#Dualité
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Tout et son contraire : Je ne suis pas en reste. Amour, colline très verte Baise, chambre clair-obscur Injustice, leçon répétitive Colère, fierté subversive Volonté, puissance qui suppure Solitude, ruelles ouvertes Je suis gavé je l'atteste. Se mentir, en redemander Je suis si heureux. Se ternir, dans la dignité Je suis belliqueux. Comme un militant qui baille, Marx avec la gueule de bois Bakounine giflé par la bac. Comme un sidéré des batailles ; Consommateur qui aboie Penseur nourri par les arnaques. Se guérir, au coeur d'un bourbier Je suis en pleine forme. Se tenir, tout raide défoncé Je suis dans la norme. Clément Dugast (nocto)
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The Prince of Tides (2022) There are certain distances that remain. Distances that cannot be crossed, erased, shortened, or even avoided. There is a measure in our minds that knows distance. The distance of centimeters and inches to kilometers and miles. The distance of time. One second, one minute, one hour. The distance of weeks to months and months to years. And then there’s the distance between breathes, between thoughts, between glances, between words, between one heartbeat and the next. The language of distances, measured and metered. Cell deep. What part of the body does not understand distance in all its nuances? Distances opening, distances closing. Danger, intimacy. Chasms and hairline fractures. It’s possible to know them all and still be caught by surprise. By the one that cannot be crossed. The distance that is to walk in place, in the same moment, from where there’s no going. The distance of a heart from chamber to chamber, wall to wall. I have walked my heart. And all I have gained with the passage of time is not distance. Time will take me no where, and the geographical miles keep me suspended in an illusory dance. The dance of distances. The distance between one body and the next. And the future into which we cannot step alone. Unique hand-finished monotype with mixed media on Hahnemühle 300gsm etching paper 78 x 104cm Private Collection #monotypie #monotype #printart #printmaker #sketch #printmaking #painter #painting #abstractart #atelier #art #artist #artwork #espacetemps #tracesdutemps #abtractworld #dualité #dualityoflife #contemporaryprint #artonpaper #dessincontemporain #estampecontemporaine #VAAWorkingArtist #VisualArtistsAssociation #VAAartist #VAACreativeHabits #draw #drawing #sketchbook #artcollector https://www.instagram.com/p/CmB-uduq-PV/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Pourquoi pragmadogmatique ?
car la beauté résidera tjrs dans l’équilibre des contraires.
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LA NOTION DE BIEN ET DE MAL
. . VOUS POUVEZ ENTENDRE CE TEXTE EN CLIQUANT SUR LE LIEN CI-DESSUS . Le bien et le mal sont des aspects mentaux, des abstractions et en aucun cas des énergies. Ils n’existent pas en soi. Au mieux, ce sont des repères qui permettent de se situer dans l’émotion personnelle, en sachant que l’éducation et la société ont souvent pervertie ces aspects ; par conséquent, chacun en aura une…
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Chers tous,Le Projet 2014, que plusieurs négligent, est très en avance sur son temps. Nous vous revenons avec des arguments nos arguments connus et nos nouvelles trouvailles. Beaucoup en sont déjà convaincus : Kinshasa ne nous sortira pas de l’insécurité ; il ne fera que l’accroître en raison des motivations et des compétences qui restent encore à travailler par nous, peuple congolais. Sans…
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Psychologie, dualité et hétérotopie dans Les Aventures de Pinocchio
Sfetcu, Nicolae, « Psychologie, dualité et hétérotopie dans Les Aventures de Pinocchio », MultiMedia (04 août 2024), DOI :, URL = Résumé « Les Aventures de Pinocchio », écrit par Carlo Collodi, n’est pas une simple histoire pour enfants sur une marionnette en bois qui souhaite devenir un vrai garçon. C’est un récit riche qui approfondit des thèmes psychologiques profonds, le concept de dualité…
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Q : Porquoi aurions nous des relations ?
R : Pour oublier qu’elles ne sont pas.
Q : Islam ?…
R : ….ou le mensonge, la franchise, l’énormité, certes emblématique, de la « soumission ».
Q : Les Insoumis ?
R : Une plaisanterie de mauvais goût…une fausse singularité pour une complémentarité évidente avec tout le reste.
Q : Où est le problème des graines de tomates ?
R : Le communisme. Et tout a toujours été une question de soudaineté et dénivelé.
Q : Que reste t’il à dire ?
R : On va bien trouver…
Q : Le communisme est-il d’extrême gauche ?
R : Non, car ce n’est pas le problème. En effet ça laisserait croire qu’on peut s’en rapprocher au travers d’un régime à tendance égalitaire (égalisant les conditions), alors que nous ne le « préférerons », si du moins il parvient à un certain résultat, que du point de vue d’un effet temporaire. Nous ne serons donc « de gauche » (*) que par défaut (il s’agit d’une prudence quant au devenir proche, par définition le plus prévisible) mais poserons invariablement la question de l’endormissement qui est susceptible de résulter d’un « meilleur des mondes » en perspective d’un côté, plus ou moins réalisé de l’autre : le premier pourrait, on ne sait jamais, être le marche-pied vers un regain de mobilisation active généralisée, l’autre pourrait démobiliser au point d’annoncer la pire des catastrophes, qu’elle soit de type « interne » ou « externe ». En conclusion il n’y a pas de ligne allant de la gauche à la droite, dans la configuration politique en vigueur depuis de longues années maintenant, sur laquelle situer le marxisme. Notre critère fondamental reste le degré de communisation effective, pas nécessairement son résultat immédiat sur l’ « Economie ».
Q : Libération (spirituelle) ?
R : Ce n’est jamais la question, mais il est intéressant que des personnalités comme Andréas Müller soient assez habiles à définir, avec obstination, de quoi il ne s’agit pas (si seulement il pouvait éviter d’y donner le moindre attribut « malgré tout », ce serait « perfection » !). Car il est vrai que la question de la « libération » semble évidente du point de vue de l’ « emprisonnement »… C’est que de la forme (tout ce qui est de l’ordre du manifesté, rien n’étant d’une autre nature dans cette acception) apparaît une fausse question, comme si on pouvait imaginer se libérer de ce qui fait le tissu même de l’existence « en tant que telle », que l’on voudrait donc « libérer » d’elle-même.
Q : L’humour est-il nazi ?
R : Non, mais maintenir un « rien n’a plus d’importance » quand c’est vraiment le cas, oui.
(*) Au sens affinitaire et vaguement politicien du terme, sinon dans l’absolu évidemment, pour de simples questions de légitimité historique.
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Le juste équilibre
Nous nous attendons à voir la réalité sous l’effet du bien et du mal, du vrai et du faux. Cette vision duelle n’est que la vision de surface. L’expérience nous apprend que la réalité n’est pas aussi statique et que parfois une chose peut devenir son contraire. La succession circulaire de ce qui est bon et mauvais, de la naissance et de la mort, fait partie de l’ordre des choses dans la nature…
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Tout sur le Signe Astrologique Gémeaux 🌟
Découvrez le Monde Fascinant des Gémeaux ♊️ Les Gémeaux, avec leur dualité intrigante et leur esprit vif, captivent l’attention depuis des siècles. Que vous soyez un Gémeaux vous-même ou que vous souhaitiez en savoir plus sur ce signe astrologique dynamique, plongez dans les mystères qui le définissent. 🌀 🌟 Découvrez votre avenir avec notre service de tarot téléphonique ! 🌟 Appelez-nous au…
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Bittersweet espresso will no longer be offered to me with such attentiveness. Tenderhearted. You say you’ve won, but are you so sure? Are you really a winner? These prolonged days we shared in curiosity slipped through my grasp. Prolonged, yet limited. I observe you once again, but I really see you during this vulnerable moment. An array of emotions you’re sharing with me. Your guard has come down, while mine never stood ground. For you saw behind my mask. There is comfort in knowing what others will never know, as well as closing a chapter. There is comfort in dissatisfaction with what could have been too. Short (forever) hours can develop into a teary love. I realize that now as our time has stopped ticking. One final sip I take, but the rich taste will never be the same. One final touch of those rough hands, but I finally felt gentleness. One final caress of my tear-stained cheek as my vision blurs, but it’s all so clear now. One final glance at this man, but I take it in. He empathizes with me. He sympathizes for me. I watch him become smaller and smaller behind this glass the further I go, our eyes don’t dare leave one another. This man will go on with life, as so will I, but in those short (forever) hours we’ve already lived a lifetime.
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Mon lit : le meilleur endroit au monde, à coup sûr. Mon lit, c’est mon refuge, mon havre de paix, mon lieu de repos et de régénération. Je peux m’y étaler en travers ou m’y rouler en boule sous la couette, j’y suis bien. Je m’y sens à l’abri, protégée de l’agitation du monde.
Le meilleur moment de la journée, c’est celui où je me couche dans mon lit. Quoi qu’il se soit passé dans la journée : argh, beurk, snif, taratata, youpi, au moment de me coucher, c’est toujours le grand soupir : hhhaaaaaa ! L’appel du repos, de la détente, du relâchement.
À l’heure du coucher, il est temps de répondre entièrement à l’appel de la couette. Je me blottis dans sa douceur, dans sa chaleur. Je savoure la caresse des draps sur ma peau. Cette sensation enveloppante s’accompagne du soutien plus ferme du matelas. Mon corps peut s’abandonner. Mon lit ne me laissera jamais tomber.
Les contours de mon corps se moulent dans la texture subtilement élastique du matelas. Mon oreiller épouse la forme de ma tête et de ma nuque. Mes mains, mes pieds, parfois plus frais au début, se réchauffent peu à peu. Je m’engourdis délicieusement. Je respire plus paisiblement.
À l’horizontale, mon corps est capable d’explorer une large palette de positions. La plus spontanée pour moi, c’est sur le côté, les jambes plutôt rassemblées, le bras de dessous replié sous ma tête, avec l’oreiller. J’aime bien aussi quand mes deux bras s’enroulent autour de moi, en mode gros câlin à moi-même. Mes jambes peuvent être plus ou moins repliées, ensemble ou de façon asymétrique. Et autant de variantes sont possibles du côté droit et du côté gauche, sans préférence marquée pour l’un ou pour l’autre.
Sur le côté, j’aime aussi quand mon corps vient s’accorder à celui de mon homme aimé, celui qui partage mon lit et ma vie depuis presque trois décennies. Nos épidermes se connaissent et se reconnaissent. C’est comme si nos formes s’étaient moulées au fil du temps l’une sur l’autre, comme des empreintes.
Allongée sur le dos, de tout mon long : ce n’est pas une position spontanée, même si je m’y sens bien pour pratiquer des respirations ou des méditations (les deux vont bien ensemble). C’est aussi une position de repos volontaire, que j’adopte pour réfléchir à des questions aussi existentielles que : quel est l’intérêt de réfléchir à sa position allongée ?
L’intérêt ? C’est sortir du mode « pilote automatique », observer comment je fonctionne et envisager des façons différentes qui pourraient, peut-être, se montrer plus intéressantes que celles pétries par mes vieilles habitudes.
Par exemple : allongée sur le ventre. Cela peut se montrer utile à la plage, pour bronzer recto verso. Pour ma part, allongée, je préfère savourer l’intimité de mon lit que rester à griller sur une serviette. J’observe que j’aime de plus en plus sentir la chaleur de la couette dans mon dos qui se vrille légèrement. Cette posture requiert une certaine souplesse de la colonne vertébrale : je trouve cette torsion plutôt relaxante.
Allongée sur le ventre, je m’embarque volontiers pour de grands voyages immobiles, quand mon imagination se débride et m’entraîne dans des divagations plus ou moins fantaisistes. Tout devient possible, les idées rebondissent et s’entremêlent, elles gonflent comme des ballons de baudruche, éclatent en gerbes d’étincelles comme un feu d’artifice, s’évaporent en volutes de brume dans lesquelles se perdraient des arcs-en-ciel.
Avant de m’endormir, il m’arrive de tourner dans mon lit. Au bout d’un certain temps, parfois court, parfois plus long, je finis par m’assoupir. Je m’endors et j’oublie. Mon corps continue de faire son boulot : il respire, il digère, il élimine. Il sait encore ressentir, mais ma conscience est mise en veille.
Je peux alors embarquer pour des explorations mystérieuses, guidées par mon inconscient. Tout devient possible, je flotte, je nage, je plonge, je me noie… Je remonte à la surface pour surfer sur les vagues de mon imagination débridée. Qu’importe le lit, celui que je connais le mieux ou tous ceux dans lesquels j’ai dormi, dans le confort ou à la dure.
Le lit, c’est évidemment le lieu du sommeil. Nous autres humains y passerions en gros un tiers de notre vie. Le sommeil est ce grand mystère dont aucun animal vivant ne peut complètement se passer. C’est le moment où le cerveau trie, classe, mémorise et donc oublie.
Je pense et j’oublie. Je pense que je vais oublier. J’ai déjà oublié ce à quoi je pensais. Je m’endors. À certains moments, je suis éveillée : je pense, j’agis, je décide, j’exécute, je suis présente. À d’autres, je suis endormie : je me relâche, je divague, je rêve, je suis absente. Comment se fait le passage d’un état à l’autre ? À quel moment, précisément, se situe la bascule ?
Le jour, je veille. La nuit, je dors. À quel moment, précisément, le jour devient-il nuit ? La même question se pose pour le noir et le blanc : ce noir qui dessine les lettres est-il vraiment noir à 100 % ou bien est-il déjà un peu gris ? La dualité est omniprésente : lumière et obscurité, vérité et mensonge, santé et maladie… Un beau sujet de divagation pour une prochaine insomnie…
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"Les extrêmes sont l'ennemi des justes"
Souix, avec sa clairvoyance habituelle, nous invite à contempler l’équilibre délicat qui régit la justice et la moralité dans notre société. Lorsqu’il affirme que ‘Les extrêmes sont l’ennemi des justes’, il nous convie à une réflexion profonde sur la manière dont les polarisations exacerbées menacent les fondements de l’équité et de la droiture.
Cette citation de Souix suggère que la justice véritable s’épanouit dans la modération, dans la capacité de trouver le juste milieu entre les forces opposées. Les extrêmes, qu’ils soient d’ordre politique, idéologique ou social, sont souvent caractérisés par une rigidité qui laisse peu de place au compromis, à la compréhension mutuelle et au dialogue constructif.
Pour Souix, l’extrémisme n’est pas simplement une question de radicalisme. Il s’agit d’une tendance à l’absolutisme qui peut se manifester dans tous les domaines de la vie : dans nos opinions, dans nos actions, et même dans notre quête de la vertu. L’extrême, quel qu’il soit, tend à imposer une vision unique et intransigeante, érodant ainsi le terrain fertile de l’entente où la justice aime à s’enraciner.
En déclarant que ces extrêmes sont ‘l’ennemi des justes’, Souix ne dénonce pas seulement l’intolérance ou l’entêtement, mais souligne aussi le danger inhérent à une quête de la justice qui s’égarerait dans l’excès et perdrait de vue la nuance et la complexité des situations humaines.
Cette citation est un appel à la vigilance et à la sagesse. Souix nous encourage à cultiver une approche de la justice qui respecte la diversité des perspectives, qui valorise l’échange et l’empathie, et qui cherche constamment à équilibrer les droits et les devoirs dans une société pluraliste.
Dans une époque où les clivages semblent se creuser, la philosophie de Souix nous rappelle l’importance de l’équilibre et du juste milieu comme fondements d’une société juste et harmonieuse. Il nous incite à résister à la tentation des solutions faciles que proposent les extrêmes et à nous engager dans la recherche laborieuse mais gratifiante d’une justice nuancée et inclusive.
#Équilibre#Justice#Harmonie#Modération#Polarité#Sagesse#Conflit#Dualité#Paix#Philosophie#Souix#Nathorod#Souix Nathorod
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Insula
En racontant comment Line, victime d'un tremblement de terre au Japon, tente de redonner un sens à sa vie, Caroline Caugant explore la psyché humaine après un traumatisme majeur. Un roman aussi éclairant que bouleversant.
En deux mots Line, hôtesse de l’air, est à Tokyo quand survient un séisme dévastateur dans lequel elle est ensevelie. Retrouvée vivante huit jours plus tard, elle rentre à Paris où elle l’attend Thomas, son compagnon. Qui ne la reconnaît plus. Elle décide alors de partir seule sur une île pour combattre ses fantômes. Ma note ★★★★ (j’ai adoré) Ma chronique Le séisme qui change toute la vie En…
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#Amour#Atlantique#île#Big One#cerisiers en fleurs#désir#dualité#failles#fantômes#hôtesse de l’air#Japon#Mémoire#miraculée#ondes de choc#Paris#quête#réminiscence#recherche#Reconstruction#renaissance#séisme#sororité#souvenir#syndrome de Stendhal#sœur#Tokyo#traumatisme#tremblement de terre#vie de couple#Voyage
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LE CHOIX DE L’AMOUR
. . VOUS POUVEZ ENTENDRE CE TEXTE EN CLIQUANT SUR LE LIEN CI-DESSUS . Bienvenue sur Terre, dans cette expérience duelle unique. Le corps… ce temple extraordinaire auquel est rattaché l’ego, nul besoin de le blâmer, sans lui, nulle expérience terrestre. Seulement voilà, dans ses structures d’identifications, le petit personnage a accumulé une somme impressionnante de culpabilités et de peurs,…
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Le truc le plus kiffant avec la voix de Goldman, c'est que d'un côté on a des paroles relativement profondes, un mec assez sérieux, pince sans rire, discret, assez calme, capable de parler de rugby, de sociologie et de Gibson.
Et de l'autre côté, on a. Une voix vraiment haut perchée. Et qui va vraiment haut, trop parfois, quand c'est pas juste un cri, vraiment la voix aiguë dans toute sa splendeur. Le décalage est d é l i c i e u x. Le calme (pour ne pas dire le silence), les sourires en coin et les "AAAAAAAaaaaaAAaaAaaAAAAAAAAAAAAAAH" de l'autre.
Et le plus extraordinaire dans tout ça, c'est la différence entre les albums et les concerts, parce que clairement fin 80, ça commence à le soûler cette voix (et il déclare même qu'il a toujours rêvé d'une voix grave :') ) donc il baiiiisse, c'est beaucoup plus doux, limite parlé-chanté sur certaines chansons. Mais sur scène, même si c'est plus rare sur les deux dernières tournées, il HURLE toujours et qu'est-ce c'est fun.
Genre ça vers 4:40
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Ou cette version d'"Au bout de mes rêves" en 1998, vers 2:30 et jusqu'à la fin.
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Et même aux Enfoirés où il CHOISIT de se donner à chanter des morceaux qui vont tirer sur sa voix, par exemple cette SUBLIME REPRISE de "Gimme! Gimme! Gimme!" à 2:50 (pitié écoutez ça, si vous voulez vous tapez une barre, j'ai découvert cette reprise il y a deux jours, je suis K.O).
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Si l’amour et le désir, chacun à leur façon tentent de faire un de deux apparents, le problème c’est que le un est déjà dans le deux de sorte à ce qu’il n’y ait pas vraiment à réunir quoi que ce soit (le désir veut un semblable, qui confirme la séparation, l’individu, pour s’unir à lui, il récolte autre chose). Mais cette unité est tendanciellement oppositionnelle comme l’est l’intrication quantique, de plus l’idée d’un vécu entièrement partagé (mémoire historique commune et invariable) est sans doute une illusion, comme l’apparence nommée « réalité » elle-même. Ça ne veut pas dire que rien de cet ordre (désir pour/de quelqu’un) ne puisse durer, et à vrai dire l’opposition peut en elle-même avoir quelque chose d’excitant, au moins un temps…
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