Tumgik
#Deux jeunes femmes s’embrassant
sorryyousawthat · 2 years
Text
Tumblr media
Louis-Léopold Boilly, Deux jeunes femmes s’embrassant (Two Young Women Kissing), 1790-1794
723 notes · View notes
Text
Tumblr media
Deux jeunes femmes s’embrassant (Two Young Women Kissing)
(Louis-Léopold Boilly, c. 1790-1794)
28 notes · View notes
artschoolglasses · 1 year
Photo
Tumblr media
Deux jeunes femmes s’embrassant, Louis-Leopold Boilly, 1790-94
139 notes · View notes
victusinveritas · 1 year
Text
Tumblr media
“Deux jeunes femmes s’embrassant,” (Two Young Women Kissing) by Louis-Léopold Boilly (ca.1790-1794)
Just gals being pals.
12 notes · View notes
misters-b · 2 years
Text
15.11.2022
Il y a trois jours, on eut un petit échange de messages. Elle me félicita du succès d’un évènement d’affaire et j’en faisais de même pour un tout autre sujet. Je constatais, de sa part, un déluge de mots. Moi, légèrement amoché par les festivités, je me suis contenté de lui répondre succinctement pour d’éviter tout faux pat.
Le jour suivant, je vis le nouveau poste qu’elle avait relayé. Je n’en croyais pas mes yeux. Une suite d’images, quatre images de films qui, mises bout à bout, décrivent une histoire. La première image présente deux jeunes mariés en tenues de cérémonie qui s’embrassent tendrement. La seconde présente un poignard s'enfonçant dans la chaire de l’un des deux personnages. Sur la troisième image, on voit la mariée fixer, sans émotion aucune, l’homme auquel elle venait de porter le coup de grâce. Finalement, sur la quatrième et dernière image, la mariée l’embrasse malgré le sang, malgré tout.
Titre du poste : « La femme qui inventa l’amour ».
Son commentaire : #me and who.
0 notes
sabypoo · 3 years
Text
Bon après ce re visionnage, j’ai pris des notes (ce qui n’est pas commode dans un ciné) sur diverses pensées qui m’ont traversé l’esprit tout le long du film (dans le désordre hein):
- Papenius (je crois) : Le p’tit gamin gauche de la légion. Arthurus a déjà cette tendance à préserver les faibles. Après tout, il prend sous son aile ce compagnon qui n’est clairement pas au même niveau que les autres
- J’aime comment ils ont traité l’annonce du retour d’Arthur avec le personnage de Leodagan. On sent qu’il a cessé d’y croire. Il y a beaucoup d’amertume dans son discours. Mais pas celle de d’habitude. Bien sûr qu’il doit en vouloir au « cornichon pesteux » mais on dirait qu’il a baissé les bras. Et j’trouve ça triste.
- La relation entre Shedda et Furadja : J’la trouve ambigüe. Ok ya le rapport maîtresse/esclave mais…ya autre chose. Pourquoi tant d’animosité ? Parce qu’elle sait qu’elle voit Arthurus ?
- En tout cas tous ces flash back, outre le fait d’expliquer la répulsion d’Arthur de tuer, ça explique peut être en partie aussi le fait qu’il ait progressivement affranchi les esclaves dans Kaamelott.
- Même si Karadoc n’est pas mon personnage préféré (et que par moment, j’ai envie d’lui foutre des claques) bah j’trouve que globalement, il a la classe dans ce volet. Particulièrement au début.
- C’est quand même Wulfstan qui a pitié des pécores et leur présente ses condoléances
- De manière générale, on sent quand même que tous les personnages ont pris du plomb dans l’aile. Même s’ils sont ce qu’ils sont, et qu’ils continuent à nous faire rire, j’trouve qu’on sent vraiment bien qu’ils sont plus matures. Qu’ils ont dû apprendre à se débrouiller sans Arthur, qu’ils en ont chié, mais qu’ils en sont sortis grandis. J’pense au discours de Perceval et Karadoc dans les mines, quand ils expliquent leurs erreurs et leur manière de les corriger.
- Le regard que jette Perceval à Arthur quand il le reconnait dans la cage <3
- Les glandus qui ont mieux compris que leurs chefs qu’il faut absolument faire effondrer les tunnels s’ils ne veulent pas être suivis après leur fuite du cachot xD
- Merlin, il a pas changé xD Mais rien ! Physiquement j’veux dire. Parce qu’il m’a l’air bien plus réfléchi qu’avant par contre.
- Au final, n’importe qui peut rentrer dans les tunnels, personne ne surveille rien lol (la preuve, Kolaig)
- Quand Kolaig parle de Guenièvre comme la femme d’Arthur et que Karadoc s’interpose. Quand Karadoc jette un regard hésitant vers Arthur quand il comprend que finalement, mieux vaut qu’il insiste pas sur le sujet ou alors il peut être la cible de tueurs si d’autres mecs convoitent Guenièvre (bah oui, si le postulat c’est que Genièvre est toujours marié à Karadoc à cause de l’échange d’épouse)
- Les multiples coups d’oeils qu’échangent Arthur et Guenièvre quand ils sont dans la tente Burgonde
- La Tour <3. Et moi j’dis c’est les deux qui s’avancent à la toute fin pour s’embrasser :p
- Le rapport entre Wulfstan et Horsa m’interpelle. Qu’est ce qu’ils sont exactement l’un pour l’autre ? Parents, amants ou juste liés militairement ? J’ai l’impression que c’est plus. Wulfstan est toujours dans l’attente des réactions de Horsa (ok, si c’est son chef sa marche aussi) mais…non, la main sur l’épaule d’Horsa quand ce dernier hésite devant Arthur sur Thanet…Ils ont une relation plus « intime » que simplement du hiérarchique.
- Pis bon, j’les aime bien les saxons. Déjà, ils semblent avoir du respect et de la déférence devant Arthur. Même quand il n’est pas encore annoncé comme vivant. Horsa remet souvent le conseil et Lancelot à leur place. Ils ne paraissent pas ravis des agissements qu’on leur commande. J’ai hâte de voir leur évolution dans l’histoire.
- La nouvelle génération : Je sais que ça a été déjà évoqué, mais après avoir revu certaines scènes, il semble assez évident que c’est la jeune génération qui va compter pour la suite. Déjà, même s’ils sont pas tous fut-fut, ils ont l’air un poil au dessus des anciens niveau réflexion. Peut être parce qu’ils ont connu 10 ans de leur jeunesse sous le joug d’un tyran et ça, ben ça forge le caractère. Je pense que le fait que ce soit Gareth et Meghan qui partent chercher Arthur dans les ruines, que ce soient eux qui le sauvent, que Meghan pense à récupérer Excalibur (alors que Arthur se barre sans même un regard) c’est important. Comme la présence des gamins à la table ronde de Gaune. L’image de Lucan (nouvelle génération de chevalier) et le petit gosse avec son couteau à la fin…c’est eux qui comptent.
- Rostan de Provence <3 (parce que vu d’où je viens, forcément, cet accent c’est ma maison hein ^^)
- D’après moi, les chevaliers de l’ancienne génération, Guenièvre, Merlin, ainsi qu’Arthur, ne sont clairement là que pour donner un élan. Arthur n’est plus Arthur à proprement parlé. Il est devenu un personnage de légende. C’est visible quand Perceval parle « d’époque arthurienne ». D’ailleurs, Elias parle de résurrection également à l’égard de lui et Karadoc. Ou quand les gamines de Karadoc ne se souviennent pas du roi ou de leur vie à Kaamelott. Quand le duc dit que « selon la légende », Arthur aurait cédé le trône à Lancelot. Même s’ils sont toujours là et bien vivants, ils sont plus des symboles que des personnes en chair et en os aux yeux des gens.
- La légende arthurienne : Je pense aussi qu’il y a une plus grande part de bouche à oreille, plus qu’auparavant. Car à cause de Lancelot et du départ du Père Blaise, il a fallu faire vivre l’espoir, sans les écrits. Et Arthur c’est l’espoir. La légende c’est le mode d’emploi pour essayer de sortir de sa condition. Par conséquent, je pense que les prochains films expliqueront comment ce n’est pas Arthur qui sauvera le royaume de Logre, mais comment les jeunes générations vont s’inspirer de lui, de sa légende. Une légende qui au départ a été couchée sur papier par la volonté du Roi, mais que le peuple s’est davantage approprié durant son absence.
Vala vala n__n allez, je file terminer mon histoire parce que bon, hein u_u
35 notes · View notes
thedramaandart · 4 years
Photo
Tumblr media
Louis-Léopold Boilly, Deux jeunes femmes s’embrassant (Two Young Women Kissing), 1790-1794.
15 notes · View notes
alexar60 · 4 years
Text
Discordia dea Venus
Tumblr media
La découverte fit sensation. Elle était allongée sous les fondations d’un temple gallo-romain comme si on avait voulu l’enterrer. Les archéologues ne crurent pas de leurs yeux quand elle apparut encore magnifique presqu’étincelante ; de la taille d’un homme, elle était intacte, aucun morceau de cassé, la chevelure flamboyante, les plis de sa tunique très bien détaillés. Dès qu’elle fut mise à la lumière du jour, la beauté irradia hors de la statue au point de rendre les hommes amoureux. Personne n’osa la laver ou passer un simple chiffon pour nettoyer la terre encore incrustée dans les recoins de la statue. Finalement, après quelques efforts, elle partit pour un musée célèbre.
Les spécialistes annoncèrent qu’il s’agissait d’une représentation de Vénus, la déesse de l’amour, de la séduction et de la beauté. Pour cela, ils n’ont pas cherché bien loin : L’apparence sexy, la poitrine généreuse affichée à peine caché sous un linge transparent laissant apparaitre la pointe de ses seins… les fesses rebondies fermes aussi recouvertes par cette robe trop légère pour cacher la raie. Et cette gestuelle, la marche déterminée, le regard envoutant, le visage assuré et le désir qui appelle du bord des lèvres ! Juste après la trouvaille de ce trésor, un grand historien définit la statue comme un appel à l’amour. Forcément, c’était Venus et personne d’autre !
Quelques jours avant son exposition officielle, les médias s’intéressèrent indirectement à elle. En effet, un garde de nuit fut retrouvé mort à ses pieds. Sa tête était déformée, elle avait été défoncé, réduite en bouilli à coup de barre de fer. L’homme n’avait aucune chance de survivre à une telle violence. On nettoya de nouveau la statue afin de retirer les morceaux d’os et de cervelle qui l’avaient éclaboussée. L’un des employés du musée remarqua que la Vénus souriait plus qu’à son arrivée. On ne retrouva pas l’assassin bien qu’un autre gardien fut suspecté. Puis, vint le grand jour.
Ils étaient nombreux à répondre à l’invitation. L’événement sembla plus important que de monter les marches du festival de Cannes. Ils voulaient tous voir la déesse, ils voulaient tous tomber sous son charme. Pendant une bonne heure de discussions, d’explications, ils attendirent en se moquant royalement de ce qu’est un temple romain et quel rôle cette statue jouait dans le folklore de l’époque. La jetset présente sirotait leur champagne comme du petit lait en baillant sur leur chaise. Puis, le dernier conférencier laissa le pupitre au directeur du musée qui tout fier, demanda au ministre de la culture de couper un cordon tendu devant un rideau rouge. Au moment de sectionner la corde à coup de ciseaux, le rideau s’ouvrit laissant apparaitre la statue toujours rayonnante. Les applaudissements accompagnés d’acclamations retentirent. Les gens s’approchèrent de la statue et des objets exposés découverts sur le même site archéologique. Ils s’épanouissaient dans des faux-semblants d’intérêts pour les trésors pourtant inestimables. Tous, voulurent défier la statue, l’admirer, la toucher si possible. Un artiste contemporain vint avec une bombe de peinture, il voulait la peindre à sa façon. Un autre sortit un canif afin de graver un mot comme faisaient les romains de Pompéi sur les murs. Mais devant la déesse, il pensa à sa fiancée et à la relation qu’elle a entrentenue avec un politicien présent. La colère monta, il hésita entre défigurer l’œuvre et crever les yeux de cet enculé qui se pavanait avec arrogance. La sécurité intervint lorsqu’il bondit sur le député lui tailladant profondément la joue.
Le scandale de cette cérémonie continua avec une jeune femme qui insulta un acteur célèbre allant jusqu’à l’accuser de viol en lui jetant son verre au visage. L’homme fit mine d’être blessé, un de ses proche gifla la féministe. Une bagarre enchaina, elle fut violente, des blessés graves furent transférés à l’hôpital. L’un d’eux décéda pendant la nuit. Le lendemain, une femme de ménage lava le sang coagulé répandu sur le sol, le mur et les artefacts. En posant son éponge sur la robe de la statue, elle ressentit un énorme frisson. Elle crut entendre un rire mais surtout, la déesse semblait sourire plus que d’habitude. Durant les prochains jours, tout redevint normal jusqu’à ce qu’un groupe d’élèves appellent les gardiens à cause de leurs professeurs qui se battaient. Soi-disant que l’un aurait dénoncé l’autre à l’académie pour manquement à son travail. Deux jours plus tard, un couple attira l’attention en s’engueulant publiquement après avoir admiré la statue. Les amoureux étaient entrés main dans la main en s’embrassant, ils ressortirent sans plus jamais se revoir.
Plusieurs autres incidents eurent lieu devant la statue au point de la croire maudite. Surtout que l’anecdote de son sourire affiché après chaque incident fut révélée au public. Afin de rassurer les visiteurs et la protéger des importuns, la statue fut mise sous verre. Une cloche blindée éloigna ainsi les démons qui habitaient la statue. Cela dura plusieurs jours avant qu’un homme ne tente d’étrangler un jeune garçon sans aucune raison alors qu’ils ne se connaissaient pas. Le père du garçon intervint et frappa le crane de l’agresseur à l’aide d’une statuette. Malgré l’alarme, malgré les cris personne ne réagit, ils étaient tous occupés, obnubilés par un détail agaçant de leur vie, une rancœur envers une personne présente pour les uns, un contentieux à régler selon les autres. La salle devint ce jour un lieu de bataille où tous les coups furent permis. Encore une fois, on dénombra des victimes. De plus, la sécurité fut mise à pied, certains agents arrêtés car en entrant dans la salle, ils participèrent à cette violence gratuite. La direction du musée ne sut pas quoi faire, le ministère de la culture s’en mêla en annonçant une réunion d’urgence.
Superstitieux, le ministre demanda l’étude de la statue avec des détecteurs EMF, les fameux compteurs qui grésillent dès qu’un fantôme apparait. Mais cela ne donna rien ni les autres machines à deux balles utilisés dans le but de détecter un esprit. Durant l’étude, il visita le musée avec l’épouse d’un chef d’état étranger en voyage et qui croyait au surnaturel. Elle voulait voir de ses propres yeux la fameuse Vénus de la discorde. La beauté de la statue submergea la femme en tailleur, elle était admirative de cette œuvre magnifique et devina qu’elle n’était vraiment pas commune quand elle aperçut un sourire apparaitre sur le visage en bronze de la statue. Dès lors, le ministre de la culture interpela l’épouse du dirigeant au sujet des droits de l’homme peu respectés dans son pays. Il l’accusa de meurtrière, de complice à un régime autoritaire, il la bouscula et surprenant la délégation présente, il sortit le révolver de l’étui de son garde du corps, puis tira plusieurs fois dans la tête de la pauvre innocente. Le silence régna jusqu’à ce que les autres gardes du corps se tirent dessus jusqu’à s’entretuer. Le sourire immense de la déesse se cacha derrière les traînée de sang venue éclabousser la vitre blindée.
Toutes les excuses ne furent pas suffisantes pour empêcher une nouvelle guerre mondiale. Elle ne dura pas longtemps mais fut catastrophique pour la civilisation. Les survivants durent vivre en acceptant les vagues de nuages irradiés qui traversaient régulièrement les pays. D’ailleurs, de nombreuses zones sur terre devinrent inhabitables. Mais une société nouvelle fit son apparition, une société mondiale basée sur le respect de la terre et des anciennes croyances. L’une d’elle concerna la statue de Vénus apportée dans un temple pour y être adorée. Et quand elle réclamait sa contribution, les hommes organisaient à ce moment, une fête à ses pieds avec un sacrifice humain pour lui montrer leur totale dévotion. A ce moment, la statue sourit, heureuse de voir le sang couler à ses pieds.
Max entra dans le temple avec ses fils pour se prosterner et la saluer. C’était la première fois que son second fils venait la voir. Ils s’agenouillèrent tout en priant la déesse de réaliser leurs vœux. Il avait prévenu ses fils de fermer les yeux et de ne pas la regarder. Mais le petit dernier dit tout-à-coup : « C’est drôle, elle vient de me sourire ». Il n’eut pas le temps de réagir que deux prêtres vinrent et emmenèrent son fils avec eux. Le matin suivant, les médias annoncèrent que le prochain sacrifice aura lieu dans une semaine. Malgré la boule au ventre et les larmes qui montèrent, Max pria pour que son enfant soit béni. Car, grâce à lui, le soleil continuera de briller, la paix règnera et la grande déesse sera comblée.
Alex@r60 – avril 2020
Photo : Bathsheba, sculpture de Benjamin Matthew Victor.
29 notes · View notes
ts2-uglacy · 5 years
Text
Semaine 22 (Partie 1) : Rencontres en centre-ville.
Tumblr media
Avant de commencer, quelques nouvelles de Betty et Boris :
Tumblr media Tumblr media
Betty a elle aussi terminé son parcours universitaire et a choisi Vincent pour sa photo souvenir ! Elle s’est enfin décidé sur lui quand il a fallu choisir un seul homme pour partager sa vie, et les tourtereaux ont emménagé dans une toute petite maison qui leur permettra de confortablement commencer leur vie d’adulte.
Tumblr media Tumblr media
Le parcours universitaire de Boris s’est également bien terminé, et le voilà en photo avec sa toute nouvelle amoureuse, Hélène. Les amoureux ont emménagé dans une maison moyenne, et rêvent tous les deux d’élever des animaux, alors je ne sais pas s’ils auront un jour le temps d’avoir des enfants sans poils.
J’espère qu’on les recroisera de temps en temps, parce-que je me suis quand même un peu attachée à eux, mais ils deviennent désormais des personnages secondaires dans cet Uglacy, et nous nous tournons donc maintenant vers leur sœur Becky, qui vient d’emménager dans la maison familiale avec un premier objectif en tête : changer le look qu’on lui a attribué par défaut !
Tumblr media
La voilà donc en train de payer ses nouveaux vêtements...
Tumblr media
De nouveau un look un peu rock, tout en rouge et noir, pour notre monstresse adorée !
Tumblr media
Au lieu de rentrer à la maison, qui héberge une belle-mère que Becky n’affectionne pas tellement, elle décide de se rendre au centre ville, au Love Motel Gay et Lesbien !
Pour la petite explication, les Love Motels sont deux bâtiments identiques que j’ai créés moi-même. La seule différence entre les deux, c’est que l’un est réservé aux hétéros, et l’autre aux non-hétéro (les bisexuels, eux, peuvent aller sur les deux terrains), ceci grâce au Visitor Controller, un mod qui me permet de décider quel type de personne viendra visiter un terrain.
Dans ces Love Motels, seuls les Sims qui aspirent à la romance ou au plaisir se rendent. Ils sont paramétrés pour qu’aucune jalousie n’y existe, puisque chaque Sims qui y va s’engage à accepter tout ce qui s’y passe sans faire d’esclandre.
Au Rez-de-Chaussée se trouvent un restaurant et un bar avec piste de danse, pour draguer et remplir son estomac.
Les étages sont des chambres au look très spécial, avec des lits en forme de cœur, des papiers peints chargés et des salles de bain attenantes. D’ailleurs, même les fenêtres et les portes sont en forme de cœur ici ! Chacun peut utiliser les chambres à son bon loisir, et concrétiser sa drague dans un espace dédié.
Bref, le lieu idéal pour une Becky !
Tumblr media
À peine arrivée, Becky cherche une proie... Il y a deux adolescentes mais il y a aussi Tifanie, cette brunette au chemisier rose et au bob hawaïen. Inutile, donc, puisque ces deux-là ont déjà concrétisé tout ce qu’elles pouvaient concrétiser.
Cherchons donc une autre cible...
Tumblr media
“Salut poupée, je suis Becky !”
Tumblr media
“Tu sais, je sors tout juste de l’université...”
Tumblr media
“... et j’étais entourée de meufs mais gaulées d’une façon que tu n’imagines même pas !”
Tumblr media
“OOOOOH ! Le paradis, quoi !”
Tumblr media
Et Becky accepte, évidemment ! Mais pour le moment, on se fiche de cette Kristen. Celle qu’on veut, c’est Mélanie.
Tumblr media
Une Mélanie qui craque complètement pour la drôle d’approche de Becky.
Tumblr media
Très rapidement, un entichement vient.
On a donc 18 amours et 29 entichements.
Tumblr media Tumblr media
Mais la drague est très vite interrompue par une envie pressante ! On court donc aux toilettes et quand on revient...
Tumblr media
... Mélanie se trouve à table avec Tifanie ! Ce qui signifie que tant qu’elles n’auront pas fini de manger, aucune interaction n’est possible. Zut...
Tumblr media
Becky s’installe donc elle aussi à table puisque son estomac crie famine.
Tumblr media
En attendant, embrasser sa nouvelle cible lui trotte dans la tête. On ne va donc rien abandonner et retourner à la charge dès que possible !
Tumblr media
“Hey ! Écoute, désolée d’être partie si vite tout à l’heure...”
Tumblr media
“Je t’ai dans la peau et j’aimerais bien un Rendez-Vous en bonne et due forme, si tu le permets !”
Tumblr media
Mélanie accepte et le Rendez-Vous peut commencer !
Tumblr media
Les filles dansent d’abord sagement...
Tumblr media Tumblr media
... puis commencent à se rapprocher.
Tumblr media
Avis à la population ! Quand quelqu’un commence à prendre ce genre de posture quand vous lui parlez, c’est que vous lui plaisez !
Tumblr media
On a rapidement 19 amours et 29 entichements !
Tumblr media Tumblr media
Les filles finissent par s’embrasser langoureusement sur la piste de danse, ce qui vaut à Becky de réaliser son désir d’embrasser langoureusement 20 Simettes ! YES !
Tumblr media
Les voilà donc prêtes à passer aux choses sérieuses.
Tumblr media Tumblr media
Et après ce crac-crac dans une des chambres du Love Motel, le Rendez-Vous prend fin. J’espère juste pour cette Mélanie qu’elle n’attendra pas ce coup de fil trop longtemps. Si elle savait...
Tumblr media
Becky a passé toute la journée au Love Motel et pendant ce temps-là, le jour se lève pour la famille Bucket. Et la meilleure façon de savoir que son couple est solide, c’est de regarder l’autre faire caca tout en l’aimant encore.
Tumblr media
On constate de Florinda a bien peu de compétences... Si elle veut devenir magnat des médias, il va lui en falloir certaines ! Je ne sais pas lesquelles et je n’ai pas envie d’aller voir sur internet, autant le découvrir par soi-même ! Mais j’imagine - peut-être à tort - qu’on devrait miser sur le charisme, la logique et la créativité.
On va donc se concentrer là dessus aussi longtemps qu’elle n’aura pas trouvé de boulot dans sa branche !
Tumblr media
Le couple prend donc son petit déjeuner, préparé par Junior.
Tumblr media
Et la seconde meilleure façon de savoir que son couple est solide, c’est de pouvoir roter à table sans se le faire reprocher.
Tumblr media
D’ailleurs, Bucky a même l’air de trouver ça charmant !
Tumblr media
Bucky, lui, maîtrise les sept compétences. Il va donc passer le temps libre de sa retraite à aider sa bien-aimée à travailler les siennes !
Tumblr media
Le couple passera donc sa journée de façon ennuyeuse, à travailler la logique de Florinda sur l’échiquier.
Tumblr media
Junior, quant à lui, porte toujours ta tenue habillée du mariage. Je trouve que ça lui donne un parfait air de majordome alors on la lui laisse !
Tumblr media
“Oh, Bucky, je suis si contente que Becky ait terminé l’université avec une telle mention !”
Tumblr media
“Ça prouve que tu l’as bien éduquée, bravo !”
Genre ça l’intéresse.
Tumblr media
“Merci ma petite meringue... oh que j’aime toucher tes poils...”
Tumblr media
“Seulement mes poils ?”
Florinda est avenante et bien évidemment, sur ces bonnes paroles...
Tumblr media Tumblr media
... le couple termine sa soirée au lit !
Tumblr media
C’est à ce moment que Becky revient du Love Motel, et traîne devant la maison sans pouvoir se résoudre à y entrer. Elle ne voudrait pas croiser Florinda !
Tumblr media
Ce qu’il faut savoir sur les Rendez-Vous amoureux, c’est que plus ils se passent bien, plus ils remontent les jauges de besoins des Sims impliqués ! Et là, à part une légère faim et une légère transpiration, Becky est en pleine forme ! Elle n’a donc aucune raison de retourner chez elle... et le Love Motel dispose d’un restaurant et de salles de bain. Elle va donc y retourner !
Et cette fois-ci, je vais modifier les options du Visitor Controller afin de bannir les ados. Au début, je me disais qu’ils avaient aussi le droit à un tel endroit, notamment quand je pensais à la Becky ado. Mais finalement, je trouve ça glauque que les ados et les adultes se trouvent à faire des cochonneries au même endroit. Les Love Motels seront donc désormais exclusivement réservés aux adultes ! Ce qui, au passage, fera davantage de proies potentielles pour Becky...
Tumblr media
À peine arrivée au Love Motel, Becky suit une jeune femme jusque dans une chambre...
“Wooohoo ! Quel canon !”
Tumblr media
Apparemment, Becky lui fait de l’effet et elle ne lui reproche donc rien.
Tumblr media
“Je t’ai vue dans la rue, et quand j’ai constaté que tu venais ici, je me suis sentie obligée de te suivre, je voulais tant te parler...”
“Mais Becky, on est déjà amies !”
Ah, oui. Le panneau des relations indique que les deux jeunes filles se connaissent déjà. Et pourtant je ne sais pas du tout qui c’est, avec toutes les conquêtes que Becky a eues !
Tumblr media
Soit. L’amitié évolue donc très très vite.
On a donc 19 amours et 30 entichements ! Donc à moins que mes calculs soient erronés, c’est bien de l’amour qu’il faut pour le désir de Becky. Ça va être très difficile !
Tumblr media Tumblr media
Vient l’amour, du côté de cette jeune blonde, mais pas du côté de Becky.
À vrai dire, je crois que je vais recompter les cœurs sur le panneau des relations quand Becky rentrera à la maison, parce-que je crois que je me suis un peu perdue en chemin.
Pendant ce temps, dans la chambre d’à côté :
Tumblr media
Retournons à Becky.
Tumblr media
C’est ce que j’appelle des préliminaires !
Tumblr media
Mais à peine laisse-je Becky prendre seule des décisions le temps de me rouler une cigarette (faites pas ça chez vous, fumer c’est mal et commencer est l’un des plus grands regrets de ma vie) qu’elle abandonne la jeune blonde pour retrouver Tifanie dans un lit !
Tumblr media
“On vient de coucher ensemble mais j’ai envie de te proposer un rancard avec quelqu’un que je connais”
Évidemment qu’on accepte !
Tumblr media
Et voici donc l’amiE en question qui se téléporte immédiatement dans la chambre ! Une femme mûre, ça sera bien une première pour Becky.
Tumblr media
“Toi, moi, un Rendez-Vous ?”
Tumblr media
C’est donc parti pour un rencard ! J’adore les rencards !
Tumblr media
Becky commence son blabla comme d’habitude et déjà...
Tumblr media
Si vite !
Et pour cause ! Je constate que les deux femmes se connaissaient déjà et étaient déjà amies ! Il s’agit d’une professeure de l’Université ! Ah mais j’adore !
Tumblr media
Tout va donc très vite et...
Tumblr media
Et la professeure est vierge ! Elle veut que sa première fois soit avec Becky, et vu l’expérience qu’elle a accumulée, je comprends ce choix. Surtout qu’à son âge, il serait temps !
Tumblr media
Autre fait incroyable, l’alchimie entre les deux est extrêmement forte et dépasse même celle avec Georgette, la touriste rencontrée en vacances. Becky a probablement trouvé son âme sœur, si une telle chose existe.
Tumblr media
L’amour vient lui aussi très vite et de ce fait...
Tumblr media
... on rejoint le lit !
Tumblr media Tumblr media
Hip hip hip pour la prof Aurore qui vient de se faire dépuceler dans une chambre de motel avec un lit qui n’a pas vu ses draps changés alors que deux couples viennent déjà d’y faire des galipettes.
Tumblr media
Le Rendez-Vous est un franc succès et pour une fois, il se peut que Becky rappelle... enfin, dès qu’elle aura atteint les trente liaisons amoureuses simultanées.
Tumblr media
Après tout ça, Becky meurt de faim et va donc dans sa tenue la plus affriolante commander une omelette norvégienne.
Tumblr media
“C’est pas trop dur de bosser ici ? Je veux dire, vous êtes coincés au Rez-de-chaussée et il y a aucune fenêtre !”
Tiens, Becky qui s’intéresse aux sentiments de quelqu’un d’autre, c’est nouveau.
Tumblr media Tumblr media
Alors qu’après son repas, Becky retrouve la jeune blonde de tout à l’heure, un joli bug nous montre une scène tout à fait rocambolesque.
Tumblr media
Et pendant ce temps, Prof Aurore traîne elle aussi en sous-vêtements près de la piste de danse.
Après avoir fait le tour de l’endroit, Becky ne trouve plus de nouvelle cible. Il y en a bien une que j’ai vue plus tôt, une blonde avec des mèches roses, mais à ce moment précis elle ne se trouve plus sur le terrain. Il faut croire que les lesbiennes qui aspirent au plaisir ou à la romance sont une denrée rare...
Il est donc temps pour Becky de rentrer chez elle et d’affronter sa belle mère. Après tout, elle a aussi le droit de vivre dans cette maison...
Tumblr media
Alors que Becky est au Love Motel, c’est encore une journée des plus ennuyeuses qui s’annonce à la maison familiale. Le couple continue donc de jouer aux échecs pour améliorer la logique de Florinda.
Tumblr media
Mais voilà qu’à même pas 16h, elle tombe de fatigue !
Elle va donc se coucher et Bucky doit faire face à la solitude en plein après-midi.
Tumblr media
Il passe alors le temps dans l’electro-sphère.
Charlotte passait beaucoup de temps dans l’electro-sphère.
Charlotte nous manque à tous.
Tumblr media
“Fiou fiou ! Je sais me battre !”
Tumblr media
“Si cette enquiquineuse de Becky vient me chercher je saurai la remettre à sa place.”
Ah bah VOILÀ ! Le vrai visage de Florinda !
Enfin... celui que je m’imagine, puisque Florinda est en réalité...
Tumblr media
... vraiment très gentille.
Disons alors qu’elle a bien cerné la personnalité de Becky et qu’elle se prépare au pire. Juste au cas où.
Tumblr media
Alors que Junior prépare des hamburgers, Florinda, à peine levée, se jette sur le frigo.
Attendez.
Besoin de dormir à outrance, petit creux à combler dans le frigo... Aurais-je raté un petit son bien spécifique ?
Tumblr media
ET OUI ! Florinda est enceinte et je n’ai même pas fait attention !
Je suis un peu confuse.
En fait, c’était assez prévisible, parce-qu’avec l’ACR (il s’agit d’un mod qui revoit toute la façon dont fonctionnent les relations amoureuses et d’autres trucs), il arrive souvent que des Sims fassent des bébés par eux-même.
MAIS.
Mais j’ai la crainte que le bébé soit moche. Un comble pour un Uglacy dont le but est d’avoir les Sims les moins beaux possible.
Seulement voilà : si le bébé est moche (en tous cas, plus moche que Becky), il est donc censé devenir l’héritier de la famille. Mais je me suis tellement attachée à Becky et je me suis tellement investie dans son histoire que ça m’effraie un peu. Et puis je dirais qu’il s’agit de quoi ? La génération 2-bis ?
D’un autre côté, j’ai été déçue que les enfants de Bucky soient plutôt normaux, et je rêve d’un enfant avec sa mâchoire énorme et son nez riquiqui et tout bossu. Ce bébé pourrait peut-être m’apporter ça, qui sait ?
Mes sentiments sont donc assez mitigés, et je crains de ne pas parvenir à me décider.
Mais revenons à nos moutons Sims.
Tumblr media
“Mon petit sucre d’orge, j’ai pensé à faire sculpter une statue de toi à mettre dans le jardin. Tu es tellement belle que ça ne pourrait qu’être une merveilleuse œuvre d’art, tu ne crois pas ?”
Tumblr media
“Euh, oui, mais il va falloir faire très vite, parce-que j’aurais bientôt perdu ma taille de guêpe. Mon corps va radicalement changer, mon amour ! J’attends un bébé !”
Tumblr media
“Quoi ?”
Tumblr media
“Je vais être encore papa ?”
Tumblr media
“Bah, on en avait jamais parlé, mais...”
Tumblr media
“... je pensais que c’était clair qu’on ne devait pas faire d’enfant !”
Tumblr media
“Tu as vu l’âge que j’ai ? Je ne le verrai même pas grandir ! Et que dire de lui, qui ne me connaîtra probablement jamais ? Ou si jeune qu’il ne s’en souviendra même pas ?”
Sages paroles, Bucky.
Tumblr media
“C’est vrai... je n’y avais pas pensé...”
Tumblr media
“Mais n’as-tu pas les moyens de t’offrir de la potion de vie ? Tu resterais ainsi plus longtemps auprès de lui, et auprès de moi...”
Excellent argument, Florinda.
Tumblr media
“Euh...”
Tumblr media
“Je n’y avais jamais pensé ! Quelle excellente idée !”
Et ainsi Bucky accepta l’idée d’un quatrième enfant.
Maintenant qu’un bébé est en route, il faut penser à la suite.
La maison dispose que quatre chambres : une parentale, une pour Becky, une pour Boris, et une pour Betty. Les chambres sont toutes déjà meublées, même celles des enfants qui ne vivent pas ici et je n’ai pas encore le courage de vendre leurs meubles. Ça serait l’ultime au revoir et je n’y suis pas encore préparée.
Il faut donc un espace pour la nurserie, et comme vous pouvez le voir :
Tumblr media
Tout en haut à droite, se trouve une pièce attenante à la chambre parentale, qui sert de fourre-tout : l’ordinateur (qui peut facilement être placé ailleurs), et les établis divers que Bucky et Charlotte ont eu envie d’acheter au cours de leur vie (et qui ont permis d’avoir Junior, ainsi que les dizaines de Gueule-de-loup qui favorisent la bonne ambiance dans la maison).
Je vais donc transformer cette pièce en nurserie, et puisque le terrain est grand, il y a de la place pour construire un autre bâtiment, type grange ou garage sans voiture, dans lequel tous les trucs rarement utilisés pourraient être entreposés. On pourrait aussi y mettre des instruments de musique pour peut-être monter un groupe et y répéter !
Je suis donc partie pour un peu de construction ! L’objectif sera de faire un truc assez grand mais qui ne détonne pas avec l’architecture de la maison.
*construit une dépendance*
Tumblr media Tumblr media
Et voilà ! La dépendance ressemble à la maison principale, et elle est très grande ! On pourrait presque en faire une deuxième maison pour Becky... Faudrait que j’y réfléchisse...
L’intérieur n’est pas encore fait : pas de papier peint, pas de murs qui délimitent différentes pièces, pas de mobilier. Mais il ne reste plus que 1000$ à la famille, alors ça attendra ! Et puis ça manque cruellement de plantes extérieures, d’arbres, de buissons... Mais une chose à la fois. On ne peut pas déjà TOUT avoir à peine la génération 2 commencée.
Maintenant, il est temps de recompter les entichements et les amours de Becky !
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
On a donc 30 entichements et 21 amours. Mais j’ai un doute sur la toute dernière, qui de mémoire a surpris Becky en pleine parade avec une autre. S’il faut que l’amour soit réciproque, elle ne compte pas.
Tellement de “si”.
Il faudrait d’ailleurs que Becky passe quelques coups de fil pour remonter la barre de relation bien au dessus de 70 dans certains cas. Ce sera donc l’objectif de sa prochaine journée !
Tumblr media
“Ah ! Te voilà ! Ça fait des jours que je te cherche. Écoute. Je voulais juste te dire que j’ai bien ressenti que tu ne m’aimais pas beaucoup. Mais je voulais t’assurer que j’aime sincèrement ton père et que je ne suis pas là pour son argent. Juste au cas où ça te serait passé par la tête.”
Tumblr media
“Vraiment ? Parce-que tu crois que c’est ça mon plus gros soucis avec toi ?”
Tumblr media
“Qu’est-ce que ça pourrait être d’autre ?”
Tumblr media
“D’une, tu te pointes super vite après la mort de maman. Ensuite... Mais on a le même âge ! Tu pourrais être la fille de papa ! C’est super bizarre ! Et toi tu fais genre la meuf adulte, au niveau d’une mère et tout, mais je ne suis pas ta fille. Pas même adoptive. Je suis ton égale. Je suis même peut-être supérieure à toi parce-que MOI j’ai un diplôme universitaire.”
Tumblr media
“Je vois... Et que pourrais-je faire pour arranger tout ça ?”
Tumblr media
“Disparaître.”
Tumblr media
“Je suis désolée, mais ça, ça n’est désormais plus possible...”
Tumblr media
“Et pourquoi ?”
Tumblr media
“Tu vas avoir un petit frère ! Ou une petite sœur.”
Tumblr media
“C’est officiel. Je te hais.”
Tumblr media
“Tu as parfaitement su placer tes pions. Ah ça, bravo ! Maintenant, par respect pour mon père, je ne peux plus rien faire pour te dégager de MA famille !”
Tumblr media
“Si tu ne portais pas son enfant, je te giflerais !”
Becky est super remontée.
Sans blague.
Tumblr media
“Calme-toi, calme-toi Florinda, elle ne sait pas ce qu’elle dit, elle est juste en colère... oh et puis zut, moi aussi !”
Tumblr media
“Tu sais quoi ? Va te faire voir ! Je suis mariée à ton père et nous allons avoir un bébé ! Que tu le veuilles ou non, je fais désormais partie de cette famille ! Si tu n’es pas contente, va t-en ! Mon enfant pourra très bien prendre ta place en tant qu’héritier de ton père. Et que vas-tu faire ?”
Tumblr media
“Il est bien beau ton diplôme universitaire, mais tu ne cherches même pas de travail ! Tu es bien trop occupée à traîner dans ce taudis libertin avec tous ces détraqués sexuels. Comment tu vas continuer ta vie de débauchée si tu n’as plus de toit sur la tête, hein ?”
Tumblr media
“C’est bien ce que je pensais. Tu tiens bien trop à ton petit confort de vie pour aller au bout de tes convictions me concernant. Sur ce, je rejoins ton père au lit. Et tu sais quoi ? On va s’envoyer en l’air nous aussi.”
Ainsi soit-il. Les filles se quittent donc sur cette mémorable dispute.
Tumblr media
“Oh, Junior, je la déteste tellement que ça en est douloureux...”
Tumblr media
“Si je puis me permettre, Madame, vous devriez essayer de lui donner une chance. Après tout, vous avez au moins un point commun.”
Tumblr media
“Ah bon ? Et lequel ?”
Tumblr media
“Vous aimez toutes les deux profondément la même personne.”
Tumblr media
Et c’est l’une des rares fois où Becky reste bouche bée.
Pendant ce temps, dehors.
Tumblr media Tumblr media
Parfait. La revendre renflouera les caisses.
Le lendemain.
Tumblr media
“Salut. Déjà, je voulais te remercier pour ton cadeau. Et puis, j’aurais aussi besoin d’une amie, là maintenant. Tu voudrais pas venir ? On profiterait de la plage. Il fait beau.”
Un peu plus tard.
Tumblr media
“Alors, c’est quoi l’ombre au tableau ?”
Tumblr media
“Ma belle-mère. Pour faire simple, mon père l’a rencontrée juste après le décès de ma mère. Ils se sont mariés très vite. Elle a mon âge et attend un enfant, maintenant. C’est comme si... elle avait fait disparaître toute trace de ma mère, tu vois.”
Tumblr media
“Alors si je comprends bien, tu as deux options. Tu peux accepter la situation. Tu n’es pas obligée d’aimer ta belle-mère, mais tu peux essayer de la respecter parce-que ton père l’a choisie. Ou au moins, la tolérer. L’enfant qu’elle porte aura la moitié de ton sang dans ses veines, il sera ta famille. Et pour lui, ta belle-mère sera aussi sa famille : elle sera sa mère. Il l’aimera comme toi tu aimais ta propre mère.”
Tumblr media
“Ton autre choix, c’est de ne pas accepter la situation, et de te couper toi-même d’une partie de ta famille. Mais si c’était ce que tu voulais, tu ne serais pas en train de t’interroger.”
Tumblr media
“Mais c’est ça le problème ! Ce que tu dis est parfaitement logique ! Mais malgré tout, je n’arrive à me résoudre à aucune des deux options.”
Tumblr media
“Laisse le temps faire. Le choix te parviendra clair après un certain temps."
Sur ces bonnes paroles, Prof Aurore laisse Becky à sa réflexion.
Tumblr media
Et comme elle l’avait prévu, Becky appelle ses amantes les unes après les autres afin de ne pas laisser leurs barres de relation baisser de trop à base de “oui, tu me manques aussi, mais non, on ne peut pas se voir pour le moment *insérez excuse bidon*”
Tumblr media Tumblr media
De son côté, Bucky termine l’élixir de vie laissé par Charlotte.
Tumblr media
Il gagne six jours de vie !
Tumblr media
Quant au reste de la journée pour Bucky et son épouse, c’est ENCORE du travail de logique.
Tumblr media
Comme on peut le voir, Betty n’a toujours pas récupéré son chaudron et son grimoire alors qu’elle pourrait en avoir besoin !
Junior va donc se charger de les lui restituer.
Tumblr media Tumblr media
“Tenez, Madame.”
Tumblr media
“Oh ! Une cafetière Senseo mon chaudron et mon grimoire !”
Tumblr media
Les deux sœurs mangent avec Florinda mais ne se parlent qu’entre elles...
Tumblr media
... et on ressent le froid entre ces deux-là.
Tumblr media
“Tu devrais moins manger, tu commences à ressembler à un sumo.”
Cette remarque grossophobe vous a été fournie par Becky.
Tumblr media
“M’enfin, je suis enceinte ! Heureusement que je grossis !”
Pendant ce temps, en bas.
Tumblr media Tumblr media
“Je pourrais profiter de fait qu’ils soient tous occupés pour leur voler un peu d’argent.”
Tumblr media
“Mouahahah je suis machiavélique.”
Tumblr media
“Alors comme ça, tu veux me voler un peu d’argent ?”
Ah bah si nous on voit les pensées de Betty, pourquoi pas lui ? Mais en bon papa, Bucky n’en tient pas rigueur à sa fille. Il la connaît et n’est donc pas surpris.
Tumblr media
Concernant Becky, en pleine forme en cette fin de journée, la voilà repartie au Love Motel, et sans que je ne m’en mêle, elle est immédiatement allée au lit avec Tifanie !
Tumblr media
Elle croise finalement la dernière proie qu’elle puisse trouver sur place et va la saluer.
Tumblr media
C’est bien-sûr le moment que choisissent les employés du motel pour venir...
Tumblr media
... faire le lit.
Tumblr media
Mais à peine la discussion est engagée que notre cible... s’en va !
Tumblr media
Qu’à cela ne tienne ! Becky trouve refuge dans les bras d’une ancienne conquête !
Tumblr media
Notre cible revient peu de temps après et signale à Becky qu’elle la désire.
Tumblr media
“Je te veux TOI.”
Pendant ce temps, dans la chambre d’à côté...
Tumblr media
Agrougrou.
Tumblr media Tumblr media
Les filles s’entichent très vite l’une de l’autre !
Tumblr media
Fais gaffe Becky, je crois que sa tête est entrée dans le mur.
La relation ne décolle cependant pas plus haut, alors retour à la maison !
Tumblr media
Et à la maison, Florinda parle jouets pour bébé à Betty.
Tumblr media
“Tu sais que tu pourrais les fabriquer toi-même ? On a un établi à jouets ! Papa en a fait quelques-uns fût un temps, il pourrait te montrer !”
Tumblr media
“Mais oui ! Très bonne idée !”
Tumblr media
“Au fait, merci de m’accepter.”
“De rien. Et fais-nous un garçon, histoire qu’il y ait une parité !”
Betty, contrairement à sa sœur, accepte sa belle-mère sans rechigner.
La semaine n’est pas terminée ! Mais il semblerait que j’ai atteint le nombre maximum d’images autorisées dans un billet, alors... J’ai effacé la suite pour la mettre dans une seconde partie.
Dans la mesure où je n’ai pas terminé de jouer la semaine, j’ai essayé de couper à peu près au milieu, mais il est possible que la partie 2 ne soit pas d’une longueur équivalente à celle-ci. Qu’importe ! Elle viendra prochainement...
Becky acceptera t-elle sa belle-mère ? Atteindra t-elle déjà son objectif de 30 liaisons amoureuses ? À quoi ressemblera le bébé ? Affaire à suivre... En attendant, portez-vous bien !
11 notes · View notes
Text
Préquel - Selim & Myriam (2)
Une autre préquel sur ces deux petits loulous. Elle se déroule durant leur relation, au mois de janvier. 
(si vous avez un doute sur quoi que ce soit, n’hésitez surtout pas à aller regarder dans les pages Personnages & Relations qui sont là pour ça).
youtube
TW : SEXE / ados stupides qui vont se baigner en hiver
Ils étaient revenus sur le quai de leur premier baiser. Pour fumer un peu, pour parler, pour s’embrasser. Myriam n’avait pas encore rencontré Dan, et tout allait bien. Il faisait froid, c’était en janvier, et il était minuit. Et Selim avait une idée idiote. Il voulait se baigner. 
Il était descendu sur la plage, pieds nus, ses chaussettes restées dans ses chaussures, elles mêmes sur la digue. Myriam finissait de fumer sa cigarette, seul point rouge dans la nuit qui les entourait. Quelle idée à la con, pensait-elle. Il faisait déjà assez froid. Selim n’était pas trop du genre frileux, mais tout le monde avait ses limites. Elle s’amusait intérieurement, se disant qu’il n’enlèverait surement rien d’autre que ses godasses, quand elle le vit retirer sa chemise. Elle ne l’avait jamais vue torse nu. Ils étaient deux petits ados et s’étaient mis ensembles un peu à tâtons, par hasard un peu plus tôt dans l’année. La météo n’avait pas vraiment été propice à ça. Myriam était bêtement un peu intimidée. Selim n’était pas vraiment son genre, mais le trouvais mignon quand même. Et attirant, d’un côté. Elle avait du mal à comprendre tous ses sentiments et hormones adolescentes, mais… Myriam bloqua. Selim venait de retirer son caleçon, sexe à l’air et souriait comme un con. Elle était clairement en train de paniquer.  
Merde, il avait peut être été trop loin. Quand il vit la tête de Myriam se décomposer devant sa nudité, Selim se sentit extrêmement coupable. Est ce qu’il venait de faire une connerie, une putain de grosse connerie ? Sa petite amie écrasa calmement sa cigarette contre le béton et se leva. Méthodiquement, elle retira son foulard élimé mauve, puis ses bagues en argent. Est ce qu’elle allait le suivre, en fait ? Non, elle ne se mettrait jamais complètement à poil sur cette plage. Myriam était une petite bourg. Une petite bourg rebelle, mais… La voir retirer son pull en laine le sortit de ses pensées. Elle était en soutien gorge en dentelle noir, très joli. Très cher surement. Qu’elle dégrafait. Selim était clairement en train de paniquer à son tour. Quand il vit sa petite poitrine tombante et blanche nue, il resta bloqué dessus un instant avant d’essayer de se ressaisir. 
“Tu… vas le faire aussi ?”
Myriam lui avait lancé un regard un peu froid, mais défiant. 
“Si tu es capable de le faire, je vois pas pourquoi pas moi.”
Quelle tête de mule. Enfin, ça se défendait. Même si la chair de poule qui parsemait la peau pâle de la jeune femme était aussi là pour démontrer le contraire. Même si elle était déjà en train d’enlever sa culotte. Merde. Si il avait une érection maintenant, ça allait carrément se voir. C’était un peu idiot d’y penser maintenant, car c’était trop tard. 
Myriam s’approcha se Selim, plus intimidée par sa propre nudité que par le fait que son copain commençait à avoir la gaule. Elle évitait de regarder sa queue, même si c’était tentant, et essaya de trouver ça flatteur. La situation était vraiment trop étrange. Elle lui pris la main et lui sourit. 
“Alors, on y va ?”
Selim attrapa la sienne et acquiesça. 
Deux minutes trente plus tard, les deux couillons sortirent de l’océan, complètement gelés et persuadés d’avoir chopé une pneumonie. Myriam maudissait Selim intérieurement, et Selim pestait sur le fait qu’il avait froid aux couilles. La faute à qui ? Qui avait eut cette merveilleuse idée ? Ils coururent encore trempés pour réenfiler son pull pour Myriam et un gros sweat pour son partenaire, et se pressèrent de rentrer, le reste de leur vêtements à la main, chez Selim. 
“T’inquiètes, mes parents sont chez des potes cette nuit”. 
Qu’est ce que ça voulait dire ? Est ce que Selim avait une idée en tête ? Et si c’était le cas, est ce qu’elle en avait envie ? Elle se passait en boucles les derniers moments, et se reposait les mêmes questions, alors que Selim était parti chercher des serviettes pour qu’ils se réchauffent. Ses parents avait un poêle à bois, dont les charbons rougeoyaient encore. Dans son pull informe en laine trempée, Myriam fixait mécaniquement le feu en attendant. Elle vit Selim approcher, serviette accrochée à la taille, et en train de tenter de sécher ses cheveux. Il lui tendit une serviette grise en souriant. Elle ne souriait pas du tout. 
“Je sais pas si j’ai envie de coucher avec toi maintenant, ok ?”
Elle lui avait craché ces mots au visage avec froideur. 
Selim n’avait rien dit et avait juste fixé Myriam avec des yeux ronds. Le regard accusateur de cette dernière le transperçait. Comment elle pouvait penser que… Merde, il avait pas envie qu’elle se sente forcée ou quoi, il y avait même pas vraiment pensé. Enfin si, un peu, mais si ça venait… naturellement. Il était con. Ça ne venait jamais naturellement. Il fallait qu’ils communiquent. Mais tout ce qu’il réussit à faire fut de continuer à regarder sa petite amie avec des yeux de merlan frit. Il vit le regard Myriam passer de glacial à troublé puis à une honte non dissimulée.
Elle commença à se lever du canapé, comprenant que Selim n’avait pas eut les intentions qu’elle lui prêtait. Quelle conne, quelle conne. Elle avait envie de pleurer. Pourquoi elle interprétait les choses de travers comme ça ? Elle avait envie de se foutre des baffes. Elle était tellement gênée qu’il fallait clairement mieux qu’elle parte. Merde, merde, merde. Elle avança à grands pas vers la porte, sentant son cœur tambouriner dans sa cage thoracique. Elle allait attraper la poignée quand la main de Selim prit son bras gauche.
“Je suis désolé, attends s’il te plait !, avait-il gueulé, Je voulais pas que tu penses ça, excuses moi si j’ai laissé sous entendre quoi que ce soit. On fait comme tu veux, ok ? Je m’en fout, je voulais pas…”
Sa voix s’était perdue. Merde. Il se sentait coupable, maintenant, et c’était sa faute à elle. Il était chou à être tout gêné, comme ça. Elle sentit la poigne de sa main. Il serrait fort, ce con, ça lui faisait mal.
“Euh… T’inquiètes… Tu peux juste me lâcher ? Tu me broies un peu le bras.”
Selim laissa tomber son bras comme si il avait été brûlant, se confondant en excuses. C’était troublant de le voir comme ça. Il passait son temps à troller tout le monde, mais il y en avait des choses à dire sur lui, pensa silencieusement Myriam. C’était drôle. Cette expression de gêne lui donna envie de l’embrasser. Elle s’approcha, leur corps se collant doucement, et attrapa la nuque de Selim pour poser ses lèvres sur les siennes. C’était doux. Il avait un peu le goût de l’eau de mer à cause de tout à l’heure. Elle ferma les yeux et laissa ses mains descendre sur les hanches de Selim. Il avait la peau douce, même si le sel marin collé était un peu rugueux.
“Euh… Tu te sens pas obligée, hein ?” avait soufflé Selim.
Non. Elle avait envie. Elle avait d’autant plus envie qu’il demandait.
“T’inquiètes, je te dirais si je veux qu’on arrêtes. Ou si y’a un truc qui me va pas.”
Selim acquiesça.
“On devrait peut être pas rester dans l’entrée.”
C’est vrai qu’il y avait plus sexy.
Emmitouflés tous deux dans le plaid miteux sur le canapé du salon, Selim et Myriam étaient aussi secs que nus. Il l’embrassait dans le cou, caressant ses petits seins du bout des doigts, maladroitement. La lumière du feu rougeoyait sur la peau pâle de la jeune femme, et Selim y faisait danser ses lèvres doucement. Elle était vraiment jolie dénudée. Les longs doigts maigre de Myriam s’emmêlaient dans les cheveux de son petit ami. Il aimait sentir ses mains froides contre son corps. C’était doux. Doux et malhabile. Alors qu’il caressait ses hanches et ses cuisses, sa main s’approcha de son sexe.
“Est ce que tu voudrais que…”
Myriam hocha silencieusement la tête. Il embrassa sa fine bouche tandis qu’il commençait à caresser ses lèvres du dessous. Ses mouvements étaient maladroits, mais la nouveauté de l’expérience semblait déjà bien assez troubler sa partenaire.
“Tu as une capote ?”
Selim ne s’attendait pas à ça. Elle voulait déjà aller plus loin ? Il devait super mal le faire, merde. Elle se faisait peut être chier…
“Euh, oui, y’en a dans ma chambre.
Tu penses que tu peux en prendre une… au cas où ?”
Selim acquiesça et monta rapidement, pour redescendre tout aussi vite, préservatif à la main.
“Tu… tu te fais pas chier ? Enfin, si c’est nul tu peux me di…
Si j’ai envie qu’on continue, c’est que c’est pas mal, marmonna Myriam. Par contre je veux bien que tu reviennes, je caille.”
L’adolescent sourit un peu et décida de la boucler, et de se réinstaller contre sa partenaire.
Il souriait comme un sale gosse. Ça agaçait autant Myriam qu’elle trouvait ça mignon. Depuis qu’elle avait admis que… Oui, c’était agréable. Évidemment, elle l’avait déjà fait, et connaissant son corps, elle connaissait mieux son plaisir mais… C’était différent. Il était tremblant, un peu maladroit, mais sentir ses doigts fins était quelque chose de nouveau. Nouveau et troublant. Alors qu’elle caressait le visage de Selim d’une main, elle tripotait nerveusement le plaid de l’autre. Merde, c’était bon. Leurs lèvres s'entrechoquaient avec douceur et ne se séparèrent que lorsque Selim mit finalement le préservatif, avec l’accord de sa partenaire. Elle se sentait prête.
Selim était plus que gêné. La première tentative avait été stoppée par la panique. La seconde, son gland avait à peine entré. La troisième, dans une nouvelle position, avait été stoppée à l’instant où Myriam avait eut mal. La quatrième fois n’avait clairement pas réussit à juste rentrer. Et là, il venait de débander. Il s’astiquait le manche avec un air contrarié, les doigts pleins de lubrifiant et glissant sur le préservatif. C’était pitoyable. Et il était super gêné. Ca avait si bien commencé. Il n’allait pas sortir le cliché “Je comprends pas, ça arrives pas d’habitude.” Il n’y avait pas de d’habitude. C’était aussi pour ça, et il le savait, mais bêtement, on se croit toujours plus malin que les autres. Myriam lui sourit et pris son bras.
“T’embêtes pas. C’était déjà bien.”
Son sourire. Merde. Elle avait cette manière de sourire, un peu pincée, et son regard un peu sévère. Elle avait toujours l’air un peu contrariée ou froide, mais quand il regardait bien, il y avait une vraie douceur. Des sourires comme ça, elle n’en faisait pas tous les quatre matins. Il avait l’impression que c’était spécial. Elle lui donnait l’impression d’être spécial. Il n’avait jamais crut qu’elle pourrait s’intéresser à lui comme ça. C’était troublant, mais tellement bien. Il l’aimait, et à chaque fois qu’elle souriait comme ça, c’est comme si il le redécouvrait. C’était terrifiant, mais tellement bon. Il retira le préservatif, s’essuya les mains et se lova contre le corps nu de sa petite amie. Le nez dans ses cheveux rêches, il fermait les yeux, se laissant enivrer par l’odeur de son corps, des effluves marines, du feu de bois et des clopes. Il était si bien. Si seulement ça pouvait durer toujours. 
2 notes · View notes
Text
L’histoire sans fin...ou presque **1ère Partie**
Un sacré prénom, pour un sacré mec. Louis-José, 1m85, regard vert émeraude, la peau laiteuse et un sens de l’humour qui me fait chavirer. Ce chapitre me tient à cœur, puisque LJ n’est pas une petite histoire à la sauvette. Il y a un passé, un présent et un futur avec lui. C’est un de mes proches, et ma plus vieille amitié ‘’homme-femme’’ à l’heure actuelle qui demeure et cela depuis plus d’une décennie.
On s’est connu dans la cour d'un Lycée de Bourges, centre France, notre ville d’origine. J’étais venue chercher une de mes amies de l’époque ce jour-là. Je ne faisais pas partie de cet établissement, mais c’était courant pour moi de traîner aux alentours de celui-ci en fin de journée avec mon amie et ses copines.
Adolescente, j’étais déjà du genre à fréquenter des cercles de gens différents. C’était peut-être mon côté caméléon – double personnalité qui voulait cela : mon signe astrologique est Gémeaux : tu ne crois pas à l’horoscope? C’est bien dommage, moi j’adore toutes ces conneries.
Louis-José fréquentait ce lycée, mais vivait proche du quartier ou se trouvait le mien, et de ce fait ses amis étaient mes amis, et ‘’Malek’’, mon premier grand amour, en faisait partie : Vois-tu la complexité de ce chapitre hein ? Ressens-tu la proximité des gens en campagne ? Incognito est un mot imaginaire dans le lexique berruyer : non les habitants de Bourges ne sont pas des ‘’Bourgeois’, update ton lexique … Pour faire simple et concis : en campagne ‘’Tout le monde connait tout le monde’’.
Après le lycée, le baccalauréat en poche, j’entamai mon cursus d’études supérieures et à ma grande surprise, retrouvai LJ dans ma classe. Pendant deux ans, il fut mon acolyte, on était assis l’un à côté de l’autre 8 heures par jour, 5 jours sur 7, aucune ambiguïté puisque lui et moi étions ‘’en couple’’ pendant pratiquement tout ce cursus, jusqu’au 2 derniers mois… J’avoue, au grand jour aujourd’hui par écrit, noir sur blanc : LJ si tu lis ces lignes j’entrevois ta face se décomposer… j’ai toujours eu un méchant faible pour toi. Lorsque j’étais aveuglée par l’amour envers Malek, j’avais eu le coup de foudre amical : LJ me faisait rire, me réconfortait, m’écoutait, me vannait, me taquinait, c’était simple et sain malgré ses blagues du genre ‘’Tires sur mon doigt’’.
 Non LJ, ne nie pas, c’est l’une de tes blagues favorites !
Quand je me suis retrouvée célibataire, ma vision a changé. Je n’avais clairement plus le bandeau aveuglant sur mes yeux, donc j’ai enfin pu entrevoir LJ sous un angle différent. Il me devenait attirant, beau garçon attractif et restait toujours aussi drôle.
Ma mission séduction n’a pas été des plus simples, croyez-moi. On partait de loin. LJ me connaissait depuis presque 4 ans, sous la forme d’une amoureuse transie,presque ‘’gouroutisée’’ par Malek pour lequel je ne vivais, ne mangeais, ne buvais et ne jurais que par lui durant cette période. Pour LJ, je n’étais clairement pas ‘’une option’’. Je restais l’ex de son pote. Dans les amitiés de mec de quartiers, apparemment c’est sacré…connerie pour beaucoup d’entre eux mais LJ est l’un des rares qui était et reste loyal. J’allais donc devoir user de toutes les ressources qui s’offriraient à moi pour convaincre et ‘’conclure’’ le deal.
Heureusement, j’avais la carte hormonale en joker.
** À 20 ans, la loyauté a ses limites **, enfin c’est ce que je pensais à l’époque. Du plus loin que je me rappelle, LJ demeure le premier mec qui a fait sortir ‘’la chasseuse’’ qui sommeillait en moi. La plupart des relations que j’avais eues avant, me sont arrivées toute crue dans la bouche, et je ne cherche aucunement à faire un vilain jeu de mots. Tu vois le genre ? En gros, je me faisais draguer, je disais oui ou non selon mon attirance et mon ressenti, et ‘’basta cosi’’, l’affaire était dans le sac. Pas cette fois-ci à mon grand désespoir.
J’ai complètement suivi à la lettre les maudits conseils dans les magazines, ou bien dans les émissions stupides à la télé, ou pire encore: les conseils de mes amies!
Désolé les filles, mais pour celles que l’histoire ‘’LJ’’ concernent, vous pouvez juste acquiescer du fait que vous m’avez poussé à faire des choses complètement surréalistes : arrêtez d’hocher votre tête s’il vous plaît, je vais y venir à un moment donné puis vous ne pourrez plus nier, croyez-moi.
*Étape 1 : Instaurer un contact récurrent et naturel* - Passer à l’improviste dans le quartier de ladite personne qu’on cherche à séduire - Appeler ou texter cette personne, nonchalamment en prétextant ‘’être dans le coin’’ - Proposer de ce fait, d’aller prendre un verre si elle est disponible, histoire de… Faire en sorte, que votre présence devienne normale et agréable au quotidien dans un cadre extérieur que celui ou vous évoluez ensemble d’habitude, puis…
*Étape 2: créer le manque affectif - Laisser aller quelques jours sans trop de nouvelles mais pas trop longtemps. Un peu dans le genre ‘’J’ai une vie surbookée, je suis hyper busy, mais t’inquiète je pense à toi’’
*Étape 3 : 2 options –pour une seule finalité - Recontacter vous même directement cette personne pour un ultime RDV - Cette personne va vous recontacter pour un ultime RDV
*Étape 4 : Ça passe ou ça casse. - Rapprochement assuré ou bien… - Gros râteau de la mort qui tue !!!
Comme vous le constaterez, ma méthode est des plus pourries au monde. L’étape 1, ce n’est pas très difficile mais les autres on s’en reparlera. J’avais tout de même trouvé une excuse parfaite pour traîner avec LJ, le voir, passer du temps avec lui rien que nous deux : LES EXAMENS SCOLAIRES !!
Je pense c’est une des rares fois où j’étais comme une folle à l’idée de devoir réviser. On se retrouvait chez lui, dans son appartement, pour effectuer nos petites révisions bien tranquilles, boire des cafés, fumer des clopes, la belle vie de jeunes adultes. Au troisième jour de ‘’révisions’’, j’ai pris mon courage à deux mains et ait lancé la bombe Hiroshima dans les airs enfumés de cigarettes de son petit appartement.
- LJ, faut que je te dise un truc, mais promets moi tu ne vas pas rire ou faire de blagues.
- Quoi ? t’es enceinte ? t’as fait caca dans ta culotte ? tu as 6 orteils ?
- LJ … (j’avoue, j’ai dû esquisser un sourire à ses conneries). On peut être sérieux deux secondes, ce n’est pas très facile ce que j’ai à dire, alors ça m’aiderait si tu y mettais du tien et juste que tu me laisses parler.
- Mon dieu, tu vas me dire quoi, ça m’inquiète un peu quand même. T’es sûre que ça va bien ?
- Oui très bien mais laisse-moi parler, je vais y arriver.
Je respire un grand coup, ferme les yeux, les rouvres et plonge mon regard dans le sien.
- LJ, je ne vais pas tourner autour du pot, pas avec toi, tu me plais. Gros silence. Brise Glaciale et sa copine Mal-aisance viennent d’entrer dans la pièce, sans invitation, sans retenue.
Il racle sa gorge, reste figé les yeux sur moi.
- Tu as entendu ce que je viens de te dire ou tu vas me demander de le répéter ?
- Non, j’ai bien entendu, c’est juste que … c’est juste que … enfin Marine, je ne m’attendais pas à cela en faites. Tu viens de me couper un peu la chique, je suis surpris.
- Surpris ? dans le bon ou dans le mauvais sens du terme ?
- Et bien surpris quoi ! pas de sens à mettre ! enfin… pas dans le mauvais je veux dire.
Il rit nerveusement, sa face devient rouge : je reconnais l’influence de copine Mal-aisance qui est toujours là, bien calée dans le canapé avec un sac de chips à se nourrir de la scène qui se déroule ici.
- Puis, t’as quelque chose à me dire là-dessus ou pas du tout ?
J’avoue que dans ce genre de situation, je deviens très lourde, mais il faut se mettre à ma place deux minutes. Je viens de dire à quelqu’un qu’il me plaît sans crier gare. J’attends une réponse dans la même veine.
- Et Malek dans tout ça ? tu n’as plus de sentiments pour lui, t’es sûre que ce n’est pas une manière de le rendre jaloux, ou simplement de te convaincre que tu veux passer à autre chose ?
- Arrête de me parler de Malek, quand je viens de trouver le plus gros courage du monde pour te dire les choses que je pense. Honnêtement, je le kifferai encore, je n’aurai pas risqué de me taper un gros râteau par l’un de mes amis, et je me serai éviter le ridicule. Tu me plais, je n’y peux rien, cela ne se commande pas, c’est tout.
- Depuis quand ? me demanda-t-il.
- Depuis un petit moment déjà, mais je ne savais pas trop comment faire pour t’en parler, puis surtout j’avais peur que ce ne soit pas réciproque, mais je m’en fous maintenant, fallait que je te le dise, je peux plus faire semblant. Il s’approche de moi, passe sa main dans mes cheveux, et la laisse glisser jusqu’à mon épaule.
Ses yeux verts me fixent Le temps s’arrête pour moi. Mon cœur se met à battre dans mes oreilles.
J’ai chaud, j’ai peur, j’attends comme une proie devant son prédateur. Après quelques secondes, ses lèvres viennent s’échouées sur les miennes, doucement. On s’embrasse longtemps. C’est doux, c’est calme, plus de place pour les blagues, il sait être sérieux au bon moment.
Les jours qui suivent sont les premiers traits de l’esquisse de notre relation. Il faut passer de simples amis à ‘’amis et plus si affinité’’, en montant doucement vers le sommet du statut de ‘’couple’’, préserver le fruit mûr qu’on a récolté sans ajouts ni conservateurs : simplement rester naturels.
Seulement, à notre âge, la confiance en soi n’est pas ta Best Friends, on va se le dire. La moindre petite chose insignifiante peut devenir la pire des embrouilles ou bien la pire des incompréhensions. J’en ferai donc bientôt l’expérience à mon grand désarroi.
à suivre….
1 note · View note
christophe76460 · 2 years
Text
Tumblr media
LE MONDE DANS L’EGLISE : QUELLE LEÇON LES ENFANTS REÇOIVENT-ILS A L’EGLISE FACE AUX COUPLES QUI ONT COUTUME DE S’EMBRASSER SUR LA BOUCHE DEVANT EUX !
C’est le 785ème message
Paix dans le ciel et sur la terre, au Dieu Créateur de l’univers et au Seigneur Jésus-Christ, Chef Suprême de l’Eglise, lui qui nous éclaire à travers sa parole de lumière, afin que nous voyions par cette lumière la différence entre son église et celle du monde.
En vérité aujourd’hui, pendant que l’avenir des enfants dans la société est menacée par des feuilletons ou films télévisés et autres où l’on voit des hommes et des femmes s’embrasser sur la bouche, certaines églises ne sont pas en reste et conduisent elles aussi la jeunesse à la dérive.
Plusieurs personnes dites chrétiennes, même des dirigeants religieux se livrent à ces spectacles de dépravation des mœurs devant les assemblées tel que le couple NDEFFO, ainsi que ceux qui les imitent dans ces actes, comme vous pouvez le voir en image sur la première page du message.
Lorsque vous regardez les feuilletons ou films occidentaux, il est difficile de faire plus de deux minutes sans voir comment deux acteurs s’embrassent sur les lèvres. Pour le Seigneur, cela a un impact très négatif pour la jeunesse qui est ainsi incitée à se livrer très tôt à l’impudicité sexuelle.
Embrasser un homme ou une femme sur la bouche en public profite au diable et pas à Dieu ; car ce sont des choses qui doivent être faites par des couples mariés en privé. Le diable a fait croire aux gens qu’embrasser sa femme ou son mari sur la bouche en public c’est lui prouver son amour devant témoins. Mais quelle tromperie !
L’Eglise qui devait condamner ces actes dans la société est elle-même trempée dans cette dérive où certains leaders religieux sont les premiers à embrasser leur conjoint sur la bouche dans l’église et devant les enfants.
Comme le diable est très malin ou rusé, il utilise ces pasteurs, prophètes et apôtres admirés par les aveugles pour commettre de tels sacrilèges afin que cela paraisse comme des actes anodins, voir même des exemples à suivre.
C’est le cas du prophète Rodrigue NDEFFO qui a coutume d’embrasser sa femme sur la bouche devant les enfants dans l’église, et ses admirateurs voulant lui ressembler, embrassent aussi dans l’église leur femme sur la bouche et devant les enfants.
Ces personnes qui imitent le couple NDEFFO en s’embrassant sur les lèvres devant les enfants à l’Eglise ne se posent pas la question de savoir si ce qu’elles font devant l'assemblée et ces jeunes est acceptable selon Dieu. Pour ces ignorants, si leur papa et leur maman qui sont le couple NDEFFO les guide dans ces pratiques, alors cela est bon et vient du ciel.
Malgré que la foi en Jésus-Christ ou la marche avec le Christ ne soit pas facile, efforçons-nous à rester sous l'influence de la volonté de Dieu et non celle du diable. Ne cherchons pas à imiter les hommes ou à marcher par la vue, mais marchons plutôt par la foi. Ayons le courage de nous repentir de ce qui ne glorifie pas le Seigneur Jésus-Christ.
Que toute la gloire revienne au Seigneur Jésus-Christ, le Libérateur de nos âmes entre les mains du diable pour l’éternité.
CHAMPI Apôtre non de la part des hommes, ni par un homme mais par Jésus-Christ et Dieu le Père. La puissance de Dieu c’est la connaissance. Connaître pour éviter de pécher et être affranchi de la mort éternelle. (Jean 8/32)
0 notes
1withthepen · 6 years
Text
Information de base:  
Récemment, j’ai regardé le film ‘Ava’ en français. Lien vers Ava Trailer: https://www.youtube.com/watch?v=lpxlr8dTYrQ.  
C’est un drame d’âge / romance avec un peu d’humour. Le film a été réalisé par Lea Mysius, qui est un ancien scénariste et réalisateur. Il a été produit par Jean-Louis Livi, Patrick Armisen, Fanny Yvonnet.  
Le film dure 1 heure et 45 minutes. C’est pour un public mature. Il contient de la nudité et de la violence et a été classé MA15 +. Il a été réalisé en mai 2017.  
D’autres choses intrigantes sur le film selon www.thefrenchfilmfestival.com sont qu’il s’agissait 
“Tourné sur film 35mm pour accentuer une palette de couleurs saturées de tons chauds et dorés, l’aveuglement d’Ava est aussi une métaphore de la tendance croissante de la société française contemporaine embrasser l’extrémisme, ainsi que la détresse sociale croissante: une méditation habile sur la politique, la sensualité et la joie de vivre de la jeunesse, une chronique rafraîchissante de la maturité d’une jeune fille.” 
Évaluation et récompenses: 
Il a reçu une note de 85% sur les tomates pourries. (Rotten Tomatoes) Le film a été nominé pour 10 prix. Il a gagne six. Parmi eux, le prix SACD au festival du film de Cannes 2017 et le prix du meilleur film au festival du film 2017 de Stockholm Vous pouvez visite IMDb pour la liste complète des monimations et des récompenses. 
Rencontrez le casting:  
Noée Abita: (comme Ava, Il est dit similaire. (A- va vs Ah-va): Elle est née en 1998 tout comme moi mais elle est déjà une actrice en développement. 
  Laure Calamy: ( comme Maud, la mère de Ava): 
Laure Calamy a 40 ans et est une actrice française populaire. Parmi ses autres rôles, mentionnons Park Benches en 2009 et en 2014 French Woman. Elle a commencé sa carrière d’acteur en 2000. 
  Juan Cano: ( comme Juan,  le ami de Ava) 
  Ce sont les trois personnages principaux, mais la distribution inclut aussi Tamara Cano (comme Jessica), Ismaël Capelot, Mila Cheuzzi (comme Ines), Carmen Gimenez (comme Carmen) et Sarah Utrera entre autres. 
Vue d’ensemble: 
Ava est une fille de 13 ans en vacances près d’une plage avec sa mère. Elle apprend qu’elle va perdre la vue. Alors que sa mère veut qu’elle profite de leurs longues vacances, Ava est têtue et indépendante. Ava exploré sa propre liberté, sa jeunesse et sa sexualité tout en luttant contre la perte de sa vision.  
Résumé détaillé du complot: 
Au début du film, elle vole un chien noir. Nous apprenons plus tard que ce chien appartient à Juan, un garçon en fuite. Au fur et à mesure que le film progresse, Ava explore sa sexualité et poursuit de nombreuses aventures avec Juan. Après de nombreuses petites rencontres avec Juan, Ava et Juan commencent à un lien unique. Bientôt ce lien se transformera en quelque chose de plus.Ava nomme le chien Loupo. Ava participe a un cours de char à voile, où elle rencontre Matthias (Baptiste Archimbaud), le fils du moniteur et plus tard, elle rencontre Tété (Daouda Diakhaté). Tete est la mère de son nouveau petit ami / amant. Quand elle raconte ses cauchemars à sa mère et qu’on lui dit qu’elle doit garder sa sœur à côté, Ava se fâche et se fâche. Ava abandonne sa petite soeur le lendemain et sort pour apprendre à guider avec d’autres sens. Elle plisse les yeux et utilise Loupo comme guide. Elle rentre à la maison pour écrire dans un journal qu’elle commence à garder. Plus tard, elle et sa mère se battent. Plus tard, Ava revient à la plage, les yeux bandés, se déshabille et va nager. Jaun, qui vit parmi les rochers, la regarde. Il ramasse Loupo alors qu’elle se précipite pour s’habiller, il s’éloigne. Ce soir, Ava a plus de cauchemars. Elle rêve de sa sœur mourante et d’étranges rêves sexuels. Plus tard elle trutns aux rochers pour chercher Loupo. Au lieu de cela, elle trouve l’espace de vie de Juan. 
This slideshow requires JavaScript.
Effrayée, elle se tourne pour partir et tombe sur Matthias. Après avoir reconnu la femme qui discutait avec Juan en tant que serveuse Avan et sa mère rentrer à la maison. Loupo est sur le sol couvert de sang. Ava retourne dans les rochers pour trouver Juan. Il est étendu sur le sol blessé. Ava essaie de lui. Comme elle ne peut pas voir, elle attend jusqu’à demain matin pour se nourrir de Juan.Juan ne semble pas aimer Ava. Ava rentre chez lui en colère. Le soir elle passe du temps avec Matthias et ils s’embrassent. Pourtant, il n’y a pas de lien entre eux.Ava peint son champ de vision chaque nuit et le regarde devenir plus petit. Alors qu’elle retourne aux rochers et finalement Juan et elle passent la journée ensemble. Ils prennent de l’argile et peignent leurs corps. Puis ils vont à une plage nudiste et les gens avec le pistolet de Juan, volent d’eux. La police les trouve et essaye d’arrêter Juan pour embezzlmetn ainsi que de trouver Ava depuis que sa mère a signalé sa disparition. Ava prend le pistolet de Juan et menace les flics. Ils fuient.Ils volent un motercycle et passent la nuit dans un bâtiment abandonné. Juan dit à Ava qu’ils doivent se rendre dans une communauté gitane pour récupérer sa voiture. Ava appelle rapidement sa mère paniquée. Juan et Ava créent un plan. Ava posera comme aidant dans le mariage de Jessica.Ava se faufile dans un carvan à la recherche des clés et des papiers de Juan. Elle doit se dépêcher car la police est à proximité. Juan trouve Ava et ils s’enfuient de la police. Dans les bois plus tard dans la nuit, Jessica les voit conduire la voiture de Juan. Elle leur tend les clés silencieusement. Le film se termine sur Ava souriant radieusement à Juan. 
Mes pensées: 
Je pensais que le film était très bien fait mais parfois je pensais que l’intrigue était confuse. Je n’avais pas de sous-titres français et j’apprends toujours le français, donc si vous êtes comme moi, je vous recommande de le regarder avec des sous-titres français. Dans l’ensemble, mes deux scènes préférées étaient le vol de personnes sur la scène de plage nudiste et Juan et Ava sur la route. C’était très drôle et exspressif.
Si vous êtes intéressé à voir un film avec un truc à faire face à quelque chose de difficile dans la vie, je recommanderais Ava. Je pensais que le jeu était bien fait aussi. Par exemple, Ava et Juan semblaient tous les deux être de vraies personnes qui formaient un véritable lien. Je voulais en voir plus et en apprendre davantage sur Maud, la mère d’Ava.Je pense que le meilleur aspect de ce film était le tournage. J’aimais la façon dont la caméra ferait miroiter la perte de vision d’Ava à certains moments. Je pensais aussi que la bande-son était parfaite pour les aventures et les luttes qu’Ava ressentait. Je pense que ma plus grande critique de ce film n’a pas été d’avoir un peu plus de dialogue. Parfois, suivre l’intrigue sans dialogue était un défi. 
Sources référencées et si vous souhaitez plus d’informations:  
http://www.imdb.com/title/tt6194530/awards?ref_=tt_awd   
http://www.imdb.com/name/nm5674565/bio?ref_=nm_ov_bio_sm  
http://www.imdb.com/title/tt6194530/  
https://www.affrenchfilmfestival.org/film/ava  
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ava_(film)  
Photos gracieuseté de: 
Ava avec un pistolet :  
http://www.cineuropa.org/ff.aspx?t=ffocusvideo&l=en&tid=3117&did=328712  
Affiche d’ Ava : http://www.imdb.com/title/tt6194530/  
Laure Calamy: https://www.larep.fr/orleans/loisirs/scene-musique/2017/05/10/laure-calamy-un-talent-orleanais-dans-la-serie-dix-pour-cent_12396101.html  
Noée Abita: https://www.gettyimages.fr/photos/abita  
Ava dormant: https://www.youtube.com/watch?v=8WF9-e8J8t4  
Ava avec la crème glacée: http://critics-associated.com/ava-review/  
Ava et Juan: http://screenanarchy.com/2017/12/review-ava-nakedly-attacks-the-female-coming-of-age-film.html  
Ava et maquillage: https://en.unifrance.org/movie/42860/ava  
Ava et Juan/ moto: https://www.richmix.org.uk/events/film/bfi-london-film-festival-ava  
Juan Cano: https://www.afcinema.com/Le-directeur-de-la-photographie-Paul-Guilhaume-parle-de-son-travail-sur-Ava-de-Lea-Mysius.html?lang=fr  
Lea Mysius: http://www.semainedelacritique.com/en/directors/lea-mysius  
Note to readers: As many of you probably have already realized this post is very different from what I usually post. I am hoping that for those of you out there who might not know French you are still able to translate this page somehow and read it. For those of you who do speak French, I would love to hear your opinions on my writing. I am doing this for part of a school project but the more feedback the better. And for all readers I would love to hear your thoughts on this movie if you have seen it. As always I welcome any suggestions on movies to watch, music to listen to and books to read. I know I have not posted in a while but I promise after school ends here soon you can expect more regular posts.
Thank you, and Merci beaucoup.
-Eva M.M.
  Critique de film “Ava” pour le français 102 Information de base:   Récemment, j'ai regardé le film 'Ava' en français. Lien vers Ava Trailer: …
2 notes · View notes
sexynatacha · 4 years
Text
August Ames et Madison Ivy se lèchent ointes d’huile
https://just-porno.com/?p=28429&utm_source=SocialAutoPoster&utm_medium=Social&utm_campaign=Tumblr August Ames et Madison Ivy se lèchent ointes d’huile - https://just-porno.com/?p=28429&utm_source=SocialAutoPoster&utm_medium=Social&utm_campaign=Tumblr August Ames Gros Seins Madison Ivy August Ames et Madison Ivy sont deux copines brunettes très sexy et chaudes. Dans cette scène porno, les deux amies se lubrifient leurs corps sublimes, avec de l’huile. Les filles s’amusent autant, quand elles ont leurs corps glissants. Elles se caressent et se lèchent les chattes rasées et brillantes. Le moment est si intense, que quand elles s’embrassent, les jeunes femmes nous font tout de suite envie de branler et jouir. L’apogée de cette vidéo sexe est au moment du 69. En ce moment, elles sont tellement excitées, que leurs corps se tordent, ainsi comme leurs pieds et on comprend instantanément ce qui se passe.
0 notes
Text
Regardez "INSTANT PAROLE DE DIEU DU SAMEDI 21 NOVEMBRE 2020" sur YouTube
CONFERENCE DES EVEQUES CATHOLIQUES DE COTE D'IVOIRE
Appel à l'issu du Conseil Permanent du 19 novembre 2020
PROMOUVOIR LA PAIX PAR LE RESPECT DE LA LOI ET DES LIBERTES
"Amour et Vérité se rencontre, Justice et Paix s’embrassent ; la Vérité germera de la terre, et des cieux se penchera la Justice" (Psaume 84, 11-12)
Aux leaders politiques,
A tous nos concitoyens.
1.Dans notre message du 19 janvier 2020 à Korhogo, alors que nous n’étions qu’au tout premier mois de l’année électorale en Côte d’Ivoire, il nous avait paru nécessaire et urgent de vous inviter à « tirer les leçons d’un passé récent douloureux, afin de construire notre pays et laisser aux générations futures, un héritage d’unité et de paix » (cf. préambule, 2). Ce message mettait en lumière la menace de la persistance des ressentiments nés des crises précédentes et la nécessité absolue du dialogue, de la concertation, afin de ne pas donner au monde l’image d’un pays miné par des dissensions politiques.
2.Comme si l’histoire se répétait, dix années après une sanglante crise post-électorale, la Côte d’Ivoire est de nouveau le théâtre de violences d’une rare barbarie, entrainant de nombreuses pertes en vies humaines. Nous nous indignons et nous condamnons fermement toutes les violences de tous les camps politiques, notamment de ceux qui ont armé et encouragé des jeunes dans le but funeste de massacrer d’autres jeunes. Nous nous inclinions avec respect devant la mémoire de tous ceux qui sont tombés. Nous prions le Seigneur de consoler les familles de toutes les victimes des atrocités et d’accorder une prompte guérison à tous les blessés et mutilés. Les auteurs de ces crimes doivent être recherchés afin qu’ils répondent de leurs actes devant une justice impartiale. Il serait bon de recourir aux services d’une commission d’enquête indépendante. En effet, il est inadmissible qu’au 21ème siècle, l’on assiste à des chasses-à-l’ homme à la machette, au gourdin et au fusil, pour ôter la vie à son semblable.
3.Telle qu’elle se présente, la situation actuelle était prévisible. C’est pour cette raison qu’à plusieurs reprises, nous avons tiré la sonnette d’alarme sur les conditions de notre cohabitation pacifique et de l’organisation des élections justes, transparentes et inclusives. Pour sa part, l’archevêque métropolitain d’Abidjan, le Cardinal Jean-Pierre KUTWA, a engagé sa responsabilité de pasteur devant l’histoire de notre pays, le 31 aout 2020, en appelant au dialogue et à la concertation, car – avait-il affirmé – « le respect de la loi est plus important que les élections ; il ne suffit pas d’organiser des élections et d’en déclarer un vainqueur pour qu’il y ait la paix ».
4.Aujourd’hui encore, au terme de la réunion de notre Conseil permanent, nous adressons cet appel pressant aux hommes politiques.
Nous déplorons le manque d’objectivité dans l’interprétation de notre loi fondamentale. Par conséquent, nous encourageons les deux principaux leaders de la vie politique actuelle de notre pays, les présidents Alassane Ouattara et Henri Konan Bédié, à poursuivre et à intensifier, sur des bases claires, le dialogue qu’eux-mêmes ont initié à la grande satisfaction du peuple, aux fins de parvenir à la concorde nationale, à des « solutions justes qui sauvegardent et promeuvent le bien commun » (cf. Pape François, Angélus du dimanche 15 novembre 2020). Ce sera là l’occasion rêvée de vider le contentieux né de l’interprétation de la Constitution.
Nous souhaitons de tous nos vœux que ce dialogue prenne en compte la libération de tous les prisonniers politiques, favorise le retour rapide de tous les exilés, dont le président Laurent GGBAGBO, afin qu’ils prennent toute leur place dans le processus de réconciliation.
Nous recommandons vivement qu’il prenne aussi en compte la promotion des droits et des libertés individuelles, d’une justice équitable et de la culture de la rencontre. On ne le dira jamais assez, il n’y a pas de paix sans justice et il n’y a pas de justice sans pardon.
5. Il est périlleux en effet, de croire que les problèmes politiques ne peuvent pas se résoudre par les voies de la raison, à savoir des pourparlers fondés sur la vérité, le droit, la justice et l’équité, mais seulement au moyen de forces qui sèment la terreur et le meurtre. « La non-violence, écrivait le Pape Jean-Paul 2, est à la fois un principe religieux et une méthode d’action politique. C’est elle qui doit régir le rapport entre l’Homme et la nature, mais aussi les relations des hommes entre eux » (cf. Message de la 50ème journée mondiale de la paix).
6. Remplissant la charge d’enseigner et d’instruire au nom de Dieu, nous estimons qu’il est de notre devoir, de vouer nos préoccupations et nos énergies à promouvoir ce bien commun universel qu’est la paix. Mais la paix n’est pas qu’un mot vide de sens, si elle n’est est pas fondée sur un ordre qui repose sur la vérité, se construit selon la justice, recoit de la charité sa vie et sa plénitude, et enfin s’exprime efficacement dans la liberté.
7. Puisse ce message parvenir à tous les leaders politiques et à tous nos concitoyens, à toutes les personnes de bonne volonté, soucieuses du bien de chaque homme et de chaque femme ainsi que du destin de la société ivoirienne.
8. Que par l’intercession de la Très Sainte Vierge Marie, Notre Dame de la Paix, Dieu protège la Côte d’Ivoire et convertisse les cœurs de tous les ivoiriens à l’amour, pour le pardon, la justice et la réconciliation.
Fait à Abidjan, le 19 novembre 2020
Vos frères les archevêques et évêques de Côte d’Ivoire.
0 notes
Photo
Tumblr media
Après le rite de la première mort de Matthew McKenzie, comme annoncé, Selene fut présentée à ses parents et cette fois, leur fils ne s’était pas trompé, puisque Freya McKenzie, sa chère maman, approuva la banshee ! Il n’en fallait pas plus pour que les deux écossais officialisent leur union -et aussi parce que Matt voulait vraiment se marier AVANT Oswald-. Et le couple n’eut pas le problème de choisir selon quelles traditions ils allaient se marier, c’était tout naturel : Les bonnes vieilles traditions écossaises ! Ainsi, la cérémonie se fit en partie en gaélique, faisant que seule un quart de la salle comprenait cette partie et avec un Matthew McKenzie… en kilt. Selene, elle, portait une robe blanche assez simple, qui marquait sa taille et dont les bretelles lui tombaient sur les épaules. Claudia et Myrrha lui avaient coiffés les cheveux avec une petite couronne de fleurs. Contrairement aux autres couples, parce qu’ils n’étaient pas comme les autres, ils n’allaient pas se contenter d’un petit baiser pudique, non ! La banshee se jeta littéralement aux bras de son écossais en kilt quand cela lui fut permis.
Pas besoin de décrire la fête d’un mariage d’écossais : Du whisky, beaucoup, de la chanson, des gens qui dansent et s’il y avait bien quelque chose sur lequel Matthew et Selene s’entendaient, c’était bien sur la façon dont ils devaient faire la fête ! Après deux bonnes heures de danse, les deux jeunes gens se sont retirés à l’étage. Vieille tradition écossaise qui remontait à Mary Stuart et même certainement avant : le mariage était consommé alors que les invités festoyaient encore. Mais Selene était nerveuse, même Matthew qui n’était pas des plus fins, l’avait remarqué ! Elle s’assit sur le lit et retirait une à une, les fleurs qui trônaient dans ses cheveux blonds. Il vint s’asseoir à côté d’elle et caressa doucement son dos.
« Something’s wrong ? demanda-t-il d’une voix posée et rassurante.
- Mh ? No, no, rassura la jeune mariée en levant le regard vers Matthew. Now I proudly wear the name of McKenzie and I couldn’t expect a better man than you as my husband, dit-elle en souriant.
- Can I tell you a secret, lassy ? reprit l’écossais en venant embrasser la tempe de Selene.
- Yes, of course.
- My mother told me that you are everything I needed in a woman. »
Matthew réussit son coup. Il y arrivait toujours, puisque le visage de sa jeune épouse s’illumina d’un sourire. Selene s’approcha un peu et vint déposer un baiser sur les lèvres de son mari. Il impressionnait les gens, faisait peur à ceux qui se trouvaient en face de lui, surtout ceux qui craignaient d’affronter ses poings, mais elle, ne voyait qu’un gros nounours. Elle sentit la main forte de son écossais se poser sur sa taille.
« So, why do you look so nervous ?
- Because I waited quietly for you until you come to me… »
L’écossais comprit alors les préoccupations de la banshee. Il était le premier homme et certainement le seul qu’elle connaîtrait ! Mais elle ne devait pas s’inquiéter, lui aussi, s’était réservé pour elle ! Finalement, il sourit et se leva pour aller chercher une bouteille de whisky sur la table. Selene se leva pour le rejoindre et il lui passa un verre. Ils s’étaient connus comme ça, en quelques sortes : Matthew lui avait payé une bouteille qu’ils avaient partagé, pour l’aborder. Et malgré tout ce qu’ils avaient bu avant de monter, ils marchaient toujours droit, eux ! Il faut dire que leurs corps étaient entraînés !
« How did you choose me ? demanda Matthew pour détendre Selene en discutant avec elle.
- I’ll tell you a secret, dit-elle en rougissant. Even the girls don’t know it, poursuivit la banshee en faisant référence à Claudia et Myrrha. I fell in love with you twice. The first time when we were both drunk the first night we spend together, because you cared about me all the time. And just after that, because I saw that I loved take care of you more than anything else. But you, how did you ?
- It was obvious, lassy ! s’exclama-t-il. When I was thinking about my life and how I wanted to live it, I did to the conclusion that I couldn’t imagine my long and full of fights life without you in it. What you said can be related so. But I choose you too because you can’t see it lassy, but you’re so gracious when you hit people ! »
Les jeunes mariés se mirent à rire en même temps. Matthew vint prendre Selene dans ses bras et embrassa sa tempe, la conclusion était évidente, ils s’étaient bien trouvés ! La banshee ferma les yeux en se laissant bercer dans les bras de son mari quelques instants. Elle se détendait, le nécromancien pouvait le sentir. Ainsi, cela vint naturellement. Ils échangèrent un baiser, suivit d’autres, tendres et doux, loin de la passion dévorante. L’écossais défit doucement la robe de sa jeune épouse et la laissa glisser jusqu’au sol, rapidement rejointe par la chemise qu’il portait. L’écossaise déboucla ensuite la lourde ceinture qui tenait le kilt de son mari. Lui, semblait toujours vêtu avec son corps quasi entièrement recouvert de tatouages ! Il passa ses mains sous les fesses de Selene pour la soulever et qu’elle place ses jambes autours de ses hanches. Leurs lèvres continuaient de s’embrasser et ils expérimentaient pour la première fois le contact de leurs peaux nues l’une contre l’autre, se prenant à apprécier cela bien plus que ce qu’ils avaient pu se l’imaginer. Matthew déposa finalement la banshee sur le lit qui était imposant et semblait terriblement confortable. Selene rougit un peu, en se prenant à regarder tous les tatouages qu’elle n’avait pas encore eu l’occasion de voir quand son écossais était vêtu. Mais son attention fut assez vite détournée par ce dernier, qui décida de poursuivre l’exploration du corps de sa femme de ses lèvres. Il embrassa sa mâchoire, son cou, son épaule, s’attarda sur sa poitrine puis sur son ventre, avant de déposer quelques baisers à l’intérieur de ses cuisses. Finalement, Matthew arracha les premiers gémissements à son épouse, venant taquiner son intimité de sa langue tout en tenant les cuisses de cette dernière sur ses épaules. Il fallait dire qu’au début, surprise, Selene s’était mise à gesticuler. Parfois, elle sentait aussi les doigts de l’écossais caresser son intimité, la faisant alors découvrir un plaisir jusque là inconnu. Matthew, lui, se délectait des premiers gémissements qu’il provoquait chez une femme. Puis il était remonté, venant reprendre ses lèvres dans des baisers plus appuyés, plus passionnés que les premiers. La température de leurs corps semblait se réchauffer, alors que l’un comme l’autre était des êtres de sang-froid. Les mains de Selene parcouraient la peau de son époux, le faisant frissonner en parcourant son échine du bout des doigts alors qu’elle le sentait prendre place entre ses jambes. D’un coup, les mains de la banshee s’accrochèrent fermement au dos tatoué de Matthew, alors qu’il venait de s’introduire en elle, venant lui arracher un nouveau gémissement. Il venait tout juste de quitter ses lèvres mais gardait tout de même leurs deux visages proches, se maintenant d’une main à plat sur le matelas, tandis qu’il avait glissé les doigts de son autre main dans les cheveux de Selene. L’écossais débuta alors ses coups de reins alors que les sons qui sortaient de la bouche de sa femme étaient de plus en plus forts, si bien qu’il s’arrêta un instant pour caresser ses cheveux, un peu inquiet.
« Am I hurting you ? souffla-t-il doucement, tout proche de son visage.
- No… No, you’re not, rassura Selene en venant tendrement caresser le visage de Matthew. Don’t worry.
- You’re sure ?
- Sure, répondit-elle en venant lui voler un baiser. I love ya’, soupira l’écossaise avec son accent assez prononcé. »
Matthew esquissa alors un sourire en venant déposer un nouveau baiser sur les lèvres de Selene, reprenant ses coups de reins, pendant de longs instants, jusqu’à qu’elle ne vienne planter ses ongles dans son dos en y crispant ses mains, poussant un gémissement d’extase qui fut suivi de son propre râle. L’écossais roula alors sur le côté pour s’allonger sur le dos et reprendre son souffle, ramenant la banshee tout contre lui. Il embrassa sa tempe et esquissa un sourire.
« Why are you smiling ? demanda l’écossaise en souriant légèrement.
- I was thinking about my father congratulations when I will come to him after that. »
La jeune femme rit à la réponse de son époux, qui suivit juste après. Mais Matthew ne pu pas se libérer aussi tôt qu’il le pensait, et surtout, neuf mois après leur mariage, déjà, Selene donna naissance à leur premier fils : Wallace McKenzie, affectueusement surnommé « Wally », pour le plus grand plaisir de Freya et Fergus McKenzie qui devenaient enfin grand-parents !
1 note · View note