#Il cotone
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Untitled by Benedetta Falugi
#Il Cotone#il cotone project#analog#analogue#analog photography#football#boys#sunset#green#altoforno#factory#trees#filmisnotdead#film#film photography#fuji superia#fuji#running#istillshootfilm#I shoot film#benedeta falugi#beliveinfilm#believeinfilm#flickr
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libri di mg alla biblioteca villino corsini (roma, monteverde/gianicolense)
https://www.bibliotechediroma.it/opac/query/marco%20giovenale?bib=RMBR3&context=catalogo Le schede di Shelter e di Maniera nera contengono inoltre delle inattese note di lettura
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Purely for the francophones out there
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Traduction of the chorus:
Hey! is it cold?
Are we good in just a sweater?
Hey! It looks like its cold!
Are you good in your sweater?
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sewing vocab list | français - english
verbes
coudre - to sew
couper - to cut
enfiler - to thread
froncer - to gather
installer - to install
marquer - to mark
ourler; faire un ourlet - to hem
repasser - to iron
s'effilocher - to fray
épingler - to pin
adjectives
cousu main - hand-stitched
tissé - woven
noms (fem/masc)
la laine - wool
la manche/la manchette - cuff
une aiguille - needle
une machine à coudre
une paillette - sequin
une pince - dart
une ruche - ruffle
une épingle - pin
le coton - cotton
le tissu - fabric
le tricot - knit fabric
le tulle - tulle
un bouton - button
un fil - thread
un mannequin - mannequin
un modèle - pattern
un mètre ruban - measuring tape
un vêtement - garment
si quelqu'un a les autres mots pour recommender ou des corrections, mets-ils en les comments/tags ou dm moi ^.^
(aussi si vous avez quelques autres thèmes pour une liste, je vais essayer les faire :3)
#frenchblr#french learning#learning french#french notes#french vocab#language learning#french studyblr#french langblr#coudre#vocabulary#vocab list#vocabulaire
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TW — body horror, oppressions, médicamentation.
Eh, j'suis fatiguée.
Fatiguée de faire semblant, fatiguée de rester dans le noir. Fatiguée de raser les murs de Paname, les crachats sous la semelle. Aujourd'hui, j'me traine en manif' comme un zombie. Il parle de plus rembourser nos médocs. C'est pas que j'y crois plus, c'est que — je sais pas. Je corrige le bonnet sur ma tête : il cache mes cornes. À côté de moi, une meuf respire dans un scaphandrier rempli de flotte. Un ange passe au-dessus de nos têtes. Une plume me tombe sur l'épaule. Ils sont tous beaux, avec leurs altérations dévoilées. Je me gratte le front. Le tissu commence à me démanger. J'ai l'impression qu'on me sert la tête. Ma peau grésille, le coton la râcle. Je le retire, mes cornes se prennent dedans ; ça fait des boules qui se coincent dans mes cheveux. Je râle, il se déchire. Merde. Un hoquet me happe la respiration, ma gorge se serre. J'entends une exclamation, un rire. C'est la meuf au scaphandrier. Je m'apprête à m'excuser, mais elle me coupe la parole :
« — Elles sont trop belles tes cornes ! qu'elle me lance. — Ah, j'hésite. Merci ? »
J'enfonce le bonnet dans ma poche, pas super sûre de moi. Mais peut-être que c'est à la honte d'être dans le noir maintenant.
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Forum city fantastique, basée à Paris 2024. Il y a des adultes qui font semblant de savoir ce qu'ils font. Sauf qu'en plus, ils ont des capacités chelous et tout le monde trouve ça moche. Il parait qu'il y a des Miss Peregrinerie dans les catacombes.
Avancement : Annexe : 95% Code : 95% Administratif : 70%
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Giovanni Anselmo Il paesaggio con mano che lo indica, 1982-2007 jet de graphite sur papier coton marouflé sur toile 80.3 x 61.3 cm.
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saga: Soumission & Domination 359
Espagne 2015-1
Le départ en vacances.
On récupère les jeunes la veille de notre départ. Nathan arrive avec une valise énorme. Il nous dit que sa mère l'a obligé à prendre des vêtements pour toutes les circonstances même la pluie. Il est désolé ! Je l'accompagne à la chambre qu'il va partager avec Max et Enguerrand. Ils sont avec nous. On ouvre le " coffre " et je sors tout pour trier et ne garder que le nécessaire.
On trouve 4 jeans + 2 pantalons de toile beige, 4 shorts Adidas et Nike neufs, 4 maillots de bain sans marque mais pas trop moches, des t-shirt, slips et polos en pagaille et 2 pulls en cotons. On y trouve même des socquettes, une cravate, des chaussures de ville et d'autres de sport.
J'isole 1 jeans et 1 pantalon de toile, 2 shorts (1 de chaque marque) après essayage, j'envoie Max chercher 4 maillots dans ceux qu'il utilise habituellement pour les ajouter au tas. Une demi-douzaine de t-shirt est suffisante puisque là-bas, il y a quand même machine à laver et sèche-linge ! Comme nous passons notre temps sans ou en maillot de bain, je sélectionne 3 slips en sus. Un seul pull devrait suffire et on laisse les chaussures de ville. J'ajoute sa trousse de toilette et j'ai réduit des 3/4 la masse à emporter. Enguerrand trouve une valise avion moyenne et tout rentre dedans.
Il s'inquiète un peu que ça fait quand même pas beaucoup pour 3 semaines. Il n'a jamais eu ce type de vacances ! Je lui dis qu'au pire il pillera les affaires de Max ou d'Enguerrand puisqu'ils sont quasiment du même format. Je vois un sourire apparaitre sur son visage perplexe. Je l'attrape par le cou, baisse sa tête au niveau de mes pecs et lui frotte la tête avec mon poing. Puis je le relâche et lui roule une pelle. Il ressort de mon intervention en titubant et est retenu de tomber par ses deux acolytes.
Au pire on achètera sur place ce qui nous manque.
Nous sommes 8 à partir. Marc et Hervé arriveront directement à Barcelone de leur déplacement en Asie.
La veille du départ et malgré le réveil prévu à 8h le lendemain, nous nous faisons une minitouze sur la terrasse. Nos analyses étant récentes et bien sûr négative, les kpotes restent dans leurs blisters et nous pouvons profiter des contacts directs entre nous.
João et Romain s'intègrent bien à ma petite " famille " et ils utilisent autant les rondelles des trois jeunes que nous et ne rechignent pas à leur laisser l'accès aux leurs. Après un petit temps d'adaptations aux dimensions supérieures de nos deux invités, la triplette profite sans retenue de leurs sexes. Même après une première éjaculation, nous restons tous chauds et remettons le couvert immédiatement. La seconde jouissance est plus longue à venir. Nous profitons de ce délais pour nous caresser, tenter des combinaisons multiples. On a même le temps de se faire un " petit train " Enguerrand est en début d'enculage, sodomisé par son Max, lui-même défoncé par Nathan, labouré par Ludovic qui se prend PH dans la rondelle. Romain s'enfonce dans l'intimité de mon mec et je me " venge " en lui enfonçant mes 20x5 au plus profond de son trou. Je me suis gardé João pour mon plaisir personnel et accueille ses 23x6 avec un plaisir non dissimulé. Commencé en levrettes, nous basculons vite sur le côté pour gagner en stabilité. Cette enfilade nous excite bien et nous entraine dans notre seconde prise de plaisir.
Je m'aperçois que c'était ce dont les jeunes avaient besoin. Ils sont stressés par les trois semaines à venir. Si Max est déjà parti à l'étranger c'était avec ses parents et bien sûr, ce n'est pas le cas d'Enguerrand et encore moins de Nathan. João n'avait plus voyagé aussi loin depuis son arrivée en France et Romain est comme Nathan.
Avec PH et Ludovic, nous faisons en sorte que nos 5 jeunes se détendent et se sentent vraiment en vacances. C'est fait 2 heures 30 plus tard alors que nous sommes tous étalés sur le dos à regarder le ciel étoilé, les couilles vides et certains le cul plein, que je les sens tous détendus !
Pour ne pas retarder Samir et Ammed en partance pour la campagne où ils vont retrouver Jimmy, j'ai commandé deux taxis pour nous emmener à l'aéroport.
Arrivés très en avance, nous avons le temps de prendre un verre dans un des bars. Les serveurs sont mignons et différents des habituels. Des étudiants probablement ! Comme il fait beau et qu'à Barcelone il fait encore plus chaud, nous sommes déjà en tenues estivales (pas en maillots quand même !). Nos physiques sont bien visibles et ils attirent les regards. Les jeunes sont tout excités par les mecs qui se retournent sur nous.
Notre vol passe à l'enregistrement. Les valises sont pesées étiquetées et partent en soute. Nous passons dans le salon d'attente des premières classes. Ce n'est pas parce que le vol est court qu'il faut se serrer.
Les " petits " essayent d'avoir l'air dégagé mais ils n'y arrivent qu'à moitié et nous voyons leurs yeux s'arrondir devant le luxe qui nous entoure.
Quand nous entrons dans l'avion, nous sommes cernés d'hommes d'affaire. Seule une jeune femme avec deux jeunes enfants tranche dans cette partie de l'appareil, avec nous bien sûr !
Les stewards et hôtesses sont à nos petits soins. Ils ont bien vu que pour certain c'était une première et s'attachent à rendre l'expérience inoubliable. Un des stewards nous drague un peu, même beaucoup tout en faisant attention aux autres passagers. Mais le vol est rapide et nous sommes bientôt en approche de Barcelone.
Espagne-1
On récupère nos valises et rejoignons Ernesto. Embrassades sans attendre, roulages de pelle entre lui et chacun de nous. Il est content que nous ayons emmené tout le monde. Il est en short de surf, marcel large et tongs.
On le suit jusqu'à un Renault boxer 9 places. Le temps de sortir de l'aéroport et nous sommes déjà en direction de la villa. Ernesto nous annonce que Marc et Hervé sont déjà en train de bronzer autour de la piscine et que Paco a pris ses fonctions.
Je dois expliquer que ce dernier est notre cuisinier et qu'il est monté comme un âne (23.5 x 7). Et là, on entend de l'arrière " et on a droit d'y toucher ? ". Je n'ai pas le temps de mettre un bémol qu'Ernesto répond " bien sûr, j'ai déjà testé et il est trop fort en plus ". Bon ! Hé bien c'est dit !
Du coup à l'arrière ils sont impatients d'arriver. Javier s'est surpassé cette année. La villa est encore mieux qu'en photo. Toute de plain-pied, elle fait dans les 400m² toutes les chambres donnent par des portes vitrées sur la terrasse qui fait le tour de la maison. Comme j'avais demandé, une salle de muscu est bien équipée et la piscine est superbe.
Le temps de décharger les valises et nous sommes rejoints par Marc et Hervé à poil tous les deux. Ils sont plus blancs que nous mais enduit de protection, il s'attaquent à nous rattraper. Bisous ou pelle selon le récipiendaire puis Paco arrive. En maillot moulant, il sidère les nouveaux. Et pourtant il ne bande pas encore ! Ses 85Kg de muscles participent aussi à l'effet " Paco ". Il roule des pelles aux anciens et me félicite du choix de mes nouveaux amis. Sans se gêner, il passe ses grandes mains sur les fessiers de la triplette avant de se coller à João de le maintenir collé contre lui et de lui rouler un patin qui laisse mon brésilien sur le cul !
J'observe Romain. Pas de jalousie mal placée, un vrai mec selon mon coeur.
Paco nous dit de nous installer, que le déjeuner ne sera pas servi avant 14h. Je pousse la triplette dans une chambre et les deux autres dans celle d'à côté. Marc nous indique celle qu'il nous avait réservée. C'est la plus grande et il a fait installer 2 grand lit de plus afin qu'on puisse coucher tous ensembles (lui, PH, Ludovic, Hervé, Ernesto et moi). On vide rapidement les valises et enfilons un maillot. Sauf les trois petits qui ont décidé de vivre à poil. Enfin, Nathan s'est fait un peu forcé la main !
Plongeons dans la piscine. L'eau est à bonne température et nous glissons dedans avec plaisir. Marc et Hervé nous rejoignent. On joue plus qu'on ne fait des longueurs bien sûr. Les plus jeunes font du bruit, se poursuivent, chahutent en fait. Ça fait plaisir à voir. Pas de regrets de les avoir emmenés avec nous tellement ils ont l'air d'apprécier.
Nous restons dans l'eau jusqu'à ce que Paco nous annonce le repas. Les jeunes sortent de l'eau et Marc les prévient que pour les repas, il faut un slip ou un maillot de bain au minimum.
Paco s'est surpassé pour notre arrivée. Ernesto nous dit que Paco était à la villa depuis la veille pour réceptionner les provisions. Il nous dit que cette année il était encore célibataire. Il n'avait pas eu le temps de se trouver un petit mec à planter sur sa grosse bite.
Max qui entend ça, annonce tout fort que pour les 3 semaines à venir, avec Enguerrand et Nathan, ils se dévoueront pour que notre cuisinier n'ait pas les couilles engorgées. Ludovic remarque qu'il fallait pas attendre autre chose de trois obsédés sexuels.
Paco arrive juste à ce moment-là. Il a entendu les jeunes et alors qu'il sert une salade de fruit avec de la glace il les remercie et leur promet de se partager quand il aura trouvé son prochain petit copain.
Nathan est déchainé. C'est lui qui demande à Paco son type de petit mec et lui propose qu'avec ses deux amours, ils lui en cherchent un sur la plage.
Paco s'amuse de sa proposition et les met au défi de lui en trouver un qui soit acceptable.
Un bon café et nous partons faire une petite et vraie sieste. Malgré la chaleur, nous nous collons et sombrons dans le sommeil. Réveil une heure plus tard. Je me lève et passe la tête par à la porte des gamins. Ils sont tout nus, collés tous les trois et encore endormis. Quand je fais pareil à celle du petit couple, je les trouve en train de se câliner soft. Je profite en m'intercalant entre eux. Là c'est moi qui bénéficie des papouilles et des bisous. Eux aussi sont contents d'être avec nous. Je ressors tout bandant de leurs bras avant que ça tourne " bien ". Je me coule dans la piscine et suis rejoint par mes trois amours Ernesto, PH et Ludovic.
On discute des trois semaines à venir. Ernesto me dit qu'il a déjà fait du repérage pour nos touzes. Les touristes commencent à arriver et on ne devrait pas avoir de mal à trouver ce qu'on cherche. Il me demande ce qu'il en est de Baz et Gaz les deux jeunes que nous avions levés l'année passée. Je lui dis qu'ils sont là mais pendant deux semaines encore avec leurs parents. Donc ils pourront passer mais ne seront pas aussi dispo.
Les jeunes arrivent un peu rouge sous leurs bronzages. Marc leurs dit qu'ils ne sont pas obligés de rester isolés quand ils baisent. C'est romain que la remarque gène le plus alors qu'il est un de mes Escorts. Quelles salopes mes " petits frères ", ils ne se sentent pas concernés !
Pour plus de pratique dans mes récits, Max + Enguerrand + Nathan = la " triplette ", les " gamins " ou les " petits frères ". João et Romain = le " jeune couple " ou les " Escorts "
Ils sautent dans l'eau pour nous rejoindre. Ils nous demandent quand ils vont descendre en ville et aller draguer sur les plages Pd.
On décide qu'on verra ça demain. Là, on prend nos marques, possession de la maison. Max ajoute " et de ses occupants ".
Hervé m'étonne. Il appelle Max et quand ce dernier est au bord du bassin, il le sort de l'eau, le soulève de terre et le serre dans ses bras. Instinctivement, Max entoure la taille d'Hervé avec ses jambes et pose ses fesses sur sa bite bandée.
Pour le côté pratique et plaisir, on s'est tous refaits analyser afin de pouvoir baiser entre nous sans kpote. Ces dernières ne sortiront qu'avec les mecs hors de notre cellule de base.
Il s'est vraiment libéré notre Hervé. Lui qui s'était longtemps suffit/contenté/repus d'Ernesto exclusivement, ne se gêne plus et se sert lui-même. Ernesto est le premier à applaudir avant d'attraper Nathan qu'il ne " connait " pas encore. Il cri à son mec qu'il peut y aller et nous voyons alors les 21x5,5 de sa bite disparaitre comme avalée par la rondelle de Max. Vu comme c'est rentré facile, il avait dû être parmi les passifs de leur petite sauterie privée.
Ça excite nous autres et nous sortons aussi de l'eau pour jouer avec nos sexes.
Je commence avec Marc. Ça fait 15 jours qu'ils étaient partis et malgré tous les autres, il me manque et pas que sa bite ! Je retrouve ses bras et la sécurité qu'ils me procurent. Quand il me pénètre, je sais à nouveau pourquoi -lui-. En levrette, je me cambre un maximum, tourne la tête et tends mes lèvres à son baiser. Nous faisons l'amour. Quand il le veut, je me retourne et mes jambes autour de lui, je l'attire vers moi. Là, nous pouvons nous rouler une vraie pelle bien profonde pendant que sa bite continue de m'échauffer la rondelle.
Dans le lointain, j'entends Nathan apostropher ses deux amours pour leur dire de me regarder faire " l'Amour ". C'est vrai que c'est différent de baiser à 5 ou 6 et de le faire avec son mec. Marc aussi l'entend. Il se redresse et lui dit qu'il avait trouvé le mot juste nous concernant. Nous nous aimons et même si on adore faire l'amour avec d'autres mecs, ça ne change pas.
On se termine tous les deux ensembles. Quand je rejoins le monde, je m'aperçois qu'il manque Enguerrand. J'enfile un maillot et déambule dans la maison. Mais j'ai ma petite idée. Je le trouve dans la cuisine empalé sur le mat de Paco assis sur une chaise. Je crois voir dans ses yeux une certaine gêne d'être surpris dans cette position. Je m'approche d'eux. Comme il me fait face, je le regarde dans les yeux et lui dis " y a pas de malaise ", je lui roule un patin avant d'ajouter " pas de jugements, que du plaisir pour tous et chacun ". Je en peux m'empêcher d'ajouter " je t'aime toi ". Il me fait un grand sourire avant de me sortir un " moi aussi, toujours ".
Je retourne vers la piscine et croise Max et Nathan qui cherche le dernier membre du trio. Je les envoie à la cuisine. Je les suis de loin curieux de leurs réactions.
Elles font honneur à la maison. Nathan lui roule un patin alors que Max s'intercale entre le dos d'Enguerrand et le torse de Paco pour rouler une pelle à ce dernier.
Je retourne sur la terrasse et annonce au reste de la " famille " que la triplette est en train d'essorer les couilles de Paco. Rire généralisé.
Jardinier
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La giovane mamma mia vicina di casa
Ogni giorno ormai non ho altro pensiero in testa che rivederti. Vivi con tuo marito da quando vi siete sposati, un anno e mezzo circa, nell'appartamento vicino al mio. La notte vi ascolto sempre, mentre vi amate. Dall'altra parte del sottilissimo muro che divide la vostra camera da letto dalla mia mi arrivano dei mugugni indistinti ma inequivocabili. Immagino le vostre frasi sommesse e adoro in modo assoluto sentire quando venite, visto che le nostre teste sono comunque a forse meno di un metro di distanza. Meglio di qualsiasi film o racconto. Ho sempre sospettato che malgrado la tua aria educata, composta e molto discreta, tu fossi un vero vulcano di femminilità e sensualità. Infatti, un giorno qualsiasi di due mesi fa, in tarda mattinata hai suonato a casa mia e hai chiesto aiuto in lacrime. Io lavoro a turni e alle sette e un quarto avevo smontato dalla notte. Era circa l'una e sebbene fossi ancora rincoglionito dalle sole quattro ore di sonno fatte, t'ho chiesto immediatamente e preoccupato cosa ti fosse successo.
M'hai detto, un po’ rossa in viso e imbarazzata, che il tuo seno generava una enorme quantità di latte ma che il tuo piccolo, all’epoca nato da sole due settimane, ne beveva solo una parte e poi s'addormentava. Poi, che secondo il pediatra e le sue stime, il nutrimento era comunque momentaneamente sufficiente per lui, ma non avresti mai voluto che il latte smettesse di scendere, per questo suo scarso stimolare le tue ghiandole mammarie. Avevate quindi comperato un tiralatte per prendere tutto il latte rimanente nel tuo seno dopo la magra poppata, ma non riuscivi a usarlo in modo appropriato: ti scappava sempre, non riuscivi a farlo funzionare correttamente perché è un aggeggio di difficile gestione. E che il tiraggio va effettuato meglio se entro un’ora dalla poppata. Quindi era proprio necessario farlo in quel momento. A tuo marito avevi detto che conoscevi l’aggeggio, “che ci vuole, è una passeggiata” e poi non volevi fargli vedere che non eri riuscita a farcela. Ti seccava molto.
“Mi aiuti, per favore? Scusami se ti disturbo a quest’ora, Marco: forse stavi pranzando…”
”Guarda, non stavo pranzando: tranquilla. E comunque, Federica, per te e il tuo bambino lo sai: qualsiasi cosa… se riusciremo, mi basterà uno dei tuoi dolcissimi sorrisi…”
Sei diventata ancor più rossa, hai abbassato gli occhi e... hai sorriso! Dio, quant’eri sexy, con le spalle completamente nude. Stupenda ninfa, dea dell’amore.
Siamo quindi entrati in casa tua. Ci sarebbe mancato che non avessi voluto aiutarti! Tu, bellissima come solo una ragazza di ventitré anni può essere, avevi indosso solo un comodo e casalingo prendisole di cotone leggero arancione a fiorellini, che lasciava scoperta tutta la parte superiore del corpo al disopra delle areole.
Visione meravigliosa, per me che ero un maschio a digiuno di una femmina da tempo. Eri stupenda soprattutto se vista in controluce. Si delineava la silhouette perfetta e sensuale del tuo corpo sottile, malgrado il parto recente. Un vero sogno erotico. Cercavo di non pensarci. Ritrovati un minimo di dignità e un comportamento appena serio, da buon vicino e presa la necessaria confidenza con l'attrezzo, t’ho chiesto il permesso e t’ho sceso un po’ il bordo dell'abitino sul lato sinistro. Ho applicato il tiralatte al capezzolo del tuo seno sinistro. Con un po’ di buona volontà e qualche tentativo ripetuto, infine l'abbiamo fatto lavorare a dovere e abbiamo iniziato finalmente a riempire delle bottigliette da mettere in frigo.
Finito col seno sinistro, siamo passati a quello destro. Allora tu, visto che la cosa funzionava bene, ti sei finalmente calmata e abbiamo preso anche a chiacchierare in assoluto relax. Ci conosciamo, oramai: io sono un quarantacinquenne ben tenuto. Separato da qualche anno. Mia moglie è andata via portando con sé nostra figlia adolescente. Tuo marito invece ha una trentina d’anni, fa il rappresentante di commercio e spesso resta fuori per lavoro anche due o tre giorni. Intanto, verso la fine del tiraggio effettuato sul seno destro, mentre stavo finendo di riempire la bottiglietta, ho visto che dal seno sinistro, lasciato ancora scoperto a esclusivo beneficio dei miei occhi, ne ero certo e anche per una comprensibile tua civettuola voglia di donna di farti ammirare, scendeva ancora del latte. Infatti senza le coppe di protezione, colando t’aveva macchiato un po’ la stoffa del prendisole.
Visto che avevo il viso vicinissimo al tuo petto, m'è venuto spontaneo scherzare con te e dirti sorridendo che mi sarebbe piaciuto assaggiare quel ben di Dio, per non farlo andare sprecato e anche per pulirti. Tu m'hai detto ridendo: “ma che dici, scemo…” però mi guardavi fisso negli occhi e ormai mi carezzavi già teneramente la testa. Ho azzardato - o la va o la spacca - e sono sceso rapidamente sul seno sinistro. Ho dapprima dato una leccata rapida, guardandoti e aspettando magari un ceffone. Tu invece eri in estasi, a occhi chiusi. M'hai solo detto con un fil di voce ma stringendomi a te: “ma che fai, no… non farlo, smetti…” allora deciso, per l'evidente desiderio che provavi, ho incollato le mie labbra a quel capezzolo gocciolante e gonfio. Quindi con trasporto ho iniziato a succhiare, tirando forte. Era un nostro momento di assoluta comunione e il latte era buonissimo!
Ma la cosa sorprendente è stata la tua reazione. Con voce dal tono basso, calda, piena d'amore e passione, mentre ti succhiavo mi hai detto solo: “no… caro, caro…confesso che mi attrai, ma non dobbiamo… non possiamo fare questo, io e te… a mio marito, poi… nooo…” intanto mi tenevi la testa ben premuta contro di te. Ti sentivo mentre gemevi a occhi socchiusi. Piangevi calde lacrime, forse per un pizzico di rimorso, ma intanto godevi: mi era evidentissimo. E mi stringevi forte al tuo petto: mi allattavi letteralmente e io a momenti soffocavo! Mentre succhiavo ingoiavo e leccavo tutta quella grazia di Dio, t'ho infilato pian piano una mano sotto il prendisole: non me l'hai bloccata. Ho proseguito fino ad arrivare alla tua fica di giovane sposa e ho sentito chiaramente che era già completamente bagnata. Un paradiso di moglie.
Sotto il prendisole infatti non avevi nulla: neppure gli slip! Una macchina per il puro piacere, questo eri. Una giovane mamma desiderosa solo del godimento sessuale, pretendendolo in quel momento da me in qualsiasi modo. Questa cosa m'ha fatto ingrifare come un toro. Senza più alcun ritegno ormai, hai allargato le gambe e scendendo un po’ più sulla poltrona hai fatto entrare nella tua passera ben dilatata tutta la mia mano con le dita chiuse senza alcun problema o dolore. Pazzo di te, ti baciavo il collo, le spalle e il petto, leccandoti i capezzoli e ovunque potessi arrivare con la bocca per assaporarti, per gustare egoisticamente e appieno una femmina giovane, di gran classe. Un inaspettato dono del cielo solo per me. Leccavo e godevo della tua pelle profumata. Mordicchiavo i lobi delle tue belle orecchie e infine, massima conquista tra noi, ti baciavo la bocca, infilandovi la mia lingua e giocando con te nel modo più intimo possibile, tra un uomo e una donna.
Ti stimolavo, muovendo la mano totalmente immersa nella tua fica, facendole fare continuamente e rapidamente avanti e indietro. Ti dicevo parole oscene, ti chiamavo “troia, grande puttana, femmina vogliosa solo di cazzo”. Tu, solo un po’ arrossita e accaldata, mi sorridevi irresistibile. Gemevi roca, sussurrandomi all'orecchio dei tenerissimi: “si dai, siiii… ancora, fallo ancora… entra di più dentro di me… dimmelo ancora… e poi dammi il tuo cazzo… ora lo voglio proprio. Ne ho bisogno!“ Così, mentre il pupo dormiva sereno dopo aver bevuto, in un solo colpo ho sfilato la mia mano, t'ho tolto l'abitino tirandotelo su dalle spalle. Tu eri ancora seduta, ma ti sei sollevata quel tanto che bastava per farlo scivolar via e m'hai detto: “oh, caro, caro… succhia ancora un po’ dal seno e poi bevi dalla mia fica. Adesso sto producendo il mio liquore di donna. Lo sto facendo solo per te. Leccamela, lo voglio tanto.”
Ho eseguito alla lettera. Dapprima onorando il seno sinistro, poi il destro. Leccandoti al centro del tuo corpo nudo senza fermarmi sono sceso piano a baciarti a lungo la fica: la tua pelle sapeva di buono, di pulito. Ho leccato a lungo e per la prima volta anche il tuo ano. Fino a qualche ora prima, mai avrei immaginato che la mia lingua avrebbe potuto godere di tanto privilegio. Oh, il tuo ano: meraviglioso protagonista dei nostri giochi, ormai. A un certo punto proprio non ho resistito più. T'ho tirata a me sul bordo poltrona e ho infilato il mio cazzo già durissimo dentro di te con veemenza: erano molti mesi che non scopavo. E poi poter fottere una sposina, una mamma giovanissima, non capita tutti i giorni. T'ho detto che stavo per venire e tu m'hai dato il via libera, perché da dopo il parto avevi rimesso la spirale.
Volevi moltissimo che sborrassi dentro di te. E a lungo. Me l’hai chiesto esplicitamente: “sborra a lungo quanto ti pare dentro di me.” Quella prima volta t'ho fatta venire ben tre volte prima di riempirti col mio seme mentre ti baciavo le labbra teneramente. Mi ero completamente innamorato, ero ormai cotto di te; non c’è da scherzare con queste cose. Le tue labbra sapevano di miele puro. Mi hai confessato che da quando hai partorito, il tuo desiderio sessuale è inspiegabilmente aumentato a dismisura. Che obblighi tuo marito a scoparti a lungo al mattino presto prima di andare al lavoro, poi appena torna a casa la sera e infine di notte, se ti svegli con una grande voglia di essere amata, posseduta.
E poi mi hai detto piangendo e mordendoti le deliziose labbra, che quando lui sta via due o tre giorni, per te la mancanza del sesso con lui è un problema anche serio. Mi hai chiesto se sarei stato disposto ad aiutarti, con la massima discrezione, ovviamente. Cara: sei un tesoro di mammina e la vicina più dolce che abbia mai avuto! Ormai scopiamo con regolarità, Almeno una volta nel mezzo della settimana, quando lui è di sicuro lontano da casa almeno cento chilometri o per i soliti due-tre giorni di seguito. Mi allatti sempre ed è una cosa che mi piace da morire, un tuo vezzo dolcissimo per me. Poi mi accogli in culo senza lamentarti o in bocca con gran gioia. Quando vengo mi ingoi che è un vero piacere. Ti chiedo: “la vuoi la mia sborra?” E tu, staccandoti un attimo rispondi: “si… fammene bere tanta!” Non penso di aver mai prodotto tanto seme come da quando ti conosco.
In queste poche settimane penso di aver sborrato più di quanto abbia mai fatto in undici anni di matrimonio. Ci si aiuta a vicenda, quindi. Se posso, quando sono libero dal lavoro ti reggo il bambino mentre esci per la spesa o magari per distrarti un attimo. In compenso, tu a volte mi prepari deliziosi manicaretti. Con tuo marito siamo sempre grandi amici, ovviamente. Adoro vedervi la domenica mattina andare in chiesa: tu rilassata, soddisfatta e vestita in modo molto castigato. Lui felice, col bimbo in carrozzina e la donna più onesta, pura e fedele del mondo al suo braccio. Farebbe di tutto per te, difenderebbe il tuo onore da chiunque osasse mancarti di rispetto o solo pensare a toccarti. Vi adoro! Quando si dice avere rapporti di buon vicinato!
RDA
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Cotone oleato per il giaccone militare e il gilet impermeabile con ganci e zip; round-neck bianco naturale, camicia di cotone, pantaloni di panno, cravatta tricot. Tutto Ermenegildo Zegna
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The Blue Door. (This is not a dead end. The archway on the left opens onto a street).
La Porta blu. (No se trata de un callejón sin salida. El arco a la izquierda se abre a una calle).
(English / Español / Italiano)
A door catches our eye as we stroll through Ruga Giuffa in Venice. We are magnetised by the intense turquoise blue colour (like Mishima's eyes 😻) and the oriental shapes, reminding us that Venice was a gateway to the Orient.
Ruga Giuffa is the area where the first Armenian community settled. ´´Ruga´´ is a street with rows of shops on either side walkable only on foot. This Ruga takes its name from Giuffa or Julfa, a suburb of Ispahan in present-day Iran. The Armenians had to flee from their homeland which was destroyed and plundered by the Persian King Schach-Abas. The Armenians of the Ruga Giuffa traded in silk, cotton fabrics, wool and dyes imported from the East.
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Una puerta llama nuestra atención cuando paseamos por Ruga Giuffa en Venecia. Nos sentimos magnetizados por ese color azul turquesa intenso (como los ojos de Mishima😻) y esas formas orientales, que nos recuerdan que Venecia fue puerta a Oriente.
Ruga Giuffa, es la zona donde se asentó la primera comunidad de armenios. La ´´Ruga´´ es una calle con hileras de comercios a cada lado sólo transitable a pie. Esta Ruga toma el nombre de Giuffa o Julfa, suburbio de Ispahan, en la actual Irán. Los armenios tuvieron que huir de su tierra natal destruida y saqueada por el Rey de Persia, Schach-Abas. Los armenios de la Ruga Giuffa se dedicaron al comercio de la seda, tejidos de algodón, lana y tintes que importaban de Oriente.
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Passeggiando per Ruga Giuffa a Venezia, una porta cattura la nostra attenzione. Ci sentiamo magnetizzati dal colore blu turchese intenso (come gli occhi di Mishima 😻) e le forme orientali ci ricordano che Venezia era una porta d'Oriente.
Ruga Giuffa è la zona in cui si è insediata la prima comunità armena. La ´´Ruga´´ è una strada con file di negozi su entrambi i lati percorribile solo a piedi. Questa Ruga prende il nome da Giuffa o Julfa, un sobborgo di Ispahan nell'attuale Iran. Gli armeni dovettero fuggire dalla loro patria, distrutta e saccheggiata dal re persiano Schach-Abas. Gli armeni della Ruga Giuffa commerciavano in seta, tessuti di cotone, lana e tinture importate dall'Oriente.
Source: www.venecisima.com
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Good Golden morning for Anthony
The next morning, at exactly 7am, Anthony is woken from his sleep by a notification on his phone. A message from Waltergold containing a video. Still half asleep, he unlocks his phone and opens the video. The screen flickers with a strange mix of white and Gold lights, hypnotic. The soundtrack, a low, repetitive melody, fills his ears as he instinctively puts on his headphones.
He hesitates for a moment. He knows the video is an hour long, but he can't help but stare at the screen, fascinated by the Golden sparkles dancing before him. "It's just a video," he tells himself. Yet something about the flicker captivates him more than he would like. Gradually, his eyelids become heavy, and his mind blurs, as if he's dissolving into the Golden flow.
Lorsqu’il cligne enfin des yeux, une heure s’est écoulée sans qu’il ne s’en aperçoive. Il regarde l’horloge de son téléphone, incrédule. Il est 8h15. « Merde, je suis en retard ! » Son cœur s’emballe. Il sursaute, se précipite vers la salle de bain. Sous la douche, une pensée étrange lui traverse l’esprit. Il se souvient d’un détail presque oublié ; lors de son entretien d’embauche, son patron avait évoqué un code vestimentaire au travail. À l’époque, Anthony n’y avait pas prêté attention, préférant ses vêtements décontractés. Mais aujourd’hui, pour une raison qu’il n’arrive pas à expliquer, cette règle lui paraît soudain indispensable.
En sortant de la douche, ses mains s'attardent plus longtemps que d'habitude sur son visage, son menton, ses cheveux. Il se sent étrangement préoccupé par son apparence. Il ouvre son placard et, au lieu de prendre sa tenue décontractée habituelle, il se retrouve à chercher des vêtements plus formels. Son esprit est embrumé, mais une certitude émerge : il doit se conformer. C'est comme si une voix intérieure lui disait que suivre les règles est la seule option.
Il sort une chemise en coton blanc immaculé. La matière est douce, presque soyeuse sous ses doigts. Il la fait glisser sur son torse, ajustant chaque bouton avec une précision méticuleuse. Puis, il attrape un pantalon gris anthracite, en laine légère. Il ne se souvient même plus pourquoi il a ce pantalon, mais il le trouve parfait aujourd'hui. Enfilant de fines chaussettes noires et des chaussures de ville en cuir noir brillant, il est surpris par la sensation du cuir sur sa peau, raide et structurée, à l'opposé du confort de ses baskets habituelles.
Devant le miroir, il hésite avant d’ajouter une cravate bleu marine, à peine texturée. Il l’enroule autour de son cou, serrant le nœud avec une précision surprenante pour quelqu’un qui en a à peine porté une. La soie de la cravate glisse doucement entre ses doigts, et il ajuste le nœud jusqu’à ce qu’il soit parfaitement centré et serré. Un dernier détail saute aux yeux : ses cheveux. Il ramasse un pot de gel qui traînait dans son tiroir, se demandant brièvement pourquoi il fait ça, puis l’applique généreusement, en peignant ses cheveux sur le côté avec une raie parfaitement visible. Le gel brille à la lumière, fixant ses cheveux impeccablement. En voyant son reflet, il se sent à la fois étrangement satisfait et troublé. Pourquoi cette obsession soudaine ?
As he leaves for the office, a feeling of absolute control washes over him. The tight, well-fitting clothes reinforce a sense of discipline he has never felt before. The wool of the pants gently rubs against his legs with each step, the collar of his shirt is slightly tight around his neck, and the knot of his tie exerts a constant, almost reassuring pressure.
At the office, reactions are quick to come. As soon as he walks through the door, his colleagues look up, surprised. This sudden change in style does not go unnoticed.
“Wow, Anthony, this is the first time I’ve seen you dressed so smartly!” exclaims one of his colleagues.
“Do you have an interview with the bosses or something?” jokes another.
Anthony sketches an awkward smile, his cheeks slightly red, not really knowing what to say. He shrugs, mumbling something unintelligible about a “change of mood”. But that’s not the real reason. He knows it. There’s this inner voice, this impulse that pushed him to put on these formal clothes. He has a hard time understanding it, but it’s there, still echoing in his head.
Throughout the day, he receives compliments on his appearance. He finds himself enjoying the admiring glances. Yet, every chance he gets near a mirror, he can’t help but check his hair, running his hand through the gel to make sure his parting is still well defined. His tie knot becomes a silent obsession, which he adjusts constantly, even when no one is looking.
Despite the remarks and questions, Anthony easily focuses on his work. His thoughts also often drift to that morning video, to that strange feeling of obedience that now seems anchored in him. A part of him still resists, trying to understand what is happening, but another part, deeper, feels good in this new version of himself, more disciplined, more compliant.
The day finally ends. Anthony quickly greets his colleagues, escaping their curious glances, and goes home. He breathes a sigh of relief as he closes the door to his apartment behind him, but even at home, he cannot get rid of this strange feeling of discomfort and satisfaction mixed together.
(End of Part 3)
(Part 2)
#preppification#conformity#golden army#gold#ai generated#hypnotized#brainwashing#preppy#suit and tie#join us#gay men
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okej odlozenie nauki tego na pamiec na ostatni dzien zdecydowanie nie bylo madrym pomyslem
Claire regarde des photos de famille. Elle compare les photos de sa jeunesse avec celles de sa grand-mère. Elle trouve qu’il y a beaucoup de différences. Elles sont visibles dans les vêtements et les animaux présents à la maison aujourd’hui et dans le passé.
Sur les vieilles photos, la grand-mère de Claire porte des robes et des jupes. Pour Claire, ce n’est pas un vêtement confortable parce que, avec une robe ou une jupe, il faut mettre des collants. Claire déteste tout ça, mais elle adore les pantalons. Elle a plusieurs modèles de pantalon dans toutes les couleurs. Elle les porte tout le temps et ses pantalons sont en coton, en lin, en jean, en laine. Claire n’aime pas les chaussures que sa grand-mère porte sur une des photos. Elle a mis des ballerines, alors que Claire préfère les baskets. Les ballerines vont bien avec les robes, mais les chaussures de sport sont plus pratiques et confortables. Claire a autant de baskets que de pantalons. Pendant la jeunesse de sa grand-mère, le T-shirt n’existait pas encore. Avec une jupe, elle devait donc mettre un chemisier. Mais heureusement Claire peut acheter des T-shirts dans la boutique de vêtements ou même en ligne. Un T-shirt n’est pas aussi élégant qu’un chemisier, mais il est plus plébiscité par les jeunes.
Le style de Claire est moins formel que celui de sa grand-mère. C’est normal parce que Claire vit dans une époque différente. Elle a quarante ans de moins que sa mamie et les goûts ont évolué.
Claire est aussi surprise par les animaux qu’elle voit sur les photos. Les photos représentent sa grand-mère en compagnie de brebis, de vaches, de poules et d’une chèvre. Il y a aussi un chien. Il est presque aussi grand que la chèvre. La grand-mère a passé sa jeunesse à la campagne alors que Claire habite dans un immeuble dans une grande ville. Elle a aussi des animaux. Les siens sont moins nombreux, mais plus exotiques. Claire vit avec un perroquet, un cobaye et trois poissons rouges.
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LA LEGGENDA DELL'ANANAS NEL CARRELLO
Sabato pigro, sabato fresco in questa metà di settembre, con le temperature velocemente precipitate. Ma è anche sabato di spesa questo.
Entro al supermercato con il carrello, il primo reparto che trovo è quello della frutta. Distrattamente prendo un ananas, attratto da quel colore giallo e verde acceso, che mi ricordano i colori della bandiera brasiliana.
Non appena l'ananas è nel carrello, mi sento osservato. Mi giro, incrocio lo sguardo di una donna dall'aria vivace con un carrello colmo di prodotti biologici.
<Forse>, penso tra me e me, <approva la mia scelta di aver preso un ananas fresco e non di quelli inscatolati e già affettati.>
Mi fermo a osservare una piantina di basilico, lei mi si avvicina: "Hai il pollice verde?"
"Scusa?", le chiedo stranito, incredulo che mi rivolga la parola.
"Chiedevo se hai il pollice verde, vedendoti interessato al basilico", mi risponde.
"Mah, ci stavo pensando ma poi ho valutato che vivrebbe di più senza di me ed è meglio lasciarla qui al supermercato", le ho risposto con aria rassegnata.
Così dovrebbe bastarle. Dovrebbe capire che se faccio morire le piante di basilico figuriamoci i frutti dell'amore. Appassirebbero subito.
"Piacere, mi chiamo Monica", decisa con la mano allungata verso di me.
"Eh... piacere, Ri-Rino", le rispondo preso in contropiede.
"Ririno? Che nome strano."
"Mi hanno chiamato così perché non capivo mai niente, dovevano ripetermi le cose due volte da piccolo."
Lei ride. Ha capito la mia battuta, che non era una battuta, ma una vergognosa menzogna per mascherare il fatto di aver balbettato, davanti a lei, il mio nome.
Sorrido e riparto con il carrello, mi sento in imbarazzo, percepisco dal rumore che resta nei miei paraggi con il suo carrello.
Prendo una busta d'insalata e la butto distrattamente nel mio carrello.
"Quindi cerchi una relazione veloce e leggera", mi chiede incuriosita.
"Scusami ma non ti ho compreso."
"Allora", con un sorriso che stenderebbe chiunque, "se vicino all ananas metti l'insalata vuol dire che cerchi una relazione basata sul solo sess0, nulla di più."
"Ah... e se ci fosse della cioccolata?"
"Vuol dire che si cerca un'esperienza dolce e romantica."
"E se ci mettessi della conserva di frutta?", le chiedo incuriosito.
"In questo caso sei alla ricerca di una relazione dolce e duratura."
"Caramelle?"
"Passionale e sempre dolce."
A questo punto dal mio cervello sbuca un ricordo, quello della leggenda dell'ananas nel carrello. Nei supermercati era il modo di segnalare la propria disponibilità a conoscerci. Prima dei vari Tinder, Badoo e Meetic c'erano ananas e altri frutti.
Cazz0. Non me l'ero ricordato, a saperlo ci avrei messo subito dei limoni nel mio carrello, per segnalare una vita aspra. O dei kiwi, per indicare quanto ne avessi pieni gli 'zebedei'.
Deciso do una spinta al carrello, ora non so cosa metterci dentro. Ho paura a guardare la lista. Metti che ci fossero scritte 'zucchine', come interpreterebbe la cosa?
Entro nel reparto delle celle frigorifere, quelle aperte, dove in piena estate trovi quel refrigerio che ti riporta alle fresche serate d'ottobre.
Sento il suo carrello dietro al mio, dal fiato sul collo al carrello al culo è un attimo. Mi giro, lei sorride. Faccio la mossa di indossare la felpa in cotone che avevo appoggiato sull'impugnatura del carrello.
"Sai com'è", le dico mentre la indosso, "ho una certa età:"
Questo dovrebbe essere un chiaro segno della mia anzianità latente.
Velocemente mi fiondo nel reparto dolci, rimango in quella corsia fissando gli scaffali. Credo di aver avuto un'espressione abbastanza preoccupata.
"Tutto bene?", sento di nuovo lei prontamente a chiedermelo.
"Ehm, diciamo di si."
"Stai guardando gli ovetti al cioccolato, ti piacciono?"
"Si, il problema è quando arriverò alla cassa, mi creano più ansia gli ovetti al cioccolato che dei preservativi."
Ride, "Ma dai e perché?"
"Ti sembro uno che ha l'età per comprarsi degli ovetti al cioccolato? Mia cara... cara... scusami, già non mi ricordo il nome."
A quel punto mi mostra il cartellino di riconoscimento, appeso al suo collo, che le era andato sotto la sua felpa, "Ce l'ho scritto qui: Monica. Se vuoi tra poco vado in cassa, appena ho finito di rimuovere alcuni prodotti in scadenza dagli scaffali, così con me non dovrai andare in ansia."
"Ah, ma tu lavori qui!", ma dai ma che scoperta, ma cosa mi credevo? Illuso.
"Si, sei un nuovo cliente da noi?"
"Come fai a saperlo? Generalmente vado da un'altra parte."
"Si impara velocemente a riconoscere la gente che frequenta il supermercato dove si lavora. Chi sono, la frequenza e le assenze."
"Cosa intendi?"
"Intendo dire che lavorando in questo tipo di attività impari a capire il passare del tempo, della vita. Le persone anziane, per esempio, le noti perché ti fanno tante domande. Credo che a volte lo facciano perché sole, per parlare con qualcuno. Quando non le vedi per un po’ di tempo cominci a preoccuparti. Se non le vedi più capisci che potrebbero essere finite in un ospizio. O peggio morte. I bambini invece li noti perché corrono tra le corsie, li trovi spesso in quelle dei dolci o dove ci sono i giocattoli. Quando non li vedi più correre per le corsie vuol dire che sono diventati adolescenti, hanno la loro vita con gli amici. Non vengono più con i genitori a fare la spesa."
Rimango allibito e le chiedo, "E chi sta nel mezzo?"
"Quelli stanno nel mezzo, della vita, vanno e vengono come le offerte promozionali, spesso anche loro sono scontati", gli occhi di Monica sono lucidi, sembrano contenere il firmamento intero.
"Comunque", le rispondo per cercare di farla sorridere, "Non si è mai troppo vecchi e né troppo giovani, per lanciare prodotti a caso nel carrello di sconosciuti al supermercato mentre non guardano. Quando sarai in cassa e vedrai gente rinnegare quello che hanno nel carrello, ecco in quel momento pensa a me. Anche se non sono in offerta."
Non ho fallito, quel sorriso me lo porterò con me fino a che non mi addormenterò. Questa notte.
Oggi un ananas mi ha dato modo d'imparare, di conoscere. La frutta fa davvero bene. Anche se i nostri problemi sono iniziati da una cacchio di mela.
P.s. per questo racconto nessuna addetta alle vendite/cassiera è stata maltrattata
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[Lei s’innamorò come s’ innamorano sempre le donne intelligenti:
come un’ idiota]
La zia Daniela s’innamorò come s’innamorano sempre le donne intelligenti: come un’idiota. Lo aveva visto arrivare un mattino, le spalle erette e il passo sereno, e aveva pensato: «Quest’uomo si crede Dio». Ma dopo averlo sentito raccontare storie di mondi lontani e di passioni sconosciute, si innamorò di lui e delle sue braccia come se non parlasse latino sin da bambina, non avesse studiato logica e non avesse sorpreso mezza città imitando i giochi poetici di Góngora e di suor Juana Inés de la Cruz come chi risponde ad una filastrocca durante la ricreazione. Era tanto colta che nessun uomo voleva mettersi con lei, per quanto avesse occhi di miele e labbra di rugiada, per quanto il suo corpo solleticasse l’immaginazione risvegliando il desiderio di vederlo nudo, per quanto fosse bella come la Madonna del Rosario. Gli uomini avevano paura di amarla, perché c’era qualcosa nella sua intelligenza che suggeriva sempre un disprezzo per il sesso opposto e le sue ricchezze.
Ma quell’uomo che nulla sapeva di lei e dei suoi libri le si accostò come a chiunque altra. Allora la zia Daniela lo dotò di un’intelligenza abbagliante, una virtù angelica e un talento d’artista. Il suo cervello lo guardò in tanti modi che in capo a dodici giorni credette di conoscere cento uomini.
Lo amò convinta che Dio possa aggirarsi tra i mortali, abbandonata con tutta se stessa ai desideri e alle stramberie di un uomo che non aveva mai avuto intenzione di rimanere e non aveva mai capito neppure uno di tutti i poemi che Daniela aveva voluto leggergli per spiegare il suo amore.
Un giorno così com’era venuto, se ne andò senza neppure salutare. Non ci fu allora in tutta l’intelligenza della zia Daniela una sola scintilla in grado di spiegarle ciò che era successo.
Ipnotizzata da un dolore senza nome né destino, diventò la più stupide delle stupide. Perderlo fu un dolore lungo come l’insonnia, una vecchiaia di secoli, l’inferno.
Per pochi giorni di luce, per un indizio, per gli occhi d’acciaio e di supplica che le aveva prestato una notte, la zia Daniela sotterrò la voglia di vivere e cominciò a perdere lo splendore della pelle, la forza delle gambe, l’intensità della fronte e delle viscere.
Nel giro di tre mesi divenne quasi cieca, le crebbe una gobba sulla schiena e dovette succedere qualcosa anche al suo termostato interno, perché, nonostante indossasse anche in pieno sole calze e cappotto, batteva i denti dal freddo come se vivesse al centro stesso dell’inverno. La portavano fuori a prendere aria come un canarino. Le mettevano accanto frutta e biscotti da becchettare, ma sua madre si portava via il piatto intatto mentre Daniela rimaneva muta, nonostante gli sforzi che tutti facevano per distrarla.
All’inizio la invitavano in strada, per vedere se, guardando i colombi e osservando la gente che andava e veniva, qualcosa in lei cominciasse a dare segni di attaccamento alla vita. Provarono di tutto. Sua madre se la portò in Spagna e le fece girare tutti i locali sivigliani di flamenco senza ottenere da lei nulla più di una lacrima, una sera in cui il cantante era allegro. La mattina seguente inviò un telegramma a suo marito:«Comincia a migliorare, ha pianto un secondo». Era diventata come un arbusto secco, andava dove la portavano e appena poteva si lasciava cadere sul letto come se avesse lavorato ventiquattr’ore di seguito in una piantagione di cotone. Alla fine non ebbe più forze che per gettarsi su una sedia a dire a sua madre:«Ti prego, andiamocene a casa».
Quando tornarono, la zia Daniela camminava a stento, e da allora non volle più alzarsi dal letto. Non voleva neppure lavarsi, né pettinarsi, né fare pipì. Un mattino non riuscì neppure ad aprire gli occhi.
«E’ morta!», sentì esclamare intorno a sé, e non trovò la forza di negarlo.
Qualcuno suggerì a sua madre che un tale comportamento fosse un ricatto, un modo di vendicarsi degli altri, una posa da bambina viziata che, se di colpo avesse perso la tranquillità di una casa sua e la pappa pronta, si sarebbe data da fare per guarire da un giorno all’altro. Sua madre fece lo sforzo di crederci e seguì il consiglio di abbandonarla sul portone della cattedrale. La lasciarono lì una notte con la speranza di vederla tornare, affamata e furiosa, com’era stata un tempo. La terza notte la raccolsero dal portone e la portarono in ospedale tra le lacrime di tutta la famiglia.
All’ospedale andò a farle visita la sua amica Elidé, una giovane dalla pelle luminosa che parlava senza posa e che sosteneva di saper curare il mal d’amore. Chiese che le permettessero di prendersi cura dell’anima e dello stomaco di quella naufraga. Era una creatura allegra e attiva. Ascoltarono il suo parere. Secondo lei, l’errore nella cura della sua intelligente amica consisteva nel consiglio di dimenticare. Dimenticare era una cosa impossibile. Quel che bisognava fare era imbrigliare i suoi ricordi perché non la uccidessero, perché la obbligassero a continuare a vivere.
I genitori ascoltarono la ragazza con la stessa indifferenza che ormai suscitava in loro qualsiasi tentativo di curare la figlia. Davano per scontato che non sarebbe servito a nulla, ma autorizzarono il tentativo come se non avessero ancora perso la speranza, che ormai avevano perso.
Le misero a dormire nella stessa stanza. Passando davanti a quella porta, in qualsiasi momento, si udiva l’infaticabile voce di Elidé parlare dell’argomento con la stessa ostinazione con la quale un medico veglia un moribondo. Non stava zitta un minuto. Non le dava tregua. Un giorno dopo l’altro, una settimana dopo l’altra.
«Come hai detto che erano le sue mani?», chiedeva.
Se la zia Daniela non rispondeva, Elidé l’attaccava su un altro fronte.
«Aveva gli occhi verdi? Castani? Grandi?».
«Piccoli», rispose la zia Daniela, aprendo bocca per la prima volta dopo un mese.
«Piccoli e torbidi?», domandò Elidé.
«Piccoli e fieri», rispose la zia Daniela, e ricadde nel suo mutismo per un altro mese.
«Era sicuramente del Leone. Sono così, i Leoni», diceva la sua amica tirando fuori un libro sui segni zodiacali. Le leggeva tutte le nefandezze che un Leone può commettere. «E poi sono bugiardi. Ma tu non devi lasciarti andare, sei un Toro: sono forti le donne del Toro».
«Di bugie sì che ne ha dette», le rispose Daniela una sera.
«Quali? Non te ne scordare! Perché il mondo non è tanto grande da non incontrarlo mai più, e allora gli ricorderai le sue parole: una per una, quelle che ti ha detto e quelle che ha fatto dire a te».
«Non voglio umiliarmi».
«Sarai tu a umiliare lui. Sarebbe troppo facile, seminare parole e poi filarsela».
«Le sue parole mi hanno illuminata!», lo difese la zia Daniela.
«Si vede, come ti hanno illuminata!», diceva la sua amica, arrivate a questo punto.
Dopo tre mesi ininterrotti di parole la fece mangiare come Dio comanda. Non si rese neppure conto di come fosse successo. L’aveva portata a fare una passeggiata in giardino. Teneva sottobraccio una cesta con frutta, pane, burro, formaggio e tè. Stese una tovaglia sull’erba, tirò fuori la roba e continuò a parlare mettendosi a mangiare senza offrirle nulla.
«Gli piaceva l’uva», disse l’ammalata.
«Capisco che ti manchi».
«Sì» disse la zia Daniela, portandosi alla bocca un grappolo d’uva. «Baciava divinamente. E aveva la pelle morbida, sulla schiena e sulla pancia».
«E com’era… sai di che cosa parlo», disse l’amica, come se avesse sempre saputo che cosa la torturava.
«Non te lo dico», rispose Daniela ridendo per la prima volta dopo mesi. Mangiò poi pane e burro, formaggio e tè.
«Bello?», chiese Elidé.
«Sì», rispose l’ammalata, ricominciando a essere se stessa.
Una sera scesero a cena. La zia Daniela indossava un vestito nuovo e aveva i capelli lucidi e puliti, finalmente liberi dalla treccia polverosa che non si era pettinata per tanto tempo.
Venti giorni più tardi, le due ragazze avevano ripassato tutti i ricordi da cima a fondo, fino a renderli banali. Tutto ciò che la zia Daniela aveva cercato di dimenticare, sforzandosi di non pensarci, a furia di ripeterlo divenne per lei indegno di ricordo. Castigò il suo buon senso sentendosi raccontare una dopo l’altra le centoventimila sciocchezze che l’avevano resa felice e disgraziata.
«Ormai non desidero più neppure vendicarmi», disse un mattino a Elidé. «Sono stufa marcia di questa storia».
«Come? Non mi ridiventare intelligente, adesso», disse Elidé. «Questa è sempre stata una questione di ragione offuscata: non vorrai trasformarla in qualcosa di lucido? Non sprecarla, ci manca la parte migliore: dobbiamo ancora andare a cercare quell’uomo in Europa e in Africa, in Sudamerica e in India, dobbiamo trovarlo e fare un baccano tale da giustificare i nostri viaggi. Dobbiamo ancora visitare la Galleria Pitti, vedere Firenze, innamorarci a Venezia, gettare una moneta nella Fontana di Trevi. Non vogliamo inseguire quell’uomo che ti ha fatto innamorare come un’imbecille e poi se n’è andato?».
Avevamo progettato di girare il mondo in cerca del colpevole, e questa storia che la vendetta non fosse più imprescindibile nella cura della sua amica era stata un brutto colpo per Elidé. Dovevano perdersi per l’India e il Marocco, la Bolivia e il Congo, Vienna e soprattutto l’Italia. Non aveva mai pensato di trasformarla in un essere razionale dopo averla vista paralizzata e quasi pazza quattro mesi prima.
«Dobbiamo andare a cercarlo. Non mi diventare intelligente prima del tempo», le diceva.
«E’ arrivato ieri», le rispose la zia Daniela un giorno.
«Come lo sai?»
«L’ho visto. Ha bussato al mio balcone come una volta».
«E che cosa hai provato?»
«Niente».
«E che cosa ti ha detto?»
«Tutto».
«E che cosa gli hai risposto?»
«Ho chiuso la finestra».
«E adesso?», domandò la terapista.
«Gli assenti si sbagliano sempre».
Ángeles Mastretta
[racconto tratto dal libro “Donne dagli occhi grandi”]
*traduzione di Gina Maneri
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Tu es Gay ?
J'étais étudiant et mon éducation avec ma soeur et Christine m'avait permis de goûter tous les plaisirs des deux sexes. J'avais eu le plaisir de faire l'amour avec Christine à quelques reprises lors de nos jeux de l'après-midi, sur leur demande à toutes les deux. Mais… Je n'avais pas encore eu de relation sexuelle avec une fille en dehors de notre cercle intime. L'occasion s'est présentée avec ma première chérie, rencontrée à l'Université. Le souci, vous vous en doutez, était que sous mes dehors de garçon "normal", j'étais plutôt féminin. Dans l'armoire de ma chambre d'étudiant, il y avait peut être deux ou trois slips de garçon mais ils étaient perdus au millieu des petites culottes, des petites jupes et robes, des collants et de mes nuisettes ! J'avais presque autant de vêtements de fille que de garçon et beaucoup plus de lingerie. C'est dans ce cadre, en fin de soirée, que j'ai reçu ma première chérie dans ma chambre. Je ne lui avais rien dit par peur de la moquerie (j'y avais déjà eu droit à la piscine) et j'avais un peu honte aussi. C'est lorsqu'elle a déboutonné mon jean qu'elle a eu la surprise. Elle a découvert une culotte de coton blanc décorée de dentelle et de petites fleurs qui couvrait mon sexe presqu'entièrement épilé. Elle a eu un petit mouvement de recul et elle m'a dit : " Tu es gay !" Non, bien sûr que non ! J'aime trop les filles et j'aime me sentir bien dans mes dessous ! lui ai-je répondu. Craignant qu'elle parte, je lui ai demandé de m'écouter et je lui ai raconté mon histoire, mes apprentissages… ma vie cachée. Cela a pris un peu de temps et peu à peu elle s'est rapprochée de moi et elle a repris son exploration de mon jean. Nous avons ensuite fait l'amour et je pense que je lui ai donné du plaisir. Mes enseignements reçus de ma soeur et Christine m'ont permis de savoir comment m'y prendre. Nous sommes restés ensemble ensuite pendant quelques semaines nous avons partagé beaucoup de choses, à commencer par mes culottes qu'elle adorait m'emprunter !
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You're gay!
I was a student and my education with my sister and Christine had allowed me to taste all the pleasures of both sexes. I had had the pleasure of making love with Christine a few times during our afternoon games, at their request. But… I had not yet had sexual relations with a girl outside our intimate circle. The opportunity arose with my first sweetheart, whom I met at the University. The problem, as you can imagine, was that under my "normal" boy exterior, I was rather feminine. In the wardrobe of my student room, there were perhaps two or three pairs of boy's briefs but they were lost in the middle of the panties, the little skirts and dresses, the tights and my nighties! I had almost as many girls' clothes as boys' clothes and much more lingerie. It was in this context, at the end of the evening, that I received my first sweetheart in my room. I hadn't told her anything for fear of being mocked (I had already been mocked at the swimming pool) and I was a little ashamed too. It was when she unbuttoned my jeans that she was surprised. She discovered a pair of white cotton panties decorated with lace and little flowers that covered my almost entirely shaved sex. She took a step back and said to me: "You're gay!"
No, of course not! I like girls too much and I like feeling good in my underwear! I answered her. Fearing that she would leave, I asked her to listen to me and I told her my story, what I had learned… my hidden life. It took a little time and little by little she got closer to me and she resumed her exploration of my jeans. We then made love and I think I gave her pleasure. My lessons from my sister and Christine allowed me to know how to do it. We stayed together for a few weeks and shared a lot of things, starting with my panties that she loved to borrow!
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"Che buon profumo, vita mia! ".
"Che profumata, amore mio! ".
Eravamo novelli sposi.
Erano frasi di rigor.
Dopo il bagno lui puzzava di Yardley o che ne so io
mentre io mi profumavo
con profumi Christian Dior.
Ma oggi... Che differenza!
Lui odora di unguenti e io
alla Pomada della campana
che mi metto all'ingrosso.
Come sono cambiati i tempi
di quando mi ha conosciuto!
I vecchi tempi erano
sopra il cassettiere
una rosa, il suo ritratto,
un profumo e un orologio.
Adesso? Un flacone di aspirina;
l'unguento di rigor;
alcune bende; i miei occhiali;
pillole di canfora;
la siringa, la fiala,
cotone e alcool.
E nel suo, ammucchiati,
affinché stiano meglio,
un bicchiere per i suoi "denti";
il flacone dell'attrito;
un libro aperto; i suoi occhiali;
sciroppo per la tosse;
e acqua e aspirina
nel caso ci venisse un dolore...
Tuttavia: non ci manca
"Via col vento".
Ricordiamo ciò che eravamo
e viviamo il nostro oggi.
Al mattino, senza fretta,
sempre la stessa canzone:
"Come hai dormito, tesoro? ".
"Un dolore mi ha svegliato"...
"Come ti senti, tesoro? ".
"Oggi sento forte il dolore".
E di notte, forse
ricordando qualcosa di meglio,
odorando di salicilato,
pomate e iniezione,
Ripetiamo il solito,
la stessa cosa di ieri e oggi:
"Dormi bene vita mia".
"Dormi bene amore mio"...
Preghiamo un Padre Nostro e ringraziamo Dio.
La vita è bella, a qualsiasi età..
(Web)
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