#La Fourmilière
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aurevoirmonty · 3 months ago
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"Dans la fourmilière, personne n'a d'honneur. Il n'y a que des règles de fonctionnement. Plus la morale est l'affaire de tous, plus les lois se multiplient. Je dirais que le nombre de lois est inversement proportionnel au sentiment d'honneur de ceux qui les subissent."
Jean Cau
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claudehenrion · 5 months ago
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L'Europe ? Mais quelle Europe ?
Hier, en ce qui concerne la France, mais depuis 3 jours pour tous les pays intéressés, quelque 450 millions d'électeurs –le chiffre exact serait 447-- étaient appelés à choisir leurs représentants à une Chambre de députés strasbougo-bruxelloise qui, pour des raisons de simplification évidentes, est le plus souvent appelée ''l'Europe'' –ce qu'elle n'est pas. Ce vote est intervenu au terme d'une caricature de campagne électorale où très peu se sont intéressés au sort de notre embryon de continent de plus en plus incontinent, leur préférant les querelles de clocher, les motivations électoralistes et la cuisine de basse-cour...
De quoi s'agit-il ? L'air est connu, mais il n'est pas inutile de le rappeler : au lendemain d'une guerre terrible entre peuples voisins, semblables, comparables et historiquement frères ou peu s'en faut, une poignée d'hommes d'Etat à la foi chrétienne vibrante et solidement ancrée a fait de la belle phrase ''Plus jamais ça !'' le leit-motiv d'un rapprochement entre ancien ennemis. L'idée était belle à en être utopique, mais leur volonté était telle qu'ils sont arrivés à proposer une démarche par étapes qui rapprocherait de plus en plus ceux qui ne savaient –en apparence-- que se haïr, jusqu'à bâtir entre eux des raisons de s'aimer. Tant qu'on s'en est tenu à cette sagesse, tout avait bien marché.
Les premières années furent fort belles : je me souviens être parti avec un de mes frères à Hambourg, ville littéralement ravagée, anéantie par les bombes des ''Alliés'', pour reconstruire un stade réduit en poudre, armés d'une pelle chacun... Quelles amitiés, avec les jeunes allemands qui pelletaient avec nous : il n'y avait ni fritz, ni chleuhs, ni fridolins... ni franzosen, ni franzaken... On y croyait, tous... et c'était beau. Mais les jeunes successeurs n'ont pas su attendre... et tout est parti en quenouille : entre le traité de Rome (15 mars 1957) sur la CEE et la CECA, et le désastre actuel, qui se traduit dans les urnes et se mesure en abstentions, il faut se résoudre à parler d'un échec du succès, et d'un désastre en cours.
La question qui se pose, est, évidemment : ''Que s'est-il passé ?''. Le nom propre ''Europe'' ayant été volé et confisqué à tort et sans raison, il est devenu un nom commun... et, depuis que les miasmes du progressisme ont tout esquinté, tout salopé, tout dégueulassé, il est même devenu un nom détesté –et j'exagère à peine : on sent que c'est une solution possible... mais elle ne nous montre que ses aspects négatifs, des inconvénients et des contraintes, le plus souvent perçues comme inutiles –ce qu'elles sont, majoritairement. Pour ''les gens'', c'est quoi, l'Europe ?
1 - ''L'Europe est une fourmilière de technocrates inutiles''. Ce reproche est le plus fréquent, surtout adressé à la Commission : des autocrates qui incarnent un pouvoir froid, distant, sans racines et sans freins –donc sans cœur-- et a besoin, pour justifier son manque d'utilité, d'une armada fort coûteuse de fonctionnaires grassement payés et libres d'impôts. Un pouvoir perçu comme ne pensant qu'à multiplier les contraintes, les normes absurdes, les règlements déraisonnables, et intéressé exclusivement par la destruction de toutes les racines grâce auxquelles... ils sont ce qu'ils sont –ce qui n'est pas faux ! Depuis la création de cette ''Commission'' en 1958, elle est passée de zéro à quelque 35 000 fonctionnaires surpayés, mais jamais élus par personne (auxquels ils faut ajouter les armées de lobbyistes que le pouvoir et la corruption attirent comme des mouches). Pour se doter d'une crédibilité, ils ont fabriqué un processus avec certaine forme de légalisme... qui n'est que cela : malgré ces écrans de fumée, ils ne sont pas légitimes pour deux sous.
2 - ''L'Europe est une passoire pro-immigration''. C'est un autre jugement à l'emporte-pièces, qui fait florès aussi... et qui, comme le précédent, est le reflet d'une cruelle vérité, malgré des astuces de présentation qui ne dupent plus grand monde. Profondément marquée par la mauvaise rhétorique progressiste qui fait des ravages dans les milieux faussement intellectuels, les résultats sont là, cruels et menaçants : en 2023, l'UE a enregistré au moins 380 000 arrivées irrégulières (source : Frontex), ce qui est déjà énorme, mais n'est que le 1/3 de toutes les demandes d'asile de l'année (1,14 million). Mais ce qui est plus grave (si possible...), c'est que les fameux ''réfugiés politiques'' que la Gauche passe son temps à invoquer ne sont que 15 % du total, le reste étant composé de 35 % de ''regroupements familiaux'' (Merci, Giscard !), de 20 % de ''permis de travail'', et de 4% d'étudiants.
Avec 20 % de permis de travail (s ic !), on sait quoi répondre aux tenants illuminés de ''l'immigration rapporte à la France''. La ''cata'' est immense. Rattrapable encore ? Sans doute pluss : les fameuses ''OQTF'', obligations de quitter le territoire, sont si rarement exécutées (cf les viols, les attaques au couteau, les dealers, ou les cambriolages violents) qu'on ne voit pas d'où viendrait le progrès.
On voudrait nous faire croire qu'un soi-disant ''Pacte pour la migration et l'asile'' (vous avez bien lu : ''pour'', et non pas ''contre''!), va s'attaquer au problème. Mais son texte prévoit qu'il a pour seule ambition de ''tenter de gérer le flux des personnes arrivées de façon irrégulière''.... ce qui est vraiment le ''minimum syndical'' ! Déjà qu'un texte ne vaut que par la manière dont il est appliqué, on nage ici dans l'abstraction. Et la cerise sur le gâteau est que, lorsqu'ils se réunissent pour disserter sur des mots creux (''tenter''... ''de gérer''... ''les flux''...), ils avouent que leur seule raison pour laquelle ils s'attaquent à ce problème –le seul qui soit mortel pour leurs administrés-- c'est , exclusivement, ''pour ne pas laisser le sujet à l'extrême Droite''. Question : De qui se moque-t-on ?
3 - L'Europe a-t-elle renoncé à nos racines chrétiennes ? C'est le dernier sujet d'importance, et c'est encore un de ces débats qui refont surface ''tous les'de temps en temps''. Jusque là, il était important, certes, mais avec la poussée agressive de l'Islam contre nos sociétés, le sujet devient primordial, vital même. Parlant des conséquences de la bêtise crasse de Jospin qui refusait les racines chrétiennes de l'Europe, FX Bellamy parlait à la tribune du Parlement europ��en d'une ''véritable haine des racines qui ont fait l'Europe''. Ce faux débat pose 2 questions. L'une est historique... et l'Histoire a répondu depuis longtemps : depuis le IV ème siècle, ''la messe est dite'' : la civilisation européenne (devenue ''Occidentale'' depuis) est et ne peut être que d'inspiration chrétienne. L'autre est politique, et est davantage sujette à débats.
Certains la refusent au nom de leur laïcité (ce qui revient à refuser quelque chose au profit de... rien !), comme ce zéro pointé de Moscovici qui affirmait sans apporter un seul argument : ''Je ne crois pas aux racines chrétiennes de l'Europe''. Quel crétin ! D'autres y voient une opposition au rêve universaliste de la Gauche … comme si avoir des racines signifiait ''n'avoir que ça'' ! D'autres, encore plus myopes, voient dans ce mouvement plus que millénaire ''une tentative de s'opposer à la poussée actuelle de l'islam''. De belles têtes bien faites comme Rémi Brague (''Il faut distinguer les chrétiens –qui croient dans le Christ-- des ''christianistes'' qui ne voient qu'une civilisation, une morale, une philosophie'') ou Pierre Manent (''Le danger vient de la confusion du christianisme avec un humanisme. Mais au delà des ''racines'', où cette querelle mène-t-elle ?'') ou encore notre ancien Pape, Saint Jean-Paul II (''Un arbre sans racines pourrait-il vivre et se développer ?''), ont enrichi ce débat, sans pourtant ''emporter le morceau''.
Pour une fois, c'est au Pape actuel que je vais demander de conclure (ce qui prouve mon objectivité et une certaine honnêteté intellectuelle !) : ''Ils n'ont pas voulu reconnaître les racines chrétiennes de l'Europe ? Il semble que Dieu leur fait payer très cher cette infamie''. Et devant la situation d'échec programmé --mais déjà atteint pour partie-- de ce que devient l'Europe (''un machin dont personne ne veut, mais que l'on subit par crainte de l'inconnu que serait un arrêt''), il est permis de se demander si le remède n'est pas à portée de la main... mais demanderait une vraie intelligence, que nos ''leaders'' actuels ont perdue en chemin... Alors... on aurait voté pour rien ? Réponse à cette question le 7 juillet prochain, puisque l'Assemblée Nationale n'a pas résisté à ce tsunami contre l'Europe macroniste et progressiste. Et ça, c'est la bonne nouvelle du jour !
H-Cl.
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randomnameless · 7 months ago
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Tiens, on est le 21 avril aujourd'hui?
Ca va faire l'anniversaire des 22 ans de Jean-Marie au second tour et où pas mal de personnes censées se sont rendues compte qu'il y avait toute une frange de cons en France : "moi pas content moi mettre coup de pied dans fourmilière alors moi voter pour vieux monsieur qui a formé son parti avec des anciens Waffen-SS et qui a torturé en Algérie et compare les homosexuels au "sel dans la soupe" parce que moi vraiment pas content "
Et depuis on a de plus en plus de cons à tous les niveaux - mais bon, je reste un blog fandom donc parler trop de politique ça va me transformer en bloc de sel géant.
Par contre, avec le fandom actuel sur Fodlan, ben je vois que c'est une tendance de fond apparemment, et ça dépasse nos frontières (ouais on est pas les seuls cons au monde! Youpi!) et c'est toujours aussi inquiétant - je ne parle pas des délurés dans leur caniveau dans un certain serveur de Discord(e) - mais juste un commentaire banal genre :
"J'ai vraiment aimé ta fic du coup j'ai écris la mienne!"
Je me sens un peu flattée qu'un des trucs randoms que j'avais posté ai pu rendre des gens contents ?
"Du coup j'ai aussi repris l'idée de Lycaon l'hybride Nabatéen"
Cool, enfin c'est pas juste moi, les demi dragons, c'est un peu une tradition dans FE et les mondes de fantasy, et puis Fodlan le sous-entend avec certains persos et dialogues et...
"Alors dans mon idée, les hybrides tombent tout le temps malade, jusqu'à que leur descendance ait moins de sang de Nabatéen parce que c'est ça qui les rend fragiles"
... Attends, quoi ??
(gros gros sel sous la coupure)
Moi dans mes délires c'est l'histoire clichée du "il a du sang de créature magique donc ça les rends plus forts/demi-dieux etc etc" avec l'analogie traditionnelle du "ben s'ils peuvent faire des bébés c'est qu'ils ont pas si différents et les deux peuples peuvent s'entendre au lieu de se foutre sur la gueule tout le temps" - il n'a jamais été question de "oui ben l'hybride est mal foutu génétiquement parce que le sang d'une des races n'est pas bon et il survit que s'il se débarrasse de sa partie "autre" " !
Et puis merde, je sais qu'on est dans une fanfic et une oeuvre de fiction, mais c'est super inconfortable de lire ce genre de trucs! Sans rentrer dans les "théories" à la con, ce genre de saloperies a été utilisé dans la vraie vie pour justifier de la merde!
Enfin quoi, on est sur de la fiction, mais on explique que "il est malade parce qu'il n'est pas de sang pur ??" Et ça c'est censé être, genre, normal, et pas un twist où en fait c'est un super raciste qui a "créé" cette maladie pour garder des gens "purs"? C'est juste, euh, "naturel"????
oui bon j'ai relu bleach récemment
Comment un de mes posts a pu inspirer ça?
Tiens, ça me fait penser à cette autre fic qui m'intéressait bien aussi :
Guerre des Héros? Check
Willy ? Check
Lycaon est un hybride? Triple check
Et puis dans les notes de l'auteur "ah oui c'était compliqué pour l'élever en tant que bébé, mais une fois qu'il avait passé sa phase de nabatéen* ça passait"
*Ok, c'est de l'anglais et j'ai peut-être mal compris le "grew out of his nabatean traits" ???
Bordel ça commençait tellement bien, et ça finit comme les épinards de la cantine.
Encore une fois, on est sur de la fanfic alors bon, si quelqu'un écrit sur quelque chose ça ne veut pas forcément dire qu'il est d'accord avec tout ce qu'il écrit ou veut les promouvoir, j'entends bien.
Mais tout de même, je trouve que parler de ça, dans un fandom qui comporte des latrines comme ce fameux sous-serveur, et dont l'oeuvre principale est centrée autour d'une "waifu qui est en fait méchant mais trop kawaii alors tu te sens tristoune de la dégommer mais comme elle trop kawaii personne va lui dire de la boucler ou tout ceux qui le font sont dépeints comme des vilains pas beaux méchants qui à la fin trouvent qu'elle avait pas tort" dont le leitmotiv reste tout de même la volonté de débarrasser le monde du "sang de dragon" (Et personne dans le jeu ne tique ou ne remarque ça pour sortir - à l'époque ce que j'aurais appelé une tarte à la crème mais vu le fandom et les temps actuels ce n'est en fait pas si commun??? - "le racisme ce n'est pas bien" et que tous les persos mettent à leur sauce des "oui mais c'est vrai que le sang de dragon ce n'est pas bien"!) franchement c'est très très bof.
Est-ce que ces "théories racialistes" sur les "hybrides Nabatéens" c'est juste de la liberté littéraire dans le genre de la "darkfic" ou du "dead dove do not eat", ou est-ce que ce sont des effluves nauséabondes qui émanent des toilettes, ou des personnes qui ont joué au jeu et ne se rendant pas compte des énormités de Dedel - qui sont malgré tout passées sous silence par les développeurs et scénaristes eux-mêmes parce qu'il faut vendre des goodies ?
Ça me gonfle parce que normalement, je me dis toujours qu'il faut consommer des choses auxquelles on est pas forcément attirés dès le départ pour élargir ses horizons et peut-être apprécier d'une autre manière quelque chose - mais avec cet univers, avec un fandom (et des jeux) qui nous bassinent en long, en large et en travers "ouin ouin tout ce qui ne va pas dans le monde c'est à cause du sang de Nabatéens" et chie sur, ben, les persos Nabatéens eux-mêmes, une fic qui a part sur un postulat "les hybrides Nabatéens existent, mais ne sont pas viables/en bonne santé/gérables s'ils ont trop de sang Nabatéen", je ne peux/veux plus les lire/voir/écouter.
Comme pour l'utilisateur de Tumblr que j'avais bloqué, sans avoir jamais interagit avec cette personne, mais parce que j'avais lu un billet en mode "oulala rien que de penser à Dedel qui aurait du sang de Nabatéen [encore dans un contexte de demi-nabatéens] ça me rend physiquement malade!" parce que, non seulement, ben ça veut dire que cette personne n'a visiblement pas compris ce qu'est un Emblème dans le jeu, et surtout, parce que ce genre de trucs avec le fandom de FE16, avant même que je ne découvre le trou à fange qu'est le sous-serveur de la Discorde, c'est un gros gros signe que cette vision qu'à cet utilisateur du jeu et la mienne sont tellement incompatibles qu'on ne pourra jamais discuter sereinement dessus, donc blocage automatique.
Je vois le "fandom" comme quelque chose de relaxant où j'ai envie d'être chill et de juste, apprécier des trucs plutôt que de râler (j'ai déjà la vraie vie pour ça), mais là c'est juste, je pense, de la déception (une origo gentis sur les Hresvelg! Un des trucs sur lesquels j'avais déblatéré il y a longtemps! C'est tellement génial de voir que quelqu'un d'autre a eu l'idée d'en faire une! Si seulement il n'y avait pas eu ce foutu commentaire "et en fait les métisses sont malades parce qu'ils ne sont pas viables à cause du sang de l'un de leurs parents mais si ce sang se dilue ils vont mieux"...) et la simple coincidence qu'aujourd'hui on est le 21 avril qui vaut ce bloc de sel.
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lisaalmeida · 1 year ago
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Demandez-moi de combattre le diable...
D'aller défier les dragons du néant...
De vous construire des tours, des cathédrales...
Sur des sables mouvants
Demandez-moi de briser les montagnes...
D'aller plonger dans la gueule des volcans...
Tout me paraît réalisable, et pourtant...
Quand je la regarde, moi l'homme loup au cœur d'acier
Devant son corps de femme, je suis un géant de papier...
Quand je la caresse et que j'ai peur de l'éveiller...
De toute ma tendresse, je suis un géant de papier...
Demandez-moi de réduire en poussière...
Cette planète où un dieu se perdrait
Elle est pour moi comme une fourmilière...
Qu'on écrase du pied
Demandez-moi de tuer la lumière...
Et d'arrêter ce soir le cours du temps...
Tout me paraît réalisable, et pourtant...
Quand je la regarde, moi l'homme loup au cœur d'acier
Devant son corps de femme, je suis un géant de papier...
Quand je la caresse et que j'ai peur de l'éveiller...
De toute ma tendresse, je suis un géant de papier...
Woah, quand je la regarde, moi l'homme loup au cœur d'acier...
Devant son cœur de femme, je suis un géant de papier...
Jean Jacques Lafon
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satinea · 1 year ago
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Roule, grande boule, fourmilière de consciences, terre,
roule, teintée d'aurore, chapée de crépuscule, d'aplomb
sous les soleils, nocturne, roule dans l'espace abstrait, dans la nuit à peine éclairée, roule...
Fernando Pessoa
Extrait du "Passage des heures"
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rayondelun3 · 5 months ago
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Hier je croise Alaïs qui se gratte nerveusement la nuque et me fuit du regard mais je sais très bien qu'elle m'a vue - ami imaginaire l'a traité de différents noms d'oiseau car méchante personne et âme corrompue. Dans l'après-midi, assise en face d'Anna, je tourne la tête car j'entends une voix familière. C'est flou j'essaie de me souvenir à qui appartient cette voix et pourquoi j'ai envie de l'entendre sans la voir... Dans une robe rouge et un chien en laisse Aurélie arrive à la terrasse du bar. Elle parle à des personnes - sans doute de nouveaux amis me dit l'ami imaginaire, elle a l'air heureuse, en meilleure santé je lui réponds qu'on ne peut jamais savoir avec elle mais que je prie pour qu'il ait raison.
Et puis j'ai bu plus que de raison mais sans atteindre l'ivresse. Quelques moments où la tristesse est remontée et m'a sautée à la gorge mais elle s'est évanouie aussitôt.
Margot a mis ses mains sur mes genoux «j'ai l'impression que tu es dans une spirale» je lui ai dit qu'elle se faisait des idées mais en vérité je l'ignore. Je lui ai dit oui je rechute, oui Tamo a mis un énorme coup de pied dans la fourmilière toute neuve dans ma tête et ensuite des fourmis rouges ont essayé de toutes les dévorer (les gentilles fourmis, les fourmis courageuses, les fourmis presque rétablies) et de faire leur maison dans mon cœur tout vide tout niqué. Je lui ai dit que j'ai dû mettre de l'insecticide même si c'est mal. Ça a tué tout le monde. Retour à la case départ que je lui ai dit, sourire triste ; Margot inquiète ; Aïda arrive, je m'accroche à elle pour ne pas en dire plus.
Regard de Margot sincère et tendre «je finis le boulot vers 18:30 le soir si jamais tu as envie je viens te voir d'accord ? Prends soin de toi s'il te plait Lisa...» hochement de tête mais l'ami imaginaire murmure je sais que tu vas galérer à lui envoyer un message mais il faut le faire il faut construire quelque chose tu ne peux pas passer ton temps à jeter des regards en arrière, il n'y a plus que des ruines.
Avec Aïda on boit. On boit beaucoup.
Julien finit par venir me chercher ; je chantait Hiroshima dans la ville. «Daron famille j'sais pas c'est quoi poto ça va couci couça j'suis détaché je m'attache pas les liens tout ça j'sais pas c'est quoi
Hiro
Hiro
Hiroshima.»
Pensée souvenir de Margot qui me demande si je ne fais pas tout ça pour me faire du mal.
Je mets en photo celle qui a tout niqué. Mon trésor, ma blessure, mon hémorragie. Elle me manque. Elle me manque manque manque.
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francepittoresque · 5 months ago
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ANECDOTE | Les voleurs des Champs-Élysées arrêtés par un caniche ➽ https://bit.ly/Voleurs-Champs-Elysees On lit dans les Mémoires de l’ancienne police de Paris, une anecdote assez singulière sur un chien caniche. Du temps que l’on donnait des divertissements de toute espèce, dans le « Waux-Hall » des Champs-Élysées, il y avait une fourmilière de filous qui se faufilaient dans ce lieu de licence la plus dévergondée. Ces messieurs tendaient leurs filets au milieu de la tourbe insouciante des riches désœuvrés, et pêchaient, comme on dit, en eau trouble
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hellmouthheritage · 1 year ago
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HELLMOUTH
Mais qu'est-ce que je fou là ? Quelle bande de nuls... Pensa Grace tout en continuant de rendre Jeremy fou de rage. Elle se délectait de chaque petite seconde à le torturer un peu plus encore. Ce n'était pas la plus sadique des méthodes de tortures qu'elle avait en tête pour lui régler son cas, mais c'était suffisant pour qu'un sourire de satisfaction apparaisse sur son visage. Grace rigola en remarquant que Ciara passait sa main dans ses cheveux à cause de son commentaire. Bah quoi ? C'était vrai. C'est quoi ces tresses ? La seule chose de positif dans cette coiffure, c'était qu'elle n'allait pas avoir besoin de s'onduler les cheveux demain. La capitaine tourna les yeux vers le plafond en soupirant. Jeremy retira sa main de son cou en la poussant à l'aide de son épaule. Ce qu'il lui dit ne la blessa pas au contraire, Grace était prête à le détruire. Sur un ton sarcastique, elle lui répondit : Fou toi s'en tant que tu veux Jeremy. Le Monde ne tourne pas autour de toi. Si tu savais, ce que je viens de faire avant d'arriver à cette réunion Jeremy... Ça m'amuse seulement de jouer. avec tes nerfs. J'en tire une jouissance non mesurable. Elle ricana subtilement avant de concentrer son regard sur Aube qui venait de rentrer dans la bibliothèque. Tu sais bien ma chérie que je ne pardonne jamais ce genre de priorités. Je vois que tout le monde s'est passé le mot pour ressembler à des déchets... Et Aube. Ton boxer de mec dépasse un peu. Range-moi ça, ça gâche la vue.
Grace arqua son sourcil si soigneusement brossé en regardant Aube. La défiant du regard pour lui faire comprendre qu'il fallait qu'elle se la ferme. C'est pourtant une magnifique femme. Qu'est-ce qu'il lui prend de s'habiller comme ça ? Pensa Grace avant d'entendre à nouveau quelqu'un entrer. Cette bibliothèque, c'était la fourmilière du bien, des gens n'arrêtaient plus d'arriver. Elle se demandait encore qu'est-ce qu'elle faisait là d'ailleurs. Pourquoi je ne suis pas rentré avec ce professeur après avoir abusé de son corps ? J'aurais bien aimé voir dans quelle genre de place il habite... Une villa ? Un palace ? Un royaume... Tu t'emportes là Grace. Concentre-toi plutôt à dévisager ce sadomasochiste qui se croit être un personnage de Gotham City. Grace regarda monsieur eau de javel en personne s'adosser contre une étagère et faire part à tout le monde de ses commentaires. C'est qui ce stupide blond !? Il sort d'un congélateur ? On dirait qu'il y a passé des heures... Je n'aime pas vraiment les mecs qui travaillent en cuisine. Pas assez riche. Les mecs qui ont des luxueux hôtels incluants des cuisines qui servent du tartare et du sauvignon blanc, ça c'est plutôt mon style. Grace le dévisagea de la tête aux pieds ignorant le fait qu'il venait de l'insulter elle et ses amis. Et bien le niveau n'a pas l'air de vouloir monter. Elle ignora complètement son existence, les vieux moches gothiques qui se donnent des airs BDSM pour se prouver qu'ils ont une quelconque valeur dans la société c'est pas vraiment sa tasse de thé.
En entendant ce que son amie Frankie dit à Spike, la capitaine tourna les yeux au ciel. NON, mais c'est pas vrai ? Je vous l'ai dit les filles. Moins de mecs, plus d'entraînements! Ça semble si difficile à capter ? s'exclama Grace. On ne gagnera pas les championnats en s'agenouillant devant des hommes encore plus ridés que nos grands-pères. Mais voyons! Grace fusilla le blond du regard. Oui c'est de toi que je parle l'ancêtre. Je faisais comme si tu n'existais pas jusqu'à maintenant et crois-moi j'aurais préféré continuer quand je te vois. Mais maintenant que je sais que tu tournes autour des filles de mon équipe, ça va pas le faire! Grace se tourna vers Jeremy et cogna sur son épaule de son poing fermé. Bon... Ça ne devait pas faire beaucoup de mal vu ses muscles, mais elle avait volontairement cogner avec sa main qui portait une bague pour lui faire ressentir sa colère. Vous les mecs, vous êtes tous des nuls. Ça fait longtemps que les femmes auraient dû prendre le pouvoir et c'est sans doute pourquoi c'est toujours une fille la tueuse. Le vieux bonhomme là haut n'aurait jamais donné le pouvoir à un connard.
Lukas, Nathan et Valentin entrèrent dans la pièce. Il ne manquait plus que ces trois gays pour venir animer la soirée. Deux bons à rien, drogués qui passent leur temps à baiser en se disant que personne ne s'en rend compte. Et lui. La seule et unique source de ma soif de vengeance. Je veux te tuer toi. Valentin Duport. Je vais t'anéantir, tu n'as même pas idée.Tous ces problèmes étranges qui étaient arrivés et bien ils étaient arrivés en même temps que la valise de Valentin à Sunnydale et Grace le savait. Elle doutait fortement que tout ça c'était de sa faute. En tout cas, c'est ce qu'elle croyait et qu'elle allait vouloir faire croire aux autres dans un avenir très proche. Grace garda ses lèvres fermées. Elle se les pinçait pour être certaine de ne pas parler, car tout ce qu'elle avait à dire c'était d'autres grossièretés. Surtout quand elle pensait à ce sorcier, le voir de ses yeux ne faisait qu'alimenter sa rage. La brune croisa les bras en attendant que la porte s'ouvre à nouveau.
Une femme entra dans la pièce, les fixant tous comme si elle était entrain de les étudier. Ça doit être elle la vieille bonne femme dont parlait Ciara. Au moins elle, elle a des jolies cheveux. Ça c'est une femme qui sait s'entretenir. Mes amis me font honte avec leurs accoutrements minables. Pensa Grace avant de se redresser dans sa chaise pour se tenir bien droite, en replaçant ses longs cheveux qui étaient presque séchés à présent à l'aide de ses doigts. Elle avait une hache dont le fer était recouvert de sang. Grace ouvra grand les yeux pour la regarder la déposer devant elle sur la table. Non mais ça va pas de déposer ça devant moi !? Buffy commença à parler et Grace se tut immédiatement en entendant son ton de voix. Elle écouta le discours de la tueuse et sentait son coeur commencer à se serrer dans sa poitrine jusqu'à ce que la tueuse s'arrête ne sachant plus quoi dire rendu à son nom à elle. Un appât ? Grace défia la tueuse du regard. Non, mais elle se prend pour qui celle-là ? Pensa-t-elle avant de continuer à l'écouter jusqu'à la grande finale. Le visage de la capitaine se tourna vers Ciara qui se levait à présenter pour rajouter une couche d'entrain et de motivation. Grace resta figée quand elle prononça, c'est la guerre.
Ça lui prit deux bonnes minutes avant de se lever et d'interrompre quelqu'un qui avait pris la parole... Grace regarda Buffy de haut en bas en la dévisageant. Excuse-moi ma belle, nous entraîner à quoi ? Car je ne sais pas si tu es au courant, mais les meilleures membres de mon équipe sont ici. Il est absolument hors de question qu'elles manquent un entraînement. Le lundi, le mercredi, le jeudi et le vendredi entre 19h00 et 22h00, elles m'appartiennent. Si tu acceptes ces conditions, on est partante ! Mais oubliez cette affaire d'appât, c'est hors de question. Allez tous vous faire voir. C'est tout. Merci!
Grace s'assit de nouveau sur sa chaise et prit un petit miroir dans son sac pour regarder si ses lèvres étaient encore belles. Après autant de paroles, ça gâche un peu le baume à lèvre. Elle prit un petit pot de crème, l'ouvrant afin de venir en déposer sur ses lèvres, qu'elle colla l'une contre l'autre en émettant un petit son. MOUAH. Elle se fichait bien de ce que les autres autour allaient répondre. Elle serait là avec eux malgré tout. À la vie, à la mort.
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une-touille-en-vadrouille · 2 years ago
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Coucou tout le monde ! Cette journée a été nettement plus satisfaisante que la précédente : j'ai fait une bonne grande balade qui m'a pris la journée (avec beaucoup de pauses pour bouquiner), avec alternance entre grand soleil et grosse averse !
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J'ai croisé mon voisin de bus d'hier en me promenant le long du littoral ... Apparemment, je me suis endormie sur son épaule pendant le trajet... Oups :')
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Du coup, le chemin alternait entre forêt et bord de mer, c'était très sympa !
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Il faisait très officiellement beaucoup trop pas beau la plupart du temps pour aller se baigner, donc pas de trempette aujourd'hui... (Se réchauffer avec un vent de tous les diables quand on est dans une eau à 20°, c'est limite) par contre il y avait des vagues magnifiques !
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Je réalise d'ailleurs que comme, forcément, les meilleures photos sont celles sans nuage (marrant comme le soleil rend la mer turquoise tiens), vous risquez de me prendre pour une grosse ingrate météorologique. Tant pis \o/
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Pendant une petite pause ensoleillée, je me pose sur un rocher pour lire, et je fais la rencontre au bout d'un quart d'heure d'un petit être de la faune locale que je ne connaissais pour le moment que de nom ...
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... malheureusement, pas de koala, mais une "Fire Ant", soit une fourmi de feu.
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Alors, comparé au sumac, c'est de la gnognotte, mais AIE ! Pire que les fourmis rousses cette saleté >< en plus c'était gratuit.
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Je suis bien contente de ne pas avoir rencontré ses copines de la fourmilière tiens !
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La journée se termine tranquillement sur une soirée "fromage et vin" gratuite organisée par l'auberge (décidément, c'est high level ici), où je papote une bonne heure avec un gars de Sydney et une belge ! Une bonne petite soirée pour finir une bonne petite journée 🤗
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J'espère que tout va bien en France, je vous aime très fort, des bizouuuuux !
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raisongardee · 2 years ago
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“ "Big Blue", multinationale informatique, a un programme pour le monde : la cybernétique totale, c’est-à-dire le pilotage, le gouvernement (kubernêtikê : pilote d’un navire, mais aussi gouverneur, en grec) centralisé par la machine. Pas à la manière d’un Big Brother (même si les initiales concordent), idole suprême connectée à chacun de ses sujets, mais comme dans la fourmilière, par l’interconnexion permanente de tous et de tout. Qui nous impose bien plus que le contrôle et la surveillance contre lesquels les lanceurs d’alerte – de la Ligue des droits de l’Homme à la CNIL – nous mettent en garde chaque trimestre, comme si nous ne vivions pas, déjà, dans la société de contrôle et de surveillance. Rien, sur la "planète intelligente" ne vivra hors réseau, et cette fusion imposée, tyrannique, entre les mondes physiques et numériques, entre la réalité et son double virtuel – augmenté, disent-ils – nous fait entrer dans la société de contrainte.”
Frédéric Gaillard, L’industrie de la contrainte, 2011. 
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aurevoirmonty · 5 months ago
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"Dans la fourmilière, nul n’a d’honneur. Il y a seulement des règles de fonctionnement. Moins la morale est l’affaire de chacun, et plus se multiplient les lois. Je dirai que le nombre de lois est inversement proportionnel au sentiment de l’honneur de ceux qui les subissent."
Jean Cau
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ericmie · 2 years ago
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La Foule
Parfois j'écris des poème en prose (avec, sans doute, plein de fôtes)... Oui ça m'arrive aussi... Comme celui-là :
LA FOULE
Maison de toile sur l’évidence des écrits transbahutés vers l’indifférence
Je reconnais en toi l’antre des hardis bandits qui volent aussi bien les biens réels qu’irréels
Et je vais y mettre le feu d’une torche écriture et d’encre rouge
Je vais venger l’armée de zombies qui jadis croulait sous le devoir des autres
Ces pauvres gens abrutis par les nappes de dentelles sur télévision ouverte 24h sur 24
Cette crasse télé 7 jours, cette boue d’insectes grouillant dans les méandres des rebuts des foires Comme je hais ma famille
Pourtant je veux la venger
Car si crapoteuse qu’elle fût, elle n’avait pas le choix n’ayant ni arme ni droit
Ça ne servira à rien mais dans cette vie injustifiée et absurde, on peut danser sur certains cadavres Ça fait passer le temps plus gentiment
Je dégueule cette bouillie informe que l’on nomme la société humaine faite de salmigondis et de bavette de convenance
Je dégueule ce fruit pourri que certains appellent l’amour et qui n’est encore qu’une distinction de classe qui fait croire aux lumières qu’elles sont la nuit et les éléphants des danseuses
Je dégueule cette éducation alignée qui range les gens par boite de 12 avec l’inscription appropriée « laids » « beaux » « gros » et « maigres »
Ces parchemins qui ne veulent rien dire, ces bouts de bois que l’on donne comme de la coke aux illuminées de compétition
Ce monde si petit et grouillant, cette fourmilière à merde de lombrics qui font les élus du peuple Y’aurait-il pas des coups de piolet qui se perdent ?
Des pions à butter ?
Juste pour rien
Pour danser
Danser danser danser danser
Tournebouler sur la mappemonde avant de crever sous le soleil
Mais y’a toujours des chanteurs qui t’expliqueront que c’est eux qui ont raison
Que tu ne sers à rien
Qu’il faut ranger ta guitare et ta bonne gueule et retrouver ton usine à clous
Des bourgeois émancipés qui surfe sur le fumier humains pour faire briller leur empathie
Je t’en foutrais moi des « je vais t’expliquer la vie, t’as rien compris » et des « t’inquiète pas c’est tout aussi joli, la pénombre »
Eux aussi j’aimerais les voir sous mes pas de danse
Les sourires brillant des mangeurs de bonnes chairs, les ceux qui savent où se trouve la bonne bouteille et le bon chef d’orchestre pour diriger tout ça
Comme ceux qui s’imaginent subversifs enterrés dans une petite salle d’exposition avec leur coupe de champagne et de jazz à la main
Les rambos efféminés de la littérature et du spectacle
Finalement on est bien seul nous autre la foule
14 Novembre 2022, Eric MIE
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claudehenrion · 2 years ago
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Le pire est à venir : il est minuit moins deux
  Chers concitoyens cocus, mes frères en malédiction macroniste, ce ''billet'', qui complète celui d'hier, est une invitation à bien regarder ce qui se déroule devant nous, à chaque seconde : le progressisme, cette malédiction, détruit le monde, sciemment. Il est plus virulent chez nous qu'ailleurs, ce qui s’explique : nous avons commis le crime –qui va s'avérer être impardonnable aux yeux des générations à venir-- de nous spécialiser, élection après élection, dans le choix des plus inaptes, pour diriger le pays. Et nous avons récidivé, ce qui est tout-à-fait inexcusable.
Sans que personne –à ma connaissance-- n'ait pu trouver une explication ''qui tienne la route'' à ce drame, le bon sens, l'intelligence, la culture, l'amour de son prochain et celui pour l'Humanité... ont perdu la partie : pour le moment, tout se passe comme si le pire –je parle toujours du progressisme-- avait gagné la première manche de cette partie ''à qui perd, perd''. Et on va perdre gros : le progressisme, à travers une poignée d'agitateurs parfaitement formés et entraînés à la dialectique la plus primaire (expérience que nous avions déjà vécue au XXème siècle avec le parti communiste, heureusement parti... mais pas encore assez) s'est imposé dans toutes les enceintes décisionnaires. C'est un drame, car ce système anthropophage n'a pas prévu de porte de sortie et il veut ignorer jusqu'à l'idée de tout ''plan B''.
Je vous avais promis, hier, de consacrer un ‘’billet’’ au scandale de notre mobilité future, rendue... immobile par des séries de mesures liberticides et vicelardes (NB : Rappelons, que, sans explication intelligente là non plus, la plupart des dirigeants du monde se sont trouvés d'accord pour que, très rapidement -vu à l'échelle de l'Histoire- il devienne impossible ''à tout un chacun'' de se déplacer, leur but étant d’arriver à un ‘’confinement’’ mondial, par la raréfaction puis la suppression progressive de tout moyen de transport). Eh ! bien, je vous propose de faire d'une pierre deux coups en prenant la politique d'interdiction graduelle de tout mouvement –un vrai pas vers la fourmilière dont ''ils'' rêvent-- comme exemple des drames que nous préparent les progressistes... qu'ils soient amiénois ou argentin.
Tout ce qui se passe est digne d'un sketch comique... sauf que ce n'est pas un sketch mais l'affreuse réalité, et que ça n'a pas été composé pour obtenir des fou-rires mais pour être appliqué. Résumons : au moment-même où tous les dirigeants du Globe préviennent leurs pauvres victimes qu'il n'y aura certainement pas assez d'électricité disponible pour assurer un fonctionnement minimal de nos sociétés et qu'il faudra inévitablement recourir à des coupures de courant (qui ne dépendront que de la météo... puisque ils ne contrôlent plus rien), pour les industriels comme pour les particuliers... cette bande d’incapables s’entend pour rendre obligatoire la technologie électrique pour tous nos parcs auto, publics, privés, logistiques, etc...
Il est évident que cette équation n'a –n'aura, ne peut avoir-- la plus infime chance de fonctionner. C'est une gigantesque connerie, doublée d'une pharaonique entourloupe, d'une malhonnêteté intellectuelle totale et d'un mensonge d'Etat et institutionnel (puisque l'Europe, comme à chaque fois qu'elle peut nuire aux européens, donne le ''la'', avec Ursula von Der des ders, excellente dans un rôle de (dé-)composition de la méchante Fée Mélusine très occupée à préparer... la prochaine ! En somme, la situation est simple à raconter –et à comprendre : on ne parvient  déjà pas à faire face aux besoins quotidiens actuels alors qu'il n'y a que 12 % des voitures particulières, et très peu des ‘’ ± ‘’ 15 millions de camions qui devraient être électriques vers 2030. C'est la méga-paralysie mondiale assurée !
(NDLR : des technocrates foireux déversent des tsunamis de verbiages creux  pour démontrer (?) que ''ça devrait passer''. Ils sont pitoyables, ce qui ne regarde qu'eux, mais ils sont dangereux... et ça, ça nous concerne tous. La plus ridicule, c'est Agnès Panier-Runacher, la Ministresse soi-disant ''en charge'', qui, le 3 novembre dernier, expliquait componctueusement à Léa Salamé (sans rien comprendre elle-même, ostensiblement) que ; (je cite)- ''Alors plusieurs choses. D’abord, les 32 réacteurs, ce ne sont pas des réacteurs qui ne marchent pas au sens où ils ne fonctionneraient pas technologiquement, ils sont à l'arrêt (Vous suivez ?). Nous avons un problème aujourd'hui de production d'électricité qui est indépendant de la crise ukrainienne (Elle va se faire eng... !), sur lequel nous voulons améliorer la performance opérationnelle d'EDF. Nous pourrons effectivement rentrer dans un scénario de rationnements ponctuels, l'électricité pour donner une idée, les pics d'électricité, ça se situe entre 8h00 et 13h00 le matin et entre grosso modo 18h00 et 21h00 et lorsqu'on parle de délestage, ce sont des délestages, c’est-à-dire que pendant 2 heures l'entreprise "SPRONS" -phon (Ne me demandez rien, je cite !) arrête, s'aligne de manière à enlever le pic de consommation énergétique (Ben voyons...). C’est un mécanisme classique. En résumé, dans son langage très ''classe'', ministériel, ''Oui, une coupure, si vous avez un pic de consommation, il fait très froid, on dit "houlà là, pic de consommation, on ne sait pas faire face, on n'a pas fait les objectifs de sobriété, on n’est pas du tout là où on devait être, on va devoir couper le courant au moment où on consomme le plus, par exemple entre 8h et 10h ", on prend la décision de couper le courant, de manière tournante… '' (Je jure que c'est vrai !) Moralité de cette fable : il n'y a aucun souci à se faire, tout est sous contrôle... du hasard ! Comme comique, elle est top, la ministre compromise !
Mais rassurez-vous : d'ici-là, grâce aux ''big data'' et à leur intelligence (?) très artificielle, nos génies du mensonge auront inventé une ''Appli'' grâce à laquelle vous pourrez, à tout instant, arbitrer entre l'arrêt de votre congélateur (plein), celui du condenseur d'oxygène vital à la survie de votre grand mère, et la charge de votre voiture : l'arrêt de deux sur trois vous sera imputable. Pas à eux, hein ! En revanche, que ne va-t-on entendre, côté ''évocations de faux beaux sentiments'' : on va devoir user nos semelles, d'accord, mais ce sera pour sauver le monde (ou pour sauver la planète), pour la bonne cause, par humanité, égalité, tolérance, justice sociale (sic !), punition des riches, ou, bien sûr, par antiracisme, comme toujours !
Et comme rien n'est jamais simple, pas un seul de nos géants de la pensée creuse n'a incorporé le fameux ''réchauffement climatique'' dont ils nous … échauffent les oreilles. Mais entre nous –puisqu'ils sont vraiment trop cons pour comprendre tout raisonnement sain--, imaginez que les tendances actuelles se poursuivent, même un peu, et que leur ''hexagone'' punitif (c-à-d.: notre chère France, si regrettée) se retrouve avec le climat –doucement tempéré mais pas très pluvieux-- de ma chère ville de Rabat (sans aller jusqu'à Marrakech ni, a fortiori, jusqu’à Tamanrasset ou Tombouctou): personne n'a besoin de beaux croquis pour comprendre que... nous allons dans le mur, et que les décisions, prises en toute in-intelligence, n'ont pas de ''plans B'' : votre belle Telsa ‘’M 3′’ à 53 490 €... moins les cadeaux destinés à vous permettre de vous l’offrir, vous la regarderez... ne pas s'abîmer du tout dans votre garage, ou couverte de ''prunes'' à 35 € l’une, si vous n'en possédez pas un !
Mais leur comportement est assez clair pour que personne ne puisse douter : tout ça, ils s'en foutent complètement. Le temps de 2 mandatures, ils auront imposé au monde leurs sales idées dites progressistes et en même temps sans lendemain... ou plus exactement : sans autres lendemains que la suppression des nôtres... Ce n'est pas ''au bord du gouffre'' que nous sommes : nous avons déjà un pied dans le vide, et on nous dit d'avancer, juste un peu, pour ''être plein cadre’’, sur la photo de notre enterrement ! Est-il minuit moins deux... ou moins une ?
H-Cl.
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randomnameless · 2 years ago
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désolé de venir comme ça en anon, mais franchement tomber sur ton blog après avoir passé tout mon temps à essayer de débattre sur JVC à propos de Three Houses ça me fait beaucoup de bien
tkt anon!
Quelle idée d'aller sur JVC aussi lol
Non, plus sérieusement, j'avais juste regardé 5 min en 2019 pour avoir des infos sur l'arc de Lamine, et ensuite je me suis barrée en courant, parce qu'on y retrouve les mêmes "Rhea caca" et "Dedel est une icône féministe" conneries que sur redshit ou parfois ici chez certains.
Ce qui est fou c'est que l'argument "oui mais elle donne un coup de pied dans la fourmilière" était aussi présent, peut être que j'ai encore moins de patience avec le fandom français - mais déjà que cette "philosophie" me saoule dans la vraie vie au plus haut point, si c'est pour dire que Miss "ils sont pas comme moi ils ont pas le droit de vivre" à raison, c'est non.
Après, à ma décharge, je vais chercher mon sel hebdomadaire sur reddit France, et parfois à lire certains posts et commentaires, je suis super contente qu'il n'y a pas de reddit fire emblem français - j'aurais déjà eu trois ulcères lol
Bref, si ce blog te fait du bien ben tant mieux, j'espère pas poster trop de bêtises quand je fais pas de shitposts, mais réaliser qu'une partie du fandom français est aussi reloue que celle qu'on connait et aime tous c'est assez flippant lol
La connerie n'a pas de nationalité?
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culturefrancaise · 2 years ago
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Ce vieux faubourg, peuplé comme une fourmilière, laborieux, courageux et colère comme une ruche, frémissait dans l’attente et dans le désir d’une commotion. Tout s’y agitait sans que le travail fût pour cela interrompu. Rien ne saurait donner l’idée de cette physionomie vive et sombre. Il y a dans ce faubourg de poignantes détresses cachées sous le toit des mansardes ; il y a là aussi des intelligences ardentes et rares. C’est surtout en fait de détresse et d’intelligence qu’il est dangereux que les extrêmes se touchent. Le faubourg Saint-Antoine avait encore d’autres causes de tressaillement ; car il reçoit le contre-coup des crises commerciales, des faillites, des grèves, des chômages, inhérents aux grands ébranlements politiques. En temps de révolution la misère est à la fois cause et effet. Le coup qu’elle frappe lui revient. Cette population, pleine de vertu fière, capable au plus haut point de calorique latent, toujours prête aux prises d’armes, prompte aux explosions, irritée, profonde, minée, semblait n’attendre que la chute d’une flammèche. Toutes les fois que de certaines étincelles flottent sur l’horizon, chassées par le vent des événements, on ne peut s’empêcher de songer au faubourg Saint-Antoine et au redoutable hasard qui a placé aux portes de Paris cette poudrière de souffrances et d’idées. Les cabarets du faubourg Antoine, qui se sont plus d’une fois dessinés dans l’esquisse qu’on vient de lire, ont une notoriété historique. En temps de troubles on s’y enivre de paroles plus que de vin. Une sorte d’esprit prophétique et un effluve d’avenir y circule, enflant les cœurs et grandissant les âmes. Les cabarets du faubourg Antoine ressemblent à ces tavernes du Mont Aventin bâties sur l’antre de la sibylle et communiquant avec les profonds souffles sacrés ; tavernes dont les tables étaient presque des trépieds, et où l’on buvait ce qu’Ennius appelle le vin sibyllin. Le faubourg Saint-Antoine est un réservoir de peuple. L’ébranlement révolutionnaire y fait des fissures par où coule la souveraineté populaire. Cette souveraineté peut mal faire, elle se trompe comme toute autre ; mais, même fourvoyée, elle reste grande. On peut dire d’elle comme du cyclope aveugle, Ingens. En 93, selon que l’idée qui flottait était bonne ou mauvaise, selon que c’était le jour du fanatisme ou de l’enthousiasme, il partait du faubourg Saint-Antoine tantôt des légions sauvages, tantôt des bandes héroïques. Sauvages. Expliquons-nous sur ce mot. Ces hommes hérissés qui, dans les jours génésiaques du chaos révolutionnaire, déguenillés, hurlants, farouches, le casse-tête levé, la pique haute, se ruaient sur le vieux Paris bouleversé, que voulaient-ils ? Ils voulaient la fin des oppressions, la fin des tyrannies, la fin du glaive, le travail pour l’homme, l’instruction pour l’enfant, la douceur sociale pour la femme, la liberté, l’égalité, la fraternité, le pain pour tous, l’idée pour tous, l’édénisation du monde, le progrès ; et cette chose sainte, bonne et douce, le progrès, poussés à bout, hors d’eux-mêmes, ils la réclamaient terribles, demi-nus, la massue au poing, le rugissement à la bouche. C’étaient les sauvages, oui ; mais les sauvages de la civilisation. Ils proclamaient avec furie le droit ; ils voulaient, fût-ce par le tremblement et l’épouvante, forcer le genre humain au paradis. Ils semblaient des barbares et ils étaient des sauveurs. Ils réclamaient la lumière avec le masque de la nuit. En regard de ces hommes, farouches, nous en convenons, et effrayants, mais farouches et effrayants pour le bien, il y a d’autres hommes, souriants, brodés, dorés, enrubannés, constellés, en bas de soie, en plumes blanches, en gants jaunes, en souliers vernis, qui, accoudés à une table de velours au coin d’une cheminée de marbre, insistent doucement pour le maintien et la conservation du passé, du moyen âge, du droit divin, du fanatisme, de l’ignorance, de l’esclavage, de la peine de mort, de la guerre, glorifiant à demi-voix et avec politesse le sabre, le bûcher et l’échafaud. Quant à nous, si nous étions forcé à l’option entre les barbares de la civilisation et les civilisés de la barbarie, nous choisirions les barbares. Mais, grâce au ciel, un autre choix est possible. Aucune chute à pic n’est nécessaire, pas plus en avant qu’en arrière. Ni despotisme, ni terrorisme. Nous voulons le progrès en pente douce. Dieu y pourvoit. L’adoucissement des pentes, c’est là toute la politique de Dieu.
Victor HUGO, Les Misérables,  Tome IV, Livre 1, chapitre 5
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escalesacarthage · 22 hours ago
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Enfin arrivé à Carthage !
Me voilà enfin arrivé à Carthage dont je connais bien le port depuis que je fais mes affaires avec ses habitants ! Après une traversée mouvementée et semée d'embûches de toutes sortes :  pirates, mer déchaînée..., que nous avons pu surmonter grâce à la bienveillance de Tinnit, nous découvrons enfin la côte !! J'ai souvent craint pour mon chargement mais finalement je le ramène sain et sauf de Carthagène, ma ville natale. Il s'agit surtout de précieux lingots d'argent et d'étain que j'ai négociés un bon prix mais il y a aussi des amphores de la bonne huile ibérique et quelques jarres d'huile d'olive de notre beau pays.
Et c'est toujours le même spectacle grandiose quand nous approchons de l'enceinte du port : les murailles et les tours sont impressionnantes par leur hauteur mais aussi, comme à Carthagène, par leur épaisseur : mur double de deux à trois mètres de large au moins ! Après avoir attendu qu'on remonte la chaîne qui obstrue l'entrée du port, notre "hippos" remonte le chenal qui aboutit à un bassin immense et là, rangée le long des quais, c'est une foule de bateaux amarrés qui attendent d'être déchargés. Nous manoeuvrons à notre tour pour rejoindre les autres bateaux bien alignés et je vais m'occuper de trouver le négociant qui m'attend.
Débarqué sur le quai, je me lance dans la fourmilière humaine qui s'affaire, s'interpelle dans toutes les langues : je reconnais les étrusques et les grecs qui palabrent et je distingue les égyptiens et les numides qui sont en train de débarquer leurs précieux tissus venus d'orient et des lingots d'or ... Je suis saisi par les effluves des épices qui flottent dans tous les ports et que je vais m'empresser d'acheter pour ramener au pays... Pour l'instant, je cherche mon négociant... 
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