#Fernand Deligny
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loneberry · 15 days ago
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What a shame humans have not imagined that, since their lives came from the sea, death would lead them to find themselves back there; at least we would be rid of this higher level, the sky would then be the nearby sea, accessible on equal footing, and humans would be correspondingly less ravaged by the aspiration toward superiority wherein, moreover, they lose themselves. —Fernand Deligny, The Arachnean and Other Texts
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wildoute · 9 months ago
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redlabopedagogique · 8 months ago
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#La Petite école : L' Abécédaire
L' Abécédaire est le résultat de la recherche de Clizia Calderoni à La Petite école. La présente version numérique de l’abécédaire est également téléchargeable via ce lien : https://abc-lapetiteecole.be/
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ghassanrassam · 10 months ago
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Fernand Deligny, French writer and director 1913-1996
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abridurif · 6 months ago
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Fernand Deligny, L'Arachnéen et autres textes, Éditions L'Arachnéen, 2008
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imago-memoria · 2 years ago
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Fernand Deligny
Extrait de Monsieur Deligny, vagabond efficace, Richard Copans - 2020 voix : Jean-Pierre Darroussin
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imagesdepensee · 2 years ago
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"Il s’est toujours agi pour lui de réinventer le cadre, de recréer du milieu."
Tentative de recréer du milieu dans le cadre.
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horsesource · 5 months ago
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“Instinct embarrasses us, just as people of a certain caste are embarrassed by ancestors of a lower caste; always the ‘level.’ [..] One of the merits that humans readily attribute to themselves is the ability to master their instincts, which is an all the more curious place given that these ‘instincts’ do not have a place to be”
Fernand Deligny
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magicplayer164 · 1 year ago
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from a series of lignes d'erres ("wander lines") by Fernand Deligny from
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rjeldridge · 1 year ago
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Fernand Deligny, from “The Arachnean”. In The Arachnean and Other Texts, translated by Drew S. Burk and Catherine Porter, Univocal Publishing, 2015.
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iluvsmokers · 2 years ago
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Fernand Deligny and Janmari, Cevennes 1973
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longlistshort · 3 months ago
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magnetic instinct, Liz Larner’s current exhibition at Regen Projects balances the textures and colors of her unique ceramic sculptures with the simplicity of her 1989 work Rubber Divider. The show is also part of the Getty’s PST ART: Art and Science Collide programming.
From the press release-
“…for wander is a verb that needs no object…My aim is to limit myself to the ingenuity of innate action, to be awed by it, and not to try and clear up its mysteries.” —Fernand Deligny, The Arachnean and Other Texts, 2015, pp. 37/46
The exhibition presents new ceramic works surrounding Larner’s “Rubber Divider, 1989—two sheets of pure gum rubber connected to steel rods attached to two flame-cut, solid steel blocks that hold the tension of the opposing pull of weight and elasticity of the rubber sheets. Their opposition and mutual dependence underscores Larner’s longstanding interest in the relationship between structural support and the attitude of the object.
Engaged with the many possibilities of sculpture and abstract form, Larner uses material to encourage discoveries led by an intrinsic link between impulse and perception. Polished to a mirror finish, the brass and aluminum of these sculptures allows them to be positioned on the wall, as the side of the glazed ceramic facing the wall is reflected in the cool light of aluminum and the warm glow of brass. Each surface has its own quality, from the extremely reflective to a textured matte, and these differences create a varying vibrancy of reflected light. Larner’s ceramics highlight a symbiotic continuity that troubles definitions of art and environment, object and subject.
Larner’s morphological research thinks likewise with ecological networks, as described in the writings of Fernand Deligny, or by the botanist Anne Pringle, in “Establishing New Worlds: The Lichens of Petersham.” The dialogue between these new works and Larner’s more historic sculpture, Rubber Divider—which debuted in the 1989 Whitney Biennial—underscores the interplay between support, form, surface effect, and infrastructure, that has often animated her practice, exploring how our observed experience of the world is innately personal but based on connection. Mindful of the specter of the Anthropocene, it also occasions a meditation on how we distinguish past and present, wondering what forms, what artifacts of human action and intelligence will last, and outlast us.
Distinguished by the unique physical rules that govern its transition, from soft to fragile to almost indestructible, Larner engages clay in part because of its apparent self-determination and pliancy, a kind of material agency and chemical intelligence distinct from our own. The ceramic forms in this exhibition are molded by impressions with ubiquitous forms made with a precision that often goes unnoticed. These forms are softened by the contact of the clay being shaped by them. The consequence of this method of forming is ghostly and transpositional. Among many other potential interpretations and resonances, the exhibition’s title points to these principles, and likens them to the same encodings that inform human perception and the activity of many other life-forms, as we are learning to be of and with.
Larner’s work is also currently on view as part of Transformative Currents: Art and Action in the Pacific Ocean at the Orange County Museum of Art and For Dear Life: Art, Medicine, and Disability at the Museum of Contemporary Art San Diego . Both shows are also part of PST ART: Art and Science Collide.
For more on her creative process, and earlier work, check out the video below from Art21 in 2016.
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swedesinstockholm · 5 months ago
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5 août
au cimetière avec ma mohnschnecke. c'est la première que je mange depuis que je suis ici. une coccinelle avec une aile cassée se promène sur ma robe. j'ai fait beaucoup de rencontres animales depuis ce matin: un pigeon boiteux sur le toit d'en face, des écureuils dans le parc du chateau de charlottenburg, des cygnes et des canards et leurs bébés gris et duveteux dans l'étang devant le chateau, des animaux qui ressemblaient à des chèvres ou des brebis je sais plus, un papillon blanc au cimetière, un insecte non identifié sur ma jambe. ce matin j'ai fini un nouveau poème, ou plutôt remanié un vieux poème parce qu'il me manquait un dixième poème pour envoyer à 10 pages au carré. maintenant j'ai dix bons poèmes. c'est pas beaucoup dix. j'en ai beaucoup plus mais j'en ai que dix que je juge assez bons pour représenter mon travail.
hier j'étais au kw avec n. après notre goûter crêpes au sucre-citron dans la cuisine. en sortant de l'expo on parlait de ce qu'on aimait dans l'art, ce qui nous attirait, ce qui nous touchait. elle disait qu'elle avait adoré la première expo parce qu'elle aimait les trucs provocateurs, les trucs aux couleurs criardes, les trucs qui font du bruit, un truc comme ça. qu'elle aimait pas le naturalisme et que ça comptait pour toutes les formes d'art, qu'importe le médium. elle a dit et toi? et après dix bonnes minutes de réflexion silencieuse et chaotique où sont se sont croisés les photos de luigi ghirri, les formes géométriques de carmen herrera, l'expo fernand deligny au crac l'année dernière et sophie calle j'ai dit je crois que c'est l'humour. i like playfulness. bon il doit y avoir d'autres critères mais j'arrive pas à les définir, c'est trop brouillon.
7 août
orage chéri, même dans mon arrière-arrière cour reculée je vois les éclairs qui ricochent sur le mur d'en face, direction ouest, direction tempelhofer feld, direction la maison. j'ai pris mon billet de train pour rentrer le 27. dans vingt jours. la foudre vient de tomber c'était magnifique et maintenant il pleut et je sens des micro gouttes sur mes pieds près de la fenêtre grande ouverte. ma fenêtre est grande ouverte 24h/24 sinon j'étouffe. j'aime quand il pleut parce qu'on entend plus les zozos dehors.
8 août
je compte les jours jusqu'à ce weekend où je vais être seule à l'appart (demain). j'ai acheté des snacks de célébration pour l'occasion. j'ai passé beaucoup de temps avec n. ces derniers jours. quand j. est rentré hier il nous a demandé ce qu'on avait fait en son absence et elle a dit lots of sugar and art. j'ai eu la confirmation qu'elle avait bien couché avec son ami italien l'autre jour. je commençais à me dire que j'avais peut être halluciné des bruits, dans ma panique paranoïaque. parfois j'entends des grondements quand je suis au lit et je sais jamais si c'est un avion, la u bahn, le sang dans mes oreilles, ou le bruit des plaques tectoniques qui se frottent entre elles. avant-hier elle m'a emmenée chez son glacier préféré sur la skalitzerstrasse (eineuh kugel kokosnuss und stracciatella bitteuh, très bonne), elle m'a offert une carte postale qui dit berlin loves you, pour les jours où j'en ai marre d'être ici. elle m'a montré son quartier préféré de kreuzberg qui est désormais aussi mon quartier préféré avec les halles où ils vendent des cannoli et la librairie anglaise en sous-sol avec des livres d'occasion sur la petite place ombragée à côté du coiffeur à la devanture vert pomme et rouge fluo. on s'est promenées dans les rues calmes bordées d'arbres jusqu'à bethanien, un ancien hôpital du milieu du 19e très impressionnant qui fait un peu poudlard. il était en fonction jusque dans les années 70 et quand ils ont voulu le transformer en centre d'art les gens n'en voulaient pas parce qu'ils auraient préféré une polyclinique pédiatrique.
on est allées voir une expo qui s'appelait aus der krankheit eine waffe machen (faire de la maladie une arme) parce que c'était gratuit, l'intérieur du bâtiment était éclairé comme un hôpital et les murs des couloirs étaient couverts de graffitis. mon truc préféré de l'expo c'était un petit classeur très épais de pochettes en plastique qui contenaient plein de petits papiers provenant de la collection d'un pharmacien qui faisait partie d'une pharmacie militante qui proposait des traitements alternatifs à ceux des grands groupes pharmaceutiques. les petits papiers étaient des recettes écrites à la main ou des trucs qu'il avait découpés et qui ont servi à faire un énorme livre-manuel d'automédication pré-internet. j'ai aussi appris l'existence du sozialistiche patientenkollektiv dans les années 70 qui considéraient la société capitaliste comme cause de maladies mentales comme la dépression et qui ont lancé le slogan krankheit als waffe machen.
hier matin alors qu'on mangeait des donuts hors de prix sur le trottoir (boston cream, très très bon) je lui parlais d'une citation de david foster wallace sur la prise de décision que j'avais lue sur ig et quelqu'un dans les commentaires disait "me when i realize stalling as long as possible to make the right decision is sometimes just refusal to participate in the outer world and i need to remember that this is the Real Things Happening now and any decision is better than no decision." n. disait que ne pas prendre de décision c'était aussi une décision. on parlait de mon indécision devant la vitrine de donuts mais aussi devant ma vie au sens large et je lui disais que depuis que j'étais ici, c'était devenu très clair pour moi que j'avais envie d'habiter en france. elle a fait remarquer qu'en général les choix d'endroit de vie étaient dictés par le travail, le plan de carrière, les études, des trucs comme ça, et j'ai dit oui mais moi j'en ai pas. j'ai rien à quoi me raccrocher. un truc qui me donne une direction. j'ai rien parce que j'ai jamais réussi à faire de choix. sauf pour l'écriture, mais c'était pas vraiment un choix, et c'est pas assez stable et concret pour pouvoir m'y raccrocher. enfin si, je m'y raccroche, mais c'est pas assez. mais l'écriture est le seul moyen à travers lequel j'accepte de participer au monde extérieur. ou que j'arrive à le faire du moins.
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redlabopedagogique · 2 years ago
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#La Petite école :
Voire. Si j'étais cinéaste, je rêverais de camérer le trajet d'un iceberg et sa fonte et tous les aspects qui se succèdent, montagne d'abord qui se sépare de la banquise, et le travail de cette rupture, et les bruits; c'est tout de même autre chose que ce que des acteurs peuvent jacasser, et la brume, et les oiseaux de mer, et combien de temps ça dure, cette masse dont il ne va plus rester qu'un glaçon gros comme le poing, et puis plus rien; plus rien que la mer. Cet événement caméré en temps réel, il faudrait des semaines pour le rendre, pour le restituer, cinéma per-manent. Rien que ça sur l'écran, pendant des semaines. Irait qui voudrait, ne serait-ce que de temps en temps, pour voir où ça en est, pour voir ce qu'il en reste, de l'iceberg.
Fernand Deligny, Camérer À propos d’images, p.18 Voire. Si j’étais cinéaste
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titi-frontispice · 1 year ago
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Repousse ceux qui viennent s'offrir : ne va pas chercher ceux qui s'éloignent de toi et compte ceux qui restent.
S'il n'y en a qu'un, commence avec celui-là.
- graine de crapule, Fernand Deligny
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abridurif · 6 months ago
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Janmari / Fernand Deligny, "L'île d'en bas, été 1969"
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