#EliLotar
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Georges Bataille par Eli Lotar dans “Une partie de campagne” de Jean Renoir, 1936
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Animierte Wahrheit
Mit Luis Buñuel und Ryszard Kapuściński stehen zwei Ikonen des 20. Jahrhunderts im Mittelpunkt zweier Animationsfilme, die sich nicht nur auf die Zeichnungen verlassen, sondern auch dokumentarisches Bildmaterial mit einfließen lassen. Die Tiefe der Wahrheit dieser Filme ergibt sich in der Verbindung beider und ihrer Wirkung. Die wird von Zuschauer:in zu Zuschauer:in unterschiedlich sein, aber genau das macht sie so sehenswert. Read the full article
#AdamDomoslawski#AndréBreton#DamianNenow#EliLotar#featured#LuisBuñuel#MeretOppenheim#PierreUnik#RamónAcín#RauldelaFuente#RyszardKapuściński#SalvadorSimó
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#aboutyesterday #rencontresarles2019 #elilotar #treizebis #marjanteeuwen #fotoautomat (à Les Rencontres de la photographie, Arles) https://www.instagram.com/p/B1BH54TnZTB/?igshid=lmunplvd0dm
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📷👀👩👧 Take our #mother to the #museum day:) Some #details and #photosofphotos from #elilotar #expo #verymostbeautiful at #muzeulcolectiilor #bw #blackandwhite #filmphotography #vintagephotography #portraits #framed #reflection #statue #statues #dancers #actors #back #blur #mom #me #mary #photographer #photography #weekend #sunday #museumday #skinnnybunny https://www.instagram.com/p/BxFdEU5HbkZ/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=km1mmxk7kywu
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#EliLotar by #Giacometti source: @galopine #facesthatstuckinyourhead #greenmood in #greyday #greylikeash #modernart #modernsculpture (at Lucca, Italy)
#facesthatstuckinyourhead#greenmood#modernsculpture#greyday#greylikeash#elilotar#modernart#giacometti
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Eli Lotar, du doc en stock
Le musée du Jeu de Paume met à l’honneur le photographe français d’origine roumaine Eli Lotar. Cinéaste à ses heures, sa vision artistique s’est vite tournée vers un certain engagement social dès le début des années 30. Un regard résolument moderne qu’on salue aujourd’hui.
Aux abattoirs de la Villette, en 1929. Eli Lotar veut dénoncer la cruauté avec laquelle les bêtes sont tuées. Ici, pas de mise en scène, juste un oeil artistique qui rend la scène glaçante... En-dessous, les photos illustrent un article rempli d’ironie pour mieux dénoncer le scandale. Un clin d’oeil à notre actualité?
Eli Lotar arrive à Paris en 1924. Il a à peine 19 ans, et fait une belle rencontre, sûrement la plus déterminante pour le reste de sa vie, puisqu’il croise Germaine Krull, (celle qu’on considère comme la pionnière des femmes photographe). Elle lui apprend le métier et devient sa compagne. Ca s’appelle le Destin!
Germaine Krull a su déceler tout son potentiel: précocité et talent. Il publie rapidement des photographies dans des revues d’avant-garde de l’époque ( Vu, Jazz, Arts et métiers graphiques) et participe à des expositions de renommée internationale qui lui donne d’emblée un certain statut.
Portrait de Germaine Krull par Eli Lotar en 1929.
A ses débuts, Paris est son principal terrain d’expression, il va se laisser happer par son spectacle quotidien mais en lui apportant une touche personnelle, les paysages n’ont rien de contemplatifs. il aime jouer avec les lignes graphiques que ce soit avec la Tour Eiffel ou le traffic urbain, tout ce qu’il peut transformer en motif abstrait. Le décadrage ou le gros plan vont faire partie du style Lotar. S’il se rend à la Foire de Paris, les clichés sont étonnants de drôlerie, vous n’y verrez que des pieds, une avant-garde de la street photography d’aujourd’hui, peut-être!
Hôpital des Quinze-Vingts, 1928.
En parallèle, il se distingue avec des photographies plus ancrées dans le réel, un réalisme noir montrant la misère de certains quartiers parisiens, c’est le début de l’engagement social. Entre 1928 et 1932, son approche se fait moins artistique, il se tourne vers une vision quasi documentaire. Eli Lotar, artiste politiquement engagé, commence alors à collaborer à des films. La question du logement devient l’une des grandes préoccupations du cinéma documentaire des années 30 et 40, ça tombe bien, cela fait déjà parti de sa sensibilité d’homme.
Punition, 1929.
En 1945, il réalise un doc intitulé Aubervilliers, on y voit le grand dénuement de la population de cette banlieue parisienne. Il est projeté dans le cadre de l’exposition. Avec ce film à la fois rempli de sincérité et de poésie, Eli Lotar va obtenir une belle reconnaissance en tant que cinéaste.
Music-Hall, vers 1928.
Dès son arrivée à Paris, le photographe s’est plongé dans l’ambiance des music-hall, des théâtres, de la vie nocturne parisienne populaire. Pour le magazine Vu, il immortalise toute cette agitation joyeuse.
L’exposition s’achève sur sa dernière collaboration avec un artiste et pas des moindres, le sculpteur Alberto Giacometti, nous sommes dans les années 60. Ce dernier sculpte Lotar, et Lotar immortalise son travail ainsi que l’artiste, un jeu de miroirs troublant et touchant. On y apprend que peu de temps après la mort de Giacometti en 1966, Eli Lotar demande l’aide de Pierre Matisse afin d’exploiter l’ensemble des photographies prises plusieurs années durant, dans l’atelier du sculpteur. Ce dernier projet artistique restera inachevé, à la veille de sa propre disparition en 1969...
Giacometti, buste de Lotar, 1965.
Eli Lotar au Jeu de Paume jusqu’au 28 mai. Dans le cadre du 40ème anniversaire du Centre Pompidou, exposition co-produite avec ce dernier. www.jeudepaume.org
Pour visiter l’expo comme si vous y étiez:
vimeo
#exposition#Paris#elilotar#retrospective#photography#photo#hommage#musee du jeu de paume#centrepompidou
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#AntoninArtaud photographed by #EliLotar, 1929
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Eli Lotar au Jeu de Paume #elilotar #jeudepaume #paris (à Jeu de Paume)
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Venez découvrir les photographies méconnues d'Eli Lotar en ce moment au @jeudepaumeparis à Paris ! #art #culture #opline #oplineprize #paris #elilotar #jeudepaume #artmoderne #photo #photographe #photography #blackandwhite #b&w #sealife #urchin #seaurchin #hand #instaart #artlovers #artlover #exposition #exhibition #lotar
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"At the gates of Paris on empty lots, gardens for poor kids, lies scattered the distinct debris of uncertain fortunes. A pot luck of happiness offers itself to the passing collector, poet, or pair of lovers, here at the outer edge of traffic, of trucks and trains."
So begins the voice over to the 1949 documentary "Le Sang des Betes (Blood of the Beasts)" directed by Georges Franju. The images above are stills from the opening of the film. What interests me about this film, especially its opening few minutes, is the emphasis placed on the edge of the city and its liminal spaces. The Surrealists were particularly drawn to the edges of Paris with their flea markets and abattoirs. What might have attracted them? The poetic commentary contains a few clues: "the debris of uncertain fortunes" and "a pot luck of happiness". At the edges, things are less certain. There is greater room for chance to play a role, the "happy accident". Also, life is more extreme. Different classes and races of people are found together, coexisting and sparking off one another. Life and death are intermingled, nowhere more so than the abattoirs themselves.
Consider this image by Eli Lotar, taken at a Parisian abattoir in 1929 at the height of the Surrealist movements activities:
What is strange and/or unusual about the composition? In what sense has the photographer documented a liminal space? How does this image help us to understand the concerns and strategies of the surrealists?
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