#Franco-Belge Cuisine
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Aren't those called "Freedom Fries" since the French refused to fall upon Iraq in 2003 and help to midwife the IS and the subsequent Syrian Civil War?
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Douarenn - Berrien, France
Cabane cachée au coeur des Monts d'Arrée dans le FinistÚre qui invite à retrouver le bonheur du temps long. Et des plaisirs simples. De l'écriture, de la lecture, du dessin ou de la cuisine. Dans cette petite maison en bois (de 74m2) dotée d'immenses baies vitrées pour brouiller les pistes entre intérieur et extérieur, on trouve deux chambres, une cuisine équipée, une douche à l'italienne, linge de lit et de toilettes fournis, grande terrasse autour de la cabane, mobilier de jardin et barbecue, chemins de randonnée à proximité... Mais pas de wifi, comme l'ont voulu Cloé et Yannick, couple franco-belge propriétaire des lieux. Une déconnexion forcée qui offre de belles surprises. Une mare cachée, des fleurs cultivées par la propriétaire, un petit-déjeuner servi dans un panier garni le matin. Et le ciel étoilé que l'on observe une fois la nuit tombée.
Haute saison : 280⏠la nuit Basse saison : 180⏠la nuit Petit dĂ©jeuner : 35âŹ
Deux nuits minimum
Site Internet
5h54 en voiture depuis Vincennes Non accessible en transport en commun
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Endives au gratin et lâhĂ©ritage belge! đ§đȘ
Un lien franco-belge dans lâassiette Ă travers des saveurs typiques. đ
Un fort apport en vitamines et en protĂ©ines. đ
Un plat savoureux enrobĂ© dans une sauce soyeuse. đ„ł
La recette : âŹïž
https://www.perruccis-cuisine-passion-competence.com/recettes/plats-principaux/viandes/endives-au-gratin-et-lheritage-belge/
Bon appétit!
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Quand on lit les BD des autres pays, elles peuvent lui aider Ă apprendre des cultures diffĂ©rentes. Dans chaque BD par quelquâun dâun autre partie du monde, il y a quelques informations sur la vie en cet endroit. Par exemple, quand on lit un BD franco-belge, on peut apprendre sur la cuisine française ou peut-ĂȘtre lâhistoire française. Aussi, si on lit des mangas, on peut apprendre sur la hiĂ©rarchie sociale ou le systĂšme Ă©ducatif japonais. En plus dâapprendre ces choses, on peut aussi apprendre la culture des BD elle-mĂȘme par les BD. Ce que je veux dire est quâon peut trouver le sens de leurs idĂ©ogrammes, ou dĂ©couvrir un genre unique. Une autre possibilitĂ© est de trouver comment cette culture aime raconter des histoires. Mon point principal est que la lecture des BD dâune autre culture pouvait donner des informations quâon ne saurait jamais.
Mots recherché:
*soulager = to relieve
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Les huiles essentielles peuvent ĂȘtre utilisĂ©es par voie orale et en cuisine mais je n aurai pas utilisĂ© de la menthe poivrĂ©e car cette derniĂšre est neurotoxique Ă long terme et accessoirement ont elles ete bien dosĂ©e dans ces gĂąteaux?!?! Car pour un adulte si on estimĂ© 2gouttes par gĂąteaux ce dernier ne peux manger que 3 gĂąteaux par jour et pas utilisĂ© d autre huile essentielles dans la journĂ©e. AprĂšs l'usage orale des huiles essentielles est franco-belge et uniquement en cas de pathologie interne sinon on lui prĂ©fĂ©rera la voie cutanĂ©e qui sera moins toxique et thĂ©rapeutiquement deja bien efficace.
Les huiles essentielles sont tres efficaces mais doivent etre utilisées en connaissance de cause et a leur juste valeur.
Cette personne qui a eu envis de faire de la cuisine aromatique je lui aurai plutot recommandĂ© d utiliser de l'hydrolat de menthe poivrĂ©e qui aura le parfum mais pas la concentration molĂ©culaire ni de dose maximale ni de toxicitĂ© car comprenant moins d'1% de molĂ©cules active (se qui veux dire aussi plus de gateaux dans la journĂ©e) âđ
Prenez soin de vous â€đ
YOU CANNOT BE FEEDING THESE TO PEOPLE OMG đ€Šđœââïž
The horror I just came across on my ig đ·
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"Le pigeon noir", une valeur sûre à Uccle - La cuisine à quatre mains lalibre.be
Le temps semble sâĂȘtre figĂ© dans ce joli bistrot ucclois, qui nâa pas bougĂ© dâun pouce depuis son Ă©toile Michelin⊠On adore!
Un bistrot dans son jus
En novembre 2014, le guide Michelin offrait un âŠ
Qu'est-ce qu'on l'aime "Le Pigeon noir" d'Henri De Mol! Et on l'aimait bien avant qu'il soit étoilé... Car ici on mange une cuisine franco-belge sans chichis, hors du temps et des modes. Et puis le lieu à une vraie ùme et c'est rare! Un estaminet chaleureux décoré de publicités humoristiques à l'image de son patron. Une valeur sûre.
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On dirait le Sud
Notre minibus avance sur la route nationale qui longe la cĂŽte. Nous dĂ©passons des motards Ă la peau brune qui roulent sans casque. De chaque cĂŽtĂ© de ce long ruban dâasphalte brĂ»lant dĂ©filent des maisons en bois sur pilotis entourĂ©es dâun petit terrain oĂč broutent quelques vaches. Au loin, on aperçoit les reliefs arborĂ©s de la ChaĂźne de lâĂlĂ©phant. Pas de doute, nous sommes bien au Cambodge. Jâobserve Camille, qui arbore comme moi un large sourire : nous sommes sur la mĂȘme longueur dâonde. Revenir dans ce pays aprĂšs 4 ans, câest un peu pour nous comme rendre visite Ă une tante Ă©loignĂ©e : la promesse de journĂ©es paisibles, de souvenirs en pagaille et de bons petits platsâŠ
Notre bus nous dĂ©pose Ă Kampot, ville poussiĂ©reuse posĂ©e en bord de riviĂšre. Nous hĂ©lons un tuk-tuk, ravis de laisser derriĂšre nous les taxis climatisĂ©s vietnamiens. Je nĂ©gocie le tarif en khmer avec le chauffeur, ce qui nous donne Ă tous les deux la banane. Il accepte mĂȘme de se faire payer en monnaie vietnamienne car je nâai pas encore de dollars. Il ouvre des yeux ronds quand je lui tends 50 000 dongs : il ne connait pas le taux de change mais accepte de les prendre, satisfait, quand je lui affirme que cela vaut bien 2 dollars⊠Bienvenu au Cambodge ! Ici, si lâon se plante en donnant trop dâargent, on vous rend les billets en excĂšsâŠ
Dans les rues, point de statues dorĂ©es de rĂ©volutionnaires marxistes, mais des reprĂ©sentations plus concrĂštes : durian et noix de coco monumentales ou encore crabe gĂ©ant Ă lâentrĂ©e de la ville voisine de Kep-Sur-Mer. Ce cĂŽtĂ© terre-Ă -terre me plait bien.
Nous posons nos sacs Ă la Tiki Guesthouse, une auberge au bord de lâeau oĂč flotte le gwenn-a-du et qui nous avait Ă©tĂ© recommandĂ© depuis la Bretagne. Câest une de ces haltes pour backpackers fourbus qui fleure bon lâaventure. On y fournit chambre, biĂšre et mĂȘme galette pour un prix modique. Lâendroit tout indiquĂ© pour faire une pause de quelques jours Ă condition de ne pas avoir la phobie des insectes ou le sommeil lĂ©ger. Au bar, on descend volontiers une Angkor, la biĂšre nationale, en devisant avec des punks itinĂ©rants et des voyageurs Ă dreadlocks dont les tatouages racontent les vies mouvementĂ©es, comme les marins dâautrefois. Le soir, les clients constituent le buffet gratuit des moustiques tandis quâils refont le monde avec en fond sonore Manu Chao ou un rock un peu sale.
Ici, on trinque Ă soi, aux autres, Ă la vie, aux galĂšres et Ă tout le reste tandis que le soleil se couche au loin derriĂšre le Parc du Bokor et ses jungles Ă 1000m dâaltitude. Il nâest pas rare quâau petit-dĂ©jeuner les couche-tard de la veille Ă©mergent de leur hamacs sans avoir tout Ă fait dessoulĂ©. Hugo, lâun des barmen, insiste pour me servir gratuitement des shooters en parallĂšle de mon cafĂ© : jâai ainsi lâhonneur de goĂ»ter, Ă 9h du matin, un rhum au poivre de Kampot, prĂ©paration maison. Il faut lâavouer, câest plutĂŽt une boisson dâhomme⊠Le chat et les cuisiniĂšres khmĂšres ferment les yeux sur les fĂȘtes improvisĂ©es de la Tiki. Quand les choses deviennent un peu trop mouvementĂ©es, ils opĂšrent un repli stratĂ©gique vers des zones plus calmes, discrets comme des ombres.
Les jours suivants, nous vadrouillons dans lâarriĂšre-pays. Nous visitons ainsi la grotte de Phnom Chhnork, plaie bĂ©ante dans une colline karstique en pleine campagne. Au fond de la cavitĂ© on trouve un trĂšs vieux temple en brique datant du VIIĂšme siĂšcle. Ă lâintĂ©rieur, un stalactite a presque rejoint le lingam sacrĂ© situĂ© en-dessous, sorte de borne dâaspect phallique dĂ©diĂ©e Ă Shiva.
Notre prochain arrĂȘt est une plantation de poivre tenue par un couple franco-belge. Le projet comporte Ă©galement une dimension sociale car les gĂ©rants parrainent une Ă©cole locale. Le poivre de Kampot, tout comme celui de Phu Quoc, est rĂ©putĂ© comme lâun des meilleurs. La plantation vend mĂȘme le poivre « le plus rare du monde » : câest en fait un poivre noir picorĂ© par des oiseaux puis rejetĂ©s dans leurs fientes aprĂšs avoir Ă©tĂ© transformĂ© en poivre blanc par leur systĂšme digestif ! Les graines sont ensuite patiemment rĂ©coltĂ©es Ă la main â et nettoyĂ©es -, avant dâĂȘtre vendues Ă prix dâor comme un met pour connaisseursâŠ
Nous filons ensuite Ă Kep, bourgade tranquille de bord de mer oĂč nous Ă©tions dĂ©jĂ passĂ©s lors de notre dernier sĂ©jour cambodgien. Nous adorons le rythme paisible de cette ville, sa plage coquette et ses villas Ă lâabandon avec les montagnes dans le dos. On pourrait presque se croire dans un village mĂ©diterranĂ©en des annĂ©es 30.Â
Sur le marchĂ© au crabe, nous dĂ©gustons poissons et crustacĂ©s cuisinĂ©s au poivre vert de Kampot : un pur dĂ©lice. AprĂšs cela nous piquons une tĂȘte dans une eau Ă 25°C au milieu des cambodgiens qui se baignent habillĂ©s, pudeur oblige. Câest dimanche et les familles sont nombreuses Ă ĂȘtre venues pique-niquer en bord de mer.
Si nous sommes heureux de retrouver la cuisine et les paysages cambodgiens, nous le sommes tout autant de retrouver les khmers eux-mĂȘmes. Leurs sourires et leur gĂ©nĂ©rositĂ©s , sâils ne nous Ă©taient pas connus, pourraient mĂȘme nous paraĂźtre suspects aprĂšs notre sĂ©jour vietnamien⊠Les illustrations de la gentillesse cambodgienne sont innombrables. Un routard nous raconte ainsi lâhistoire de lâun de ses amis qui avait perdu son portefeuille et nâavait plus les moyens de payer le restaurant oĂč il avait une ardoise. Il proposa donc Ă la cuisiniĂšre khmĂšre dâemprunter de lâargent Ă ses amis pour la payer mais celle-ci refusa catĂ©goriquement, arguant que prendre de lâargent Ă quelquâun qui a perdu le sien ne serait pas bon pour son karmaâŠ
Autre exemple de cette gĂ©nĂ©rositĂ© khmĂšre : lâautre jour je me rends au marchĂ© pour y acheter de quoi rĂ©aliser un petit travail de couture. Il est 17h30 et la plupart des Ă©choppes ont dĂ©jĂ fermĂ© boutique. Jâavise une couturiĂšre faisant des heures supâ et lui demande si je peux lui acheter une aiguille. Elle en prend une devant elle et me la tend.
- Merci, mais jâaurais aussi besoin de fil, dis-je.
Elle ouvre son tiroir et jâen sort une petite bobine de fil bleu pour lui montrer ce quâil me faut. Elle me la reprend des mains et me donne la mĂȘme, mais neuve.
- Merci, combien je vous dois ?
Je ne comprends pas sa réponse et la fait répéter :
- Rien, câest bon ! dit-elle en souriant et me faisant signe de mâen aller.
Ses copines gloussent tandis que je la remercie en joignant les mains. Jâaime ce pays.
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