#HongSangsoo

[allaloneatall]

right now, wrong then (지금은맞고그때는틀리다) 2015

directed and written by hong sang-soo

[film-book]

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Film Review: BY THE STREAM: Director Hong Sang-soo's Comic and Poetic Film is a Tad Slight but Enjoyable to Watch [NYFF 2024] https://film-book.com/film-review-by-the-stream-director-hong-sang-soos-comic-and-poetic-film-is-a-tad-slight-but-enjoyable-to-watch-nyff-2024/?feed_id=157938&_unique_id=66fc1343ea142

[cartelesdecine]

La nueva película del coreano #HongSangSoo (La novelista y su película). Un director de cine visita, junto a su hija, a una antigua amiga decoradora de interiores. #EnLoAlto se estrena en cines el 25 de agosto https://wp.me/p31Uqp-1iSa

[intellectures]

Berlinale 2023: Avantgarde statt Blockbuster

Insgesamt 18 Filme werden bei der 73. Berlinale im Wettbewerb um den Goldenen und die Silbernen Bären konkurrieren, allein fünf Filme kommen von deutschen Filmemacher:innen. Margarethe von Trotta kehrt nach Jahrzehnten zum Festival zurück. Der amerikanische Regisseur Steven Spielberg wird den diesjährigen Ehrenbären erhalten. Read the full article

[kabukicat]

昨日のお休みは、シネ・リーブル梅田でホン・サンス監督の『小説家の映画』を鑑賞。

長くキャリアを重ねてきた監督が、あらためて「映画を作る」ことに向き合ったかのような作品。初心者の気持ちに戻り、本当に撮りたい作品だけを撮っていきたいという意思表明のように思えました。

いつもの常連で安心のキャストのなか、愛らしい花束を手にしたキム・ミニにキュンとなりました。

#cinema #hongsangsoo #thenovelistsfilm

[everydayeveryday]

“Being conventional is comfortable. When you’re looking for solace, it’s only natural to find it in conventional things.”

Right Now, Wrong Then (2015) | Hong Sangsoo

[yeong--hwa]

Hotel by the River (강변 호텔) - Hong Sang-soo

Briser la glace

Tourné durant deux courtes semaines d'hiver, Hotel by the River est un film doublement glacial, doté de deux types de froideur : l'une est celle des enjeux narratifs (une famille dénucléarisée au lien père-fils fragile ; une jeune femme trahie par un homme fuyant la solitude avec une amie) et l'autre celle du cadre narratif. Aux antipodes de ses trois derniers films, Hong Sang-Soo renoue avec l'hiver et les flocons de neige tombants à la fin du Jour d'après. Cette fois, le spectacle est néanmoins mis en ellipse à travers une sieste : au réveil des personnages, la neige apparaît comme par magie, dans toute sa splendide épaisseur.

C'est qu'aucun spectacle ne se produit dans Hotel by the River : la neige, éphémère, imprévisible et abondante, apparaît comme la beauté amère d'une vie parsemée d'embuches, de laquelle quelques éclats de lumière font parfois leur apparition. Dès sa sortie de l'hôtel qui borde le fleuve Han (mais toutefois isolé en campagne - la ville, comme d'habitude chez Hong Sang-soo, fait figure absente), Ah-reum (Kim Min-hee) délivre ainsi l'anecdote constituant in fine le sens de cette neige : quand elle était enfant, elle se remémore un jour de classe où les gros flocons tombaient abondamment. Les élèves, dissipés par ce spectacle si simple, se précipitaient alors à la fenêtre, apparaissant comme des chiots au yeux du professeur. Ces chiots sont toujours sous nos yeux : Kim Min-hee et son amie, le vieux poète et ses enfants, tous sont dépassés, comme naïvement subjugués par le spectacle de leur propre vie. Si Hotel by the River se constitue aussi à travers un traitement en noir et blanc, ce n'est donc sûrement pas tant pour rappeler la froideur de l'hiver que celle de la complexité des relations qu'ont entre-eux les personnages, auxquels n'échappent pas même ceux que l'on ne voit presque pas : le père, vieux poète déchu se sentant mourir, est hébergé à titre gracieux dans un hôtel par un admirateur. En un instant, cette admiration prend fin : le vieillard devra partir demain. Même rejet chez une employée, attirée par les autographes, qui, après avoir obtenu le salut enjoué du poète, fait face au désintérêt apparent du son fils cadet, un modeste réalisateur.

Comment déchiffrer ce qui se trame à l'intérieur de ceux que l'on admire ? Comment voir clair dans la brume, comment apercevoir les envies et les aspirations qui s'offrent à nous ? À bien des égards, Hong Sang-soo semble vouloir apporter un semblant de réponse en filmant un paysage neigeux dont la mise au point, volontairement floue, donne bien de la peine à savoir ce que l'on regarde de prime abord. Soudain, un bref mouvement de caméra dissipe le flou, nous permettant de distinguer une montagne enneig��e ou une rivière froide recouverte de glace. Mais contemplant maintenant les personnages seuls face à leur solitude, on ne peut garder en nous la prétention de voir clair.

Alors où donc regarder ? Peut-être dans cette scène où le vieillard apprend à ses deux fils la signification de leurs prénoms en hanja : celle du prénom de l'aîné, relativement courte, contraste avec celle du cadet, emplie de détails. Est-ce un favoritisme ? Pas du tout : la signification majeure de son prénom est de vivre heureux aux côtés de son propre frère. Le désir enfoui au plus profond de leur père n'est pas celui d'écrire des poèmes, mais de vivre l'amour honnêtement et avec force. Un amour bien difficile à transmettre, qui explose finement dans une scène de restaurant arrosée par du makgeolli, tandis que les deux amies, entrant par hasard, commentent à leur tour cette discussion enivrée, reflet de leurs malheurs propres et de leurs expériences, renouant avec le classicisme formel dont le cinéaste dénude nos problèmes existentiels les plus profonds. Un peu avant dans le film, Kim-min hee jaspine à propos d'un cinéaste se trouvant à mi-parcours entre le cinéma d'auteur et le cinéma divertissant, que ses films doivent être ennuyeux. Une réponse apparaît alors comme évidente : bienheureux soient ceux d'Hong Sang-soo.

[livinginanasianmovie]

On the Beach at Night Alone (2017) dir. Hong Sang-soo

[arponr]

Lost in the Mountains (Hong Sang-soo)

“Men are all the same, but I could talk earnestly with Myung-woo about things that matter.”

[asalvadorsala]

In Another Country, 2012 #HongSangSoo @hongsangsoofilm https://www.instagram.com/p/CCuF91KofcP/?igshid=6ivdkurz8byr

[film-book]

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Film Review: A TRAVELER'S NEEDS: Isabelle Huppert Lights Up the Screen in a Quirky and Interesting Comedy [NYFF 2024] https://film-book.com/film-review-a-travelers-needs-isabelle-huppert-lights-up-the-screen-in-a-quirky-and-interesting-comedy-nyff-2024/?feed_id=157453&_unique_id=66f3efc5aebb1

[smallscreengifs]

[c-o-n-f-l-u-x]

Claire’s Camera (2017) #HongSangSoo

From Experimental Film Society

[patrickbateman38]

Right Now, Wrong Then (2015) Dir: Hong Sang- Soo - - - Right Now, Wrong Then (2015), the title itself withholds the truth of the film. How the same scenario could produce two different ramifications, yet it ends with no one getting anything yet everything. It would be a shallow quest for me to collate this film with "Blind Chance", where Kieslowski meddles with metaphysics and chance. It is quite difficult for me to abscond from the moroseness and the melancholic underlying tone of the film. Howbeit, Right Now, Wrong Then, ends with a sweet and a melancholic tone, providing us with two endings with regret, love, chance, and blind possibilities. Thank you, @mubi - - - - #film #films #movies #movie #korean #koreanfilm #hongsangsoo #filmisnotdead #community #director #art #arthouse #cinema #cine #cinephile #filmmaker #filmmakers #artist #moviebuff #filmbuff #melancholy #bittersweet #moviestill #movietime🎬 (at Suwon) https://www.instagram.com/p/BtfYak5FdPK/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=ausq3nn5gqke

[everydayeveryday]

“Thank you for everything.”

“I’m grateful, too.”

Right Now, Wrong Then (2015) | Hong Sangsoo

[popgirlnyc]

I pieced together Hong Sangsoo’s message to us at Walk Up where I got the first message and just enjoyed the rest. Then at The Novelist’s Film, I knew it was coming. #WalkUp #hongsangsoo #thenovelistsfilm #nyff60 @thenyff @filmlinc https://www.instagram.com/p/CjdDYBquPYm/?igshid=NGJjMDIxMWI=