#LA MULTIPLICATION D’ARGENT

[vodoungnon]

Témoignage sur la multiplication d'argent rapide, vrai témoignage sur le blanchissement d'argent en ligne

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[mmepastel]

Voilà un superbe roman.

Il s’agit d’un roman comme l’explique l’auteur dans sa postface, bien qu’il s’applique à retracer fidèlement la vie d’une femme ayant vraiment existé, Sheila Goold Verschoyle, née en 1903 et morte en 2000. Une vie qui traverse un siècle. Quelle aventure ! Et même si l’Histoire troublée s’immisce dans les pages du roman, la véritable aventure repose sur l’esprit libre que fut Sheila, ici renommée Eva, qui tenta toute son existence d’être heureuse et libre.

Quand le roman commence, elle a quarante huit ans et quitte son mari qu’elle n’aime plus, et souhaite vivre une vie qui lui ressemble au lieu de faire ce que son mari et la société corsetée irlandaise attendent d’elle. Dès lors, elle fait le choix de la pauvreté, puisque le divorce n’est pas reconnu et qu’elle ne bénéficie plus d’aucun statut social, ni d’argent. Elle tente de multiples expériences, liées à son amour de l’art, tout en étant sans cesse ramenée vers/chez ses enfants. Elle vit dans le dénuement, et voyage beaucoup, du Maroc au Kenya (où sa fille a épousé un riche colon), en passant par l’Angleterre, puis l’Irlande à nouveau.

Sans le savoir, en écoutant son cœur et ne cessant jamais de s’émerveiller de la beauté du monde et des choses simples, elle est précurseuse de multiples idées et causes aujourd’hui toujours d’actualité : elle est végétarienne puis végane, anti nucléaire, défenseuse de la cause animale… Pour donner une idée de son esprit poète, elle possède une horloge dont elle a enlevé les aiguilles et sur le cadran de laquelle elle a écrit « MAINTENANT » qui trône dans la caravane décatie qu’elle habite dans ses vieux jours, installée dans un champ. Cette force de vie, cette foi en l’instant lui permirent de survivre à des drames épouvantables sans pour autant en gommer la douleur ; comme le dit l’auteur (je paraphrase) : elle n’est pas heureuse en raison de ce que la vie lui a donné, mais malgré ce que la vie lui a pris. Même si elle a perdu les êtres qui lui étaient les plus chers, elle s’efforce de cultiver son bonheur, dans une solitude entrecoupée de visites de gens croisés de par le monde, souvent des jeunes gens aussi qui ont entendu parler d’elle et qui viennent partager avec elle des visions optimistes et innovante sur l’avenir (elle se réjouit de la libération de Nelson Mandela, elle apprécie des chansons d’un certain David Bowie). Elle peut ressembler, aux yeux d’autrui, à une « vieille folle », recluse et pauvre, qui survit avec ses livres, ses chats et son chien, s’intéresse à l’ésotérisme, mais elle s’en fiche. Et la plupart de ceux qui l’ont rencontrée semble avoir perçu et admiré sa bonté et sa liberté farouche.

J’ai été particulièrement touchée par l’histoire du livre. Dermot Bolger, l’auteur, l’a rencontrée lorsque lui avait seulement dix-huit ans, parce qu’il avait publié un recueil de poésies dont elle avait eu connaissance ; elle lui avait envoyé une carte postale de soutien et d’invitation. Le jeune homme a été la voir, plein de reconnaissance pour ce message amical, il a traversé une partie du pays en auto-stop pour la rencontrer dans son arche de lumière, dans sa caravane humide ; de cette rencontre est née une profonde et durable amitié. Malgré leurs cinquante ans de différence, ils se sont entendus, au point que le jeune homme, futur auteur de ce roman, presque vingt ans plus tard, lors de son séjour dans la caravane, ait trouvé auprès de la vieille dame lumineuse et d’un chat mourant de passage, le moyen de s’apaiser face à son angoisse de mort.

Tel semblait être le talent de cette femme exceptionnelle ; celui de l’empathie et de la sincérit��. Il faut croire que ces deux qualités (apparemment bien modestes) permettent de belles et grandes choses.

La fin du livre est particulièrement émouvante, lorsque la confusion gagne l’esprit d’Eva, finalement repliée presque contre son gré dans une maison de retraite. Les souvenirs, heureux ou douloureux se mélangent, les peurs et des soubresauts de colère surviennent, des espoirs fusent, telle une vitalité qui peine à capituler, avant qu’enfin advienne la lumière, éblouissante et accueillante pour celle qui a pleinement fait l’expérience d’être en vie, le plus honnêtement et utilement possible.

[grandmaitremaraboutagbognon]

Multiplication d'argent en euro

Comme vous le savez déjà la multiplication d’argent est sans conséquence n’y inconv��nients,en une seul journée vous pouvez obtenir tout le montant que vous voulez. Comment se passe la multiplication d’argent ? L’argent que vous envoyez pour multiplier on donne sa à le serpent Blanc et il avale tout et après le sacrifice et les incantation jetée à ce serpent ce serpent transportera l’argent…

[maraboutsentiments]

MULTIPLICATION D'ARGENT RAPIDE

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[theoriedelesthetique]

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𝐛𝐢𝐨𝐠𝐫𝐚𝐩𝐡𝐲 :

𝟎𝟎𝟏. 𝒕𝒉𝒆 𝒘𝒊𝒕𝒄𝒉'𝒔 𝒉𝒐𝒖𝒔𝒆

La pauvreté. Éternel cycle de misère et de violence. C’est là-dedans que 𝑯𝒚𝒖𝒏𝒔𝒖 voit le jour, dans une famille qui s’effondre avant même d’avoir commencé. La famille Kim compte déjà un fils, 𝑲𝒚𝒖𝒏𝒈𝒔𝒖, d’à peine quelques mois de plus que lui - et dieu que 𝑩𝒐-𝑲𝒚𝒖𝒏𝒈 passera son temps à répéter à Hyunsu qu’il n’est que le résultat d’un retour de couches, un accident parmi tant d’autres. Et Hyunsu apprend bien vite que dans sa famille, rien ne les sortira de leur propre cercle de l’enfer. Le père préfère sa bouteille à ses enfants, et la mère, toute aussi alcoolique, fait tourner la maison en vendant ses corps aux voisins. Et elle est tellement connue, dans le voisinage, que lorsqu'un an après la naissance de Hyunsu, elle donne naissance à 𝑬𝒖𝒏𝒘𝒐𝒐, tout le monde se demande si le père est bien le père. La naissance de 𝑺𝒆𝒖𝒏𝒈, encore un an plus tard, n’arrange pas la réputation des Kim. 

Impossible de sortir de la pauvreté, donc, pour la famille Kim, qui n’ont que leurs yeux pour pleurer, et les enfants pour se soutenir. Hyunsu, comme son grand frère, n’a de toute façon pas tellement le temps de connaître son père - il meurt quand il a six ans, d’une overdose, sur le tapis du salon, devant les aînés hébétés et un Seung qui pleure. Et même si la plupart des souvenirs de Hyunsu concernant son père sont toujours tachés de prise de médicaments, et même si, du plus loin qu’il se souvienne, il avait toujours une bouteille à la main, l’enfant est définitivement affecté. C’est l’origine de sa colère, la source de ses angoisses - et forcément, ça change Hyunsu. Ce qui le change davantage, c’est la façon dont Bo-Kyung, elle, n’est pas affectée. Elle n’a aucun souci à s’envoyer en l’air sur le canapé du salon, devant ses propres gosses, parce qu’elle a une maison à tenir. Et Hyunsu… Hyunsu se met en colère. C’est une véritable bombe à retardement, qui cherche toujours à fuir le domicile. Certes, il est là pour aider Kyungsu, toujours collé à son cul d’une manière ou d’une autre. Certes, il est là pour défendre Eunwoo à l’école, ou pour apprendre les choses les plus basiques à Seung. 

Mais Hyunsu veut partir. 

Bordel qu’il veut partir. 

L'enfant a huit ans, et il se fait déjà remarquer, par ses fugues, certes, mais aussi parce qu’il enchaîne les délits mineurs. Il vole dans les épiceries, il casse le vélo des voisins, injurie la terre entière. Parce que Hyunsu, il veut qu’on le voit. Il veut qu’on l’entende. Mais il n’y a toujours que Kyungsu qui le voit, et qui s’occupe de lui. Son attitude devient ingérable, notamment à l’école. Toute sa scolarité est marquée par de l’insolence pure, parce qu’il n’a jamais connu aucune vraie figure d’autorité, et puis, il se bat avec la terre entière, se ramassant un dossier scolaire long comme le bras.

Et puis, le monde cesse de tourner. Il a quinze ans, quand il entre au lycée. Il a quinze ans, quand il entend sa mère mentionner à une amie que les dettes s’enchaînaient, mais qu’avec son grand âge, elle ramenait moins d’argent. Hyunsu a quinze ans, quand un homme pose ses mains sur lui pour la première fois, contre rémunération, sous l'œil vigilant de sa mère. Il n’est pas une exception : il entend Seung pleurer la nuit, voit la façon dont Eunwoo ne semble jamais vraiment avec eux, comme Kyungsu essaye de les protéger. Bo-Kyung les vend, aussi simplement que ça. Ils ne sont plus des enfants. Ce sont des marchandises. Et ça dure ainsi, pendant des mois, ou peut-être plus, Hyunsu ne sait plus tellement. Tout ce qu’il sait, c’est que chaque nuit, ce sont des hommes différents, qui s’amusent de son corps d’adolescent. 

Et puis, les services sociaux sont alertés par les voisins - après tout, Seung ne mange quasiment plus, ne dort quasiment plus, et il est trop petit pour son âge. Pour Hyunsu, l’intervention des services sociaux est une porte de sortie. Il saisit cette perche, dès que possible, même avec ses traumatismes, même avec sa si faible opinion de lui-même. Sauf que voilà. Le monde ne se remet pas à tourner correctement après ça : parce qu’Eunwoo et Seung n’ont pas dénoncé leur mère, ont nié les accusations, et Kyungsu, qui a pourtant avoué, lui aussi, est placé dans un foyer différent.

Hyunsu n’a plus rien. Il n’a plus les nuits d’horreur, certes,  mais il n’a plus ses frères non plus, et la bombe à retardement explose. Il est seul dans ce foyer, duquel il ne sera jamais retiré, parce que qui voudrait sincèrement adopter un gosse prostitué, avec un sérieux problème de gestion de la colère? Même 𝑯𝒚𝒖𝒏-𝑲𝒊, bref ami qu’il se fait, finit par être placé en famille d’accueil. 

Hyunsu n’a plus personne.

Juste lui, et sa putain de solitude.

𝟎𝟎𝟐. 𝒈𝒓𝒐𝒘𝒊𝒏𝒈 𝒖𝒑.

C’est inévitable, donc, tandis que Hyunsu fête ses dix-huit ans, il est lâché dans la nature, avec une bourse, une inscription dans la faculté de Séoul, et une tape dans le dos. Il doit se débrouiller pour tout le reste, comme le grand garçon sans éducation aucune qu’il est. Il est assez médiocre à l’université, parce que de toute façon, il ne peut pas se permettre d’étudier, quand il doit trouver un travail. Sauf que c’est le cercle vicieux, pour celui qui n’a pas de réelles compétences. Il n’y a que deux choses que Hyunsu sait faire : le sexe, et se battre. Si la première option n’est pas envisageable pour celui qui refuse de céder, comme sa mère, la deuxième paraît plus alléchante. 

Alors, Hyunsu se met à traîner dans les bars miteux de Séoul, à la recherche de la moindre bagarre, de la moindre esclandre, d’une raison pour voir quelqu’un parier sur son dos, et pour se faire de l’argent. C’est ainsi qu’il finit par rejoindre un réseau de combat clandestin - et il se fait un nom, le garçon. Mais en même temps, c’est putain de facile de se battre pour sa vie, quand on a pas de raisons pour vivre, quand on a pas peur de mourir. Et puis, c’est clairement son ego qui l’emporte, quand il réalise qu’il est celui dont les autres ont peur, maintenant.

Il en a fini d’être terrifié des autres. C’est lui qui change la donne. 

C’est par ce réseau que Hyunsu fait la rencontre de 𝑮𝒂𝒃𝒓𝒊𝒆𝒍. L’aîné cherche à le recruter, pour une organisation qu’il tient avec ses amis, mais Hyunsu, lui, ne comprend pas ses intentions. Avec la ferme impression qu’il est un bout de viande, il cherche, éhontément, à s’offrir à Gabriel, même s’il se retrouve inévitablement repoussé. C’est gênant pour tout le monde, évidemment, et dans un premier temps, Hyunsu veut faire ce qu’il fait de mieux : fuir. Mais Gabriel ne le lâche pas. Et Gabriel, finalement, lui offre plus qu’une place dans le gang. Il est une écoute, une épaule sur laquelle pleurer, quelqu’un qui prend le temps, petit à petit, de le reconstruire. Même si l’intention première de Gabriel était de recruter Hyunsu, il refuse de le laisser intégrer immédiatement les Serpents. Il est trop abîmé, il est trop à vif, et il a besoin de guérir avant tout. Gabriel devient alors la pierre angulaire de l’existence de Hyunsu, celui qui panse ses blessures physiques et émotionnelles, celui qui lui offre un logement quand Hyunsu admet être terrifié à l’idée de dormir seul.

Et enfin, quand Gabriel l’estime prêt, après des mois de fréquentations, il le présente à 𝑺𝒖𝒍𝒍𝒊, faisant de lui le cinquième membre à rejoindre les Serpents.

𝟎𝟎𝟑. 𝒇𝒊𝒏𝒅𝒊𝒏𝒈 𝒂 𝒇𝒂𝒎𝒊𝒍𝒚.

L’intégration de Hyunsu dans les Serpents se fait avec une aisance incroyable, comme si sa place avait toujours été là. Le brun retrouve ce que c’est, d’avoir une famille, même si cette dernière, il ne peut le nier, est franchement bancale. Et Hyunsu est d’une grande aide au sein du gang, parce que sa colère est toujours là, toujours le meilleur moteur. Le brun n’est pas idiot, il sait bien qu’il est là uniquement pour se servir de ses poings. Sauf que voilà. Toujours aussi ingérable, ses poings, il n’hésite pas à s’en servir contre l’un des membres, 𝑻𝒂𝒚𝒅𝒆𝒏, juste parce qu’il existe dans son espace personnel. Il ne peut expliquer pourquoi, mais il le déteste, plus que de raison. Peut-être que c’est parce qu’il l’envie. Peut-être que c’est parce qu’il y a autre chose. Mais si Hyunsu s’intègre merveilleusement bien avec les autres, ça ne passe juste pas avec Tayden.

Une mission. C’est juste une mission qui change tout. Parce que Hyunsu est ingérable, parce que Hyunsu n’accepte pas qu’on parle mal de Sulli - et maintenant qu’ils ont foutu la merde, à s’en prendre à 𝑲𝒂𝒛, à s’en prendre au gang de 𝑺𝒆𝒕, Tayden et lui doivent réparer les pots cassés. Et c’est Tayden qui est à ses côtés, quand Hyunsu découvre que Kyungsu travaille pour Set. C’est Tayden qui est à ses côtés, quand Hyunsu comprend que la vie de rêve qu’il avait imaginée pour son frère n’existe pas. Et c’est Tayden qui le sauve, jour après jour, même quand il manque de mourir pour lui, même quand Hyunsu, étouffé par sa culpabilité, cherche à mettre les voiles. Parce que Hyunsu, finalement, ne déteste pas Tayden. Il l’aime, et c’est tout ce qui compte.

Hyunsu et Tayden sont donc inséparables, et c’est aussi Tayden qui le pousse à retrouver son frère. Bien sûr, c’est difficile. Dix ans sans se parler, Hyunsu se demande s’il n’a pas à faire à un inconnu. Mais c’est moins la colère qui l’habite maintenant, que l’envie de retrouver sa famille, l’envie de reformer ce clan qu’il avait quand il était petit. Alors, il est désormais obsédé par l’idée de retrouver Eunwoo et Seung, coûte que coûte, pour se faire pardonner des dix dernières années où il n’a pas été le frère dont ils avaient besoin. 

Hyunsu, enfin, est prêt à grandir.

𝐚𝐩𝐩𝐞𝐚𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞;

Hyunsu est assez mince, malgré ses bras musclés après des années de combat. Il est originellement brun, mais n’a aucun problème à changer ses cheveux, preuve en est sa dernière lubie, ses cheveux rouges. Il possède de nombreuses cicatrices, notamment sur ses phalanges régulièrement éclatées, et une sur son visage, qui est parfaitement symétrique avec son grain de beauté. Hyunsu a commencé à se faire tatouer plutôt jeune. Son premier tatouage est une dague, sur sa cuisse gauche. Par la suite, après son intégration dans le gang, il s’est fait tatouer, comme tous, un serpent, dans sa nuque et dans le haut du dos. Enfin, une fois qu’il sera réuni avec ses frères, il se fera tatouer à l’arrière du bras droit une boussole, dont les points cardinaux sont remplacés par les initiales de ses frères.

𝐩𝐞𝐫𝐬𝐨𝐧𝐚𝐥𝐢𝐭𝐲;

Hyunsu est très fier, mais il est surtout très honnête et loyal. On ne peut nier qu’il est un piètre menteur, et il vise toujours le mieux pour le gang, même si, il l’admet lui-même, ses idées sont souvent bancales. Hyunsu est assez tenace, et, de tendance assez dramatique, il peut rapidement se renfermer sur lui-même si la situation devient trop sensible. Têtu, bien qu’il ait de la ressource, le trait principal de Hyunsu reste le fait qu’il soit colérique, et on lui reproche souvent autant son impulsivité que sa jalousie. Une facette qu’on imagine moins souvent, concernant Hyunsu, c’est son côté protecteur, qui se retrouve notamment avec les filles du gang, qu’il défend comme si elles étaient de son propre sang. 

𝐭𝐫𝐢𝐯𝐢𝐚;

001. Hyunsu, depuis ses quinze ans, ne supporte plus de dormir seul. Au moins au foyer, il pouvait partager sa chambre avec d’autres adolescents, même s’il ne pouvait pas les voir en peinture. C’est pour cette raison qu’il vit en colocation avec Gabriel et Violet, jusqu’à son installation avec Tayden. Il n’aura finalement que très peu vécu seul dans sa vie.

002. Hyunsu, avec sa très faible estime de lui-même, a l’impression de ne pas être assez intelligent pour pouvoir poursuivre de grandes études, expliquant entre autres son absentéisme à l’université. Il finira par abandonner la fac, mais travaillera pour le compte de Gabriel au sein de sa salle de sport, réutilisant ses vagues connaissances en comptabilité. Il est en réalité plutôt bon en mathématiques. 

003. l’avenir. Hyunsu ne peut pas couper les liens avec les membres des Serpents, même après la fin du gang. Il est donc encore proche de tous, et finira même par se marier avec Tayden. Cependant, au vu de leurs enfances respectives plutôt catastrophiques, ils feront le choix de ne pas avoir d’enfants.

𝒕𝒂𝒚𝒅𝒆𝒏 - Si on demandait à Hyunsu, après son intégration dans le gang, ce qu’il pensait de Tayden, le brun aurait clairement affirmé, avec un ton méprisant, qu’il ne pouvait pas se le voir en peinture. Et dieu que les choses avaient changé. Tayden, il bouleverse son monde, chamboule toutes ses croyances, mais, irrémédiablement, fait de lui une meilleure personne. ça n’est pas facile tous les jours, parce qu’il est trop impulsif pour son bien-être, et que Tayden a lui également son caractère de connard - mais il n’y a plus aucune once de colère entre eux. Juste de l’amour. Et Hyunsu l’affirme haut et fort, bien qu’il soit très loyal envers le gang, personne ne passera jamais avant Tayden. 

𝒌𝒚𝒖𝒏𝒈𝒔𝒖 - Kyungsu et Hyunsu étaient terriblement proches quand ils étaient enfants, avec seulement quelques mois qui les séparent. Aînés de la fratrie, ils devaient bien évidemment se serrer les coudes - et puis, surtout, ils se complètent plutôt bien. Quand Kyungsu encaisse pour les protéger, Hyunsu, lui, hausse la voix pour le défendre. Il brûlerait le monde pour celui qu’il considère comme son modèle, juste pour soulager sa peine. Et même si Hyunsu vit mal le fait que Kyungsu fasse partie du gang adverse, qu’il vive la même vie de merde que lui, son retour dans sa vie, indéniablement, vient combler un manque dans son être, et fait renaître le besoin de former une vraie famille.

𝒈𝒂𝒃𝒓𝒊𝒆𝒍 - Gabriel met la main sur Hyunsu quand ce dernier fait un peu trop parler de lui, dans les cercles de combat clandestin. Selon l’aîné, il serait un atout pour le gang, même si Hyunsu a encore du mal à comprendre comment sa violence et sa colère peuvent bénéficier à qui que ce soit. Et Gabriel n’est pas juste son recruteur. Il est son meilleur ami, celui qui ne l’a jamais lâché, même quand il craque, même quand il explose, même quand il souffre. C’est Gabriel, au début de tout, qui a aidé Hyunsu à guérir, et il n’y a pas grand-chose que le garçon ne ferait pas pour l’aîné. Il le charrie, souvent, et il lui arrive de se moquer de lui, affectueusement. Mais maudit soit celui qui oserait s’en prendre à Gabriel, et qui devrait ainsi affronter la rage de Hyunsu.

𝒆𝒖𝒏𝒘𝒐𝒐 - Enfants, Hyunsu et Eunwoo étaient extrêmement similaires, ce qui était rarement une bonne nouvelle pour qui que ce soit. Les deux étaient particulièrement chaotiques, certes, mais c’était rassurant pour Hyunsu d’avoir son petit frère constamment collé à ses basques - ce que le foyer lui enlèvera. ça le rend malade, dans le fond, de savoir qu’il a laissé son frère là-bas, dans les mains de sa mère. Et se torturer l’esprit à propos d’Eunwoo, c’est ce qu’il sait faire de mieux, se demandant, souvent, s’il sourit toujours autant qu’avant. Et désormais, Hyunsu est prêt à remuer ciel et terre pour retrouver son petit frère, et s’assurer que son sourire soit dû à de bonnes raisons. 

𝒔𝒆𝒖𝒏𝒈 - Hyunsu avait toujours gardé un oeil bien vigilant sur Seung, même si celui-ci était plus proche de Kyungsu, partageant son silence, et sa réserve. ça n’empêche pas Hyunsu de toujours vouloir le protéger, avec son aura de grand frère. La séparation est donc douloureuse, quand il sait qu’il abandonne son petit frère dans les griffes de la sorcière. Et même si Hyunsu le retrouve plus facilement qu’Eunwoo, il essuie difficilement le rejet de Seung, qui ne veut plus de ses aînés dans sa vie. Mais Hyunsu est prêt à faire des efforts, prêt à tout, pour pouvoir retrouver son petit frère à la place qui lui revient de droit, à ses côtés.

𝒎𝒊𝒏-𝒂𝒉 - Tout le monde le sait, Hyunsu réagit mal à l’autorité, qu’il défie assez naturellement. Et une seule personne a le pouvoir de changer ça : Min-Ah, qu’il écoute plus que tous les autres. C’est bien la seule qui peut lever la voix sur lui sans souffrir des répercussions. Si on lui demande pourquoi, il trouvera toujours une jolie façon de détourner la vérité. Mais la réalité, c’est que c’est Min-Ah qui prend soin de lui, toujours, qui le réconforte, et qui l’empêche de faire des choses stupides, comme brûler le bar de Set. Et si Min-Ah l’observe toujours d’un œil diligent, pour s’assurer de son bien-être, en retour, Hyunsu lui offre, en silence, chaque année, des fleurs pour la fête des mères. Ils n’avaient jamais eu besoin de mots entre eux, de toute façon.

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◀ 7 JUIN ▶ 365 jours pour ranimer la flamme

Là où est votre trésor, là aussi sera votre cœur. Luc 12.34

Où est votre trésor ?

Lorsqu’on parle de trésor, il n’est pas forcément question d’argent ou de pierres précieuses. Par définition, un trésor est un ensemble de choses amassées et parfois cachées qui peut avoir une grande valeur pécuniaire ou une simple valeur affective. Et lorsque Jésus parle de trésor comme dans le verset précité, Il parle de tout ce qui nous éloigne de Lui, de tout ce à quoi nous sommes très attachés, qui nous accapare et a de l’influence sur nous au point de prendre la place qui Lui revient de droit dans notre vie. Cela peut concerner notre image qui nous préoccupe plus que tout, notre ego qui dirige nos choix et nos pensées, ou encore des ambitions personnelles qui monopolisent notre temps et nos pensées et notre argent. Il est temps d’enfin nous accorder avec ce que nous déclarons au Seigneur, culte après culte. Oui, car chanter avec ferveur une louange telle que « Je te donne tout, tout est à toi Jésus », n’est en rien anodin. C’est une promesse que l’on fait à Dieu, créateur de l’univers. Par conséquent, arrêtons d’être aussi légers et irrespectueux envers Lui ! Remettons-Lui tous ces mauvais trésors qui font de nous des adultères, des hypocrites, des idolâtres, et demandons-Lui de nous en libérer. Le mot « cœur » dans le verset du jour est traduit du grec kardia qui signifie notamment « âme ». Nous pourrions ainsi éclairer le verset du jour en écrivant : « Là où est votre trésor (pendant que vous êtes sur la Terre), là aussi sera votre âme (après le retour du Seigneur) ». Par ces précisions, il nous faut comprendre que nos conforts, nos fausses richesses, nos convoitises, nos plaisirs, nos centres d’intérêt et autres, tous ces trésors amassés sur Terre seront détruits par la rouille et la teigne, et que ce vers quoi tend notre cœur aujourd’hui détermine notre éternité (cf. Matthieu 6.20 ; Luc 12.21, 12.33). De la sorte, si notre trésor suprême n’est pas Dieu et Son Royaume, alors nous ne sommes pas appelés à régner avec Lui... C’est pourquoi, nous devons le mettre ou Le remettre à la première place de notre vie et faire de l’avancement de Sa maison, notre priorité numéro un. Changeons nos perspectives et connectons-nous au divin Roi en nous déchargeant de nos passions ennemies. Déposons celles-ci au pied de la croix de Jésus et prenons son joug léger, puis marchons à Sa suite dans la sainteté par amour et obéissance (cf. Matthieu 11.30). Prions avec régularité et communions avec Lui, méditons chaque jour Sa Parole et permettons à Son Esprit de se déployer en nous ! De plus, comme de fidèles serviteurs et de bons ouvriers, impliquons-nous dans l’Église et mettons nos talents à son service, donnons de nos prémices voire davantage si l’Esprit nous y engage (temps, argent, capacités...), diffusons l’Évangile autour de nous, semons et arrosons ! (cf. 1 Corinthiens 3.9). Oui, soyons actifs pour le Royaume de Dieu qui se déploie de multiples manières aux quatre coins du monde ! Allons là où le Seigneur nous le demande, débarrassés de nos trésors encombrants. C’est alors que nous nous amasserons un trésor inépuisable et incorruptible dans le Ciel ! - Lire plus ici :

[grandmaraboutorogan]

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Je m’appel Michel, je témoigne aujourd’huit sur le grand marabout PARFAIT OROGAN qui ma montré la réalité de la multiplication d’argent réel . Voici la sommes d’argent qu’il ma envoyer ce matin comme prévus. Après beaucoup d’échec chez des marabout ,je n’es pas confiance dès le début que j’ai pris son numéro ,je voulais essayer avec la multiplication d’argent et après pour le portefeuille . Il ma…

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Je ne vous demande pas de me croire forcément parce que moi aussi au début je n’y croyais pas

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J’ai voulu le tester pour qu’il me fasse la multiplication d’argent et dans amusement il m’a réellement fait la multiplication seulement sa a duré 16minutes

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[laperditudedeschoses]

Les papillons de Néné

Quand je pense à ma famille, quelle que soit la direction dans laquelle je regarde, quelle que soit la branche que je remonte dans l’arbre généalogique, je ne vois que des zinzins.

Zinzin est un terme affectueux bien entendu, que je m’auto-attribue ainsi qu’à mes amis, mais tout de même, j’ai grandi entourée d’un certain nombre de référent.e.s qui disposaient d’un esprit ne fonctionnant pas de manière parfaitement rationnelle et censée.

Dans cette nuée de gens pas comme tout le monde, il y avait Néné. Néné était la sœur de feue ma grand-mère adorée Mamou. Les deux avaient bien sûr de vrais prénoms qu’il n’est pas nécessaire de dévoiler ici.

Néné est un personnage en soi, pour tout un tas de raisons. Son aspect physique pour commencer. Il faut savoir que de ce côté de ma famille, nous pouvons nous targuer d’avoir des origines Micmacs, un peuple natif d’Amérique du Nord, dont certains membres se sont mélangés avec des navigateurs bretons. J’adore la ramener avec ça, même si objectivement ces origines remontent à deux cents ans et que j’affiche plutôt les caractéristiques de la grande communauté internationale des zinzins que celles de n’importe quelle amérindienne. Mais Néné, elle, avait les attributs physiques des MicMacs : la peau mate toute l’année malgré des journées entières passées dans ce qu’elle appelait son « gourbi » ou dans son jardinet de Vendée, qu’on appelait le « tempote » ; de longs cheveux noirs épais et très lisses qu’elle coiffait toujours de la même manière, une espèce de chignon/queue de cheval ; un nez aquilin et une mâchoire ovale.

Son allure également. Elle avait peur de beaucoup de choses et préférait la compagnie de ses multiples chats à n’importe quelle interaction avec un autre être humain, mais quand elle se décidait à sortir, elle enfilait un imper blanc et enfourchait son solex pour sillonner les départementales de son coin, ce qui lui donnait l’air d’un personnage du Petit Spirou.

La vie qu’elle a eue, aussi. Un peu triste, il faut l’admettre, mais commune à beaucoup de femmes de sa génération qui n’étaient pas mariées et n’avaient pas d’enfants. Elle a eu quelques petits boulots, s’est occupée de ses parents sur la fin de leur vie, a travaillé comme gouvernante chez un ancien militaire qui n’avait pas l’air sympathique, a vécu seule longtemps et a terminé ses jours dans un EHPAD. Je l’ai pour ma part surtout connue quand elle vivait dans sa petite maison, dont elle aspergeait le sol d’eau de Cologne pour neutraliser l’odeur de chat et qu’elle espérait quitter le jour où « la grosse somme d’argent » qui lui avait été promise par une publicité mensongère – qui lui demandait d’envoyer des chèques de 20 euros pour pouvoir réclamer son dû – lui serait enfin versée.

Parce qu’une de mes tantes n’a eu ni enfants ni mari, ma cousine prétend que chaque génération a sa Néné, mais on ne peut pas encore dire qui, de la nôtre, remportera le trophée.

Un autre attribut avec lequel j’ai toujours connu ou entendu parler de Néné, c’est son penchant pour la mélancolie, ou l’anxiété, qui n’était toutefois jamais exprimé ainsi. Pour une femme issue de la France profonde et catholique, d’une génération qui a connu la guerre et où aller chez un psy relevait du domaine de la science-fiction, le terme de « névrose » n’a jamais été évoqué et elle préférait le formuler de la sorte : « Oh tu sais … ma tête m’a encore joué des tours ». Petite je ne comprenais pas vraiment ce que ça voulait dire mais j’ai vite compris qu’elle aimait en user pour un oui ou pour un non.

Elle est décédée il n’y a pas longtemps et quand ma mère m’a raconté comment elle avait récupéré toutes ses affaires à l’EHPAD et les pépites qu’elle avait trouvées, elle a mentionné des « papillons ».

Devant mon air surpris, ma mère m’interpelle « Tu connais pas les papillons de Néné ? ». Il s’agit apparemment de petits papiers sur lesquels elle écrivait ses humeurs, ses préoccupations, des choses qui lui arrivaient, pour ne pas les oublier. Elle les a conservées pendant des décennies et ils se comptent par dizaines, conservés dans diverses boîtes à chaussures en carton ou boîtes de bonbons en métal (les Quality Streets que nous lui offrions pour Noël, avant de les dévaliser quand nous allions regarder la télé chez elle, un parfait exemple d’économie circulaire).

Ça alors ! Néné, bien avant toutes les instagrameuses qui mangent du chia pudding, a pratiqué le journaling pour évacuer ses démons, prendre du recul sur la vie et initier ses mornings routines, entre ses piles de télé Z et ses meubles plastifiés.

Et appeler ça des « papillons », c’est tellement poétique, la légèreté du papier qui équilibre la profondeur de certaines de ses pensées noires. Néné était une artiste non reconnue en fin de compte !

On est ici pour se détendre, mais aussi pour apprendre quelques techniques de développement personnel alors faisons un point sur le journaling. Sur internet je trouve cette définition, très poétique elle aussi : « un rituel d'écriture quotidien, un rendez-vous pris avec soi et quelques feuilles de papier ». Concrètement ça consiste à écrire ses pensées pour s’en défaire et entamer sa journée plus sereinement. C’est le principe du journal intime, qui permet aussi de se souvenir de moments forts que l’on a vécus. C’est une pratique popularisée grâce à un livre intitulé The artist way, qui encourage, pour libérer sa créativité, la rédaction de « morning pages », trois pages d’écriture manuscrite en pleine conscience et dès la première heure du jour. Il m’arrive de rédiger des morning pages, mais aussi des afternoon pages, voire des night pages pendant les insomnies et je dois dire que c’est assez efficace.

Pour préparer ce billet, ma mère a eu la gentillesse de me recopier quelques papillons dans un mail et je la remercie pour cela. Notons qu’elle ne lira probablement jamais ces remerciements, dans la mesure où je n’ai pas encore osé lui communiquer l’adresse de La Perditude des choses, n’assumant pas qu’elle lise certains billets qui évoquent la sexualité, même réprimée, comme Pierrot mon poto ou Les huiles essentielles.

Bref, à la lecture de quelques exemplaires, je m’aperçois que les papillons ne sont pas exactement ce à quoi je m’attendais. C’est plutôt un florilège assez gratiné d’une femme en colère et paranoïaque.

Un florilège de notes à elle-même : « Je ne croyais pas mes ennemis aussi proches … J´ai plus de secours venant du ciel, de mon défunt frère, qui est toujours avec moi. »

Un florilège de copies de notes adressées à des gens qu’elle aime plus ou moins, son voisin « Faites stopper ce bruit incessant qui vient de votre salle de bain » ; au prêtre qui officiait avec mon grand-oncle, lui-même prêtre « Cher Père, je vous suis très reconnaissante de bien entourer mon frère pendant sa maladie. Si son état devenait plus alarmant, pourriez-vous prévenir ma sœur au 02…… elle est plus résistante que moi. »

Un florilège de brouillons de courriers, dont un expédié à Julien Courbet avec un dossier de 50 pages, qui commence ainsi : « Après de longues années de souffrance votre émission me redonne un espoir. C´est pourquoi pour comprendre ma demande je vous envoie tout mon dossier. »

Moins poétique que ce que j’imaginais, c’est tout de même un témoignage intéressant d’une époque qui n’existe plus vraiment : les courriers manuscrits et leurs copies, la correspondance avec le prêtre du village, Julien Courbet …

D’ailleurs en écrivant ce billet, j’ai pris plaisir à me replonger dans ces souvenirs et à les graver dans mon récit.

Oh mais dis donc, moi aussi je suis quelqu’un d’anxieux et moi aussi j’aime écrire et tout conserver dans des carnets.

Catastrophe ! Suis-je la Néné de ma génération ?!

[ecrivainesansnom]

SÉANCE #6- Une application de rencontre pour adolescents qui fait « jaser »

Ce billet aura pour sujet la présentation de soi sur une application de rencontre pour adolescent et comment des utilisateurs peuvent tirer profit d’autres utilisateurs.

Wizz est une nouvelle application de rencontre de style Tinder pour adolescents. Le but de l’application est de mettre en contact des millions de jeunes dans un environnement sûr. En réalité, c’est une plateforme de rêve pour les prédateurs sexuels. Une jeune fille de 13 ans, vêtue d’une camisole noire qui pose devant un miroir se présente en mentionnant des atouts qu’elle aime chez les autres. Cependant, plusieurs prédateurs en profitent pour exploiter les jeunes adolescents. En bref, ils se font passer pour d’autres personnes avec de faux profils pour tenter d’avoir des photos dénudées de jeunes. Le stratagème utilisé par ces sextorqueurs est souvent le même. En effet, ils établissent un contact avec une victime et lui suggèrent de déplacer la conversation sur une autre plateforme comme Snapchat. Par la suite, lorsque la confiance est établie, le prédateur demande à la victime de lui envoyer des photos intimes, qu’il menace ensuite de diffuser si la victime ne lui envoie pas d’argent. Malheureusement, c’est une des multiples facettes du soi en ligne où les gens se présentent à l’aide de faux profils. Wizz a reçu 168 signalements pour des cas d’exploitation et d’abus sexuels d’enfants. L’application a même été retirée sur l’App Store et sur Google Play fin janvier, mais elle est re disponible depuis peu. Plusieurs questions se posent concernant l’authenticité des utilisateurs et les faux profils. Est-ce qu’il faudrait augmenter les mesures pour s’assurer que les gens sont vraiment ce qu’ils prétendent être? Par exemple, la technologie de la reconnaissance faciale pourrait être très bénéfique dans ce cas, en comparant les photos du profil avec une photo de l’utilisateur pris en direct.

Pour finir, les enjeux entourant les faux profils sont réels et doivent être pris plus au sérieux par les diverses applications et plateformes.

https://www.lapresse.ca/actualites/wizz/alertes-contre-une-appli-de-rencontre-pour-ados/2024-02-13/la-sextorsion-sur-wizz-est-omnipresente.php#

[poiemmy]

SÉANCE #6- Une application de rencontre pour adolescents qui fait « jaser »

Ce billet aura pour sujet la présentation de soi sur une application de rencontre pour adolescent et comment des utilisateurs peuvent tirer profit d’autres utilisateurs.

Wizz est une nouvelle application de rencontre de style Tinder pour adolescents. Le but de l’application est de mettre en contact des millions de jeunes dans un environnement sûr. En réalité, c’est une plateforme de rêve pour les prédateurs sexuels. Une jeune fille de 13 ans, vêtue d’une camisole noire qui pose devant un miroir se présente en mentionnant des atouts qu’elle aime chez les autres. Cependant, plusieurs prédateurs en profitent pour exploiter les jeunes adolescents. En bref, ils se font passer pour d’autres personnes avec de faux profils pour tenter d’avoir des photos dénudées de jeunes. Le stratagème utilisé par ces sextorqueurs est souvent le même. En effet, ils établissent un contact avec une victime et lui suggèrent de déplacer la conversation sur une autre plateforme comme Snapchat. Par la suite, lorsque la confiance est établie, le prédateur demande à la victime de lui envoyer des photos intimes, qu’il menace ensuite de diffuser si la victime ne lui envoie pas d’argent. Malheureusement, c’est une des multiples facettes du soi en ligne où les gens se présentent à l’aide de faux profils. Wizz a reçu 168 signalements pour des cas d’exploitation et d’abus sexuels d’enfants. L’application a même été retirée sur l’App Store et sur Google Play fin janvier, mais elle est re disponible depuis peu. Plusieurs questions se posent concernant l’authenticité des utilisateurs et les faux profils. Est-ce qu’il faudrait augmenter les mesures pour s’assurer que les gens sont vraiment ce qu’ils prétendent être? Par exemple, la technologie de la reconnaissance faciale pourrait être très bénéfique dans ce cas, en comparant les photos du profil avec une photo de l’utilisateur pris en direct.

Pour finir, les enjeux entourant les faux profils sont réels et doivent être pris plus au sérieux par les diverses applications et plateformes.

https://www.lapresse.ca/actualites/wizz/alertes-contre-une-appli-de-rencontre-pour-ados/2024-02-13/la-sextorsion-sur-wizz-est-omnipresente.php#

[maitreahokpe]

Grace au medium AHOKPE j’ai pu avoir la multiplication d’argent de 50.000euros.

Grace au medium AHOKPE j’ai pu avoir la multiplication d’argent de 50.000euros. Je m’appelle Christian Guignard j’ai fais la découverte du Grand Medium AHOKPE quand j’avais perdu mon boulot et la santé de ma fille ,tout s’écoulait autour de moi et j’avais même des loyers impayés. C’est ainsi j’ais rencontrer un ami qui m’a parler des service du medium AHOKPE et j’ai pris contact avec le maitre…

[maitremaraboutcodjo]

MULTIPLICATION D’ARGENT EN LIGNE EN CFA EN DOLLARS ET EURO:+229 56318 880

MULTIPLICATION D’ARGENT EN LIGNE EN CFA: +229 56318880 La multiplication d’argent facile est un puissant rituel d’argent qui permet fruitier votre capitale en quelques minutes, C’est un rituel très spirituel qui invoque l’esprit » MAITRE CODJO» la déesse de la fortune depuis la mer. Ce rituel de multiplication d’argent facile est considéré comme un gain facile qui peut vous rendre milliardaire en quelques minutes

[vodoungnon]

Blanchissement d'argent rapide, comment avoir un vrai marabout pour le blanchissement d'argent.

Blanchissement d’argent efficace du papa Vodoungnon Medjo par Téléphone, Un marabout incroyable du monde. Tout d’abord, il faut comprendre que la multiplication d’argent magique rapide est un travail spirituel qui est réservé aux experts en sorcellerie, magie et vaudou. Lorsque vous commandez une multiplication d’argent magique et rapide, le marabout doit tout d’abord vous expliquer les tenant…

[christophe76460]

DÉVOTION QUOTIDIENNE D'MFM. LA VIE AU SOMMET DE LA MONTAGNE.

Samedi 23 septembre 2023

THÈME : LES CLÉS DE DESTRUCTION DE LA PAUVRETÉ POUR LES CROYANTS (𝐈���).

BIBLE EN UN AN : Esaïe 51, Isaïe 52, Luc 17, Luc 18.

ÉCRITURE DE FEU : Proverbes 24 : 33-34

VERSET DE MÉMOIRE :

2 Corinthiens 8 : 9 - "Car vous connaissez la grâce de notre Seigneur Jésus Christ, qui pour vous s`est fait pauvre, de riche qu`il était, afin que par sa pauvreté vous fussiez enrichis."

CITATIONS INSPIRANTES :

Il y en a assez dans le monde pour répondre aux besoins de chacun, mais pas assez pour satisfaire l'avidité de chacun.

LOUANGE ET ADORATION :

Prenez des chants de louange et d’adoration dirigés par le Saint-Esprit.

PAROLE PROPHÉTIQUE DU JOUR :

Aujourd'hui, les hommes forts de la pauvreté assignés contre votre vie mourront par le feu, au Nom de Jésus.

LE MESSAGE :

Bien-aimé, Dieu vous a donné le mandat d'affronter et de détruire l'esprit de pauvreté. Ce mandat divin se repose sur la rédemption que Jésus nous a donné en prenant la malédiction de la loi que nous méritions. Jusqu’à présent, nous avons examiné dix clés que vous pouvez utiliser pour déloger la pauvreté de votre vie.

Vous pouvez détruire la pauvreté en évitant les dettes ou les emprunts. Il vaut mieux vivre selon ses revenus et être prudent que de s’endetter. Alors n’empruntez pas d’argent à moins que cela ne soit absolument nécessaire.

Une autre clé de destruction de la pauvreté que vous devriez utiliser est d’assainir votre environnement ou de le modifier. Certaines maisons, les lieux de travail et les lieux d'affaires peuvent être pollués ou démoniaque au point que personne n'y prospère. Par conséquent, vous devez désinfecter l'endroit par la prière ou procéder à la délivrance de ces endroits. Aussi, si vous avez des marchandises qui ne se vendent pas, oignez-les et priez pour qu'elles soient vendues avec profit. Une fois que vous aurez brisé les jougs, vous enregistrerez des ventes et des bénéfices.

De plus, vous pouvez détruire la pauvreté en investissant dans la prière et avec sagesse. Avant de vous lancer dans une entreprise ou un investissement, vous devez d’abord vous adresser à Dieu dans la prière et obtenir son approbation. Dieu bénira certainement toute entreprise ou tout investissement qu’il vous demandera de faire. En revanche, Dieu n’est pas obligé de bénir ce qu’Il n’a pas approuvé pour vous. Plus encore, vous devriez faire des prières pour détruire la pauvreté comme le genre de prière que Jabez a fait et la pauvreté ainsi que le déshonneur ont été expulsés de sa vie.

Une autre clé pour détruire la pauvreté est de prier pour libérer la richesse. La prière change les choses et la prière des justes produit d’énormes résultats. Lorsque vous faites des prières ciblées, Dieu ouvrira votre ciel et vous libérera de grandes richesses. Lorsque vous faites ce genre de prière, les banques sataniques vomissent votre argent.

La Bible dit qu’il est utile de diriger avec la sagesse. Si vous voulez détruire la pauvreté, une mesure sage à prendre est de toujours prier sur votre argent avant de le donner aux gens en cadeau. Lorsque l’Esprit de Dieu enveloppe votre argent de feu, aucune puissance maléfique ne pourra l’utiliser contre vous.

Cher lecteur, vaincre l’esprit de pauvreté et accéder aux multiples richesses et bénédictions de Dieu sont des tâches spirituelles que vous devez accomplir avec ardeur. Dieu vous aidera, au nom de Jésus.

POINTS DE PRIÈRE :

MATIN

1. Mes bénédictions aux quatre coins de la terre, rassemblez-vous et localisez-moi, au nom de Jésus.

2. Par la puissance du sang de Jésus, j'expulse de mon environnement tout démon qui attire la pauvreté, au nom de Jésus.

3. Portes des bénédictions divines, ouvrez-vous à moi par le feu, au nom de Jésus.

SOIR

4. Banques sataniques, vomissez mes bénédictions, au nom de Jésus.

5. Panier maléfique chargé de gaspiller mes bénédictions, prend feu et brûle en cendres, au nom de Jésus.

6. Je couvre et scelle chaque trou satanique dans ma poche, au nom de Jésus.

7. Pouvoirs du dévoreur, je ne suis pas votre candidat, meurs, au nom de Jésus.