#Gala Québec Cinéma
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Behind the scenes with Jay Du Temple at the Québec Cinéma Gala.
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Gala Québec Cinéma 2023: les nominations
Animé par Jay Du Temple, le 25e Gala Québec Cinéma sera diffusé le dimanche 10 décembre prochain à 20h sur les ondes de Noovo et Noovo.ca, en direct des studios Grandé de Montréal. Le Gala Artisans, animé par Fabiola Nyrva Aladin, aura lieu le 7 décembre à 19h30 au Studio TD.
Voici la liste complète des nominations:
IRIS HOMMAGE Rémy Girard
MEILLEUR FILM Arsenault et Fils | La maison de prod — Stéphanie Morissette, Charles Stéphane Roy Babysitter | Amérique Film — Martin Paul-Hus, Catherine Léger ; Phase 4 Productions — Pierre-Marcel Blanchot, Fabrice Lambot Falcon Lake | Metafilms — Nancy Grant, Sylvain Corbeil ; Onzecinq — Dany Boon, Jalil Lespert ; Cinéfrance Studios — Julien Deris, David Gauquié, Jean-Luc Ormières Le plongeur | Sphère Média — Marie-Claude Poulin Les chambres rouges | Némésis Films — Dominique Dussault Noémie dit oui | Productions Leitmotiv — Patricia Bergeron Viking | micro_scope — Luc Déry, Kim McCraw
MEILLEUR PREMIER FILM
Falcon Lake | Charlotte Le Bon Farador | Édouard Albernhe Tremblay Les hommes de ma mère | Anik Jean Noémie dit oui | Geneviève Albert Rodéo | Joëlle Desjardins Paquette
MEILLEURE RÉALISATION Monia Chokri | Babysitter Stéphane Lafleur | Viking Francis Leclerc | Le plongeur Rafaël Ouellet | Arsenault et Fils Pascal Plante | Les chambres rouges
MEILLEUR SCÉNARIO Eric K. Boulianne, Francis Leclerc | Le plongeur Stéphane Lafleur, Eric K. Boulianne | Viking Catherine Léger | Babysitter Rafaël Ouellet | Arsenault et Fils Pascal Plante | Les chambres rouges MEILLEURE INTERPRÉTATION FÉMININE | PREMIER RÔLE Larissa Corriveau (Steven) | Viking Kelly Depeault (Noémie) | Noémie dit oui Hélène Florent (Rose Lemay) | Une femme respectable Léane Labrèche-Dor (Elsie) | Les hommes de ma mère Sara Montpetit (Chloé) | Falcon Lake
MEILLEURE INTERPRÉTATION MASCULINE | PREMIER RÔLE Guillaume Cyr (Adam) | Arsenault et Fils Patrick Hivon (Cédric) | Babysitter Steve Laplante (John) | Viking Henri Picard (Stéphane) | Le plongeur Luc Picard (Gérald Gallant) | Confessions
MEILLEURE INTERPRÉTATION FÉMININE | RÔLE DE SOUTIEN Laurie Babin (Clémentine) | Les chambres rouges Élise Guilbault (Soeur Monique) | Le temps d’un été Ève Landry (Josée) | Bungalow Julie Le Breton (Isabelle) | Tu te souviendras de moi Nadia Tereszkiewicz (Amy) | Babysitter
MEILLEURE INTERPRÉTATION MASCULINE | RÔLE DE SOUTIEN Maxime de Cotret (Greg) | Le plongeur Charles-Aubey Houde (Bébert) | Le plongeur Denis Houle (Liz)| Viking Steve Laplante (Jean-Michel) | Babysitter Guy Nadon (Maître Jean-Pierre Genin) | Le temps d’un été
RÉVÉLATION DE L’ANNÉE Fabiola N. Aladin (Janet) | Viking Emi Chicoine (Léa) | Noémie dit oui Virginie Fortin (Elsa) | 23 décembre Juliette Gariépy (Kelly-Anne) | Les chambres rouges Joan Hart (Bonnie) | Le plongeur François Pérusse (Alain) | Niagara
MEILLEURE DISTRIBUTION DES RÔLES Nathalie Boutrie — Nathalie Boutrie Casting | Arsenault et Fils Marilou Richer — Marilou Richer Casting | Les chambres rouges Lucie Robitaille, Dandy Thibaudeau — Casting Lucie Robitaille | Viking Annie St-Pierre, Antoinette Boulat | Babysitter Brigitte Viau — Casting Brigitte Viau | Le plongeur MEILLEURE DIRECTION ARTISTIQUE André-Line Beauparlant | Viking Sylvie Desmarais| Bungalow Mathieu Lemay | Le plongeur Laura Nhem | Les chambres rouges Colombe Raby | Babysitter
MEILLEURE DIRECTION DE LA PHOTOGRAPHIE Steve Asselin | Le plongeur Vincent Biron| Les chambres rouges Kristof Brandl | Falcon Lake Josée Deshaies | Babysitter Sara Mishara | Viking
MEILLEURS EFFETS VISUELS Marc Hall — A.A. Studios | Babysitter Marc Hall — A.A. Studios, Alex GD — RGB124 | Farador Marc Hall — A.A. Studios | La cordonnière Marie-Claude Lafontaine, Simon Beaupré — Alchimie 24 | Viking Mathilde Vézina-Bouchard | Mistral spatial
MEILLEUR SON Sylvain Bellemare, Bernard Gariépy Strobl, Pierre Bertrand | Viking Olivier Calvert, Stéphane Bergeron, Martyne Morin | Les chambres rouges Olivier Calvert, Luc Boudrias, Yann Cleary | Le plongeur Stephen De Oliveira, Séverin Favriau, Stéphane Thiébaut | Falcon Lake Daniel Fontaine-Bégin, Luc Boudrias, Henry Jr Godding | Arsenault et Fils
MEILLEUR MONTAGE Pauline Gaillard | Babysitter Sophie Leblond| Viking Myriam Magassouba | Arsenault et Fils Jonah Malak | Les chambres rouges Isabelle Malenfant | Le plongeur
MEILLEURE MUSIQUE ORIGINALE Viviane Audet, Robin-Joël Cool, Alexis Martin | Arsenault et Fils Daniel Bélanger | Confessions Christophe Lamarche-Ledoux, Mathieu Charbonneau | Viking Martin Léon | Tu te souviendras de moi Dominique Plante | Les chambres rouges MEILLEURS COSTUMES Mariane Carter | La cordonnière Guillaume Laflamme | Babysitter Sophie Lefebvre | Une femme respectable Sophie Lefebvre | Viking Annabelle Roy, Delphine Gagné | Farador
MEILLEUR MAQUILLAGE Kathryn Casault, Bruno Gatien | Confessions Marie-Josée Galibert | Viking Marie Salvado | Les chambres rouges Lyne Tremblay, Faustina De Sousa, François Gauthier, Michael Loncin | Farador Adriana Verbert | Babysitter
MEILLEURE COIFFURE Vincent Dufault | Viking André Duval | Une femme respectable Nermin Grbic | Les chambres rouges Richard Hansen, Réjean Forget, Johanne Hansen | La cordonnière Ann-Louise Landry | Babysitter
MEILLEUR FILM DOCUMENTAIRE Dear Audrey | Réalisation : Jeremiah Hayes | Scénario : Jeremiah Hayes | Office national du film du Canada — Jeremiah Hayes, André Barro, Annette Clarke Gabor | Réalisation : Joannie Lafrenière | Scénario : Joannie Lafrenière | Tak films — Line Sander Egede Geographies of Solitude | Réalisation : Jacquelyn Mills | Scénario : Jacquelyn Mills | Rosalie Chicoine Perreault, Jacquelyn Mills Je vous salue salope : la misogynie au temps du numérique | Réalisation : Léa Clermont-Dion, Guylaine Maroist | Scénario : Léa Clermont-Dion, Guylaine Maroist | La Ruelle Films — Eric Ruel, Guylaine Maroist Rojek | Réalisation : Zaynê Akyol | Scénario : Zaynê Akyol | Metafilms — Sylvain Corbeil, Audrey-Ann Dupuis-Pierre ; Zaynê Akyol
MEILLEURE DIRECTION DE LA PHOTOGRAPHIE | FILM DOCUMENTAIRE Geoffroy Beauchemin | Humus Nicolas Canniccioni, Arshia Shakiba | Rojek Joannie Lafrenière | Gabor Jacquelyn Mills | Geographies of Solitude Maude Plante-Husaruk | Au-delà des hautes vallées MEILLEUR SON | FILM DOCUMENTAIRE Mélanie Gauthier, Jeremiah Hayes, Isabelle Lussier | Dear Audrey Maxime Lacoste-Lebuis, Eric Shaw, Jean Paul Vialard | Au-delà des hautes vallées Andreas Mendritzki, Jacquelyn Mills | Geographies of Solitude Jean-François Sauvé, Martin M. Messier, Bruno Pucella | 305 Bellechasse Catherine Van Der Donckt, Jean Paul Vialard | Au-delà du papier
MEILLEUR MONTAGE | FILM DOCUMENTAIRE Mathieu Bouchard-Malo| Rojek Jeremiah Hayes | Dear Audrey Emmanuelle Lane | Gabor Jacquelyn Mills | Geographies of Solitude Oana Suteu Khintirian | Au-delà du papier
MEILLEURE MUSIQUE ORIGINALE | FILM DOCUMENTAIRE Olivier Alary, Johannes Malfatti | Twice Colonized Gervaise | Gabor Walter Grimshaw | Dear Audrey Maxime Lacoste-Lebuis | Au-delà des hautes vallées Delphine Measroch | Humus
MEILLEUR COURT OU MOYEN MÉTRAGE | ANIMATION A night for the dogs | Max Woodward | Confettis Production — Guillaume Dubois, Camille Lequenne Harvey | Janice Nadeau | Folimage – Reginald de Guillebon, Pierre Méloni ; Office national du film du Canada — Marc Bertrand, Christine Noël, Julie Roy Madeleine | Raquel Sancinetti | Production : Raquel Sancinetti Marie · Eduardo · Sophie | Thomas Corriveau | Production : Thomas Corriveau Triangle noir | Marie-Noëlle Moreau Robidas | Embuscade Films — Nicolas Dufour-Laperrière
MEILLEUR COURT OU MOYEN MÉTRAGE | DOCUMENTAIRE Belle River | Guillaume Fournier, Samuel Matteau, Yannick Nolin | Kinomada — Jean-Pierre Vézina Fire-Jo-Ball | Audrey Nantel-Gagnon | Office national du film du Canada — Nathalie Cloutier Notes sur la mémoire et l’oubli | Amélie Hardy | Club Vidéo de Montréal — Isabelle Grignon-Francke Oasis | Justine Martin | Déjà Vu — Louis-Emmanuel Gagné-Brochu Zug Island | Nicolas Lachapelle | Production : Guillaume Collin, Nicolas Lachapelle
MEILLEUR COURT OU MOYEN MÉTRAGE | FICTION Invincible | Vincent René-Lortie | Telescope Films — Élise Lardinois, Samuel Caron Nanitic | Carol Nguyen | Coop Vidéo de Montréal — Marie Lytwynuk ; Carol Nguyen Nuit blonde | Gabrielle Demers | Cinquième maison — Nellie Carrier Pas de fantôme à la morgue | Marilyn Cooke | La 115e — Kélyna N. Lauzier, Macha Houssart Simo | Aziz Zoromba | Scarab Films — Rosalie Chicoine Perreault PRIX DU PUBLIC 23 décembre | Immina Films — Patrick Roy | A Média Productions — Guillaume Lespérance | Réalisation : Miryam Bouchard | Scénario : India Desjardins Confessions | Les Films Opale — Christian Larouche, Sébastien Létourneau | Christal Film Productions — Christian Larouche | Réalisation : Luc Picard | Scénario : Sylvain Guy Katak le brave béluga | Attraction Distribution — Xiaojuan Zhou, Maison 4:3 — Chantale Pagé | 10e Ave Productions — Nancy Florence Savard | Réalisation : Christine Dallaire-Dupont, Nicola Lemay | Scénario : Andrée Lambert Le temps d’un été | Immina Films — Patrick Roy | Attraction — Antonello Cozzolino, Brigitte Léveillé | Réalisation : Louise Archambault | Scénario : Marie Vien Les hommes de ma mère | Immina Films — Patrick Roy | Jessie Films — Patrick Huard, Anik Jean | Réalisation : Anik Jean | Scénario : Maryse Latendresse
FILM S’ÉTANT LE PLUS ILLUSTRÉ À L’EXTÉRIEUR DU QUÉBEC Cette maison | Embuscade Films — Félix Dufour-Laperrière | Réalisation : Miryam Charles | Scénario : Miryam Charles | La Distributrice de films — Serge Abiaad Dounia et la princesse d’Alep | Tobo — Judith Beauregard | Réalisation : Marya Zarif, André Kadi | Scénario : Marya Zarif | Maison 4:3 — Chantale Pagé Falcon Lake| Metafilms — Nancy Grant, Sylvain Corbeil ; Onzecinq — Dany Boon, Jalil Lespert ; Cinéfrance Studios — Julien Deris, David Gauquié, Jean-Luc Ormières | Réalisation : Charlotte Le Bon | Scénario : Charlotte Le Bon | Sphère Films — Ariane Giroux-Dallaire Katak le brave béluga | 10e Ave Productions — Nancy Florence Savard | Réalisation : Christine Dallaire- Dupont, Nicola Lemay | Scénario : Andrée Lambert | Attraction Distribution — Xiaojuan Zhou, Maison 4:3 — Chantale Pagé Viking | micro_scope — Luc Déry, Kim McCraw | Réalisation : Stéphane Lafleur | Scénario : Stéphane Lafleur, Eric K. Boulianne | Les Films Opale — Christian Larouche, Sébastien Létourneau
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Le Gala Québec Cinéma renaîtra sur Noovo
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PRE-DRINK from Midi La Nuit on Vimeo.
2017 | 23 min | French with English Subtitles | 4:3 | Couleur | 5.1 - ALEXE est une jeune femme trans, et CARL un homme gai. Meilleurs amis depuis toujours, une soirée passée ensemble déstabilise ALEXE, lorsque les deux décident de coucher ensemble pour la première fois. - ALEXE is a young trans woman, and CARL a gay man. Best friends since forever, an evening spent together destabilizes ALEXE, when both decide to have sex together for the first time. -
Un film de / A film by : Marc-Antoine Lemire Produit par / Produced by : Maria Gracia Turgeon (Midi La Nuit) Distribué par / Distributed by : H264 Distribution
CAST Pascale Drevillon - Alex Trahan
CREW Cinematographer: Léna Mill-Reuillard Editor: Anouk Deschênes Sound: Laurent Ouellette Sound Mixer & Editor: Theo Porcet - Jean-David Perron Key Gaffer & Grip: Olivier Racine 1st Assistant Camera: Ariane Aubin-Cloutier Art Director: Marc-Antoine Lemire Costumes: Alexandra Bégin- Laurie-Anne Viens - Renée Sawtelle Make-up: Andie Wisdom Dawson Hair: Tania Lacoste-Major - Andie Wisdom Dawson Executive Producers: Annick Blanc - Evren Boisjoli - Item 7 1st Assistant Director: Catherine Kirouac Coordinator: Kelyna N. Lauzier Production Intern: Gabrielle De Cevins Production Assistant: Lysandre Leduc Boudreau Catering: France Turgeon Traducer: Guylaine Jacob
Festivals: Toronto International Film Festival – Short Cuts, 2017 *Best Canadian Short Film Talent tout court/Not Short on Talent – Cannes Film Festival, 2017 Atlantic International Film Festival, 2017 Festival international du film francophone de Namur, 2017 Festival international du film de Bordeaux, 2017 Taipei Golden Horse Film Festival, 2017 Prends Ça Court Trouville, 2017 Festival international du film francophone d’Acadie, 2017 Whistler Film Festival, 2017 Thess International Short Film Festival, 2017 *Cinematic Achievement Award Southwest International Film Festival, 2018 Taos Shortz Film Fest, 2018 Flickerfest, 2018 Tampere Film Festival, 2018 Antitube, 2018 Canada’s Top Ten Film Festival, 2018 Canadian Screen Awards, 2018 *Nominated for Best Short Film 15e Gala Prends ça court *Audience Award, Post-Moderne Award Rendez-vous Québec Cinéma, 2018 *Best Fiction Short Film Melbourne Queer Film Festival, 2018 Nashville Film Festival, 2018 KASHISH Mumbai International Queer Film Festival, 2018 On vous ment : Festival Documenteur, 2018 InsideOut LGBT Film Festival, 2018 Seoul International Women Film Festival, 2018 Gala Iris Québec Cinéma, 2018 *Best Fiction Short Film OutFilm : Connecticut LGBT Film Festival, 2018 Kansas City LGBT Film Festival, 2018 Festival 48 Images Seconde, 2018 – *Jury Prize Festival Longue Vue sur le court, 2018 – *Best Script Moscow International Film Festival, 2018 Sicilia Queer Film Fest, 2018 Mostra La Ploma, 2018 Kortfilmfestivale, 2018 fliQs: Queer Film Nights, 2018 Frameline, San Francisco, 2018 Festival MIX Milano, 2018 Korea Queer Film Festival, 2018 Outfest Los Angeles, 2018 Odense International Film Festival, 2018 Seattle International Film Festival, 2018 Transgender Film Festival Zurich, 2018 Lovers Film Festival – Torino Lgbtqi Visions, 2018 Festival Internacional de Cine IBAFF, 2018 Wicked Queer: Boston LGBT Film Festival, 2018 CinemaQuebecItalia, 2018 Vancouver Queer Film Festival, 2018 Meziprata Film Festival, 2018 *Best Short Film award Festival Internacional de Cine de Murcia IBAFF, 2018 Norwegian Short Film Festival – Grimstad, 2018 Écrans Mixtes Lyon, 2018 Lviv International Short Film Festival Wiz-Art, 2018 Reel Affirmations: Washington, DC’s LGBTQ Film Festival, 2018 Off-Courts Trouville 2018 Queergestreift Filmfestival, 2018 Zinegoak, International LGTB Film and Performing Arts Festival, 2018 Mardi Gras Film Festival, 2018 Festival de cinéma de la ville de Québec, 2018 Les Percéides, 2018 L’Espace Filmique, 2018 Cinéma Diverse, Palm Spring LGBT Film Festival, 2018 Q Cinema – Fort Worth, 2018 PROUD film festival, 2018 Louisville LGBT film festival, 2018 TWIST Seattle film festival, 2018 Durham film festival, 2018 Mix Copenhagen LGBTQ film festival, 2018 NewFest: The NYC LGBT film festival, 2018 Reel Affirmation film festival, 2018 Inside Out 2018 Ottawa LGBT Film Festival, 2018 Austin Gay and Lesbian International Film Festival, 2018 Iris Prize Festival, 2018 *Finalist – Iris Prize Encounters Bristol, 2018 BENT: the 27th annual Sacramento LGBTQ Film Festival, 2018 Out On Film/Atlanta, 2018 Trans Film Fest Stockholm, 2018 SPASM, 2018 *Audience Award Chéries-Chéris, Festival LGBT à Paris, 2018 *Grand Prize Nahia Film Fest: International Short Film Festival, 2018 *Special Jury Award Plein(s) Écran(s), 2018 26th MIX BRASIL FESTIVAL, 2018 Queer Screen – Sydney, 2019 ReelOut – Kingston’s Queer film + Video festival, 2019 Qflix Philadelphia, 2019 Go Short – Netherlands, 2019 Queen’s World film festival, 2019 Vues d’en Face – Grenoble, 2019 Académie des Césars – Nuits en Or, 2019 Prague Pride screening – Meziprata Film Festival, 2019
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NOMINATIONS DU GALA QUÉBEC CINÉMA 2019
Meilleur scénario:
André Gulluni, Claude Lalonde – Origami
http://showbizz.net/2019/04/11/1991-de-ricardo-trogi-en-tete-des-nominations-du-gala-quebec-cinema-2019/
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Un nouveau concept est né dans le groupe SPN PRODUCTION : *AF CA M OVIES* (Africa Canada Movies) étant une plate forme qui réunie sur sa vitrine www.afcamovies.com toutes les meilleures productions Cinématographique Africaine et Afro en VOD, tout en créant une synergie entre les cinéastes Africain, Valorisé des coproductions, Dans une perspective de fusion des cultures, l'intégration des valeures, l'acceptation de l'autre, l'élargissement du marché ciné, la sensibilisation du monde par les films Africain , la valorisation des talents d'Afrique au Canada et le talents du Canada en Afrique. AF CA MOVIES organisera donc tous les deux mois la projection de 3 films Africain aux cinéma de MONTRÉAL et dans plusieurs institutions publics et privées. Au Cameroun, il existe déjà plusieurs associations qui travaillent sur cette ligne et bientôt seront en lien avec l’Africa Canada Movies, où veulent faire découvrir ses richesses. Horizons Sahel, Vend’Afrik, Soleil eau vent… Mais aucune ne ressemble vraiment à AF CA MOVIES, celle qui vient de se créer localement au QUÉBEC. Son but : organiser tous les deux mois des projections des films Africain aux cinémas du Québec. Cette toute nouvelle structure souhaite ainsi faire découvrir les richesses culturelles qui existent au sein de ces 2 continents "l'Afrique et le Canada". Séances gourmandes à l’état de projet La première méga soirée de lancement de AF CA MOVIES organisée par SPN PRODUCTION sous forme de gala, se tiendra le samedi 22 juin 2019 avec la projection des films « QUIPROCO». Une Fiction Afro de SERGE BEUTCHA , <<LE PRIX DE OA TRAHISON>> un film dramatique du réalisateur Gabonais MELCHY OBIANG et " HABIBA" une Série du Camerounais EBENEZER KEPOMBIA . Tous ces réalisateurs et des realisateurs Canadiens seront présent pour échanger avec le public et des têtes d'affiche tel que: _MAMITON INTERNATIONAL _KUNKU. S' ALLIAN CTO, MITOUMBA, MELCHY OBING, SERGE BEUTCHA. « Il est chapeauté par une guestars africaine arrivée nouvellement au cinema... LADY PONCE. il s’agit des films comique, glamour, explique le président du groupe SPN PRODUCTION Monsieur PHILIPPE NGASSA NJOMO et le Directeur de AF CA MOVIES Monsieur KENG https://www.instagram.com/p/ByPTB01l_DA/?igshid=iwwrea3p9k85
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Xavier Dolan : « Tout est possible » «La culture, c’est ce qui détermine l’âme, le caractère, la mémoire, la couleur, la voix d’une société entière.»
Il ne se passe pas une journée sans que Xavier Dolan entende parler du discours rempli d’idéalisme qu’il a prononcé au Festival de Cannes, en 2014 : « Accrochons-nous à nos rêves, parce qu’ensemble nous pouvons changer le monde et le monde doit être changé. »
Des admirateurs de partout lui écrivent pour le remercier de ces paroles qu’il a dites d’une voix tremblante, en anglais, en acceptant le Prix du jury pour son film Mommy. « Je maintiens ces mots-là », m’a-t-il affirmé en juin lorsque je l’ai rencontré dans les bureaux de l’agence d’artistes qui le représente, à Montréal. « C’est plus qu’une opinion, c’est une façon de vivre, une idéologie. Vouloir renoncer au changement du monde, ce serait triste. »
Le milieu du cinéma n’est certainement plus le même depuis que Xavier Dolan, alors âgé de 20 ans, a signé son premier long métrage, J’ai tué ma mère, en 2009. Ce film, il l’a financé en grande partie lui-même, épuisant les cachets d’acteur empochés depuis son enfance, étant donné le refus initial des organismes publics de le soutenir. Du cinéma, il voulait en faire là, tout de suite, coûte que coûte, à sa manière, et il se voyait déjà fouler les tapis rouges de la planète. Et tant pis pour les conventions.
Son ambition, que certains prennent pour de l’arrogance, dérange. Ses films crus, explosifs, criards, enivrants, bousculent les codes du cinéma d’auteur. Ses personnages de révoltés et de marginaux, en quête de liberté, prennent aux tripes.
Travailleur acharné, le réalisateur de 28 ans met ces jours-ci la dernière main à son septième long métrage en huit ans, The Death and Life of John F. Donovan, tourné avec des vedettes hollywoodiennes. En entrevue, il s’enflamme souvent, cherche inlassablement le mot juste, sacre spontanément et, parfois, entre deux envolées, se ronge les ongles. Il se révèle consumé de doutes, à un point tel qu’il dit avoir parfois envie de tout abandonner. C’est la passion du cinéma qui le sauve. Et la conviction profonde qu’en remuant les cœurs, on peut, véritablement, changer le monde.
Pourquoi le monde doit-il être changé, à ton avis ?
Parce qu’il est malade. Le monde est en fin de vie. En plus, contrairement aux civilisations passées, on est aux prises avec les conséquences de notre irresponsabilité en matière d’environnement. Les idéologies qui dominent le monde, surtout l’Occident, sont corrompues, opportunistes, lobbyistes, oligarchiques. Si on ne change pas notre façon de gouverner, de posséder, d’acheter, de vivre, il n’y a aucun avenir qui nous attend. Et la tâche est tellement vaste qu’il faut commencer dans toutes sortes de sphères, pour créer un changement coagulant, exponentiel. Parce qu’on n’y arrivera pas sinon.
Ce qui doit changer avant toute chose, ce sont les mentalités. Il faut travailler individuellement, de toutes les façons possibles et imaginables pour changer les mentalités, qui, elles, vont changer les idéaux, et notre façon de vivre, de produire, de consommer. Par où commencer ? Chacun, je pense, est responsable de trouver sa manière de créer une amélioration. Moi, je suis un utopiste.
En même temps, ton discours est très pessimiste.
Il n’est pas pessimiste, il est réaliste. Dans les derniers mois, sur cette terre, on a périclité avec un tel appétit, une telle insouciance, une telle vélocité. À la suite de l’élection de Trump, il y a eu une recrudescence de toutes sortes de phénomènes, soit de racisme ou de sexisme, d’islamophobie ou d’homophobie. Ce qu’on pensait qui avait changé, on se l’est fait rappeler durement, était juste en dormance.
Que veux-tu dire par « utopiste » ?
Je m’interdis de ne croire à rien. En matière de progrès, en matière de ce que la volonté humaine peut accomplir. J’ai de la difficulté à croire aux collectivités, à la société. Mais je crois en l’individu et en l’humain. Je pense que la femme ou l’homme sont capables de faire de grandes choses, et ils ont les moyens de leurs ambitions, plus que jamais.
Je crois de moins en moins à la société comme un grand tout, comme un ensemble de gens qui s’influencent. Je nous trouve individualistes, égoïstes, amers, âpres, avides. Et je ne vois pas, dans cette énergie sociale là, le désir que les choses changent. Mais tout à coup, je lis un article sur un dispositif océanique qui a été créé par un étudiant en ingénierie aéronautique, The Ocean Cleanup, un système de nettoyage des déchets flottants. Ou sur un jeune garçon de 12 ans, repéré par Ellen DeGeneres, qui veut concevoir une application mobile pour que les personnes handicapées puissent consulter un répertoire en ligne de commerces qui ont des installations adaptées.
Qu’est-ce qui t’inspire dans ces deux exemples ?
Leur détermination à changer le monde.
On peut faire un parallèle avec ton propre parcours. Tu as entrepris tes deux premiers films sans attendre d’obtenir du financement public, mais grâce à tes propres moyens, ta détermination, ton ambition.
Moi, j’ai compris que je suis ici pour raconter des histoires. C’est dur de mesurer la portée de la culture. Les arts, la danse, la musique, le théâtre, le cinéma, qu’est-ce que ça apporte de concret dans le quotidien des gens ? C’est tellement omniprésent qu’on n’en a plus conscience, mais la culture, c’est ce qui détermine l’âme, le caractère, la mémoire, la couleur, la voix d’une société entière. C’est pas juste une gang d’artistes qui se baladent sur le tapis rouge du Gala Artis.
La culture, c’est ce qui détermine l’âme, le caractère, la mémoire, la couleur, la voix d’une société entière.
La culture, c’est le vaisseau que moi j’ai choisi pour véhiculer mon message. Et ce qui est formidable, c’est que parce qu’on a voyagé dans le monde, j’ai le privilège d’avoir la preuve que ça a une incidence dans la vie des gens. Des gens qui étaient au bord du suicide, des mères qui ont perdu leur fils, des fils qui ont perdu leur mère, des gens qui se sont enfuis de la Corée du Nord.
Ils t’ont écrit ?
Oui ! Quand je dis agir, intervenir de façon minimale, ben c’est ça que je veux dire. Commencer dans l’écran de télévision, dans la chambre de quelqu’un, dans une maison, quelque part, en banlieue. On est au fond du baril, on est désespéré, on a perdu son emploi, son amoureux, sa mère, son père. Puis, tout à coup, un billet de cinéma, on s’assoit dans le noir… « Et par le pouvoir d’un mot, je recommence ma vie. » Paul Éluard écrivait ça dans le poème Liberté. Par l’art, oui, on peut décider de se changer, de changer sa vie.
Évidemment, il y a des moments difficiles. Des moments de solitude, des moments où tu doutes, où tu penses que tout le monde t’haït. Il y a des moments où les gens ont mal compris ton film, pis t’as l’impression que c’est fini, que tu t’es trompé, que t’es un imposteur, que t’as pas d’affaire là. Et là, tu te rappelles qu’il y a ces lettres, ces témoignages. Ça aide à continuer. Ce n’est pas quelque chose qui te laisse croire que t’es invincible, que forcément ce que tu fais, c’est bon. Au contraire, je doute à chaque instant de ce que je fais. Mais c’est quelque chose qui te dit que t’es à ta place, pis que tu ne l’as pas volée.
Pourrais-tu te passer de raconter des histoires ?
Mon but dans la vie, c’est pas de déménager à Hollywood, de faire des gros films pis de gagner des millions de dollars, je m’en tabarnaque. Vraiment. Pour moi, c’est pas une fin en soi d’être big. J’ai le désir de créer avec des moyens, en ayant du temps. J’ai le désir de travailler avec des acteurs que j’admire. Est-ce que je pourrais complètement cesser de faire des films ? Je ne sais pas. C’est ma passion. J’en ai besoin pour vivre, j’en ai besoin pour respirer.
Tu as conquis le Festival de Cannes avec des films qui rendent hommage au Québec populaire, celui des villes de banlieue, où tu as grandi. Est-ce qu’il y a quelque chose de proprement québécois dans notre imaginaire que le reste du monde gagnerait à mieux connaître ?
Le caractère, je pense. La détermination. On est des survivants, au Québec. On est une contreculture. Pendant des années, tout ce qu’on a chanté, écrit et dit, tout ça vient d’un geste de résistance, de survie, pour exprimer qui l’on est. C’était une contestation envers une oppression, un mépris, une forme d’esclavagisme. Le désir qui nous a jadis transportés de nous affirmer par rapport aux anglophones, d’affirmer notre francophonie, notre culture, nos droits, notre valeur, c’est ce qui nous a déterminés, c’est ce qui nous a sauvés. Aujourd’hui, c’est sûr que ça a muté en une forme d’isolement, une forme, souvent, de racisme ou d’anglophobie. On baigne dans toutes sortes de cultures et de langues, ça ne veut pas dire que notre culture disparaît. Ça veut dire que le monde change.
La solution, ce n’est jamais le repli sur soi, ce n’est jamais l’unilinguisme. Parce que ça, c’est une forme d’inculture. Ce qu’il faut faire, c’est non pas se couper de la culture des autres, c’est renforcer la nôtre
Tu ne sens pas que la culture québécoise est menacée ?
Je le sens, des fois. Je comprends très bien pourquoi on se bat. Quand j’entends certains jeunes parler, les limites de leur vocabulaire, les anglicismes qu’ils utilisent constamment, ça montre l’envahissement de la culture américaine et de la langue anglaise, comme c’est le cas partout dans le monde. La solution, ce n’est jamais le repli sur soi, ce n’est jamais l’unilinguisme, certainement pas. Parce que ça, c’est une forme d’inculture. Ça, c’est un manque d’intelligence.
Ce qu’il faut faire, c’est non pas se couper de la culture des autres, c’est renforcer la nôtre. Non pas mal apprendre le français et mal apprendre l’anglais et ne parler finalement ni l’un ni l’autre. Bien apprendre les deux ! Revoir le système d’éducation, qui est de la marde !
Qu’est-ce qui te fait dire ça ?
On n’a pas un système d’éducation qui prépare des enfants à la vie, au marché, à la concurrence, à la compétence. On ne prépare pas des individus forts intellectuellement. On est mou, on est laxiste, on est dépassé, on manque de rigueur, de curiosité, de culture. Regarde juste la façon dont on valorise auprès d’un enfant le travail d’équipe et la participation. L’important dans la vie, ce n’est pas de participer ! L’important, c’est de comprendre, d’assimiler une notion et de la maîtriser. Mais ce qu’on célèbre, ce n’est pas le savoir, ce n’est pas la connaissance, ce n’est pas la maîtrise.
Tes personnages de femmes sont particulièrement émouvants. C’est rare au cinéma de voir des personnages féminins aussi complexes, qui ne sont ni des victimes ni des objets. Qu’est-ce qui t’intéresse dans l’expérience du monde des femmes ?
Les femmes sont le vaisseau, le véhicule humain, la figure par laquelle je peux exprimer le plus librement et le plus complètement mes griefs envers la société, mes désirs, mes angoisses, mes peurs, mes frustrations. J’ai grandi avec des femmes : ma grand-mère, ma grand-tante, ma mère, mes tantes, mes enseignantes. C’est leur sensibilité, leur style, leur rire, leur façon de pleurer, de marcher, de regarder le monde, de s’exprimer qui ont marqué mon imaginaire et ma vie. Je les observe depuis que je suis tout petit.
Les hommes que j’aime ont une liberté dans la façon dont ils expriment leurs sentiments, leur intelligence, leur culture. Ce sont des hommes décomplexés, qui n’ont pas besoin de se prouver leur masculinité. Mais envers les femmes, je ressens une plus grande complicité. J’ai l’impression que je comprends leur quête d’identité, de reconnaissance, de respect, de statut, d’égalité, parce que c’est une quête qu’un homosexuel traverse aussi.
Quel est le message central que tu veux communiquer par tes films ?
Ce sont tous des films qui parlent de la façon dont on marginalise les gens, dont on les castre et les paralyse par notre étiquetage, notre ghettoïsation. Ce sont tous des films sur des êtres qui se sentent isolés, qui veulent être inclus, qui veulent fonctionner, qui veulent marcher. Ce sont des films qui parlent de nos intolérances en tant que société, de la façon qu’on a de rejeter les gens différents.
Tu as déjà dit que tu étais habité par l’idée de la mort. Et on sent chez toi une urgence de créer, de t’exprimer, comme si tes jours étaient comptés.
Je pense que nos jours sont comptés. Dans 3 ans, 5 ans, 10 ans, je ne sais pas dans combien de temps, mais bientôt, nos priorités en tant que société vont changer par la force des choses. Elles vont passer de la vie à la survie. Mais c’est évident, non ? Tu nous imagines continuer comme ça pendant des décennies ? On n’est plus en 2002 là, on ne peut plus dire : hey ! ça va être les enfants des enfants de nos enfants qui vont le subir, non. C’est maintenant, tout de suite. Il faut changer les choses, continuer à se battre, à résister et à créer. Fait que oui, j’ai peur de mourir. Pis oui, c’est un moteur.
Dans ton discours à Cannes, en 2014, tu as aussi dit la chose suivante, en t’adressant expressément à ta génération : « Tout est possible à qui rêve, ose, travaille et n’abandonne jamais. » Pourquoi ?
Pour J’ai tué ma mère, je me suis juste battu jusqu’à la fin. J’ai tout donné pour faire ce que je voulais. On m’a abandonné, on m’a dit que c’était mauvais, on m’a ignoré, on ne m’a pas rappelé, on m’a dit de retourner à l’école, de farmer ma yeule, de m’en aller chez nous. Il n’y a rien qui a marché pour ce film-là. Jusqu’à ce que ça marche.
La détermination et la confiance en soi, tu ne nais pas avec ça dans la vie. Ce sont des choses que tu dois développer. Il y a des gens qui doivent te soutenir, ou alors tu dois t’accrocher à quelque chose. Il y a des gens qui n’ont pas ces personnes-là pour les encourager, qui n’ont pas trouvé ce à quoi s’accrocher, mais ils ont le talent d’accomplir de grandes choses. Ils ont besoin d’une impulsion, d’un élément déclencheur. Pis je voulais juste leur dire à ces individus-là que ce serait le temps qu’ils arrêtent d’écouter la génération X, qui leur dit que c’est toute une ostie de criss de gang de roteux pis de paresseux, pis que dans leur temps, eux autres, ils payaient pour aller à l’école pis que c’était difficile. On s’en câlisse de la marde que vous avez vécue ! On va quand même pas déterminer notre existence, notre société, nos conditions de vie en fonction de la difficulté que vous avez éprouvée ! On est là pour améliorer l’existence des gens qui nous succèdent, pis des gens autour de nous.
Je le vois que tout est possible. J’ai dit à mes amis, souvent, avec énormément de prétention : tu vas voir, c’est ça qu’on va faire avec ce film-là, c’est là qu’on va aller, c’est ça qui va se passer. Et c’est ce qui s’est passé.
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Everyone is talking about it | Crash and breath of fresh air
Everyone is talking about it | Crash and breath of fresh air
Even if it is the decision of the public broadcaster, Radio-Canada, which airs Everybody talks about it, the decision announced this week to no longer broadcast the Gala Québec Cinéma did not fail to be criticized on Sunday evening. First by Anaïs Favron, who has taken over the seat of the jester after a long break, and by the guests of the first segment. Posted at 9:56 a.m. It is the always…
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On a family trip to observe the shooting stars, Chloé, a withdrawn teenager, discovers a dazzling attraction for her mother’s new boyfriend. SHOOTING STAR (COMME UNE COMÈTE) by Ariane Louis-Seize. Follow Ariane Louis-Seize : instagram.com/arianexv1 Fiction | Québec (Canada) | 2020 | Fr + Eng. Subs. CAST Marguerite Bouchard Whitney Lafleur Patrick Hivon CREW Production : Fanny Drew, Sarah Mannering (Colonelle Films) Director and Screenplay : Ariane Louis-Seize Cinematography : Shawn Pavlin Editor : Stéphane Lafleur Set Design : Paskale Jobin Sound: Jean-Sébastien Beaudoin-Gagnon, Simon Gervais, Bernard Gariépy Strobl Music : Pierre-Philippe « Pilou » Côté BIO Ariane made her director debut with her short film WILD SKIN, which has travelled in more than 50 festivals and won numerous awards. In 2017, she directed LITTLES WAVES, which had its world premiere at TIFF and its international premiere at the Berlinale. Then, her latest short film THE DEPTHS was also world premiered at TIFF 2019. In addition to devoting herself to writing her first feature film, Ariane just finished her next short film SHOOTING STAR which will begins its festivals tour in 2020. Festivals Toronto Int. Film Festival (TIFF), Canada |2020| Festival de Cinéma en Abitibi-Témiscamingue 2020| Official competition *Télébec Rouyn-Noranda Award Festival du Nouveau Cinéma 2020| Official competition *Audence Award Longue Vue sur le Court, |2020| Official competition *Best Screenplay Gala Québec Cinéma - IRIS, Canada | 2021 | *Nomination Talent Tout Court à Cannes, France |2020| Brussels Int. Short Film Festival, Belgium |2021| Desertscape International Film Festival, US |2021| Still Voices Short Film Festival, Ireland |2021| Séquence Court-Métrage, France |2021| OFF-Courts de Trouville et Marché, France |2021| Best of Short Film Festival, France |2021| Kaohsiung Int. Short Film Festival, Taiwan |2021| Galichnik Film Festival, Macedonia |2021| Festival international BioBioCine, Chile |2021| Pragues Short Film festival, Czech Republic |2022| Yathakatha Festival, India |2021| Regard sur le court métrage au Saguenay, Canada |2021| Rendez-vous du cinéma québécois, Canada |2021| Festival Court d'un Soir, Canada |2021| Gala Prends Ça Court!, Canada |2021| L’art dans ta cour du Festival du nouveau cinéma, Canada |2021| Les Percéides, Canada |2021| Best-of Regard sur La Fabrique Culturelle, Canada |2021| Tournée hors-festival de Regard, Canada |2021| Festival Images en Vues, Canada |2021| Festival Plein(s) Écran(s), Canada |2021| FICFA, Canada |2020| Whistler Int. Film Festival, Canada |2020| CineFest Sudbury, Canada |2020| Regina Int. Film Festival, Canada |2021| International Film Festival of Ottawa, Canada |2021| Festival du cinéma de la ville de Québec, Canada |2022| Distributed by : Travelling Distribution travellingdistribution.com facebook.com/travellingdistribution instagram/travellingdistribution CONTACT Travelling, les films qui voyagent / [email protected] Colonelle Films / [email protected] / colonellefilms.com Ariane Louis-Seize / [email protected]
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Dolls Don't Cry (2017) from Frederick Tremblay on Vimeo.
Titre français: Toutes les poupées ne pleurent pas Réalisation: Frédérick Tremblay Producteurs: Pierre Lesage et Frédérick Tremblay Musique: Jean-Philippe Lessard Mixage de l'audio: Bruno Bélanger Coproduction: La Bande Vidéo Financement: Le Conseil des arts et des lettres du Québec, Le Conseil des arts du Canada, avec la participation de PRIM et d'Artefact. Prix / Awards: Grand Prix, New Chitose Airport Int. Animation Festival, Sapporo Japon, 2017 Iris du meilleur film d'animation, Galla Québec Cinéma, 2018 Prix du meilleur court métrage d’animation, RVCQ, Montréal, 2018 Meilleur film canadien, Les Sommets de l’animation, Montréal, 2017 Prix du public, Les Sommets de l’animation, Montréal, 2017 Grand Prix, Turku International Festival of Animated Films 2017 Meilleur court métrage national, Festival de Cinéma de la Ville de Québec, 2017 Prix du public, PIAFF Festival international d’animation de Paris, 2017 Prix du Syndicat de la critique, PIAFF Festival inter. d’animation de Paris, 2017 Best Short Film, ReAnima, Bergen, Norvège, 2017 Best Stop Motion - more than 10 minutes, Brazil Stop Motion, 2018 Award International Festival of Non-Professional Films "Loving Man" 2018 Prix La Fête du Court, Gala Prends Ça Court! 2018 Prix ONF/ACIC, Gala Prends Ça Court! 2018 Prix Prix Air Canada, Gala Prends Ça Court! 2018 Mention Revue Séquence, Gala Prends Ça Court! 2018 Mention des critiques de cinéma, Gala Prends Ça Court! 2018 Jury mention, Aninanima, Serbie 2017 Special Jury Mention, International Animation Festival Fest Anca, Slovaquie, 2017
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La jasette du Barbu #339
La jasette du Barbu #339
Elon Musk Deux ans de plus pour Chris Wideman Gala Québec Cinéma Segment On the road One-TimeMonthlyYearly Faire un don ponctuelFaire un don mensuelFaire un don annuel Choose an amount C$5.00C$15.00C$100.00C$5.00C$15.00C$100.00C$5.00C$15.00C$100.00 Or enter a custom amount C$ Votre contribution est appréciée.Votre contribution est appréciée.Votre contribution est appréciée. Faire un…
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Behind the scenes at the Québec Cinéma Gala with Jay Du Temple
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15 nominations pour LA DÉESSE DES MOUCHES À FEU au Gala Québec Cinéma 2021
Une autre année pas comme les autres pour le Gala Québec Cinéma, alors que les salles ont longtemps été fermées, ce qui n’a pas empêché une vingtaine de longs métrages de fiction de prendre l’affiche.
Dans la catégorie Meilleur film, on retrouve quatre des films qui ont été le plus vus et appréciés, soit Le club Vinland, La déesse des mouches à feu, My Salinger Year et Nadia Butterly, ainsi que Souterrain, dont la sortie a été maintes fois reportée, mais qui sera le film d’ouverture des Rendez-vous Québec Cinéma cette semaine.
Alignement semblable dans la catégorie Meilleure réalisation, avec Anaïs Barbeau-Lavalette (La déesse des mouches à feu), Sophie Dupuis (Souterrain), Philippe Falardeau (My Salinger Year) et Benoit Pilon (Le club Vinland), mais l’industrie a préféré Daniel Roby (Target Number One) à Pascal Plante (Nadia Butterly).
Dans la catégorie Meilleur scénario, encore là, les gros joueurs sont tous là: Normand Bergeron, Benoit Pilon, Marc Robitaille – Le club Vinland, Sophie Dupuis – Souterrain, Philippe Falardeau – My Salinger Year, Catherine Léger – La déesse des mouches à feu, Daniel Roby – Target Number One.
Du côté des actrices, on retrouve Émilie Bierre pour Les nôtres, Marie-Evelyne Lessard pour Jusqu’au déclin, l’actrice américaine Margaret Qualley pour My Salinger Year, Karelle Tremblay pour la coproduction Death of a Ladies’ Man, ainsi que Sarah Sutherland pour Like a House on Fire.
Les acteurs en lice pour l’Iris sont Réal Bossé pour Jusqu’au déclin, Paul Doucet pour Les nôtres, Patrick Hivon pour Mont Foster, Antoine Olivier Pilon pour Target Number One, et Sébastien Ricard pour Le club Vinland.
Dans les catégories « rôle de soutien », on retrouve Sophie Desmarais pour Vacarme, Marianne Farley pour Les nôtres, Éléonore Loiselle et Caroline Néron pour La déesse des mouches à feu, et la mythique Sigourney Weaver pour My Salinger Year chez les dames.
Chez ces messieurs, les finalistes sont Normand D’Amour et Robin L’Houmeau pour La déesse des mouches à feu, Rémy Girard pour Le club Vinland, ainsi que James Hyndman et Théodore Pellerin pour Souterrain.
La catégorie Révélation de l’année est l’une des plus intéressantes selon moi, car c’est un aperçu des visages marquants du cinéma des prochaines années. D’ailleurs, Émilie Bierre et Théodore Pellerin, en nomination cette année respectivement pour un premier rôle féminin et un rôle de soutien masculin, font partie des lauréats passés du prix Révélation. Donc, en 2021, les finalistes sont : Kelly Depeault – La déesse des mouches à feu, Jasmine Lemée – Mon cirque à moi, Rosalie Pépin – Vacarme, Joakim Robillard – Souterrain et Arnaud Vachon – Le club Vinland.
Voici le reste des catégories :
MEILLEURE DISTRIBUTION DES RÔLES Iris de la Meilleure distribution des rôles
Deirdre Bowen (Deirdre Bowen Casting) | Heidi Levitt (Heidi Levitt Casting) | Bruno Rosato (Rosato Casting) | Supattra « Pum » Punyadee – Target Number One Marjolaine Lachance (Balustrade casting) – Les Nôtres Marjolaine Lachance (Balustrade casting) – Souterrain Murielle La Ferrière, Marie-Claude Robitaille (Casting Murielle La Ferrière et Marie-Claude Robitaille) – La déesse des mouches à feu Pierre Pageau, Daniel Poisson (Gros Plan) – Le Club Vinland
MEILLEURE DIRECTION ARTISTIQUE Iris de la Meilleure direction artistique
Patrice Bengle, Louise Tremblay – Le Club Vinland Elise de Blois, Claude Tremblay – My Salinger Year Sylvain Lemaitre, Louisa Schabas – Blood Quantum David Pelletier – Mon cirque à moi David Pelletier – Target Number One
MEILLEURE DIRECTION DE LA PHOTOGRAPHIE Iris de la Meilleure direction de la photographie
Jonathan Decoste – La déesse des mouches à feu François Gamache – Le Club Vinland Mathieu Laverdière – Souterrain Tobie Marier Robitaille – La nuit des rois Sara Mishara – My Salinger Year
MEILLEUR SON Iris du Meilleur son
Pierre-Jules Audet, Emmanuel Croset, Michel Tsagli – La nuit des rois Sylvain Bellemare, Paul Col, Bernard Gariépy Strobl, Martyne Morin – La déesse des mouches à feu Sylvain Bellemare, Bernard Gariépy Strobl, François Grenon – Jusqu’au déclin Stéphane Bergeron, Olivier Calvert, Martyne Morin – Nadia, Butterfly Luc Boudrias, Frédéric Cloutier, Patrice LeBlanc – Souterrain
MEILLEUR MONTAGE Iris du Meilleur montage
Aube Foglia – La nuit des rois Michel Grou – Souterrain Stéphane Lafleur – La déesse des mouches à feu Arthur Tarnowski – Jusqu’au déclin Yvann Thibaudeau – Target Number One
MEILLEURS EFFETS VISUELS Iris des Meilleurs effets visuels
Alchimie 24 – Sébastien Chartier, Jean-François « Jafaz » Ferland, Marie-Claude Lafontaine – Jusqu’au déclin Real by Fake – Michael Beaulac, Marie-Hélène Panisset – Target Number One The Workshop – Barbara Rosenstein, Josh Sherrett – Blood Quantum
MEILLEURE MUSIQUE ORIGINALE Iris de la Meilleure musique originale
Olivier Alary – La nuit des rois Patrice Dubuc, Gaëtan Gravel – Souterrain Guido Del Fabbro, Pierre Lapointe – Le Club Vinland Jean-Phi Goncalves, Éloi Painchaud, Jorane Pelletier – Target Number One Martin Léon – My Salinger Year
MEILLEURS COSTUMES Iris des Meilleurs costumes
Caroline Bodson – Souterrain Francesca Chamberland – Le Club Vinland Patricia McNeil, Ann Roth – My Salinger Year Noémi Poulin – Blood Quantum Sharon Scott – Mon cirque à moi
MEILLEUR MAQUILLAGE Iris du Meilleur maquillage
Kathryn Casault – La déesse des mouches à feu Dominique T. Hasbani – Jusqu’au déclin Audray Adam, Sandra Ruel – Souterrain Joan-Patricia Parris, Nancy Ferlatte, Erik Gosselin – Blood Quantum Larysa Chernienko, Natalie Trépanier – Target Number One
MEILLEURE COIFFURE Iris de la Meilleure coiffure
Michelle Côté – My Salinger Year Stéphanie DeFlandre – Mon cirque à moi André Duval – Le Club Vinland Marcelo Padovani – Blood Quantum Johanne Paiement – La déesse des mouches à feu
MEILLEUR FILM DOCUMENTAIRE Iris du Meilleur film documentaire
Errance sans retour – Mélanie Carrier, Olivier Higgins | Mö Films – Mélanie Carrier, Olivier Higgins The Forbidden Reel – Ariel Nasr | Office national du film du Canada – Kat Baulu | Loaded Pictures – Sergeo Kirby | Ariel Nasr Je m’appelle humain – Kim O’Bomsawin | Terre Innue – Andrée-Anne Frenette Tant que j’ai du respir dans le corps – Steve Patry | Les Films de l’Autre – Steve Patry Wintopia – Mira Burt-Wintonick | Office national du film du Canada – Annette Clarke | EyeSteelFilm – Bob Moore
MEILLEURE DIRECTION DE LA PHOTOGRAPHIE | FILM DOCUMENTAIRE Iris de la Meilleure direction de la photographie | Film documentaire
Sarah Baril Gaudet – Passage Hugo Gendron, Michel Valiquette – Je m’appelle humain Olivier Higgins, Renaud Philippe – Errance sans retour Mathieu Perrault Lapierre – The 108 Journey Marianne Ploska – Prière pour une mitaine perdue
MEILLEUR SON | FILM DOCUMENTAIRE Iris du Meilleur son | Film documentaire
Pierre-Jules Audet, Luc Boudrias, Olivier Higgins, Kala Miya – Errance sans retour Stéphane Barsalou, Claude Beaugrand, Julie Innes – Le château Marie-Andrée Cormier, Olivier Germain, Marie-Pierre Grenier – Prière pour une mitaine perdue Benoît Dame, Catherine Van Der Donckt – Jongué, carnet nomade Olivier Germain, Marie-Pierre Grenier – Wintopia
MEILLEUR MONTAGE | FILM DOCUMENTAIRE Iris du Meilleur montage | Film documentaire
Anouk Deschênes – Wintopia Olivier Higgins, Amélie Labrèche – Errance sans retour Annie Jean – Le château Annie Jean – The Forbidden Reel Alexandre Lachance – Je m’appelle humain
MEILLEURE MUSIQUE ORIGINALE | FILM DOCUMENTAIRE Iris de la Meilleure musique originale | Film documentaire
Tom Brunt – Prière pour une mitaine perdue Martin Dumais – Errance sans retour Justin Guzzwell, Tyr Jami, Eric Shaw – Sisters: Dream & Variations Mathieu Perrault Lapierre – The 108 Journey Claude Rivest – Jongué, carnet nomade
MEILLEUR COURT MÉTRAGE | FICTION Iris du Meilleur court métrage | Fiction
Aniksha – Vincent Toi | Vincent Toi, Guillaume Collin Comme une comète – Ariane Louis-Seize | Colonelle films – Fanny Drew, Sarah Mannering Écume – Omar Elhamy | Les Films Rôdeurs – Jonathan Beaulieu-Cyr, Paul Chotel Goodbye Golovin – Mathieu Grimard | Golovin Films – Simon Corriveau-Gagné, Mathieu Grimard Lune – Zoé Pelchat | MéMO Films – Mélanie S. Dubois
MEILLEUR COURT MÉTRAGE | ANIMATION Iris du Meilleur court métrage | Animation
Barcelona de Foc – Theodore Ushev | Theodore Ushev The Fourfold – Alisi Telengut | Alisi Telengut In the Shadow of the Pines – Anne Koizumi | Nava Projects – Sahar Yousefi Moi, Barnabé – Jean-François Lévesque | Office national du film du Canada – Julie Roy La saison des hibiscus – Éléonore Goldberg | Embuscade films – Nicolas Dufour-Laperrière
MEILLEUR COURT MÉTRAGE | DOCUMENTAIRE Iris du Meilleur court métrage | Documentaire
Clebs – Halima Ouardiri | Halima Ouardiri Le frère – Jérémie Battaglia | Les Films Extérieur Jour – Amélie Lambert Bouchard Life of a Dog – Danae Elon, Rosana Matecki | Entre deux mondes Productions – Paul Cadieux, Danae Elon Nitrate – Yousra Benziane | Yousra Benziane Port d’attache – Laurence Lévesque | Elise Bois
PRIX DU PUBLIC
Le Club Vinland – Benoit Pilon | Normand Bergeron, Benoit Pilon, Marc Robitaille | Les Films Opale | Productions Avenida – Chantal Lafleur La déesse des mouches à feu – Anaïs Barbeau-Lavalette | Catherine Léger | Entract Films | Coop Vidéo de Montréal – Luc Vandal Félix et le trésor de Morgäa – Nicola Lemay | Marc Robitaille | Maison 4:3 | 10e Ave Productions – Nancy Florence Savard Flashwood – Jean-Carl Boucher | Jean-Carl Boucher | Entract Films | Go Films – Jean-Carl Boucher, Nicole Robert Jusqu’au déclin – Patrice Laliberté | Charles Dionne, Nicolas Krief, Patrice Laliberté | Netflix | Couronne Nord – Julie Groleau Like a House on Fire – Jesse Noah Klein | Jesse Noah Klein | Entract Films | Colonelle films – Fanny Drew, Sarah Mannering | Woods Entertainment – William Woods Mon cirque à moi – Miryam Bouchard | Miryam Bouchard, Martin Forget | Les Films Séville | Attraction Images – Antonello Cozzolino Mont Foster – Louis Godbout | Louis Godbout | K-Films Amérique | Les Films Primatice – Sébastien Poussard My Salinger Year – Philippe Falardeau | Philippe Falardeau | Métropole Films | micro_scope – Luc Déry, Kim McCraw | Parallel Films – Ruth Coady, Susan Mullen Nadia, Butterfly – Pascal Plante | Pascal Plante | Maison 4:3 | Némésis Films – Dominique Dussault Les Nôtres – Jeanne Leblanc | Judith Baribeau, Jeanne Leblanc, | Maison 4:3 | Slykid & Skykid – Benoit Beaulieu, Marianne Farley Rustic Oracle – Sonia Bonspille Boileau | Sonia Bonspille Boileau | 7th Screen | Nish Media – Jason Brennan Le sang du pélican – Denis Boivin | Denis Boivin | Les Distributions Netima | Productions Dionysos – Denis Boivin Slaxx – Elza Kephart | Patricia Gomez Zlatar, Elza Kephart | Filmoption International | EMAfilms – Anne-Marie Gélinas | Head on the Door Productions – Patricia Gomez Zlatar Target Number One – Daniel Roby | Daniel Roby | Les Films Séville | Caramel Films – Valérie d’Auteuil, André Rouleau We Had It Coming – Paul Barbeau | Paul Barbeau | MK2 Mile End | Reprise Films – Melissa A. Smith, Paul Barbeau
IRIS HOMMAGE
Association coopérative de productions audiovisuelles (ACPAV) Représentée par Marc Daigle et Bernadette Payeur
#gala québec cinéma#la déesse des mouches à feu#target number one#émilie bierre#sigourney weaver#souterrain
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2020 – Films
C’est quand même fascinant que la plupart des gens croient que peu de films sont sortis dans la dernière année. Bien sûr, le fait de ne plus aller en salle nous a tous donné cette impression. De plus, les retards et reports dans le calendrier ont amputé la quantité de longs-métrages qui ont été vus par le public. Heureusement, plusieurs productions à moins grand déploiement ont fini tôt ou tard par se retrouver sur les plateformes de location et de visionnement en ligne. Malgré tout, j’ai pu voir 36 films parus cette année (40, si l’on compte les 5 volets qui composent la série de films Small Axe).
Je dois avouer avoir eu un peu de mal à finaliser mon palmarès. Quelques films un peu moins forts se retrouvent au bas de la liste, mais je n’ai pas eu d’autre choix que de leur faire une place dans le «club sélect» de mon top 10. Je n’ai toujours pas vu Minari, Promising Young Woman et Nomadland, tous nommés dans la catégorie du meilleur film au prochain gala des Oscars. De toute façon, leur sortie au Québec étant officiellement en 2021, peut-être les verrons-nous dans le classement de l’année prochaine, qui sait? Voici donc sans plus tarder les 10 meilleurs films de 2020.
À vos télécommandes (et bonne lecture)!
10 ★ Another Round (Druk) – Thomas Vinterberg
(117 minutes – Danemark, Pays-Bas, Suède) – En salle et en location.
Intitulé Druk dans sa version originale en Danois, ce film, du réalisateur de Festen, raconte l’histoire de quatre enseignants au secondaire un peu blasés qui tenteront une expérience des plus singulières: maintenir un faible niveau d’intoxication à l’alcool sur leurs heures de cours. À la manière d’une soirée arrosée, les quatre bons camarades commenceront par en bénéficier au tout début, pour qu’évidemment le fin équilibre se mette à trembler, et finisse par s’écrouler. Les trois autres acteurs entourant Mads Mikkelsen (toujours incroyable), ainsi que leurs compagnes respectives, livrent tou.te.s et chacun.e un jeu d’acteur senti et efficace – que ce soit dans les moments plus humoristiques ou bien ceux nécessitant plus de profondeur – donnant place à quelques moments étonnamment touchants. Malgré un dernier acte plutôt prévisible et moins inspiré, Another Round divertit, émeut et enivre. Mads, je t’aime.
9 ★ The Invisible Man – Leigh Whannell
(124 minutes – États-Unis, Australie) – En location.
Je ne pensais pas mettre ce film dans mon palmarès, mais en préparant cette rétrospective, j’ai réalisé que c’est l’une des expériences cinéma qui me reste en tête et qui m’a le plus marqué cette année. Faute d’écran géant en salle, j’ai regardé ce film à la maison dans le «set-up» parfait pour un film d’épouvante: tout seul dans le noir total, près de l’écran de ma télé, avec mes écouteurs au volume assez élevé pour ne rien manquer. Quelques semaines après avoir fui son horrible mari contrôlant et sociopathe prénommé Adrian Griffin, Cecilia Kass sent une présence près d’elle. Pourtant, elle est seule. Adrian serait-il de retour pour se venger? On a souvent vu au cinéma la notion d’invisibilité utilisée à des fins d’espionnage ou de voyeurisme, mais jamais n’aura-t-elle été aussi terrifiante. On a qu’à penser aux déjà mythiques scènes d’introduction et celle au restaurant où Elisabeth Moss incarne avec maitrise cette femme que tout le monde croit nager en plein délire. La mise en scène est renversante d’inventivité – ce qui est étonnant venant d’une si grosse production – et les effets spéciaux sont, ma foi, très bien réussis.
8 ★ Le Rire – Martin Laroche
(123 minutes – Canada) – En location.
Le rire fut l’un des premiers films que j’ai regardés à la maison, au tout début de la pandémie. Il était quelque peu déconcertant de visionner ce film, qui se déroule en pleine guerre civile, alors qu’une toute nouvelle réalité s’installait aussi chez nous. Difficile, aussi, de décrire le film en un scénario clair; c’est une expérience qu’il faut vivre sans se poser trop de questions en se laissant imprégner de ses imprévisibilités. Les dialogues, les performances (Léane Labrèche-Dor est incroyable!) et le montage sont étranges, expérimentaux, et nous plongent souvent dans la poésie – donnant parfois l’air d’une pièce de théâtre et flirtant furtivement entre drame, horreur et comédie. Il est impossible de ne pas penser à Lynch en visionnant ce film troublant et mystérieux. Qu’il est rafraichissant de voir un film québécois oser s’abandonner complètement dans ce style! Ah, et quoi de plus troublant qu’un des personnages s’exclame, alors qu’il frôle la mort: «ça va bien aller». Espérons que Le rire n’est pas un film prémonitoire.
7 ★ L’acrobate – Rodrigue Jean
(134 minutes – Canada) – En location.
C’est pendant une tempête de neige en février 2020 que je me suis déplacé au Cinéma Beaubien afin de visionner le nouveau film de Rodrigue Jean, que j’ai connu avec le film L’amour au temps de la guerre civile. Les personnages interprétés par Sébastien Ricard, professionnel d’âge moyen, et Yury Paulau, acrobate, se rencontrent un peu par hasard lors d’une visite de condo en plein centre-ville de Montréal. L’attirance sera quasi instantanée et les pulsions de ceux-ci se réaliseront sur l’écran avec fougue. Quelques yeux sensibles ont quitté la projection en cours de route – il faut avouer que les scènes passionnées sont filmées de façon hyper graphique et réaliste. Rien n’est laissé à l’imagination et c’est franchement rafraichissant. Ces deux corps ont besoin l’un de l’autre, malgré qu’ils ne soient pas totalement compatibles. La chute est inévitable et elle nous entrainera avec elle. On a rarement vu Montréal filmée de façon si froide et cartésienne, semblant être plongée dans les constructions sans fin. Pour un public averti.
6 ★ First Cow – Kelly Reichardt
(121 minutes – États-Unis) – En location.
L’amitié, une vache et quelques beignets. Je n’étais pas familier avec l’œuvre de Kelly Reichardt avant d’appuyer sur «play» — j’avais entendu parler ici et là de Meek’s Cutoff et de Certain Women, mais rien de plus. Je dois maintenant avouer être curieux d’en découvrir plus, car First Cow est un petit bijou de film, tendre, émouvant et drôle. La prémisse est simple: deux hommes, qui n’ont apparemment pas grand-chose en commun, finissent par se lier d’amitié. Voulant se sortir de la pauvreté et faire quelque chose de leur peau, ils décident d’ouvrir leur minuscule comptoir de vente de beignets frits. Pour concocter lesdits beignets, ils auront besoin de voler le lait de la première vache arrivée en Oregon. John Magaro et Orion Lee offrent tous deux des performances sensibles et nuancées dans le rôle de ces deux camarades. Les images, tournées en numérique, sont sublimes et n’ont drôlement rien à envier à la pellicule, que ce soit sous la lumière du tôt matin ou de la nuit tardive. La musique composée par William Tyler enveloppe le film d’une douceur qui fait du bien. Certainement le «feel-good movie» de l’année.
5 ★ Possessor – Brandon Cronenberg
(102 minutes – Grande-Bretagne, Canada) – En location.
Tasya Voss habite avec son mari et son fils à Toronto et ils y vivent une vie bien simple. Le travail de celle-ci n’a toutefois rien d’ordinaire: tueuse à gages «virtuelle» pour une firme diabolique. Elle prend possession du corps et de l’esprit d’individus pour que ceux-ci fassent le sale travail, sans même que les «possédés» ne puissent s’en rendre compte. Cela permet à Tasya de garder l’anonymat et de ne jamais se faire prendre. Toutefois, son nouveau pantin fera dramatiquement basculer l’ordre des choses de façon à brouiller habilement les corps et les identités. Il est quasi impossible de parler du cinéma de Brandon Cronenberg sans le comparer à l’œuvre de son père, le mythique David Cronenberg. Tous deux se spécialisent dans le film d’effroi, naviguant habilement entre l’horreur, la science-fiction et la comédie dramatique. Pour sa nouvelle offrande, Cronenberg fils continue dans cette même lancée en plaçant son film dans le passé, soit 2008, mais en y ajoutant certains codes plus futuristes. Possessor nous garde cloués à notre siège, tant il est fascinant et déconcertant, versant plus d’une fois dans une violence extrême et faisant hommage au «body horror» qu’affectionne particulièrement Cronenberg père. «Pull me out!»
4 ★ Sound of Metal – Darius Marder
(132 minutes – États-Unis, Belgique) – En location.
Ruben vit pour la musique. Il est le batteur d’un groupe de «noise metal» et sa copine en est la chanteuse. Les acouphènes font partie de son quotidien, mais c’est lorsque ceux-ci prendront le dessus sur son art qu’il décidera – bien malgré lui – de consulter un spécialiste. Le verdict tombe: il n’entend qu’à 20 ou 30% de sa pleine capacité et son audition se détériore rapidement. Il devra donc faire un choix: accepter la surdité et apprendre à vivre avec celle-ci ou poursuivre sa passion et attendre un miracle. Coécrit par Derek Cianfrance (qui nous avait offert le très bon The Place Beyond the Pines), Sound of Metal est un film immersif, bouleversant et assourdissant. Le design sonore est d’un tel réalisme qu’il nous fait ressentir la perte d’audition de Ruben avec lui, chaque cillement et perte de son nous fracassant les oreilles. Si le film ne gagne pas le prix pour le meilleur son aux prochains Oscars, je ne m’en remettrai jamais. Sur une note plus personnelle, il y a de la surdité dans ma famille et je trouve complètement renversant et très émouvant qu’un film puisse me faire comprendre et surtout ressentir un peu de ce que mes proches vivent chaque jour de leur vie. Quelle résilience.
3 ★ Lovers Rock – Steve McQueen
(70 minutes – Grande-Bretagne) – À voir uniquement sur Prime.
Se déroulant presque en temps réel durant une seule soirée des années 80, le deuxième volet de la pentalogie de films Small Axe de Steve McQueen est non seulement le meilleur de la série, mais aussi celui qui fait le plus de bien. Quoi de mieux et de plus réconfortant, en ces temps étranges de confinement, qu’un film se déroulant dans un party de maison, où les corps se bousculent, se rapprochent, se frôlent. Il y a quelque chose de si nostalgique et de si émouvant à voir ces jeunes adultes simplement en train de faire la fête et de danser jusqu’au petit matin. Ce film d’à peine 1h10 suit quelques personnages principaux lors de la préparation de la soirée, jusqu’au lendemain matin, alors que le jour se lève. Ces fêtes de maison surnommées «blues parties» étaient fréquentes dans les communautés Noires, car celles-ci vivaient trop de racisme dans les rues et les clubs pour que sortir en ville soit une expérience agréable. La prémisse peut sembler plutôt simple, mais l’exécution ne pourrait être plus réussie et la bande-son de feu vous donnera envie de vous lever de votre siège plus d’une fois. Que des «hits». Ces soirées entre amis me manquent profondément et Lovers Rock a réussi à m’y transporter. Pendant un moment, j’y étais moi aussi. Ça, c’est du cinéma.
2 ★ Never Rarely Sometimes Always – Eliza Hittman
(101 minutes – États-Unis, Grande-Bretagne) – En location.
Le film d’Eliza Hittman est l’un de ces films qui vous marquent le cœur et l’esprit. Un peu à l’instar de 4 mois, 3 semaines, 2 jours (4 luni, 3 saptamâni si 2 zile) de Cristian Mungiu, le long-métrage aborde avec brio et franchise la difficulté qu’ont les femmes à avoir accès à l’avortement. Autumn, qui habite dans la région de la Pennsylvanie, tombe mystérieusement enceinte et ne souhaite pas poursuivre sa grossesse. Afin que ses parents ne soient pas mis au courant de la situation, elle devra voyager à New York pour visiter une clinique spécialisée. On la suivra donc dans son périple de quelques jours dans la grosse pomme, accompagnée de sa cousine Skylar. Le titre du film, Never Rarely Sometimes Always fait référence aux choix de réponses du cruel questionnaire qui est posé à chacune des femmes peu avant la procédure. Sidney Flanigan et Talia Ryder sont déchirantes de sincérité et leur jeu est non seulement hyperréaliste, mais aussi énormément poignant et honnête. Peu de mots sont échangés, mais les regards et les actions n’en sont que plus émouvants. Les images granuleuses d’Hélène Louvart tournées en 16 mm – et la plupart du temps en lumière naturelle – sont magnifiques et apportent un degré de réalisme essentiel à l’œuvre. Un film à voir pour sa pertinence capitale. Nécessaire, important, immanquable, essentiel.
1 ★ Portrait de la jeune fille en feu – Céline Sciamma
(121 minutes – France) – En location.
J’étais tellement déçu de ne pas avoir pu mettre ce film comme tout le monde dans mon top l’année passée… Attention, revirement de situation! Considérant que ce film est sorti au Québec le 14 février 2020, j’ai réalisé que je pouvais me permettre de le placer sans hésitation au sommet de mon palmarès cette année. Céline Sciamma nous a fait le plus beau cadeau de Saint-Valentin: une histoire d’amour déchirante et brulante de désir. En 1770, la peintre Marianne est engagée pour brosser le portrait d’Héloïse, car celle-ci se doit de marier un noble milanais. Les deux femmes passeront donc énormément de temps ensemble afin que Marianne puisse capturer tous les détails, toutes les beautés et imperfections d’Héloïse. Jamais le désir n’aura été aussi bien représenté, aussi palpable que dans les scènes d’esquisses où les regards veulent tout dire. Noémie Merlant et Adèle Haenel livrent toutes deux des performances plus que parfaites, dans une distribution presque exclusivement féminine. La cam��ra de Claire Mathon (L’inconnu du Lac, Atlantiques) capte ces instants de grâce clairs-obscurs et les magnifiques paysages de la Bretagne avec virtuosité et sensibilité. On se souviendra longtemps de cette scène chorale, ainsi que de cette finale chavirante où les larmes se font voir à l’écran et en dehors.
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*Mentions spéciales*
A White, White Day (Hvítur, hvítur dagur) – Hlynur Pálmason: Alors que la brume s’abat sur une petite ville d’Islande, Ingimundur, récemment veuf, soupçonne que sa femme entretenait une relation adultère avec l’un de ses collègues. Sa vie ne sera plus jamais la même.
Soul – Pete Docter: Il est toujours impressionnant de voir Pixar réussir à traiter de façon si habile, sensorielle et émouvante d’un sujet si complexe que celui de l’âme humaine. Touchant.
The Truth – Hirokazu Kore-eda: Après Shoplifters, Kore-eda nous offre une charmante histoire de famille où Juliette Binoche et Catherine Deneuve se retrouvent entre mère et fille, alors que les conflits du passé ne sont pas complètement réglés.
Last and First Men – Jóhann Jóhannsson: Hypnotisant récit futuriste où les humains sont au bord de l’extinction, écrit en partie par le regretté Jóhann Jóhannsson (compositeur de Arrival) et narré par la mystérieuse Tilda Swinton. Un film expérience.
Tenet – Christopher Nolan: Malgré ses nombreux défauts, j’ai succombé à cet excitant film à grand déploiement dont les 2h30 passent surprenamment très vite.
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*Grandes attentes, grandes déceptions*
Color Out of Space – Richard Stanley
Mafia Inc. – Podz
Saint-Narcisse – Bruce LaBruce
You Should Have Left – David Koepp
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Voir toutes les bandes-annonces:
youtube
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Pour les cinéphiles plus gourmands, voici d’autres bons coups:
Beanpole (Dylda) – Kantemir Balagov
Sorry We Missed You – Ken Loach
Les quatre autres films de la pentalogie Small Axe – Steve McQueen
I’m Thinking of Ending Things – Charlie Kaufman
Shirley – Josephine Decker
Kajillionaire – Miranda July
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Pour relire les palmarès des années précédentes: 2019, 2018, 2017, 2016 :~) Relecture : Melodie Karama
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Gala Québec Cinéma, June 4 2017
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***ERRATUM*** L'émission "Les Poilus" ne sera pas diffusé ce Dimanche parce que c'est le "Gala Québec cinéma". Le rendez vous télévisuel de Atchoum est remis à la semaine prochaine ( 10 juin 2018). Toutes nos excuses! * * *** POUR LE CANADA SEULEMENT** Dimanche le 10 juin à l'émission "Les Poilus" à Radio-Canada dès 19:30, il ne faut surtout pas manquer un invité spécial que vous aimerez tous!🙀 Hé oui! Atchoum ira faire une belle surprise à cet invité mystère. Maintenant essayez d'imaginer ce qui peut bien faire rire autant notre vétérinaire préféré du Québec 😻 Dr Sébastien Kfoury!! (à Repentigny, Quebec)
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