façon de me vendre au plus offrant. C'est dit gentiment et je ne le prends pas comme une insulte. Sauf avec mes quatre amours (Marc, PH, Ernesto et Emma), je n'ai aucun scrupule à faire payer très cher mes services.
Le reste de l'après midi, nous préparons nos corps à la débauche du soir. Epilations et rasages, muscu et, pour mettre en valeur nos corps déjà bien bronzés, petits massages au lait après soleil. La pose des cockrings met en avant nos " atouts " et l'emballage du tout dans nos maillots ES de la collection 2013 complète notre attractivité. J'en prête un en caoutchouc à Juan. Son petit paquet prend tout de suite meilleur allure dans son Aussiebum. Quand nous nous présentons à Marc et Hervé, nous avons droit à des sifflements approbateurs. Dans notre dos, nous parviennent ceux de Paco. C'est rien mais ça nous mets tous les 4 en joie. Ils nous disent qu'ils viendront aussi à la soirée pour pouvoir nous surveiller un peu. Marc appelle Paco et lui dit qu'il devra nous accompagner pour surveiller son Juan et  ajoute que c'est lui qui offre.
Quand nous arrivons à la boite, nos " laisser- passer " font leur effet auprès du physionomiste et les euros agités par Marc assurent leurs entrées.
La musique est trop forte et il est quasi impossible de s'entendre parler. Par contre la population n'est constituée que des plus beaux gosses de la station balnéaire. Physiquement ils paraissent tous entre 16 et 30/35 ans. Si nous tirons notre épingle du jeu, nous ne sommes pas les seuls beaux-gosses de la soirée. Ça évite d'attraper le melon !
Je me fais draguer par un mec dans les 25-30 ans parmi les plus musclés avec un maillot bien rempli, même s'il bande un peu déjà. Il n'y a pas été par 4 chemins. Ses mains sur mes fesses, il me plaque tout contre lui pour que je sente bien son " intérêt " pour moi grandir. Je pose mes mains sur ses pecs. Il les contracte pour m'en mettre plein la vue. Ok, ils sont bien épais, tout comme la barre que je sens se développer contre ma hanche. Il va vite mais nous avons toute la nuit devant nous. Je l'entraine vers le bar et me commande une bière. Le mec annule ma demande et me dit m'offrir du champagne. Le serveur qui a vu mon poignet, me fait signe d'accepter. Il sort une bouteille de champagne français que l'autre règle avec un billet de 500€ tout neuf sorti de son slip. Je prends une coupe alors qu'il s'enfile le reste de la bouteille. Je me dis alors que ce plan ne va pas tarder à me filer entre les doigts ! L'alcool et le sexe c'est rarement compatible. Pour le moment il reste bien raide. Alors que je sirote la coupe, je jette un coup d'oeil pour voir où sont mes amis. Marc entreprend un p'tit mec tout mignon alors qu'Hervé s'approche d'une copie conforme d'Ernesto. On se refait pas !
Quand je reviens à mon " cas ", la bouteille est vidée mais pas d'effets visible sur le comportement du mec. Il bande toujours, son élocution est nette et le regard bien clair. Nous nous déplaçons sur la piste et sautons avec tous les autres au rythme de la musique. Il me colle un peu trop. Je lui dis qu'il est pas mal mais que j'ai pas encore fait mon choix. Ça le dégrise, je pense qu'il avait cru que c'était du tout cuit et qu'il m'en avait mis plein la vue avec sa grosse coupure. Du coup il me lâche et s'attaque à une autre proie. Je retourne au bar et le mec qui nous avait servi me dit que si je continu sur le même rythme, je serais invité toute la durée de mon séjour. Il est étonné quand je dis que cela ne m'intéresse pas. Je sens alors contre mes fesses se plaquer une grosse bite et des mains sur mes hanches qui la compresse. Je me retourne c'est le mec de tout à l'heure. Il commande une 2ème bouteille et comme je proteste, il me dit de laisser faire, que cela ne l'empêchera pas de bander.  Avant qu'il la finisse, je l'entraine dans les WC. Ils sont déjà bien occupé mais il déniche le dernier m² de libre et me colle au mur avant de me rouler un patin. Contrairement à ce que craignait, sa bouche est fraiche et sa langue agile. Entre deux pelles, il me dit qu'il m'avait remarqué dès mon entrée dans la boite, que mon corps musclé et huilé l'avait attiré et que quand il avait eu mon cul sous ses mains, il s'était dit que j'étais pour lui. Je le remercie de tant de compliment et pousse un peu pour voir jusqu'où il serait capable d'aller. Comme nous parlons espagnol depuis le début, je lui fais croire que je suis sans travail. Il me propose aussitôt de m'aider un peu. Je fais semblant d'hésiter, lui dit que je ne suis pas vénal et que j'ai jamais fait ça. Il me dit me croire mais reste très pressant contre mon bassin. Finalement il me propose de sortir de la boite et de finir la soirée chez lui. Comme il me plait bien, je lui dis que c'est d'accord mais que je dois prévenir un copain d'où je serais. Nous nous approchons d'Ernesto (autant prendre le plus massif pour l'impressionner un peu) et alors que je lui dis que j'accompagne ce monsieur à son hôtel, ce dernier lui donne son nom et l'adresse. C'est à deux pas de la boite et nous passons l'accueil sans autre remarque qu'un clin d'oeil appuyé du standardiste.
Il occupe une suite assez grande. Le lit King-size n'attend que nos ébats. Je me jette dessus et le mec me rejoint. Il me caresse, prenant un temps infini pour parcourir le moindre cm² de ma peau découverte. Sa langue remplace ses mains. C'est assez bon. Arrivé au bord de mon maillot, il finit de dénouer le lacet et pousse le rebord sous mes couilles. Quand il voit mon cockring en or, il me questionne sur qui me l'a offert. Là, j'invente un " service " rendu à un prince arabe. Je le vois avaler l'imposture et ça lui rappelle qu'il m'avait attiré financièrement. Il se relève et va chercher dans le coffre au fond du placard, un paquet d'Euro. Il en détache quelques billets et les pose sur la table basse sous le cendrier en verre. Il en compte 5 de 200, me regarde et en ajoute 2 autres avant de me demander si c'est suffisant. Je fais l'impressionné. J'ouvre de grands yeux en lui demandant ce qu'il fait. Quand il me dit être Trader, je lui dis en riant qu'il aurait pu arrondir. Il me regarde à nouveau ajoute 3 billets et me dit que je vais devoir quand même les mériter. Alors que j'avais remonté mon maillot, je fais quelques déhanchements avant de le retirer en lui tournant le dos et en me penchant pour bien mettre mon cul devant ses yeux. Je sens aussitôt ses deux mains se poser sur mes fesses et il me dit de ne plus bouger. Je me laisse guider. Il pousse sur mes chevilles pour me faire comprendre d'écarter les pieds. Je sens alors sa bouche se poser sur ma peau et sa langue sinuer sur ma fesse droite jusqu'à se poser sur ma rondelle. C'est un pro du léchage de cul. Il me travaille la rondelle un bon momentµ. Il me fait me poser sur le lit le cul en l'air et les épaules sur le matelas. Il fait ça trop bien. Limite qu'il me ferait jouir avec sa langue ! De temps en temps il aspire mes boules dans sa bouche pour les faire rouler sur sa langue. Je bande à en avoir mal. Quand il me lâche, j'ai la rondelle ouverte à trois doigts ! A mon tour de jouer. Il est debout et je caresse son corps. Mes mains s'attardent sur ses muscles qu'il bande les uns après les autres. A genoux devant lui, je lui retire son boxer de bain déformé par son excitation. J'avais bien estimé. Se dresse devant mes yeux un sexe d'environ 22cm bien épais, dans les 6,5. Blanc par rapport au reste de son corps bien bronzé, circoncise, sa bite est bien droite légèrement courbée vers le bas. Son gland rose vif est aussi gros que ses boules. Ces dernières, rasées, pendent bas en dessous, au moins à 5/6cm. Je ne me dégonfle pas et lui prouve que là aussi il a bien investi son argent.
Je me penche en avant et doucement m'enfile sa bite dans la gorge ne m'arrêtant que quand mes dents se sont posées sur son pubis. J'ai senti que ça lui faisait de l'effet alors qu'il avait du mal à rester debout ! Je recule, respire un bon coup et remets ça. Là, ses mains sur ma tête accompagnent ma plongée. Il est impressionné. Je l'entends se dire en anglais qu'il s'est trouvé une sacrée bonne pute. Je fais semblant de ne pas comprendre, ça pourra me servir plus tard.
En attendant il apprécie au plus haut point l'hébergement de son gros gland dans ma gorge. Je le laisse mener ses coups de reins. J'ai l'impression qu'il cherche à voir combien de temps je peux tenir en apnée car il reste de plus en plus longtemps tout au fond de ma gorge, ses mains maintenant ma tête contre lui. Comme j'ai une bonne expérience de cette pratique et une bonne cage thoracique, il prend sont pied à me malmener un peu. Ses propos virent coté " salope " et " chienne ", " bouche à bite " et " pute " reviennent souvent dans sa bouche.
Il se retire avant de juter. Il me repousse et me regarde fixement. Sans m'inquiéter, je m'interroge sur ses motivations. Il me demande alors de tourner doucement devant lui, pour se repaitre de mon physique. Il me demande quels sports je fais et ne s'étonne pas quand je lui dis faire beaucoup de muscu. Lui me dit qu'il passe 1h2/2 par jours à la salle. Je m'émerveille et ajoute que cela lui fait un corps superbe. Il boit mes paroles comme du miel ! J'ai l'impression qu'il jouit d'un égo surdimensionné ! Il me le prouve aussitôt en prenant des poses faisant ressortir ses différents groupes musculaires. Ok je dois admettre qu'il à toutes les raisons d'être fier de lui. Son corps est harmonieusement très musclé et sa bite de 22cm ne parait pas ridicule pour autant.
En Espagnol il me demande comment je le trouve. Je continu sur le mode " mon dieu qu'il est beau ". Je m'approche et caresse son corps. Il ne demandait que cela, trouver un jeune mec à impressionner. Il me quitte soudain et fouille dans son coffre et ajoute une liasse de billets à ceux déjà sur la table basse. Il me dit qu'avec la prime qu'il s'était fait cette année, il pouvait me couvrir de billet qu'il lui en resterait encore suffisamment. J'aime ce genre de propos.
Il revient vers moi, me caresse et pousse ses doigts entre mes fesses. Comme il me trouve resserré, il me pousse sur le lit et me demande de prendre mes jambes sous les genoux pour relever mon cul et écarter mes fesses. Il se couche alors et ventouse ma rondelle. Sa langue refait merveille. Il salive un max et je laisse mon sphincter se déplisser. Il fait entrer sa langue et lèche les 2/3 premiers cm de mon ampoule anale. C'est bon surtout qu'il salive beaucoup et pousse cette dernières dans mon trou.
Je ne me branle pas car ça me ferait juter direct. J'ai perdu la notion du temps quand je le sens se redresser, passer son torse entre mes cuisses et m'écrasant, me donne sa langue à téter. Bien que lubrifié et préparé, je sens son gland chercher ma porte arrière. Pas de Kpote, je serre mon anneau et il bloque. Ça le surprend. Je lui glisse dans l'oreille que je suis une pute mais de celles qui se font prendre avec Kpote. Il fouille sous son oreiller et s'équipe rapidement. Je me détends et le laisse entrer. Pour lui donner plus de plaisir et en prendre aussi ma part, je maîtrise sa vitesse de pénétration en variant ma pression anale. Quand il arrive à coller son bassin à mes fesses, il a l'air d'avoir gravi l'Everest ! Je continu mon jeu de jeune impressionné. Je lui dis " c'est trop bon ", " je ne me suis jamais pris une bite aussi belle " et il me croit !
Il s'agenouille et ses mains me prennent les hanches pour initier s'enculage.
Je fais le fier mais il est réellement bon à ce petit jeu.
Il me baise comme une reine. J'ai l'impression quand même de visiter tout le Kamasoutra. Régulièrement il change nos positions. J'ai beau pulser de ma rondelle, il tient le choc grave. Je suis plus d'une fois à la limite de juter mais il s'en aperçoit et cesse alors tout mouvement le temps que la pression redescende.
Pendant ces moments là, il m'embrasse et nos langues se battent entre elles.
Il me baise comme ça pendant presque 2h avant d'exploser dans sa kpote. Nous sommes alors assis tous les deux, moi planté sur sa queue bien sûr. Il me fait sauter dessus, ses mains sous mes aisselles me soulevant aussi facilement que si j'étais une poupée gonflable. Au moment où il jouit, il pousse sur mes épaules pour se planter encore plus loin en moi. je me laisse aller à juter à mon tour et lui en fout des litres, jusque dans les cheveux.
Je bascule sur le coté et m'éloigne avant qu'il ne débande. Je tâte ma rondelle, il l'a bien élargie le salaud ! À lui tout seul il me l'a défoncée comme lors des touzes maison où je me fais sauter par une bonne demi-douzaine de mecs dont Eric !
Sur le dos, il me demande si je serais encore libre durant la semaine. J'hésite puis lui réponds que non. Il me demande alors si je n'aurais pas quelques amis qui pourraient le dépanner comme je venais de le faire.
Je glisse jusqu'à la table basse et m'empare des billets et les compte. Il y en avait pour 2 000 avant qu'il ne fasse le rajout. Là maintenant j'en compte 10 de 500 en plus. Même si le jour se lève, se faire 7 000 € en une nuit et avec un seul mec, je ne crois pas avoir jamais gagné cela moi-même.
Je lui demande s'il sera aussi généreux. Il me répond que si mes amis sont aussi bons que moi, ce sera oui.  Je cogite vite et pense que mes deux Escorts lutteurs Espagnols feraient bien son affaire. Je lui prends son numéro de portable et lui promet de le rappeler avant midi.
Quand je rentre à la villa, j'apporte des churros frais trouvés sur le chemin. Ils dorment tous. Je pose mon salaire sur la table de chevet et m'endors aux cotés de mon PH et de Marc.
Jardinier
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aurevoirmonty · 14 days
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«Dépouiller les peuples»: le complotiste Michel Rocard dévoile le pot aux roses de la loi «Pompidou-Giscard-Rothschild»
«En 1974, on a eu une loi stupéfiante qui a interdit à l'Etat, de se financer sans intérêts auprès de la Banque de France», rappelait l’ex-Premier ministre en 2012.
«On a obligé l’Etat à aller se financer sur le marché financier privé, à 4 ou 5%, notant que sans cette «loi bancaire», l’endettement de la France n’aurait été que de 16 à 17% au lieu de 91% du PIB (en 2012).
Une loi «Pompidou-Giscard-Rothschild» que les médias aux ordres s’acharnent (https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2018/12/13/non-la-loi-pompidou-giscard-rothschild-de-1973-n-a-pas-cree-la-dette-francaise_5397066_4355770.html)à débunker sur des points de détails.
Qu’importe, en 1993, le Traité de Maastricht énonce l’interdiction de tout refinancement des Etats auprès de leurs Banques centrales, faisant des marchés financiers un créancier incontournable.
Ce qui revient au même.
Et Rocard de conclure:
«Maintenant, les règles du jeu sont là, on est coincés et il faut payer la dette.»
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ushioliddell-blog · 5 months
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Ayhalo : une analyse de leur dynamique.
À l'heure où j'écris ces mots, le Ayhalo n'est qu'une projection de certains esprits dans la commu de Bad et de Aypierre. Il est loin d'être en première position et les habitants eux-mêmes de Quesadilla ne l'envisagent pas, probablement dû au fait des sentiments très puissants de Q!Aypierre pour Q!Max ou de ceux qu'ils viennent de découvrir pour Cucurucho de Q!Bad. Les chances pour que ça évolue sont.....quasiment nulles, on va pas se mentir. Mais je disais ça aussi pour le Furryduo, à cause de l'Ohnana duo et du Chicomaxo, et voyez comment ça a évolué. Et moi-même j'ai évolué en passant d'une pensée que c'était un cracked ship d'une très forte amitié à la considération comme un ship réel. Un terrain parfait pour la Fanfiction, tout ça :) Mais y a des trucs. Des trucs qui font que, si ça se faisait, ça collerait.
Je prends appui parfois sur des posts vu ici (notamment l'analyse de Q!Bad super bien faite partagée juste avant ) ou le Discord (la discussion du jour du "malin mais fou" ).
On explore un peu ça ?
I ) Leurs points communs et leurs liens.
Le titre vous surprend peut être, mais oui, ils en ont. Probablement plus évidents qu'entre Q!Max et Q!Aypierre, d'ailleurs.
A) Leur boussole morale.
On commence par du lourd et du évident. XD Ils sont clairement dans une boussole morale complètement fuck up et grise. Ce n'est pas qu'ils sont immoraux, plutôt amoraux. La différence ? Immoral veut dire qu'il enfreint délibérément la morale en sachant pertinemment qu'il s'agit d'actes immoraux, qu'il la rejette, amoral, qu'il n'a tout simplement pas de morale, pas qu'il l'a rejeté mais plutôt que la morale n'est pas prise en considération dans ses actes. Et là, vous vous dites, "pourquoi amoraux ? Ils ont déjà trahi leurs camarades notamment dans le Purgatoire ". Mais pourquoi l'ont-ils fait ? Telle est la question à se poser ici. Ils l'ont fait pour survivre et parce qu'il (Ayrobot ) considérait qu'il n'y avait déjà plus de morale et absolument pas à en prendre compte, s'il ne voulait pas être trop faible et offrir une occasion d'être exploité. En d'autres termes, refus de prise en considération de la morale qui eut été un choix naïf quitte à passer pour immoral. Ayrobot a t-il conscience que ce soit mal ? Non. Ce qui importe pour Ayrobot, c'est la survie, et ce depuis toujours. Il n'a PAS de base de morale, n'étant pas humain. Et Q!Bad ? Q!Bad est un démon et un ancien régulier de ce genre de jeu comme Q!Aypierre, ou la morale est à oublier pour ne pas être trahi et survivre. Ils appliquent les règles, conscients que quoi qu'ils fassent, ils seront jugés négativement de toute façon.
Aussi étrange qu'il soit possible, ils ont pourtant une moralité. Leurs proches sont tout pour eux. Et ils feraient absolument TOUT pour eux. Jusqu'à se donner en pâture à des Vultures, jusqu'à fournir des objets illégaux sans savoir pourquoi. Jusqu'à tuer, si besoin. (Plus Ayrobot que Q!Aypierre sur ce point. Une preuve ? L'épreuve de combat durant la prison. Le premier choix de Q!Aypierre ? Plutôt que se battre....Danser. ) Et ils soutiennent de bout en bout leurs proches, même dans les idées les plus saugrenues (des trous au Spawn permettraient de retrouver les oeufs ? Lets go ! Un train de siége ? Allons y ! ). Ce sont des Ride or Die, tous les deux. Et ils se soutiennent toujours. Approuvent les idées de l'un l'autre quand bien même elle soit fucked UP as fuck, offrant même leur aide si besoin (la prank sur le toit de Q!Tubbo ). Pire que ça : ils alimentent les excentricités de l'un l'autre constamment. Les apprécient même (surtout Q!Aypierre ) à leur juste valeur. Là où un Q!Tubbo, un Q!Roier ou un Q!Mike se désespéreraient et maudiraient Q!Bad, Q!Aypierre va reconnaître le génie de la prank, l'apprécier, l'admirer et même la déclencher en sachant pertinemment ce que cela va faire. Puis va rendre la faveur. En un peu plus fort mais sans jamais y aller TROP fort, pour rester dans une bonne équivalence. Q!Bad.....est plus mauvais joueur sur ça. "Ne fais pas aux autres ce qu'on ne voudrait pas qu'on te fasse " ne s'applique pas du tout pour lui XD Mais il reconnaît aussi le génie de certaines pranks, tout en craignant parfois qu'elles lui arrivent (la fois où Q!Aypierre a parlé de remplacer UN truc dans un décor sans rien dire et qui aurait angoissé Q!Bad ).
B) Leur génie et leur folie
Comme je l'ai dit leurs seuls limites sont ce que leurs proches ont besoin. Surtout les oeufs pour Q!Bad, les oeufs et le cercle très rapproché (les Français, Q!Bad et Q!Max ) pour Q!Aypierre. Ils ne feront pas de mal consciemment aux autres (ou du moins ce qui ne correspond pas à faire du mal à quelqu'un selon eux ) sans aucune raison (et non les pranks à Q!Tubbo n'étaient pas gratuites ) mais ça n'ira jamais au delà de pranks, hors Purgatoire. Ils considèrent même ça comme des moyens de souhaiter des bons retours et offrir de l'attention (Q!Bad ) ou de simplement entretenir une rivalité amicale (Q!Aypierre ). Ils passent les trois quart de leur temps à conspirer ensemble sur de nouvelles manière de détourner le serveur, les bugs, ou créer de nouvelles choses....Et vont immédiatement chercher l'autre pour en parler. On ne compte plus les fois où Q!Aypierre a laché un "j'en parlerais à Bébou " durant un stream.
Une conversation avec Bébou, on sait quand elle commence, jamais quand elle prend fin et Q!Aypierre en a parfaitement conscience xD
Ils admirent également l'ingéniosité de l'un l'autre constamment et se le disent et là où d'autres s'arrêtent la, ils sont curieux et se demandent comment l'autre a procédé et se le font expliquer et si besoin est, se prodiguent des conseils pour améliorer.
Ce sont des génies, tout les deux. L'un est un mastermind dans l'élaboration de plans (Q!Bad ), l'autre un support technique, un Q en puissance en somme (Q!Aypierre ) qui élabore également des plans quand il faut appuyer ses proches, notamment Q!Bad (les waystones ) et.....pour vendre ses objets. XD
Mais le génie va de pair avec la folie....Et pour eux, c'est TRES vrai. Pour Q!Bad, c'est la démesure, comme placer des blocs de neige pour couvrir le Tubbhole, pour Q!Aypierre l'excentricité notamment avec le Furry Club. C'est jouer avec le nucléaire parce qu'ils peuvent le faire, même si pour le coup, Q!Aypierre est un chouia plus responsable sur ça XD
C) Leur amour des pranks
On en a déjà parlé, un peu en diagonale, alors ce point sera court. Ils aiment ça. Tous les deux, et plus que de raison. Au point de faire des productions immenses, juste pour en réaliser une. Leurs raisons divergent (que ce soit pour offrir de l'attention ou un bon retour ou entretenir une rivalité amicale ou simplement en réponse à une prank ) mais leur amour commun des pranks fait qu'ils s'aideront toujours, se montreront leurs pranks respectives sans hésiter. Et se gaslighteront sur qui l'a fait chez eux pour entretenir la guerre des pranks tout en sachant pertinemment que celui en face de l'autre en ait l'auteur. Q!Aypierre est même à présent capable de déceler les pranks de Q!Bad en reconnaissant son style XD
Q!Aypierre est cependant plus un adepte des blagues à l'oral et en fait constamment à Q!Bad qui les apprécie.
D) Leurs Trust Issues
Oh qu'ils en ont. Q!Bad est un paranoïaque qui n'accorde sa confiance que très peu et à très peu de personnes. Q!Aypierre ne se confie que très peu également, de peur d'être utilisé ou vu comme faible et se dissimule derrière ses plaisanteries constamment. Et.....ils acceptent ça chez l'autre. Font en sorte de respecter ce sentiment chez l'autre et le prennent en considération (entrer en premier dans le musée de peur qu'il y ait une cage pour Q!Bad ) par exemple, comme un post ici l'avait bien souligné. Comment est née leur confiance, @issialou l'a très bien expliqué, donc j'y reviendrai pas, mais..... Pour l'heure Q!Bad est la seule personne en dehors de sa fille en laquelle Q!Aypierre a entièrement confiance et la seule sur laquelle il sait pouvoir compter. Il ne lui dira pas tout, tout comme Q!Bad, mais si l'un l'autre se posent des questions sur leurs états, ils se répondront ("Comment tu vis l'absence de Pomme " "Je bois " ). Ce ne sera pas très clair et très vite la blague reviendra minimiser le truc, mais c'est bien plus que pour la plupart des gens (à l'exception des oeufs qui sont sa faiblesse et à laquelle il dira tout en minimisant cependant ).
E) Leur manière de gérer l'abandon.
......Mal ? Ni Q!Bad ni Q!Aypierre ne supportent l'abandon. Surtout après s'être laissé s'attacher. La trahison offre des occasions à Ayrobot de se réveiller, également, visiblement, probablement du à son passé. Si Q!Bad semble en recherche d'attention constante à présent, Q!Aypierre est semble t-il un peu plus indépendant, probablement dû à cette fameuse peur d'être exploité si trop dépendant et la rupture avec Q!Max a aggravé le truc au point d'exacerber le lien commercial comme seul lien possible pour obtenir un truc, hors cas d'urgence et se dissimuler derrière ses blagues ou faire peur pour ne pas qu'on l'approche trop près de nouveau.
Mais une chose est sûre : abandonnez les, ils vous le feront PAYER (plus Ayrobot sur ce coup là ).
Vous en tiendront-ils rigueur ?. ......Non. revenez vers eux et hop, fini, terminé. XD Ride or Die XD
Où ils vous feront revenir vers eux. En explosant votre bureau, par exemple :D
F) Le capitalisme.
C'est probablement les deux sur le serveur qui le prennent autant au sérieux et y sont attachés. Et qui se sont associés. Au point de bassiner leur fille avec ça, à chaque fois qu'ils s'emportent dans leur roleplay de vendeur et d'acheteur radin xD
Le capitalisme est aussi devenu une manière pour Q!Aypierre de se dissimuler, ne plus se montrer comme possible à exploiter et empêcher les gens de venir voir trop près. Le paiement en nature est en effet devenu impossible avec lui (son refus à Q!Mike ).
G) Leur haine de l'ennui.
Ils ont du temps devant eux ? Trop d'objets à vendre et personne d'assez riche pour les acheter ? Et bien essayons de le vendre à l'autre même s'il en a pas du tout besoin et qu'il est radin :D
Ils jouent, constamment l'un avec l'autre. Et ils savent TRES bien que ce n'est qu'un jeu. Ils le poussent parfois loin, (notamment les dix mille patates ) mais à leurs yeux, ce n'est rien de plus que des blagues et une espèce de jeu de rôle play dans le rôle play. C'est souvent à qui ira le plus loin, et Q!Bad gagne constamment car Q!Aypierre ne s'attend jamais à ce qu'il pousse leur mini roleplay aussi loin XD Ils en arrivent même à une certaine domesticité, dans la complicité de leurs blagues et leur récurrence, sans même s'en rendre compte, au point de parfois ressembler à un vieux couple. XD
Le jeu est même parfois utilisé pour aider l'autre, avec sa mémoire, ou pour son moral.
Ils suivent instantanément l'autre dans une tentative de roleplay, également. Une musique dramatique pour aucune raison ? Le ton le devient également. Tu te dis nouveau banquier ? Je serais un nouveau client :D
Et.....ils ne laissent jamais l'autre déprimer ou s'ennuyer. S'ils sont parfaitement capables de s'occuper tout seuls (un plus chaotiquement que l'autre ), si l'autre leur confie une tâche, ou a une idée, leur permettant de pas penser et pas s'ennuyer....Ils prennent. Il a également été prouvé que Q!Bad est celui qui a été chercher Q!Aypierre au reset et ce qui a mené aux débuts de la Stonks and Muffin.
H) Leur soucis de l'autre.
Absolument pas conventionnel, sauf pour les oeufs. L'un va demander aux autres, de veiller si besoin et veiller dans l'ombre (Q!Aypierre), l'autre va de temps à autre poser des questions mais surtout s'assurer de maintenir le moral par des actes et propositions, tout en dissimulant son propre état (Q!Bad ).
Ils se soucient beaucoup de l'autre, mais font en sorte de ne pas inquiéter sur leur état et faire ce qu'ils peuvent pour aider l'autre.
Bon, ce post est LONG, alors on va le découper en deux parties. La prochaine fois, je parlerai des obstacles pour le Ayhalo et ptêt comment je verrais une évolution, si ça devait arriver et se concretiser.
Si d'autres points me viennent, j'en parlerai.
Merci de m'avoir lu. ^^
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wickedwitches · 20 days
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tag game du rp
j'ai pris le tag libre de @jepeuxpasjairoleplay (bc i like to talk oui oui)
règles du jeu: créer un nouveau billet en copiant-collant les questions ci-dessous, y répondre, puis tagger d'autres rpgistes !
depuis combien de temps fais-tu du rp? — sur forum j'ai commencé en 2010 donc 14 ans. techniquement, j'ai débuté avant via skyrock (ouéoué). je vais partir sur forum, tho.
quel était le premier personnage que tu as créé? — Natasha Williams sur un forum esprits criminels (si y en a qui ont connu, forever nostalgique de cette époque mdr)
quels sont les faceclaims que tu utilisais souvent à tes débuts? — alors au tout début je reprenais jamais le même 2 fois (mais j'étais sur un seul forum donc mdr). puis après j'ai découvert Benedict Cumberbatch et il a empiré ma créativité mdrrr
y a-t-il un genre/univers dans lequel tu n'aimes pas du tout rp? — jamais été attirée par les univers illustrés ou ceux où on incarne des animaux (ça me perturbe bcp) et j'ai souvent du mal avec les univers totalement inventés et/ou magiques (trop peur de faire une connerie qui soit différent du lore, bref, mon anxiété le vit mal)
quelles sont les dynamiques entre personnages/types de liens que tu aimes le plus? — platonique le famous found family et en romantique CLAIREMENT le friends to lovers (bonus point si ça goes enemies to friends to lovers mdrrr) (colleagues to lovers marche aussi). j'aime aussi bcp quand la nana est petite et fierce et smart et que le mec est un grand dumbass deeply in love
dans quels fandoms ou univers aimes-tu le plus rp? — si on me lance dans un city classique je me débrouille pour ne pas tourner en rond, je suis une fille simple
un personnage que tu ne joues plus actuellement mais que tu aimerais reprendre? — tous lol Juliet me manquera tout le temps, toujours et prob que je ferai jamais complètement mon deuil d'Avalon non plus
y a-t-il des archétypes de personnages que tu joues souvent? — je sais pas si c'est un archétype mais j'ai remarqué que mes nanas sont toutes ultra féministes. chez les mecs c'est souvent celui qui est considéré (ou se considère, en tout cas) comme le raté de la famille/de sa bande de potes, dépressif, en recherche de réponses. si je jour un perso de 50+ ans, il est dépressif, a eu une vie pourrie dès la naissance, souvent un bouffon (ou aime se prétendre bouffon) (et souvent il a la tronche de Mark Ruffalo car je l'aime d'amour).
y a-t-il un livre ou un écrit autre qui t'as beaucoup influencé·e pour écrire? — j'écrivais déjà avant car j'ai toujours écris et inventé des histoires mais Pierre Bottero restera l'une des plus grosses influences littéraires de ma vie.
une recommandation pour finir (livre, film, ou pourquoi pas un forum)? — y en a bcp niveau livres mais je pense que Sorj Chalandon est encore trop peu connu et je trouve ça scandaleux mdr c'est une littérature blanche (française) absolument divine, des sujets toujours réels, inspirants et déchirants et sa plume est à jalouser for real donc lisez-le. si vous voulez le découvrir, Le Quatrième Mur ou Enfant de salaud sont mes deux préférés (et les deux pour lesquels il aurait du avoir le prix Goncourt idc). et sinon en sf et pour les amateurs de space opera : Becky Chambers. that's it.
☞ je tag: personne ou les personnes qui veulent faire le jeu et qui aiment papoter
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soitamespieds · 1 year
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À chaque instant, n'oubliez pas de lui rappeler qui est aux commandes
Les femmes qui dominent: Une dynamique de pouvoir et de sanction
Depuis des siècles, les relations de pouvoir ont évolué, oscillant entre des dominations variées. Longtemps, les femmes ont été sous-représentées, voire marginalisées, dans de nombreux aspects de la société. Mais, dans certains milieux et contextes, le vent a changé de direction. Des femmes audacieuses ont pris le contrôle, rappelant à chaque instant aux hommes qui est vraiment aux commandes.
Chaque regard, chaque geste, chaque mot prononcé par ces femmes est un rappel constant de leur position dominante. Et dans cette dynamique, le pouvoir de sanction devient également apparent. Elles n'hésitent pas à punir, à rectifier, à redéfinir les limites lorsque celles-ci sont transgressées. Ces sanctions peuvent être subtiles ou explicites, mais elles servent toujours à réaffirmer leur position de force.
Ces femmes ne cherchent pas nécessairement à écraser ou à diminuer les hommes, mais plutôt à définir clairement les règles du jeu. Leur autorité ne s'exprime pas uniquement à travers des récompenses, mais aussi à travers des corrections lorsque la situation l'exige.
L'image traditionnelle de la femme douce et soumise est bouleversée par ces femmes puissantes qui ne demandent la permission à personne. Elles sont des dirigeantes, des innovatrices, des meneuses. Dans le monde des affaires, des arts, de la politique, et même dans la vie quotidienne, elles se positionnent comme des leaders, non pas parce qu’elles veulent prouver quelque chose, mais parce qu'elles le méritent.
Et le plus fascinant dans cette dynamique, c'est l'adaptabilité des hommes qui entrent dans leur orbite. Nombre d'entre eux reconnaissent et respectent cette autorité, acceptant même les sanctions comme un moyen d'apprentissage et de croissance. Ils comprennent que suivre une femme puissante ne diminue en rien leur propre valeur. Au contraire, cela peut être une source d'enrichissement personnel et professionnel.
Cela dit, tout comme il est essentiel de célébrer ces femmes fortes, il est tout aussi crucial de reconnaître que chaque individu, homme ou femme, a sa propre force et sa propre dynamique. La vraie puissance réside dans l'équilibre, l'harmonie et la compréhension mutuelle.
Les femmes dominantes, avec leur assurance, leur détermination, et leur capacité à punir, ne sont pas une menace, mais plutôt un symbole du progrès de la société vers une égalité des genres. À chaque moment, elles rappellent aux hommes leur place, non pas par arrogance, mais par le désir d'une collaboration harmonieuse où chaque individu connaît sa valeur.
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moonchallenge · 3 months
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☾ Perfect life Challenge 2.0 ☽
Après avoir réalisé le premier Perfect life en 2021, je me devais de lui donner une seconde vie avec les mises à jour que l’ont à pu avoir sur les sims.  J’ai néanmoins choisi de le laisser accessible en “jeu de base”, aucun pack n’est donc nécessaire pour le réaliser. Chaque pack pourra par contre rajouter des possibilités dans votre aventure. C’est un challenge que j’ai adoré créer et faire par la suite. Ils vous à également beaucoup plus, alors je vous en remercie!
Le but du challenge : 
Compléter la totalité de la liste de vie principale plus bas et au moins 5 choses de la liste bonus (vous pouvez bien sûr en réaliser plus si vous le souhaitez).
L’ordre des listes n’a aucune importance, vous pouvez les faire dans l’ordre que vous le voulez et à l'âge que vous le voulez.
Le but que je recherche dans le challenge c’est de revisiter notre façon de jouer et la rendre plus réaliste, le jeu des sims à pour but de refléter la vie, il veut s’en rapprocher le plus possible, mais dans la vie on commence toujours par être bébé et grandir alors que pour ma part je débute toujours ma partie jeune adulte, alors pourquoi ne pas débuter bambin et dans une famille déjà construite qui n’est pas forcément stable et qu’on n’aurait peut être pas choisi ? Ça nous permettra de construire notre histoire à notre façon tout en laissant aussi notre personnage se développer, suivre peut être sa propre voie.
Règles du challenge :
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*La principale mise à jour du challenge est suite à l'ajout de la tranche d'âge "nourrisson" qui rajoute donc une étape entre les bébés qu'on ne contrôle pas, et les bambins qui eux sont parfaitement autonome.
Vous pouvez totalement faire le challenge à partir de l'âge bambin si la nouvelle tranche d'âge ne vous intéresse pas, mais sachez néanmoins que j'ai testé la possibilité de jouer en tant que nourrisson et c'est parfaitement possible.
Vous pouvez tout demander à vos parents, et même développer sans eux les étapes de vie rajoutés dans le pack "grandir ensemble" (non accessible si vous n'avez pas le pack) Toutes les étapes de vies se développent parfaitement seule sauf celle de "motricité globale" qui nécessitent qu'un parents vous retourne sur le ventre 2/3 fois. A vous de choisir si vous voulez ne pas vous en occupez ou espérer qu'un des tuteurs de votre nourrisson viennent le mettre sur le ventre (le mien l'a fait 1 fois en 1 heure de jeu pour exemple)
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Liste principales : 
- Premiers pas
- Un anniversaire vraiment bien réussi.
- Organiser une soirée.
- Premier jour d’école.
- Premier amour.
- Premier baiser.
- Première fois.
- Déménager de chez ses parents.
- Premier jour de travail.
- Se trouver un passe temps, une activité.
- Réalisation d’un souhait à long terme.
- Première sortie entre amis.
- Voyager.
- Premier meilleur.e ami.e
- Avoir un repas de famille.
- Faire un cadeau à quelqu’un.
- Réaliser 20 envies (à activer dans les réglages)
- Avoir une promotion.
- Faire son premier achat avec son salaire.
- Se disputer avec quelqu’un.
Liste Bonus : 
- Premier enfant (adopté ou non)
- Mariage.
- Avoir des petits enfants.
- Aller à la fac.
- Une compétence au maximum (niveau 10)
- Avoir sa propre maison.
- Réaliser quelque chose d’excellent (toile ou autre)
- Se battre avec quelqu’un.
- Adopter un animal.
- Avoir 1000 abonnés sur un réseau sims.
- Pleurer la mort d’un proche.
- Vivre un comité d’accueil.
- Avoir une bonne moyenne à l'école (école, lycée ou fac)
- Avoir un correspondant en ligne.
- Terminer une collection (au choix)
- Vivre un divorce (de vous ou vos proches)
- Changer de voie professionnelle.
- Avoir une maladie ou un proche malade.
- Tout plaquer pour recommencer sa vie.
- Ouvrir un commerce.
*Chaque liste a son importance, la liste principale contient les choses que l'ont fait forcément en grandissant et qui sont plus ou moins obligatoire (sauf exception et si une des choses ne vous parait pas obligatoire pour vous, mettez la de coté sans soucis, par exemple si vous n'avez/ou votre sims aucune attirance pour personne, le premier amour zouuu on l'enlève) Quant à la seconde liste elle contient des choses plus "larges", tous le monde ne vit pas de mariage ou de divorce par exemple, c'est pour ca que c'est à vous de choisir ce que vous voulez faire dedans (et même une chose que vous n'avez pas vécu vous dans votre vie, peut arriver à votre sims bien sûr)
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Les petits plus selon vos packs :
Comme précisé plus haut le challenge n'a besoin d'aucun pack de jeu pour être fait, il est parfaitement accessible en jeu de base. Cependant il est vrai que certain pack se prête particulièrement au challenge, comme "grandir ensemble", "a la fac", "années lycée" et j'en passe selon votre façon de jouer ou de vouloir réaliser le challenge (avec créature surnaturel, animaux etc.)
N'hésitez donc pas à adapter votre façon de réaliser le challenge au pack que vous posséder, en intégrant des options que vous aimez.
Par exemple j'aime beaucoup le concept "d'étape de vie" rajouté avec grandir ensemble, je vais donc essayer d'en réaliser le plus possible pour voir l'évolution de mon sims.
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Voilà c'est tout ce que vous devez savoir! Ca reste un challenge très simple pour que vous puissiez le faire comme vous l'entendez.
En espérant qu'il vous plaise toujours autant qu'avant, je m'en vais préparer ma prochaine aventure dessus. En attendant, voici mes 2 précédant let's play sur le challenge :
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thebusylilbee · 4 months
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Mais ce gouvernement de GRANDS MALADES AU SECOURS !!!! Article complet copié collé en entier car réservé aux abonnés sous le "read more", parce qu'il est un peu long :
"Ce ne sont plus des « tours de vis » mais des coups de marteau que l’exécutif assène sur les droits des chômeuses et des chômeurs. Après avoir réduit, entre 2019 et 2023, les conditions d’accès, les montants et la durée des allocations, le gouvernement en remet trois couches, et sans lésiner.
Le premier ministre l’annonce dans La Tribune Dimanche : de nouvelles règles entreront en vigueur le 1er décembre prochain. Huit mois de travail, au lieu de six, seront nécessaires pour ouvrir des droits ; la durée d’indemnisation sera abaissée à quinze mois contre dix-huit et les règles plus favorables pour les séniors de moins de 57 ans seront supprimées.
La charge est violente. Pour la CGT, c’est même « la réforme la plus violente de tous les temps ».
Le décret sera publié le 1er juillet prochain et contiendra les arbitrages de l’exécutif, après un simulacre de « concertations » avec les partenaires sociaux, reçus tout au long de la semaine par la ministre du travail, Catherine Vautrin. Cette dernière n’a même pas les honneurs d’annoncer les décisions – ses services ont, semble-t-il, été pris de court par Gabriel Attal. Après avoir annoncé en mars dernier la mise en chantier de cette nouvelle réforme, le premier ministre s’est réservé la primeur de ce coup de massue.
Travailler huit mois sur vingt pour ouvrir des droits
À compter du 1er décembre 2024, il faudra avoir travaillé huit mois pour bénéficier d’une allocation-chômage. Huit mois, contre six actuellement. Huit mois, contre quatre en 2019, avant l’entrée en vigueur de la première réforme. En cinq ans, l’exécutif aura donc fait doubler cette durée nécessaire tout en rétrécissant la période dite « de référence » au cours de laquelle des périodes d’emploi sont recherchées. En décembre prochain, les vingt derniers mois seront pris en compte, au lieu de vingt-quatre actuellement (trente-six pour les plus de 53 ans) et de vingt-huit mois jusqu’en 2019.
Tirer autant sur l’élastique permet de restreindre, toujours plus, le nombre de bénéficiaires d’allocations. Le nombre d’ouvertures de droit a ainsi baissé de 14 % entre 2019 et 2023, selon un premier bilan intermédiaire de la réforme, rendu public en février 2024. Cela correspond à30 000 ouvertures de moins par mois.
Si les conséquences du nouveau durcissement à venir ne sont pas encore chiffrées, on sait qu’il percutera en premier lieu les jeunes et les plus précaires, selon une étude d’impact de l’Unédic, gestionnaire de l’assurance-chômage, dévoilée par Le Monde mi-mai. Elle établit que les allocataires de moins de 25 ans et celles et ceux qui ouvrent un droit après une fin de CDD ou de mission d’intérim seront « surreprésentés » parmi les personnes les plus touchées par ce nouveau paramètre.
Interrogé sur cette étude par La Tribune Dimanche, le premier ministre botte en touche et affirme que le passage de quatre à six mois en 2019 « a marché et accéléré le retour à l’emploi ». Gabriel Attal cite là une étude de la Dares (Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques, le service statistique du ministère du travail) figurant dans le rapport intermédiaire de la réforme, mais n’en garde que ce qui l’arrange.
Certes, ce durcissement a eu « un effet positif et significatif » sur « la probabilité de retrouver un emploi dans les deux mois suivant la fin d’un contrat de plus de trois mois », mais il ne s’agit pas d’emploi stable, loin de là. Le rapport le souligne clairement : pour les plus de 25 ans, l’effet de la réforme est « exclusivement porté par une augmentation du retour en emploi peu durable : CDD de durée inférieure à deux mois ou mission d’intérim ».
Mais qu’importe. L’exécutif ne fait même plus semblant, comme en 2018, de vouloir lutter contre l’emploi précaire. Son mantra, c’est la baisse du chômage et l’incitation à la reprise d’activité alors que rien ne démontre que durcir les règles soit efficace. « Si nous ne réformons pas l’assurance-chômage aujourd’hui, nous risquons de caler sur la route du plein emploi », prévient Gabriel Attal. Emmanuel Macron disait peu ou prou la même chose le 22 mai, dans L’Express : « Cette réforme va renforcer l’efficacité de notre système d’indemnisation et les incitations au travail. »
Quinze mois d’indemnisation puis douze ?
Un mauvais coup en entraîne un autre. Réduire la période de référence à vingt mois au lieu de vingt-quatre va mécaniquement diminuer la durée maximum d’indemnisation. Elle passera de dix-huit mois à quinze mois en décembre.
En février 2023, cette durée avait déjà été rabotée de 25 % (de vingt-quatre à dix-huit mois) en vertu du principe de « contracyclicité », c’est-à-dire de modulation de la durée de versement des allocations en fonction de la conjoncture économique. Tant que le chômage est sous les 9 % (il est actuellement de 7,5 %), un coefficient réducteur est appliqué et il va l’être également sur la nouvelle période de référence.
La CFDT a alerté, jeudi 23 mai dans un communiqué, sur cet effet de bord faisant encore chuter la durée d’indemnisation, mais l’exécutif a sciemment maintenu le cap. Gabriel Attal ne s’en cache pas : « Oui, comme nous réduisons la période de référence d’affiliation, il y aura un impact sur la durée d’indemnisation. J’assume de dire que, dans les conditions actuelles, cette durée d’indemnisation passera donc de dix-huit mois à quinze mois. »
Et ce n’est peut-être pas fini… Le premier ministre annonce qu’une nouvelle baisse de la durée est dans le viseur du gouvernement. Si le taux de chômage atteint 6,5 %, les demandeuses et demandeurs d’emploi auront encore moins de droits car un nouveau coefficient réducteur sera appliqué. Matignon précise ce dimanche que la baisse sera de 40 %, soit une durée maximum d’indemnisation portée à douze mois pour les moins de 57 ans. Et à dix-huit mois pour les séniors. 
Fin de l’exception pour les 53-57 ans
Si la filière sénior n’est pas totalement supprimée – c’était le souhait de Bruno Le Maire –, elle va ressortir bien amochée de cette énième réforme de l’assurance-chômage. Actuellement, les 53-54 ans ont droit à une durée d’indemnisation plus longue (vingt-deux mois et demi), quand les 55 ans et plus peuvent percevoir des allocations durant vingt-sept mois maximum. À partir du 1er décembre, seul·es les 57 ans et plus continueront à bénéficier de ce régime d’exception. Ils perdront tout de même des droits, passant à vingt-deux mois et demi de durée de versements. Les autres perdront entre quatre et neuf mois de droits.
Pour inciter les entreprises à embaucher des séniors, le premier ministre dégaine le « bonus emploi » permettant de cumuler salaire et allocations-chômage. « Un sénior au chômage qui reprendra un emploi moins bien rémunéré que son emploi précédent pourra cumuler son nouveau salaire avec son allocation [...] pour atteindre le même salaire qu'il avait avant de tomber au chômage », précise Gabriel Attal.
Rien de coercitif, donc, pour les entreprises qui jettent des salarié·es jugé·es trop âgé·es. Mais tout pour les patrons qui cherchent de la main-d’œuvre, qualifiée et expérimentée, pour pas trop cher. « Je suis une entreprise, je balance tout le monde à 55 ans, et après deux ans de chômage je les récupère à moitié prix », commente dans Libération le président de la CFE-CGC, François Hommeril.
Affreuse réforme, belles économies
Bizarrement, Gabriel Attal n’assume pas les moindres dépenses que va engendrer cette nouvelle réforme. Questionné sur le sujet, il ose même affirmer que « ce n’est pas une réforme d’économie, mais de prospérité et d’activité ».Quelques jours plus tôt, le ministère du travail, pensant encore avoir la main sur le dossier, avait avancé un chiffre : 3,6 milliards d’euros d’économies.
Les deux premières réformes rapportent déjà plusieurs milliards d’euros par an. Selon l’Unédic, l’organisme qui gère les caisses de l’assurance-chômage, elles permettront d’économiser 6,7 milliards par an, une fois qu’elles auront atteint leur plein régime en 2027. Bien utile pour un gouvernement en quête d’économies budgétaires. Tout comme il est bien commode, pour l’exécutif, de taper sur les plus précaires pour faire oublier que ses choix ne favorisent pas les salarié·es ou les classes moyennes.
Le groupe Liot à la rescousse ?
Pour contrecarrer les projets du gouvernement, le groupe Liot à l’Assemblée (Libertés, indépendants, outre-mer et territoires) va profiter, le 13 juin prochain, de sa niche parlementaire pour présenter une proposition de loi visant à « protéger le modèle d’assurance-chômage et soutenir l’emploi des séniors ».
Le groupe, qui avait tenté en 2023 d’abroger la réforme des retraites, est soutenu par les cinq principales organisations syndicales. Le texte entend supprimer le principe de contracyclicité, empêcher le durcissement de l’accès au droit et mettre fin au principe du « document de cadrage » désormais imposé aux partenaires sociaux avant toute négociation des règles de l’assurance-chômage.
Supprimer ce procédé reviendrait à détruire le cœur du réacteur permettant à l’exécutif de décider seul des règles. En 2018, la loi « avenir professionnel » a en effet introduit le concept de « lettre de cadrage » adressée aux partenaires sociaux. Le gouvernement leur précise désormais ce qu’il attend des négociations, en termes de règles et d’économies, et se réserve le droit de reprendre la main si les consignes ne sont pas respectées ou si syndicats et patronat ne trouvent pas d’accord.
Interrogé en début d’année sur « le risque de réveiller la colère sociale », Gabriel Attal avait répondu : « Oui, et ? »
Incapables de s’entendre sur des cadrages aussi stricts, ces derniers ont été contraints de reconnaître l’échec de leurs négociations en 2019 et l’État a décidé tout seul de la première, et brutale, réforme de l’assurance-chômage. Trois ans plus tard, il n’a même pas pris la peine d’envoyer une lettre de cadrage, car le Medef avait enterré toute idée de négociation quelques mois plus tôt. L’exécutif a donc à nouveau pris la main et fait inscrire dans la loi le principe de modulation des allocations en fonction de la conjoncture économique puis organisé un simulacre de « concertations » avec les partenaires sociaux.
En 2024, le scénario est encore différent mais l’issue, toujours la même. Cette fois, les partenaires sociaux ont trouvé un accord sur la lettre de cadrage mais le gouvernement l’a mis de côté, dans l’attente des négociations sur l’emploi des séniors. Ces dernières n’ont pas abouti et l’exécutif a pour la troisième fois repris les choses en main, jurant n’avoir pas d’autre choix et surjouant la déception. « C’est un crève-cœur » pour Catherine Vautrin, ont osé commenter ses services, dans leurs éléments de langage distribués à la presse.
Comme si tout n’était pas déjà écrit d’avance. Comme si le durcissement des règles pour les séniors n’était pas déjà chiffré. Comme si une nouvelle réduction de la durée d’indemnisation n’était pas une volonté du président. Mediapart l’a récemment révélé, les services du ministère du travail ont rédigé, en octobre 2023, une note dans laquelle « le scénario privilégié » d’Emmanuel Macron est évoqué : il s’agissait de baisser à quatorze mois la durée de versement des allocations.
Dans cette note, les propres services du ministère du travail jugeaient par ailleurs « peu opportun » de durcir à nouveau les règles. Précisant que toutes les enquêtes de conjoncture « tablent sur une stagnation du taux de chômage en 2023 puis une augmentation à l’horizon 2024-2025 », les auteurs du document insistaient sur la complexité « de justifier un tel durcissement », mettant en garde sur la « faible acceptabilité politique et sociale » d’une nouvelle réforme.
Mais l’exécutif n’en a que faire. Interrogé en début d’année par le JDD sur « le risque de réveiller la colère sociale » avec de nouvelles baisses de droits, Gabriel Attal avait répondu : « Oui, et ? » 
Le jeu de massacre dure depuis cinq ans et c’est un saccage, quoi qu’en disent les services de la ministre du travail qui avaient reproché à Mediapart l’emploi de ce terme, après un article sur les scénarios de la réforme."
Cécile Hautefeuille
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from-derry · 8 months
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Groupes et communautés
Vous qui aimez la sécurité, l’ordre, vous endormir en sachant que vous êtes entre les mains de gens qui ont à cœur de vous protéger (de vous, des autres, d’Eux), vous souvenir de votre vie passée dans un confort très normé… Eh bien, vous avez toutes les chances de vous retrouver au centre bourg. Traversé par Main Road, on y trouve certains établissements comme le diner, l’ancienne école, la station-service ou le bureau du shérif. Vous serez logés dans des maisons pavillonnaires, dotées d’un certain confort ! Il faudra par contre parfois vivre avec d’autres personnes au gré des arrivées – ne vous inquiétez pas, généralement on place les gens en fonction de leur arrivée ou quand il y a bonne entente. C’est le shérif qui s’en charge, s’il n’y a pas de vœux – vous inquiétez pas, elle sait être arrangeante. C’est qu’on a qu’un nombre limité de maisons – enfin, en vrai vous pouvez vous en construire, mais elles ne seront pas liées à l’eau ou à l’électricité.
Sinon, il y a la maison commune. Là-bas, sur la colline, c’est à quinze minutes du centre bourg. La grande maison de type colonial. Par contre, vie commune, on partage tout, même les vêtements. C’est un peu confus au départ, mais le doyen organise tout d’une main de maître. Tous les espaces possibles sont occupés dès qu’il fait nuit, et c’est un peu le jeu des chaises musicales pour le couchage. Mais là-bas, il y a toujours quelqu’un de réveillé, une bonne entente, de la musique, des rires. Il y a deux règles principales : l’hospitalité et le partage. Si vous jouez le jeu de la vie en collectivité, vous aurez à la fois la protection, la joie. Ils sont plus dans l’optique vivre au jour le jour, mais ne vous inquiétez pas, vous manquerez de rien, ou presque. Genre… l’intimité.
Si vous avez fait le choix – ou on l’a fait pour vous – de ne pas vivre en communauté, c’est une vie de solitude et de risques qui vous attend. Pas ou peu de confort, comme l’eau et l’électricité, la solidarité faut vous gratter… à part si vous avez des choses à échanger, comme des objets, vos bras ou votre tête. C’est une vie frugale, pleine de danger, mais y a pas à compter sur des petits chefaillons. Puis… y a vous, les gars qui venaient de débarquer. C’est pas une période facile, on sait – faut découvrir et accepter tout ça, s’adapter et le choix est rapide et brutal entre les communautés. Désolé, c’est en plus souvent définitif, mais on sait et surtout vous savez que c’est pour le meilleur. Vous aurez pas trop le temps de regretter, les nouveaux.
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