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SÉANCE #14- Vaincre la tempête numérique : protéger sa santé mentale sur les réseaux sociaux

Ce billet aura pour sujet les effets des réseaux sociaux sur la santé mentale des jeunes. L’essor de la technologie et la diversité des plateformes numériques ont un énorme impact sur le bien-être mental des plus jeunes. Seulement aux États-Unis, 95% des 13-17 ans disent utiliser un réseau social (Agence France-Presse, 2023, paragr.8).

Selon Vivek Murthy, des études démontrent qu’il existe un lien entre l’utilisation des réseaux sociaux et l’apparition de symptômes dépressifs. La comparaison par le biais de ces plateformes peut mener à fragiliser l’estime de soi des jeunes, plus particulièrement chez les filles. En effet, elles sont précairement exposées au cyberharcèlement et aux troubles alimentaires (Agence France-Presse, 2023, paragr.5). Pour ma part, je trouve cela extrêmement désolant de voir que les réseaux sociaux ont autant de négativité chez les plus jeunes. Je trouve que certaines plateformes comme TikTok ou Instagram peuvent être très bénéfiques et éducatives, mais peuvent aussi avoir des côtés pervers. Malheureusement, il y a actuellement une crise nationale de la santé mentale chez les jeunes et l’une des principales raisons est les réseaux sociaux. Les professionnels doivent répondre en urgence à cette situation qui se passe présentement. Une solution qui a été trouvée est d’appliquer un âge minimum et des paramètres par défaut pour mieux protéger leur vie privée (Agence France-Presse, 2023, paragr.7). Cependant, les jeunes sont rusés pour contourner les règles et je doute qu’ils inscrivent leur vrai âge s’il y avait des mesures de plus. Personnellement, je crois que la meilleure solution à ce problème est de sensibiliser nos enfants sur les contenus des réseaux sociaux qui ne sont pas toujours la réalité. Nous voyons souvent ce qu’il y a de plus beau, mais pas l’envers du décor.

Pour conclure, les effets néfastes des réseaux sociaux sur la santé mentale des jeunes sont bien réels. Il faut apprendre à les écouter et à les sensibiliser sur les impacts négatifs.

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1981689/reseaux-sociaux-adolescents-detresse-sante

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SÉANCE #13- L'Impact des mouvements sociaux à l'ère d'Internet

Ce billet aura pour sujet le nouveau mouvement #MeToogarçons lancé par le comédien Aurélien Wiik. Depuis quelques années, le mouvement #Metoo prend de plus en plus de place dans la société. Plusieurs femmes ont dénoncé leur agresseur et plusieurs se sont vu donner des sentences judiciaires. Cependant, la plupart des dénonciations étaient faites par des femmes contre des hommes. Le 22 février dernier, à la veille de la cérémonie des César, plusieurs hommes ont dénoncé des violences sexuelles.

Plusieurs aspects font que les hommes ne dénoncent pas lorsqu’ils sont victimes d’abus sexuels. «Il y a des freins dans la société, notamment l'idée qu'un homme, ça ne pleure pas, c'est fort, qu'un homme ne peut pas être victime» (Agence France Presse, 2024). Personnellement, je suis contente que les hommes trouvent enfin le courage d’exposer ceux qui leur ont causé des traumatismes. Les mouvements sociaux comme le #MeToo sur les plateformes numériques créent un effet de groupe et les gens osent dénoncer parce que d'autres le font. En ce qui a trait aux statistiques, on estime que près de 90 % des victimes sont des femmes (selon les chiffres de l’INSPQ), seuls 10 % seraient des hommes (Galipeau, 2024). J’espère que ce nouveau mouvement de #MeToogarçons va se propager ailleurs qu’en France pour que tous les hommes qui veulent dénoncer leurs agresseurs puissent avoir leur droit de parole.

Cependant, une importante question me vient en tête concernant les dénonciations par l’entremise des réseaux sociaux. Quand une personne prend parole pour en dénoncer une autre, plusieurs conséquences et débats enflammés ont lieu contre le présumé agresseur.  En revanche, si quelqu’un dénonce un agresseur, mais que celui n’a pas commis ce qui lui est reproché et qu’il reçoit des conséquences et des menaces sur les réseaux sociaux, comment se sortir de cette mauvaise situation?

En conclusion, les mouvements sociaux de dénonciation sur le web comme le #MeToo ou #MeToogarçons sont très utiles pour les victimes. Cependant, dans les rares cas où une personne se fait accuser à tort et reçoit des conséquences sur les réseaux sociaux, comment régler cette situation?

https://www.lapresse.ca/societe/2024-03-03/metoogarcons/le-nouveau-metoo-tabou.php

https://www.journaldemontreal.com/2024/02/28/metoogarcons-les-violences-faites-aux-hommes-mises-en-lumiere

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SÉANCE #10- Vers l’infini numérique : Chat GPT domine

Ce billet aura pour sujet l’ascension de Chat GPT dans les années futures et ses impacts sur la société actuelle. Pour commencer, bien que ce robot soit un outil impressionnant pour répondre à des questions, celui-ci n’était pas en mesure d’aller recueillir des données directement sur Internet. Cependant, depuis sa dernière mise à jour, il peut désormais répondre à nos questions en cherchant les réponses partout sur le web (Agence France-Presse, 2023). Pour ma part, une question me vient à l’esprit. En prenant compte que Chat GPT recherche parmi tous les résultats sur Internet, comment s’assurer de la véracité des résultats qu’il propose? La désinformation est très présente de nos jours et Chat GPT alimente celle-ci en nous répondant des contenus erronés malgré qu’il donne les sources de ses propos (Agence France-Presse, 2023). Malheureusement, les utilisateurs doivent être très prudents avant de tenir pour acquises les réponses du robot. La vérification des sources par les utilisateurs est cruciale pour éviter la désinformation. 

Deuxièmement, de plus en plus de personnes utilisent ce robot et il peut désormais remplacer certains humains dans leurs tâches au travail. Par exemple, en lui posant la question, il répond qu’il est en mesure d’être un conseiller RH, un analyste de données ou encore un journaliste, car il utilise des sources fiables (Théroux, 2023). Personnellement, je ne pense pas qu’il soit tout à fait prêt à remplacer un humain dans un travail, mais puisque Chat GPT ne cesse d’évoluer, je sais que dans un futur proche nous allons être confrontés à cette situation. Mon métier en communication sera certainement touché, car ce robot peut désormais créer des campagnes de marketing intégré et analyser leur succès en fonction des données disponibles (Théroux, 2023).

Pour conclure, l’avenir de Chat GPT est de plus en plus prometteur pour ses utilisateurs, mais est effrayant pour le futur de certains métiers et pour la désinformation. 

https://www.lesoleil.com/affaires/proximite-pme/2023/05/11/chat-gpt-voici-les-metiers-que-je-peux-remplacer-RPTHYJIBLBFTBGBTTNNUSXS4LI/

https://www.lapresse.ca/affaires/techno/2023-09-27/chatgpt-peut-maintenant-recueillir-des-donnees-en-ligne-en-temps-reel.php

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SÉANCE #6- Une application de rencontre pour adolescents qui fait « jaser »

Ce billet aura pour sujet la présentation de soi sur une application de rencontre pour adolescent et comment des utilisateurs peuvent tirer profit d’autres utilisateurs.

Wizz est une nouvelle application de rencontre de style Tinder pour adolescents. Le but de l’application est de mettre en contact des millions de jeunes dans un environnement sûr. En réalité, c’est une plateforme de rêve pour les prédateurs sexuels. Une jeune fille de 13 ans, vêtue d’une camisole noire qui pose devant un miroir se présente en mentionnant des atouts qu’elle aime chez les autres. Cependant, plusieurs prédateurs en profitent pour exploiter les jeunes adolescents. En bref, ils se font passer pour d’autres personnes avec de faux profils pour tenter d’avoir des photos dénudées de jeunes. Le stratagème utilisé par ces sextorqueurs est souvent le même. En effet, ils établissent un contact avec une victime et lui suggèrent de déplacer la conversation sur une autre plateforme comme Snapchat. Par la suite, lorsque la confiance est établie, le prédateur demande à la victime de lui envoyer des photos intimes, qu’il menace ensuite de diffuser si la victime ne lui envoie pas d’argent. Malheureusement, c’est une des multiples facettes du soi en ligne où les gens se présentent à l’aide de faux profils. Wizz a reçu 168 signalements pour des cas d’exploitation et d’abus sexuels d’enfants. L’application a même été retirée sur l’App Store et sur Google Play fin janvier, mais elle est re disponible depuis peu. Plusieurs questions se posent concernant l’authenticité des utilisateurs et les faux profils. Est-ce qu’il faudrait augmenter les mesures pour s’assurer que les gens sont vraiment ce qu’ils prétendent être? Par exemple, la technologie de la reconnaissance faciale pourrait être très bénéfique dans ce cas, en comparant les photos du profil avec une photo de l’utilisateur pris en direct.

Pour finir, les enjeux entourant les faux profils sont réels et doivent être pris plus au sérieux par les diverses applications et plateformes.

https://www.lapresse.ca/actualites/wizz/alertes-contre-une-appli-de-rencontre-pour-ados/2024-02-13/la-sextorsion-sur-wizz-est-omnipresente.php#

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SÉANCE #6- Une application de rencontre pour adolescents qui fait « jaser »

Ce billet aura pour sujet la présentation de soi sur une application de rencontre pour adolescent et comment des utilisateurs peuvent tirer profit d’autres utilisateurs.

Wizz est une nouvelle application de rencontre de style Tinder pour adolescents. Le but de l’application est de mettre en contact des millions de jeunes dans un environnement sûr. En réalité, c’est une plateforme de rêve pour les prédateurs sexuels. Une jeune fille de 13 ans, vêtue d’une camisole noire qui pose devant un miroir se présente en mentionnant des atouts qu’elle aime chez les autres. Cependant, plusieurs prédateurs en profitent pour exploiter les jeunes adolescents. En bref, ils se font passer pour d’autres personnes avec de faux profils pour tenter d’avoir des photos dénudées de jeunes. Le stratagème utilisé par ces sextorqueurs est souvent le même. En effet, ils établissent un contact avec une victime et lui suggèrent de déplacer la conversation sur une autre plateforme comme Snapchat. Par la suite, lorsque la confiance est établie, le prédateur demande à la victime de lui envoyer des photos intimes, qu’il menace ensuite de diffuser si la victime ne lui envoie pas d’argent. Malheureusement, c’est une des multiples facettes du soi en ligne où les gens se présentent à l’aide de faux profils. Wizz a reçu 168 signalements pour des cas d’exploitation et d’abus sexuels d’enfants. L’application a même été retirée sur l’App Store et sur Google Play fin janvier, mais elle est re disponible depuis peu. Plusieurs questions se posent concernant l’authenticité des utilisateurs et les faux profils. Est-ce qu’il faudrait augmenter les mesures pour s’assurer que les gens sont vraiment ce qu’ils prétendent être? Par exemple, la technologie de la reconnaissance faciale pourrait être très bénéfique dans ce cas, en comparant les photos du profil avec une photo de l’utilisateur pris en direct.

Pour finir, les enjeux entourant les faux profils sont réels et doivent être pris plus au sérieux par les diverses applications et plateformes.

https://www.lapresse.ca/actualites/wizz/alertes-contre-une-appli-de-rencontre-pour-ados/2024-02-13/la-sextorsion-sur-wizz-est-omnipresente.php#

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SÉANCE #5- Des utilisateurs engagés sur les plateformes…mais à quel point

Ce billet aura pour sujet les modes d’engagement des usagers selon les différents réseaux sociaux numériques qui s’offrent à eux. Depuis qu’Elon Musk a pris le contrôle de Twitter (devenu X) et qu’il y a imposé sa propre vision, plusieurs utilisateurs ont décidé de quitter la plateforme. De plus, Facebook et Twitter sont accusés de nuire à la démocratie en contribuant à la désinformation, TikTok se fait surveiller par les gouvernements occidentaux et les gens continuent quand même à utiliser ces plateformes (Cassivi, 2023, paragr. 3 et 4).

Pour ce qui a trait à la sociabilité en ligne et hors ligne, Facebook et Instagram sont des plateformes utilisées pour créer et maintenir des liens autant dans la vie réelle que dans la vie virtuelle. Cependant, leur modèle d’affaires est basé sur la croissance infinie. Ils encouragent leurs utilisateurs à investir, à avoir plus de likes et d’abonnés ou de retweets (Cassivi, 2023, paragr. 10). C’est pourquoi, Ben Grosser, professeur à l’Université de l’Illinois, a créé Minus en 2021. Pour suivre l’évolution des modes d’engagement et d’affiliation, chaque usager peut rédiger 100 messages sur la plateforme pour la vie, mais il n’y a pas d’algorithme, pas de « likes », d’abonnés ou de crochet bleu. C’est une façon différente d’évoluer avec les plateformes numériques (Cassivi, 2023, paragr. 7). Pour ma part, je pense que si on enlève les « likes », les crochets bleus et les abonnés, il pourrait y avoir beaucoup plus d’authenticité sur les réseaux sociaux. L’objectif de garder contact avec un cercle restreint de connaissances serait beaucoup plus bénéfique avec une plateforme comme Minus. Un autre réseau social qui se nomme Bluesky a été lancé en février 2023. En effet, ce réseau social est accessible seulement sur invitation et compte une liste d’attente de plus d’un million d’utilisateurs. Plusieurs experts croient que l’avenir des réseaux sociaux se trouve dans les contenus de niche offerts par des plateformes comme Bluesky (Cassivi, 2023, paragr. 14 et 17).

Pour conclure, l’avenir des réseaux sociaux est une question qui demeure floue et qui dépendra de l’évolution des modes d’engagement des utilisateurs.

https://www.lapresse.ca/contexte/2023-05-14/a-la-recherche-du-reseau-social-ideal.php