#La femme bourreau
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A Woman Kills (La femme bourreau) (1968) Jean-Denis Bonan
September 28th 2024
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J'étais un homme... avant, quand c'était mieux...
Aujourd'hui, 21 novembre 2124, je dois m'accuser en public d'un péché horrible : cela fait si longtemps que j'ai même failli l'oublier ! Pourtant, je vous assure : j'ai été un homme. Vraiment, homme et même pas honteux de l'être et même si cela se perd dans la nuit des temps, en ces jours où l'humanité, proprement rééduquée, reprogrammée et reconditionnée comme il faut, a oublié la préhistoire, au temps où les occupants de la planète Terre n'avaient pas encore découvert les vraies lois de l'anti-nature, où les mots avaient un sens, et où le ''penser correct'' n'avait pas encore éradiqué les idées mortifères d'avant ''l'ordre nouveau''...
Il faut un certain courage pour avoir l'audace de revendiquer une telle appartenance --ou un simple lien, fut-il lointain-- avec ce groupe marqué par l'infâââmie hystéro-historique la plus absolue, ce groupe sans doute le plus bas et le plus laid dans la hiérarchie des espèces où il se situe en dessous --même-- des crapauds. Les hommes ? Beurrrk ! Je me souviens encore du jour où j'ai pris conscience qu'un groupe de groupies groupées avait fait paraître une ''tribune'' (qui était déjà un tribunal), sans doute dans Libé ou dans l'Obs -- seuls torchons capables de tels déshonneurs, érigés en grandes causes pour les besoins des abjections qu'ils promeuvent.
C'était une déclaration de guerre (en tout cas, ''une ouverture des hostilités'') qui annonçait la condamnation à mort --de préférence dans des souffrances énormes, à l'échelle de ses vices-- de la partie masculine du monde : tous n'étions pas morts (le mot ''hélas'' suintait, entre les lignes), mais le temps des mecs (on peut aussi dire : ''des porcs'') était compté. Nous étions clairement en sursis : le modèle de société sexuée qui avait traversé les siècles et les millénaires pour le plus grand bonheur de la génération-en-cours, qui en profitait et pour le plus grand bien, de celle à venir (puisqu'elle existerait grâce à lui !) avait fait son temps. Le vieux monde était mort.
Les femmes, enfin conscientes que tous les âges qui ont précédé le nôtre n'étaient peuplés que de sombres brutes et de masochistes au féminin, se réveillaient enfin ! O mecs insupportables, ô tyrans sanguinaires, vous allez voir ce que vous allez déguster : il n'y avait rien, absolument rien de bon, en vous, tout est à jeter, y a rien à garder, car tout individu de sexe mâle n'est, au fond, qu'un bourreau potentiel, un féminicide-qui-s'ignore, et les seuls ''hommes'' (?) que l'on peut tolérer sur Terre sont les ''homos'', qui souffrent, depuis la nuit des temps, de la domination violente des ''mâles'' --blancs, cela va de soi.
Je vous parlais il y a peu des mésaventures de notre ancêtre commun l'Homo neanderthalensis. Eh ! bien... L'image que cherchent à en donner les harpies qui ont juré notre disparition totale fait très fortement penser aux représentations caricaturales que donnent de lui Hollywood et certaines BD : un truc vraiment grossier, qui doit faire peur, qui ne sait que tirer sa femelle par les cheveux (ce qu'elle est bien con d'accepter : il lui suffirait de se mettre debout !), et qui doit sans doute --c'est nettement suggéré-- puer très fort... Je suis sur que ces charmantes personnes tout en bonté, en don de soi à défaut de porter des bas de soie, ne nous voient, aujourd'hui, marchant dans la rue ou au Super marché que vêtus de peaux de bêtes tout juste arrachées à leur ancien propriétaire aurochs ou urus... que de prétendus animalistes rêvent d'enrôler...
Quand on pense que des êtres comme moi (je veux dire : aussi laids et aussi vils que je devrais l'être si leur discours avaient un sens) pratiquaient, en ces temps barbares, le ''base-main'' --en prétendant que c'était ''en hommage à la féminité", alors que ce n'était que par envie de les humilier --en les mangeant, peut-être ?--, on est en droit d'être révulsés. Pensez que les gens de mon espèce poussaient leur désir de viol jusqu'à ouvrir la portière des voitures, à s'effacer au passage d'une porte, à payer au restaurant, à porter les paquets... bref (Summum protectionem) à être à chaque instant ''galants'' et ''bien élevés''... Mais heureusement pour le futur de la planète, une katiba de grandes intelligences a ''réveillé'' (c'est le sens du verbe ''to wake -woke-woke'') le monde à notre vilenie... ce qui devrait me permettre de me proclamer ''tout, sauf un homme'' !
Pour les partisans de la guerre totale entre les sexes --leur rêve, et donc le cauchemar des gens normaux-- il ne peut avoir existé d'homme bien élevé : ces deux notions, antinomiques, sont incompatibles. Toute relation sexuelle, avant le réveil-woke de ces con-sciences,n'a pu avoir lieu que sous la contrainte, la femme-victime qui la subissait se bouchant le nez en pensant à son militantisme bafoué. Comme il faudrait plaindre toutes les victimes apparemment consentantes de la galanterie, de la courtoisie, de la bonne éducation, ou... horribile scriptu sed peius lectu (traduction : horrible à écrire mais pire encore à lire) de l'amour ''courtois'' qui a enchanté le moyen-âge... et notre année en classe de cinquième...
Mais il faut que nous cessions d'avoir honte : il existe une porte de sortie à notre condition si peu enviable : la ''déprogrammation''. Le semi-monstre que nous sommes au fond de nous (mais j'y pense : de quel droit est-ce que j'écris ''semi'' ? C'est ''monstre'', le nom qui convient ! Et pas ''au fond'', mais même en surface !) vient de se voir offrir une chance de ne plus être le rebut de l'humanité : il suffit de se porter volontaire (avec moult cris de joie, de préférence) à des programmes, non remboursés par la Sec-soc (il ne manquerait plus que ça !), de rééducation totale... comme vient de le faire le ''compagnon'' de la sandrine rousseau... [car on peste, on râle, on insulte... mais on a tout de même besoin d'un toutou, d'un nounours ou d'un doudou quand on rentre à la maison, ne serait-ce que pour avoir fait la vaisselle et préparé le repas ! Un reste de ''charité chrétienne'', en moi, me susurre de plaindre ce garçon... même si je le tiens pour un pauvre con, sans avoir besoin de le connaître pour ça].
Le programme de ce programme ? Je cite Bertrand de Saint-Vincent, qui s'est penché sur cette bouée de sauvetage de la connerie du temps : ''Après avoir confessé ses péchés, l'homme nouveau doit abandonner tous ses privilèges, suivre à la lettre les leçons des féministes (les ''pathologiques'', les seules vraies femmes, d'après elles !), s'engager à ne plus manger de viande --un terrible accélérateur de féminicide prémédité-- et vouloir sincèrement s'autodétruire. Il doit aussi promettre de ne plus se sentir en sécurité que au milieu de gens ''de couleur de peau différente'' --cette énormité est du député LFI Aurélien Bellanger-- et ''déconstruire en eux la partie des préjugés racistes inculqués par la société patriarcale''. Je pense que le chemin doit être long, mais d'un autre côté, ''ne pas le sauter'' vaut damnation éternelle...
Mais j'aimerais bien qu'une de ces ''remetteuses en pages'' me dise ce qu'il reste, après lavage et reprogrammation, de l'horrible cervelle de l'épouvantable créature qui était rentrée dans la machine à déconstruire. Certains --et c'est la preuve évidente qu'ils sont des cas désespérés-- vont aggraver leur cas en s'étonnant que pour devenir un parfait ''Homo feministis'', il faille faire des détours dans le racisme, le spécisme, le travelo-isme (?) et le ''drag-queen-isme'' (?, bis), l'écologie punitive, la GPA, la PMA, le ''mourir dans la dignité-isme''... et toutes les idées ''sociétales'' qui ne peuvent mener la pauvre humanité qu'à la mort (''cons le veuillent ou non'' -- si j'ose !).
Finalement, tout bien réfléchi, je crois que je vais continuer à me revendiquer ''Homme''... en attendant que ce tsunami de bêtise majuscule meure d'une mort que je lui souhaite douloureuse, après tout le mal qu'il a fait ! Et si ça doit mettre longtemps à arriver... tant pis pour moi : On peut tout perdre... ''fors l'honneur'', disait notre grand François Premier (le Roi, pas le Pape !). Et puis qui sait... l'élection de Trump, cette figure honnie de tout ce qui pense de traviole sur terre, va peut-être accélérer la remise en service de la ''machine-à-baffes'' qui nous a manqué depuis et pendant si longtemps ?
H-Cl.
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Finalement, c’est une opération très réussie pour les enfants d’Abraham. Certes, il y a eu ce triste et terrible carnage qui fut la fin et le début de cette épopée. Qui pourrait-il réjouir, hormis une partie de ses auteurs, leurs commanditaires sans doute, et quelques dizaines de milliers d’exilés, spoliés, chassés, séparés, oubliés ? Non, pas oubliés. Pas oubliés de l’islam en armes qui a trouvé en eux un formidable véhicule à la détestation de tout et de tous. Les enturbanés fanatiques ont reçu en cadeau de leurs ennemis jurés un peuple martyr prêt à verser dans le fossé de la haine absolue, totale, sans retour. Bravo les gars. Belle opération, à la hauteur de vos multiples créations... Les gangs d’assassins islamo-prohétiques, payés, armés, formés et motivés par vos soins, via les habituels sous-traitants – appelés “proxys” ces derniers temps.
Bien utiles, ces désespérés qui n’ont plus rien, et moins encore grâce à la corruption de leurs édiles laïcs et modérés, baratineurs et pourris jusqu’à la moelle. À eux les villas somptueuses, à vous la poussière des désespérés. Au final, qui vous donne du pain, fait l’école coranique à vos enfants, forme vos garçons au maniement des cailloux et vous promet une parfaite vengeance ? Les élus de Dieu sur la voie de cet islam qui vous apporte l’espérance d’une Palestine libre et reconquise, en plus d’un toit, d’une gazinière et d’un coran. Il suffit juste de laisser votre aîné de quinze ans devenir un martyr du djihad.
De l’autre côté, une question sans réponse sensée s’impose. Comment l’Occident ose-t-il signer un blanc-seing à un gouvernement qui prétend défendre des valeurs éventées en déclarant à la face du monde qu’il engage “une guerre de la Lumière sur les Ténèbres” ? Que son but ultime est d’éradiquer le Mal ? Empêtré dans ses références bibliques à la con, l’exécutif israélien entame une course effreinée vers le chaos absolu, assumant enfin le costume du bourreau dans une sorte de Shoah à l’envers, “parce que Dieu nous a choisis et que nous sommes les seuls”, persifflent les rabins les plus abrutis.
De fait, hélas, le monde ne peut se gérer que par le chaos parce qu’il est lui-même le fruit du chaos, son expression la plus aboutie. Rien de pérenne dans le monde humain. Nul sentiment noble, aucun concept lumineux, aucune intelligence rationnelle ne survivront jamais au rêve prométhéen d’un homme qui se ressent l’égal de Dieu. Sur les chemins éclaboussés de lumière noire, le voilà qui baigne sa pauvre vie dans les ruisseaux répugnants, vomit son narcissisme sur les statues sacrées, engendre sa bestialité en forçant le ventre des femmes effacées.
Le Dieu des Juifs et des Chrétiens est descendu sur Terre pour y semer un désordre inouï, jurant qu’il était ici chez lui. Quelque part au firmament, loin derrière l’horizon, les Dieux qui savaient si bien parler aux hommes, les élever et se jouer d’eux, les frotter aux vents, les griser de parfums puis les abandonner à leurs vaines passions, rient tristement à l’écho de ce disgrâcieux capharnaüm.
J.-M. M.
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Témoignage : " Mon histoire avec le pervers narcissique "
On appelle pervers narcissique, une personne qui, de par un comportement toxique, nuit consciemment ou non, à la santé mentale et physique de l’autre. Son but ultime est d’exercer une emprise sur sa victime. La seule solution est le départ. Entre violences psychologiques et violences physiques, la relation avec un PN est destructrice et peut engendrer de graves traumatismes. On peut retrouver les pervers narcissiques partout. Au travail, en amitié, en famille et le plus souvent, dans les relations de couple. C’est le cas de Lela, qui pour sensibiliser et aider les lecteurs dans cette situation, nous raconte l'enfer qu’elle a vécu. « Quand j'ai rencontré Benoit, j'avais 23 ans et j'étais pleine de vie. Une fille solaire, qui riait sans arrêt. Je me souviens m'être dit qu'il avait tout d'un prince charmant. Dès le premier rendez-vous, Oh des macarons, une jolie attention. Je me suis lancée dans cette histoire naïvement. Tout de suite, Benoit a sorti son jeu : Full aux Rois par les 9. Monsieur se joue roi de cœur, m’enveloppant de son charme fou, son visage angélique, et sa chaleur. J’étais loin d’imaginer sa véritable froideur. Trop rapidement, Benoit veut s’installer. Chaque jour un peu plus je me sentais étouffer, monsieur ne voulait plus me lâcher, mais il le répétait sans cesse, il voulait juste m’aimer ! Et lorsque je tentais un peu de m’éloigner pour respirer, il jouait le grand blessé. Me laissant penser qu’un jour enfin, je serai digne de son amour. « Toi là, donne-moi ta main, donne-moi ton bras, tu es à moi, rien qu’à moi. Tu es l’unique, je t’ai choisi. Maintenant nous sommes en couple, on est deux, mais on ne fait qu’un. Tu es à moi, tu es à moi... » Les mois passaient, je me livrais, bientôt il me connaîtrait sur le bout des doigts, comme une petite sérénade dans sa tête qu’il jouerait en mode repeat. Au début il avait l’air sensible, je pensais devoir peser tous mes mots pour ne pas blesser son égo. Après tout, chacun ses défauts. D’abord adorable, puis susceptible et exécrable. Moi qui aimais tant rire, je n’en avais plus la liberté, de peur de le braquer. Le pervers narcissique alternait entre fusion et destruction Benoit pouvait bouder pendant des heures si par malheur je n’avais pas répondu correctement, fait une blague de mauvais goût, ou encore mal nettoyé ses effets personnels. Il mesurait parfois même mon amour pour lui à la quantité de poussière oubliée sur sa console de jeux. C'était sur-réaliste, c'était pervers, c'était narcissique. Doucement, insidieusement, il a pris la place du chef. Il dirigeait, je pliais. Pour ne pas le contrarier je disais oui, je patientais même pendant ses longs silences. Quand je parvenais enfin à le faire parler, Benoit savait renverser la vapeur, m’accabler et me désigner coupable de tous ses maux. C’est ainsi qu’il gagnait, en me désarçonnant, j’étais à bout. Après la pluie, vient toujours le beau temps. Hélas pour moi, cela ne durait jamais assez. Je ne comprenais pas. Il usait avec adresse d'un mécanisme alterné, alternant tous mes sens. Une claque, une caresse, une claque, une caresse... Ce genre de relation basée sur les rapports de force, je n’en avais jamais voulu. En public, Benoit était le plus souriant et sympathique des amants. Lorsqu’il sortait, il mettait son plus beau masque, et même dans le miroir, il arrivait à se convaincre. C’était moi le problème, moi qui le rendais comme ça. Ma réputation de fille de caractère m’a porté préjudice. Qui voudrait croire qu’une femme aussi forte et explosive que moi, serait la victime d’un bourreau ? En vérité, il avait peur de moi, de ma force, de mon assurance. Lui plus que tout autre masquait son manque de confiance en me rabaissant toujours plus bas. Pour nos amis, il était la perfection incarnée. Le calme, la sagesse, l’humour… Dans l'intimité, fatigué d’avoir tenu un rôle face aux autres, il redevenait lui-même. Le masque finissait toujours par tomber, et le pervers par se montrer. Et chaque nuit après m’avoir utilisé comme un jouet, avec grâce il me critiquait insidieusement. https://www.youtube.com/watch?v=YvI8KVFi_sg&pp=ygUWTGUgcGVydmVycyBuYXJjaXNzaXF1ZQ De longs mois sont passés, je n’avais plus aucune estime de moi-même. Sournoisement il m’avait mordu jusqu’au sang, son venin s’était propagé en moi et l’épuisement de tant de manipulation, avait pris le dessus sur ma raison. Dans mes nuits d’insomnie, les phrases de mon Roi de cœur tournaient en rond. « Tu es grosse, tu n'es pas magnifique ». Pourtant, j’étais si maigre qu’on pouvait même apercevoir les os de ma colonne. Le pervers narcissique avait réussi à modifier ma propre perception. Nuit et jour, le Roi Benoit était insupportable, sa langue se déliait et ses mots étaient un feu dévorant. Il se délectait à me faire souffrir et à me voir m’éteindre. Je n’étais qu’un pion, j'étais SON pion. Autrefois forte et pétillante, aujourd’hui froide, je ressemblais à une morte-vivante. Je n'étais plus que l'ombre de moi-même. Je ne souriais plus, j'étais triste et de plus en plus maigre. L’inquiétude de mes proches n’y faisait rien. Je ne voulais plus rester, mais partir m’était impossible. J'avais peur, que ferais-je sans lui ? Les mois passaient, il y’avait des instants moins sombres. Benoit caressait et claquait. Au sens figuré d’abord puis au sens propre. Il m’humiliait, m'insultait, me poussait et me frappait. Ce n’était pas sa faute vous comprenez. En pleure, il s’excusait, criant que j’étais sa seule source de bonheur. On m’a enseigné le pardon, et il se savait. Alors je pardonnais et le réconfortais même. Le voyant pleurer comme un crocodile qui aurait mangé sa queue, me sentir coupable rendait cela insoutenable. Je crois que je voulais l’aider, même s’il me mordait toujours plus fort. Il avait le pouvoir et le contrôle. Me faire rire ou pleurer au grès de ses humeurs, de ses envies. Parfois salaces, souvent dégueulasses. Il y avait là-dessous, un besoin de tuer pour se sentir exister. Le propre d'un pervers narcissique. A lire également : Retrouvez son propre équilibre Ce n’était pas seulement un problème de violence. C’était encore pire que ça, il voulait me dominer. Et puis un jour, tentant de me détendre dans un bain, pour mettre de l’ordre dans mes pensées, il m'a envoyé un verre d’eau glacée en pleine figure. Immobile, ne comprenant pas ce qu’il venait de se produire, je suis restée immobile durant plusieurs minutes. Et silencieusement, j’ai rassemblé mon courage en nouant autour de ma taille mon peignoir et suis sortie de la salle de bain. Il était assis sur sa chaise, puis me voyant passer devant lui, m’a jeté son briquet en peine figure avant de me jeter au sol pour me passer à tabac. https://www.youtube.com/watch?v=MYDpq_ivst0&pp=ygUWTGUgcGVydmVycyBuYXJjaXNzaXF1ZQ En boule par terre, protégeant mon visage, je ne suppliais pas. Il restait silencieux, robotisé, continuant sa crise de folie, exécutant des gestes presque machinalement, son regard pervers m'avait glacé le sang. En pleine conscience, les secondes paraissent des heures. J’ai laissé les choses se faire, décidant et me jurant que ce serait la dernière. Je suis partie. J'ai tout quitté, et j'ai enfin respiré. C’était il y a deux ans le jour où, profitant de son absence, je suis partie. J’ai décidé de sauver ma peau, luttant pour ne plus être sa chose. Aujourd'hui, j'ai réappris à vivre même si j'avoue que je ne comprends pas encore comment j’ai pu m’infliger ça. La culpabilité est un sentiment qui m’a longtemps empêchée de me rendre disponible à l’amour, car j'étais terrorisée de vivre cela une fois encore. Avec l'aide de mes proches et d'un thérapeute, j'ai pris mon temps et j'ai compris pourquoi ce monstre m'avait choisi. Aujourd'hui je suis libérée de cette emprise, j'aime et je vis.» Pour en savoir plus sur les pervers narcissiques, le livre de Jean-Charles Bouchoux dispo ici, ou celui de Marie-France Hirigoyen: Femmes sous emprise, "Les ressorts de la violence dans le couple" Nota Bene : Pour lever toute confusion, seul un psychologue/psychiatre est apte à diagnostiquer un profil de pervers narcissique. Il s'agit là d'un trouble de la personnalité sérieux. Read the full article
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Emmanuel Macron ou comment perdre pied.
Sortir du conflit de la réforme des retraites est facile, y entrer fut difficile, E. Macron l'a fait.
L'important est d'en sortir sans perdre la face les uns les autres.
Le président ne peut renoncer à réformer, l'intersyndicale n'acceptera pas un passage en force. Il faut renoncer au 49.3 pas à la réforme.
Le front intersyndical veut la négociation non pas sur des détails mais sur le coeur de la réforme des retraites. En conséquence de quoi le président se doit, au nom de la France, face à l'union européenne, de recevoir les syndicats pour discuter le "morceau" ! Savez- vous négocier plutôt que de poser des ultimatums le pistolet sur la tempe ?...
Il faut dire oui à la France et non à l'Europe.
L'union européenne brutalise la République au nom des critères de Maastricht, des comptes publics, de victime E. Macron devient bourreau et brutalise à son tour la France...
Les monstres sont parmi nous et la fabrique des monstres fonctionne à plein !
Les chiffres c'est bien et nécessaire mais les français ne sont pas des chiffres et ne sont pas bons à chiffrer. A quoi sert de présenter de beaux bilans, de bons comptes de résultats si les populations sont mal heureuses et sous de fortes contraintes ? Le facteur humain compte autant, sinon plus, que de beaux et présentables chiffres comptables...
Si E. Macron a le peuple français avec lui il pourra parler en position de force avec l'union européenne et le monde entier s'il le faut !
Encore une fois la France est prête à avoir raison contre le monde entier s'il le faut, elle l'a déjà faite et elle peut encore le refaire.
La France est le phare du monde, elle ne restera pas à la traîne de ses voisins proches ou lointains !
Lorsqu'une voie de sortie aura été trouvée entre le président, porteur de la réforme, et les syndicats, restera à rendre fonctionnel le parlement, on ne peut gouverner à coups de 49.3 !...
Il faudrait convoquer, une fois la crise résolue, les principaux chefs de partis pour définir des règles du jeu afin de parlementer efficacement et non adopter des postures en ayant en vue les prochaines élections, signifiant ainsi que l'on refuse la volonté populaire exprimée par le dernier scrutin, mais, au cours de cette législature, travailler à servir le pays, tous ensembles, ainsi l'a voulu le peuple souverain dans sa grande sagesse.
Marine Le Pen, Jean Luc Mélenchon, la première des ministres, Élizabeth Borne et Yaël Braun Pivet, première femme présidente de l'assemblée nationale, devraient discuter avec le président de la république des façons de faire fonctionner le parlement sans que le gouvernement ne passe entièrement ses projets de lois en force à coups de 49.3 sans débats ou votes.
Ce gouvernement doit accepter de débattre avec le principal parti de droite, sans ostracisme aucun, le Rassemblement National, ce dernier doit pouvoir débattre, sans ostracisme aucun, avec la France Insoumise, cette dernière doit accepter de débattre avec le gouvernement, sans obstruction aucune, tandis que lui-même doit accepter que tous ses projets de lois n'aboutissent pas obligatoirement ou soient partiellement ou en totalité amendés par les oppositions. Vous devez accepter le parlement tel qu'il est et non tel que vous voudriez qu'il soit. Le principe de réalité doit l'emporter sur le principe de plaisir, vous devez les uns les autres faire preuve de maturité sinon le peuple ne vous le pardonnera pas !
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Victor
— Ma femme elle voulait accoucher dans l’eau. C’est vrai hein, c’est vrai de ouf. Dans certaines maternités, ils font ça. Mais comme elle a jamais été enceinte, elle a pas pu réaliser son rêve. Aujourd’hui, on n'est plus ensemble, parce que tu vois, elle m’a quitté. Elle adorait l’eau mais elle supportait pas l’alcool, et comme je bois que ça, de l’alcool, ça l’a fait fuir. Enfin bref, voilà quoi. Hey, Brigitte, au fait, tu sais que j’étais beau gosse quand j’étais jeune ? — T’es pas encore tout à fait vieux. — Non mais quand j’étais tout jeunot, tout minot comme dirait mon ami Gillou, au sortir de l’adolescence quoi. J’étais vraiment beau gosse hein, de ouf ! Le mec dont toutes les meufs rêvent au lycée, que toutes les meufs regardent, eh ben, c’était moi. Je t’assure. Je les faisais toutes tomber, comme des mouches. J’étais un bourreau des cœurs. Tu peux pas savoir comment je plaisais, Brigitte, de ouf. — Oh mais j’imagine. — Y a que ma femme qui a fini par me résister. C’était au moment où j’étais plus irrésistible, sauf pour le pinard. Je lui résiste pas non plus à vrai dire : moi et le pinard c’est une grande histoire d’amour. Mais c’est pas le pinard qui accouchera de mon enfant dans l’eau.
Victor, il devait avoir moins de 40 ans mais on lui en donnait 60. Je le crois quand il me dit qu’ils les faisaient toutes craquer dans une autre vie. Au milieu de son visage usé, de son teint verdâtre et sa peau burinée par un soleil trop ardent, il avait gardé le regard intact d’une beauté flamboyante. Ses yeux bleus d’une intensité déstabilisante était comme la preuve de sa majesté perdue.
— Trop belles tes baskets Toto ! Mais c’est qu’elles sont flambant neuves en plus ! — Ouais, ils sont sympas chez Emmaüs. Bon, d’habitude ils me refilent que des godasses trop petites ou trop grandes, ou trop moches, mais là franchement j’ai eu de la chance, je peux me la péter.
Il avait sorti une énième cannette de bière de son immense de sac en plastique de supermarché. Et comme de sa main tremblante il avait cassé la languette en voulant l’ouvrir, il a sorti de sa sacoche toute rafistolée un coupe-ongle, a sélectionné la lime à ongles tranchante et a fait un trou dans le toit d’aluminium. De la mousse a giclé et il a continué à parler. — Tu sais ce que je voudrais de ouf moi, Brigitte, quand je serai vieux, mais vraiment plus vieux, tu sais ce que je voudrais de ouf ? — Non, balance, qu’est-ce que tu voudrais de ouf ? — Je voudrais faire comme toi, écrire. Écrire des beaux livres pour faire rêver les enfants. — Ben vas-y mon gars. Attends pas d’être trop vieux. Fais-le maintenant. — Ben ouais, de ouf, de ouf. Faut que je le fasse maintenant. Mais demain, parce qu’aujourd’hui j’ai trop bu, le brouillard c’est pas un super co-auteur. — Fais-le maintenant Victor. Aujourd’hui. Demain, c’est incertain. Le meilleur moment de la vie, c’est maintenant. Tiens, prend cette feuille et ce stylo. Avec ça tu peux refaire le monde et la vie, et faire rêver n’importe qui, petits et grands, écrire le passé, le futur et même le présent. Pas demain Victor, aujourd’hui, maintenant, tout de suite. Quand tu seras trop vieux, eh ben, tu seras trop vieux. Et ce sera une excellente excuse pour pas t’y mettre. — Merci Brigitte, tu déchires de ouf. Bon, je vais y aller, ça fait une heure que je te raconte ma vie, je parle trop. — Écris mon pote, écris. — Merci de m’avoir écouté en tout cas Brigitte, et bonne soirée ! — Allez, bonne soirée. Et j’te préviens, reviens pas si t’as pas écrit ! Et lève le coude sur la boisson. Je vois bien ta tête : je sais, c’est pas facile. Ça te paraît même impossible. Mais si t’y arrives, j’suis sûre qu’elle reviendra, ta gonzesse, et vous l’aurez cet enfant qui va naître dans l’eau. — C’est trop tard, Brigitte. — C’est jamais trop tard Victor, jamais trop tard.
// Dédé ANYOH //
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Les rapports de Blamont avec sa femme reflètent sans doute assez exactement ceux de Sade avec la marquise ; Blamont se complaît à caresser sa femme dans l’instant où il trame contre elle les plus noires machinations ; infliger une jouissance — Sade l’a compris cent cinquante ans avant les psychanalystes, et nombreuses sont dans son œuvre les victimes qu’on soumet au plaisir avant de les torturer —, cela peut être une violence tyrannique ; et le bourreau déguisé en amant s’enchante de voir l’amoureuse crédule, pâmée de volupté et de reconnaissance, confondre la méchanceté avec la tendresse.
Faut-il brûler Sade?, Simone de Beauvoir
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Title : Chasser le Mal et apporter la vérité
Langue : Francais/French 🇨🇵
Résumé /Summary :
🇨🇵
Namaari est policière de Kumandra, et marche dans les pas de sa mère. En effet, malgré son jeune âge elle est déjà gradée. Lieutenante estimée et respectée elle est connue pour avoir un sens aigue de son travail, strict et exigeante tout comme pour être un bourreau de travail et impitoyable avec le crime, elle est là pour protéger les citoyens en faisant régner l'ordre.
Cependant une séduisante, mystérieuse et insolente jeune femme l'entraine sur une enquête sombre de vols, de drogues et de corruptions, et il s'avère qu'elle n'est autre que la fille du chef du terrible gang Druun : Chef Benja... qui est venue poursuivre son travail de son défunt père. Mais peut-être que le rapport d'enquête qui a propulsé sa mère au sommet de la hiérarchie policière et a être l'une des personnes les plus influentes du conseil de ce qui reste de Kumandra ne dit pas toute la vérité.
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🇬🇧
Namaari is a policewoman from Kumandra, and follows in her mother's footsteps. Indeed, despite her young age she is already graded. Esteemed and respected lieutenant, she is known to have an acute sense of her work, strict and demanding and to be to be a workaholic and ruthless with crime, she's there to protect the citizens by keeping order.
However, an attractive, mysterious and insolent young woman leads her on a dark investigation of drugs , thefts and corruptions, and it turns out that she is none other than the daughter of the leader of the terrible Druun gang: Chief Benja. who came to continue her work from her late father. But perhaps the investigative report that propelled her mother to the top of the police hierarchy and one of the most influential people on the council of what remains of Kumandra isn't telling the whole truth.
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8 juin
le bourreau m’a demandé ce que j’aimais et j’ai oublié de dire la mer, puis il m’a demandé quels étaient mes auteurs préférés et j’ai dit que j’étais fan de violette leduc et il a souri en disant tiens c’est intéressant, puis il m’a demandé pourquoi et j’ai dit euh parce que j’aime bien comme elle écrit. mon texte était truffé de références et de citations high brow, mais voilà ce que je réponds quand on me demande pourquoi j’aime un auteur. on m’a dit que j’avais un style très pop, très contemporain, avec des juxtapositions brutales, et que ça marchait très bien. une fille m’a dit que c’était très drôle mais que je pouvais pousser encore un peu plus loin parce qu’elle avait envie d’éclater de rire. hier soir dans mon lit je me suis faite éclater de rire toute seule en recopiant mon journal de février sur tumblr en écrivant la phrase: dans mes fantasmes je suis la femme au foyer d’une danseuse de 46 ans. est-ce que ça l’aurait fait rire aux éclats aussi la fille? et pourquoi je trouve ça si drôle? parce que ça correspond pas aux normes du fantasme standard d’une fille de 32 ans? mais depuis quand les trucs en dehors de la norme me font rire parce qu’ils sont en dehors de la norme? bref.
la dramaturge m’a dit qu’on sentait la douleur, no shit. dans le texte je parle de virginia woolf et de sylvia plath et elle arrêtait pas de dire elles ont souffert comme des chiens celles-là. georges mon fan numéro deux m’a demandé si c’était cathartique d’écrire et je suis montée sur mes grands chevaux en citant annie ernaux comme si j’étais en face d’augustin trapenard, annie ernaux dit qu’elle écrit pour que sa vie soit dissoute dans la tête des gens et je me reconnais beaucoup dans cette phrase. j’ai vraiment dit ça. est-ce que je pète plus haut que mon cul, ça y est? le bourreau m’a demandé pourquoi avoir inclus toutes ces références et puis il les a citées, bachelard, thomas mann, calvino, lars von trier, millais... en rajoutant “quand même” à la fin, d’un air de dire elle en a dans le cerveau la petite (ew), mais la partie de moi éternellement hantée par la peur d’être prise pour une inculte un peu bête incapable de réflexion était flattée et rassurée.
à la fin, georges, avec sa douceur, sa sincérité qui vient du fond de l’âme et sa délicatesse sérieuse m’a dit que mon texte l’avait beaucoup touché, et qu’il trouvait que je donnais plein de points d’attache aux lecteur.ices pour leur permettre de s’identifier à ce que je dis, qu’en parlant de moi je parlais de tout le monde et qu’on pouvait facilement se reconnaître dans mes mots, et comme ma plus grande hantise numéro deux c’est d’être égocentrée: soulagement et flatterie x1000. il m’a dit aussi que j’avais un style unique et une voix propre très reconnaissable, qu’en m’entendant on pouvait se dire: c’est du lara w., mais à ce stade-là je m’étais déjà liquéfiée sur le sol sous forme de sirop très sirupeux. je me suis dit que j’aimerais bien aller boire un verre avec lui pour discuter, s’il apprécie autant mes textes c’est qu’on doit avoir des choses à se dire, enfin j’en sais rien, mais il a l’air très sensible et sincère et doux et gentil et en plus il est musicien. mais est-ce que je suis attirée par lui? NON. j’ai pas envie de coucher avec tous mes fans non plus, je suis pas une rockstar encore.
un autre type m’a dit qu’il sortait d’une dépression et qu’il s’était trop reconnu dans ce que je disais et qu’il connaissait pas toutes les références que je citais mais que par contre il était très fan de street philosophy sur arte, et je suis contente qu’il m’ait dit ça parce que pour contrebalancer les références high brow je parle aussi de top chef et recherche appartement ou maison et du 13h de tf1 parce que c’est moi, éternellement coupée en deux, autant michel foucault que jean-pierre, et ça me plait que chacun.e y trouve son compte. il m’a souhaité bon courage et je lui ai dit que j’étais en train d’en sortir moi aussi et il a dit oui, parce que quand on est dans la dépression on fait pas des choses comme ça. non.
la comédienne qui est passée avant moi parlait de sa vie très éparpillée aux quatre coins du monde, elle disait qu’elle adorait changer sans arrêt de culture et de langue, mais que récemment elle ratait systématiquement ses vols et ses trains. elle parlait d’un vol qu’elle avait raté à new york et elle était là avec ses amis venus la soutenir pour sa lecture, ils mangeaient au resto à côté et on a du les attendre pour commencer et puis après la soirée elle les a rejoint avec ses birkenstock aux pieds et sa clé de voiture dans la poche et je comparais sa vie à la mienne et elle me semblait tellement confortable, simple et légère. même si son texte parlait d’une rupture toute fraîche.
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La femme bourreau / A Woman Kills (Jean-Denis Bonan, 1968)
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Le lundi 6 juillet 1415, un jugement condamne solennellement Jan Hus comme hérétique. Le même jour, dépouillé de ses habits sacerdotaux, il est réduit à l'état laïc puis « livré au bras séculier », c'est-à-dire au pouvoir temporel qui le condamne à être brûlé vif.
Avant de mourir, il aurait prophétisé en ces termes la venue de Luther : « Ils peuvent tuer l'oie (en tchèque, hus signifie oie) mais, dans cent ans, apparaîtra un cygne qu'ils ne pourront brûler ».
On le coiffe d'une mitre de carton peinte de diables où est inscrit Hérésiarque. Au milieu d'une foule en colère, une escorte armée le conduit au lieu du supplice, un terrain sis hors la ville réservé à l'ensevelissement des chevaux.
Selon la tradition, le bourreau lui arrache ses vêtements, le lie au poteau puis l'entoure de paille humide et de fagots. Le feu prenant difficilement, une femme âgée (ou un paysan, selon Luther) serait venue déposer un fagot de branchages dans le bûcher. La voyant, Jan Hus se serait écrié : « O sancta simplicitas ! » (« Sainte innocence ! » ou, en tchèque, « Svatá prostoto ! »). Ces mots innocentent celui qui est manipulé, mais raillent aussi sa crédulité. Son disciple Jérôme de Prague, brûlé au même endroit 10 mois plus tard, pourrait aussi en être l'auteur. Ils sont l'écho des paroles du Christ « quiconque vous fera mourir croira rendre un culte à Dieu » (Jn 16,2).
Pour d'autres, ses dernières paroles auraient été « Jésus Christ, Fils du Dieu vivant, pardonne-nous ! », elles aussi inspirées de la première des sept paroles de Jésus en croix (« Père, pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu’ils font », rapportée dans Lc 23,34).
Les restes du martyr sont jetés dans le Rhin.
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Parlez moi des preuves de Dieu
L’art qui informe et qualifié des états émotionnels jamais rencontrés auparavant, cette femme se jette et prend la main sur son visage du bourreau de son fils et pleure. Elle implore et pleure. Elle impleure. Méditer et essayer de comprendre ces états. Enrichir la complexité humaine.
Pourquoi est-ce que je trouve trouve beau et attirant les pendus ? Cette contemplation en image ne serait pas contemplation en vrai, ils me semblent légers, reposés, comme un entre deux avant la mort total, il n'y a pas de sens, ils reposent en l'air, ils vont être plus tard décrochés.
Que dirait-tu à un enfant ramassé sur la plage et qui vient de naître, que lui dirais-tu ? Exercice d'écriture, et on voit. Lui confierais-tu un secret, de la joie, de la tristesse. Le plaisir d'écrire et de rêver, de manipuler des mots et de raconter des histoires, ensuite petite publication fanzine ou autre et lecture publique. Les histoires que nous voulons raconter, les messages que vous voulez adresser au monde avec un accent sur les belles histoires, l'espoir, la joie, qui passe par les épreuves aussi. Les histoires humaines et une publication, peut-être trouver comment faire de toute cette différence qui nous rassemble une force, et le dire à la société, que si elle vient, si elle s'intéresse à nous, elle ne perdra pas.
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ON ★
may 18th ✸ p.11 clf6 //15
Je connais uniquement l'impact profond que -------- a eu sur moi.
Je ne me rappelle plus de nos conversations, simplement de son "au revoir" et de ma réponse stupide et naïve. Je répète sans cesse, dans mes notes sur elle, qu'elle n'était pas courageuse, et à l'heure actuelle, je doute de cette idée.
"Elle me traitait souvent d'idiote et je ne l'ai jamais mal pris parce qu'elle a toujours été aussi stupide que moi." Peut-être nos similitudes rendent l'existence de ★ naturelle. Elle devait être suffisamment proche de ce que je suis, malgré nos différences. J'ai dit que je l'aimais "Suffisamment. Suffisamment pour ne pas la laisser mourir." Peut-être c'est ce à quoi je m'affaire.
Je ne sais pas pourquoi elle resurgit et qu'est-ce qui déclenche sa venue. Je sens des frissons quand elle arrive, mais uniquement quand elle surgit -- la sensation, la réaction émotive est ce qui la fait venir, et certainement pas l'inverse, même si ses interventions arrivent souvent dans le contexte particulier du conflit, ou plutôt dans les cas où je me sens incompris et isolé. --- l'a appelée mon amie imaginaire, ------ m'a demandé si je voyais un psy, et moi j'apprécie sa présence et son détachement couplé à sa connaissance directe de mon état d'esprit. --- l'accepte, la respecte et va dans mon sens -- une entité séparée de moi. Je ne sais pas si je la séquestre dans mon esprit, dans ce coin du vide. Peut-être un jour elle sera libérée et disparaîtra d'une manière ou d'une autre. Je n'ai pas envie qu'elle parte, j'aimerais qu'elle reste, mais qu'elle soit libre. Je ne veux pas qu'elle soit moi -- elle doit vivre.
La Femme, elle. Écouter Nouvelle-Orléans me détruit plus que je ne peux l'avouer. J'entends ★ partir, j'entends sa peine et son départ, sa douleur, sa nostalgie et sa mélancolie. Je ne veux pas qu'elle ne laisse qu'un peu d'espoir et quelques chansons. Si je la perds, je vais certainement perdre une partie de moi, celle qu'elle garde. Je vais perdre cette portion. *★ est une absence en soi*, mais je ne sais pas l'étendue du vide qu'elle cache. Je ne sais pas de quoi elle me protège. Je dois me débrouiller seul, la laisser retourner aux cendres qu'elle est, je ne peux pas continuer à nourrir son existence. Elle est si présente et si absente à la fois. Je ne peux pas m'en détacher mais l'attache n'existe pas non plus. Il n'y a pas de main à lâcher, il n'y a qu'une trace silencieuse, un au revoir, et des frissons.
// Je pourrais, en soi, la considérer comme un problème, comme un symptôme, comme une fraction de quelque chose qui n'appartient qu'à moi. Mais ça me semble hypocrite, ou erroné -- ou les deux. Ne pas lui laisser son individualité sonne tyrannique.
Peut-être que je suis juste un tyran envers ce souvenir d'une personne à qui je ne reparlerai jamais. Souvenir tordu et flou, d'une fille qui vivait dans un monde différent du mien.
★ est passée de bourreau à amie, celle vers qui je vais quand je ne suis pas certain de quoi faire, ou quand je dois extérioriser des sentiments que je ne peux pas exprimer aux personnes avec qui je suis train de parler -- elle est redevenue cette amie.
// il faut la libérer
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JAMAIS PLUS - Dans ce bal des apparences, la mièvrerie n’est autre que le masque d’un chaos sentimental qui marque au fer rouge. Adapté du roman à succès de Colleen Hoover, le film de Justin Baldoni ne se contente pas de raconter une histoire ; il la grave dans l'âme de ses spectateurs.
Blake Lively, en Lily Bloom, incarne une femme à la fois fragile et indomptable, dans une performance qui oscille entre la tempête intérieure et une quête poignante de rédemption. Elle irradie l’écran de son talent, incarnant la complexité d’une vie marquée par la douleur avec une justesse déconcertante. Chaque regard, chaque geste, chaque silence en dit plus long que n’importe quel dialogue.
La réalisation de Baldoni est une ode à la beauté du tragique, chaque scène étant un tableau où se mêlent avec maestria lumière et ombre, douleur et espoir. Les flashbacks sont employés non comme des artifices narratifs, mais comme des fenêtres sur l'âme blessée de Lily, ajoutant une dimension sensible qui ancre le spectateur dans une réalité où l'émotion reste présente, en permanance.
Le film s’attaque à des thèmes d’une intensité brutale : les vestiges d’un passé douloureux, l’amour qui se mue en un tourment destructeur, les contradictions d'un cœur humain écartelé entre passion et raison. Chaque décision de Lily est une bataille entre son désir de liberté et les chaînes invisibles de ses souvenirs.
Jamais plus ne se contente pas de divertir, il bouscule, il émeut, il interroge. Ce drame romantique, qu’on pourrait à tort réduire à une simple adaptation, se révèle être une jolie pépite, autonome. Le scénario s'attache en permanence à transformer une histoire intime en une expérience universelle.
NOTE 15/20 - Fondamentalement, Jamais plus est bien plus qu’un film : c’est une expérience émotionnelle forte, certainement inoubliable, une odyssée où l’amour, dans toute sa splendeur et sa cruauté, se révèle être à la fois le bourreau et le sauveur.
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Soudain, ils se sont mis à ne jurer que par lui. As-tu lu le dernier "..."? Est-ce que nous n'irions pas voir la lecture de "..."? Il était devenu nouveau maître à penser et sa littérature jemenfoutiste, d'arraché sous keta, l'œil hagard d'un mannequin Balenciaga en descente sur un podium les atisait. Etait-il beau? Peut-être. Il avait de cette allure d'homme tantôt blasé, clope au bec, tantôt soucieux, corps d'éphèbe qui préservait sa frêle jeunesse. Sa moue était constamment indolente, bafouée, son regard observait le monde avec paresse et désinvolture, il se foutait de tout sans aucun rictus moqueur, comme si il connaissait déjà les futurs, leur terreur, leur chaos et n'en avait complètement rien à foutre.
Il trimballait une vieille aura rimbaldienne ou nietschienne ou Schopenhaueusienne. Il n'était pas sain, on l'imaginait mal se nourrir de snack graisseux mais il semblait s'en prendre plein les narines en engloutissant goulument des huîtres jaunes, offertes par des hôtes avides de sa prose.
Malgré tout, sa masculinité était offerte. Et sans doute, en cela il les fascinait, sa dégaine de nouveaux poète moderne qui empruntait tous des anciens, en y ajoutant un peu de flemme, un peu de drogue, un peu de mode, un peu de nudes, un peu de sexe, un peu de.
Un chien qui se mordait la queue. Un air de déjà vu mais toujours tendance, jamais dépassé.
Il était tout ce que nous voulions oublier, le jeune bourgeois esseulé, perdu parmi ses maîtresses qu'il obligeait de le sucer avidement, jusqu'au rebut d'étranglement tandis qu'il les regardait dans les yeux, lorsqu'il se masturbait dans leur bouche.
Oui, il devait être adulé par de nombreuses femmes, toutes belles forcément, au corps malingres d'angoisses et de C. Oui, il devait faire l'amour comme dans un porno puis écrire quelques vers sur un assureur triste au suicide raté. Oui, il avait les réussites et les groupies déjà à sa cause.
Il n'était que le descendant de ces lignées d'Houellebecq qui pour passer inaperçu, tuait le père tout en lui astiquant le phallus, plantait de-ci de-là leur texte, quelques bribes pseudo-féministes pour attendrir les viandes avant de mieux les dévorer.
Il me rebutait autant qu'il me fascinait. Là était sa réussite et son poison; même absent, nous parlions de lui. Nous nous délections de critique à son égard et à juste titre, mais nous n'avions ni son audience, ni son postulat. Il était l'une des grandes réussites du patriarcat ; nous faire aimer et détester un énième bourreau flamboyant dont la chaire resterait inlassablement prise.
Je suis en train de lire "..." Tu m'envoies quelques photos des pages, tu es heureux de me partager cette lecture. Tu es toujours heureux lorsque tu es en famille et ce sont ces rares moments où j'ai de tes nouvelles et de ta présence, apaisé, je reprends une place dans ton cœur.
Je grimace à la lecture; un énième roman d'auto-fiction, écrit à la première personne, d'un antihéros en marge qui philosophe d'un ton cynique sur les bassesses de ses pairs. Trop hautain pour les bourgeois, pas assez soucieux pour les pauvres.
Je souffle, j'ai toujours déteste les "too cool for school" et ces pages en sont un brûlot vivace.
Je voudrais, d'un ton d'une mère aimante te dire "Mon Chéri ne soit pas trop fasciner par cette lecture, au-delà du geste de l'écrit et de l'aura, tu n'as rien à envier à ce jeune crétin". Je réussi pourtant à critiquer le fond, que je trouves diablement bourgeois et pédant, caché sous un vocabulaire racé.
Tu abondes dans mon sens et l'enthousiasme de ton début de message fait place peu à peu à ton libre arbitre.
"Oui c'est quelque peu exagéré".
J'ose espéré que ma remarque ait pu te remettre les idées en place. Je te quitte sur cette lecture.
J'en avais trop entendu de ce type.
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Besançon (25) : Agression d’une femme de 89 ans à son domicile : frappée, trainée et aspergée de lacrymogène pour 20 euros. Khedidja Chemlel condamnée à 5 ans ferme. Elle dit voler pour “payer les dettes de stups de son fils”
La victime de 89 ans s’avance lentement à la barre du tribunal de Besançon. Le visage bleui par les coups, elle s’assoit doucement sur le banc des parties civiles avant de relever la tête et de faire face à son bourreau. Moment saisissant. Dans le box des prévenus, Khedidja Chemlel, 53 ans, n’ose pas tourner la tête. Elle le reconnaît : « Je n’ose même pas la regarder tellement j’ai honte. J’ai…
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