#Jean-Marie Gustave Le Clézio
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jeanchrisosme · 4 months ago
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J'aime la gaieté simple de l'enfance. Ceux que la vie étonne, que la vie surprend, et qui s'amusent du monde, ceux-là aussi ont la vertu. Ils ne sont pas sérieux. Les grandes choses, les beaux discours, les événements historiques, ça ne les intéresse pas. Même, quelquefois, ils les regardent, du coin de l'œil, ils les écoutent du coin de l'oreille, l'air un peu étonné, et ces grandes choses et ces belles phrases tombent à plat, un peu dépitées, sans plus oser être solennelles. Ceux qui ont cette gaieté n'ont pas mauvais esprit. Mais c'est simplement que les grandes choses ne sont pas toujours celles qu'on croit, et que la beauté et la vérité n'ont pas besoin d'être sérieuses...
Jean-Marie Gustave le Clézio
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abatelunare · 6 months ago
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Del resto la distanza è relativa (Jean-Marie-Gustave Le Clézio, Il continente invisibile, Torino, Instar Libri, 2008).
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chansonsinternationales · 1 year ago
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J.M.G Le Clézio : « Ecrire ou faire de la musique, c’est la même activité.»
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blog-aventin-de · 3 months ago
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Der Wasserbaum · Märchen
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Der Wasserbaum · Märchen · Jean-Marie Gustave Le Clézio
Früher gab es auf der Erde keine Flüsse. Das einzige Wasser, das die Menschen in dem ungeheuren Wald, der die Welt bedeckte, kannten, war jenes, das vom Himmel fiel, Kwi, das Wasser des Regens, das in den Tiefen der Erde versickerte. Die Menschen kannten damals weder Rast noch Ruhe, und wenn sie ihren Durst löschen wollten, dann mussten sie von den Blättern die Tautropfen trinken oder sich wie die Tiere zu den modrigen Pfützen in den Felsklüften begeben. Eines Tages aber brach ein Kind auf, um nach den Quellen des Wassers zu suchen. Tagelang ging es durch den Wald, bis seine Füße blutig waren und sein Gesicht von dornigen Zweigen zerkratzt. Eines Abends, als es sich am Fuße eines riesigen Baumes ausruhte, sah es etwas Merkwürdiges. Neben ihm marschierte eine lange Kolonne schwarzer Ameisen in Reih und Glied durch das Moos und bildete eine Straße, die aus der Tiefe des Waldes bis zu dem Baum führte. Der kleine Junge beobachtete sie lange, ohne sich zu bewegen, weil er sie bei ihrer Arbeit nicht stören wollte. Die Ameisenkolonne verschwand unter dem Wurzelwerk des großen Baumes in einer Höhlung, die aussah, als wäre sie eine Verbindung zur Unterwelt. Der Junge war ganz erschrocken, denn er kannte alles, was die Alten von der Welt unter der Erde erzählten, von jener Welt, in der nur Gespenster ohne Mund leben, die ihre Nahrung einatmen und das Tageslicht nie sehen. Dann wagte er sich ganz langsam an die Öffnung her an und sah, dass die Ameisen, nachdem sie unter die Erdoberfläche gestiegen waren, mit einem Wassertropfen zwischen den Kiefern wieder herauskamen. Eine heftige Erregung erfasste ihn und ließ ihn erzittern. Er begriff, dass er soeben den geheimen Ort entdeckt hatte, wo das gesamte Wasser des Himmels aufbewahrt wurde. Es war der große Baum Kwipo, der sich sehr hoch über die anderen Bäume des Waldes erhebt, so hoch, dass ihn bisweilen die Hand des Donnergottes trifft und mit ihren steinernen Fingernägeln zerzaust. Doch der Baum war so groß und stark, dass der kleine Junge einsah, dass er alleine nicht an sein Ziel gelangen konnte. Er rief um Hilfe, aber er war sehr weit von den Häusern der Menschen seines Stammes entfernt, und niemand antwortete auf seinen Ruf. Nur ein Grünspecht kam geflogen. Zusammen gruben sich das Kind und der Vogel in den Fuß des großen Baumes, der eine mit seinem Schnabel, der andere mit einer steinernen Hacke, und der Widerhall ihrer Arbeit erfüllte den Wald mit einem seltsamen Geräusch. Dann, eines Morgens, begann der Baum Kwipo, der in seinem Fundament zerstört war, sich zu neigen. Mit einem lauten Krachen, ähnlich dem Geräusch des Donners, fiel der Baum zu Boden, und während er fiel, schauten der Junge und der Grünspecht mit erstaunten Augen zu, denn die Welt würde nun nie mehr dieselbe sein. Aber dann sprudelten aus den Wurzeln des Baumes die Quellen, der so breite und so große Stamm wurde zum Flusslauf, und die Zweige und Blätter verloren sich im Meer. Seit dieser Zeit kennen die Menschen das Wasser der Flüsse, und sie haben Respekt vor den Kwipo-Bäumen, die es ihnen gegeben haben, und vor den schwarzen Ameisen, die als Zeichen der vergangenen Zeit noch immer den Tropfen tragen, der zwischen ihren Kiefern funkelt. Der Wasserbaum · Märchen · Jean-Marie Gustave Le Clézio Read the full article
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timriva-blog · 3 months ago
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«El africano», novela de J.M.G. Le Clézio
Escrito por Manuel Crespo Jean-Marie Gustave Le Clézio nunca ocultó que la inspiración esencial de sus novelas de aventuras era su propia trashumancia. Décadas de trajinar el globo: de Francia a Nigeria, y de ahí a México y Estados Unidos, pasando por estadías con los indios en Panamá y su todavía vigente matrimonio con una mujer saharaui. Lo que El africano, estrenado en 2004 y reeditado una…
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kobiamu58 · 4 months ago
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Nobel Laureate 2008 J. M. G. Le Clézio
Literary Voyageur Jean-Marie Gustave Le Clézio (1940-), the 2008 Nobel Laureate in Literature, is a French-Mauritian author celebrated for his profound storytelling and exploration of human experiences.
J.M.G. Le Clézio is celebrated for his extensive and varied literary contributions. Among his many works, two stand out as particularly influential and acclaimed: "Desert (1980)" and "The Prospector (1985)."
Le Clézio has faced criticism for his unconventional narrative structure, overly descriptive prose, repetitive themes and occasional accusations of cultural appropriation in his portrayal of indigenous cultures.
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entomoblog · 1 year ago
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Abécédaire écopoétique → I → Insectes
See on Scoop.it - Insect Archive
La forêt est à hauteur d’herbe. Des tiges, des fibres, des fils visqueux et des nerfs végétaux, où remuent des opacités menaçantes et des taches de soleil, où volent des reflets décochés de toutes parts : voilà l’univers dans lequel l’insecte s’aventure. Et quand il survole ces domaines étrangers, ce sont, sous ses ailes finement nervurées, des jungles qui nous semblent lilliputiennes mais qui, à leur échelle, prennent un caractère d’immensité secrète. La fougère s’éploie avec l’extravagance d’un palmier ou d’un pin ; les fils sont des lianes ; les bruyères se constituent un buissons d’un toucher rêche, tandis que la myrtille, dans son obscurité verte, offre ses gouttes d’encre violette. Jean-Pierre Otte, L’Amour en forêt, Paris, Éditions Julliard, 2001, p. 163. Il y a toujours des fourmis, où qu’on s’arrête. Elles semblent sortir entre les cailloux et courir sur le sable gris brûlant de lumière, comme si elles étaient des espions. Mais Lalla les aimes bien tout de même. Elle aime aussi les scolopendres lentes, les hannetons mordorés, les bousiers, les lucarnes, les doryphores, les coccinelles, les criquets pareils à des bouts de bois brûlés. Les grandes mantes religieuses font peur, et Lalla attend qu’elles s’en aillent, ou bien elle fait un détour sans les quitter des yeux, tandis que les insectes pivotent sur eux-mêmes en montrant leurs pinces. Jean-Marie Gustave Le Clézio, Désert, Paris, Gallimard, Folio, p. 77-78.
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likmacuhylang · 1 year ago
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Results of June and Jule
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Books: 1. "Seven Night" by Jorge Luis Borges 2. "Watch Cinema" by Jean-Marie Gustave Le Clézio 3. "Metaphysics" by Aristotle
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Cinema and anime: 1. "Django Unchained" by Quentin Tarantino 2. "Interstellar" by Cristopher Nolan 3. "The Naked Gun 2½: The Smell of Fear" by David Zucker 4. "Call of the Night" by Kotoyama, Tomoyuki Itamura 5. "Crows are White" by Ashen Nadeem 6. "Dreams" by Akira Kurosawa
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Manga: 1. "Croa Chimera" by Kairi Sorano 2. "Coffin Jackson" by Chongtak 3. "Babelheim no Shounin" by Shouichi Furumi 4. "Scroll if You Dare" compilation webtoons 5. "Hell is Other People" by Yong-Ki Kim 6. "The Witch and Her Zombie Son" by Sinyura
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liqueuramere · 2 years ago
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Les forces de la nature, à hauteur d'enfant
Chronique de Celui qui n'avait jamais vu la mer, suivi de La montagne du dieu vivant, J. M. G. Le Clézio, 1978
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Je ne savais pas grand chose de Jean-Marie Gustave Le Clézio avant de lire ce recueil de deux nouvelles, si ce n'est qu'il a obtenu le Prix Nobel de littérature en 2008. Après lecture, il me semble important de préciser que l'auteur, né en 1940 à Nice, est issu d'une famille d'origine bretonne ayant émigré à l'île Maurice à la fin du XVIIIe siècle, quelques années avant que celle-ci elle ne devienne une colonie britannique. Au début du XXe siècle, plusieurs branches de la famille retournent en Europe (Angleterre, France), si bien que les parents de J. M. G. Le Clézio, bien que cousins germains, sont respectivement britannique (père) et française (mère). De ce fait, depuis l'indépendance de Maurice en 1968, Le Clézio possède la double nationalité française et mauricienne (à laquelle il tient particulièrement). La vie de ce dernier a été, jusqu'à aujourd'hui, marquée par les voyages, si bien que son œuvre est empreinte d'un fort cosmopolitisme.
Les deux nouvelles publiées dans ma vieille édition Folio Junior ne sont pas inédites puisqu'elles proviennent d'un précédent recueil plus fourni, Mondo et autres histoires (1978), qui avait eu à sa sortie un certain succès. On peut imaginer que ce choix d'avoir republié à part Celui qui n'avait jamais vu la mer et La montagne du dieu vivant est dû à un désir de rendre accessible une partie de l’œuvre de Le Clézio à des lecteurs plus modestes (notamment des scolaires...), mais aussi parce que ces deux textes ont beaucoup de similitudes : tous deux, ils racontent comment un enfant se confronte, seul, à un environnement sauvage. Ce sont aussi des textes qui mettent en œuvre des descriptions riches et poétiques de la nature. On est là face à un thème de prédilection de Le Clézio, qui entre en résonance certaine avec sa propre vie.
Celui qui n'avait jamais vu la mer (1978)
C'est l'histoire d'un collégien discret et mutique, littéralement sans histoire, qui décide du jour au lendemain de rejoindre la mer, qu'il n'a jamais vue. Pour cela, il disparait volontairement sans prévenir personne et fuit jusqu'à l'océan, où il entame en solitaire une nouvelle vie exposée à la beauté et aux dangers de la nature. Dans cette nouvelle, il ne se passe peu ou prou pas grand chose, si ce n'est les longues contemplations de l'océan par le personnage principal, Daniel (en référence à Daniel Defoe, auteur de Robinson Crusoé ?), et le récit de sa survie quotidienne. L'intérêt du texte, à mon sens, réside dans les descriptions : la mer et le littoral sont présentés sous toutes les coutures, avec une grande richesse lexicale et des images prégnantes, ce qui confère à certains paragraphe une forte dimension poétique. Le style de Le Clézio retranscrit très bien le regard de cet enfant qui se confronte, depuis la rive, à l'immensité des flots, avec un mélange d'émerveillement, de fascination et de crainte. Cette dimension du texte mise à part, on peut néanmoins regretter un récit un peu creux...
La montagne du dieu vivant (1978)
L'histoire se passe au sud-ouest de l'Islande, au pied du Reydarbarmur, un mont anciennement volcanique. Un 21 juin, un jeune garçon nommé Jon décide, sans raison apparente, de garer sa bicyclette contre un talus et d'entreprendre, seul et à mains nues, l'ascension de la montagne. Quelque chose l'attire vers le sommet, il ne sait trop quoi, sa lumière ou une force invisible, trahie par un murmure dans le vent. Le récit - initiatique d'une certaine façon - suit l'ascension puis la redescente du personnage principal, et de cette trajectoire parabolique découle une autre parabole, littéraire cette fois. En effet, en haut de la montagne, Jon rencontre un mystérieux enfant (tout nous pousse à croire qu'il s'agit du dieu vivant du titre) qui lui apprend à voir toute la richesse de la nature qui l'entoure, aussi bien la force tellurique de la lave durcie que l'étendue des cieux, depuis les nuages jusqu'aux étoiles. Là encore, Le Clézio sait bien retranscrire la richesse des paysages islandais, aussi bien leur beauté que leur rudesse. J'ai apprécié également qu'il donne à son histoire une dimension mythique, à travers l'échange assez long entre Jon et l'enfant, teinté de fantastique. Mais l'histoire reste tout de même rapidement oubliable car le récit manque cruellement d'enjeux (le héros s'arrête en vélo, grimpe un versant de la montagne, discute avec le dieu des lieux et lui montre comment jouer de la guimbarde, puis redescend : rien d'ultra palpitant.)
En somme, ce premier (et petit) pas dans l’œuvre de J. M. G. Le Clézio fut une lecture agréable, appropriée en ce début d'été, mais pas renversante non plus. À mon avis, je l'aurai rapidement oubliée...
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jeanchrisosme · 4 months ago
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J'aime la gaieté simple de l'enfance. Ceux que la vie étonne, que la vie surprend, et qui s'amusent du monde, ceux-là aussi ont la vertu. Ils ne sont pas sérieux. Les grandes choses, les beaux discours, les événements historiques, ça ne les intéresse pas. Même, quelquefois, ils les regardent, du coin de l'œil, ils les écoutent du coin de l'oreille, l'air un peu étonné, et ces grandes choses et ces belles phrases tombent à plat, un peu dépitées, sans plus oser être solennelles. Ceux qui ont cette gaieté n'ont pas mauvais esprit. Mais c'est simplement que les grandes choses ne sont pas toujours celles qu'on croit, et que la beauté et la vérité n'ont pas besoin d'être sérieuses…
Jean-Marie Gustave le Clézio
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chansonsinternationales · 1 year ago
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Jean-Marie Gustave Le Clézio, les indésirables en lettres d'or - Vous m'en direz des nouvelles
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guillermoloren · 4 years ago
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"Canción de infancia", de J. M. G. Le Clézio
“Canción de infancia”, de J. M. G. Le Clézio
«La nueva novela del premio Nobel de Literatura: un canto al independentismo emocional y el relato sobrecogedor de su infancia como niño de la guerra» . Cubierta de: ‘Canción de infancia’ «No voy a hacer un relato cronológico. Los recuerdos son aburridos y los niños no saben de cronología», escribe Le Clézio. «Para ellos, los días se suman a los días, no para construir una historia sino para…
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mayolfederico · 5 years ago
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tredici aprile
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James Ensor, L’entrata di Cristo a Bruxelles nel 1889, 1888
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Tra il mio pollice e l’indice la tozza penna, comoda come una pistola.
Da sotto la finestra, un suono aspro e netto quando la vanga affonda nella terra ghiaiosa: mio padre, che scava. Mi affaccio e guardo
finché la sua groppa tesa nello sforzo tra le aiuole s’abbassa, si rialza vent’anni addietro curvandosi…
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suspiro-de-realidad · 5 years ago
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Imagina el Mundo - J. M. G. Le Clézio
Imagina el mundo. “Te escribo esta carta desde un tiempo extraño, un tiempo de angustia y alineación que nadie había imaginado vivir, en nuestro mundo de perfección técnica y ambición social. De hecho, yo lo viví en mi niñez, puesto que nací en 1940 en tiempo de guerra, cuando estuvimos todos confinados en la casa sin mucho que comer y con miedo a los bombardeos. La diferencia es que sí estamos en guerra ahora, es una guerra contra nosotros mismos y no contra un enemigo exterior. Es una guerra contra nuestras fallas, nuestra indiferencia a la naturaleza, nuestro vanidoso egoísmo... “
Carta del autor para su nieta.
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itsnothingbutluck · 3 years ago
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Nobel Laureate Jean-Marie Gustave Le Clézio makes his first major U.S. appearance since being awarded the 2008 Nobel for Literature. An avid traveler, French novelist and essayist Le Clézio has written more than 40 books about exile and self-discovery, and the clash between modern civilization and traditional cultures. In announcing the prize, the Swedish Academy called Le Clézio an author of new departures, poetic adventure and sensual ecstasy, explorer of a humanity beyond and below the reigning civilization. He is joined in conversation by The New Yorkers Adam Gopnik...
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