#Dualité
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soulthom · 17 days ago
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Le paradigme objectaliste n’était pas un problème tant qu’il ne rencontrait pas de contradiction interne fondamentale.
Mais il faut bien rappeler une chose, c’est que l’esprit scientifique n’est pas une confirmation du bon sens : mettons que je sois en face d’une bouteille, je peux dire « Il y a une bouteille devant moi ». Ceci est le bon sens en action. Mais du point de vue scientifique cette façon de voir est un parti pris, évidemment nécessaire au quotidien, et pour pouvoir s’exprimer en sciences physiques (avec les lois qui décrivent le mouvement apparent des objets apparents etc.), pour être à même de se repérer dans un monde de choses et êtres apparents. La proposition scientifique fondamentale serait plutôt : « je vois une bouteille », à savoir que c’est la vision elle-même, c’est â dire ce qui est indiscutable (un tout sensoriel incluant la pensée, volition, mémoire…) qui doit m’intéresser en premier lieu d’un point de vue scientifique (une validation éventuelle « objective » serait d’ordre secondaire). Y-a-t-il devant mes yeux un espace indépendant de ma conscience ? Pour faire une comparaison, face à un hologramme, non, et si je me réveillais un matin « encapsulé » dans une simulation sans qu’on m’ai prévenu, simulation qui reproduisait à l’exact la situation dans laquelle je me suis endormi, en tant que scientifique « mainstream » je rirais comme tous les matins de ceux qui remettent en question l’évidence de l’espace objectif (*) et qui nous emmerdent, face à la bouteille d’eau que j’ai posé sur la table en face de moi avant de m’endormir hier soir.
Donc, de quoi s’agit-t’il en conclusion ? : qu’il faudra bien que la science physique ne se voit plus que comme une discipline particulière, un language particulier, au sein d’un tout plus vaste “prédictif” formalisant la configuration globale au sein de laquelle à lieu une expérience etc., et renonçant au parti pris substantialo-explicatif naïf croyant pouvoir se prononcer sur l’origine de la conscience, “par exemple”…
(*) Au prétexte d’exceptions, comme si l’ « exception » ne remettait pas en cause tout un édifice avant de « devoir » être incorporée par quelque astuce dans l’édifice lui-měme, ce qui va systématiquement avec la création de nouveau objets mentaux problématiques autant qu’hasardeux (il est plus simple qu’on ne croit de créer des systèmes “trouvant” des relations mathématiques entre des objets physiques contradictoires). Par exemple le Multivers est peut être une réponse élégante au problème du “hasard” quantique, mais ça va avec le postulat nécessaire de la possibilité même d’une démultiplication à l’infini d’un même objet (ou de l’existence multiple d’un “même” objet au devenir différencié). Ce postulat tiendra à l’affirmation de nouveaux postulats nécessaires inexpliqués eux-mêmes etc.
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atukaworld · 23 days ago
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Si personne ne se lève !
Si nous, Congolais, continuons à nous méprendre sur notre responsabilité dans ce qui arrive à notre pays, soudain, le pays partira en fumée. Soyons clair : nous devons rapidement nous atteler à  obtenir ceci, pour éviter que la colère de Dieu ne se déverse sur nous et sur nos “innoncents” enfants. Extirper la fausse religion du pays et son idolâtrie. Nous débarrasser de tous les parlementaires…
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boid0ll · 25 days ago
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Pourquoi pragmadogmatique ?
car la beauté résidera tjrs dans l’équilibre des contraires.
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nicolae · 6 months ago
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Psychologie, dualité et hétérotopie dans Les Aventures de Pinocchio
Sfetcu, Nicolae, « Psychologie, dualité et hétérotopie dans Les Aventures de Pinocchio », MultiMedia (04 août 2024), DOI :, URL =   Résumé « Les Aventures de Pinocchio », écrit par Carlo Collodi, n’est pas une simple histoire pour enfants sur une marionnette en bois qui souhaite devenir un vrai garçon. C’est un récit riche qui approfondit des thèmes psychologiques profonds, le concept de dualité…
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dandanjean · 7 months ago
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Le juste équilibre
Nous nous attendons à voir la réalité sous l’effet du bien et du mal, du vrai et du faux. Cette vision duelle n’est que la vision de surface. L’expérience nous apprend que la réalité n’est pas aussi statique et que parfois une chose peut devenir son contraire. La succession circulaire de ce qui est bon et mauvais, de la naissance et de la mort, fait partie de l’ordre des choses dans la nature…
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clairvoyanceetheree · 7 months ago
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Tout sur le Signe Astrologique Gémeaux 🌟
Découvrez le Monde Fascinant des Gémeaux ♊️ Les Gémeaux, avec leur dualité intrigante et leur esprit vif, captivent l’attention depuis des siècles. Que vous soyez un Gémeaux vous-même ou que vous souhaitiez en savoir plus sur ce signe astrologique dynamique, plongez dans les mystères qui le définissent. 🌀 🌟 Découvrez votre avenir avec notre service de tarot téléphonique ! 🌟 Appelez-nous au…
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purest-moon · 8 months ago
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Bittersweet espresso will no longer be offered to me with such attentiveness. Tenderhearted. You say you’ve won, but are you so sure? Are you really a winner? These prolonged days we shared in curiosity slipped through my grasp. Prolonged, yet limited. I observe you once again, but I really see you during this vulnerable moment. An array of emotions you’re sharing with me. Your guard has come down, while mine never stood ground. For you saw behind my mask. There is comfort in knowing what others will never know, as well as closing a chapter. There is comfort in dissatisfaction with what could have been too. Short (forever) hours can develop into a teary love. I realize that now as our time has stopped ticking. One final sip I take, but the rich taste will never be the same. One final touch of those rough hands, but I finally felt gentleness. One final caress of my tear-stained cheek as my vision blurs, but it’s all so clear now. One final glance at this man, but I take it in. He empathizes with me. He sympathizes for me. I watch him become smaller and smaller behind this glass the further I go, our eyes don’t dare leave one another. This man will go on with life, as so will I, but in those short (forever) hours we’ve already lived a lifetime. 
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traces-ecrites · 10 months ago
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Mon lit : le meilleur endroit au monde, à coup sûr. Mon lit, c’est mon refuge, mon havre de paix, mon lieu de repos et de régénération. Je peux m’y étaler en travers ou m’y rouler en boule sous la couette, j’y suis bien. Je m’y sens à l’abri, protégée de l’agitation du monde.
Le meilleur moment de la journée, c’est celui où je me couche dans mon lit. Quoi qu’il se soit passé dans la journée : argh, beurk, snif, taratata, youpi, au moment de me coucher, c’est toujours le grand soupir : hhhaaaaaa ! L’appel du repos, de la d��tente, du relâchement.
À l’heure du coucher, il est temps de répondre entièrement à l’appel de la couette. Je me blottis dans sa douceur, dans sa chaleur. Je savoure la caresse des draps sur ma peau. Cette sensation enveloppante s’accompagne du soutien plus ferme du matelas. Mon corps peut s’abandonner. Mon lit ne me laissera jamais tomber.
Les contours de mon corps se moulent dans la texture subtilement élastique du matelas. Mon oreiller épouse la forme de ma tête et de ma nuque. Mes mains, mes pieds, parfois plus frais au début, se réchauffent peu à peu. Je m’engourdis délicieusement. Je respire plus paisiblement.
À l’horizontale, mon corps est capable d’explorer une large palette de positions. La plus spontanée pour moi, c’est sur le côté, les jambes plutôt rassemblées, le bras de dessous replié sous ma tête, avec l’oreiller. J’aime bien aussi quand mes deux bras s’enroulent autour de moi, en mode gros câlin à moi-même. Mes jambes peuvent être plus ou moins repliées, ensemble ou de façon asymétrique. Et autant de variantes sont possibles du côté droit et du côté gauche, sans préférence marquée pour l’un ou pour l’autre.
Sur le côté, j’aime aussi quand mon corps vient s’accorder à celui de mon homme aimé, celui qui partage mon lit et ma vie depuis presque trois décennies. Nos épidermes se connaissent et se reconnaissent. C’est comme si nos formes s’étaient moulées au fil du temps l’une sur l’autre, comme des empreintes.
Allongée sur le dos, de tout mon long : ce n’est pas une position spontanée, même si je m’y sens bien pour pratiquer des respirations ou des méditations (les deux vont bien ensemble). C’est aussi une position de repos volontaire, que j’adopte pour réfléchir à des questions aussi existentielles que : quel est l’intérêt de réfléchir à sa position allongée ?
L’intérêt ? C’est sortir du mode « pilote automatique », observer comment je fonctionne et envisager des façons différentes qui pourraient, peut-être, se montrer plus intéressantes que celles pétries par mes vieilles habitudes.
Par exemple : allongée sur le ventre. Cela peut se montrer utile à la plage, pour bronzer recto verso. Pour ma part, allongée, je préfère savourer l’intimité de mon lit que rester à griller sur une serviette. J’observe que j’aime de plus en plus sentir la chaleur de la couette dans mon dos qui se vrille légèrement. Cette posture requiert une certaine souplesse de la colonne vertébrale : je trouve cette torsion plutôt relaxante.
Allongée sur le ventre, je m’embarque volontiers pour de grands voyages immobiles, quand mon imagination se débride et m’entraîne dans des divagations plus ou moins fantaisistes. Tout devient possible, les idées rebondissent et s’entremêlent, elles gonflent comme des ballons de baudruche, éclatent en gerbes d’étincelles comme un feu d’artifice, s’évaporent en volutes de brume dans lesquelles se perdraient des arcs-en-ciel.
Avant de m’endormir, il m’arrive de tourner dans mon lit. Au bout d’un certain temps, parfois court, parfois plus long, je finis par m’assoupir. Je m’endors et j’oublie. Mon corps continue de faire son boulot : il respire, il digère, il élimine. Il sait encore ressentir, mais ma conscience est mise en veille.
Je peux alors embarquer pour des explorations mystérieuses, guidées par mon inconscient. Tout devient possible, je flotte, je nage, je plonge, je me noie… Je remonte à la surface pour surfer sur les vagues de mon imagination débridée. Qu’importe le lit, celui que je connais le mieux ou tous ceux dans lesquels j’ai dormi, dans le confort ou à la dure.
Le lit, c’est évidemment le lieu du sommeil. Nous autres humains y passerions en gros un tiers de notre vie. Le sommeil est ce grand mystère dont aucun animal vivant ne peut complètement se passer. C’est le moment où le cerveau trie, classe, mémorise et donc oublie.
Je pense et j’oublie. Je pense que je vais oublier. J’ai déjà oublié ce à quoi je pensais. Je m’endors. À certains moments, je suis éveillée : je pense, j’agis, je décide, j’exécute, je suis présente. À d’autres, je suis endormie : je me relâche, je divague, je rêve, je suis absente. Comment se fait le passage d’un état à l’autre ? À quel moment, précisément, se situe la bascule ?
Le jour, je veille. La nuit, je dors. À quel moment, précisément, le jour devient-il nuit ? La même question se pose pour le noir et le blanc : ce noir qui dessine les lettres est-il vraiment noir à 100 % ou bien est-il déjà un peu gris ? La dualité est omniprésente : lumière et obscurité, vérité et mensonge, santé et maladie… Un beau sujet de divagation pour une prochaine insomnie…
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souixnathorod · 11 months ago
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"Les extrêmes sont l'ennemi des justes"
Souix, avec sa clairvoyance habituelle, nous invite à contempler l’équilibre délicat qui régit la justice et la moralité dans notre société. Lorsqu’il affirme que ‘Les extrêmes sont l’ennemi des justes’, il nous convie à une réflexion profonde sur la manière dont les polarisations exacerbées menacent les fondements de l’équité et de la droiture.
Cette citation de Souix suggère que la justice véritable s’épanouit dans la modération, dans la capacité de trouver le juste milieu entre les forces opposées. Les extrêmes, qu’ils soient d’ordre politique, idéologique ou social, sont souvent caractérisés par une rigidité qui laisse peu de place au compromis, à la compréhension mutuelle et au dialogue constructif.
Pour Souix, l’extrémisme n’est pas simplement une question de radicalisme. Il s’agit d’une tendance à l’absolutisme qui peut se manifester dans tous les domaines de la vie : dans nos opinions, dans nos actions, et même dans notre quête de la vertu. L’extrême, quel qu’il soit, tend à imposer une vision unique et intransigeante, érodant ainsi le terrain fertile de l’entente où la justice aime à s’enraciner.
En déclarant que ces extrêmes sont ‘l’ennemi des justes’, Souix ne dénonce pas seulement l’intolérance ou l’entêtement, mais souligne aussi le danger inhérent à une quête de la justice qui s’égarerait dans l’excès et perdrait de vue la nuance et la complexité des situations humaines.
Cette citation est un appel à la vigilance et à la sagesse. Souix nous encourage à cultiver une approche de la justice qui respecte la diversité des perspectives, qui valorise l’échange et l’empathie, et qui cherche constamment à équilibrer les droits et les devoirs dans une société pluraliste.
Dans une époque où les clivages semblent se creuser, la philosophie de Souix nous rappelle l’importance de l’équilibre et du juste milieu comme fondements d’une société juste et harmonieuse. Il nous incite à résister à la tentation des solutions faciles que proposent les extrêmes et à nous engager dans la recherche laborieuse mais gratifiante d’une justice nuancée et inclusive.
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hcdahlem · 1 year ago
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Insula
En racontant comment Line, victime d'un tremblement de terre au Japon, tente de redonner un sens à sa vie, Caroline Caugant explore la psyché humaine après un traumatisme majeur. Un roman aussi éclairant que bouleversant.
  En deux mots Line, hôtesse de l’air, est à Tokyo quand survient un séisme dévastateur dans lequel elle est ensevelie. Retrouvée vivante huit jours plus tard, elle rentre à Paris où elle l’attend Thomas, son compagnon. Qui ne la reconnaît plus. Elle décide alors de partir seule sur une île pour combattre ses fantômes. Ma note ★★★★ (j’ai adoré) Ma chronique Le séisme qui change toute la vie En…
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soulthom · 2 months ago
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Contrairement à ce que nie et affirme le féminisme il n’y a pas de « phallus fondamental » à abattre car le phallus résulte d’un abattement du néant (qu’on pourrait dire « unaire ») lui-même. C’est donc au niveau secondaire (la contradiction du néant) que le genre, la dualité et fausse symétrie fait son apparition, simultanément. Mais c’est sur fond unaire et cela signifie « masculinisme » « secondairement fondamental » pourrait-on dire (ou « histoire de l’histoire », c.a.d. fond de l’histoire apparente, où l’homosexualité par exemple apparaît comme exception alors qu’elle est la règle refoulée) et omniprésent, dont le féminisme n’est qu’une variété qui s’ignore. Et oui, c’est complètement nul !
Loin du Tao par exemple et du mythe d’une dualité fondamentale, sexuée de plus, la dualité est secondaire et apparaît par réduction-négation du néant, qui le fait « substance » (bien qu’il faille qu’il y ait une dualité tout court pour pouvoir l’exprimer secondairement, certes - unaire et sa négation - elle n’exprime rien de particulier par elle-même, elle est fondamentalement abstraite). Le même « fond » est à la fois unaire et vide, en même temps qu’hétérogène (il n’y a pas de « combinatoire », de processus, qui engendrerait une quelconque complexité, pas plus qu’il n’y a réellement d’espace-temps, d’objets et d’individus).
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atukaworld · 5 months ago
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Chers tous,Le Projet 2014, que plusieurs négligent, est très en avance sur son temps. Nous vous revenons avec des arguments nos arguments connus et nos nouvelles trouvailles. Beaucoup en sont déjà convaincus : Kinshasa ne nous sortira pas de l’insécurité ; il ne fera que l’accroître en raison des motivations et des compétences qui restent encore à travailler par nous, peuple congolais. Sans…
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annajojanisz · 18 days ago
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dandanjean · 10 months ago
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L'expérience du réel
Nous voulons vivre l’expérience du réel – c’est ce que nous voulons tous, n’est-ce pas ? – mais vivre le réel c’est le connaître et dès que nous le reconnaissons, nous l’avons déjà projeté et il n’est plus réel parce qu’il est dans le champ de la pensée et du temps. Ce que l’on peut penser au sujet de la réalité n’est pas le réel. Nous ne pouvons pas « reconnaître » une expérience neuve : c’est…
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clairvoyanceetheree · 7 months ago
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Découvrez votre Balance : Signe Astrologique et Voyance 🌟
Explorez les Mystères de la Balance La balance signe astrologique intrigue par sa dualité et son équilibre subtil. Représentant parfois la justice et la mesure, d’autres fois l’indécision, elle captive ceux en quête de vérité cosmique. 🌟 Découvrez votre avenir avec notre service de tarot téléphonique ! 🌟 Appelez-nous au 📞 +33 01 75 75 44 89 pour une consultation personnalisée. La Voyance à…
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