Tumgik
#François Brassard
mitchbeck · 1 year
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REPORTER'S NOTEBOOK - PRO HOCKEY SIGNINGS CONTINUE
By: Gerry Cantlon, Howlings HARTFORD, CT – Much to empty from the Reporter’s Notebook as the off-season pro hockey signings continue but slow down as the dog days of summer approach. EX-HARTFORD WOLF PACK PLAYERS SIGNING After playing for three European teams last year, ex-Hartford Wolf Pack Aaron Luchuk signs with Orlando Solar Bears (ECHL) for next year. Goalie Keith Kinkaid signs with the…
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goalhofer · 9 months
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Welcome back to Maine, François Brassard.
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marriedtogiants · 2 years
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Loto-Québec 'We’re All Play' from Married to Giants on Vimeo.
Editor: Nick Yumul Assistant Editor: Parnika Raj Exec Producer: Jenna Edwards
Director: Ivan Grbovic Production: Les Enfants
Agency: Cossette Creative: Anne-Claude Chénier, Patrick Michaud, Alexandre Émond-Turcotte, Philippe Brassard, Jessica Fecteau, Nicolas Doyon, Chris Belanger, Ambre Chekly, Julien Hérisson
Colour & Online: MELS
Music: Cult Nation Producer: Sean Sable Music: Mathieu Lafontaine Sound: François Bélanger, Théo Porcet
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bigkuzdra · 2 years
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https://www.noovo.ca/emissions/le-fabuleux-printemps-de-marie-lyne/francois-arnaud-s1e4
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a-room-of-my-own · 4 years
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Les militants du Tudeh, le parti communiste iranien, étaient aux côtés des islamistes il y a 40 ans. Aujourd’hui, le nom du parti est tabou en Iran
Il a fallu quelques jours de réflexion à Mo pour qu’il accepte de nous recevoir, le temps d’un thé. Par méfiance d’abord, alors que le régime iranien traque la parole politique non conformiste, et surtout par réticence à relater la grande histoire, à laquelle il a participé malgré lui, et dont il a été, comme tant d’autres, trompé. Mais le besoin de transmettre son récit l’a emporté. Ce soir de janvier, assis dans un coin tranquille d’un café du centre de Téhéran, Mo parle à voix basse. « J’ai appris à être discret, c’est ce qui m’a toujours évité d’être arrêté », sourit-il. Les clients n’imaginent pas que ce retraité de 63 ans, à la mine débonnaire et aux yeux plissés derrière d’épaisses lunettes, fut naguère un étudiant révolutionnaire, un anonyme noyé dans une foule qui fit tomber le régime impérial perse. « Début février 1979, j’étais avec un groupe de copains », se souvient-il, nostalgique. « On a capturé sans armes une garnison militaire dans le centre de Téhéran, avant d’envahir le siège de la Savak (la police politique du chah, NDLR). » Mo ne parle que rarement de ses faits d’armes révolutionnaires. Car comme beaucoup d’étudiants de l’université de Téhéran à l’époque, il était membre du Tudeh, le parti communiste iranien. Un parti dont le nom est aujourd’hui tabou en Iran, et dont aucune mention n’est faite lors des cérémonies de commémoration de la révolution islamique.
Créé en 1941, le Tudeh fut l’un des plus importants partis communistes du Moyen-Orient. Doté d’une grande influence dans les milieux intellectuels et ouvriers, allié de circonstance avec les islamistes au moment de la révolution, il fut à l’origine des premières manifestations qui firent tomber le chah, avant d’être progressivement évincé par la nouvelle théocratie et complètement anéanti en 1983. Quarante ans après, Mo ne comprend toujours pas comment la révolution a pu lui échapper.
« On ne prenait pas au sérieux ces groupes d’islamistes. Ils avaient un très faible niveau de compréhension socio-économique. Pour nous, le soulèvement de 1979 devait être une transition vers le socialisme. Manifestement, on s’est complètement planté… » ironise-t-il aujourd’hui.
En 1979, la force de frappe du Tudeh et son influence le rendent indispensable aux islamistes pour faire tomber le chah. De leur côté, les communistes s’identifient au discours révolutionnaire et tiers-mondiste du charismatique Khomeyni. Le Tudeh, inféodé aux ordres de Moscou, est alors une pièce maîtresse du jeu soviétique en Iran, qui voit en Khomeyni un potentiel allié, et dans son avènement l’occasion inespérée de damer le pion aux Américains au Moyen-Orient. En dépit de toute considération idéologique, l’URSS espère manipuler le clergé chiite afin d’attirer l’Iran dans son giron. Lorsque l’ayatollah atterrit à Téhéran le 1er février 1979, acclamé par la foule, le Tudeh le reconnaît officiellement comme guide de la révolution. Dans la fièvre insurrectionnelle qui agite les avenues de Téhéran, les révolutionnaires aux brassards rouges se mêlent aux clercs chiites enturbannés.
« On aurait pu faire la même chose que Lénine »
Saeed Paivandi était lui aussi un militant actif du Tudeh. Arrivé clandestinement en France en 1984, il a bénéficié de l’asile politique accordé par François Mitterrand aux activistes de gauche iraniens. Il est aujourd’hui professeur de sociologie à l’université de Nancy. Sur son téléphone, dans un bistrot parisien, il fait défiler une conversation sur l’application Telegram, sur laquelle d’anciens camarades du parti, qui vivent clandestinement en Iran ou en exil en Europe, s’échangent des poèmes nostalgiques.
« C’est un énorme gâchis… On ne pensait pas que la révolution allait se transformer en cauchemar islamiste, reconnaît-il aujourd’hui. On vivait dans l’illusion, on pensait qu’au final les islamistes n’auraient jamais la possibilité de s’approprier la révolution. »
Une cécité partagée par la majorité des révolutionnaires de gauche à l’époque, qui se reconnaissaient dans le discours social et anti-impérialiste de Khomeyni. « Une des erreurs majeures que nous avons commises, c’est de ne pas voir que les islamistes n’étaient pas anti-occidentaux de la même manière que nous, analyse aujourd’hui Saeed Paivandi. Pour nous, la cible n’était pas la civilisation occidentale, mais les États capitalistes. Alors que le régime islamiste considérait l’Occident comme un ennemi civilisationnel. »
Dans les mois qui précèdent la fuite du chah, le doute naît pourtant dans les rangs du Tudeh quant au véritable dessein de Khomeyni. Iraj Eskandari, premier secrétaire du parti, préconise plutôt une alliance avec les forces laïques. Il affirme à son donneur d’ordre soviétique que le parti fait fausse route et l’exhorte à ne plus soutenir Khomeyni. Il sera démis de ses fonctions en janvier 1979, quelques jours avant la fuite du chah.
Saeed Paivandi se souvient des fameuses « Dix Nuits » d’octobre 1977, qui marquèrent le début des protestations ; une succession de soirées littéraires et poétiques transformées en tribunes politiques, organisées à l’institut culturel allemand à Téhéran.
« Il y avait 15 000 personnes chaque soir, et seulement 500 islamistes. Quand les écrivains islamistes prenaient la parole, personne ne les écoutait. C’était ça le rapport de force à l’époque !
"En 1978, il était tout à fait possible que la révolution soit socialiste. On aurait pu faire la même chose que Lénine en 1917 : les bolcheviks n’étaient pas très nombreux, mais comme ils étaient bien organisés et qu’ils étaient très influents dans les syndicats, ils ont pris le pouvoir."
« Le mollah-tariat »
Alors que s’est-il passé ? Dès 1980, Khomeyni se débarrasse de ses alliés les plus proches, les islamistes libéraux, jugés contre-révolutionnaires, avant de s’attaquer aux partis.
Des milliers de hauts fonctionnaires et de hauts gradés sont exécutés. « Toute la gauche a applaudi ces exécutions massives. On considérait que la révolution avait besoin d’éliminer les ennemis du peuple »
se souvient encore Paivandi. Situation confondante d’un parti communiste obéissant au doigt et à l’œil de Moscou qui applaudit les exactions d’un régime islamiste obscurantiste.
Le Tudeh ne tarde pas à subir la répression islamiste à son tour. Khomeyni prend conscience de la pénétration du parti dans les institutions du pays et, surtout, dans l’état-major de l’armée. Le jeune régime islamiste, engagé dans une guerre de survie contre l’Irak de Saddam Hussein, craint un coup d’état militaire comme l’Afghanistan en a connu en 1978, suivi d’une intervention directe de l’Armée rouge. Des révélations selon lesquelles des membres du Tudeh fourniraient des informations stratégiques au KGB offrent l’occasion à Khomeyni d’écraser son ancien allié, accusé d’espionnage et de haute trahison. Une campagne de répression et d’exécution massive s’abat contre les communistes. En février 1983, le Tudeh est interdit et les diplomates soviétiques expulsés.
Les rescapés de ces purges, comme Saeed Paivandi, fuient alors vers l’Europe. Le Tudeh s’exile à Berlin-Est, où il est toujours installé. Le « politburo » du parti publie toujours des délibérations et articles sur son site internet, mais refuse de communiquer sur le nombre de militants encore actifs, officiellement par raison de sécurité. Ceux qui sont restés en Iran sont réduits au silence. À Téhéran, le siège du parti a disparu, et les avenues autour de l’université, qui ont vu des foules défiler il y a 40 ans, sont aujourd’hui ornées de visages de martyrs, morts au nom de la République islamique, assortis d’extraits du Coran. Mo tient à nous raconter une dernière anecdote :
« Pendant une manifestation, on scandait le mot “prolétariat”. Je me souviens d’un mollah qui nous menaçait en agitant une épée en l’air et qui criait “Moi, je vais vous montrer à quoi ressemble le mollah-tariat !”.» L’histoire le fait encore rire. D’un rire amer.
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vaalmont · 3 years
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Armure aux Lions de Henri II, Roi de France. 1550.
Et, dans ce gouffre noir et vide Qu'on voit par le brassard absent, Montre que sous l'acier livide Aucun cœur ne bat à présent.
François Coppée
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extrabeurre · 4 years
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IL PLEUVAIT DES OISEAUX en tête des nominations du Gala Québec Cinéma 2020
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En direct du salon de Guillaume Lambert, les nominations du Gala Québec Cinéma (qui ne fera pas l’objet d’un rassemblement télévisuel cette année, confinement oblige) ont été dévoilées cet après-midi.
En cette année dominée par les réalisatrices, 6 des meilleurs films sont réalisés par des femmes et 3 femmes sont en lice pour l’Iris de la Meilleure réalisation.
On parle bien sûr d’Antigone de Sophie Deraspe (Meilleur film, Meilleure réalisation, Meilleur scénario), La femme de mon frère de Monia Chokri  (Meilleur film, Meilleure réalisation), Kuessipan de Myriam Verreault (Meilleur film, Meilleure réalisation, Meilleur scénario), Jeune Juliette d’Anne Émond (Meilleur film, Meilleur scénario), Il pleuvait des oiseaux  et Louise Archambault (Meilleur film, Meilleur scénario, et 13 nominations au total, le record cette année), et du plus inattendu Fabuleuses de Mélanie Charbonneau (Meilleur film).
Ces films réalisés par des femmes sont rejoints dans les catégories de pointe par les « films de gars » Mafia Inc de Podz (Meilleur film), Sympathie pour le diable de Guillaume de Fontenay (Meilleure réalisation, Meilleur scénario), et  Le vingtième siècle de Matthew Rankin  (Meilleur premier film, Meilleure réalisation).
Un grand oublié : Xavier Dolan, qui a lancé deux longs métrages l’an dernier. On ne s’attendait pas à un couronnement du mal-aimé The Death and Life of John F. Donovan, mais l’excellent Matthias & Maxime aurait mérité plus d’honneurs. Il est quand même en nomination dans les catégories Meilleure interprétation féminine dans un rôle de soutien (Micheline Bernard), Meilleure interprétation masculine dans un rôle de soutien (Pier-Luc Funk), Meilleure direction de la photographie (André Turpin), Meilleur montage (Xavier Dolan), Meilleure musique originale (Jean-Michel Blais) et Meilleur maquillage (Erik Gosselin, Edwina Voda).
Du côté des interprètes, je suis soulagé que mon long métrage québécois préféré depuis longtemps, Le rire de Martin Laroche, ait été au moins reconnu pour les brillantes performances de Léane Labrèche-Dor (Premier rôle féminin) et Micheline Lanctôt (Rôle de soutien féminin).
Il faut aussi souligner les deux nominations comme acteur de Robin Aubert, pour Jeune Juliette (Premier rôle masculin) et Merci pour tout (Rôle de soutien masculin).
Et une pensée pour Andrée Lachapelle, qui nous a quittés récemment, nommée comme Meilleure actrice pour Il pleuvait des oiseaux.
Parlant d’Il pleuvait des oiseaux , félicitations à Will Driving West, un de mes groupes préférés, parmi les finalistes de la catégorie Meilleure musique originale. 
Aussi, je suis très heureux pour l’extraordinaire Je finirai en prison d’Alexandre Dostie, en nomination pour l’Iris du meilleur court métrage.
LISTE COMPLÈTE DES NOMINATIONS
MEILLEUR FILM
Antigone - ACPAV - Marc Daigle
Fabuleuses - GO Films - Nicole Robert
La femme de mon frère - Metafilms - Sylvain Corbeil, Nancy Grant
Il pleuvait des oiseaux - Les Films Outsiders - Ginette Petit
Jeune Juliette - Metafilms - Sylvain Corbeil
Kuessipan - Max Films Média - Félize Frappier
Mafia Inc - Attraction Images - Antonello Cozzolino | Caramel Films - Valérie D'Auteuil, André Rouleau
  MEILLEUR PREMIER FILM
Mad Dog Labine - Jonathan Beaulieu-Cyr, Renaud Lessard - 1er scénario de Jonathan Beaulieu-Cyr, Renaud Lessard
Sympathie pour le diable - Guillaume de Fontenay - 1er scénario de Guillaume de Fontenay, Guillaume Vigneault
Le vingtième siècle - Matthew Rankin - 1er scénario de Matthew Rankin
 MEILLEURE RÉALISATION
Monia Chokri - La femme de mon frère
Guillaume de Fontenay - Sympathie pour le diable
Sophie Deraspe - Antigone
Matthew Rankin - Le vingtième siècle
Myriam Verreault - Kuessipan
MEILLEUR SCÉNARIO
Louise Archambault - Il pleuvait des oiseaux
Jean Barbe, Guillaume de Fontenay, Guillaume Vigneault - Sympathie pour le diable
Sophie Deraspe - Antigone
Anne Émond - Jeune Juliette
Naomi Fontaine, Myriam Verreault - Kuessipan
  MEILLEURE INTERPRÉTATION FÉMININE | PREMIER RÔLE
Anne-Élisabeth Bossé (Sophia) - La femme de mon frère
Anne Dorval (Isabelle Brodeur) - 14 jours 12 nuits
Léane Labrèche-Dor (Valérie) - Le rire
Andrée Lachapelle (Gertrude | Marie-Desneige) - Il pleuvait des oiseaux
Noémie O'Farrell (Laurie) - Fabuleuses
MEILLEURE INTERPRÉTATION MASCULINE | PREMIER RÔLE
Robin Aubert (Bernard) - Jeune Juliette
Marc-André Grondin (Vincent «Vince »Gamache) - Mafia Inc
Patrick Hivon (Karim) - La femme de mon frère
Niels Schneider (Paul Marchand) - Sympathie pour le diable
Gilbert Sicotte (Charlie) - Il pleuvait des oiseaux
 MEILLEURE INTERPRÉTATION FÉMININE | RÔLE DE SOUTIEN
Micheline Bernard (Francine) - Matthias & Maxime
Juliette Gosselin (Clara Diamond) - Fabuleuses
Micheline Lanctôt (Jeanne) - Le rire
Eve Landry (Rafaëlle [Raf]) - Il pleuvait des oiseaux
Geneviève Schmidt (France Gauthier) - Menteur
 MEILLEURE INTERPRÉTATION MASCULINE | RÔLE DE SOUTIEN
Robin Aubert (Réjean) - Merci pour tout
Sergio Castellitto (Francesco « Franck » Paternò) - Mafia Inc
Pier-Luc Funk (Rivette) - Matthias & Maxime
Sasson Gabai (Hichem) - La femme de mon frère
Rémy Girard (Tom) - Il pleuvait des oiseaux
 RÉVÉLATION DE L'ANNÉE
Catherine Chabot (Chloé Therrien) - Menteur
Sharon Fontaine-Ishpatao (Mikuan Vollant [16-21ans]) - Kuessipan
Alexane Jamieson (Juliette) - Jeune Juliette
Nahéma Ricci (Antigone) - Antigone
Lilou Roy-Lanouette (Yanna) - Jouliks
 MEILLEURE DISTRIBUTION DES RÔLES
Jacinthe Beaudet, Tobie Fraser, Geneviève Hébert, Myriam Verreault - Kuessipan
Nathalie Boutrie (Casting NB) - Jeune Juliette
Nathalie Boutrie (Casting NB) | Francis Cantin, Bruno Rosato (Casting Cantin Rosato) - Mafia Inc
Sophie Deraspe, Isabelle Couture | Pierre Pageau, Daniel Poisson (Gros Plan) - Antigone
Karel Quinn (Casting Karel Quinn) | Lucie Robitaille (Casting Lucie Robitaille) - Il pleuvait des oiseaux
 MEILLEURE DIRECTION ARTISTIQUE
Éric Barbeau - La femme de mon frère
Dany Boivin - Le vingtième siècle
Marie-Claude Gosselin, Jean Lebourdais - Il pleuvait des oiseaux
Sylvain Lemaitre - Jeune Juliette
David Pelletier - Mafia Inc
  MEILLEURE DIRECTION DE LA PHOTOGRAPHIE
Yves Bélanger - 14 jours 12 nuits
Nicolas Canniccioni - Kuessipan
Josée Deshaies - La femme de mon frère
Mathieu Laverdière - Il pleuvait des oiseaux
André Turpin - Matthias & Maxime
 MEILLEUR SON
Claude Beaugrand, Michel B. Bordeleau, Bernard Gariépy Strobl, Claude La Haye, Raymond Legault - The Song of Names
Sylvain Bellemare, Jocelyn Caron, Bernard Gariépy Strobl - Sympathie pour le diable
Serge Boivin, Olivier Calvert, Samuel Gagnon-Thibodeau - Ville Neuve
Luc Boudrias, Sylvain Brassard, Jean Camden - Mafia Inc
Bernard Gariépy Strobl, Sacha Ratcliffe, Lynne Trépanier - Le vingtième siècle
 MEILLEUR MONTAGE
Geoffrey Boulangé, Sophie Deraspe - Antigone
Monia Chokri, Justine Gauthier - La femme de mon frère
Xavier Dolan - Matthias & Maxime
Myriam Poirier - 14 jours 12 nuits
Matthew Rankin - Le vingtième siècle
 MEILLEURS EFFETS VISUELS
Alchimie 24 - Alain Lachance, Jean-Pierre Riverin - The Song of Names
Mikros - Véronique Dessard, Philippe Frère - The Hummingbird Project
Oblique FX - Benoit Brière, Louis-Philippe Clavet, Kinga Sabela - Sympathie pour le diable
  MEILLEURE MUSIQUE ORIGINALE
Andréa Bélanger, David Ratté (Will Driving West) - Il pleuvait des oiseaux
Jean-Michel Blais - Matthias & Maxime
Jean Massicotte, Jad Orphée Chami - Antigone
Howard Shore - The Song of Names
Peter Venne - Le vingtième siècle
  MEILLEURS COSTUMES
Valérie Lévesque - Mafia Inc
Ginette Magny - Jouliks
Patricia McNeil - La femme de mon frère
Patricia McNeil - Le vingtième siècle
Caroline Poirier - Il pleuvait des oiseaux
  MEILLEUR MAQUILLAGE
Jeanne Lafond - Jouliks
Léonie Lévesque-Robert - Fabuleuses
Marlène Rouleau - Mafia Inc
Adriana Verbert - Le vingtième siècle
Erik Gosselin, Edwina Voda - Matthias & Maxime
MEILLEURE COIFFURE
Michelle Côté - The Song of Names
Stéphanie Deflandre - Mafia Inc
Nermin Grbic - Le vingtième siècle
Daniel Jacob - Fabuleuses
Martin Lapointe - Il pleuvait des oiseaux
  MEILLEUR FILM DOCUMENTAIRE
Alexandre le fou - Pedro Pires | Pedro Pires
Mad Dog & The Butcher - Les derniers vilains - Thomas Rinfret | Divertissement Breakout - Vito Balenzano, Bruno Rosato | Vélocité International - Valérie Bissonnette
Soleils noirs - Julien Elie | Cinéma Belmopán - Julien Elie
Xalko - Hind Benchekroun, Sami Mermer | Les films de la tortue - Hind Benchekroun | Sami Mermer
Ziva Postec. La monteuse derrière le film Shoah - Catherine Hébert | Les Films Camera Oscura - Christine Falco
  MEILLEURE DIRECTION DE LA PHOTOGRAPHIE | FILM DOCUMENTAIRE
Dominic Dorval, Vincent Masse, Thomas Rinfret, Richard Tremblay - Mad Dog & The Butcher - Les derniers vilains
Sami Mermer - Xalko
François Messier-Rheault, Ernesto Pardo - Soleils noirs
Pedro Pires - Alexandre le fou
Pedro Ruiz - Sur les toits Havane
  MEILLEUR MONTAGE | FILM DOCUMENTAIRE
Benoit Côté, Thomas Rinfret - Mad Dog & The Butcher - Les derniers vilains
Sylvia De Angelis, Sophie Leblond, Pedro Pires - Alexandre le fou
Aube Foglia - Soleils noirs
Annie Jean - Ziva Postec. La monteuse derrière le film Shoah
Natalie Lamoureux - Une femme, ma mère
  MEILLEUR SON | FILM DOCUMENTAIRE
Wolfgang Beck, Mustafa Bölükbasi, Kerem Çakir, Huseyin Can Erol, Sonat Hançer, Eric Lebœuf, Bruno Pucella, Ibrahim Tarhan, Yener Yalçin, Tolga Yelekçi - Échos d'Istanbul
Luc Boudrias, Patrice LeBlanc - Une femme, ma mère
Sylvain Brassard, Benoit Leduc, Gaël Poisson Lemay - Alexandre le fou
Shelley Craig, Marie-Pierre Grenier, Luc Léger, Geoffrey Mitchell - La fin des terres
René Portillo - Sur les toits Havane
MEILLEUR COURT MÉTRAGE | FICTION
Je finirai en prison - Alexandre Dostie | Art & Essai - Hany Ouichou
Jojo - Guillaume Laurin | Couronne Nord - Fanny Forest, Julie Groleau, Guillaume Laurin
Juste moi et toi - Sandrine Brodeur-Desrosiers | Les Films Camera Oscura - Johannie Deschambault
SDR - Alexa-Jeanne Dubé | À Deux - Emili Mercier
Une bombe au cœur - Rémi St-Michel | Christal Films Productions - Christian Larouche | Panache Films - Sébastien Létourneau
 MEILLEUR COURT MÉTRAGE | ANIMATION
Le cortège - Pascal Blanchet, Rodolphe Saint-Gelais | Office national du film du Canada - Julie Roy
Le mal du siècle - Catherine Lepage | Office national du film du Canada - Marc Bertrand
Organic - Steven Woloshen | Steven Woloshen
Physique de la tristesse - Theodore Ushev | Office national du film du Canada - Marc Bertrand
Les vêtements - Caroline Blais | Caroline Blais
  FILM S'ÉTANT LE PLUS ILLUSTRÉ À L'EXTÉRIEUR DU QUÉBEC
Antigone - Sophie Deraspe | ACPAV - Marc Daigle | Maison 4:3
La femme de mon frère - Monia Chokri | Metafilms - Sylvain Corbeil, Nancy Grant | Les Films Séville
Genèse - Philippe Lesage | Unité centrale - Galilé Marion-Gauvin | FunFilm Distribution
Kuessipan - Myriam Verreault | Max Films Média - Félize Frappier | Filmoption International
Répertoire des villes disparues - Denis Côté | Couzin Films - Ziad Touma | Maison 4:3
 PRIX DU PUBLIC
La femme de mon frère - Monia Chokri | Les Films Séville | Metafilms - Sylvain Corbeil, Nancy Grant
Il pleuvait des oiseaux - Louise Archambault | MK2 | Mile End | Les Films Outsiders - Ginette Petit
Mafia Inc - Daniel Grou (Podz) | Les Films Séville | Attraction Images - Antonello Cozzolino | Caramel Films - Valérie D'Auteuil, André Rouleau
Menteur - Émile Gaudreault | Les Films Séville | Les Films du Lac - Émile Gaudreault | Cinémaginaire - Denise Robert
Merci pour tout - Louise Archambault | Les Films Séville | Amalga - André Dupuy
  IRIS HOMMAGE
Alanis Obomsawin
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salalewz · 2 years
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Football. L’AS Lieusaint remporte la André-Coquelin Cup à Maen-Roch
Même en cherchant bien, difficile de trouver une fausse note à cette 8e édition de la André-Coquelin cup, ces 4 et 5 juin 2022, à Maen-Roch (Ille-et-Vilaine). Tout était parfait. Il y avait juste à regarder le large sourire des enfants, parents ou spectateurs pour s’en apercevoir.
Pendant deux jours, le tournoi international, réservé aux U9 (joueurs nés en 2013 et 2014) s’est déroulé sans accroc. « On a des retours plus que favorables », se félicitent Sylvain Le Luyer et Jean-François Chevrier, les deux organisateurs. Les propos d’Antoine, éducateur de l’OGC Nice allaient dans ce sens. « J’ai participé à plusieurs tournois mais celui-là, c’est vraiment quelque chose. L’accueil a été parfait, les terrains sont excellents et les enfants sont ravis. »
Les organisateurs voulaient également pointer l’état d’esprit. « Les enfants ont tous eu un bon comportement et du respect entre eux. » Les joueurs étaient d’ailleurs munis d’un brassard à l’effigie de l’association Franck Lefeuvre : Hors jeu la violence.
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reseau-actu · 6 years
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Logement dans une dépendance de l'Élysée, permis de port d'armes ou encore voiture avec chauffeur. Le «M. Sécurité» d'Emmanuel Macron disposait de faveurs inattendues pour son poste. Le Figaro fait le point sur ce qui est vrai et faux.
L'affaire donne lieu à de nombreux fantasmes. Lors de son audition par la commission des lois mardi, le directeur de cabinet d'Emmanuel Macron, Patrick Strzoda, a tenu à être clair: «Il n'y a pas là d'avantages, ce sont bien les missions qui ont été confiées à M. Benalla qui justifiaient ces moyens de fonctionnement.» Un traitement que certains jugent toutefois surprenant. D'autant que le délégué général de La République en Marche (LaREM), Christophe Castaner, a réduit lundi le chargé de mission au simple rang de bagagiste. Florilège.
● Un appartement quai Branly
En plus de son appartement à Issy-les-Moulineaux, Alexandre Benalla disposait depuis le 9 juillet d'un logement de fonction au palais de l'Alma, situé quai Branly, dans lequel il n'a jamais résidé. Ce bâtiment de 5000 mètres carrés accueille depuis longtemps des dépendances de l'Élysée. Selon une information révélée lundi par L'Express, cet appartement devait d'ailleurs être transformé en duplex d'une surface de quelque 200 mètres carrés. Révélation démentie dans la foulée par la présidence, qui indique qu'une «rénovation complète de quatre appartements […] en mauvais état» avait été décidée dès novembre 2017.
● Une voiture équipée d'accessoires de police
Alexandre Benalla bénéficiait d'une voiture de fonction. Une Renault Talisman équipée d'un gyrophare deux tons, selon Le Parisien. Le véhicule faisait partie du parc automobile de l'Élysée. Des appareillages lumineux équipaient par ailleurs la voiture, selon les informations de BFMTV. «C'était une voiture de service […] qui l'amenait très souvent sur le terrain pour préparer des déplacements du président de la République mais qui était également intégrée dans le cortège présidentiel, ce qui explique qu'elle était équipée d'un certain nombre d'équipements spéciaux qui ont été installés par le garage de l'Élysée», a justifié le directeur du cabinet du chef de l'État, Patrick Strzoda, lors de son audition au Palais Bourbon.
» LIRE AUSSI - Alexandre Benalla, gloire et chute d'un garde du corps
● Une autorisation de port d'arme
Le préfet de police de Paris, Michel Delpuech, a confirmé avoir délivré un permis de port d'arme temporaire à Alexandre Benalla, par arrêté, sans en référer au ministère de l'Intérieur. Il a indiqué avoir pris cette décision à la suite d'une demande de l'Élysée. Le préfet de police a jugé que cela se justifiait en raison des «fonctions liées à la sécurité qu'exerçait M. Benalla».
● Une habilitation «secret-défense»
Exemple supplémentaire du rôle que jouait Alexandre Benalla dans le dispositif élyséen: son habilitation «secret-défense». Selon des informations du Point, qui a obtenu confirmation par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), l'ancien collaborateur d'Emmanuel Macron s'est vu délivrer cette accréditation valable cinq ans en juin 2017. L'hebdomadaire indique par ailleurs que «l'enquête [préalable] a été particulièrement poussée» en raison de son ascendance étrangère.
● Un revenu de chargé de mission
«Alexandre Benalla n'a jamais eu un salaire de 10.000 euros» a assuré mardi soir Emmanuel Macron. Une façon de démentir les rumeurs. Il touchait un salaire net de 5000 euros, a assuré Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement. Toutefois, cette somme serait sous-évaluée. Au sein de la macronie, on évoque plutôt un salaire de 6000 euros. Lors de son audition, Patrick Strzoda a également indiqué que le chargé de mission ne percevait aucune prime.
● Un badge d'accès à l'hémicycle
Marc Le Fur, vice-président de l'Assemblée nationale, a révélé samedi qu'Alexandre Benalla disposait d'un badge H de l'Assemblée qui lui donnait accès à l'hémicycle. Un laissez-passer qui lui a été retiré en même temps que son poste auprès du cabinet de l'Élysée. Le député LR s'offusque que le chargé de mission ait pu entrer dans l'hémicycle, où sont traités des sujets politiques extérieurs au domaine de la sécurité. Le président de l'Assemblée, François de Rugy, a pourtant affirmé que cela n'a rien de surprenant. Plusieurs badges sont ainsi mis à disposition des députés, des fonctionnaires mais aussi des collaborateurs de l'exécutif. Après cette polémique, François de Rugy a fait savoir qu'il souhaitait limiter le nombre de badges en circulation.
● Des accessoires réservés aux forces de l'ordre
Outre le casque anti-émeutes, sur les images du 1er mai, l'ex-collaborateur du président apparaît équipé d'un brassard de police ainsi que d'un poste de radio. L'attirail de celui qui n'était censé être qu'un simple «observateur» surprend, d'autant que son origine est pour l'heure inconnue. En commission d'enquête, lundi, le directeur de l'ordre public et de la circulation auprès de la Préfecture de police (DOPC), Alain Gibelin, a affirmé qu'«il sera facile de savoir quel est le service, quelle est la personne qui lui a fourni» un tel équipement.
● Un grade de lieutenant-colonel controversé
Réserviste depuis 2009, Alexandre Benalla est ensuite entré dans la «réserve opérationnelle spécialisée» au grade de lieutenant-colonel. Une promotion que certains gendarmes ont du mal à digérer alors qu'il faut normalement beaucoup plus d'expérience pour intégrer ce groupe très sélectif. Dans une note interne, la gendarmerie a toutefois précisé que ce titre n'était que «temporaire» et ne lui confère «aucune prérogative de commandement».
● Les clés de la villa du couple Macron au Touquet
SelonL'Opinion, l'ancien collaborateur du président aurait disposé des clés de la maison de Brigitte et Emmanuel Macron au Touquet (Pas-de-Calais), lieu de villégiature privilégié du couple. Au nom de la sécurité du chef de l'État, il pouvait ainsi ouvrir et fermer le portail de la résidence. Un témoignage de la confiance du président à l'endroit du chargé de mission de l'Élysée.
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footballbiopics · 6 years
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La Suppléance
Dram - Sean Penn
Pour Adrien Rabiot (Kit Harington), le monde s'est arrêté le 17 mai 2018. Fermement convaincu de participer à la prochaine Coupe du Monde de football en Russie, il voit la porte de la sélection se refermer lourdement sur ses bouclettes brunes. Ce demi exil forcé met fin aux privilèges du Duc, le plus grand aristocrate du football français. Un phénomène qui a toujours tout obtenu depuis ses 17 ans.
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Je touche 280 000 euros par mois, Nzonzi plafonne à 110 000, sa sélection n'a pas le moindre sens !
Le milieu de terrain longiligne du PSG refuse de se mettre à la disposition du sélectionneur en cas d’une hypothétique blessure d'un milieu de terrain français. Dans un court mail adressé au sélectionneur, il récuse ce statut de bouche-trou de luxe en EDF, lui qui s'est imposé dans le plus grand club français du monde. Lui qui a contribué à faire expulser Blaise Matuidi vers l'Italie. Lui qui s'illustre souvent dans les grands matchs de Ligue des Champions. Lui qui estime avoir assez attendu et qui a fourni tant d'efforts en Bleu en acceptant d’évoluer à un poste peu reluisant de sentinelle. Non seulement Didier Deschamps devait le sélectionner, mais il devait aussi lui donner le brassard. Evidemment.
Le déchaînement médiatique est tel que les plus éminents spécialistes du foot glosent sur la situation de l’ombrageux relayeur. Devant l'urgence absolue de la situation, Benjamin Griveaux (Shia LaBeouf), porte-parole du Gouvernement, se voit dans l'obligation de communiquer.
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Concernant les violences en marge du match Ajaccio - Le Havre, les nombreux attentats déjoués et la violence des gangs de Marseille, je vais me montrer clair : Adrien Rabiot ce n'est pas la France que je connais, on ne tourne pas le dos à la sélection. No pasaran !
Le journaliste d'investigation François Saltiel (David Dastmalchian) en profite pour instaurer un énième débat de société usant sur les origines, car il semble déceler une islamophobie subliminale dans le présent dossier.
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Si ça avait été Malik Benthala ou Kamel le magicien ça aurait fait plus de bruit. Pourquoi Marine Le Pen ne traite-t-elle pas Rabiot de sale arabe ?!
Devant la crispation générale, les soutiens sont aussi maigres que les yaourts aux germes de soja 100% bio de Julien Clerc. Quelques courageuses voix se font cependant entendre. D'abord une grande, celle de RMC. Eric Brunet (David Morrissey) se lance dans un slam-plaidoirie du plus bel effet sur les ondes 103.1.
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Ils ne t'ont pas pris, malgré ton match au Parc contre le Barça, ils ne t'ont pas pris, malgré tes Coupes de la Ligue, ils ne t'ont pas pris, malgré ton match sous -5°C en Bulgarie, ils ne t'ont pas pris... Wesh wesh, ici Rico, on est avec toi gros, team caillasse sans plexcon !
Puis des collègues dans la même situation, Aymeric Laporte (Dan Stevens), qui s'est mis dans la tête que la sélection espagnole le courtise depuis ses 5 ans.
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La sélection de Kimpembe n'a aucun sens, il gratte 220 000€ au PSG, je gagne 500 000 livres à City.
La déception n'a pas de frontière. Radja Nainggolan (Robert Lasardo) , le batailleur milieu belge a été écarté de la sélection malgré son salaire conséquent à la Roma. Il rejoint la fronde et s’imagine victime d’une stigmatisation en raison de son profil ultra minoritaire dans le foot belge : “racisé”, tatoué, daltonien, fluidgender, allergique à la pâte à gaufres, moulophobe...
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J'ai même plus assez de place pour faire tatouer "Roberto Martinez va te faire cuire le cul"
Les suppléants de l'EDF prennent alors conscience que la situation est injuste et contrevient même à leur liberté fondamentale d’exercer leur “métier-passion”. Le sélectionneur exerce une rupture d'égalité entre les individus. Une rupture fondée sur des critères subjectifs, ou ce qu'on appelle plus communément le ressenti. La valeur footballistique des joueurs étant généralement corrélée à un critère financier dit objectif. 
L'avocat d'Adrien Rabiot, Me Péricard (Robert Downey Jr) voit une faille juridique exploitable et présente un dossier béton en référé spécial devant la Cour Européenne des Droits de l'Homme. Il avance l’idée que l'entraîneur exerce une discrimination abusive entre des individus dans le cadre de leur travail. L'arrêt pourrait changer la face du sport.
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Les dommages et intérêts pour les 30 millions de joueurs sélectionnables injustement écartés par Didier Deschamps vont faire couler la FFF.
Devant le scandale qui s'annonce et la possible annulation de la Coupe du Monde, la FIFA propose une solution qui devrait contenter toutes les parties : Les sélectionneurs sont libres de dresser les listes de sélections comme ils l’entendent, mais les suppléants auront le droit de participer à la compétition dans une même équipe en marge des pays participants. La Suppléance est née. Une grande nation virtuelle qui accueille tous les stigmatisés du foot.
Cette super sélection mondiale composée d'Alex Sandro, Icardi, Bellerin, Pastore, Luiz Gustavo, Morata, Rabiot and co soulèvera-t-elle le trophée en Russie ? Sean Penn imagine une monde du football chamboulé par un égalitarisme aveugle et se questionne sur la notion de justice dans le sport.
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mysticseasons · 7 years
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Over 500 hours showcasing our athletes and the world's best on Radio-Canada and RDS
October 31, 2017, Montreal
On Friday, February 9, the opening ceremony will be held for the OLYMPIC WINTER GAMES PYEONGCHANG 2018. Radio-Canada, Canada’s official broadcaster for PYEONGCHANG 2018 in partnership with RDS, the official specialty channel, invites French-speaking audiences to take a front-row seat to the performances of Canadian athletes and the world’s best, with over 500 hours (559 hours) of Olympic programming on ICI Radio-Canada Télé (344 hours) and RDS, RDS2 and RDS Info (215 hours), from February 9 to 25, 2018.
Some 3,000 athletes will be competing in 15 disciplines, including the 200-odd members of the Canadian team. Many of them are medal hopefuls, including Justine Dufour-Lapointe and Mikaël Kingsbury in freestyle skiing; Érik Guay in alpine skiing; Marianne St-Gelais and Charles Hamelin in short-track speed skating; Ivanie Blondin in speed skating; Tessa Virtue and Scott Moir in figure skating; Alex Harvey in cross-country skiing; Kailie Humphries in bobsledding; Mark McMorris and Sébastien Toutant in snowboarding; and, of course, our men’s and women’s hockey teams.
NOVEMBER 1, 2017: 100 DAYS to go TO PyeongChang 2018!
One hundred days before the Olympic Games begin, on Wednesday, November 1, the second hour of MÉDIUM LARGE on ICI RADIO-CANADA PREMIÈRE will be devoted to PyeongChang 2018. On ICI RDI,Marie-José Turcotte will host À 100 jours deS jeux olympiques de PyeongChang 2018, on Wednesday, November 1, at 8 p.m. During this special program, she’ll take the pulse of the Canadian team as its members gear up for these Olympic Winter Games. She’ll introduce us to Canada’s Olympic hopefuls and, together with our analysts, will examine their chances of stepping onto the podium. Executive Producer: Luc Lebel
20–22 HOURS A DAY ON ICI RADIO-CANADA TÉLÉ
ICI Radio-Canada Télé will be offering 20–22 hours of live and repeat programming every day, so audiences won’t miss any of our athletes’ performances and comments. On Friday, February 9, Marie-José Turcotte will give audiences a glimpse of what lies ahead, and will follow the opening ceremony with Patrice Roy (live broadcast from 5 to 8:30 a.m., repeat from 6:30 to 9:30 p.m.). She will also be on hand for the closing ceremony with Dominick Gauthier on Sunday, February 25(live from 6:30 to 9:30 a.m., repeat from 5:30 to 8 p.m.).
Every night, Marie-José Turcotte, covering her 15th Olympics, will host the coverage in prime time as the day of competitions gets underway for our athletes over in Pyeongchang. The figure skating,
snowboarding, freestyle skiing and alpine skiing events will be presented primarily in the evening. The evening coverage will also spotlight men’s and women’s hockey games and key competitions. The morning coverage, starting at 5 a.m. with host Guy D’Aoust, will feature short-track and long-track speed skating. The morning program will also include coverage of the bobsleigh, skeleton, luge, ski jumping, cross-country skiing, biathlon and curling events.
Programming will be offered in five time slots, with five anchors:
Marie-José Turcotte will present the competitions from 7 p.m. to 1 a.m. during the week, and from 6:30 p.m. to 1 a.m. on the weekend (from 8:30 or 9 a.m. to 3 p.m. in Pyeongchang). Diane Sauvé will present from 1 to 5 a.m. (from 3 to 7 p.m. in Pyeongchang). Guy D’Aoust will present from 5 to 10 a.m. (from 7 p.m. to midnight in Pyeongchang). Martin Labrosse will be on the air from 10 a.m. to noon with a roundup of the day’s performances in the company of athletes, analysts and personalities. Alexis de Lancer will bring viewers the day’s highlights from 12:30 to 4 p.m. during the week, andfrom 12:30 to 5 p.m. on the weekend (nighttime in Pyeongchang).
A seasoned team of commentators and analysts will follow each of the disciplines. In addition, two special analysts will be on location to comment on PyeongChang 2018 and all the competitions: Special analyst during Sochi 2014 and Rio 2016, Dominick Gauthier will be back to provide his insights on Team Canada’s daily performances, while Kansas City Chiefs football guard Laurent Duvernay-Tardif will have the opportunity to satisfy his curiosity and share his fascination with Olympians. He’ll speak to athletes and the people in their lives to gauge their state of mind in the hours leading up to and following a competition. In addition, Jean-René Dufort will be back at the Olympic Games with his special take on PyeongChang 2018 and life in Korea.
Executive Producer: Luc Lebel Chief Editor: Chantal Léveillé Producers: Catherine Dupont and François Messier
Finally, our correspondent Anyck Béraud and reporter Pascal Poinlane will provide daily news updates related to PyeongChang 2018.
ON RDS, RDS 2 AND RDS INFO
RDS, RDS2 and RDS Info will offer 215 hours’ live coverage of the Olympic Winter Games, depending on the schedule of the various events to be shown on all three channels.
Claude Mailhot, who covered his first Olympics Games at Montreal 1976 and has over 40 years of experience as a sports broadcaster, will be the main anchor on RDS each day during peak viewing hours.
RDS, RDS2 and RDS Info will present all the key moments from events such as speed skating, ski jumping, biathlon, cross-country skiing, hockey, curling and more.
The opening and closing ceremonies of the Olympic Winter Games PyeongChang 2018 will be broadcast on RDS.
ON RADIO-CANADA.CA AND MOBILE APPS
Radio-Canada.ca/jeuxolympiques is where Internet users can catch all the PyeongChang 2018 action. Not only will they be able to watch and listen to all our TV and radio programs; they’ll also have access to over 2,500 hours of competition live coverage. Fans can choose to watch among up to 7 events available at the same time, enjoying the Olympic Games experience to the fullest. They can also watch part or all of the ceremonies and competitions in catch-up mode, check the results and medal count, read the bios of Canadian and international athletes, and get reports and news on the Olympic Winter Games and South Korea. All content can be accessed via the mobile app,downloadable prior to PyeongChang 2018.
Fans can also download a virtual reality app to watch 360-degree videos of the ceremonies and certain competitions, as if they were there.
ON ICI RADIO-CANADA PREMIÈRE
Reporter Robert Frosi will be on location for the duration of PyeongChang 2018. Every day, he’ll discuss our athletes’ performances and share the latest Olympic news on GRAVEL LE MATIN and MÉDIUM LARGE radio shows. Reporter Maxime Coutié will also be on hand to contribute to radio newscasts.
Throughout the Olympic Winter Games, host Pierre Brassard will share his special take on the event with radio listeners and offer a different perspective on the Olympics in two programs from PyeongChang 2018, on Saturday, February 17 and 24, from 4 to 5 p.m.
Serge Bouchard and Jean-Philippe Pleau will explore the theme of competition and the issues it raises in two episodes of C’EST FOU, on Sunday, January 28 and February 4, from 7 to 8 p.m. Host Jacques Beauchamp will look at the Olympic Games and Korea from a historical perspective, as part of a special week of AUJOURD’HUI L’HISTOIRE, from Monday to Friday, February 5 to 9, from 8 to 8:30 p.m.
Every Monday on Radio-Canada.ca/premiereplus, Marie-José Turcotte and Robert Frosi will co-host a podcast to catch up with the friends and family of the athletes before they leave for their respective competitions at PyeongChang 2018.
ATHLETE PORTRAITS ON ICI RADIO-CANADA TÉLÉ
This four-part series will turn the spotlight on athletes likely to shine at PyeongChang 2018. The episodes will air on Saturday, from 12:30 to 1 p.m. on ICI Radio-Canada Télé, between January 13 and February 3, 2018:
Érik Guay, encore plus vite (January 13): Profile of the most decorated alpine skier in Canadian history. His tenacity, professionalism and need for speed made him the world’s best in 2016, at the age of 35.
Alex Harvey et cie (January 20): Alex Harvey was born with cross-country skis on his feet. Through talent and determination, he has risen up the ranks of his sport, garnering two world titles. But his Olympic story remains to be written. Fully aware of the reasons for his unsuccessful performance in Sochi 2014, he has found the support he needs to win a medal at PyeongChang 2018.
Le goût de l’or (January 27): After capturing gold in Vancouver, ice dancing duo Tessa Virtue and Scott Moir had to settle for silver at Sochi. After taking a two-year break, changing coaches and moving to Montreal, they’re ready to be crowned again.
Le trio (February 3): X-Games stars Mark McMorris, Sébastien Toutant and Max Parrot, who turned in stellar performances at Sochi 2014, will have two snowboarding challenges at PyeongChang 2018. How hungry are the three Canadian athletes for medals at these upcoming Olympic Winter Games? Researchers: Manon Gilbert, Olivier Pellerin Producers: Éric Santerre, Jérôme Voyer-Poirier, Vincent Tremblay
*A detailed program schedule will be available subsequently.
facebook.com/radiocanadasports @RC_sports instagram.com/rc_sports youtube.com/radiocanadasports
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mitchbeck · 1 year
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HARTFORD WOLF PACK REPORTER'S NOTEBOOK
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By: Gerry Cantlon, Howlings HARTFORD, CT - The Hartford Wolf Pack announced their 2023-24 home opener will be Friday, October 20, against the Wilkes-Barre/Scranton Penguins for the second time in team history. The season for the Pack will open on the road on Friday the 13th against the Providence Bruins, and the following night, the team will be in Springfield to challenge the Thunderbirds at the Mass Mutual Center. The full schedule will be released Wednesday. THOMPSON LEAVES BRIDGEPORT The Bridgeport Islanders head coach, and ex-Pack defenseman, Brent Thompson, has departed The Park City to join the Anaheim Ducks, where he will join another Bridgeport coaching alum, Greg Cronin, as his new assistant. Cronin was named the new Ducks head coach last month. Rick Kowalsky was named Thompson's new assistant in Bridgeport last year, and like Ken Gernander a few years ago in Hartford when he saw Keith McCambridge named his new assistant, he was gone a year later. PADDOCK Former Wolf Pack John Paddock, 69, has retired from the Regina Pats (WHL) as Coach/GM/VP of Hockey Operations. The AHL HOF coach won two WHL Coach of the Year honors, won a conference title, and reached a Memorial Cup final in his tenure. In his nine years at Regina, he had 12 players drafted into the NHL. Connor Bedard was the third time a Regina player was taken first overall. Paddock finishes with 209 wins, the second most in team history. MISHEGOSS Easton Armstrong, the youngest son of Wolf Pack great Derek Armstrong, who played a year-and-a-half with Paddock before being dealt to Winnipeg, will be on his third WHL team as an overage player next year. He will play with the WHL expansion Wenatchee (WA) Wild. Ex-Pack Austin Rueschhoff will be seen up to six times next year after signing a one-year AHL deal with the Wilkes-Barre/Scranton Penguins. Ex-Pack François Brassard departs the Maine Mariners and signs with the Ft. Wayne Komets (ECHL). Former Bridgeport Sound Tiger Alan Quine leaves Ontario and signs with the Malmö IF Redhawks (Sweden-SHL). HARTFORD WOLF PACK HOME Read the full article
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goalhofer · 1 year
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Thank you, François Brassard.
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lebeagle-admin · 5 years
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Voici Camponotus nicobarensis, une fourmi qui exploite du nectar d’une plante. En retour la plante reçoit de la protection de la part de la fourmi, qui défend férocement sa ressource. 🐜 🐜 🐜 This is Camponotus nicobarensis, an ant with mutualistic partnership with plants, exchanging sugary liquids for protection, as these ants ferociously defend their valuable ressource. Photo crédit: François Brassard @myrmecofrank https://www.instagram.com/p/BzYoc1oBpHE/?igshid=1uh926rlsbgox
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Festival REGARD
RACHEL will premiere in Chicoutimi at the 23rd edition of Festival REGARD in March. It will compete with 6 other short films in The Shoot No Matter What! competition.
About
REGARD – Saguenay International Short Film Festival is one of the most important short film festivals in North America. Each year, the event, which was founded in 1995 in Saguenay,  presents around 200 international and Quebec short films. REGARD is a gateway to the Americas for short films and an international launch pad for Canadian cinema.
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REGARD is now part of the festivals which provide access to the OSCAR® for the short film (Academy qualifying festivals for the Short Film Awards). In other words, the winning films of the Festival’s GRAND PRIZE and CANADIAN GRAND PRIZE will now be taken into consideration in the nomination process of the OSCAR® for Best Live Action Short Film. In collaboration with many partners, the Festival hosts an international competition in which more than $89 000 of grants and services are given to the winning filmmakers.
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The magic of  REGARD lies in its atmosphere, in the warm welcome to the international guests and festival-goers, as well as in the diversity of the programming. In addition to the screening sessions, which mainly take place in Chicoutimi and Jonquière, a plethora of activities surround the event. Moviegoers and laymen appreciate what has made the success of REGARD for two decades:
● Festive cabaret, open every night ● Outdoor screenings ● Special projects ● Short Film Market, open to the public ● Carte blanche given to a foreign festival ● Panorama on a foreign national cinematography ● Sessions adapted to schools, families, and teenagers
Each year, Festival REGARD, which is recognized by its peers, gathers about 300 professionals (directors, producers, domestic and international purchasers, distributors, journalists, screenwriters) who present their films to the public or participate in the activities (workshops, panel discussions, master classes, etc.) of the Short Film Market.
Mission and Goal
The organization Caravane Films Productions has the mission to produce REGARD – Saguenay International Short Film Festival and its related activities. It contributes to the film education of the youth, it promotes and disseminates short films from here and elsewhere with the general public, it inspires professional encountering, and it contributes to the promotion of film creation.
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Shoot No Matter What! 
In all, 7 films are in this competition. Two screenings will be held during the festival for RACHEL. On March 14th (3PM) at the Théâtre Banque Nationale and on March 16th (1 PM) at the Salle François-Brassard.
DE NUIT by Alpha Coulibaly FOYER by Sophie B.Jacques LE DÉMÉNAGEMENT by Gabriel Vilandré PREMIER MATIN SANS TOI by Justin Richard-Dostie RACHEL by David Latreille STOCK SHOT by Guillaume Monette TANDEM by Christophe Levac & Étienne Galloy
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The Jury
NIELS PUTMAN Editor-in-chief of Kortfilm.be
Niels Putman (1992, Belgium) graduated as a Masters in Audiovisual Arts at the Royal Institute for Theatre, Cinema & Sound in Brussels and as a Masters in Film Studies & Visual Culture at the University of Antwerp. He’s currently the editor-in-chief of the only short film magazine in Belgium and also in charge of the Short Film Conference – an international organisation in existence since 1970 seeking to unite the global short film community. Niels works as a freelance film journalist/critic for several Belgian outlets and is an assistant programmer for festivals such as the Leuven International Short Film Festival.
DOMINIQUE LÉGER Head of Programming of FICFA and Filmmaker
Originally from Moncton New-Brunswick, Dominique is a graduate from Concordia University in Montreal with a Bachelor’s Degree in Film Studies. She currently works as the Head of Programming for the Festival international du cinéma francophone en Acadie (FICFA). Dominique has participated in festival panels and jurys on top of being a part-time queer acadian filmmaker.
TAKASHI HOMMA Managing director of Sapporo International Short Film Festival
Takashi Homma has been involved in film festival since 2000, and he has organized short film and moving image festivals ever since. The Sapporo Short Fest has become one of the biggest and most important film festivals for filmmakers in Japan. Takashi manages all the aspects of the festival, its programming and production as well as the administration.
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bibliomancienne · 5 years
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L’éducation aux médias et à l’information (EMI) est conçue comme « un des antidotes les plus efficaces et prometteurs face au problème des fausses nouvelles, puisqu’elle vise à donner à chacun les moyens d’être un consommateur, un créateur et un diffuseur d’information avisé » pose-t-on pour situer la Journée d’échange sur l’éducation aux médias organisée par les Services aux milieux documentaires de Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ), en collaboration avec l’Association des bibliothèques publiques du Québec (ABPQ), dans le cadre de la Semaine des bibliothèques publiques. La question à l’ordre du jour était la suivante : Quel rôle peuvent jouer les bibliothèques publiques dans l’éducation aux médias et à l’information?
Dans  cette veine et dans le cadre d’un échange avec le journaliste Jean-François Nadeau, Guy Berthiaume affirmait récemment :
les bibliothèques et les archives constituent un contrepoison efficace à la prolifération des fausses nouvelles. La population a confiance, non sans raison, dans le fait que les bibliothèques et les archives conservent “la vérité”, pour dire les choses un peu rondement. Elles sont détentrices des sources premières, vers lesquelles on peut revenir pour vérifier des choses, les comprendre. (Des archives et des bibliothèques comme contrepoison aux fausses nouvelles, Jean-François Nadeau, Le Devoir, 20 août 2019)
Je partage le programme de cette journée.
Le programme  
Avant-midi
Les fausses nouvelles et vous avec Anne Gaignaire, du journal Le Curieux
Les pratiques des jeunes face aux médias et à l’information avec Ève Beaudin, de l’Agence Science-Presse et Gabrielle Brassard-Lecours, journaliste indépendante
Les ainés à l’heure du numérique avec Bruno Guglielminetti, porte-parole du CEFRIO
Après-midi
Atelier participatif sur le rôle des bibliothèques publiques dans l’éducation aux médias et à l’information. Pourra servir de base à la création d’activités adaptées aux besoins des bibliothèques. Animé par le studio de design Meilleur Monde.
5 idées/enjeux à retenir
Les bibliothécaires, comme professionnel(le)s de l’information ou du savoir, ne doutent pas que ces enjeux et ces besoins de formation/EMI relèvent de leur compétences et de leurs missions. BAnQ exerce déjà un leadership précieux sur ces questions : accueil d’un colloque sur les fausses nouvelles à l’automne 2018, portail sur les fausses nouvelles, plusieurs ateliers qui concernent l’EMI, collaboration avec diverses organisations liées au milieu journalistique, sans compter cette journée sur l’EMI réunissant les bibliothèques. La présentation introductive de Martin Rémillard, coordonnateur à BANQ en ouverture en témoignait (lorsqu’elle sera disponible, je la partagerai ici).
Toutefois l’écart entre les besoins et les moyens dont disposent les bibliothèques qui sont sous-dotées en personnel au Québec est un problème. Un problème qui gêne le développement des bibliothèques publiques québécoises à bien des égards.
La conférence de Ève Beaudin, des plus instructive et intéressante, était aussi une narration au sujet de la façon dont les journalistes se sont organisé(e)s collectivement, comme profession, dans face à l’essor des fausses nouvelles afin de mettre en place un projet éducatif avec des équipes de formateurs et de formatrices, des formations-types pour les formateurs et les formatrices, des ateliers pour différents publics dont les celui des écoles (par exemple le désormais fameux #30secondes avant d’y croire), du matériel éducatif, des plateformes de réseautage et de partage. Cette démarche des journalistes est un modèle à suivre ou peut-être une opportunité de collaboration directe entre le milieu des journalistes et celui des bibliothécaires pour une action amplifiée. Selon cette journaliste, nos collègues français ont une longueur d’avance en matière de collaboration entre ces deux professions, bibliothécaires et journalistes (à investiguer?) À noter, le site de l’Agence Science-Presse, section EMI (avec l’infolettre) est une ressource inestimable.
En matière d’EMI, les bibliothèques devraient s’engager également du côté de la littératie des données, depuis les questions de protection des données personnelles jusqu’à la littératie des algorithmes.
Les jeunes sont souvent ciblés dans le contexte de l’EMI, mais comme l’exposé de Bruno Gugelminetti qui présentait les pratiques numériques des aîné(e)s, ces derniers en tant que citoyen(ne)s numériques actifs représentent un public à considérer. La démarche de conception participative dans mon groupe a élaboré la proposition d’une collaboration bibliothèque + média communautaire + publics des ainés / organismes liés aux ainés autour d’un projet sur l’information d’hier à aujourd’hui : de la mémoire du quartier/communauté/ville aux nouvelles du quartier/communauté/ville avec un programme de développement de compétences en création de contenu, communication écrite, vidéo, littératie et citoyenneté numérique, éducation aux médias pour les aîné(e)s ⏤ qui était le public de notre équipe.
Cette collaboration entre les bibliothèques et les médias communautaires ou locaux est déjà une avenue qui suscite beaucoup d’intérêt et qui est déjà explorée dans le reste du Canada et des États-Unis.
Rendez-vous en 2020, du 27 avril au 3 mai, pour la semaine de l’EMI, avec la participation des bibliothèques, suite à l’invitation de Ève Beaudin?
  Réflexion collective sur les bibliothèques et l’éducation aux médias et à l’information (EMI) L’éducation aux médias et à l’information (EMI) est conçue comme « un des antidotes les plus efficaces et prometteurs face au problème des fausses nouvelles, puisqu’elle vise à donner à chacun les moyens d’être un consommateur, un créateur et un diffuseur d’information avisé » pose-t-on pour situer la Journée d’échange sur l'éducation aux médias organisée par les Services aux milieux documentaires de Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ), en collaboration avec l’Association des bibliothèques publiques du Québec (ABPQ), dans le cadre de la Semaine des bibliothèques publiques.
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