#Jeunes femmes au bain
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Henri Pierre Picou, Jeunes femmes au bain, 1879
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Henri Pierre Picou, Jeunes femmes au bain, 1879
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the beauty in the soft roundness of a woman's belly
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C’est à moi.
À la demande de @sayresse17 j’espère que ça va le faire 👀
23« Est-ce ma chemise ? »
Lilia X reader
Reader était une jeune orpheline de 25 ans, marquée par des années de vie en famille d'accueil. Elle avait toujours rêvé d'une vie stable, mais chaque nouvelle maison ne faisait qu'accentuer son sentiment d'instabilité. Aujourd'hui, elle avait décidé de fuir ses parents adoptifs, ne supportant plus leur indifférence.
Elle avait trouvé un petit travail dans la boutique de Lilia, Lilia avait tout de suite remarqué la douceur et la détermination de Reader. Avec le temps, un lien s'était tissé entre elles, si bien que Lilia avait proposé à Reader de s'installer dans sa chambre d’amie.
Cela faisait maintenant quelques mois que les deux femmes cohabitaient. Leur quotidien était rythmé par des rires, des discussions autour d'un café, et des soirées passées à lire ensemble. Reader se sentait enfin chez elle, entourée de chaleur et de compréhension. Pourtant, au fil des jours, un sentiment troublant commençait à s'installer en elle. Plus elle passait de temps avec Lilia, plus elle réalisait qu'elle l'aimait d'une manière qu'elle ne pouvait pas contrôler.
Reader se surprenait à la regarder plus longtemps, à apprécier chaque geste, chaque sourire de Lilia. Elle se sentait coupable de ces pensées, consciente que ce lien affectif pouvait être dangereux. "Je ne devrais pas ressentir ça," se répétait-elle en silence, mais son cœur avait déjà pris le dessus sur sa raison. Les moments passés ensemble, les éclats de rire partagés, tout cela la rapprochait d'une affection qu'elle n'avait jamais connue auparavant.
Reader avait enfin terminé de faire le ménage dans la maison, un sentiment de satisfaction l'envahissant. Elle se dirigea vers la salle de bain, impatiente de se plonger dans une bonne douche bien chaude. L'eau chaude coula sur sa peau, apaisant toutes les tensions accumulées de la journée. Elle ferma les yeux, profitant de chaque goutte, laissant la vapeur envelopper la pièce.
Après un moment de pur bonheur, Reader sortit de la baignoire, se sentant rafraîchie et revigorée. Elle s'enroula dans une serviette douce, absorbant l'humidité de sa peau. Une fois sèche, elle se mit à chercher ses vêtements, le cœur léger. Elle commença à enfiler son pantalon, soudain, un frisson de surprise la parcourut
. "Oh non, j'ai oublié de prendre un haut !" s'exclama-t-elle, réalisant qu'elle était restée là, à moitié vêtue, sans rien pour couvrir son buste.
Reader se sentit soudainement prise au dépourvu. Elle ne pouvait pas sortir ainsi, et la panique s'installa un instant. Ses yeux parcoururent la salle de bain, cherchant désespérément une solution. C'est alors qu'elle aperçut une chemise de Lilia accrochée au porte-manteau. "C'est mieux que rien", se dit-elle en l'enfilant rapidement, se sentant un peu plus à l'aise.
Elle attacha rapidement ses cheveux en un chignon désordonné, essayant de donner une impression de calme avant de sortir de la salle de bain. En marchant dans le couloir, elle espérait que personne ne la croiserait. Malheureusement, au moment où elle tournait le coin, Lilia apparut, surprise de la voir ainsi vêtue.
Reader se figea, le cœur battant. La gêne l'envahit, et elle ne savait pas quoi dire. Ses joues prirent une teinte rosée alors qu'elle cherchait des mots, mais rien ne venait. Elle se contenta de sourire timidement, espérant que Lilia ne poserait pas trop de questions sur sa tenue improvisée.
Lilia se tenait dans l'embrasure de la porte, un sourire malicieux sur le visage.
"Est-ce ma chemise ?" demanda-t-elle, un coin de sa bouche se relevant en un sourire espiègle, ses yeux pétillants de curiosité.
Reader, encore un peu gênée par la situation, baissa les yeux sur la chemise ample qui flottait autour d'elle.
"Eh bien, je… je l'ai empruntée sans vraiment demander," commença Reader, sa voix hésitante trahissant son embarras. Elle se gratta la nuque, cherchant les mots justes. "Je n'avais rien d'autre à mettre, et je me suis dit que ça pourrait faire l'affaire le temps que j’aille chercher quelque chose dans mon placard.."
Lilia, cependant, ne semblait pas se soucier de l'explication. Ses yeux parcouraient le corps de Reader avec une admiration inattendue. Elle se rapprocha lentement, ses pas légers sur le sol.
"Tu sais," dit-elle, son regard ancré dans celui de Reader, "je trouve que ça te va vraiment bien."
Reader sentit son cœur s'emballer sous le compliment, ses joues s'empourprant légèrement. "Tu penses vraiment ?" demanda-t-elle, surprise mais flattée.
"Absolument," affirma Lilia, un sourire sincère illuminant son visage. "Garde-la, elle te va bien. Tu devrais porter des chemises comme ça plus souvent."
Reader, touchée par la gentillesse de son amie, ne put s'empêcher de sourire. "Merci, Lilia. Je vais réfléchir à ta suggestion," répondit-elle, se sentant à la fois gênée et heureuse.
Lilia lui fit un clin d'œil complice avant de s'éloigner, laissant Reader avec une nouvelle confiance, réalisant que même les moments les plus embarrassants peuvent se transformer en compliments inattendus.
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Soumission & Domination 335
Le tatouage d'Emma, nouveau plan pour Amaury
Début Janvier, j'emmène Emma chez mon tatoueur. Il est surpris de savoir que cette encore jeune femme est ma mère. Pour définir le travail à faire, elle se met quasiment nue puisque le dragon partira du sillon entre ses deux fesses jusqu'à son sein droit. Le tatoueur admire la plastique irréprochable d'Emma. Je crois bien que ça le fait même bander ! Je me dénude à ses côtés et lui dis que ce que nous voulons c'est le même mais qui passe sur la taille d'Emma avant de remonter vers son sein. Donc ce sera le même dragon mais dans une autre position. Le tatoueur souligne que le passage sur le flanc d'Emma va être douloureux pour elle. Cette partie du corps est fortement innervée, c'est bien pour ça que les chatouillis y sont pratiqués. Et sur les côtes, la faible masse musculaire qui les recouvre amortie peu les sensations des aiguilles. Emma balaye d'un geste ces considérations. Elle lui demande juste de faire tenir la " bête " dans les délimitations de son maillot une pièce. Pour cela elle enfile celui qu'elle avait amené pour qu'il se rende compte. Il la prend en photo et mesure les dimensions de la partie couverte. Il prend en photo aussi mon dragon car il ne garde pas les documents propres à chaque tatouage afin de ne faire que des oeuvres différentes. Je suis le premier à lui avoir demandé une réduction de mon dragon pour l'épaule de Marc et une nouvelle mouture pour Emma.
Une semaine plus tard, il nous téléphone de venir voir son travail. Il nous présente deux versions. La première avec la tête du dragon entre les seins mais du coup elle sort de la zone couverte, la seconde, à l'aide d'une torsion supplémentaire de son corps place la tête du dragon sur les côtes avec sa gueule ouverte autour du téton. Cette deuxième version entre dans les critères mais rend quand même moins bien. Dans les deux cas, la tête du dragon est déformée par le galbe du sein. Emma s'en rend compte et est un peu déçue du résultat. C'est à ce moment-là que le tatoueur sort un troisième projet. Il a placé la bestiole comme sur ma propre peau en dégageant un peu plus le cou d'Emma pour permettre des décolletés larges. Le corps du dragon passe en partie sur l'épaule et de l'autre côté, la patte, qui sur moi s'agrippe à ma clavicule gauche, là, lui enserre l'autre épaule. Le résultat est nettement plus lisible, la tête trouvant sa place sur l'aplat au-dessus du sein.
Des trois, c'est le plus beau des placements. Emma n'hésite pas longtemps même si quelques soit le maillot de bain, à moins de revenir à ceux du début XXème siècle, il sera impossible de le cacher. Elle choisit la troisième proposition. Il avait prévu cette éventualité et le calque est prêt. C'est au transfert que l'on peut se rendre vraiment compte. Le tracé laisse effectivement le cou d'Emma bien dégagé, suffisamment pour les décolletés qu'elle porte en publique.
Nous sortons de la séance avec le tracé noir totalement réalisé et un rendez-vous deux semaines plus tard pour la colorisation. Je l'accompagne encore d'autant plus que pour faire un sosie de mon dragon, il vaut mieux que le tatoueur l'ait sous les yeux. Le résultat quelques heures plus tard est parfait. Puis il est recouvert de cicatrisant puis de film alimentaire. Emma à l'air d'une momie ! Je la reconduis chez elle. Elle est assez fatiguée d'avoir combattu la douleur pendant autant de temps. Je la confie à Pablo pour les jours à venir. Heureusement qu'avec lui elle a plus qu'un simple cuisinier. Elle sait qu'elle peut lui demander plus (sans sexe) sans qu'elle soit jugée. Moi, je sais qu'il va prendre soin de sa cicatrisation et l'enduire deux fois par jour de Cicatryl. Après moi, il est le premier à voir le tatouage. Il le trouve superbe et trouve les modifications par rapport au mien sans effets néfastes. Elle cicatrise vite et dès le 10ème jour, après contrôle par le tatoueur, elle est autorisée à laisser tomber le cicatrisant. Son habitude de s'hydrater la peau suffira. Les couleurs brillent, elle est superbe. Nous fêtons ça par une soirée chez elle, PH, Ludovic et moi. Depuis 25 jours qu'elle n'avait fait l'amour, c'est elle qui nous a mis sur les genoux et tous les trois !
Mes deux acolytes trouvent le tatouage superbe et je vais avoir du mal à les retenir d'y passer aussi.
Ludovic qui déjà adorait s'écraser sur mon dos pour coller mon dragon et essayer en vain de prendre sa position, trouve ça plus facile sur Emma. C'est évident, elle est plus petite que moi plus une poitrine plus " développée " et du coup il arrive à lui prendre le téton entre les dents ! Un par un ou ensemble, nous la pénétrons pour calmer sa faim de sexe. Ernesto étant absent, j'aurais dû anticiper et demander à Jona et François de nous rejoindre. Peut-être qu'à 5 nous aurions réussi à satisfaire complètement. Là, nous l'avons finie à l'aide de godes.
Bon, elle n'a pas regretté quand même. Nous avons réussi quand même à la maintenir presque une demi-heure d'heure d'affilé au sommet de la jouissance par une triple prise : 1 anale et 2 vaginales. Explications : - Moi sur le dos ma bite enfoncée dans son anus, Emma couchés sur mon torse, - Ludovic la sienne dans la chatte, ses jambes de chaque côté de nos tailles pour dégager au maximum l'espace entre nous deux, de plus la position le maintien enfoncé au maxi dans Emma, - PH debout, ses jambes de chaque côté des miennes, a donc la place d'enfoncer son gland à côté de celui de Ludovic. Le résultat : je suis super comprimé par les deux queues qui prennent de la place dans le ventre et sans avoir à bouger, l'excitation reste permanente par les va et vient de PH. C'est pareil pour Ludovic qui bénéficie en direct de PH.
Nous en sortons exténués et vidés pour un moment ! Mais Emma elle a trouvé cela trop bon. Je suis sûr qu'elle imagine ce que cela donnerais avec les 24x6 d'Ernesto en remplacement d'un de nous. Par contre, deux dans chacun de ses trous ça va être impossible à faire !
Le matin qui a suivi cette nuit de folie, Pablo nous avait préparé un petit déjeuner roboratif. Après avoir avalé de quoi nourrir un régiment entier revenant d'opération sur le terrain, nous sommes partis en cours chacun de son côté. J'ai somnolé une bonne partie de la matinée. Evidement je me suis fait moquer par Morgan et Amaury qui se demandent bien ce que j'ai pu faire la nuit précédente.
Amaury me prend à part et me demande quand il aura droit à un nouveau plan hard multi partenaire. Il me dit d'en parler avec Samir. Je fais le point avec ce dernier. Il me dit qu'effectivement, même si Ammed devient dominateur avec lui sur Amaury, il voit bien que ce dernier demande plus. Pas dans le remplissage de sa rondelle, ça ils y arrivent sans peine, leurs deux bites de 19.5 x 6 et 19.2x5.6, réunies ensemble assurent. Les séances de godage et même de fist le font jouir surtout quand sa bite est contrainte dans sa cage. Mais c'est le côté psy qui pêche de temps en temps. Il recherche le service " vidage de bite par tous ses trous " qui lui apporte l'avilissement total dont il a besoin.
Mes clients habituels sont trop proprets pour arriver à lui faire passer ce genre de sensation. En plus, je ne voudrais pas qu'ils reproduisent ça sur mes Escorts " classiques ". Je charge Samir de rechercher qui pourrait satisfaire la demande de mon Escort particulier.
Il met une semaine pour me trouver plusieurs options.
Larvage en cave dans la cité craignos du coin. Là une bonne quantité de jeunes Beurs et blacks en manque de meufs pourrait faire l'affaire mais le rapport sera faible et les risques de dérapage importants.
Le faire taffer un soir en foyer de travailleurs. Là leur pouvoir d'achat est un peu supérieur et la quantité d'homme sevré de femme sera importante. La moyenne d'âge plus élevée, la forte majorité d'immigré assurera un effet dépravation supplémentaire. Il a repéré deux foyers Sonacotra qui seraient idéaux pour ça.
Dans les deux cas, il faudra encadrer Amaury pour limiter au maximum le risque pour sa santé. Fournir les kpotes et le gel sera indispensable et surtout rester pour s'assurer que les " utilisateurs " les utiliseront. Et vu la population même les pipes devront se faire sous kpote. Il ne veut pas qu'Amaury y attrape une chtouille ou même plus.
Là-dessus je suis totalement en accord avec lui. Il serait bien de voir s'il n'y a pas un ou plusieurs " chefs " qui seraient capable de gérer leur groupe ethnique. Je lui dis de voir aussi avec Jona et François. Ils ont des entrées particulières de renseignement et en plus nous aurons besoin d'eux pour la sécurité. Entre Ammed, PH, eux deux plus nous deux, et notre pratique des arts martiaux, on ne devrait pas rencontrer de problème. Au pire s'il y a trop de participants potentiels, rien ne nous interdira de refaire une séance. Quant au tarif, il faudra probablement s'aligner sur les putes bas de gamme. La sodo simple à 50€ et celle après une pipe à 70, ça devrait le faire. A confirmer avec nos agents de renseignement !
La semaine suivante, nous avons les infos. Samir a rencontré les meneurs des trois groupes ethniques du premier foyer, blacks, algériens et turcs. Ils ont sondé leurs ouailles et il en ressort qu'une cinquantaine serait partante au tarif proposé. Samir me présente même une prévision à 20 sodos simples et 30 sodos après pipe. Soit une soirée à plus de 3 100 quand même ! Il me dit qu'il a rencontré quelques futurs bénéficiaires de notre plan " Dégorgement des couilles immigrée ", Amaury ne devrait pas être déçu. En plus du nombre, quelques bites devraient lui donner des sensations intéressantes. Il a négocié avec les trois hommes que leurs séides soient propres et douchés avant de venir. Le port de kpote aussi a été acté. Si ce n'était pas le cas, le mec serait sorti de la liste. Ils ont même tiré au sort la succession des ethnies. Le premier sera Turc, le deuxième Black et le troisième donc Algérien et reprise Turc, Black, les sodos simples au début et celles après pipe après... jusqu'au dernier.
L'affaire a l'air de rouler ! Nous la proposons à Amaury. Il s'y projette vite et nous demande de la programmer au plus tôt. Je lui dis qu'il devra quand même, par sécurité complémentaire à l'utilisation systématique des kpotes, suivre un traitement post exposition au HIV. Il en comprend la nécessité. De même il se fera dépister des autres MST avant de se permettre de nouveaux plans en réel. Il est d'accord avec toutes ces contraintes supplémentaires. Il avait pensé lui aussi au TPE mais pas aux autres MST.
Nous profitons d'un WE où Ludovic se fait une super chasse chez son paternel pour organiser cette affaire. Quand nous arrivons dès 13h30, nous rencontrons les 3 délégués. Ils nous remettent chacun les participations de leurs compatriotes. Je m'isole pour compter. Le montant prévu est là. Je rejoins les autres qui ont mis Amaury en situation. Ils ont réquisitionné un des T2 du rez-de-chaussée. Le Turc nous remercie de lui avoir mis une cage. Il n'en avait pas parlé mais certains de ses collègues lui avaient dit qu'ils espéraient que la " pute " ne banderait pas.
Amaury est à 4 pattes sur le lit, les fesses à l'aplomb du bord pour que les mecs puissent l'enculer direct, debout. Jona et François sont avec lui de chaque côté du lit prêts à intervenir. Samir et Ammed sont avec les trois " gérants " ils vont devoir gérer les participants en amont. Notamment ils ont la charge de fournir la kpote adaptée (à la taille du sexe). Avec PH nous servons de renfort.
Amaury est prêt pour le premier assaut. Samir lui a préparé la rondelle afin qu'il soit performant dès la première saillie.
Les instructions ont été suivies. Dans le couloir qui sert pour la file d'attente, pas d'autres odeurs que celle des différents gels douche utilisés. Les mecs sont en majorité en jogging et T-Shirt. Ils sont propres aussi. Quelques-uns sont en shorts. Plus je remonte la file vers l'appartement, plus le silence se fait et les joggings se tendent. A la porte d'entrée je comprends. En provenance de la chambre, arrivent les gémissements d'Amaury. Entrecoupés de " vas-y, fuck, plus fort... ", ils font bander les 15 qui attendent leur tour. Je rentre dans l'appart. Dans le séjour, le trio vérifie que le mec fait bien partie de ceux qui ont payés et ils le font même mettre le pantalon aux genoux pour vérifier la propreté. Ça permet à Samir ou Ammed de donner la bonne taille de préservatif. Le mec rentre alors que le précédent sort. Il encule Amaury directement et le secoue jusqu'à jouir. Ce qui ne prend environ que 5 à 6 minutes. Quand il part, il retire son préservatif et le jette dans une grande poubelle, remonte son jogging ou son short et se casse. Durant cette première partie, je vois deux ou trois mecs ttbm qui arrivent à tirer des gémissements plus prononcés à Amaury. On fait une pause avant le second groupe (de ceux qui ont payé pour la pipe avant la sodo). Pour délasser Amaury et qu'il se détende les jambes, au milieu de la première série, on l'a installé sur une table. Entre le plateau et son dos on a plié une couverture et les jambes levées, il s'était fait ramoner jusqu'à la pause. Alors qu'il continuait ses demandes (fuck me, plus fort....) j'ai remarqué que les enculeurs étaient plus respectueux. Avant alors qu'ils ne voyaient que son dos et sa nuque, ils le traitaient comme un sac à foutre, une truie à engrosser. Là, depuis qu'ils le voient de face, ils sont plus doux et prévenants.
Avant de reprendre, les trois intermédiaires passent sur Amaury. Le black est très fortement membré mais pas tant que mes deux hommes de services réunis. Néanmoins, après la pause et le passage des deux petites bites de ses collègues, il doit forcer un peu. Je reste mater. C'est vraiment beau. Amaury est blanc et ses fesses le sont encore plus. Le black l'est de façon très foncée. La jonction de leur deux corps accentue le contraste. Le piston black qui défonce le cul bien blanc.... Quand ils sont collés on dirait les deux faces d'un domino.
Puis la seconde période commence. La seule différence avec la première c'est que celui qui attend pour enculer se fait pomper alors que le précédent est encore à chercher à jouir. On gagne du temps car les mecs arrivent tellement excité à la sodo qu'il faut encore moins de temps qu'aux premiers pour juter ! Sauf deux ou trois qui ont pris un quart d'heure, les autres se sont vidés après 4 ou 5 coups de rein. Du coup on est sorti du foyer après seulement 6 heures de prestation. Pas de problème de sécurité. Tous se sont pliés sans rechigner au port de la kpote, même pour les pipes. Amaury nous a dit n'avoir pas trop apprécié les pipes sous emballage mais c'était quand même plus sécure !
Retour au blockhaus il est 21h30. Amaury est fatigué mais il arrive encore à marcher. Dimanche matin. Je descends au premier voir Amaury qui est resté sur place, pris en charge par Samir. Il est plus courbaturé que la veille. C'est surtout les muscles internes des cuisses qui lui font mal. Quand j'arrive, il est en train de se faire masser par Ammed et ça lui fait du bien. Je m'installe à sa tête et on parle de sa prestation. Il me dit qu'il avait trop aimé la sensation de n'être qu'un trou à boucher. Même si la levrette le faisait sentir plus " chienne ", c'est sur le dos, avec la vue des visages de ses enculeurs qu'il a vraiment pris du plaisir. Comme pour le gang bang que j'avais organisé, les couleurs de peaux foncées ajoute à son plaisir. Je rigole et lui dis que c'est surtout parce que ce qu'ils ont entre les cuisses sont en général plus gros que ce que nous avons-nous autres blancs ! Ça le fait rire et il me dit que c'est peut être ça aussi.
Je lui souhaite un bon dimanche lui dit de ne pas oublier de passer à l'hôpital voir Blond2 (mon escort étudiant en 7ème année de médecine), il est prévenu pour ses analyses et son traitement post exposition. Il me promet d'y passer en rentrant chez lui.
Jardinier
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Scène 1 "Une femme mure sur la plage"
Déjà presque une année écoulée depuis ces vacances passées chez mes parents dans le sud-ouest de la France. C’était en pleine saison au mois d'août, je me souviens encore des senteurs et sensations d’aller courir chaque matin avant d’aller piquer une tête dans l’océan pour conclure cette activité de remise en forme. Ces sensations qui restent dans la mémoire comme des moments marquants de la vie où tout est calme, où on ressent la sérénité du présent, où la vie semble sans contraintes.
J’avais passé l’âge de passer des vacances chez mes parents mais cette année là les voyages étaient encore limités et j’avais à coeur de voir mes parents après cette période surréaliste où la moitié de la planète avait passé plusieurs mois confinée. Ce virus COVID-19 qui a touché tous les pays du monde et cette mise en quarantaine qui nous a coupé de nos proches pendant plusieurs semaines et tant de victimes. Comme la plupart des gens, les vacances d’été se réduisaient à des distances accessibles en train ou en voiture, les vols à l’autre bout de bout monde encore déconseillés.
J'aimais me lever tôt pour aller courir, profiter de la fraîcheur matinale et du calme avant le trafic des vacanciers qui abondaient sur les plages et les coins touristiques.
Depuis quelques jours j’avais remarqué cette femme venant profiter de la plage, comme moi elle semblait préférer la tranquillité avant l'arrivée de la foule. La 1ère fois que je l’avais aperçu, étant seul sur la plage avec elle, je me disais qu’elle m'avait obligatoirement remarqué. Je me souviens comme si c’était hier, je voulais me rafraichir après mon footing matinal, je n’avais pas résisté à l'envie de rester sur la plage alors que je n'avais ni serviette ni affaires de rechange. J'étais étonné de voir cette femme seule à cette heure, comme si elle commençait sa journée de plage, installée sur sa serviette, en maillot de bain avec un petit haut couvrant son buste de la fraîcheur
Elle lisait et avait tourné la tête en me voyant passer pour aller me baigner. J'avais posé mes runing, mon short et mon tee-shirt au bord de l'eau avant de plonger dans la mer encore fraîche. Je lui tournais le dos, elle était installé à une 20aine de mètre plus haut sur la plage, je n'avais pas osé me retourner mais bien qu'étant allongée sur le ventre, tournant le dos à la mer, j’avais imaginé qu’elle avait tourné la tête pour me regarder me dévêtir avant de plonger en boxer dans l’eau calme comme si la mer accueillait son 1er baigneur de la journée. Quand je revenais vers le bord, elle avait changé de position, assise sur sa serviette, le regard plongé dans son livre mais elle s'était retournée, peut-être pour profiter de l'océan et me regarder nager. Je trouvais cet instant troublant et la situation presque intime.
Depuis ce jour là, je revenais tous les matins, à la même heure, espérant retrouver cette femme qui lisait sur la plage. Avait-elle remarqué que je la regardais ? Pensait-elle que je venais dans l'espoir de l'aborder, la draguer ? Raisonnablement je n'y croyais pas trop, j'étais beaucoup plus jeune qu'elle, et visiblement ce n'était pas le genre de femme qu’on aborde facilement. C'était l'impression qu'elle me donnait.
Une belle femme mure, qui devait avoir 55 ans bien sonnés, des formes matures, des cuisses charnues, un belle peau soignée. Malgré le soleil estival, sa peau à peine hâlée, encore assez blanche me laissait imaginer qu'elle avait dû arriver depuis peu. Un détail avait capté mon attention plus particulièrement, cette femme aux airs et attitudes un peu « bourgeoises » semblait prendre soin d’elle, elle n’était pas grosse mais des formes qui s’arrondissent avec les années de manière plus ou moins harmonieuses mais pleines de charme. Un visage assez fin encore mais quand elle s’était levée pour aller se baigner, son fessier m’avait captivé, il était large, charnu et marqué par les années tout en étant très agréable au regard. Un cul assez gros pour dire les choses de manière trivial mais un cul comme je les aimais et qui me faisait rêver surtout chez une femme mure. J'avais remarqué cette femme il y a 3 jours, depuis je suis repassé le matin à la même heure, elle était là au même endroit. Depuis je m'étais calé sur son horaire pour venir profiter de la plage et de sa présence qui agrémentait mes sorties footing et ma baignade matinale
Est-ce qu'elle se demandait ou se doutait qu'elle me faisait fantasmer ? moi un jeune homme de 27 ans qui venait tous les matins en même temps qu'elle, toujours au même endroit, un peu en retrait à quelques 10aines de mètre d'elle. Suffisamment en retrait pour ne pas l'agresser, comme si je voulais faire parti de son décors, l'habituer à ma présence pour me donner le droit de lui dire « bonjour ! », de lui parler comme un habitué de la même plage, à la même heure. Comme pour partager cette discrète complicité et la rassurer de ma présence à quelques mètres d'elle. Pour vivre ce moment, à la surprise de mes parents, j’avais pris cette habitude de me lever tôt tous les matins, pour profiter de ce moment privilégié qui devenait onirique et alimentait mon fantasme pour les femmes mures.
Chaque matins elle allait se baigner, faire quelques brasses et revenait sur sa serviette en profitant de l’océan calme avant de se replonger dans son livre le temps que les 1er touristes arrivent bruyamment sur la plage. Je n'avais pas encore osé aller me baigner en même temps, lui parler ne serait-ce que lui dire bonjour comme si elle devait forcement me reconnaitre. Je ne savais pas combien de temps elle resterait mais elle était en vacances et j'avais la sensation que j'avais le temps, qu'elle resterait indéfiniment le temps de mes vacances. Je sentais qu'elle s'habituait à ma présence, que je faisais parti de ce moment qu'elle s'octroyait tous les matins, avant que les vacanciers viennent encombrer la plage.
Depuis 3 matins elle était là, entre 7h30 et 7h45, l'heure où les gens dormaient encore, où l'eau est encore froide et chaque matin depuis 3 jours j'étais là en espérant la retrouver à la même place sans personnes aux alentours. Je ne savais pas comment l'aborder à part un simple bonjour mais elle était trop loin pour lui parler et je n’osais pas aller l’aborder et pour quelle raison d’ailleurs ! je voulais pas qu'elle se sente agressée. Je m’encourageais en me disant que je devrais aller me baigner en même temps qu'elle, ça serait plus facile de discuter, lui parler de la température de l'eau, du calme, de l'heure matinale ... des choses banales, anodines qui me permettraient de créer un contact, d'entendre sa voix et sentir si elle était ouverte à la discussion. "Demain je le ferai" me disais-je ! comme un défi à relever mais ça faisait 2 jours que j'essayais d'imaginer un moyen de l'aborder et que je finissais par me convaincre que ce serait mieux le lendemain. Comme si j'espérais que l’initiative vienne d’elle, considérant que mon âge ne me permettait pas d’aborder cette femme devenant de plus en plus inaccessible.
Je la regardais du coin de l'oeil, elle se levait pour aller se baigner, j'hésitais à me lever, attendre un moment pour la rejoindre mais je craignais de casser la magie de ce moment matinal qui agrémentait mes vacances et j'avoue aussi mes soirées. J’étais troublé en pensant à elle le soir en me couchant. J'imaginais des situations qui finissaient par réveiller mon sexe au point de me caresser en échafaudent des plans que je savais pertinemment irréalisables mais ces rêves érotiques étaient des plus agréables. J’essayais de l’imaginer, telle que je l’avais vu, je me remémorais régulièrement ce moment qui m’avait marqué et ému : son cul qui ondulait quand elle se dirigeait vers la mer pour aller nager.
Ce matin encore en la voyant nager, je me résignais, me promettant que demain j'irai me baigner en même temps qu'elle, que je l'aborderai. Je me détendais en gagnant ce nouveau délais. Elle nageait à quelques mètres du bord, je la regardais, elle avait l'air sereine, douce, sensuelle, comme si elle savourait l'instant, je me réjouissais et me consolait en me disant que je faisais parti de ce moment, de ce décors qu'elle garderait en tête comme ses bons moments de vacances.
Ces moments matinaux alimentaient de plus en plus mes fantasmes nocturnes et mes pensées en journée. Je retournais parfois sur la plage pour tenter de la retrouver mais depuis que j’étais arrivé je n'avais pas encore eu l'occasion de la voir ou la croiser ailleurs que sur la plage le matin tôt. Il m'arrivait de parcourir les lieux où les touristes se promenaient, j’avais même fait le tour du marché en matinée, espérant la croiser, me demandant qui elle était, si elle était seule, en couple, avec sa famille, des amis mais étant seule chaque matin je l’imaginais seule.
Toutes ces questions occupaient maintenant mon esprit et une bonne partie de mon temps. J'avais envie de savoir, de découvrir cette femme qui nourrissait mes fantasmes depuis que je l’avais vu ce 1er matin sur la plage.
Qui était cette femme mure sur la plage, venant seule tous les matins vers 7h30 et repartait avant l'arrivée des touristes. Jusque là, je n’avais pas osé quitter la plage en même temps qu'elle, je ne voulais pas lui paraitre entreprenant ou passer à ses yeux pour un dragueur de plage en quête d’aventure sans lendemain. Je ne savais pas si elle venait à pied, à vélo ou en voiture mais je commençais à échafauder des plans pour en savoir plus.
Peut-être venir un peu avant 7h30 pour voir d'où elle venait ? peut-être attendre d'être hors de vu et la suivre de loin pour en savoir plus, savoir ou elle habitait. Ces plans tenaient en haleine mon esprit une partie de la journée mais je ne faisais que repousser la moindre initiative pour l'aborder. D'abord en savoir plus et aller me baigner en même temps qu'elle. Je me sentais presque rassuré d’obtenir ce délais tout en redoutant qu’elle ne vienne plus et disparaisse à jamais sans avoir rien tenté ni entendu le son de sa voix.
Le lendemain était un samedi, un jour de turn-over pour les touristes. J’angoissais presque en imaginant qu'elle risquait de disparaitre, que je n'en saurai pas plus sur elle et que j'aurai raté l'occasion de l'aborder. Je m'arrêtais un moment, j'hésitais entre me changer les idées en allant voir un copain et continuer à errer dans les alentours de la plage en espérant la croiser. Je me sentais comme un détective privé à la recherche d'informations sur une femme sur laquelle je menais une enquête.
Ces moments excitaient ma curiosité, je finissais par décider de retourner sur la plage en scrutant les environs mais il y avait tellement de monde à cette heure que mon espoir de la retrouver dans cette foule s'estompait vite. Pourtant je restais un moment à scruter du regard la foule peuplant cette plage si tranquille le matin. Je décidais d'aller voir un copain en projetant de repasser en début de soirée quand la foule aurait quitté les lieux.
A suivre ... (Scène 2 le 21 mars 2024 à 06h00)
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J’ai honte!
Ce matin, dans mon lit, je crois que j’ai poussé un petit cri en me réveillant, une drôle de sensation entre les jambes, et surtout, une petite flaque sur mes cuisses et sur les draps. Ce n’est pas du pipi, c’est un peu collant. Mon zizi est encore un peu dur. J’espère que maman ne va pas voir la tâche sur mes draps.
Je me lève, il y a école aujourd’hui. Depuis la rentrée, je suis au collège, tout neuf, plusieurs bâtiments tout rectangulaires de trois étages, bleu et blanc.
Maman a acheté du Nesquik pour mon petit déjeuner, avant c’était toujours du Van Houten, je crois que je préférais avant. Trois tartines beurrées et de la confiture de fraises. Un coup de brosse à dents rapide, car j’aime pas trop ça et direction le garage pour sortir le mini-vélo que papa a rafistolé après l’avoir récupéré chez ma grand mère.
Dans mon sac à dos en cuir, il y a mes cahiers, livres et trousses. Au collège, on fait des mathématiques modernes, je n’aime pas du tout ça, alors que j’aime bien le calcul mental, mais ça n’a rien à voir. Je crois que je n’aime pas l’école, car je n’attends qu’une chose, la récréation.
Là je sors mon tac-tac, un nouveau jeu où il faut taper deux boules, mais on se détruit les poignets avec. C’est aussi la première année où je suis en classe avec des filles. Devant moi, il y a Véronique, elle est heureuse, ça fait une semaine qu’elle met un soutien-gorge, comme mes sœurs.
À midi, je repars manger à la maison. Il reste du poulet du dimanche.
Puis retour à l’école. Sport cet après-midi. Course sur le stade et grimper à la corde. Je suis nul à ça.
Papa a acheté une nouvelle voiture, une Simca 1100. Maman râle parce qu’il ne fait que de rouler avec et l’essence coûte cher. Moi ça me fait rire. La R8, c’est l’abruti qui traîne avec ma sœur qui l’a achetée.
Le soir après le supplice des devoirs, on va faire les fous avec Patrick et Thierry en vélo dans les chemins de la forêt. Évidemment, je rentre sale comme un cochon, il va falloir passer du temps à se débarbouiller dans l’évier de la cuisine, et subir les moqueries des frangines. On a le droit de prendre un bain que le samedi.
Après le dîner, j’ai pas le droit de regarder la télé, à part le samedi. A 9 heures, direction la chambre que je partage avec ma sœur la plus jeune, mais qui a le droit de se coucher plus tard.
J’entends PopCorn à la télé, c’est chouette cette musique. Je sors le catalogue de la redoute que j’ai caché dans mon armoire pour regarder les femmes en soutien-gorge et culotte. Ça me fait durcir le zizi. C’est drôle, parce que quand je vois maman en soutien-gorge, ça fait pas pareil.
La tâche sur les draps à séché, c’est tout raide maintenant, on dirait une carte. Maman a rien dit, elle a pas dû la voir en faisant le lit. Mais j’aimais bien la sensation que ça m’a fait, j’aimerais bien que ça recommence demain matin ou même ce soir... Peut-être que je deviens grand! On est quand même en 1972.
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I Spit On Your Grave, 1978
Jennifer Hills, auteur de nouvelles, vit à Manhattan et loue un cottage isolé à Kent, dans le Connecticut, près de la rivière Housatonic, dans la campagne du comté de Litchfield, pour écrire son premier roman. L'arrivée de cette jeune femme séduisante et indépendante attire l'attention de Johnny Stillman, le gérant de la station-service, ainsi que de Stanley Woods et Andy Chirensky, deux chômeurs. Jennifer se fait livrer ses courses par Matthew Duncan, qui est légèrement handicapé mental. Matthew est ami avec les trois autres hommes et leur parle de la jolie femme qu'il a rencontrée, affirmant qu'il a vu ses seins.
Stanley et Andy commencent à naviguer autour du cottage dans leur bateau et rôdent près de la maison la nuit. Un jour, les deux hommes attaquent Jennifer alors qu'elle est sur son bateau. Ils la traînent jusqu'au rivage, et Johnny les rejoint. Jennifer se rend compte qu'ils ont planifié son enlèvement pour que Matthew puisse perdre sa virginité. Elle se défend, mais les trois hommes arrachent son bikini et la retiennent. Matthew refuse de violer Jennifer par respect et pitié pour elle, alors Johnny et Andy la violent à la place. Après qu'elle soit retournée chez elle en rampant, ils l'attaquent à nouveau. Matthew la viole finalement après avoir bu de l'alcool, mais n'éjacule pas parce que les autres regardaient. Les autres hommes ridiculisent son livre et déchirent le manuscrit, et Stanley l'agresse violemment se**uellement. Elle s'évanouit ; les hommes commencent à partir, mais Johnny se rend compte qu'elle est témoin de leurs crimes et ordonne à Matthew d'aller la tuer. Matthew ne peut se résoudre à poignarder Jennifer, toujours inconsciente. Il trempe donc le couteau dans son sang et retourne ensuite vers les autres hommes, affirmant qu'il l'a tuée.
Les jours suivants, Jennifer, traumatisée, reconstitue ses souvenirs et ceux de son manuscrit. Elle se rend à l'église et demande pardon pour ce qu'elle a prévu de faire. Les hommes apprennent que Jennifer a survécu et frappent Matthew pour les avoir trompés. Jennifer passe une commande d'épicerie, sachant que Matthew la livrera. Il prend les courses ainsi qu'un couteau. À la cabane, Jennifer l'incite à avoir des relations sexuelles avec elle sous un arbre. Elle le suspend ensuite et jette son corps dans le lac.
À la station-service, Jennifer invite Johnny à monter dans sa voiture. Elle s'arrête à mi-chemin de sa maison, pointe une arme sur lui et lui ordonne de retirer tous ses vêtements. Johnny insiste sur le fait que ce qui lui arrive est de sa faute, car elle a attiré les hommes en portant des vêtements révélateurs. Elle fait semblant de le croire et l'invite à revenir dans son chalet pour un bain chaud, où elle lui offre une caresse. Lorsque Johnny mentionne que Matthew a disparu, Jennifer déclare qu'elle l'a tué, ce qu'il prend pour une blague. Alors qu'il s'approche de l'orgasme, elle prend le couteau que Matthew avait apporté avec lui et coupe les parties génitales de Johnny. Elle quitte la salle de bain, verrouille la porte et écoute de la musique d'opéra pendant que Johnny hurle, se vidant de son sang. Après sa mort, elle jette son corps au sous-sol et brûle ses vêtements dans la cheminée.
Stanley et Andy apprennent que Johnny a disparu et prennent leur bateau pour se rendre à la cabane de Jennifer. Andy descend à terre avec une hache. Jennifer nage jusqu'au bateau et pousse Stanley par-dessus bord. Andy tente de l'attaquer, mais elle s'échappe avec la hache. Andy nage pour sauver Stanley, mais Jennifer plonge la hache dans le dos d'Andy, le tuant. Stanley se dirige vers le bateau et saisit le moteur pour monter à bord, suppliant Jennifer de ne pas le tuer. Elle répète l'ordre qu'il lui a donné pendant les agressions sexuelles : 'Suce-le, salope !', puis démarre le moteur, l'éventrant avec l'hélice alors qu'elle s'éloigne à toute vitesse.
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TW — oppressions, terrorisme politique.
LES MISÉRABLES
Il y a les beaux parleurs, les sages écrivains ; et dans chaque révolution, il y a celles et ceux qui doivent transformer les paillettes en cendres. Iels ont l'air plus fatigué·es que les autres, le seum sous les yeux, la poudre sur les dents. Ils cassent et brisent ; se déploient pour sauver un·e altéré·e des griffes des flics.
Milice armée, groupe terroriste, une réponse à la baffe de trop : chacun à son idée sur la question. Il y a un tiers en prison, l'autre en cavale, le dernier en dehors du pays. C'est-à-dire qu'iels font pas dans la nuance, ne cherchent pas la bonne paix civile et les amendements polis. Iels sont un rejeton de 68, celles et ceux qu'ont décidé de rendre cornes pour cornes, dents pour dents.
Même chez les altéré·es, ça critique leurs claquements de dents. Pourtant, c'est grâce à leur morsure qu'on a eu le droit de vote. Groupe de canidés galeux, ils grouillent dans les catacombes, sortent la nuit et s'attaquent aux ennemis des altéré·es. Tout ce beau monde vit dans un bâtiment dans la Cour des Miracles. C'est un ancien théâtre, réaménagé, les loges sont des chambres, il y a une salle de bain commune avec des douches et la salle de concert a été refaite. Parce que les sièges ont tous été désossés, maintenant, elle sert de salle de sport : il y a un ring au centre. Sur l'estrade, il se repose une grande table où manger, la cuisine se cache derrière les rideaux et tout le monde se retrouve ici pour partager le dîner.
Eh, pense pas que ce soit un groupe de super-héros, c'est surtout un ensemble de névroses.
JEUNE MORTE — f / nb (libre) • ≃ 30 ans TW - deuil.
4h du mat, elle ne dort pas. Elle ne rêve pas, non ; elle pense. Elle dort debout, peut-être qu'être allongée dans sa piaule ça l'angoisse. Elle ne se réveille plus non plus, chaque midi elle ressuscite. Il n'y a pas de cheffe chez Les Misérables, mais quand tout le monde est paumée, c'est vers elle que ça se tourne. « On fait quoi, maintenant ? », comme si elle savait, elle. Du groupe, c'est pas qu'elle a les bonnes idées, c'est qu'elle a les idées les moins mauvaises. Avant c'était à sa meuf que la Matriarche du Refuge de Bescel demandait à parler. Maintenant, c'est à elle. Ça fait un an que c'est elle la lumière, mais elle n'a pas l'impression de briller. Elle se sent plus étoile morte, parce qu'attirer les autres dans un gouffre de vide, ça, ça lui parle plus. La Ghoule lui souffle que sa femme serait fière d'elle, il croit ça la rassure.
En vrai, un peu. Mais c'est comme si soleil s'était éteint, et c'est vraiment pas rien.
FT. Marie-Pierra Kakoma, ...
МАКАРОФ (MAKAROFF) — nb (joué·e par maxeine) • 27 ans TW - alcool, dépendance, drogue (opïoide), guerre.
Un savant mélange d'opioïdes et de polia ; le corps armé du groupe, toujours à cuver sur une table de bar gluante. Iel a l'air d'avoir vécu trois vies et demi, parle au passé comme une tablé de boomers. Elle a la vibe des photos de poumons sur les paquets de clope. Faut dire que son altération c'est un rêve humide d'Edgar Allan Poe. Vétéran, militaire, survivant·e dont on ne sait trop quoi et personne veut vraiment savoir. Malgré tous ses flatteries, ça reste le membre le plus fidèle des Misérables. Iel fait le sale boulot, pose pas de questions, flanche pas sous le doute. Iel retrouve des altéré·es dans des merdiers pas possible, râcle les fonds de l'humanité pour repêcher les âmes perdues. 'Parait même qu'iel a sauvé le cul de la Matriarche du Refuge de Bescel une fois.
FT. Kate Snap
LA GHOULE — m / nb (réservé) • +45 ans TW - disparition.
Le sang l'effraie, comme un mioche qui n'a pas encore découvert la brutalité du monde. Pourtant, il en écume les bas fonds à la recherche des altéré·es disparu·es. La mission lui tient à cœur, il a le regard vitreux : ivre d'espoir lorsqu'il trouve une piste. Sa spécialité c'est de s'infiltrer, d'analyser, d'offrir une autre possibilité à la violence. En fait, il n'a jamais frappé qui que ce soit. Même en cas de légitime défense, il préf��re se faire prisonnier. C'est pour ça qu'il travaille avec Makaroff. Ça lui permet d'éviter de disparaître à son tour et c'est le seul dont la voix a l'air de passer au-dessus de la défonce. Le soir, c'est lui qui le·a ramène quand on lui confisque ses clefs de voiture. La Ghoule, c'est la princesse mélancolique du groupe. Tout le monde lui fait confiance, c'est le canari sur l'épaule de chacun d'entre eux. Ainsi, comme les miniers, s'il s'arrête de chanter : c'est que Les Misérables se sont enfoncés trop loin dans les ténèbres.
FT. David Dastmalchian, ...
EUPHORIE — nb (libre) • 21 - 27 ans
Iel n'a pas de situation, pas de parents ; pas sûr qu'iel ait une identité non plus, en fait. Iel n'a pas de maison et si on lui demande comment iel est arrivé·e là, iel te répond : "beh par la porte". C'est qu'un sourire de plus dans la foule, monté·e sur son skate, malabar dans les poches. Pourtant, c'est peut-être l'orphelin·e le·a plus recherché·e du monde. Ce qu'iel aime, ce sont les joyeuses pagailles ; spécialiste des artifices et des bombes de couleur. Iel repeint les CRS de rose, c'est plus à son goût. Iel traîne dans les musées, iel kiffe l'art. Ellui-même taggue dans la rue ; parfois des murs collaboratifs, parfois des façades parlementaires. Si tu lui brises le cœur, tu retrouves ta voiture sans les roues arrières. C'est pas parce que c'est la plus jeune du groupe, que c'est celle à protéger. Sa tendance à la jouer solo en agace certains, mais pour les autres : c'est surtout un fascinant mystère à percer.
FT. Amandla Stenberg, ...
GLAUQUE — f / nb (réservée) • ≃ 30 ans TW — déréalisation, description macabre, tentative de meurtre
Elle a un rayon de soleil dans le sourire et c'est pas une pub Colgate. Princesse enterrée vivante, petite fleur privée de soleil ; si elle revient à la surface, c'est la nuit ou sous d'épais vêtement. Elle a trouille, dont on ne sait quoi, sa tête tourne quand il y a trop de monde. Les gens pensent c'est le boulet du groupe, mais c'est pas vrai. Glauque est avocate, c'est elle qui sort les Misérables de prison, qui allègent leur peine. C'est aussi le principal financement du groupe. Tellement de thunes, elle sait que le temps passe pas plus vite sur une Audemars. Elle n'a pas les cernes de Jeune morte, la gueule décrépite de la Ghoule. Sans courbature, elle se tient tellement droite, elle fait passer Makaroff pour une équerre. Même qu'euphorie vole dans son porte-feuille ; Glauque le sait, c'est pour ça qu'elle laisse toujours deux billets de 20 pour qu'iel les prenne. C'est Makaroff, la Ghoule et la meuf de Jeune morte qui l'ont ramené·e, il y a 3 ans. Plutôt littéralement ; d'ailleurs. Ils l'ont trouvée dans une poubelle, à côté d'un relan de lait périmée et d'un sac BK. Sa manucure dépassait de la benne, c'est à peine si elle respirait. Un an de soins et réduc', aujourd'hui ça va à peu près. Elle en parle jamais, on sait juste que c'est parce qu'elle était altérée. Ça lui arrive souvent de déconnecter ou de s'éteindre. Chaque misérable dort dans sa chambre avec elle, chacun leur tour. Même Euphorie s'y dérobe pas, même Makaroff reste sobre.
Elle chante sous la douche ; tout le monde aime bien. Petite, elle rêvait de remplir le Bataclan.
FT. Victoria Pedretti, ...
FELIX — m / nb (réservé) • ≃ 30 ans
Il vient d'arriver, colle encore les membres du groupe en soirée. Il s'est fait jeter de chez lui, il a tout perdu du jour au lendemain. Nerd sans aucune confiance en lui, il s'est jamais vraiment senti à sa place là-haut. Petit cliché en manque de personnalité, faut dire qu'il a encore rien découvert de sa personne. Il n'a rien explorer non plus, ni le monde, ni les gens. C'est Jeune Morte qui l'a repêchée, pris en flag' d'hacking de machine à billets. Depuis, c'est la clef de toutes les portes, de tous les systèmes. Il éteint les caméras, pirate les dossier ; efface les noms. Il a encore du mal à se faire une place et il lui reste beaucoup à apprendre. Sa plus grande qualité, c'est sa patience. Ça et le fait qu'il sait bien fermer sa gueule quand l'ignorance pointe le bout de son nez. Felix n'a jamais été militant avant, alors quand on doit lui demander d'hacker les fichiers des flics : il flippe un peu. Mais bon, même si les catacombes c'est humide, il a jamais bien aussi respiré. Sous terre, il peut laisser aller son altération et, enfin, découvrir son homosexualité.
FT. Joseph Quinn, ...
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La Mode nationale, no. 24, 19 juin 1897, Paris. No. 23. — Toilette de jeune femme. No. 24. — Chapeau de jeune fille. No. 25. — Toilette de bain. No. 26. — Grand manteau de voyage ou de campagne. No. 27. — Toilette fantaisie. No. 28. — Chapeau de jeune femme. No. 29. — Toilette de courses ou de voyage. Bibliothèque nationale de France
No. 23. — Toilette de jeune femme en peau de soie gris argent. Corsage-boléro, brodé de cuir, ouvert sur une cravate de dentelle, descendant en cascade de l'encolure sous col de velours rubis; ceinture-corselet semblable s'élevant au-dessus de petites basques brodées de noir; manches plates, renflées du haut avec parements brodés; jupe collant, garnie dans le bas par quatre petits volants brodés posés en festons. Chapeau rond en crin gris argent orné sur le côté par une plume en mousseline de soie noire couchée, et de l'autre par des coques en ruban rubis derrière lesquelles s'élève une plume noire en aigrette.
No. 23. — Young woman's ensemble in silver-grey silk skin. Bodice-bolero, embroidered in leather, open on a lace tie, cascading down from the neckline under a ruby velvet collar; similar corselet belt rising above small black embroidered basques; flat sleeves, bulging from the top with embroidered facings; tight skirt, trimmed at the bottom with four small embroidered ruffles placed in scallops. Round silver-grey horsehair hat adorned on the side by a black silk muslin feather lying down, and on the other by ruby ribbon shells behind which rises a black aigrette feather.
Métrage: 15 mètres peau de soie gris argent.
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No. 24. — Chapeau de jeune fille en crin blanc, relevé sur l'un des côtés avec froufroutage de mousseline en dessous, et, de l'autre côté, groupe de roses multicolores cachant le pied de trois grandes plumes d'autruche noires posées en aigrette.
No. 24. — Young girl's hat in white horsehair, turned up on one side with ruffling of muslin underneath, and on the other side a group of multicolored roses hiding the foot of three large black ostrich feathers posed in egret.
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No. 25. — Toilette de bain en serge bleu foncé. Corsage-blouse décolleté en carré avec garniture de galon blanc posés en boléro; jockeys garnis de galon blanc sur les épaules; jupe courte, garnie de galon, sur pantalon bouffant; souliers de toile attachés par des galons autour de la jambe. Chapeau de paillasson blanc, orné de deux gros choux sur le côté.
No. 25. — Dark blue serge swimming ensemble. Square neckline bodice-blouse with trim of white braid posed as a bolero; jockeys trimmed with white braid on the shoulders; short skirt, trimmed with braid, over baggy trousers; canvas shoes tied with braid around the leg. White paillasson hat, adorned with two large cabbage on the side.
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No. 26. — Grand manteau de voyage ou de campagne en lainage gris. Le fond du manteau, froncé à l'encolure, retombe jusqu'au bas de la jupe; il est recouvert du haut par deux pèlerines, garnies de galons en laine blanche, dont l'une est tout ronde, et l'autre forme la pointe devant. Capuchon sur les épaules. Chapeau paillasson gris, orné en dessous par des coques de ruban coquelicot, voilette blanche en dessus.
No. 26. — Grand traveling or country coat in gray wool. The bottom of the coat, gathered at the neckline, falls to the bottom of the skirt; it is covered at the top by two pelerines, trimmed with white wool braid, one of which is completely round, and the other forms a point in front. Hood on the shoulders. Gray paillasson hat, decorated below with shells of poppy ribbon, white veil above.
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No. 27. — Toilette fantaisie à petits carreaux gris et bleus. Corsage plat orné de petits velours bleus, sur lequel est posé un plastron semblable, boutonné sur l'un des côtés et formant boléro derrière; manches renflées du haut ornées de petits velours bleus. Jupe unie et collante cintrée dans le haut par des petits velours. Toquet de paille bleue orné sur le côté par un gros piquet de fleurs multicolores.
No. 27. — Fancy ensemble with small gray and blue checks. Flat bodice adorned with little blue velvet, on which is placed a similar plastron, buttoned on one side and forming a bolero behind; puffy sleeves at the top adorned with small blue velvet. Plain and tight skirt fitted at the top by small velvets. Blue straw hat adorned on the side by a large picket of multicolored flowers.
Métrage: 6 mètres lainage très grande largeur.
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No. 28. — Chapeau de jeune femme en paillasson jaune, cerclé dans sa hauteur par un haut velours capucine avec coques semblables s'élargissant sur les côtés. Au-dessus, petite couronne de roses, cachant le pied de quatre plumes d'autruche noires posées derrière en aigrette.
No. 28. — Young woman's hat in yellow paillasson, surrounded at the top by a high velvet nasturtium with similar shells widening on the sides. Above, small wreath of roses, hiding the foot of four black ostrich feathers placed behind in aigrette.
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No. 29. — Toilette de courses ou de voyage, façon tailleur en lainage gris nickel. Corsage plat, fermé sur le côté par un galon de laine verte; petit plastron quadrillé gris nickel et vert à col montant surmonté d'une ruche; manches plates recouvertes du haut par de hauts jockeys; ceinture de cuir gris; jupe collante, plissée derrière avec patte descendant de la couture sur l'un des côtés.
Chapeau rond en paille gris nickel, avec petits choux de ruban sous l'enlevage du côté, et grandes coques de ruban vert s'élevant dessus en aigrette.
No. 29. — Shopping or travelling dress, tailored style in nickel gray wool. Flat bodice, closed at the side by a green wool braid; small checkered nickel gray and green bib with stand-up collar surmounted by a ruche; flat sleeves covered from the top by high jockeys; gray leather belt; clingy skirt, pleated at the back with tab down from the seam on one side.
Round nickel-grey straw hat, with small ribbon puffs under the side ruffling, and large shells of green ribbon rising above it like an aigrette.
Métrage: 6 mètres lainage gris nickel très grande largeur.
#La Mode nationale#19th century#1890s#1897#on this day#June 19#periodical#fashion#fashion plate#description#Bibliothèque nationale de france#dress#cape#coat#swim
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Épisode 3
Quelques jours plus tard, allongé sur le canapé, Ray s'était endormi, ses paupières s'étaient alourdies soudainement.
Quand il se réveilla il faisait déjà nuit.
Dans la salle de bain il s'aspergea le visage d'eau froide, il se lava les dents et se brossa les cheveux.
Ray prit la décision de s'occuper de son repas. Son estomac gargouillait sérieusement.
Il savait qu'il y avait des ailes de poulet dans le frigo, des oignons et un reste de légumes un peu ramollis.
Ray penché sur l'évier éminçait un oignon, des larmes coulaient de ses yeux.
Pendant que le poulet grésillait dans la poêle il y balança les oignons et les légumes. Il se servit un verre de vin qu'il but en surveillant la cuisson.
Son téléphone portable se mit à vibrer dans sa poche, il regarda l'écran c'était son supérieur qui l'appelait, Ray fut surpris c'est la première fois que Santenax téléphonait sur son portable.
Celui-ci lui dit qu'il voulait le voir demain à la première heure dans son bureau puis il raccrocha.
Ray dévorant ses ailes de poulet se posait tout un tas de questions sur cette convocation...
Une compilation de jazz tournait sur la platine , Miles Davis inondait l'appartement de ses sons graves et rythmés, Ray finissait son repas en silence.
Plus tard dans la soirée Ray le visage détendu en apparence dénué de tout soucis , un léger ronflement l'accompagnant, il bavait sur l'oreiller.
Au petit matin dans la cuisine, il se prépara un café bien serré pour être en forme afin d'affronter son supérieur.
Il prêta l'oreille, la radio retransmettait une conférence de presse qui retint toute l'attention de Ray, il s'agissait de la disparition inquiétante d'une jeune femme.
Ray reconnu la voix de son boss , l'assistance face à lui avait l'air plus nombreuse que d'habitude. Santenax commençait très tôt sa conférence de presse , ce n'était pas dans ses habitudes.
Ray alluma sa télé pour voir , la presse locale et nationale était présente, derrière la table autour de Santenax étaient assis le préfet et d'autres fonctionnaires.
Ray comprenait mieux son appel d'hier , il s'agissait d'une disparition qui datait déjà de plusieurs jours. Ce que Ray ne comprenait pas c'est pourquoi Santenax voulait le voir dans son bureau.
Ray arrêta de se prendre la tête en se posant des questions , il verrait bien en arrivant.
Arrive au commissariat Ray se dirigea directement vers le bureau de son supérieur, ilnlui dit bonjour en fermant la porte.
Santenax se lança dans une explication, il lui expliqua que les parents d'Amelie étaient des amis de longue date, qu'ils étaient très inquiet, la jeune femme était majeure mais tout l'entourage unanime disait qu'elle n'avait pas pour habitude de disparaître sans donner de nouvelles.
Santenax avait promis de s'en occuper personnellement, c'est pour cela qu'il lui confiait le soin d'enquêter sur cette disparition. Ray parcourut le bureau du boss d'un regard étonné il dit :
- d'accord chef !
Ray pensa qu'il se foutait dans la merde avec cette enquête, encore une fille de bonne famille qui a fabriqué je ne sais quoi et à qui il est arrivé quelque chose ou pas pour l'instant il allait voir ses collègues Blotin et Ginette pour les mettre au courant.
Santenax lui avait dit que tout les trois suffirait, que si besoin était il viendrait en renfort.
Pour l'instant la procédure consistait à visiter l'appartement d'Amelie et de relever tous les indices qui seraient utiles pour l'enquête. Les mains encombrées de cafés, Blotin entra dans le bureau et fit la distribution, Ginette dit :
- pour aujourd'hui je reste là , je prépare les dossiers et je ferais le lien.
- d'accord répondit Ray
- c'est parti ! gueula Blotin
Amelie habitait une petite résidence cossue, les gens qui habitaient là avaient oublié de fermer les portes à clé, à côté de l'appartement d'Amelie, quelqu'un faisait brailler la télé.
Le grand salon était impeccablement rangé et propre, ça se voyait que rien n'avait été touché depuis un bon moment.
Chaque objet était apparemment à sa place , Ray et Blotin éprouvaient une certaine gêne à fouiller cet appartement. Ce n'était pas comme un appart où avait eu lieu un crime et des bagarres.
Ray se dirigea en silence vers les fenêtres, il y passa un doigt sur le cadre , très peu de poussières.
Les détails se mettaient en place d'eux même, les photos de famille, les plantes vertes, les petits bibelots et un vieux bouquet de fleurs fanées.
Cela confortait Ray qu'elle était absente depuis un bon moment. Ils allaient fouiller les autres pièces dans l'espoir de trouver quelques indices.
Ray et Blotin retournèrent tout les tiroirs, ils fouillèrent tous les recoins toutes les boîtes, ils avaient trouvé un peu d'argent et surtout un carnet d'adresse, quelques bouteilles d'alcool étaient rangées soigneusement dans un placard au dessus de la chaîne hi-fi, table qui comportait un poste de télévision et un lecteur de dvd.
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Camille Monfort, la légende du "Vampire de l'Amazonie" (1896).
En 1896, Belém s'enrichit en vendant le caoutchouc amazonien au monde entier, enrichissant du jour au lendemain les paysans qui construisent leurs riches demeures avec des matériaux venus d'Europe, tandis que leurs femmes et leurs filles envoient leurs vêtements se faire laver sur le vieux continent et importent de l'eau minérale de Londres pour leurs bains.
Le "Theatro da Paz" était le centre de la vie culturelle en Amazonie, avec des concerts d'artistes européens. Parmi eux, l'un d'entre eux attirait particulièrement l'attention du public, la belle chanteuse d'opéra française Camille Monfort (1869 - 1896), qui suscitait des désirs inavouables chez les riches seigneurs de la région, et une jalousie atroce chez ses épouses en raison de sa grande beauté.
Camille Monfort a également suscité l'indignation pour son comportement affranchi des conventions sociales de son époque. La légende raconte qu'on l'a vue, à moitié nue, danser dans les rues de Belém, alors qu'elle se rafraîchissait sous la pluie de l'après-midi, et la curiosité a également été attisée par ses promenades nocturnes solitaires, lorsqu'on l'a vue dans ses longues robes noires et fluides, sous la pleine lune, sur les rives du fleuve Guajará, vers l'Igarapé das Almas.
Bientôt, autour d'elle, des rumeurs se créent et des commentaires malveillants prennent vie. On disait qu'elle était l'amante de Francisco Bolonha (1872 - 1938), qui l'avait ramenée d'Europe, et qu'il la baignait avec de coûteux champagnes importés d'Europe, dans la baignoire de son manoir.
On disait aussi qu'elle avait été attaquée par le vampirisme à Londres, à cause de sa pâleur et de son apparence maladive, et qu'elle avait apporté ce grand mal à l'Amazonie, ayant une mystérieuse envie de boire du sang humain, au point d'hypnotiser les jeunes femmes avec sa voix lors de ses concerts, les faisant s'endormir dans sa loge, pour que la mystérieuse dame puisse leur atteindre le cou. Ce qui, curieusement, coïncidait avec des rapports d'évanouissements dans le théâtre pendant ses concerts, expliqués simplement comme un effet de la forte émotion que sa musique produisait dans les oreilles du public.
On disait aussi qu'elle avait le pouvoir de communiquer avec les morts et de matérialiser ses esprits dans des brumes éthérées denses de matériaux ectoplasmiques expulsés de son propre corps, lors de séances de médiumnité. Il s'agit sans aucun doute des premières manifestations en Amazonie de ce que l'on appellera plus tard le spiritisme, pratiqué dans des cultes mystérieux dans des palais de Belém, comme le Palacete Pinho.
À la fin de l'année 1896, une terrible épidémie de choléra ravagea la ville de Belém, faisant de Camille Monfort l'une de ses victimes, qui fut enterrée dans le cimetière de Soledade.
Aujourd'hui, sa tombe est toujours là, couverte de boue, de mousse et de feuilles sèches, sous un énorme manguier qui la fait plonger dans l'obscurité de son ombre, seulement éclairée par quelques rayons de soleil projetés à travers les feuilles vertes.
Il s'agit d'un mausolée néoclassique dont la porte est fermée par un vieux cadenas rouillé, d'où l'on peut voir un buste de femme en marbre blanc sur le large couvercle de la tombe abandonnée, et attachée au mur, une petite image encadrée d'une femme vêtue de noir.
Sur sa pierre tombale, on peut lire l'inscription :
« Ci-gît
Camille Marie Monfort (1869 - 1896)
La voix qui a charmé le monde ».
Mais certains affirment encore aujourd'hui que sa tombe est vide, que sa mort et son enterrement n'étaient rien d'autre qu'un acte visant à dissimuler son cas de vampirisme, et que Camille Monfort vit toujours en Europe, aujourd'hui à l'âge de 154 ans.
(L'image originale a été retouchée pour extraire les détails. Et non, ce n'est pas un téléphone portable qu'elle tient dans ses mains, mais un petit carnet).
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Une jeune femme, aux formes sublimes, prend un bain de soleil topless dans son jardin. Un piaf se pose sur sa poitrine et, surpris par la chaleur et le velouté des lieux, il se laisse glisser entre les deux seins où il se blottit. Il appelle sa piafette pour lui faire profiter de cet agréable refuge. Un hérisson qui passait par là, demande au piaf : - Mais que faites vous là, tous les deux? - Ben, tu vois bien, nous nichons!
#Une jeune femme#aux formes sublimes#surpris par la chaleur et le velouté des lieux#demande au piaf :#- Mais que faites vous là#tous les deux?#- Ben#tu vois bien#nous nichons!
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L’instinct de vérité
Chapitre 1 -> Mrs Alvarez
»»————- ★ ————-««
Le soleil pointait timidement à l'horizon, enveloppant la ville dans une lumière douce. Dans une petite maison modeste, Maya Alvarez, une jeune femme de 25 ans, se regardait dans le miroir de la salle de bain. Ses longs cheveux bruns, encore humides, encadraient un visage fin aux traits marqués par une fatigue qu'elle dissimulait avec soin. Ses yeux sombres, pourtant captivants, semblaient alourdis par des pensées qu'elle ne laissait jamais transparaître.
Alors qu'elle appliquait une touche de maquillage léger, une voix forte et autoritaire brisa le silence du matin.
— Maya ! Le petit-déjeuner n'est pas encore prêt ?! hurla Clay, son beau-père, depuis la cuisine.
Elle ferma les yeux, inspirant profondément pour contenir l'agacement qui montait en elle. Clay avait cette capacité exaspérante à faire passer ses attentes pour des ordres, comme si la maison entière n'existait que pour répondre à ses besoins.
— J'arrive, lança-t-elle en haussant légèrement la voix, assez fort pour qu'il l'entende mais sans aucune émotion.
Elle attrapa une chemise blanche parfaitement repassée et un jean simple qu'elle enfila rapidement. En nouant ses cheveux en une queue-de-cheval basse, elle se murmura : "Quelques heures seulement... Après ça, je serai à l'université. Loin de lui."
En descendant les escaliers, Maya trouva Clay attablé dans la cuisine, son regard dur et impatient fixé sur elle. Un homme imposant, dans la cinquantaine, aux cheveux gris et au visage marqué par les années. Il portait une chemise légèrement ouverte, révélant une chaîne en or qui scintillait à la lumière du matin. Il avait ce regard perçant qui faisait comprendre qu'il ne tolérait ni excuses, ni retard.
— Tu crois que c'est un hôtel ici ? gronda-t-il. Le petit-déjeuner devrait être sur la table depuis dix minutes.
Maya ne répondit pas. Elle se dirigea calmement vers le frigo, sortant des œufs et des tortillas, habituée à ce rituel matinal imposé. Elle alluma la poêle et commença à cuisiner, ses gestes mécaniques.
— Désolée, Clay, murmura-t-elle finalement, plus pour éviter d'envenimer la situation que par réelle contrition.
Il grogna, mais se calma un peu en sentant l'odeur des chilaquiles qui montait de la poêle. Tout en la surveillant du coin de l'œil, il alluma une cigarette, ignorant totalement le cendrier déjà débordant sur la table.
— Tu pars encore pour tes cours aujourd'hui ? demanda-t-il après une longue bouffée.
— Oui, répondit-elle, son ton neutre.
— Tsss... La psychologie criminelle, hein ? Comme si ça allait te servir à quelque chose. Tu ferais mieux de penser à ta famille plutôt qu'à perdre ton temps à l'université.
Maya posa brutalement la poêle sur le comptoir, son dos raidi par la colère. Elle se retourna pour lui faire face, son regard sombre planté dans celui de Clay.
— Ma famille ? répéta-t-elle, sa voix froide et mesurée. Vous parlez de cette famille qui m'a utilisée comme une pièce sur un échiquier depuis que je suis enfant ? La même famille qui m'a privée de toute chance de vivre normalement ?
Clay haussa un sourcil, visiblement surpris par son audace, mais un sourire narquois étira bientôt ses lèvres.
— Attention à ce que tu dis, petite, grogna-t-il. Tu crois peut-être que tu es trop grande pour apprendre les règles ?
— Non, Clay, rétorqua Maya en avançant d'un pas vers lui, les poings serrés. Je crois juste que je n'ai plus rien à perdre.
Avant qu'elle ne puisse réagir, Clay se leva d'un bond et la saisit brutalement par le bras.
— Tu n'oublieras jamais une chose, gronda-t-il, son visage à quelques centimètres du sien. Personne ne quitte la famille. Jamais.
Puis, dans un geste rapide et brutal, il la poussa violemment contre le mur. Maya heurta le mur avec force, le souffle coupé par l'impact. Elle posa une main sur son épaule, là où la douleur pulsait déjà, mais elle refusa de céder. Son regard noir se fixa sur Clay, sans une larme, sans un mot.
— Clay, arrête ! s'éleva soudain une voix féminine.
Gemma, la mère de Maya, se tenait dans l'encadrement de la porte, les traits déformés par la colère. C'était une femme élégante, aux longs cheveux noirs striés de gris, et aux yeux durs, mais en cet instant, elle semblait prête à exploser.
— Tu as dépassé les bornes, Clay, dit-elle en avançant vers lui. Elle est ta belle- fille, pas ton esclave !
Clay se tourna vers elle, son regard perçant et glacial.
— Fais attention, Gemma, gronda-t-il. Je te conseille de te taire.
— Non, cette fois, je ne me tairai pas ! répliqua Gemma, sa voix tremblante mais déterminée. Je t'ai laissé dominer cette maison bien trop longtemps, mais si tu poses encore une main sur Maya, je te jure que je...
— Que tu quoi ? la coupa Clay, un rictus cruel déformant son visage. Tu penses pouvoir me défier, Gemma ?
Il avança vers elle lentement, chaque pas alourdissant l'atmosphère.
— Défie-moi, et tu verras à quel point je peux être impitoyable, dit-il d'une voix basse, menaçante. Tu sais ce qui arrive à ceux qui pensent pouvoir se dresser contre moi.
Maya, toujours appuyée contre le mur, regarda sa mère avec horreur.
— Maman, murmura-t-elle, ne fais pas ça.
Gemma fixa Clay avec défi, mais l'éclat dans ses yeux vacilla un instant. Elle savait qu'il ne bluffait jamais. Pourtant, elle serra les poings, respirant profondément.
— Si tu penses que je vais continuer à fermer les yeux, tu te trompes, dit-elle finalement.
Clay la toisa un instant, son sourire s'élargissant dangereusement.
— Alors considère ceci comme ton dernier avertissement, Gemma, dit-il en se penchant légèrement vers elle. La prochaine fois, ce ne sera pas seulement une menace.
Un silence pesant envahit la pièce. Finalement, Clay retourna à sa chaise, alluma une nouvelle cigarette, et fit signe à Maya de partir.
— Va à ton université. Mais souviens-toi, petite : tu appartiens à ce monde, que tu le veuilles ou non.
Maya jeta un regard désespéré à sa mère avant de quitter la maison, son cœur battant à tout rompre. Gemma resta immobile, fixant Clay avec une fureur contenue.
Une fois dehors, Maya inspira profondément, le poids de la tension familiale pesant sur ses épaules.
Un jour, tout ça changera, se promit-elle. Un jour, je prendrai maman avec moi, et nous serons libres.
⭒❃.✮:▹ ◃:✮.❃⭒
Maya arriva enfin à l'université, le souffle court et l'esprit encore marqué par la confrontation avec Clay. La douleur à son épaule pulsait à chaque mouvement, mais elle ne laissait rien transparaître. Elle traversa le campus rapidement, son sac à dos serré contre elle, évitant les regards curieux des étudiants déjà rassemblés près des salles de classe.
Alors qu'elle atteignait enfin son bâtiment, une voix familière retentit derrière elle :
— Maya ! Hé, attends-moi !
Elle se retourna pour voir Diego, son meilleur ami, accourir vers elle, un large sourire aux lèvres. Diego, un jeune homme à la peau caramel et aux cheveux noirs soigneusement coiffés, avait cette énergie contagieuse qui illuminait toujours les journées de Maya. Son style décontracté — jean déchiré, t-shirt à motif et veste en cuir — dénotait avec son regard inquiet alors qu'il s'approchait.
— Tu marches comme si t'avais vu un fantôme, lança-t-il en l'enlaçant brièvement par les épaules avant de reculer pour l'examiner.
Maya grimaça légèrement au contact.
— Tout va bien ? demanda-t-il immédiatement en fronçant les sourcils, son regard fixant son épaule.
Elle hocha rapidement la tête, esquissant un sourire nerveux.
— Oui, oui. J'étais en retard ce matin, alors je me suis un peu... dépêchée, et je me suis pris la porte. Rien de grave.
Diego croisa les bras, son expression incrédule.
— Tu t'es pris la porte ? répéta-t-il, une note de scepticisme dans la voix. Maya, sérieusement ?
Elle détourna le regard, ajustant la sangle de son sac comme pour se donner une contenance.
— Oui. C'est tout, ok ? Je suis juste maladroite quand je suis pressée.
Mais Diego n'était pas dupe. Il la connaissait mieux que quiconque. Il attrapa doucement son bras, l'obligeant à le regarder.
— Maya, arrête. Tu penses vraiment que je vais gober ça ? Qu'est-ce qui s'est passé ce matin ?
Son ton était ferme, mais pas accusateur. Il y avait dans ses yeux une inquiétude sincère qui fit vaciller la façade de Maya. Elle se mordit la lèvre, détournant à nouveau le regard.
— Diego, laisse tomber, murmura-t-elle.
— Non, je ne laisserai pas tomber, insista-t-il. Pas avec toi. Tu peux tout me dire, tu le sais, non ?
Elle sentit ses yeux picoter, mais elle refusa de céder. Elle inspira profondément et força un sourire.
— C'est rien, je te jure. Maintenant, on va en cours avant d'être encore plus en retard, ok ?
Diego soupira, visiblement frustré, mais il n'insista pas davantage.
— D'accord, répondit-il finalement, levant les mains en signe de reddition. Mais si tu veux parler, je suis là. Toujours.
Elle hocha la tête, reconnaissante malgré tout pour son soutien silencieux.
Alors qu'ils entraient dans le bâtiment, Diego lui lança un regard de côté, l'observant attentivement.
Un jour, tu me diras ce qui se passe vraiment, pensa-t-il, déterminé à ne pas la laisser affronter ses problèmes seule.
Maya entra dans la salle de classe aux côtés de Diego, tâchant de masquer la douleur qui irradiait encore dans son épaule. La pièce, spacieuse et baignée d'une lumière naturelle, était déjà remplie d'étudiants installés derrière leurs bureaux, feuilletant leurs notes ou discutant à voix basse.
Au centre de la pièce, Emily Prentiss, leur professeure de psychologie criminelle, se tenait droite, un dossier sous le bras. Élégante et imposante dans sa tenue noire impeccable, elle observait les élèves entrer, son regard perçant analysant chaque détail avec une attention presque imperceptible.
Quand Maya passa devant elle pour rejoindre sa place habituelle au troisième rang, Emily nota immédiatement son expression crispée et son allure tendue. Elle fronça légèrement les sourcils, mais ne fit aucun commentaire.
Maya s'installa à côté de Diego, sortant ses affaires de son sac avec des gestes mesurés. Elle leva les yeux vers le tableau, tentant de se concentrer, mais elle sentit le regard d'Emily sur elle. Une chaleur étrange monta en elle, mélange de gêne et de réconfort.
Emily détourna finalement les yeux, feignant de ne rien remarquer, et posa son dossier sur le bureau.
— Bien, commença-t-elle d'une voix calme mais ferme, aujourd'hui, nous allons explorer une affaire qui a marqué l'histoire du profilage criminel.
Elle tapa légèrement sur son ordinateur, et une image apparut sur le tableau blanc numérique : un extrait d'article sur une série de meurtres non résolus. Les élèves se redressèrent, intrigués.
— L'affaire que vous voyez ici est connue sous le nom de "Les meurtres du Cavalier Noir". Un tueur en série opérant dans les années 90, utilisant des méthodes sophistiquées pour dissimuler son identité. Nous allons décortiquer son profil psychologique en nous basant sur les indices laissés sur les scènes de crime.
Maya fronça les sourcils, son intérêt piqué malgré son mal-être. Elle attrapa son stylo et commença à prendre des notes, tentant d'ignorer la douleur qui rendait chaque mouvement plus difficile.
Emily continua son cours, passant en revue les détails des scènes de crime, les comportements du tueur et les erreurs commises par les enquêteurs à l'époque. Tout en parlant, elle balaya la salle du regard, notant les réactions de ses élèves.
Quand ses yeux se posèrent à nouveau sur Maya, elle vit que la jeune femme suivait avec attention, son regard intense fixé sur les informations projetées. Mais quelque chose clochait. Il y avait une tension palpable dans ses traits, comme si elle luttait contre une douleur physique ou une émotion qu'elle ne voulait pas dévoiler.
Emily marqua une pause, réfléchissant un instant. Elle était tentée de demander directement à Maya si tout allait bien, mais elle se ravisa. Si Maya voulait parler, elle viendrait à elle. Pour l'instant, Emily se contenterait d'observer.
— Bien, dit-elle en s'appuyant sur son bureau. Avant que nous ne poursuivions, je vais vous donner un devoir surprise.
Un murmure d'exaspération parcourut la salle.
— Ne râlez pas, c'est une simple analyse, ajouta Emily avec un sourire en coin. Vous allez choisir un profil criminel étudié en classe, et rédiger une hypothèse sur ses motivations et son mode opératoire. C'est à rendre d'ici la fin de la semaine.
Maya grimaça légèrement, mais ne dit rien. Diego, à côté d'elle, lui donna un léger coup de coude et chuchota :
— C'est quoi, son délire avec les surprises ?
Maya haussa les épaules, feignant un sourire.
Emily, qui observait discrètement l'échange, nota la grimace fugace de Maya. Elle essaie de cacher quelque chose, pensa-t-elle.
— Maya, Diego, tout va bien ? demanda Emily d'un ton neutre mais direct.
Les deux jeunes sursautèrent légèrement.
— Oui, oui, répondit Diego rapidement. On réfléchit juste à quel criminel choisir, prof.
Emily les fixa un instant, son regard s'attardant sur Maya, avant de hocher la tête et de reprendre son cours.
Mais dans son esprit, elle savait qu'elle garderait un œil sur cette jeune femme. Quelque chose n'allait pas, et Emily était déterminée à comprendre quoi.
Emily s'approcha de Maya, feignant de vérifier les travaux des élèves. Lorsqu'elle atteignit sa table, elle s'arrêta, posant une main légère sur le bord du bureau.
— Ça avance ? demanda-t-elle doucement, son ton plus bienveillant que celui qu'elle utilisait d'habitude en classe.
Maya releva la tête, légèrement prise au dépourvu.
— Oui, ça va, répondit-elle rapidement, esquivant le regard de sa professeure.
Emily fronça légèrement les sourcils, sondant l'expression de Maya. Elle remarqua les cernes sous ses yeux, les épaules tendues, et ce geste presque imperceptible lorsqu'elle ajusta son bras, comme pour protéger quelque chose.
— Vous semblez distraite aujourd'hui, ajouta Emily d'un ton neutre, mais ses yeux trahissaient une inquiétude sincère. Est-ce que tout va bien ?
Maya serra un instant son stylo entre ses doigts, cherchant une réponse rapide.
— Je suis juste fatiguée, répondit-elle finalement, sa voix presque un murmure.
Emily plissa les yeux, n'y croyant pas une seconde. Elle s'accroupit légèrement pour se mettre à hauteur de la jeune femme, rendant la conversation plus intime.
— Maya, s'il vous plaît... parlez-moi, dit-elle doucement mais fermement.
Maya releva les yeux, croisant enfin le regard d'Emily. La sincérité dans la voix de sa professeure la déstabilisa.
— Je... tout va bien, insista Maya, sa voix tremblant légèrement. Je suis juste un peu stressée avec les cours, c'est tout.
Emily la fixa un instant, cherchant à percer cette barrière qu'elle sentait si solidement érigée. Mais elle savait aussi qu'insister davantage risquait de la faire se refermer encore plus.
— Très bien, répondit Emily finalement, se relevant lentement. Mais sachez que si vous avez besoin de parler, mon bureau est toujours ouvert. Et ce n'est pas une formule de politesse.
Maya hocha légèrement la tête, mais elle détourna rapidement les yeux pour se replonger dans son travail.
Emily s'éloigna, mais elle ne put s'empêcher de jeter un dernier coup d'œil à Maya. Elle avait vu bien des personnes dans sa carrière porter ce même masque de "tout va bien". Et elle savait que derrière ce sourire forcé se cachaient souvent des vérités douloureuses.
⭒❃.✮:▹ ◃:✮.❃⭒
Emily se tenait seule dans son bureau, ses pensées tourbillonnant autour de Maya. Depuis quelques jours, elle ne cessait de remarquer des signes inquiétants chez l'étudiante : sa fatigue apparente, son regard souvent perdu dans le vide, ses réponses devenant plus évasives. Ce n'était pas le comportement d'une simple élève épuisée par la charge de travail. Il y avait quelque chose d'autre, quelque chose de plus sombre qui la poussait à s'inquiéter.
Elle se leva brusquement de sa chaise et saisit son téléphone. Il fallait qu'elle agisse, qu'elle découvre ce qui se passait. Emily composa rapidement le numéro de Garcia.
— Garcia, c'est Emily, dit-elle après que l'appel fut pris. J'ai besoin de ton aide.
— Bien sûr, Emily, répondit immédiatement Garcia, sa voix toujours enthousiaste. Qu'est-ce qui se passe ?
— C'est à propos de Maya Alvarez, l'une de mes étudiantes. Je m'inquiète pour elle. Ces derniers temps, je ne la sens vraiment pas bien. Elle semble... perdue, fatiguée, et elle cache quelque chose. Je veux savoir si tu peux me trouver des informations sur elle.
Garcia sembla réfléchir un instant avant de répondre.
— Ok, je vais m'en occuper. Donne-moi un peu de temps et je vais voir ce que je peux trouver.
Quelques minutes plus tard, Emily se tenait debout, en attendant les résultats de Garcia. Elle se mordillait la lèvre, son esprit de profiler n'arrêtant pas de faire des hypothèses sur ce que Maya pouvait traverser. Pourquoi était-elle si secrète ? Pourquoi semblait-elle se cacher derrière un masque de normalité ?
Son téléphone vibra. C'était Garcia.
— Emily, c'est moi. J'ai vérifié toutes les bases de données et les archives publiques, mais... il y a un énorme problème. Je ne trouve absolument rien sur Maya Alvarez. Aucune trace sur les réseaux sociaux, pas de comptes Instagram, Facebook, rien du tout. Aucun article, aucune mention dans des archives publiques. Rien. C'est comme si elle n'existait pas.
Emily se figea, le cœur serré par l'inquiétude.
— Rien ? Tu es sûre ? Pas la moindre trace d'elle dans les archives ou les bases de données ?
— Rien. Zéro. C'est comme si elle était effacée de l'existence, ou comme si elle n'avait jamais existé sur Internet. C'est... vraiment étrange, Emily.
Un frisson parcourut la colonne vertébrale d'Emily. Elle avait bien vu que quelque chose n'allait pas avec Maya, mais là, cette absence totale d'informations la mettait dans une position inconfortable. Pourquoi effacer son existence ainsi ?
— D'accord, merci, Garcia. Tiens-moi au courant si tu trouves autre chose. Je vais essayer de découvrir où cette histoire nous mène.
Emily raccrocha, les yeux fixés sur son téléphone, une profonde inquiétude se creusant dans son esprit. Il y avait quelque chose de profondément étrange dans le fait que Maya semble être une ombre, une personne dont la présence n'est même pas enregistrée. Peut-être qu'elle était liée à quelque chose de bien plus dangereux qu'Emily n'avait imaginé. Elle savait que ce n'était qu'une question de temps avant qu'elle ne découvre la vérité, mais chaque minute semblait plus lourde que la précédente.
Elle se laissa tomber sur sa chaise, perdue dans ses pensées. Elle était décidée à aider Maya, à comprendre ce qui se cachait derrière ce mystère. Mais elle savait désormais que les réponses seraient bien plus complexes et sombres qu'elle ne l'aurait cru.
⭒❃.✮:▹ ◃:✮.❃⭒
Maya rentra chez elle en fin d'après-midi, le cœur lourd et l'esprit encombré de ses pensées. Elle avait passé la journée à essayer de dissimuler la douleur qui la rongeait, mais à chaque instant, le souvenir de la scène de ce matin avec Clay revenait la hanter. Elle savait que quelque chose n'allait pas, que sa mère savait bien plus qu'elle ne le disait. Le silence entre elles était de plus en plus insupportable, et aujourd'hui, elle ne pouvait plus se contenter des excuses habituelles.
Elle entra dans la maison en silence, l'odeur de la cuisine flottant dans l'air, mais son regard se porta immédiatement sur sa mère, Gemma, qui était assise à la table, l'air fatigué, les traits marqués par le stress. Il y avait quelque chose de perturbant dans son attitude, comme si elle cachait quelque chose de plus grave qu'elle ne voulait bien admettre.
Maya s'approcha d'elle, sa voix brisée par la colère et la frustration :
— Maman... pourquoi tu restes encore avec Clay ?
Gemma leva les yeux, comme si elle était soudainement sortie de ses pensées. Son regard était fuyant, et Maya le remarqua immédiatement. Elle avait l'impression que sa mère essayait de dissimuler la vérité, comme si elle avait peur de lui dire ce qu'il en était réellement.
— Maya, tu sais, ce n'est pas aussi simple que ça, dit Gemma en détournant les yeux. Clay... il n'est pas parfait, mais il a ses raisons, tu comprends ? Il travaille dur, et il... il a fait beaucoup pour nous.
Maya sentit son cœur se serrer. Les mots de sa mère sonnaient faux, comme une excuse trop souvent répétée. Elle savait qu'il y avait bien plus derrière cette histoire, quelque chose de bien plus sombre qu'une simple explication facile.
— Non, maman, je ne comprends pas. Je ne comprends pas pourquoi tu le laisses nous traiter comme ça. Pourquoi tu fais semblant que tout va bien ?
Gemma ne répondit pas tout de suite. Elle semblait chercher les mots, mais elle les trouva à peine. Maya, les poings serrés, sentit une colère sourde monter en elle. Elle savait que sa mère lui mentait, et ce mensonge lui faisait encore plus mal que tout le reste.
— Maman, je sais que tu ne me dis pas tout. Je sais que tu as peur de quelque chose, mais... ne me cache pas la vérité. Si tu as besoin de partir, si tu veux qu'on parte, on le fera. Mais ne continue pas à nous laisser vivre dans cette situation...
Gemma baissa les yeux, et pour un moment, Maya crut qu'elle allait enfin tout avouer. Mais au lieu de cela, Gemma murmura doucement :
— Ce n'est pas aussi facile, Maya. Tu ne comprends pas tout. Il faut que tu fasses confiance à ton père. Il... il fait ce qu'il peut.
Les mots de sa mère lui brûlèrent la gorge, mais Maya ne pouvait plus écouter. Elle se tourna et partit sans un mot de plus, se dirigeant vers sa chambre. Elle savait que sa mère ne dirait jamais la vérité, pas tant qu'elle n'aurait pas pris la décision de la confronter avec les faits. Mais pour l'instant, elle n'avait pas la force de continuer cette conversation. Elle se jeta sur son lit, le cœur lourd de colère et de confusion.
Pourquoi sa mère restait-elle avec Clay ? Pourquoi l'acceptait-elle, malgré tout ce qu'il faisait ? Maya ne savait pas quoi penser. Tout ce qu'elle savait, c'est que sa vie devenait de plus en plus insupportable, et que chaque jour passé avec Clay et sa mère était un jour de plus perdu à essayer de comprendre un monde de secrets et de mensonges.
Maya s'assit sur le bord de son lit, le téléphone dans la main, le regard perdu dans le vide. La journée avait été longue, pleine de tensions, et elle avait besoin de se distraire. Elle déverrouilla son téléphone et chercha la conversation avec Diego, son ami de longue date. Ils s'étaient connus pendant des années, et bien qu'ils n'aient pas toujours été très proches, Diego avait toujours été une sorte de soutien pour elle.
Elle appuya sur l'icône de chat et commença à taper un message.
Maya : "Salut, ça va ?"
Quelques secondes plus tard, son téléphone vibra. Diego avait répondu presque instantanément, comme toujours.
Diego : "Salut ! Comment tu vas, vraiment ? Tu sembles un peu distante ces derniers temps."
Maya sourit un peu. Diego connaissait bien son comportement, il savait quand quelque chose n'allait pas. Mais elle ne voulait pas qu'il s'inquiète davantage. Elle n'avait pas l'énergie de parler de ses soucis, surtout pas maintenant.
Maya : "Ça va, je suis juste fatiguée avec les cours et tout ça, tu sais."
Elle appuya sur envoyer et posa son téléphone sur le lit. Mais Diego ne tarda pas à répondre.
Diego : "Je comprends, mais si jamais tu as besoin de parler, je suis là. Tu sais que tu peux compter sur moi, peu importe ce qui se passe."
Maya relut son message, son cœur se serra légèrement. Diego était un bon ami, mais elle n'était pas prête à lui confier la vérité sur ce qui se passait vraiment dans sa vie. Elle se contenta de répondre de manière simple, comme pour détourner l'attention.
Maya : "Merci, je sais que je peux compter sur toi. Je vais bien, vraiment."
Diego : "T'es sûr ? Parce que je vois bien que quelque chose te tracasse."
Elle prit une profonde inspiration, ne sachant pas comment répondre à cela. Mais elle savait que si elle disait trop, Diego poserait des questions qu'elle n'était pas prête à affronter. Alors, elle répondit simplement.
Maya : "Oui, tout va bien. Ne t'inquiète pas."
Quelques secondes s'écoulèrent avant que Diego ne réponde.
Diego : "Ok, si tu le dis. Mais n'oublie pas, je serai toujours là pour toi."
Maya ferma les yeux en lisant ces mots. Elle savait qu'il était sincère, mais elle n'était pas prête à l'impliquer davantage dans ses problèmes. Elle savait aussi qu'elle avait pris l'habitude de mentir, même aux personnes qui comptaient le plus pour elle.
Maya : "Merci, Diego. Tu es un bon ami."
Elle posa le téléphone sur son lit et se coucha, le regard fixé sur le plafond. Une partie d'elle était soulagée d'avoir échangé quelques mots avec Diego, mais une autre partie d'elle se sentait de plus en plus isolée. Elle savait que les choses se compliquaient, et elle ne savait pas comment elles allaient évoluer. Mais pour l'instant, elle devait garder ses secrets, même si cela la rongeait à l'intérieur.
Maya se coucha sur le dos, son téléphone toujours posé sur le lit à côté d'elle. Elle sentait une lourde fatigue s'abattre sur elle, mais elle n'arrivait pas à éteindre son esprit. Son regard se posa sur son téléphone, et elle se redressa légèrement pour envoyer un autre message à Diego. Elle avait besoin de parler de quelque chose de plus léger, quelque chose pour oublier un instant tout ce qui se passait autour d'elle.
Maya : "Tu as vu le devoir surprise qu'Emily a donné aujourd'hui ? Sérieusement, c'était n'importe quoi."
Elle attendit un moment avant de recevoir la réponse de Diego, qui n'était jamais avare de commentaires.
Diego : "Haha, ouais, c'était carrément un piège. Mais je suppose que c'est pour tester nos limites, non ? Elle veut voir comment on réagit sous pression."
Maya sourit en lisant sa réponse. C'était typiquement Diego : toujours à prendre les choses avec humour, même quand les situations étaient tendues. Mais ce devoir, ce n'était pas simplement un test académique pour elle. Elle savait que Prentiss avait une façon particulière de vouloir tester ses élèves, et elle se demandait si cela allait au-delà du simple cadre scolaire. Peut-être qu'Emily était plus attentive à ses élèves qu'elle ne voulait le laisser croire.
Maya : "Ouais, c'est ça. Mais je me demande pourquoi elle nous fait ça, surtout à nous, les plus jeunes."
Diego répondit rapidement, comme s'il avait réfléchi à la question.
Diego : "Peut-être qu'elle pense qu'on est plus aptes à gérer des situations stressantes. Enfin, je suppose que c'est son truc, de nous pousser à fond pour voir jusqu'où on peut aller."
Maya se sentit un peu tendue à l'idée qu'Emily avait peut-être remarqué son stress. Elle avait bien vu le regard insistant d'Emily pendant le cours, comme si quelque chose n'allait pas. Comme si Prentiss savait qu'il y avait plus à son histoire qu'une simple fatigue. Mais elle n'avait pas envie de l'admettre, ni même d'y penser plus longuement.
Maya : "Ouais, tu as raison. C'est juste que... je sais pas, elle me met un peu mal à l'aise parfois. Elle est toujours à l'affût, tu ne trouves pas ?"
Elle envoya le message sans vraiment réfléchir à ce qu'elle disait. C'était une pensée qui lui trottait dans la tête depuis un moment, mais elle n'en avait jamais parlé à personne. Pas même à Diego.
Diego répondit presque instantanément.
Diego : "C'est clair. Elle est super observatrice, mais c'est ce qui fait d'elle une bonne prof. Elle repère tout, même ce qu'on essaie de cacher."
Maya se mordilla la lèvre, réfléchissant à la dernière phrase de Diego. Était-ce de cela qu'il s'agissait ? Emily savait qu'il y avait quelque chose qu'elle cachait. Et c'était peut-être ça qui la mettait mal à l'aise.
Maya : "Ouais, c'est vrai. Je pense qu'elle sait déjà tout sur nous."
Elle secoua la tête, essayant de balayer cette idée, mais Diego sembla vouloir aller plus loin.
Diego : "Ouais, et je suis sûr qu'elle te garde un œil particulier. Elle doit bien voir que tu es plus... disons, calme et concentrée que les autres."
Maya sentit son cœur s'emballer. Elle savait que Diego n'était pas loin de la vérité, mais elle n'avait pas envie de l'admettre. Surtout pas à lui. Elle dévia la conversation pour ne pas avoir à aborder la question d'Emily.
Maya : "Arrête, c'est juste que je suis plus sérieuse que vous tous."
Diego haussait les épaules, il n'était pas dupe.
Diego : "Hé, ce n'est pas pour te vexer, mais je pense que c'est Emily qui te garde à l'œil. Ça fait un moment que je te vois te concentrer à fond, même quand on rigole avec les autres. Tu sais, je crois que tu lui plais bien, Maya."
Maya déglutit difficilement, son cœur battant plus vite. Diego avait encore frappé juste, et ça la perturbait. Pourquoi ne l'avait-elle jamais remarqué avant ? Était-ce possible ? Une partie d'elle se sentait déstabilisée par cette idée. Mais ce n'était pas le moment d'y penser.
Maya : "Tu rigoles ?! Emily ? C'est... c'est pas possible."
Elle essaya de détourner la conversation, mais elle sentait qu'il avait raison. Il y avait quelque chose de plus entre elle et Emily. Mais elle n'était pas prête à le reconnaître, encore moins à en parler ouvertement.
Diego : "Je rigole pas. Je la connais, je l'ai observée en cours. Elle te regarde d'une façon différente, un peu... attentive. Tu vois ce que je veux dire ?"
Maya se mordit la lèvre, se sentant complètement prise au piège. Diego avait raison, mais elle ne voulait pas l'admettre. Pas maintenant. Pas dans cet état d'esprit.
Maya : "Bon, arrête de dire des trucs comme ça. C'est rien. C'est juste... c'est juste que je suis stressée par tout ce qui se passe."
Diego : "Je comprends. Mais je pense que si jamais tu as un problème avec elle... ou si tu veux en parler, tu sais que je suis là."
Maya ferma les yeux et posa son téléphone sur le lit. Diego était sincère, mais la situation était trop compliquée. Elle ne savait même pas par où commencer. Ses pensées étaient embrouillées, et parler de tout ça avec lui ne ferait qu'empirer les choses.
Elle se tourna sur le côté, essayant de chasser ses pensées. Mais malgré tout, l'idée qu'Emily la regardait d'une manière différente la hantait. Qu'est-ce que cela signifiait pour elle ? Et surtout, comment gérer cette situation avec Clay et sa famille ?
Elle se frotta le visage, épuisée, et se laissa finalement glisser dans un sommeil agité.
⭒❃.✮:▹ ◃:✮.❃⭒
La nuit tombait sur Washington, enveloppant la ville d'une obscurité glaciale. L'air était lourd et mordant, une brume fine flottait sur les rues désertes, éclatée par les réverbères tremblants. Le silence était presque oppressant, mais ce calme n'était qu'une illusion, une couverture pour le mal qui rôdait. Un cri perça la nuit, suivi de l'écho lointain d'une sirène.
Dans une ruelle sombre, près du quartier historique de Georgetown, un corps gisait, abandonné. La victime, un homme d'une quarantaine d'années, était allongée sur le béton froid, ses yeux grands ouverts, figés dans l'horreur de sa dernière respiration. Les marques sur son cou étaient inconfondables. Une signature macabre, trop familière. Le mode opératoire rappelait le tueur en série notoire qui avait terrorisé la ville il y a des années : le "Chasseur de la Nuit".
Les policiers s'étaient rapidement regroupés autour de la scène, une équipe d'enquêteurs nerveuse et tendue. Le détective Harris, un vétéran des crimes violents, se pencha sur le corps, son regard scrutant chaque détail. "C'est lui", murmura-t-il. Ses mains tremblaient légèrement, mais il ne pouvait se permettre de montrer de la faiblesse. Le tueur était de retour, et cette fois, il ne laissait rien au hasard.
L'atmosphère était glaciale non seulement à cause de la température, mais aussi à cause de la tension qui montait, le poids d'un mystère insondable. Et au fond de lui, Harris savait que ce meurtre n'était que le début. Il n'y avait aucun doute : le tueur imita le passé avec une précision effrayante. Un avertissement, une signature, un jeu mortel dans les ombres de la nuit. Le "Chasseur de la Nuit" était de retour.
‿︵‿︵ʚɞ『FIN』ʚɞ‿︵‿︵
Et voilà, c'est la fin de ce chapitre. J'espère que vous l'avez apprécié. N'hésitez pas à partager vos impressions, positives ou négatives, je les accueille avec plaisir.
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Grand grand plaisir de lecture.
Je n’avais pas envie de les quitter, ni Natàlia, ni Silvia, ni Marius, ni Joan, ni Encarda, bref, toute cette famille espagnole compliquée qui vivait sans le savoir les dernières heures du franquisme.
Roman catalan débordant de vie. Galerie de personnages plus vrais que vrais, avec des scènes incroyables (la séance Tupperware des femmes au foyer qui dégénère), drôles ou émouvantes.
Natàlia est partie de Barcelone en 1962, très jeune. On comprend que c’est en raison d’un conflit avec son père (happé par le dogme puritain de l’époque qui condamne tout dérapage), et d’un grand désir de liberté. Elle a vécu à Paris, puis Londres, s’est forgé son lot d’expériences, sa façon de se construire une féminité bien à elle, qui l’empêchera d’être corsetée comme la femme de son frère Lluis par exemple, malade de frustration. Elle revient douze ans plus tard, en 1974, et constate que ses proches ont changé, par exemple, sa tante, qui a perdu son mari s’en trouve étonnamment apaisée, libérée, que la bonne de la famille, assez âgée, a décidé de se marier… un vent de liberté se lève, imperceptiblement.
Ce qui est génial dans ce livre, c’est l’énergie qui circule, la vie même. Les dialogues, piquants, sont insérés dans la narration, englobés, et ça rend le récit plus vif, enlevé, rythmé de paroles qui sonnent justes.
On découvre des pans des histoires de plusieurs personnages, dont celle du père de Natàlia, et de son mariage d’amour avec l’étonnante Judit. Rien n’est lisse, simple, ni caricatural, tout est mouvement, paradoxe, surprise. Voilà sans doute pourquoi on s’attache vite et fort aux personnages.
Natàlia n’écrase personne avec des idées arrêtées sur l’existence, elle écoute, simplement, observe. D’ailleurs elle est photographe. Elle est finalement le personnage révélateur, comme un bain d’étape dans le développement d’une photo, des personnalités autour d’elle. Son exil a contrarié ou a été condamné, ou jalousé. Mais son retour, sans changer radicalement la donne, aide à des ajustements, des épiphanies. Et le secret qu’on voulait lui cacher, une fois révélé, donne lieu à un bel épilogue, qui célèbre l’amour et le pardon.
Superbe livre, qui a été traduit très récemment en français pour la première fois par les éditions La Croisée, qui décidément, ont le chic pour dénicher des voix fortes dans la littérature de partout.
#littérature#livres#litterature#roman#livre#éditions la croisée#roman catalan#le temps des cerises#Montserrat Roig
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Awa (le mythe d’Eve revisité)
Elles entrèrent dans une salle immense au centre du temple. Un prêtre leur demanda de se positionner en cercle autour de lui. Puis, il se retira laissant au milieu un panier en osier, dont le couvercle était attaché à une corde. Il recula du cercle d’une dizaine de pas et, d’un tapement répété de ses mains, il mit fin au silence régnant.
La corde souleva le couvercle. Chacune des filles retint sa respiration. Elles attendirent les jambes raidies par la peur, la poitrine gonflée par une promesse divine. Elles avaient peur de leur sort, car tout pouvait basculer d’un moment à l’autre. Soudain, le panier remua légèrement. La tête d’un animal surgit…c’était un serpent !
Sa langue fourchue se promenait dans l’air. Il avait les caractéristiques du cobra. Le serpent venimeux sortit de sa boite et commença à zigzaguer cherchant à sortir du cercle. Les jeunes femmes demeurèrent immobiles, certaines joignirent leurs mains afin de prier le destin, d’autres fermèrent les yeux espérant qu’il s’approcherait ou pas. Elles avaient peur car il suffisait d’un cracha empoisonné de cet animal, pour mourir dans d’atroces convulsions. Le serpent tourna plusieurs fois autour du panier avant de se décider.
Il se dirigea vers une jeune femme à la peau blanche et aux cheveux noirs. Elle ne savait quoi faire. Elle ne devait pas courir, ni fuir et devait accepter son sort. Le cobra approcha de ses pieds nus. Elle sentit la peau écailleuse frôler ses chevilles. Sa langue siffla. Il leva la tête et attendit patiemment.
- Il t’a choisi et tu dois accepter, annonça le prêtre.
Dès lors, elle comprit qu’elle devait se baisser, tendre la main et laisser le serpent glisser, enrouler son bras pour se défier du regard. Elle avait peur mais ses yeux noirs ne montrèrent rien de cette peur viscérale. Bien au contraire, elle sourit lorsqu’il sortit sa langue pour humer son parfum. Alors, doucement le cobra remonta son épaule et s’installa autour de son cou telle une écharpe. A ce moment, les autres prêtresses s’agenouillèrent devant l’élue avant de quitter la salle puis de revenir pour la préparer à accueillir Ishtar.
Elle prit un bain de lait. Son corps ainsi que ses longs cheveux, furent recouverts d’huile parfumée. Elle passa la nuit à chanter et écouter des prières pour la déesse. Pendant ce temps, le prêtre s’amusait à regarder le cobra en train d’avaler une souris. Jeu étrange de la vie et de la mort. Pourtant, il était le seul à connaitre le secret du serpent : on avait méticuleusement retiré ses crochets venimeux.
Durant toute la nuit, elle inhala les vapeurs de produits hallucinogènes. Elle dansa trouvant ainsi la transe. Guidée par les prêtres, elle visita le monde des morts et celui des dieux. Elle rencontra enfin la déesse et accepta que cette dernière la pénètre. La transe transforma son esprit. Elle était devenue d’essence divine.
Le soleil était déjà bien haut dans le ciel lorsqu’elle sortit. Elle était nue, uniquement habillée du serpent qui enroulait son cou. Elle marchait empruntant les rues les plus grandes. Tout le monde détournait le regard ou tournait le dos à son passage. Personne ne voulait subir la loi du serpent qui gesticulait lentement sur les épaules de la belle. Cette dernière marchait fièrement, la tête haute, la poitrine bombée, le pubis rasé. Son parfum embaumait la rue. Toutefois, le peuple comprit l’événement. Alors, les gens attendaient qu’elle s’éloigne, pour se regrouper et la suivre sans oser l’approcher ni la regarder, regarder son dos ou ses fesses dénudées.
Aucun des gardes du palais ne furent au courant de sa venue. Ils virent la jeune femme venir vers eux. Ils reconnurent la déesse grâce à la présence du serpent. Alors, le chef ordonna qu’on ouvrit la porte pour laisser entrer la reine des dieux. Ils fermèrent les paupières lorsqu’elle arriva à leur hauteur. Ils pouvaient entendre le cobra siffler. Rayonnante, elle entra dans la forteresse et suivit un chemin qu’elle connaissait déjà, parce qu’Ishtar était déjà venue dans les jardins de ce palais.
Rien n’inquiéta le jeune roi. Il marchait à côté du prêtre, tout en discutant des dernières tablettes lues. Il aimait cette idée de graver dans l’argile des signes qui, permettront aux générations futures de se souvenir des exploits de leurs ancêtres. Il marcha sans réaliser qu’ils se dirigeaient vers la terrasse sacrée. Il gratta sa barbe naissante, puis il s’assit sur un banc installé sous un arbre.
Ils discutaient encore lorsqu’elle fit irruption dans le jardin suspendu. Dès lors, il se leva en découvrant la jeune femme nue. Il tourna la tête afin d’obtenir des explications auprès du prêtes, mais ce dernier ne répondit qu’en souriant. Soudain, il entendit les clameurs, il aperçut son peuple au pied du rempart. Les gens attendaient le début du rite.
- Je suis Ishtar, reine des dieux et mère des vivants ! Je suis l’épouse des rois, dit-elle.
Elle avança vers le roi. Le serpent redressa la tête et sa langue effleura la joue du jeune homme. Il recula d’un pas, effrayé par l’animal. Toutefois, elle avança encore. Elle sentait bon. Elle attrapa un fruit en forme de poire pendu à une branche, avant de la tendre vers l’homme. Il ne savait que faire. Il hésita puis, il accepta l’offrande. Il croisa le regard du prêtre attentif au moindre de ses gestes. Dès lors, il croqua la poire, mâchant difficilement car elle n’était pas mure. Aussitôt le guide spirituel leva les bras tout en criant :
- Notre roi est prêt à devenir divin !
Pendant que le serpent se faufilait dans l’arbre, une clameur enthousiaste envahit la cité d’Ur. Toute la population attendait ce sacre. Ils admirèrent leur roi finissant de manger le fruit, pendant que la prostituée sacrée l’emmenait vers l’autel. Le prêtre suivait derrière eux, jouant le rôle du Dieu Ae. Il était comme un père pour le jeune homme. Il voulait que la tradition continue. Le couple stationna devant le piédestal. Il se sentit gêné par la présence du peuple. Elle s’agenouilla, le déshabilla avant de malaxer ses parties intimes. Sa main branlait son sexe jusqu’à le durcir au grand plaisir des citoyens. Leur roi était vigoureux !
Une fois prêts, elle se cambra sur la table de pierre, écartant les jambes afin d’offrir à sa vue sa fente rose et épilée. Il approcha et sans attendre, il pénétra la jeune femme. Ses va-et-vient allaient au rythme des cris de joie du peuple. Il ne l’entendait pas. Il ne savait pas si elle prenait plaisir. Qu’importe, car son rôle était de faire de lui un être immortel, un Dieu.
Le prêtre observait chaque détail de la scène. Il n’y avait aucune règle, aucun interdit dans l’acte. Alors, il laissa l’homme caresser les épaules de sa femme. Il accepta qu’il se penche pour embrasser son cou. Il autorisa la femme à relever la tête pour l’inviter à l’embrasser. Elle se montrait comblée. Et quand vint enfin la jouissance absolue, lorsque le roi râla en éjaculant dans le vagin chaud de sa concubine, le prêtre leva encore les bras pour annoncer la bonne nouvelle aux habitants de la cité :
- Dumusi, notre dieu-roi est enfin de retour !
Même s’il n’appréciait pas le rituel, il se devait d’accepter d’y prendre part. Il resta quelques secondes affalé sur le dos de la jeune femme. Puis, il se leva, le sexe pendant et englué. Il se rhabilla et quitta immédiatement le jardin sous acclamation de son peuple. Un peu perdue, elle accompagna son maitre. Le prêtre rejoignit le couple. Il invita la prostituée à rester pour continuer le rituel. Puis, il retourna dans le jardin. Le peuple était déjà retourné à ses occupations. Il chercha dans l’arbre, retrouva le serpent qui se laissa attraper facilement. Une fois avoir quitté le jardin, il confia le cobra à un domestique, le plaçant dans un panier en osier. Puis, il retourna dans le temple pour annoncer la bonne nouvelle à ses convives.
Elle n’était pas son genre, pourtant il la trouva attirante. Elle restait étendue sur le lit, attendant qu’il la rejoigne. Pour finir le rituel, ils devaient passer des jours et des nuits entières à faire l’amour. Il savait qu’elle repartira comme elle était venue. Elle n’était qu’une image, une prostituée sacrée et possédée par l’âme d’une déesse. Cependant, il voulut savoir :
- Comment t’appelles-tu ? murmura-t-il. Je parle de ton vrai nom pas celui d’Ishtar.
- Awa, répondit-elle. Et toi, tu n’es pas réellement dumusi ?
- Mon vrai nom est Adamas.
Elle sourit. Elle le trouvait beau avec ses cheveux bouclés et sa barbe de quelques semaines. Elle tendit les bras pour accueillir le jeune roi.
- Alors Adamas, amusons-nous ! Car après, il te faudra descendre aux Enfer et surmonter les pires tortures au nom de notre cité.
Il déglutit. Il connaissait aussi cette partie pénible dans laquelle il serait battu et fouetté devant la population. Il devait mourir pour renaitre et ainsi montrer qu’il était un vrai dieu. En attendant, il enlaça Awa avant de se caresser mutuellement. Elle sentait bon. Peut-être la choisira-t-il comme reine plus-tard ? C’était aussi le rôle des prostituées sacrées d’Ishtar que de devenir reine.
Alex@r60 – février 2023
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