#Léo et Lui
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danetteabdl · 19 days ago
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Titre : Le Match de sa Vie
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Chapitre 1 : Le rêve d’un jeune prodige
Léo, 17 ans, était un jeune prodige du football. Repéré dès l’âge de 12 ans par un centre de formation prestigieux, il avait tout pour réussir : technique, vision du jeu et une détermination sans faille. Pourtant, un obstacle inattendu menaçait son rêve : le stress des grands matchs.
À chaque fois qu’il se préparait à entrer sur le terrain pour un match important, Léo ressentait une boule au ventre. Peu importe les encouragements de ses coéquipiers ou les conseils de son coach, le trac prenait toujours le dessus. Un jour, à son plus grand embarras, son corps céda sous la pression : le stress le rendit incontinent.
Chapitre 2 : Le poids du secret
Léo était dévasté. Il n’osait en parler à personne, pas même à ses parents. Il se réfugia dans le silence, trouvant des excuses pour éviter de jouer les matchs. Ses entraîneurs commencèrent à douter de son engagement, et certains coéquipiers murmurèrent qu’il manquait de courage. Mais la vérité était bien plus complexe.
Chaque fois qu’un match approchait, l’idée de répéter cet incident l’angoissait encore plus, créant un cercle vicieux.
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Chapitre 3 : La rencontre qui change tout
Un jour, alors qu’il ne supportait plus cette situation, Léo prit son courage à deux mains et consulta un médecin spécialisé en gestion du stress. Lors de la consultation, il expliqua, non sans difficulté, ses problèmes.
Le médecin, compréhensif, lui posa des questions sur ses émotions et sur la manière dont son corps réagissait au stress. Après un long échange, il lui proposa une double solution : suivre une thérapie pour apprendre à mieux gérer son stress et, à court terme, envisager une solution pratique et discrète : porter des couches pour adulte lors des matchs.
Au départ, Léo était réticent. Il trouvait cela humiliant. Mais le médecin lui expliqua que ce n’était qu’un outil temporaire, une aide pour lui permettre de surmonter sa peur et de se concentrer sur son jeu.
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Chapitre 4 : Reprendre confiance
Lors de son premier match avec cette solution, Léo était nerveux. Il craignait que ses coéquipiers ou les adversaires s’en aperçoivent. Mais en entrant sur le terrain, il remarqua quelque chose de différent : il n’avait plus cette peur paralysante. Pour la première fois depuis des mois, il joua comme il le faisait à l’entraînement.
Son coach, impressionné, le félicita à la fin du match. Personne ne connaissait son secret, et Léo commençait à retrouver le plaisir de jouer.
Chapitre 5 : La victoire intérieure
Au fil des mois, avec l’aide de son thérapeute, Léo apprit à mieux gérer son stress grâce à des techniques de respiration, de visualisation et de méditation. Il finit par ne plus avoir besoin des couches, mais il se souvint toujours de ce pas important qu’il avait osé franchir.
Un an plus tard, il disputa un match décisif pour son équipe. Devant des milliers de spectateurs, il inscrivit le but de la victoire. Ce jour-là, Léo ne remporta pas seulement un match : il triompha de ses peurs et prouva que les obstacles, aussi inhabituels soient-ils, peuvent être surmontés avec du courage et du soutien.
Épilogue
Léo devint un exemple pour de nombreux jeunes, prouvant que la force mentale et l’acceptation de soi étaient tout aussi importantes que le talent. Ses débuts marqués par des défis atypiques le rendirent encore plus admiré dans le monde du football.
Les couches te donnent de l assurance? Assume !
… tu en veux encore ? Commente ce billet !
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camisoledadparis · 1 month ago
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saga: Soumission & Domination 377
Nouvel an 2016-4
Le soir du 1er
Je passe rapidement dans notre chambre imprimer l'avis de " Plan Réservé, NE PAS DERANGER" et le donne à Jona. Ils s'éclipsent aussitôt sans même faire honneur au buffet.
La soirée est différente. Les mégatouzes ont laissé place à des plans plus confidentiels. Enfin, façon de dire, puisqu'il n'y a jamais moins de 4 ou 5 mecs ensemble !! Mes Escorts se sont répartis dans les différents groupes et les font profiter de leurs expériences. Sportivement, ils sortent du lot ce qui leur permet d'adopter plus facilement des positions originales.
Notre quatuor de jeunes ne s'est pas éclaté et a trouvé avec les 2 gendarmes, Xavier et Pablo une équipe à la mesure de leur faim. Comme je m'étonne de les trouver tous les 4 passifs, ils me rassurent qu'ils ont prévu de finir leur soirée en actifs et qu'ils se sont réservés pour plus tard petit Théo, Jimmy, Jules et Baz.
J'aurais dû me douter qu'ils s'étaient fait des plans pour jouir de tous les côtés !! En attendant, c'est avec leurs trous qu'ils servent de support de jouissance à leurs ainés. De leur côté ils n'ont pas l'air d'en souffrir trop !
Ludovic me rejoint, on déambule donc bras dessus bras dessous ou plutôt son bras sur mes épaules et ma main sur et parfois entre ses fesses.
On trouve bientôt mes deux " russes ", Viktor et Nicolaï qui s'apprêtaient à engager les hostilités avec Stéphane (mon écraseur), Louis exceptionnellement délaissé par son Franck, Léo qui a laissé le trou de son Arnaud à un autre mâle actif et Manu (mon serveur d'été de La Palmyre). On se trouve un espace libre autour de la piscine de la serre. A 8 ça demande quelques m² pour pouvoir exprimer ses délires.
Le rebord du bassin à juste la bonne hauteur pour supporter les torses de ceux qu'on encule. Collés épaules contre épaules, Louis, Manu, Stéphane et Nicolaï subissent les saillies (on est des vraies bêtes en rut) de respectivement, Léo, Victor, Ludovic et moi-même.
Louis laisse échapper sans honte ses émotions. Il gémit sous les coups de butoir de Léo au caractère très dominant. Arnaud est, depuis son dépucelage par son oncle Bruno, une véritable petite " salope " qui aime se faire démonter la rondelle virilement et par son Léo en particulier.
Les autres enculés l'entendant ne se gênent plus pour exprimer aussi leurs plaisirs. Du coup les commentaires fusent. Les " petites salope " alternent avec les " grosse salope ", les " trou à bite " et autres " chienne " de notre part à nous.
......
Le 2 janvier
Réveils vers 11h. Je retrouve au petit déjeuner mes deux " espions " et Côme. Ils me remercient pour hier soir. Ils étaient trop contents de se retrouver. Côme me dit qu'avec eux c'est vraiment différent. Même quand ils " s'égarait " avec nous tous (cf. les touzes de l'été dernier chez ses parents avec la triplette et nous les occupants du blockhaus), c'était bon mais ça n'avait pas l'intensité qu'il atteint avec ces deux-là.
Je roule un patin aux trois, content que ça se passe comme ça entre eux.
Midi Jona se fait appeler sur son portable. Quand il coupe, il demande à me voir isolément avec François.
Là ils me racontent que le jeune mec qu'ils avaient exfiltré de Syrie s'était enfui de chez ses parents et était dans un avion vers Paris.
Je demande un peu plus de détails pour comprendre ! Jona m'explique qu'ils avaient été envoyés en Syrie, François et lui, pour sortir des griffes de Daech le fils d'un libanais (mais grand ami de la France) embrigadé depuis 3 ans et qui servait non pas de combattant mais de " repos du guerrier " comme la plupart des femmes qui rejoignent ce groupe terroriste. Le gamin avait réussi à appeler son père un an auparavant regrettant d'être parti au djihad.
Là, le père venait de l'informer que Jalil (le petit mec en question, 18 ans dont 3 ans de Daech) s'était enfui de la maison et il avait retrouvé sa trace dans un avion vers Paris.
Dans le même temps où il m'expliquait ça, François a appelé leur correspondant (militaire). Il en a reçu l'ordre d'aller le chercher à Roissy et de le prendre en charge. Comme ils avaient un vécu commun, cela serait surement plus rassurant pour le gamin. Petite explication de Jona sur où il était, avec qui et à quelle distance de Paris, réponse de sa hiérarchie, 2 motards sont en route pour l'escorter du Blockhaus (dixit l'officier traitant !!) et que pour être à l'heure à Roissy, il n'avait qu'à réquisitionner ma SLS.
J'apprends là que ma situation n'a pas de secret pour les services de renseignements de mon pays !! Va falloir faire avec !
Evidemment je suis d'accord. Le temps de lui donner mes clefs et à l'interphone l'escorte est déjà là. Je vois un motard devant la porte, l'autre est sur sa moto, les gyrophares tournent déjà. Je descends avec François. Il prend dans leur RCZ un gyrophare bleu (je ne savais pas qu'ils en avaient un) et l'installe dans ma SLS alors que Jona fait le point avec son escorte. François sort la voiture et la laisse à Jona avec pour toute recommandation " tu nous le ramènes fissa ".
La sonorisation de mon SLS permet à François d'accompagner Jona quasiment tout le temps du voyage.
Je prends des nouvelles de temps en temps. Il kiffe de rouler sans risque à plus de 200 sur l'autoroute derrière les deux motos, je le remercie de me décrasser ma caisse.
Au blockhaus, beaucoup de mouvements. Mes escorts passent chez leurs parents, Côme, Ludovic et Enguerrand font de même. Je les accompagne avec PH et Ernesto.
Echanges de voeux et je m'éclipse avec PH et Ernesto pour aller chez Emma, Ludovic est avec nous.
Idem chez ma mère, échanges de voeux, de façon un peu plus câline/sexe que dans ma " belle famille ". Ça me fait même un dérivatif à l'aléa qui m'occupe l'esprit.
Sans bâcler le " travail ", nous passons deux bonnes heures à faire l'amour à Emma. Nous la laissons un peu fatigué alors que nous rentrons.
Retour à la maison, c'est l'effervescence. Tous ne sont pas rentrés mais c'est surtout l'arrivée prochaine de Jona et Jalil qui est de toutes les conversations. D'autant plus que quand il sera là, pas question de lui faire ressentir la moindre pression.
François a brossé le portrait du gamin :
Prénom : Jalil
Langue : Arabe, Français et Anglais
Physique : 1.78m 55 Kg, peau ambrée, yeux et cheveux noirs, imberbe, typé encore ado, Tête d'ange.
Sexe : monté 22x6 mais passif avec une taille très fine et un bassin étroit
Parcours : pendant 3 ans a servi de vide-couilles à une " brigade " de Daech en mode viol, n'a pu se réintégré dans sa famille et son milieu de départ, même si ses parents sont libéraux. Il s'est enfui et nous le récupérons.
Conclusion de ma part : personne ne lui saute dessus, sans indifférence non plus mais pas trop de sollicitude et surtout pas de pitié.
Enguerrand confirme que pour lui c'est ce genre de comportement qui lui a été le plus bénéfique même s'il n'a pas subi le quart du dixième de ce que Jalil s'est pris.
Nous évitons d'être tous dans le séjour quand ils arrivent. Les autres sont soit en train de faire du sport (la majorité) soit occupé à baiser.
Mes amours sont présents ainsi que la triplette. François a pensé que de voir des jeunes de son âge le rassurerai aussi. C'est le cas.
Les 2 heures de route (moyenne à plus de 200Km/h) lui ont permis d'être briefé sur ce qui l'attendait. Quand il débarque, nous sommes un peu plus habillés, shorts et t-shirts ont recouvert les seuls boxers qui couvraient nos fesses (quand ils n'étaient pas bottomless de chez Addicted !!).
 C'est effectivement un ange qui entre chez nous. A 18ans il en parait 16 et fragile. Son Français est excellant et sa politesse légèrement surannée. Quand il finit ses remerciements pour notre accueil, j'en fais la remarque à la triplette qui éclate de rire. Ils l'embarquent vers la cuisine en nous renvoyant à nos autres occupations.
François jette un oeil sur son protégé mais comme ce dernier suit les jeunes sans crainte, il le leur abandonne.
Récit d'Enguerrand : (sans corrections, juste quelques notes en italique)
Débarrassés des grands, nous pouvons mettre Jalil en confiance. Nous nous présentons tous les trois et lui indiquons que nous sommes amoureux tous ensemble. Nous parlons de nous, de nos études et lui disons que nous sommes contents qu'il soit venu en France.
Il nous dit avoir fréquenté le lycée Français de Beyrouth mais qu'il s'est arrêté en troisième.
Nathan lui annonce que c'est pas un souci, ils s'y connaissaient en remise à niveau. Et d'expliquer que le soutient de ses deux amours l'avait méchamment boosté et, me pointant du menton, lui dit que s'avait été un peu pareil pour moi avec Max.
J'acquiesce sans entrer dans les détails, ce sera pour plus tard nos confrontations de " misères ".
Nathan ajoute que quand même va y avoir du taf. Comme s'il était évident que Jalil allait rester chez nous. D'ailleurs c'est ce que ce dernier lui dit. Qu'il verrait avec Jona et François quel serait son avenir.
Déjà il se projette dans l'avenir, c'est beaucoup plus que ce que j'étais capable de faire quand Sasha m'a sauvé (ndlr : faudrait pas exagérer non plus !). Je m'avance peut être mais, connaissant nos ainés, je l'assure qu'il va rester dans le coin et qu'il va vite se remettre à niveau.
Ça me fait mal quand il me demande avec qui il doit coucher pour ça (moi aussi quand je le lis). Avant que j'ai eu le temps de lui dire que ça marche pas comme ça ici, Nathan ouvre sa grande gueule et lui annonce que " ce qui est bien ici c'est que t'es libre de coucher avec qui tu veux et seulement quand et si tu en as envie ".
Jalil craque ! On l'entoure et le serrons dans nos bras. Sa tête vient se poser sur mon épaule et ses larmes trempent mon t-shirt. Nous relâchons notre câlin quand il se calme. Pas de question, nous reprenons notre conversation là où elle s'est arrêtée 5 mn plus tôt.
Il nous dit être plutôt littéraire que scientifique mais surtout il craint de se retrouver avec 3 ans de plus que les autres s'il retourne à l'école. Il nous demande s'il ne pourrait pas trouver un petit travail pour pouvoir vivre en France.
Hurlements de mes deux amis et de moi aussi. Pas question qu'il laisse tomber ses études. Ok il aura 3 ans de retard mais sur une vie c'est rien !
Je lui dis qu'on va en parler avec Sasha et Jona mais hors de question qu'il reste analphabète. Ça le fait sourire, il nous dit qu'il n'est quand même pas à ce stade-là.
On part à la recherche de Sasha. Avant de le trouver en train de s'entrainer avec Jona et François, nous tombons sur quasiment tous les autres.
Jalil est impressionné. Pas par le fait qu'il n'y ait que des hommes, ni par le bâtiment mais par l'ambiance sereine qu'il y a partout. Quand on tombe sur des mecs en train de faire l'amour, (ça nous est arrivé 4 fois !) il note que le plaisir est partagé. On tombe sur Duke qui était très impatient de faire connaissance. Après nous avoir roulé un patin, il engage la conversation avec Jalil en Anglais, ce que l'autre maitrise bien aussi. Et c'est à 5 que nous arrivons aux tatamis de lutte de l'annexe.
Avec Max, je l'empêche de tomber quand il voit le combat. Probablement de mauvais souvenirs qui remontent de sa mémoire.
Jona nous voit et le combat est interrompu, Jalil trébuche mais cours dans ses bras.
Nous assistons à une séance de réconfort et d'explications à voix basse entre les deux.
Jardinier
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lordk022 · 1 month ago
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The seducer's of the little Italy !
Avertissement : Contenu +18, personnage X Female-reader, propos grossier, relation sexuel, jeux de séduction.
Synopsis : Tu est une touriste qui visite la Canada, tu te rend dans un quartier nommé «  Little Italy » .
Tu marchait dans les rues de la petite Italie, sous la chaleur du mois de Juillet. Une légère brise glissait sur tes chevilles dévoilé, alors que tu te diriger vers une grande rue pleine de terrasses de restaurants. Tu sentit ton ventre crier famine, il faut dire qu'il était 12H46 et que tu visiter ce magnifique petit quartier depuis plus de deux heures.
Ton attention se porta sur une odeur forte de pizza et tu vis deux pizzeria à t'a droite, instinctivement, tu te rendit dans la pizzeria nommé « chez Luigi », puis tu t'installa à la table du fond.
Tu entendait les rires, à la fois des clients mais aussi du personnel en cuisine qui rigolait et chanté
tout semble si paisible ici... pensai-tu, le sourire aux lèvres. Soudain une voix masculine, parlant en italien vient te sortir de t'a rêverie.
« Buongiorno Signora ! » Tu releva la tête pour voir un beau jeune homme aux yeux bleu et aux cheveux brun, svelte un tablier autour de la taille. Quel charme... pensai-tu.
« Bonjour... Hm... j'aimerais une pizza. »
Il te regarda de ses beaux yeux, examinant ton visage, il se mit à rire doucement, et penchât la tête sur le coté.
« Vous êtes dans une pizzeria demoiselle, votre choix ne me surprend pas. Mais, avant de vous l'apporter, j'aimerais vous donner un conseil, permettez moi de vous changez de table. Il y a une table libre sur la terrasse se serait dommage de ne pas profiter d'une si belle journée. »
« Oui je n'y avais pas pensé, merci » dis-tu l'air toujours troublé, tu te leva de t'as chaise et l'observa se diriger lentement vers les cuisines ou il commença à préparer t'as pizza. Tu ne put t'empêcher de continuer à l'observer, et au bout de presque une minute tu réussi a décrocher ton regard du bel homme pour rejoindre la terrasse et prendre place à l'une des tables libre.
Il apparut une pizza chaude à la main.
« Voilà pour vous mademoiselle ! Je ne vous ait jamais vu ici, vous êtes nouvelle ? »
« Non je suis en vacance. »
Il se rapprocha de toi, la main droite posé sur le dossier de la chaise libre en face de toi.
« Et puis-je connaître votre prénom Signora... ? »
Tu te mit à rougir.
« Y/N, et toi comment tu t'appelle ? »
« Léo » répondit-il.
« La pizza est très bonne Léo merci. »
Il rit et s'installa avec vous.
« Il ne t'attendent pas en cuisine, je ne veux pas t'empêcher de travailler. »
« Oh non ne t'en fais pas, je travaille ici avec ma famille, je peux prendre mon après midi, mes parents arrive à se débrouiller. »
Vous discutiez comme ça pendant une heure peut-êtres deux heures, discutant de vos vie, de vos envies, de votre travail... Plus vous discutiez, et plus tu tomber sous son charme. Son parfum t'enivrait, ses yeux devenez de plus en plus beau à chaque fois que tu croisait son regard, tu sentit une chaleur monté en toi tandis que Léo se rapprochait de toi. Il était si proche de toi maintenant, tu respirait fort.
« Tu veux venir chez moi ? » Demanda Léo.
« Heu... Oui ça me plairait bien. »
« Super ! Je pourrais te faire goûter à ma sauce tomate basilic maison ! »
Il monta sur sa moto et te tendit un casque, t'invitant à monter derrière lui.
Une fois arrivé à son appartement, tu observa son salon, en prenant place sur le sofa. Tu sentit ton corps tremblant de désir, Léo est si sexy, si doux...
Il déboutonna deux ou trois boutons supérieur de sa chemise, dévoilant d'avantage son corps, il restait debout te fixant un sourire de défi accrocher aux lèvres.
« Alors Y/N, tu n'a pas trop chaud » il se rapprochait de toi, d'une démarche élégante.
« Si, d'ailleurs j'aimerais bien me rinçait un peu le visage, ou est la salle de bain ? »
« Dans ma chambre, la porte à droite. »
Tu te levait et remarqua que Léo te suivait tranquillement.
Arrivait dans la salle de bain, tu te passais de l'eau froide sur le visage mais sentait toujours une chaleur brûlante entre t'es cuisses, tu te retournais vers Léo qui était debout près de son lit.
« Tu permet que je me mette à l'aise Y/N » dit-il, tandis qu'il commençait à déboutonner doucement sa chemise. Il enleva sa chemise et il ne restait plus que son T-shirt vert kaki où l'on pouvait voir des auréoles de transpiration. Tu t'approchât de lui.
« Vient ma belle, met toi à l'aise »
Tu t'assois sur son lit, à ses côtes tandis qu'il commençait à t'embrasser, sa langue léchât t'es fines lèvres pour demander l'accès à t'as bouche et tu lui en donna l'autorisation.
Sa main caressa t'es cuisses, et un frisson parcourut tout ton corps, tel une décharge électrique.
Il rompit le baiser, pour se mettre à genoux devant toi, baissant t'as culotte il se mit à léchait t'as chatte humide de toute cette excitation.
« Hmmm ! »
« Tu aime bien Y/N ? »
« Oui surtout ne t'arrête pas ! »
Il continua, passe sa langue de haut en bas, et quelque fois, il introduisait sa langue dans t'as chatte.
Tu gémissait de plaisir, t'es yeux fermé, au bord de la jouissance il s'arrête, et se relève face à toi.
« Tu aimerais me faire plaisir à ton tour, ma douce ?
« Oui bien sûr Léo. »
Il baissa son pantalon, puis son caleçon, laissant apparaître sa bite épaisse et poilu, une petite goutte de liquide pré-éjaculatoire au bout de sa longueur dur.
Tu commençait par sucer le bout de sa queue, le stimulant avec le bout de t'as langue.
« Oh putain, que c'est bon ! Continu. »
Tu continu, faisant des va et vient avec t'as bouche et léchant le dessous de sa bite. Il te redressa.
«  Passons à l'étape supérieur ma joli. »
Tu t'étendit sur le lit, et il vient entre t'es jambe, ses mains caressait t'es seins, puis il te pénétra doucement, tu gémis fort à l'intrusion de sa bite en toi, et il posa un baiser sur t'es lèvres.
« T'as chatte est si chaude, Y/N ! je pourrais la baisé toute la nuit ! »
Il fit des vas et viens un peu plus rapide, léchant désormais t'es seins.
Il est si parfait, il si prend comme un Dieu, un autres pourra-t-il me faire ressentir la même chose que lui...
« Plus fort Léo, Plus fort... Encore ! » Tu te mit à le supplier et au vu de son expression ça lui à plus.
« Comme tu veux ma belle, tu es si intense, t'as chatte est si humide, je la sens se serrer autour de ma bite de plus en plus fort... J'aime tellement ça ! »
« Oh ! Je... Vais... »
« Oui moi aussi ma douce, ne t'inquiète pas. »
Léo joui à l'intérieure de t'as chatte tandis que tu gémit encore plus fort, ton orgasme était tellement fort, l'un des meilleur de t'as vie, un moment inoubliable.
Tandis que Léo partit se laver dans la salle de bain, une pensée te traversa l'esprit. Ce mec est tellement parfait, pourquoi faut-il que je parte est qu'il habite aussi loin de chez moi...
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laneigeuse · 5 days ago
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Quand Léo était arrivé à la conclusion qu'il avait besoin d'aide, il avait pris bien soin de s'assurer que Notti ne se penche pas trop sur ce que ça voulait dire. Dénicher ces Grimoires de démonisme avancé vieux de plusieurs siècles n'avait pas été une mince affaire. Il ne pouvait absolument pas se permettre que la petite créature décide de les réduire en poussière. Et si elle venait à comprendre un traître mot du langage qu'il décryptait, Léo savait qu'elle le ferait.
Il n'y avait pas d'interprétation positive à faire de son apprentissage du démonique, surtout pour une application en sorcellerie. Heureusement, Notti ne semblait pas particulièrement tentée de l'interrompre dans son travail. Voir Léo investi dans une activité était devenu si rare que cela paraissait satisfaire la petite dragonne. Et il devait bien l'admettre, il était lui-même dérouté.
Le temps et la concentration que cette discipline lui demandait rendait la tâche épuisante et il mentirait s'il disait qu'il arrivait à se tenir quotidiennement à l'étude de ces grimoires. Il aurait bien fallu pourtant. Et alors que les jours sans se faisaient bien plus nombreux que ceux avec, les mois étaient passés dans un brouillard pesant ponctué ici et là de moments de frénésie.
Un cycle de fatigue, désespoir, colère et détermination rythmait l'avancée de sa traduction et de ses travaux. Un refrain si lancinant que lorsqu'il avait achevé sa traduction et ses notes de sorcellerie démonique, Léo réalisa qu'il n'avait pas du tout réfléchi aux détails de son projet. Mais au fond, il s'en fichait éperdument. Une seule chose importait, que le démon qu'il s'apprêtait à invoquer réussisse à le libérer. Cette fois, il allait réussir.
Et sinon ? Il n'aurait plus qu'à se cryogéniser pour un millénaire et réévaluer ses choix de vie à sa décongélation...
--- Suite la semaine prochaine ? J'ai pas encore de rythme, mais je compte bien essayer d'en prendre un pour raconter ce petit univers <3 (dites-moi si vous aimez, ça m'aidera beaucoup à continuer)
Retrouver le dernier Ask/ mini partie Prochaine partie
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insertusernameici · 21 days ago
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Oh, allez
On va les remettre ici. Oui, le fandom n'est pas à son top, alors en français... Avant, c'était sur mon sideblog où maintenant, je balance les gif dumpings ( @mchristelle ), et comme je veux poser un peu plus souvent, et en français, v'là un truc qui fait l'affaire: les résumés/commentaire de Charmed. Ils sont tous dans le blog wp, lien dans le billet épinglé du sideblog.
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Le dernier billet posté est donc sur l'épisode 3.20, où, bon départ, j'ai pas grand chose à dire.
Phoebe rappelle le lien entre les pouvoirs et les émotions, pour donner un contexte avec le stress et énervement continu de Piper et les conséquences sur le pouvoir, entre autres. Son idée qu'elle est punie par les Fondateurs pour vouloir une vie normale, et pour ne pas être aussi obéissante qu'ils le voudraient en rajoute une couche. Bon, elle rajoute aussi les faux papiers, mais c'est vite remplacé par « être furieuse ». Émotions, pouvoir, etc. Et là où la peur enclenchait celui de figer (pour avoir le temps de réagir ou de fuir, pour avoir le contrôle sur ce qui lui fait peur), la colère enclenche celui d'exploser. On a vu encore et encore que pour quelqu'un de timide et qui manquait d'assurance, Piper se tourne vers la violence quand elle s'énerve.
Est-ce que le pouvoir est violent parce que c'est dans sa nature, ou est-ce qu'elle a cette tendance parce qu'elle était destinée à avoir ce pouvoir, c'est une question pour un autre jour. C'est mon headcanon que les personnalités et les pouvoirs sont connectés, comme par exemple les plus entêtés des Halliwell avec la plus forte assurance, les plus forts mentalement donc, sont ceux qui utilisent leur pensées pour activer leur pouvoir (Prue, Grams, Chris.).
Pour expliquer le timing, le script (et Prue) essaye de le justifier avec le Mal voulant le sort pour activer l'amulette, mais ils n'en ont pas besoin. On a dit que le Mal voulait juste le détruire parce qu'ils ne pouvaient pas s'en servir. Oui, Janna le rappelle, mais c'est pour que Prue assume qu'ils ont trouvé le moyen de le faire, pour que les sœurs aient une raison de suspecter les motivations de Cole à vouloir devenir humain.
Reste que le timing est bon. Autre que, comme déjà dit, Piper a ses émotions prêtes pour, avec une colère qui s'est installée depuis plusieurs épisodes, c'est évidemment la mort de Prue qui approche. Piper va devenir l'aînée et la plus puissante dans pas longtemps.
Et on a même un petit aperçu quand elle explose la théière en testant les gants conceal don't feel. Toutes les autres explosions demandaient un geste brusque, et un pouvoir qui part sans qu'elle le veuille. Ici, elle les bougent pas, le geste est plus contrôlé, et il marche quand même.
Léo qui doit apprendre le français quand on sait qu'il a des protégées françaises s'explique facilement. Ça ne s'active que quand c'est nécessaire.
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nvminnd · 2 years ago
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Je classe les chevaliers du moins aro-ace au plus aro-ace
Parce que mine de rien la plupart des persos ont de grosses vibes aro-ace je trouve, donc voilà
ARTHUR
La plupart des merdes qui se passent à Kaamelott, on les doit au fait que not' bon roi pense 83% du temps avec son coeur (et son épée). Bi-king, peut-être. Mais clairement pas aro ou ace.
CALOGRENANT
De tous ceux qui ont une femme, c'est le seul que j'arrive à imaginer vraiment aimer consommer son mariage. Pis bon le coup de la ceinture de chasteté, ça fait très hétéro je trouve.
BOHORT
Bohort est si gay. En tous cas, il est pas aro. Ace, je pourrais le voir quelque part sur le spectre. Mais je l'imagine plus à réfréner son attirance pour les mecs qu'à ne pas (ou peu) ressentir d'attirance. (On sait toutes et tous ce qu'il pense de Léodagan hein)
LÉODAGAN
Bon là on commence déjà à aborder les persos que je pourrais voir sur le spectre aroace. Oui Léo est marrié. Oui il a 2 enfants. Mais pour un gars qui est censé être le stéréotype du chevalier bourrin, il est quand même pas hyper porté sur la chose. Il est à priori fidèle à Séli alors qu'il ne doivent pas s'éclater souvent au lit, et il le dit lui-même, les gonzesses qui dansent à moitié à poil, c'est pas son truc.
YVAIN
Yvain aime Gauvain. Que Gauvain. Ça fait très demiromanrique. Je le mets avant Gauvain parce qu'il a quand même tenu à avoir une maîtresse, même si je pense que c'est plus pour faire genre que parce qu'il est attiré par Démétra.
GAUVAIN
Gauvain aime Yvain. Que Yvain. Personne d'autre. Demi demi demi.
GALESSIN
Galessin, lui, n'aime personne. L'amour ça l'interesse pas des masses, le sexe non plus, mais bon il dit pas non à l'occasion s'il rencontre la bonne personne, peu importe son genre. Sûrement quelque part sur le spectre aroace, lui-même ne sait pas exactement où.
LANCELOT
Bon là c'est canon que Lancelot n'aime et n'a aimé QUE Guenièvre. Mais il avait pas l'air hyper demandant niveau joyeusetés quand il l'a eue que pour lui. Demiromantique, ace.
HERVÉ
???? Pour tomber amoureux ou plus si affinités, faudrait déjà qu'il ait conscience un minimum de son environnement, et c'est pas gagné. Il a déjà dû se retrouver dans une ou deux situations comprométantes suite à des malentendus, mais jamais de sa propre volonté. Après, il dit pas non. Il s'en fout, en fait.
KARADOC
Là encore c'est assez canon qu'il voit pas l'interêt de faire des cochonneries sous les draps. 100% ace, peut-être demi romantique...et encore la bouffe passera toujours au premier plan. Cake Ace.
PERCEVAL
Notre aro-ace king par excellence. L'amour platonique est le plus important, et pour lui, la meilleure éclate qu'on peut avoir au lit c'est une discussion philosophique sur les étoiles avec ses amis les plus proches. Space Ace.
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cimhon · 11 days ago
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La Mythe au collège, part 3
(Oui, il n’y a pas d’ordre chronologique dans l’écriture fragmentaire).
Pourquoi et comment La Mythe eut du « succès » au collège, ce n’était pas un mystère maintenant qu’il regardait en arrière. A partir de circonstances tout à fait fortuites, ses goûts naissant s’étaient agglomérés en un faisceau ficelé lâche mais qui avaient constitué un socle de construction.  Il aime à croire qu’au delà de sa petite gueule, qui en soit pouvait plaire, mais qui n’était qu’un produit de la génétique, tout à fait hasardeux et vite périssable, c’est son individualité bizarre, paradoxale, et pour le coup, qu’il avait pu décider, qui avait séduit.
Bon élève, mais pas travailleur, lecteur et solitaire, habillé en vieux jogging, le début du collège aurait été encore plus compliqué s’il n’avait pas connu tous les gitans de SEGPA, s’il n’avait pas eu deux vrais amis, Julien et Julien, s’il n’avait pas joué au basket et s’il n’avait pas aimé la musique plus que tout. Surtout.
Lors du dernier anniversaire qu’il fêta vraiment,  en CM2, Géraldine, avec qui il était à l ‘école depuis la maternelle, lui offrit deux cassettes enregistrées par son grand frère: Authentik de NTM, et King of bongo de la Mano Negra. Toute sa vie allait en être changée. La musique, pour laquelle il avait déjà une fascination: des phrases incompréhensibles de Léo ferré, de Renaud, de Barbara, des airs de Coltrane, Gillespie, Bille Evans, lui tournaient sans cesse dans la tête, étaient les abracadabras du monde… la musique, donc, cette musique, qu’il comprit revendicatrice, violente et originée dans un univers à découvrir, changea sa vision du monde.
Dès lors, il se mit à voler les magasines spécialisés, l’Affiche,RAGE… qu’heureusement le Leclercq de sa petite ville recevait, et il économisait son argent de poche pour envoyer  son oncle qui habitait à Bordeaux lui acheter à la FNAC, des albums à l’aveugle, les albums qu’il fallait avoir écouté selon les conseils experts de la presse volée . Ainsi, ses premiers CD furent Morbid vision de Sépultura, Cypress Hill de Cypress Hill, No prayer for the dying d’Iron Maiden et We can’t be stopped des Geto Boys. Etonnement, effort, doute… Il ressentit tout cela à l’écoute, comme une étude. Et il sut que rien ne l’intéressait plus, à ce moment  là, à ses 11 ans, que la musique dite « extrême », enfin… la musique qu’on ne pouvait pas trouver en Dordogne, ni en magasin, ni à la radio. Il mit vite de côté Morbid Vision et Iron Maiden, pour des des raisons différentes, mais il resta convaincu que le metal était subversif autant que le rap. 
Il commanda à son oncle Cow-boys from hell de Pantera, The age of quarrel de Cro-Mags,  et Straight outta Compton de NWA. Putain, quelles claques! Tout était là: la création, la passion, la rage, la musique nourrie des musiques antérieures qui lui disait avec simplicité: «eh mon con! Nous c’est pas Francis Cabrel! On passe pas à la radio. On plaît à personne mais on est le monde!». Ben ouais, vu depuis le Périgord, le hardcore new-yorkais ou le gangsta rap, ça pouvait paraître lointain.  Mais en vrai…. Qui écoutait le Stabat Mater? Qui écoutait In a sentimental mood? Qui se brossait le cul sur les paroles d’un Aznavour de cabaret? Et pourquoi, ici à la campagne? C’était pareil, et lui était parti comme à l’aventure seul, sans autre guide que quelques lectures et son oreille, à la découverte de ces paysages inconnus.
Lorsqu’il montait à Bordeaux, il passait son temps sur les bornes en libre écoute de la FNAC, des heures, piles de CD à la main. Quand Nirvana fit un tabac, lui avait déjà écouté les Melvin, les Monks et surtout Killing Joke.. Petite vanité: personne ne connaissait au collège. Il ne pouvait pas se vanter. Mais lui connaissait. Il écoutait les dead kennedys et KRS one au Walkman à cassette. Un jour, il était en sixième, dans les bacs du seul « disquaire », vendeur de musique plutôt, qui existait dans son bled, il trouva Fear of a black planet de Public Enemy, entre Patrick Sébastien et la languette Q. Incroyable! Il avait assez d’argent de poche pour l’acheter, il l’acheta. Il devait retrouver sa mère chez le coiffeur, ce qu’il fit. Un grand, un troisième charismatique, blouson de cuir, de ceux qui se shootaient au néocodion et au ricqles de pharmacie dans les chiottes du collège était là, à se faire coiffer la raie. Il le vit arriver sa cassette à la main et lui dit: « Public Enemy! T’es un bon toi. ». Cette validation de voyou conforta  la certitude que cette recherche musicale solitaire était première pour la construction de sa pensée et qu’on pouvait le considérer pour ce qu’il aimait, presque pour ce qu’il était, plus que ce pour ce qu’il paraissait.
Il avait vite compris comment coller aux codes du collège. Certes il n’avait pas de Booster ni de t-shirt WaiKiKi, mais il avait économisé assez longtemps pour s’acheter des Jordan, presque 1000 balles mon pote!, et il savait parler beau, bref, il pouvait plaire. De plus les grands le saluaient maintenant dans la cour. Et ça, c’était l’arme fatale. Comme un adolescent fébrile et pressé de méconnaitre le monde il profita des quelques occasions qui s’offrirent à lui.
Ainsi, il put sortir avec Ericka. Parce qu’elle voulait bien maintenant qu’elle avait pu voir que La Mythe jouissait d’une petite popularité. Elle était belle de ouf. Parfaite. Levis 501 moulant, pull blanc moulant aussi, à col roulé, coupe-vent Creeks vert, Doc Martens. En cinquième comme lui, elle avait un mec en BTS. Elle était expérimentée. Lui n’était rien. Ce ne fut pas grand chose, pas une histoire d’amour en tout cas. Cela dura deux semaines peut-être, trois tout au plus, durant lesquelles ils s’arrangeaient pour se croiser quelques minutes dans l’immensité de ce collège pour se rouler des pelles. Mais un jour, tout le collège sut que le mec d’Ericka savait qu’elle  le trompait avec un collégien maigrelet. Et La Mythe apprit le même jour que ce mec allait venir à la sortie du collège pour lui exploser la gueule. Il n’y avait rien à faire. Tout est étrange dans la tête d’un jeune adolescent: jamais La Mythe ne pensa  à éviter l’événement. Il existait pourtant une porte derrière le collège, qui donnait sur le parking des profs. Mais tout le monde était au courant, et tout le monde attendait: il ne pouvait pas se défiler.  De 8h à 16h30, il s’imagina mourir de la même manière. Il savait comment: le mec de 18 piges, ou plus d’ailleurs, allait arriver sur sa moto, et casque à la main, allait lui fracasser la gueule.  Alors qu’ils se léchaient la langue chaque jour, il ne put croiser Ericka. L’évitait-elle? Bien sûr. Il allait mourir. Il en était sûr. Longue fut la journée. Et si courte, quand on sait que c’est  la dernière.
Il sortit donc à 16h30, ou un peu plus tard, par la grille principale devant laquelle tout le monde, vraiment, un millier d’élèves, l’attendait, comme en rang d’honneur. Au milieu du terre plein, le mec d’Ericka attendait lui aussi. Grand, roux, casque à la main, comme il l’avait imaginé. La Mythe ne rechigna pas et se dirigea vers lui sans courage en pensant dans son for intérieur qu’il avait été bien con et qu’il allait crever pour rien, pour une histoire de langues mouillées ensemble,  alors même qu’il n’était pas amoureux, qu’il allait avaler ses dents sans même pouvoir se battre.
Le grand roux lui dit: « c’est toi La Mythe qui sort avec ma meuf? La Mythe de Saint-Cyprien? Ton grand père c’est André? ».  Décontenancé, La Mythe chuinta un « oui »  presqu’inaudible, amuï de peur. Et Le roux éructa: « Putain! Mon grand père c’est le cousin germain de ton grand-père! Le Dédé, je le connais bien, il m’a appris à pêcher! ». Quel esprit farceur avait relancé les dés? L’avenir annoncé si sombre s’éclaircit d’un coup d’un seul. Le roux qui s’appelait Julien prit la tête de La Mythe sous son gros bras et lui dit à l’oreille: « t’as de la chance aujourd’hui… Mais la prochaine fois je te tue. ». La prochaine fois? Il avait ignoré jusque là l’existence de ce cousin et la gloire toute égocentrique de sortir avec la meuf en vue du collège ne pesait pas lourd face à la promesse de cette mort certaine à laquelle il avait pu pourtant échapper. Ce jour là, en quelques minutes, le hasard qui prit le nom de fortune lui apprit beaucoup.
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chansonsinternationales · 8 months ago
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Léo Ferré - Liège, 1959, photo de Hubert Grooteclaes
Jacques Layani, HUBERT GROOTECLAES EN MÉLANCOLIE:
...C’est en 1959 que se produit pour lui une chose merveilleuse, sa rencontre avec Léo Ferré, venu chanter au Palais des Congrès de Liège.
Il aura, à ce sujet, cette phrase, modeste et reconnaissante : « Pour moi, c’est plus important que la photographie. C’est la chance de ma vie ».
Leur amitié ne s’est pas démentie…
...Ce poète-là (Léo Ferré) vivait en Italie, entre Sienne et Florence. Grooteclaes était depuis longtemps son photographe attitré…
...Il fut, au fil du temps, son biographe en images. Nombre d’entre elles datent d’avant le 7 avril 1968, et nous montrent un chimpanzé qui fut chéri du poète…:
http://hubertg.hautetfort.com/
Voir aussi LES COPAINS D'LA NEUILLE n°29 sur Hubert Grooteclaes et ses photos de Léo Ferré.
http://www.hubertgrooteclaes.com/fr/portfolio-10138-0-50-leo-ferre.html
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augustin-martelette · 2 years ago
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Pépée au bras de Léo Ferré en 1962. © Crédit photo : PHOTO JEAN-PIERRE SUDRE/LEEMAGEPHOTO “Pépée et Léo, c’est une histoire d’amour qui durera en tout et pour tout sept petites années. Sept ans de bonheur sans failles qui commencent un beau matin de 1961. A l’Alhambra, cabaret de music-hall parisien, un brave homme passe en première partie de Léo Ferré. Un numéro de saltimbanque où la vedette est une femelle chimpanzé de 5 ans et de 5 kg, prénommée Pépée. Coup de foudre immédiat ! Léo est touché au cœur. Il décide d’acheter le singe puis de le faire vivre chez lui. C’est une époque où l’on commence à se soucier davantage de la condition animale et le chanteur comprend vite que sa guenon a besoin d’espace.“ (Le Jardin de mes étoiles) Hélas, l’histoire finit très mal...
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figosaurusnook · 6 months ago
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📖Review📖
⚠️SPOILERS⚠️
Arte- Kei Ohkubo
Une lecture sous recommandations de mon amie.
Un manga qui se passe à Florence, début du 16e siècle, où l’on se concentre vraiment sur les conditions de la femme en pleine Renaissance.
On traite dès la première page de la misogynie.
Arte, une jeune aristocrate rebelle et artistique, qui se montre plus forte que ne le pense Florence; chose que son maître, Léo, a tout de suite remarquer.
Véritable passionnée, Arte se montre incroyablement investie dans sa tâche.
Elle ne fait pas que peindre la représentation exact de ses modèles. Ses aventures lui permettent de mettre en œuvre de véritables portraits, plus fidèles les uns que les autres.
Des graphismes fidèles au concept artistique de l’histoire, on arrive à différencier le style de chacun des personnages.
Premier tome très prometteur, je vais continuer, je veux voire comment Arte va se battre face à cette injustice due à son genre, et comment le monde dans lequel elle vit va la faire grandir.
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iranondeaira · 2 years ago
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FERRÉ : Je ne suis pas, je ne peux pas être un militant. Je ne peux pas militer pour quelque idée que ce soit car je ne serais pas libre. Et je crois que Brassens et Brel sont comme moi, parce que l’anarchie est d’abord la négation de toute autorité, d’où qu’elle vienne. (…)Je vous assure que quand vous prononcez le mot anarchie, ou anarchistes, même en scène, les gens ne rigolent plus, ils sont d’accord, et ils veulent savoir ce que c’est.
BRASSENS : C’est difficile à expliquer, l’anarchie… Les anarchistes eux-mêmes ont du mal à l’expliquer (…). C’est d’ailleurs ce qui est exaltant dans l’anarchie : c’est qu’il n’y a pas de véritable dogme. C’est une morale, une façon de concevoir la vie, je crois…
BREL : …Et qui accorde une priorité à l’individu !
FERRÉ : C’est une morale du refus. Car s’il n’y avait pas eu au long des millénaires quelques énergumènes pour dire non à certains moments, nous serions encore dans les arbres !
BREL : Je suis entièrement d’accord avec ce que dit Léo. Cela dit, il y a des gens qui ne se sentent pas seuls ni inadaptés et qui trouvent leur salut collectivement.
BRASSENS : Bien sûr. En ce qui me concerne, je ne désapprouve jamais rien, les gens font à peu près ce qu’ils veulent. Je suis d’accord ou je ne suis pas d’accord, c’est tout. Parce que j’avais dit ça, on m’a souvent reproché de ne pas vouloir refaire la société. C’est que je ne m’en sens pas capable. Si j’avais des solutions collectives…
BREL : Mais qui, qui a la solution collective ?
BRASSENS : Il y en a qui prétendent l’avoir. Mais dans le monde actuel, il n’y en a pas beaucoup qui semblent la détenir… [rires] Moi, je ne sais pas ce qu’il faut faire. Si je le savais, si j’étais persuadé qu’en tournant à droite ou à gauche, en faisant ceci ou cela, le monde allait changer, je la sacrifierais ma petite tranquillité ! Mais je n’y crois pas tellement…
FERRÉ : Moi je suis moins lyrique que lui…
BRASSENS : …Toi, Léo, tu es complètement désespéré !
BREL : Il y a un phénomène d’impuissance aussi, qui est absolument affreux, quoi…
- Vous avez donc vraiment l’impression de ne rien pouvoir faire ?
BRASSENS : Non, je fais quelque chose auprès de mes voisins, de mes amis, dans mes petites limites. Je pense d’ailleurs que c’est aussi valable que si je militais quelque part… Ne pas crier haro sur le baudet, c’est une forme d’engagement comme une autre.
FERRÉ : Je trouve que Georges, dans son cœur, il milite bien plus que moi. Parce que moi, je ne crois plus en bien des choses auxquelles il veut croire.
BRASSENS : Je fais semblant, Léo. Je fais comme lorsque l’amour s’en va. Je fais semblant d’y croire, et ça le fait durer un petit peu…
FERRÉ : Non, non. Quand l’amour s’en va, il est déjà parti depuis longtemps.
- Propos recueillis par F-R Cristiani et J-P Leloir. 1969
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taramboyle · 2 years ago
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Le premier cadeau d'Hadrien à Léo ne lui apportera pas le plaisir escompté. Mais Léo s'en fiche. Son seul désir est de combler son maître. 🔥🔥🔥
L’Amour d’un Maître
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shamanluna-radio-prog · 1 year ago
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Nino Ferre - Les Morceaux De Fer
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J'adore Nino
Il y a des chansons de lui si Pink floyd
Il est tellement sensible, tellement vrais.
Dommage que personne la trop écouté après ces chansons à succès bête, celui lui a collé à la peau et détruit.
Que la célébrités est si malsaine, on la veut mais quand on l'a elle nous bouffe comme un pti suisse nature.
Je vais mettre mes 3 4 préférés à la suite ... et restons français après j'enchaîne sur Léo
Aujourd'hui je suis français héhé
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duxvonzazer · 1 year ago
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L’Inde :
« En avançant, je m’aperçois qu’un des ascètes est accoudé, bras croisés, sur une sorte de petite balançoire accrochée à une branche de l’arbre, et pendouillant à hauteur d’épaule. L’homme se tient à cloche-pied, statique, dodelinant de la tête, en transe. Léo m’explique que certains sadhus font des voeux, par exemple se tenir dans une position pour une durée indéterminée. Cela doit faire plusieurs années que celui-là se maintient sur une jambe, immobile, nourri régulièrement par des dévots. Je réalise qu’autour de nous règne une puanteur surprenante même pour Bénarès, et je baisse mon regard: la jambe du sadhu n’est plus qu’un pilier grisâtre, pourrissant et boursouflé, mélange de corne, de bubons et de replis de peau, planté au milieu d’une mare de pisse et d’excréments… Je comprends mieux son air absent, il doit avoir des fourmis dans ce qui lui reste de jambe… J’essaie vaguement d’imaginer ce que peut donner une existence consacrée à se faire dessus en prenant une pose de flamand rose en se putréfiant petit à petit, puis m’éloigne avant d’être totalement envahi par le vertige. »
Hazukashi
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alain-keler · 1 year ago
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Journal d'un photographe / Gaza / dernier repas avant le départ définitif de Gush Katif
Extraits de mon journal
Jeudi 11 août.
Manifestation anti-désengagement à Tel Aviv. Succès mitigé. Les opposants au retrait savent qu’ils ont perdu la partie.
Confusion la plus totale sur les possibilités de rester après le 14 à minuit.
Denise m’appelle tous les soirs. J’ai eu Léo au téléphone. Il me demande de signaler à Denise qu’il sait faire les quiches. Je m’ennuie d’eux.
23.45. Tous les restaurants du centre-ville à Jérusalem sont pleins à craquer. Focaccia bar. Il n’y a que des jeunes autour de moi. La tension est tombée depuis que les mouvements Hamas et le Djihad islamique ont accepté de respecter une trêve (ils ont accepté uniquement pendant la période du retrait) demandée par Abou Mazen. Comme quoi ! 
Une demi-bouteille de Gamla cabernet Sauvignon et je suis plus léger.
Vendredi 12 août.
J’ai des cernes sous mes yeux. C’est la première fois de ma vie que je le remarque.
J’ai rêvé de mon père.
Il était à côté de moi. Je lui ai demandé ce qu’il faisait là. "Tu es mort ». Il a paru surpris. Nous étions dans un grand bâtiment un peu démoli. Dans un recoin, il y avait comme une gazinière d’où sortait une flamme de gaz qui servait de chauffage.
Je vais à Rafiah Yam* chez Socrate qui finit de faire ses bagages.
Samedi 13 août.
J’aide Socrate à charger sa voiture dans l’espoir de le voir partir avant la tombée de la nuit pour que je puisse photographier son départ. Mais Brigitte, sa femme, veut partir après la fin du Shabbath.
Lorsqu’ils quittent leur maison, il fait nuit. Seuls, quelques lampadaires éclairent modestement la voiture qui quitte l’endroit où ils ont vécu près de 30 ans. La scène dure quelques secondes.
Ils nous abandonnent pour quelques jours leur maison vidée de presque une vie.
Photo d’aujourd’hui : le dernier repas d'habitants de Rafiah Yam avant leur départ définitif du bloc de colonies Gush Katif à Gaza.
* Rafiah Yam est une colonie israélienne à l'intérieur du bloc de colonies "Gush Katif".
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le-van-de-noces · 1 year ago
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PASSEGIATA AL LAGO - 15.09.23
Après cette nuit agitée, on profite enfin de la belle vue sur le lac ! Lecture et petit-déjeuner à l'arrière de la camionetta.
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On redescend ensuite à Verbiana pour aller visiter la Villa Taranto, réputée pour ses riches jardins. Acquise en 1930 par un capitaine écossais passionné de botanique, il aurait découvert l'annonce de vente au court d'un voyage à bord de l'Orient Express, en lisant le Times, de retour d'un séjour à Venise... rien que ça ! Déambulation entre arbres centenaires, labyrinthe de dahlias (une pensée pour mon sublime bouquet de mariée ! ♥️) et nénuphars géants ; j'étais plus dans mon élément que Léo - en plus j'y ai bu un deliziosa cioccolata calda !
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Déjeuner rapide cuisiné par mon chef personnel, avant d'embarquer sur le bateau qui nous conduit aux Iles Borromées. Archipel acheté par la famille homonyme au XVème siècle, il est composé de :
l'Isola dei Pescatori, ancien village de pêcheur, charmante mais transformé en village de restaurants et échoppes à touristes
l'Isola Madre, la plus grande, sur laquelle se trouve un "petit" palais, et surtout un parc exotique enrichi au travers des siècles et ouvert au public depuis les années 70
l'Isola Bella, la plus célèbre, constituée d'un Palazzo et de jardins à l'anglaise très étonnants.
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Visite du Palazzo Borromeo donc, de ses nombreuses galeries et chambres encore meublées, les fenêtres laissant entrevoir de superbes vues sur le lac. On traverse de nombreux salons, dont un, particulièrement vaste (haut de trois étages) au plafond duquel on peut lire la devise familiale : humilitas.
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On y apprend également que Napoléon a fait escale sur l'Isola Bella sans prévenir durant sa campagne d'Italie, que lui et sa garnison de 60 soldats se sont comportés comme des goujats, et que l'intendant du palais a été bien heureux que cette visite ait été de courte durée car ils ont laissé après eux "des chambre sales et malodorantes"...
Au rez-de-chaussée, on découvre les Grottes, appartements restant frais par les chaudes journées d'été, tapissés de galets du lac, du sol au plafond.
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Sans oublier que partout sont repris les symboles des Borromeo : un chameau assis, un cèdre, trois anneaux entrelacés et une licorne. Mais ce sont les aménagements extérieurs qui rendent cette île unique : en sortant, après avoir traversé la cour de Diane, on découvre la Serra Elisa, luxuriante et très jolie. Léo y propose un intermezzo musicale.
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Au coeur du jardin se trouve le Teatro Massimo, décor invraisemblable et débauche de statues, terassant les jardins sur plusieurs niveaux. Le tout surplombé par une immense licorne. En haut, une vaste esplanade encadrée de quatre obélisques reprenant les quatre éléments et offrant un panorama sur le lac magnifique.
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Sur le trajet de retour en bateau, je m'improvise photographe de cartes postales - il doit bien y avoir un type dont c'est le job, non ?!
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Une baignade-douche aux abords du lac, de l'essence pour la camionetta, et nous voilà comme neufs pour rouler jusqu'à Stresa, ville d'en face et point de départ principal pour les îles Borromées.
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Sur place, on visualise bien le passif de lieu de villégiature de la région. Sur tout le front de lac, sont alignés de grands hôtels, aux vitres en verres soufflés gigantesques, serveurs en livrée, restaurants de luxe et enseignes lumineuses.
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Après une bonne pizza à emporter sur le port, on reprend un petit peu de hauteur pour observer une dernière fois le Lago Maggiore avant de partir à la découvert des autres lacs !
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