#De Mains de Maitres
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craft2eu · 10 months ago
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ceramic brussels - die neue Keramik-Messe: ein Interview mit Jean-Marc Dimanche
Im Januar 2024 wurde die erste Ausgabe der Messe “ceramic brussels” in der belgischen Hauptstadt veranstaltet – eine Messe die sich ganz und gar dem Medium Keramik verschrieben hat. Sie lief über 4 Tage, hatte 12.900 Besucher, präsentierte 55 Galerien mit rund 200 Künstlern aus mehr als 10 Ländern, bot eine Einzelausstellung von Johan Creten, 7 Vorträge und wurde von  über 100 Presseartikeln…
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camisoledadparis · 8 days ago
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saga: Soumission & Domination 370
Novembre en France-2
Blockhaus Jour 2
Pendant le déjeuner j'essaye d'en savoir plus sur notre nouveau voisin mais PH et Ludovic me disent qu'ils ne savent pas qui il est.
Du coup je les charge de voir à qui appartient l'immeuble de droite qui est du même type avec mission de le racheter si c'est possible.
Dans la soirée je fais visiter le second étage (celui dédié à ma société) à Dane.
Il mate la frise de mon bureau. Il ne pensait pas que ma " petite affaire " représentait autant de mecs. Je le vois fixer son intérêt sur notre petit Maxou !
Pour le remercier de s'être occupé de moi pour mon retour en catastrophe, j'appelle mon escort et lui demande de venir nous rejoindre illico. Quand je raccroche, Dane se rend compte que je le fais venir pour lui. Pour avoir discuté avec Tyler et lui de ma société et des tarifs que je pratiquais, il me demande combien il va me devoir.
Evidemment rien bien sûr !! Je ne fais pas payer mes amis même si moi, je rétribuerais Maxou, mais ça je ne lui dis pas.
Maxou arrive après ses cours et nous rejoint en salle de sport. Il y a déjà une 10aine de mes escorts à s'entrainer avec nous.
Comme je m'étonne de l'absence de Jona et de François, PH me glisse qu'ils ont été rappelés au " service ". Du coup le coaching muscu et combat a échu à nos deux gymnastes fraichement intégrés avec surveillance de Ludovic pour la partie fighting. Le tout sous la gestion de notre Maitre-nageur. Pour les prestations d'Escorting, PH a pris l'affaire en main. Je ne peux qu'admettre que cette organisation est la plus efficiente.
Le temps que je me mette à jour, Maxou s'est attaqué à Dane en le provoquant à un combat sur le tatami de la serre. Arrêt de quasiment tous les entrainements pour voir le défi.
Si au départ Dane avec sa carrure d'adulte n'y allait pas trop fort au regard du format toujours crevette de son adversaire, quand il a gouté pour la deuxième fois le tapis, il s'est aperçu que le niveau de son adversaire valait bien le sien. Après quelques 15 minutes, profitant de son allonge et de son poids supérieur, il réussit à coincer Maxou sur le tapis. Jusqu'à ce que déloyalement, ce dernier ne lui roule un patin ! Fin d'entrainement pour tous, douche et évidement c'est parti en touze !! Dane, nouveau pour beaucoup, s'est retrouvé très sollicité et après avoir profité de Maxou, s'est laissé entrainer par mes autres escorts.
Une bonne heure et demi plus tard, il me rejoint et épuisé me dit que mes mecs sont trop bon. Il a particulièrement apprécié le fait qu'ils utilisent leurs potentiels physiques comme des pros. Puis il se rend compte que c'est évidement à des pros qu'il avait eu à faire !
Je garde Maxou alors que les autres nous quittent. Dane et un peu gêné et il lui demande si cela ne l'embête pas trop de rester pour lui.
Réponse de l'intéressé : " quand il bosse, il ne prend pas en compte ses avis personnels, mais là en plus il n'a aucunement à se forcer pour me faire plaisir " (à moi Sasha). Il ponctue sa déclaration d'un bisou sur ses lèvres.
Pendant le diner la conversation passe des évènements Parisiens à notre vie à San Francisco. Maxou est super intéressé et quand il apprend que le petit frère de Dane viendra en France pour la fin d'année, il n'a de cesse d'en savoir plus sur ce dernier.
Pour faire cesser le harcèlement de question, je lui dis de s'adresser à Enguerrand ou à Max, car je suis sûr que ces deux-là l'ont pris en photo au minimum. Pas garanti qu'ils n'aient pas réalisé en plus une sextape !!
Dane, qui depuis le passage de la triplette, s'est rapproché de son frère notamment sur le sujet du sexe et de son utilisation, confirme que ces derniers en ont même fait plusieurs lors de leur passage en Californie.
 La soirée se passe calmement, enfin à recouvrer des forces !
La nuit nous restons de part et d'autre. Moi je retrouve mes deux amours et nous faisons l'amour. Comme cela fait longtemps que nous ne nous étions retrouvés tous les trois seuls, cela prend un parfum de tendresse rarement présent quand nous sommes plus nombreux.
A côté je suis sûr que Maxou donne à notre yankee un aperçu des petits Français qu'il ne sera pas près d'oublier.
Retour
Les quelques jours passent rapidement et quand nous remontons à Paris pour prendre notre avion, nous trouvons Kev chez Henri (pas question qu'il reste seul dans son duplex). Un infirmier beau comme un dieu s'occupe de lui dans la journée quand Henri est au travail.
Que voulez-vous ? On ne se refait pas et nous ne quittons l'appartement qu'après que j'ai sodomisé le corps médical.
Déjà en blouse et pantalon blanc relativement large, il paraissait canon mais à poil (enfin nu) il l'est vraiment ! Une bouche bien profonde idéale pour abriter les 21x5,5 de Kev, et une musculature lui permettant de s'occuper de tout lors des sodos. Il m'en fait une démonstration alors que, couché sur le dos, il se plante sur mes 20x5 et me les pompe avec sa rondelle sans que j'aie à faire de mouvement.
Pour les plus curieux, il fait dans les 1m80 et porte au moins 70Kg de muscles secs. Une belle bite de 18/19 épaisse et surtout un petit cul bien rond cachant une rondelle souple mais nerveuse.
Alors que nous quittons l'appart d'Henri pour l'atelier d'Alban, Kev me demande comment j'avais trouvé son " garde malade ". Réponse " avec lui tu ne vas pas être en manque de tes potes " !! Il me dit que pendant que je m'amusais avec son " garde malade ", il avait profité de mon américain. Un simple 69 mais qui avait tenu toutes ses promesses.
Quant à ses copains habituels de baises, Kev me réponds que certains passeront quand même le voir pour éviter la routine. Je le reconnais bien là, aussi chaud que moi !
Passage chez Alban. Il héberge encore Ric que son père est venu voir quelques jours plus tôt. Avec juste un bandage autour du biceps, Ric est tout content de nous voir. Il nous dit s'être inscrit pour un mois à la salle de gym de Kev, puisqu'ils ont décidé qu'il ferait sa convalescence à Paris. Déjà la semaine et demi d'arrêt lui pèse et il va vite reprendre au moins le cardio et tout ce qu'il peut travailler. Les cuisses, les abdos et tout le haut avec son bras droit avant de reprendre doucement avec le gauche en fonction de l'autorisation de la faculté.
Le taxi nous dépose à Roissy juste à temps pour l'enregistrement. Pas de bagages de soute, cela rend l'enregistrement plus rapide. Mais du coup le passage de la douane est plus fouillé. Si Dane passe rapidement, c'est limite si les douaniers ne m'auraient pas mis à poil. Bon j'aurais bien aimé car un des mecs qui me palpait était tout à fait baisable. J'ai eu le plaisir de le voir rougir alors qu'il s'apercevait avec sa mains tout le bien que je pensais de lui (bandant comme un âne, il aurait eu du mal de ne pas capter !).
J'ai eu l'espoir un moment que la barre dure qui déformait mes jeans allait l'amener à me faire une fouille au corps, mais non, dommage !!
Attente dans le salon des premières, puis embarquement. Compagnie américaine, personnel de bord charmant, à nos petits soins mais loin d'être de première jeunesse !!
A l'arrivée Tyler nous attend. On se raconte notre petite semaine en France. Dan est le plus disert. Je m'aperçois que notre passage à Paris l'avait fortement impressionné (surtout mes amis Henri, Kev et la musculature hors norme de Ric). Il lui décrit aussi le blockhaus comme un endroit de folie et les mecs qui y passent.
Du coup Tyler est pressé que l'on soit un mois plus tard !!
Quand il apprend que Duke a fait des sextapes avec mes " petits frères ", il est surpris tout en étant pas plus étonné que ça venant de 4 obsédés de la bite !!
Duke nous attendait chez Tyler. Lui aussi voulait des nouvelles et surtout de ses nouveaux copains Frenchies. Dan répète pour lui. C'est à son tour de devenir impatient d'arriver à Noël !!
Le mois passe vite et les nouvelles de France qui me parviennent régulièrement sont bonnes. Tellement que mes deux amis blessés le 13 novembre pourront être des nôtres en fin d'année.
Coté immobilier, PH me prévient qu'il a pu acquérir l'immeuble qui nous jouxte pour une bouchée de pain et me propose de transformer le rez-de-chaussée en garage d'entretien pour nos motos dont Cyril prendrait la charge et l'étage pour faire un grand appartement pour Samir et Ammed. Même s'ils restent à notre service, ils auront ainsi un peu plus d'intimité.
 Quant à la cour, il comptait, si j'étais d'accord, la raccorder à la nôtre en y organisant un jardin toute saison avec quelques fruitiers.
J'accepte toutes ses propositions et le questionne sur ce qu'il se passe de l'autre côté du blockhaus chez notre nouveau voisin.
Là, les travaux seraient finis avec en copie une verrière comme la nôtre mais 2 étages plus basse.
Ça m'intrigue que l'on ne réussisse pas à savoir qui est le propriétaire !!
Coté sexe, j'ai repris mes apartés qui ne le sont plus trop vu le nombre de mecs qui participent à ceux-ci. Depuis nos virées " touristiques ", je suis le point focal des deux groupes de sportifs (arts martiaux et natation) du moins pour les plus Pd d'entre eux ! Heureusement que quelques-uns sont originaires de cet état, ça nous permet de nous retrouver en dehors de l'université. Même si nous avons trouvés des coins où nous pouvons baiser sans trop de risque de nous faire surprendre !
Les installations sportives sont nos préférées. Ce sont les vestiaires, les douches, certaines salles un peu isolées qui abritent nos turpitudes.
Ça me rappelle un peu les touzes que je faisais en France après nos séances de sport au Blockhaus. La seule différence c'est que j'entends plus " Fuck me " que " vas-y défonce moi ".
Je me fais plaisir aussi bien à défoncer les rondelles américaines qu'à me faire prendre.
Sans qu'ils soient prudes, mes partenaires étaient plutôt à baiser par deux parfois trois qu'à touzer comme des bêtes en rut ! Maintenant ce n'est plus le cas et j'ai l'impression qu'ils aiment ça.
Il n'est pas rare que je me prenne deux ou trois bites dans le cul (pas toutes en même temps !!) et que je fasse subir à autant de cul mes coups de rein. J'aime particulièrement à m'accrocher aux épaules hypertrophiées des nageurs alors que je les encule en levrette. Épaules larges associées à des tailles fines bien cambrées et de beaux fessiers ronds, que demander de plus pour bander comme un âne ?  Avec les " combattants ", c'est plus hard. On ne peut s'empêcher inconsciemment de voir qui sera le " dominant " de la relation. Les embrassades sont plus rudes et les préliminaires plus musclés jusqu'à ce que l'un d'entre nous cède ou décide d'être cette fois-là le passif du moment.
Je ne suis pas le dernier à me mesurer aux autres et grâce à l'entrainement de Don j'ai le dessus quand je veux. Ce qui ne m'interdit pas de laisser couler quand je suis en manque de saillie !!
Hé, on ne se refait pas, je suis recto/verso et je prends mon pied dans toutes les relations sexuelles possibles (entre mecs).
Au tout début de mon séjour, quelques filles m'ont dragué. Je pense dans l'idée de se faire un petit français. Mais de ce côté-là je suis fidèle à Emma !! Elles ont dû se rendre à l'évidence que pour moi c'était mecs uniquement.
Un des derniers plans a eu lieu dans une des salles de sport du campus. Un des fighters nous a emmenés dans une salle de boxe et nous avons pu baiser sur le ring. Les cordes et les 4 coins ont bien servis à soutenir les corps en train de se faire défoncer. Je pense que ces installations n'avaient encore jamais vu ça depuis leurs installations.
Je me souviens m'être fait défoncer par un nageur alors que je me tenais, les jambes écartées et les bras accrochés autour d'un sac de sable, alors qu'un autre des mecs me pompait la bite. Chaque coup de rein qui enfonçait la belle queue de mon assaillant au fond de mon trou, faisait progresser mon gland derrière la glotte de mon pompeur. A nos côtés, les couples, trio ou plus ne se retenaient pas de bruits significatifs.
Nous avons été tellement discrets qu'à un moment j'ai vu la tête de l'entraineur principal des sports de combats passer la tête par une des portes. Trop emporté par mon plaisir je n'ai pas réagi ni prévenu mes potes. Mais il n'est pas entré nous faire cesser. Il nous a matés quelques instants puis s'est retiré sans bruit.
Le lendemain matin je séchais un de mes cours pour aller le trouver. Avant même que je n'essaye de le convaincre de ne pas divulguer notre touze, il me dit comprendre le besoin des étudiants de se détendre et de faire tomber la pression que les études peuvent produire. Il ajoute que nous devrions les prochaines fois prendre soin de bloquer les issues, tous les encadrants n'ayant pas la même tolérance envers nos pratiques, même si nous étions en Californie.
Jardinier
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alexar60 · 1 year ago
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Voyance
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Comme à ses habitudes, Philippe entra en grande pompe dans le temple, bousculant la tranquillité des pèlerins. Ces derniers s’empressèrent de quitter le lieu car le roi était connu pour ses moments de colère. Ses lieutenants s’amusaient de cette situation cocasse. Ils riaient en voyant ces grecs, la trouille au ventre, déguerpir sans demander leur reste. Néanmoins, une fois dehors, l’un d’eux pestait ou crachait sur ce roitelet barbare qui prétendait être civilisé.
Philippe observa le temple, la beauté des statues, la splendeur des décorations. Il était obnubilé par la richesse exposée. Il s’approcha d’une table sur lequel reposait un ciboire en or.
Par Zeus, je sens que je vais me plaire ici ! Annonça-t-il.
Ne prononce pas son nom ! Ce lieu est sacré, ici les dieux ne portent pas de nom !
Le prêtre avança d’un pas assuré. La garde de Philippe recula tellement le regard du vieil homme les impressionnait. Il approcha du roi borgne, huma son odeur qui manquait de parfum. Puis, tout en inspirant un grand coup, il bomba le torse. L’œil de Philippe s’écarquilla, car d’ordinaire, un homme s’imposant à lui de cette façon, finit avec une épée dans le ventre et la gorge ouverte.
Que viens-tu faire ici, petit roi ? demanda le prêtre.
Des toussotements résonnèrent dans le temple. Le macédonien ne s’attendait pas à un pareil affrontement. Il posa la main sur le pommeau de son glaive. La colère commençait à monter. Mais un de ses fidèles le rappela à la raison : « Tuer le grand prêtre ne serait pas une bonne idée ».
Je viens pour laver mes pêchés et connaitre mon avenir, dit-il
Effectivement, j’ai entendu parler de tes pêchés…meurtres, pillages, viols, torture…ils sont nombreux, affirma le prêtre.
Mais son rôle est « de les faire expier » et non de juger le pêcheur. Dès lors, l’homme en toge blanche ordonna au roi et à son escorte de le suivre. Ils se dirigèrent vers d’autres salles expliquant leur utilisation. En même temps, Philippe admira les somptueuses richesses présentes dans chaque partie du temple. Il fut émerveillé par l’autel sacrificiel, les ustensiles en or ou parés de diamants. Il apprécia le plafond peint d’une salle resplendissante. Il aimait tout de cet endroit.
Mais ce qui le frappa le plus fut sa rencontre avec un groupe de jeunes femmes. Elles étaient magnifiquement habillées. En voyant le groupe de barbares autour du prêtre, elles discutèrent entre elles. Certaines se demandant qui étaient ces hommes, d’autres s’ils étaient brutaux. Philippe questionna sur leurs présences, pendant que ses soldats affichaient leurs plus beaux sourires.
Ce sont de jeunes prêtresses venues s’initier aux mystères des grands dieux, affirma le maitre du temple.
Ils quittèrent la pièce, sans remarquer qu’une des filles observait le borgne. Elle avait reconnu celui qui avait vaincu les Thraces et assouvi les grecs. Elle se doutait qu’il y avait un coup à jouer pour son avenir. Elle ne se voyait pas finir comme grande prêtresse de Zeus.
Les jours passèrent et le roi de Macédoine trouva les journées longues qui se limitaient aux prières et à l’instruction. Par contre, ses nuits étaient courtes. En effet, il avait gardé la tradition macédonienne de faire des fêtes qui se transformaient en orgie. Bouffe, boisson et sexe à volonté. Les pèlerins se plaignirent de ses exactions nocturnes, des cris et des chants trop forts. Si bien que le grand prêtre ne savait que faire. Il demanda l’aide de Zeus, en déposant une offrande aux pieds de sa statue. Mais il fut distrait par la venue d’une jeune novice.
Elle proposa son aide et exposa un plan pour calmer Philippe. Il était venu pour des questions, elle proposa de lui donner des réponses. Le prêtre gratta sa barbe, en se questionnant sur les vraies raisons de l’implication de la jeune femme. Après tout, elle était jeune et pourrait profiter de ses charmes. Et puis, il voulait aussi que l’aristocratie macédonienne vienne régulièrement à Samothrace. Leur argent permettrait de faire de l’Ile le plus grand centre religieux du monde connu.
Un soir, alors que les convives commençaient à manger et s’abreuver de vin, La jeune femme s’incrusta dans la villa du roi. Elle fit une énorme impression par sa robe blanche qui ne cachait pas grand-chose de ses courbes ni de ses colliers et bracelets. Ses cheveux longs coiffés en nattes longeaient ses seins ronds et bombés. Elle resta debout, défiant le roi étendu qui mangeait une cuisse de poulet.
Qui es-tu ? Vien-tu nous faire le plaisir de danser ? Demanda un des fidèles lieutenants
Je suis Polyxéna, fille de Néoptolème, sœur d’Alexandre le Molosse et princesse d’Epire. Je suis prêtresse de Dodone, le sanctuaire divinatoire de Zeus, et par la demande de ce dernier, je suis venue pour annoncer ton avenir.
Eh bien, je t’écoute, réagit Philippe.
Non, pas ici. Seul à seul car telle est la décision de Zeus.
Dès lors, il se leva et proposa à Polyxéna d’entrer dans sa chambre. Il s’assit attendit tout en croisant les bras. A ce moment, Polyxéna savait qu’elle jouerait avec la crédulité du roi. Et si cela ne fonctionnerait pas, il pouvait lui faire les pires horreurs ; lui arracher le nez et la langue, lui crever les yeux, ou l’offrir en pâture à ses hommes. Elle savait que sa naissance royale ne la sauverait pas.
Elle débrocha sa tunique, offrant à l’œil du roi de voir un corps sculpturalement parfait. Il faut dire qu’elle descendait d’Hélène de Troie. Puis elle s’agenouilla et avança au son de ses colliers s’entrechoquant. Il s’amusait de la voir se dodeliner lentement, le regard se remplissant de désir. Elle mordit sa lèvre supérieure et, facilement, elle écarta les cuisses de Philippe. Il se laissa faire, sentant les mains de la jeune prêtresse faire monter son ardeur.
Les oracles se passent toujours comme ça à Dordone, murmura un de ses proches qui observait la scène.
Non, je crois qu’ils lisent l’avenir en interprétant le bruit de feuilles de chêne, répondit son collègue.
Ils avaient ordre de surveiller car Philippe avait trop d’ennemis pour le laisser seul, même avec une magnifique femme. Ils regardèrent celle-ci jouer avec le sexe du roi. Elle utilisait aussi bien ses doigts que sa bouche. Elle s’amusait à le faire soupirer en effleurant du bout des lèvres son membre gonflé.
Soudain, elle renversa le roi qui faillit se fracasser le crane. Toutefois, surpris, il se mit à sourire en la voyant le chevaucher. Il sentit son organe entrer dans une fente chaude et moelleuse. Il se contenta de caresser ses cuisses fermes tout en admirant ses seins se balancer au-dessus de sa tête. Le corps de Polyxéna était chaud, le sien devenait bouillant.
Elle ferma les yeux, dansait sur Philippe provoquant un va-et-vient long et torride. Il regardait ses lèvres s’entrouvrir. Il regardait ses jolies dents blanches pincer le bout de sa langue. Il commençait à aimer cette femme qui semblait être encore une gamine. Puis, elle gémit avant de se mettre à parler :
Je vois ! oui, je vois un homme qui fera plier la Grèce. Je vois cet homme qui gouvernera sur le monde civilisé…Oui, je vois un conquérant. Il vengera les grecs des humiliations des Perses…Il combattra et vaincra la Perse. Je vois un homme qui deviendra un Dieu…Il gouvernera sur la Perse…Il unifiera la Grèce et la Perse…Je vois un homme qui créera des cités aux confins du monde. Je vois un homme qui sera vénéré pendant des siècles.
Lorsqu’il sentit la jouissance l’envahir, il se redressa collant sa poitrine musclée contre la sienne. Elle partait aussi, gémissant de plaisir. Après avoir repris son souffle, Polyxéna embrassa le borgne qu’elle ne trouvait pas beau. Enfin, elle le regarda, fixa de ses yeux pleins de certitude et ajouta :
Voilà ce que je vois en toi !
Philippe calma ses orgies au profit de nuits intimes avec Polyxéna. Peu avant son départ de l’ile, il proposa d’épouser la jeune femme. Dès lors, la princesse régna sur le royaume de Macédoine et se fit appeler Olympias. Elle eut deux enfants avec Philippe, qui pourtant, ne l’aimait plus. Il la détestait parce qu’il avait compris qu’il a été trompé. Jamais il ne deviendra cet homme évoqué par l’oracle. Cet homme n’était autre que son propre fils et celui de Polyxéna. Celui qu’on appellera Alexandre le Grand.
Alex@r60 – août 2023
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lilias42 · 1 month ago
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6 : dans une classe différente
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Pour ce nouveau jour, c'est la Brave du Corps, Metaheta, qui est à l'honneur, même si elle n'est pas bien contente de ce qu'elle récolte comme "armure" et des propos de sa descendante, Hilda (et on en profite pour mettre un taquet sur le gout... discutable des classes féminines de ce jeu !)
Normalement, Metaheta est une combattante au corps à corps qui n'utilise que ses poings et ses jambes pour se battre, elle n'a pas vraiment de coup à distance (comme des sorts classiques) pour attaquer à part quand elle décide de vous balancer la moitié de sa montagne sur la figure ou quand elle se fait grandir pour vous écraser. Elle est très résistance et grâce à sa très grande capacité de régénération, ses blessures se referment très vite quand ses ennemis arrivent à la toucher. Elle a également de très nombreux yeux sur tout le corps (notamment dans le dos) qui lui permettent de voir sous tous les angles. Sa sorcellerie est pensée pour la rendre plus ou moins imbattable étant donné qu'elle est la plus âgée de sorciers (1 200 ans en tout, dont deux cent ans à survivre aux agarthans qui ont chassé son peuple pour le fun car, ils les considéraient comme des animaux, elle est même devenue une des premières sorcières de l'histoire pour pouvoir protéger les siens).
Même si je ne met jamais mes sorciers dans une classe spécifique du jeu (leurs pouvoirs sont justes trop particuliers pour pouvoir être catégoriser, même si certains utilisent des armes blanches, notamment Siopélè, l'ancêtre de Marianne, qui utilise constamment une épée), je pense que pour Metaheta, elle serait surement un maitre de guerre, même si elle se débarrasserait de tout ce qui est inutile dessus pour être le plus libre de ses mouvements possible (la cape, l'énorme protection d'épaule qui lui bouche la vue... tout ça, ça dégage !), surtout qu'elle ne fait pas vraiment attention à ses affaires quand elle se bat. Elle se donne juste à fond sans penser à autre chose que de défoncer l'adversaire et de protéger sa cité donc, ses vêtements finissent souvent en lambeaux ou imprégner de sang alors, elle met quelque chose de facile à réparer ou pas trop cher (même si c'est la seule des Braves qui est riche) histoire de ne pas jeter du tissu à la poubelle (une de scènes les plus marquantes que j'ai en tête à son sujet, c'est quand les agarthans arrivent à l'attirer dans une embuscade en volant la peau de son frère et en se faisant passer pour lui. Quand elle se rend compte de la supercherie, elle devient ivre de rage et massacre toute la troupe à elle toute seule à mains nues, en particulier celui qui ose se faire passer pour son frère dont il a arraché la peau comme celle d'une vulgaire proie qui finit réduit en charpie à coup de poing, tellement que rien ne pourrait soupçonné que ce tas de chair a été un agarthan ou un humain alors qu'elle est intégralement couverte de sang rouge-brun d'agarthan, avec juste l'écarlate de l'oeil sur son front qui s'ouvre à ce moment-là alors qu'elle jure de les tuer tous jusqu'au dernier [même si contrairement aux agarthans - et aux responsables de la Tragédie de Duscur - elle ne tuera que les combattants et les décisionnaires, elle laisse toujours partir les civils qui n'ont rien demander ni fait à part naitre dans le mauvais peuple]). Alors, étant donné qu'elle est une sorcière et qu'elle manie la magie, je pense qu'elle pourrait finir grémorys si on la changeait de classe, même si ça ne corresponds presque pas à ses vrais capacités.
Cependant, elle DETESTERAIT avec ses tripes l'uniforme des grémorys !
Je ne suis surement pas la première à le dire mais, les tenues féminines de ce jeu ont beaucoup trop d'élément qui ne sont là que pour le plaisir des joueurs masculins et pas du tout pour la protection des combattantEs ! Un des meilleurs exemples de ça, la classe des enchanteurs :
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Si la tenue masculines ressemblent à ce qu'on attend d'un magicien relativement classiques dans la pop culture (grande robe, grand chapeau, beaucoup de tissu de partout...) l'habit féminin est très genré, avec la taille qui est souligné et cintré (là où elle est invisible pour les hommes) et surtout cet énorme fenêtre pour seins inutiles sur un champ de bataille, c'est juste se mettre une énorme cible en plein sur la partie la plus sensible du corps avec écrit dessus "tuez moi SVP !". C'est encore plus flagrant quand on se souvient que la plupart des utilisateurs de magie de Raison sont des femmes (Annette, Dorothéa, Lysithéa, voir Mercedes avec si on la développe sur le plan offensif et de la Raison), et la classe de grémory qui est également très genré et révélatrice pour rien est réservée aux femmes alors, le but des développeurs devient assez évident. Je ne demande pas à ce qu'une classe d'un jeu vidéo de fantasy soit ultra réaliste (même si je pense sincèrement que de vrais armures bien faites et documentées serait bien plus cool et agréable à regarder que... ça pour les batailleurs) mais, là, c'est évident que les développeurs voulaient juste transformer leurs personnages féminins en bonbon pour les yeux (eye candy pour les anglophones) pour le grand plaisir de leurs joueurs masculins hétéros, le grand désespoir du reste de la fanbase et surtout les femmes qui en ont marre d'être limité à une paire de sein et des fesses qui bougent pour décorer le champ de vision de hommes.
Alors, allez, autant profiter de cette invit' pour faire un petit braquage et montrer une combattante qui a une réaction censée face à un habit pareil ! Elle est donc dégoutée par cette tenue qui la serre, et pète juste un cable quand elle comprend que les hommes ne se l'inflige pas alors, c'est juste pour qu'ils se rincent l'oeil sur leurs camarades. Elle vient de l'époque mycénienne, les femmes avaient une place importante dans cette civilisation et elle-même a toujours eu une position d'autorité, notamment grâce à son rôle de sorcière, et elle a toujours été solidaire avec toutes les femmes, même quand celles des autres cités perdent de l'importance et de l'autonomie dans les autres cités. Elle ne supporte donc pas que l'on l'objectifie ainsi et préfère tout déchirer pour aller se battre en pagne, c'est toujours mieux que ce truc ! En plus, la civilisation de Metaheta étant inspirée de l'époque mycénienne, l'habit normal des femmes étaient une jupe, avec ou sans une sorte de boléro qui laissait souvent la poitrine découverte. C'est donc complètement normal pour elle de laisser sa poitrine à l'air libre (elle porte souvent juste une jupe pour garder un maximum de ses yeux découverts) et comme elle voie que Hilda porte une mini-jupe, elle se dit que c'est normal aussi alors, elle ne se gêne pas, histoire d'encore gagner en visibilité. En plus, j'aimais bien le contraste entre son corps couvert de fierté qui est très chargé, et le côté très uni du tissu qu'elle porte quand je la dessine.
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(différentes peintures et un sarcophages décoré mycéniens, c'est juste magnifique !)
Petit point anecdote de dessin : d'habitude, je ne met jamais autant en valeur les courbes d'un personnage en mettant le détail de la poitrine et des fesses comme ici, j'ai ajouté ses détails pour montrer à quel point la tenue la serrait et était moulante, ce qui la rend évidemment encore moins pratique. C'est aussi pour ça que j'ai enlevé les muscles ou le relief des yeux de Metaheta, pour renforcer encore plus l'aspect "on se fiche des particularités de ton corps, tout ce qu'on veut, c'est des fesses et des seins d'une femme au corps de mannequin qui ne peut pas nous défoncer la gueule si on la mate", alors que même si elle peut changer d'apparence et que ce n'est pas rare qu'elle cache ses muscles quand elle tente de tromper quelqu'un, elle est très fière de ses fiertés et de ses muscles alors, elle les laisse visible autant qu'elle peut.
(Et faut vraiment que je trouve le courage de faire une fiche de personnage pour Metaheta pour que ses fiertés restes régulières - -' )
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tournevole · 10 months ago
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金马奖
Une légende chinoise raconte qu'au début de l'apparition du monde tel que nous le connaissons maintenant, le premier soleil est apparu comme par enchantement divin en haut à gauche dans le ciel et n'ayant eu le temps que de suivre le tracé d' un arc de cercle dans le ciel, disparu aussitôt, Privant la terre de lumière, de chaleur, d'un cycle de vie et de mort. Le créateur n'avait pas prévu que le soleil s'effacerai du ciel, furieux il commençait à pester contre le maitre du temps qui était le responsable des poulies , engrenages, rouages et manivelles et qu' avait du connaitre un dysfonctionnement. Shíjiān dàshī, maitre d temps, les mains dans le cambouis, boulons tourne vis entre les dents se démenait pour réparer le mécanisme de la machinerie du soleil.
Les plantes , les arbres, les rivières, les rochers, le lichen, les scarabées, les fourmis, les tigres, les serpents, enfin tout ce qui étaient vivants sur ce royaume réclamait le retour du soleil.
Ma jiang, le petit cheval, accompagné de Huǒ niǎo un bel oiseau décidèrent d'aller chercher le soleil. Ils étaient tout deux téméraires, intrépides et courageux. Leur paquetage bien rempli de divers objets dont ils esperaient se servire pour denicher le soleil ( un compas, une equerre, une cane à peche, un echeveau de fil de soie).
Les 2 aventuriers escaladèrent, la plus haute montagne pour s'approcher au plus près du ciel et de l'endroit ou le soleil était apparu.
Au sommet du monde, ils se penchèrent et ils apperçurent le soleil qui etait coincé
Kogane no uma
La légende dit que lorsque la premiere fois que le soleil est apparu sur l'empire du soleil levant, les premiers êtres vivants à recevoir ses rayons prodiguants lumière, chaleur et beauté furent un cheval et un oiseau.
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putainsoumise · 2 years ago
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SERVICE(s) AU CAP D'AGDE 06 - 07 - 08 - 09 -
SERVICE(s) AU CAP D'AGDE 06 - 07 - 08 - 09 -
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ENGLISH VERSION AFTER THE FRENCH ONE
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SERVICE(s) D'AIDE A LA PERSONNE AU CAP D'AGDE (jobs d'été) JUIN... JUILLET... AOUT... SEPTEMBRE...
Qui peut me proposer un ou des jobs d'été au CAP D'AGDE
Je peux être à votre disposition à la journée... à la semaine... au mois... Mes fonctions sont multiples et variées. Je peux être factotum... chauffeur... faire le ménage... faire vos courses... faire le service pendant vos soirées... et bien plus encore...
Plus de renseignements et explications complémentaires directement par mail
A très bientôt j'espère
Esclavement et Putement vôtre
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SERVICE (S) FOR THE PERSON IN CAPE D'AGDE (summer jobs) JUNE ... JULY ... AUGUST ... SEPTEMBER ...
Who can offer me one or several summer jobs at CAP D'AGDE
I can be at your disposal by the day ... by the week ... by the month ... My duties are many and varied. I can be factotum ... driver ... do the housework ... do your shopping ... do the service during your evenings ... and much more ...
More information and further explanations directly by email
See you soon I hope
Slavery and Bitchy Yours ************************************************************************ MIS A VOTRE DISPOSITION en RP a PARIS au CAP D'AGDE ou AILLEURS GRACE AUX SERVICES D'AIDE AUX PERSONNES (grâce au CESU profitez de 50 % de réduction d'impôts)
Je cherche à me mettre à disposition de personnes qui peuvent me proposer un ou des jobs en RP a PARIS au CAP D'AGDE ou AILLEURS
Totalement "SOUMISSIBLE" je peux être à votre disposition à la journée... à la semaine... au mois...
Pour information j'ai servi un couple de très haute bourgeoisie parisienne pendant 5 ans dans ces conditions Eduqué et dressé comme Kajirus mais très très souvent utilisée comme kajira
Mes fonctions peuvent être multiples et variées. Je peux être utilisé(e) comme factotum... chauffeur... faire le ménage... faire vos courses... faire le service pendant vos soirées... être utilisée comme soubrette... servir d'esclave sexuel... être femélisée... et bien plus encore... 24/24 à votre service
Esclave sexuel à disposition de femme dominatrice ou couple dominateurs
Ayant un impérieux besoin d'être utilise(e) comme une femelle esclave sexuelle
J'aime être pris(e) en main par une personne dominante ou un couple dominants qui pourrait faire de moi un(e) véritable esclave sexuel(le), un(e) chien(ne) en chaleur, un(e) putain soumis(e), un trou à bite pour être utilisé(e) comme femelle... salope... chienne... pute et tous ces mots ne sont pas que des mots pour moi mais un réel désir.. ou besoin d'être utilisé(e) comme ça
J'aime être exhibé(e) et présenté(e) pour être offert(e) et mis(e) à disposition en permanence.
"O" comme dans histoire d'O, un collier autour du cou et tenu en laisse mes Maitresse et Maitre pourront m'exhiber et me présenter à tous afin que je sois offert(e) et mis(e) en pâture comme ils le voudront de façon soft ou plus hard y compris pour des mises à l'abattage Chacun pourrait me palper... me fouiller... me pétrir... me triturer les fesses ou les tétons... me doigter... me baiser... double sodo possible... me goder... me fister... être livré(e) pour un Gang Bang, ou pour être baisé(e) à la chaine, et être utilisé(e) de façon intensive... etc.
MAIS IMPERATIVEMENT AVEC DES PRESERVATIFS PROPRES ET NEUFS A CHAQUE PENETRATION
Si vous avez d'autres idees ou propositions je suis ouvert(e) meme aux idées les plus perverses ou les plus vicieuses
J'espère devenir pour vous une bonne femelle... une bonne salope... une bonne chienne ... une bonne pute
Avec mes respectueux hommages
Esclavement et Putement vôtre
Stephan(i)e
************************************************************************ Baie des cochons : bienvenue sur la plage libertine du Cap-d’Agde Au coeur du village naturiste du Cap-d’Agde, sur un morceau de plage rebaptisé “baie des cochons”, les libertins s’amusent. Fellations, masturbations, bukkake, gang bang : ici, le plaisir est public et collectif. Article extrait des Inrocks spécial sexe, actuellement en kiosque.
C’est l’heure du goûter et quelques messieurs, visiblement affamés, hâtent le pas sur le sable chaud. Arrivés à hauteur d’un parasol gris, ils s’arrêtent et se placent soigneusement en arc de cercle. Ils sont cinq, puis dix, trente. Tous sont nus et en érection. Muscles contractés, mâchoire serrée, la plupart se masturbent même avec énergie. Sous le parasol, posé sur une serviette blanche, un couple se montre. La femme est allongée sur le dos, l’homme se tient sur elle, dans la position du missionnaire. Ils ont une cinquantaine d’années et leurs corps sont extrêmement blancs, totalement épilés. Bientôt, ils glissent en levrette. Autour d’eux, les spectateurs semblent toujours plus nombreux, toujours plus excités. Après quelques instants, elle souffle un mot à son partenaire, en allemand. Il se retire d’elle et introduit un premier doigt dans son vagin, puis un deuxième. Avec attention, il accélère le mouvement et, rapidement prise de convulsions, elle jouit. Elle jouit magistralement. Madame est une femme fontaine et l’assistance est aux anges. Quelques applaudissements se font même entendre. Le spectacle ne fait pourtant que commencer.
Au Cap-d’Agde, sur un morceau de la plage du camp de naturistes, long d’une centaine de mètres et rebaptisé “baie des cochons”, rien ne semble interdit. Les couples s’aiment en public et assouvissent leur désir d’exhibitionnisme devant une cohorte de voyeurs à l’affût. En semi-érection permanente, ceux-ci passent d’un couple à l’autre exactement comme un enfant enchaînerait les attractions à Eurodisney. Ici, la police se fait extrêmement rare. Elle intervient parfois lorsque les ébats se prolongent en bordure de la plage, dans les dunes rattachées à la réserve naturelle. Il est même arrivé que des voyeurs et des exhibitionnistes s’y fassent arrêter et emmener au poste, simplement habillés d’une paire de menottes. Mais sur la plage, elle ferme les yeux. Car, même si l’exhibitionnisme y est, comme partout, un délit, les plaintes sont rarissimes. Dans le coin, tout le monde sait ce qui se trame à cet endroit.
Tout le monde est adulte, consentant et nu
Depuis la construction du village naturiste du Cap-d’Agde dans les années 70, cette parcelle de sable a toujours accueilli les libertins et leurs pratiques ont presque fini par entrer dans les moeurs. Des lois informelles se sont même établies au fil du temps. Sur la “baie des cochons”, tout le monde est adulte, consentant et nu, absolument nu (même le journaliste, après qu’il eut renoncé au stratagème du paréo). Le groupe veille sur lui-même et chasse ceux qui mettraient en danger son harmonie. Cet après-midi-là, un homme ayant eu l’indélicatesse de sortir un téléphone portable pour filmer une femme en action se fera ainsi sévèrement reprendre. Son portable finira même à l’eau.
Au Cap-d’Agde, les exhibitionnistes se montrent dans l’assurance que les voyeurs sauront se tenir, malgré l’excitation. Ici, lorsqu’un homme jouit et répand sa semence sur la plage, il prend même le temps de la recouvrir de sable.
Un peu plus loin, c’est maintenant une femme très bronzée, la cinquantaine peroxydée et siliconée, qui s’offre à son homme. Il est à genoux devant elle et lui lèche le clitoris. Un nouveau cercle de voyeurs se forme autour d’eux. Les plus jeunes ont 25 ans, les plus vieux presque 80, à vue d’oeil. Ils sont là, agglutinés, collés les uns aux autres, le sexe à la main. Ils se masturbent dans un silence de cathédrale, comme concentrés sur les petits cris de plaisir poussés par la femme. C’est elle l’héroïne de ce spectacle improvisé, aux allures de tournage porno en plein air et en public. C’est elle qui donne le tempo, dit “oui” ou “non”.
Quand une femme désigne un homme, il doit venir la contenter
Au Cap-d’Agde, la femme est toujours au coeur des attentions, et ses désirs sont comme des ordres. Quand elle désigne un homme dans la foule des voyeurs, celui-ci doit se rapprocher et venir la contenter, ce qu’il fait généralement avec empressement. Là, le veinard est un jeune homme d’origine maghrébine au corps ferme. Délicatement, il s’installe à côté de madame et pose ses doigts sur son corps, puis lèche ses seins. Bientôt, il pourra venir en elle.
Comme partout ailleurs, personne n’est évidemment égal devant le désir. Il y a une hiérarchie et un ordre esthétique. Dans Les Particules élémentaires, s’arrêtant pendant quelques pages magistrales sur la plage du Cap-d’Agde, Michel Houellebecq écrit :
“(…) une femme au corps jeune et harmonieux, un homme séduisant et viril se voient entourés de propositions flatteuses. Au Cap-d’Agde comme ailleurs un individu obèse, vieillissant ou disgracieux sera condamné à la masturbation – à ceci près que cette activité, en général proscrite dans les lieux publics, sera ici considérée avec une aimable bienveillance.”
Nudité, érection et chaussures de ville, tout passe
Au fil des heures, et des jours, rien ne choque ou ne surprend plus vraiment. On s’habitue à voir déambuler des sexagénaires équipés d’épais cockrings en métal (assurément l’accessoire de l’été 2012 au Cap-d’Agde). On se fait aussi au spectacle bizarroïde d’hommes en érection, nus mais chaussés de leurs chaussures de ville ou de leurs baskets, car le sable brûle les pieds en plein après-midi. Tout devient normal. Tout passe. Même quand notre voisine de serviette, âgée d’au moins 70 ans, ouvre ses cuisses en grand et entreprend de se caresser pour le plaisir d’un mateur venu se poser à quelques centimètres d’elle, sous l’œil approbateur du mari, un homme aux longs cheveux blancs et au physique de gourou de secte.
A lire aussi : Faisons un tour en club échangiste
Ici, les corps, entièrement épilés dans l’immense majorité des cas, sont souvent usés, tombants, fripés. La moyenne d’âge tourne autour de 45 ou 50 ans et, si l’on recense quelques hommes dans la fleur de l’âge, les femmes de moins de 40 ans sont très rares. “C’était mieux avant”, regrette d’ailleurs un homme à casquette, posté en haut d’une petite dune, à un poste d’observation privilégié. “Il y avait des jeunettes, des belles filles. Elles sont toutes parties…”
De façon générale, des habitués de la plage aux policiers municipaux en passant par les habitants du coin, on s’accorde à dire que “la baie des cochons” est au creux de la vague, et qu’il s’y passait davantage de choses il y a cinq ou dix ans. Pour la police, les arrestations dans les dunes portent leurs fruits et dissuadent une partie des exhibitionnistes et voyeurs. Pour les autres, c’est l’apparition des boîtes libertines, ouvertes le jour, qui a changé la donne. Il se dit, par exemple, que les jeunes libertines du Cap-d’Agde passent désormais leurs après-midi au Glamour, une boîte de nuit du village naturiste réputée pour la qualité de ses ambiances mousse.
Il est 18 heures, les choses s’accélèrent
Pourtant, indiscutablement, les trois ou quatre cents fidèles venant poser leur serviette chaque jour d’été sur “la baie des cochons” continuent de s’y s’amuser. Il est maintenant 18 heures et le poste de surveillance des maîtres nageurs vient de fermer. Les choses s’accélèrent. Dans l’eau, à quelques mètres du bord, on remarque une vingtaine d’hommes en groupe. Au milieu d’eux, une femme aux cheveux courts, extrêmement généreuse.
Sur la plage, on s’active aussi. Goguenard, un homme revient de derrière les dunes et raconte à ses copains qu’”une fille vient de se faire éjaculer sur le visage par une dizaine de types” (une pratique connue sous le nom de bukkake). Plus loin, une femme rousse allongée sur le sol fait l’attraction. Elle est entourée d’au moins cinquante hommes et elle désigne les élus, appelés à venir profiter d’elle. Ils piaffent tous, cherchent à capter son regard dans l’espoir d’un signe. Mais elle semble impénétrable, les yeux dans le vague, doucement gagnée par le plaisir.
Elle dit ” viens” à un homme. Elle est française, comme une majorité des gens présents sur la plage, semble-t-il. Il y a aussi beaucoup d’Allemands, de Hollandais, de Belges et quelques Anglais. Mais, dans le plus simple appareil, les étiquettes tombent vite, et les marqueurs sociaux s’estompent naturellement. C’est aussi le charme du Cap-d’Adge. Si quelques coupes de cheveux ou quelques tatouages maladroits semblent trahir, parfois, une appartenance à un milieu populaire, on ne peut savoir véritablement qui est riche, qui est pauvre, qui est cadre ou ouvrier.
Toujours dans Les Particules élémentaires, Houellebecq évoquait, avec une certaine gourmandise, la présence “d’infirmières hollandaises, de fonctionnaires allemands, tous très corrects bourgeois, genre pays nordiques ou Benelux”. Sur place, pourtant, les informations sont difficiles à glaner. Un homme, habitué des lieux depuis une dizaine d’années, glisse qu’il est commercial dans l’agroalimentaire. Une femme dit être kinésithérapeute. Mais, ici, personne ne veut être ramené à la vraie vie. Il y a tellement mieux à faire. Tellement mieux à évoquer. Le soleil tombe et des couples se rapprochent, entament la conversation. Il est grand temps de préparer ce qui se passera plus tard, à l’abri des regards, cette fois.
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esmerald-stuff · 1 year ago
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pl familiaux ♡
bonjour bonjour ♡ sur live by the sun nous recherchons quelques préliens familiaux : nous sommes déjà quatre membres présents et nous recherchons trois personnes supplémentaires (01f/02m). ♡ une famille compliquée, qui se déchire, qui souffre, mais face au monde, ils font face, se protègent, se soutiennent, envers et contre tout. nous attendons cette belle famille avec impatience !
n'hésitez pas à me mp si intéressé.e.s ♡
tw : deuil, pression familiale, classisme, violence
comblés de diamants, de parures dorées, de la puissance d'une famille renommée. le nom susurré par crainte, murmuré avec une pointe d'admiration. la dynastie familiale, qu'ils ne doivent qu'au patriarche, qu'à sa fortune colossale, gérée d'une main de maitre, d'une main de fer. il ordonne, il décide, les autres obéissent (....) + clique pour en savoir plus
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sous-le-saule · 1 year ago
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Crieront-ils mon nom ?
- Ah, Cléon, si tu savais comme je l’aime.
Après avoir poussé un lourd soupir, il détourna les yeux de la tribune d’honneur et vint me rejoindre dans l’ombre de l’hypogée pour que j’ajuste les sangles de sa légère armure de cuir.
- C’est pas de l’amour, ça, gamin. Tu la connais pas. Tu lui as même jamais adressé la parole – non que ça risque d’arriver, d’ailleurs. Tu la trouves juste agréable à regarder. C’est pas pareil.
- Qu’est-ce que t’en sais, grand-père ? rétorqua-t-il avec la cruauté de la jeunesse. T’as jamais eu de femme et t’es trop vieux pour te souvenir de ce que c’est, d’être amoureux.
Je le laissai dire. Depuis que j’étais trop âgé pour combattre, je m’étais occupé d’assez de jeunots dans son genre pour savoir que le mieux était encore de laisser courir. Ca lui passerait.
- Son père est là aussi. Peut-être qu’elle pourrait le convaincre de m’acheter ? Hein ? Et comme ça, on pourrait se voir tous les jours ?
Il était en train de s’exciter tout seul, le môme, et moi je le voulais concentré. C’était une sale journée pour se battre. Le soleil tapait sans pitié et l’air était lourd. Probable qu’on allait avoir de l’orage d’ici quelques heures. Le genre d’atmosphère qui rend les combattants impatients et imprudents. Sans doute que ça me rendait irritable aussi parce que, au lieu de laisser pisser, je décidai de lui rabattre son caquet.
- Et alors ? Tu t’imagines qu’il va laisser un esclave fricoter avec sa fille ? Tu rêves tout éveillé si tu crois seulement que cette gamine de la noblesse pourrait s’intéresser à toi. Elle connait même pas ton nom, fiston, redescends sur terre.
- T’as raison. T’as raison, c’est la première étape. Faut qu’elle sache mon nom. Si je fais un bon combat… non, un combat extraordinaire… les spectateurs scanderont mon nom, hein ?
- Peut-être bien, fis-je, prudent.
Les riches, on sait jamais trop comment ça va réagir. En plus, j’avais observé la foule quelques instants plus tôt et, comme je le craignais par cette chaleur, le public était apathique, plus préoccupé par les rafraichissements servis que par les combats. Celui du petit allait être le dernier de la matinée, les gens étaient déjà blasés, et ils commençaient à avoir faim.
Je lui tendis son épée courte et mis la main sur son épaule pour le ramener dans le monde réel.
- Hé, Jorn, n’en fais pas trop, hein ? Tu sais qu’il y a que deux façons de sortir d’ici…
- Libre et debout, ou les pieds devant. Tu me l’as déjà dit cent fois. A moins que je finisse comme toi, me fit-il avec un clin d’œil.
Moi, j’étais jamais sorti. Trop chanceux pour mourir, pas assez malin pour parvenir à convaincre mon maitre de me vendre ma liberté. Enfin, il y avait pire sort que le mien, et je m’en accommodais. Par la force des choses, j’étais devenu entraineur, soigneur, et confident plus souvent qu’à mon tour. Je m’étais donné pour mission que le plus possible de mes gars quittent l’arène rapidement, et sur leurs deux pieds. Je me débrouillais pas trop mal.
Jorn sautilla sur place, ébaucha quelques mouvements d’épée, puis me lança un sourire désarmant.
- T’en fais pas, je sais ce que je fais.
Et il s’engouffra dans la lumière au son d’applaudissements mous.
Il était agile, il fallait lui reconnaitre ça. Il enchaina les esquives spectaculaires et son adversaire commençait à fatiguer nettement, dégoulinant de sueur à force d’essayer d’embrocher le freluquet avec sa lance. Il était plus massif et avait aussi opté pour une armure plus lourde. J’avais bon espoir.
D’une attaque audacieuse, le gamin parvint à s’approcher assez pour lui entailler le bras, mais l’autre broncha à peine. Les passes d’armes s’enchainèrent, sans qu’aucun parvienne à toucher l’autre.
Puis, tout à coup, Jorn eut un moment d’inattention. Une seconde, il détourna les yeux, sans doute pour vérifier si la fille le regardait, ce petit imbécile, et ce fut suffisant pour que son opposant le transperce de sa lance. Vu l’air surpris du lancier, j’aurais dit qu’il n’avait pas compté y aller aussi fort, ou qu’il avait cru que Jorn esquiverait encore. La plupart du temps, les combattants ne visaient pas la mort de l’adversaire, juste une blessure suffisante pour mettre fin à l’affrontement. Personne n’avait intérêt, au prix où était l’esclave, à ce que chaque combat se termine en mise à mort.
Il restait planté là, ce grand échalas, à me chercher du regard, et je me précipitai parce que, s’il n’achevait pas le petit, c’était peut-être qu’il y avait une chance que je puisse le rafistoler.
Je sus tout de suite que non, au son que faisait sa respiration et aux bulles ensanglantées qui perlaient à sa bouche. Le poumon était perforé.
Le silence régnait dans le public. J’aurais aimé que ce soit un silence respectueux pour l’homme qui avait combattu habilement pour leur amusement. Ou au moins un silence coupable. Mais c’était juste du désintérêt. Certains se levaient déjà pour aller manger.
Heureusement, le gamin était déjà trop parti pour s’en rendre compte. Il agrippa mon avant-bras.   
- Est-ce que… est-ce qu’ils crient mon nom ?
- Oui, petit, ils crient ton nom.
- Elle aussi ?
Je jetai un coup d’œil à la tribune d’honneur. La fille riait avec sa dame de compagnie, indifférente à ce qui se passait dans l’arène.
- Oui, elle aussi.
Il mourut le sourire aux lèvres.
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jpbjazz · 8 months ago
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LÉGENDES DU JAZZ
BUSTER WILLIAMS, MAITRE DE LA CONTREBASSE
‘’I’m a bass player, front and center. When I’m working in a group, then the music gets defined and determined by the leader. The main reason I’ve decided now to concentrate on my own music is that I wanted to be the person determining what got played, how it was played and what it ultimately sounded like on the bandstand. That’s my focus now, to play my own music and emphasize my compositions.’’
- Buster Williams
Né le 17 avril 1942 à Camden, au New Jersey, Charles Anthony "Buster" Williams était le fils de Charles Anthony Williams Sr. et de Gladys Williams. Le père de Williams, Charles Anthony Williams Sr., était contrebassiste et jouait aussi du piano et de la batterie. Sa mère Gladys était blanchisseuse. Surnommé ‘’Cholly’’, le père de Williams avait pratiqué plusieurs métiers pour nourrir sa famille de cinq enfants, mais il n’avait jamais abandonné la musique et se produisait dans les clubs après sa journée de travail. Grand amateur du légendaire contrebassiste Slam Stewart, Williams avait été le premier professeur de son fils et lui avait enseigné les vertus du travail bien fait. Buster avait commencé à s’intéresser à la contrebasse après avoir entendu l’enregistrement du standard ‘’Stardust’’ de Oscar Pettiford.
Comme Buster l’avait expliqué des années plus tard: “It was an unwritten law that I had to play it right or hear about it [from his father]. I was going to be the best”. Dans une autre entrevue, Buster avait précisé:
"My father was my teacher. He would prepare my lessons for me, and when I got home from school I was supposed to practice, then he would listen while he was eating his dinner. It was an unwritten law that I had to play it right or hear about it. I was going to be the best. I had no choice. In those days, instead of a two car family, we were a two bass family. My father was a fan of Slam Stewart, and he strung his basses the way Slam did. Instead of the regular G-D-A-E, he strung a high C; ie,C-G-D-A. Adding the C string puts the playing of higher-pitched passages at a more comfortable position. Of course, when he decided to teach me he restrung one of his basses in the traditional manner for me. He told me, 'If I re-string my bass for you, you'd better be serious!'" 
La maison de la famille Williams était toujours remplie de musique. Buster s’était familiarisé avec le jazz par l’entremise de l’impressionnante collection de disques de son père. Il expliquait:
‘’He had an extensive record collection, and we had a roller piano, you know, an upright piano. And you put these rolls of music and press the pedals. We were listening Art Tatum, Jimmie Lunceford Orchestra, Count Basie, Duke Ellington, and all of this music was going on in my house all the time. My father’s musicians friends would come over. He had a good friend named Kenny Andrews, a piano player, and he would come over and they played duos all day long. I was hearing the music and any question that I would ask my father or his musician friends, they would answer for me. I had been listening to Thelonious Monk, and my oldest sister belonged to the Columbia Record Club. They would send us records every month. That’s when I first heard Miles Davis, Art Blakey and Horace Silver.’’
Très reconnaissant à son père avait exercé d’avoir encouragé son développement comme musicien, Williams avait ajouté: ‘’My father was a great, great player. I heard many fine records when I was growing up, and the sound of Slam Stewart was a prime influence on me, both in terms of his arco sound and the way he strung the bass. My father told me that if he took the time to prepare my instrument I had better {to} be serious about it. It’s something that I’ve never forgotten and will always remember about playing and about music.’’
Williams avait décroché un de ses premiers contrats professionnels avec un ami de son père, le saxophoniste ténor Louis Judge.
En 1959, à l’âge de dix-sept ans, Williams avait commencé à jouer à Philadelphie avec le quartet du saxophoniste Jimmy Heath qui comprenait Sam Dockery au piano et le légendaire Charles ‘’Specs’’ Wright à la batterie. Comme Williams l’avait précisé plus tard: ‘’What I learned from Jimmy about music and life was so valuable that bits and pieces of that experience continue to unfold even now. It was like taking a Time release "capsule of knowledge."
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Un mois après avoir décroché son diplôme du Camden High School en 1960, Williams s’était joint au groupe des saxophonistes Gene Ammons et Sonny Stitt. À l’origine, c’est plutôt le père de Williams qui devait être engagé avec le groupe, mais comme il n’avait pu se libérer, c’est Buster qui avait pris sa place. Williams explique comment il avait commencé à jouer avec le groupe:
‘’One of my father’s good friends was a bassist that played with Charlie Parker named Nelson Boyd. Charlie Parker penned the tune ‘’Half Nelson’’ for Nelson Boyd, and he was how I got my introduction to Gene Ammons and Sonny Stitt. The gig started on Tuesday at The Showboat in Philadelphia and Boyd couldn’t make the weekend, so he called my father to take the gig. My father was working, so he sent me instead. I also played quite a bit with Jimmy Heath in Philadelphia before goint out on the road with Gene and Sonny. Camden and Philly were filled with clubs. It was quite inspirational.’’
Williams poursuivait: ‘’When I went out on the road with Gene Ammons and Sonny Stitt, it was exciting. And of course, I was nervous at first because I knew this was the big time. I didn’t realize, until I got on the bandstand, how much my father had really prepared me. That’s rich, you know ? It was truly to my benefit.’’
Williams avait tellement impressionné Ammons et Stitt qu’après une seule performance, ils lui avaient demandé de les accompagner en tournée.
Williams était demeuré avec le groupe durant environ un an. Finalement, Ammons était parti avec la caisse lors d’un séjour du groupe à Kansas City, et personne n’avait été payé. Heureusement, Williams, le pianiste et le batteur du groupe avaient obtenu un contrat d’une semaine pour travailler avec Al Hibbler.
De retour à Camden, Williams avait pris des cours de composition, d’harmonie et de théorie au Combs College of Music de Philadelphie. Il avait étudié sous la direction du docteur Roland Wiggins.
Après avoir été découvert par la chanteuse Dakota Staton, Wlliams avait obtenu un engagement à Wilmington, au Delaware, avec le trio de Gerald Price. En 1962, Williams avait accompagné la chanteuse Betty Carter. Décrivant sa collaboration avec Carter comme expérience à la fois inspirante et perturbante, Williams avait précisé:
‘’Well, the first thing you had to understand about Betty Carter is, ‘’Don’t go with her.’’ You may start out together, then you look around and Betty Carter is two blocks behind you, but she knows where she is. She had that kind of intuitive understanding of improvisation. She would be improvising while she’s still singing the melody. If you make the mistake of trying to wait for her, then you’d be drastically wrong because she knows where she is and she’s going to be where she needs to be when she needs to be. I used to tell her, ‘’Betty, when you come in and I hit my first beat, then I’m going to go out and have lunch and I’ll be back in time for me to play beat two.’’ I had never gotten to play a ballad so slow until I started playing with Betty Carter. She had such feeling and such emotion in what she did, and she could really swing.’’
Williams s’était rendu pour la première fois en Europe dans le cadre d’une tournée avec Sarah Vaughan l’année suivante. Commentant sa collaboration avec Vaughan, Williams avait ajouté: ‘’I learned patience with Betty Carter, and I learned the importance of playing in tune with Sarah Vaughan. Sarah could hear anything that was out of tune. We did a rehearsal once with a big band. Sarah stopped the band, pointed to the second trumpet player, and told him to tune up.’’
C’est lors de la tournée avec Vaughan que Williams avait fait connaissance avec des musiciens qu’il n’aurait jamais cru devoir faire partie de son avenir: Miles Davis, Ron Carter, Herbie Hancock, George Coleman et Tony Williams. 
En 1964, après avoir joint le groupe de la chanteuse Nancy Wilson, Williams s’était installé à Los Angeles. C’est là que Williams avait épousé l’année suivante Veronica, une ancienne camarade de high school. Wilson avait même été la demoiselle d’honneur de sa nouvelle épouse. Williams avait continué de travailler avec Wilson jusqu’à ce qu’il décide de rentrer à New York en octobre 1968. Williams avait enregistré cinq albums avec Wilson. Décrivant sa collaboration avec la chanteuse, Williams avait commenté: ‘’Nancy Wilson loved to do duets with me. We used to do the Beatles song, ‘’Yesterday.’’ I would start it off any kind of way I wanted to. She always knew where to come in, and we would sync. It was just fantastic. I learned something unique from each one of the singers. They all said to me that they wouldn’t sing a song if they couldn’t relate to the lyrics. And all the great musicians, I think, also told me, if you’re going to play a song that has a lyric, learn the lyric.’’
Parallèlement à sa collaboration avec Wilson, Williams avait également été un membre régulier des Jazz Crusaders de 1965 à 1968, avec qui il avait enregistré cinq albums. Williams explique comment il s’était joint au groupe: ‘’I was playing all kinds of gigs when Nancy was off. I got a call from the Jazz Crusaders to play with them, and we opened at The Lighthouse. Before me, the Jazz Crusaders had a guy named Herbie Lewis. He was another great bass player. There was also a great studio player in L.A. named Jimmy Bond who played with them earlier.’’
Décrivant sa collaboration avec le groupe, Williams avait ajouté:
‘’You know, I never thought I was doing anything spectacular except, you know, enjoying myself, which was great. Wayne Henderson, their trombone player, and I had a real close comedy kind of relationship. I wrote a song for him called ‘’Ruby P’gonia.’’ I think the first record we did was Lighthouse ‘68, and then Lighthouse ‘69. Then we did another record called Old Shoes, New Shoes. That band would have had a lot more international acclaim except for the fact that none of the other guys liked to fly. We had offers to go to Europe, but, unless we were going on a boat, we weren’t going. (Of course, I have never had a problem with flying). We had lots of fun, and I made maybe about five records with them.’’
En 1967, Williams avait aussi remplacé brièvement le contrebassiste Ron Carter dans le groupe de Miles Davis. Il avait également collaboré avec Kenny Dorham, Eddie Henderson, McCoy Tyner, Dexter Gordon, Roy Ayers, Stanley Turrentine, Frank Foster et Art Blakey.
Après son arrivée à New York, Williams s’était joint au sextet de Herbie Hancock qui était aussi composé de Herbie Mann, Mary Lou Williams et Billy Hart. Williams, qui jouait à la fois de la basse électrique et acoustique avec la formation, avait enregistré trois albums avec le groupe. De plus en plus populaire, Williams était très en demande comme musicien de studio. Williams avait également joué dans plusieurs commerciaux et composé plusieurs bandes sonores pour le cinéma.
Tout avait bien fonctionné jusqu’à ce que ces différents engagements commencent à entrer en conflit et que Williams soit obligé de choisir. Même s’il manquait d’expérience avec la basse électrique, Williams avait finalement décidé de se joindre au sextet Mwandishi d’Herbie Hancock, un des plus grands groupes de jazz-rock de l’époque qui était composé de Johnny Coles à la trompette, de Garnett Brown au trombone, de Joe Henderson au saxophone ténor et d’Albert ‘’Tootie’’ Heath à la batterie. Williams explique comment il avait commencé à jouer de la basse électrique:
’’Even before Herbie, I made some records with Harold Mabern playing Fender electric bass. One was called ‘’Greasy Kid Stuff !’’ I did about two or three records around that time doubling on Fender. I just did an interview recently, and the person that I did the interview with, he did research and old me about records that I played electric bass on that I totally forgot. But anyway, when I was with Herbie, when we started the band, we did not use any electronic instruments. Shortly afterwards, I played the Fender on ‘’Ostinato: Suite for Angela’’, and I was playing electric bass and the acoustic bass and couldn’t leave home without both of them.’’
Williams avait aussi joué de la basse électrique dans des publicités télévisées.
De 1969 à 1972, le groupe avait finalement adopté son alignement définitif composé, en plus de Hancock et Williams, de Benny Maupin au saxophone, de Julian Priester au trombone, d’Eddie Henderson à la trompette, de Patrick Gleason aux synthétiseurs et de Billy Hart à la batterie. Décrivant sa collaboration avec le groupe, Williams avait précisé:
‘’This band with Herbie really was a high point in my musical life. We were doing some things that no one ever thought a jazz band would ever consider. I remember one time we were in Italy and Herbie saw this huge Moog synthetiser and he decided he wanted to add it to the band. This was the time when those things were huge. We ended up carting this enormous thing all over Italy and having to pull all that stuff up; we looked like an airport up on the bandstand. I had never played the electric bass before we started going electric. I didn’t know then that it’s totally different instrument. The stuff that casts do today, all the slapping and the ripping, that’s something I’ve never done on the electric. I put that thing down back in the ‘70’s, and if anyone asks me today if I play electric bass, I tell them I don’t. That’s a whole different animal now.’’
Williams avait fait ses débuts comme leader en 1975 sur l’album Pinnacle sur étiquette Muse. L’album comprenait ‘’Tayamisha’’, une composition que Williams avait écrite pour sa fille. Williams avait également pris la place du contrebassiste Ron Carter dans le cadre de certaines sessions dans lesquelles Carter avait joué de la contrebasse piccolo. Dans les années 1970, Williams avait également accompagné Mary Lou Williams, Kenny Barron, Jimmy Rowles, Larry Coryell, Stanley Cowell, Steve Turre et Frank Morgan dans le cadre de certains enregistrements.
Au début des années 1980, Williams avait fait une tournée avec Herbie Hancock, Tony Williams et le jeune trompettiste Wynton Marsalis. Par la suite, Hancock avait formé un trio avec Williams à la contrebasse et Al Foster à la batterie. Dans le cadre de certaines tournées estivales, des invités spéciaux comme les saxophonistes Branford Marsalis, Michael Brecker et Greg Osby avaient également été ajoutés. Le trio avait poursuivi ses activités jusqu’en 1995. Durant cette période, Williams avait également fait une apparition au gala des prix Grammy dans le cadre d’un quintet qui comprenait Hancock, Williams et le chanteur Bobby McFerrin.
En 1982, Williams avait été un des fondateurs du groupe Sphere. Créé pour rendre hommage au pianiste Thelonious Monk, le groupe était composé du pianiste Kenny Barron, du saxophoniste ténor Charlie Rouse (qui avait remplacé plus tard par Gary Bartz) et du batteur Ben Riley. Le groupe, qui avait enregistré son premier album le 17 février 1982 le jour-même de la mort de Monk, avait progressivement incorporé les compositions des membres du groupe ainsi que des standards du jazz à son répertoire.
La même année, Williams avait aussi commencé à travailler avec les Timeless All Stars, un sextet qui était composé du pianiste Cedar Walton, du tromboniste Curtis Fuller, du saxophoniste Harold Land, du vibraphoniste Bobby Hutcherson et du batteur Billy Higgins. Le groupe avait enregistré quatre albums pour l’étiquette hollandaise Timeless Records.
En 1989, Williams avait enregistré un second album comme leader intitulé "Something More" qui comprenait cinq de ses compositions. Avaient également participé à l’album le saxophoniste Wayne Shorter, Hancock, le batteur Al Foster et un brillant jeune trompettiste japonais nommé Shunzo Ono. Après la parution de l’album, Williams avait formé son propre groupe également appelé Something More. Le groupe était notamment composé de Ralph Moore au saxophone ténor, du pianiste Benny Green et du batteur Billy Drummond. Parmi les succès de la formation, on remarquait la pièce ‘’Enchanted Flower.’’
Williams expliquait pourquoi le quintet avait été fondé: "After working almost continuously for 30 years as a sideman, I decided it was time to take the plunge, step up to the front, play my music, and express my concept of a cohesive musical unit. I've served my apprenticeship under many great masters and feel that it's my honor and privilege to carry on the lineage that makes this music such an artistically rich art form.’’ Depuis sa fondation en 1990, le groupe avait fait plusieurs tournées en Europe, au Japon et en Australie. Il avait également participé à la première édition du Festival de jazz international de Moscou en plus de se produire régulièrement aux États-Unis.
En 1991, Williams avait décroché une bourse du National Endowment for the Arts pour composer une oeuvre pour quintet, ensemble à cordes et choeurs. La même année, Williams avait également été lauréat d’une bourse de la New York Foundation for the Arts Fellowship Grant. En 1998, Williams avait enregistré un troisième album sous son nom intitulé ‘’Somewhere Along the Way’’, qui avait été suivi en 2004 de ‘’Griot Libertè.’’ L’album avait été enregistré au célèbre studio de Rudy Van Gelder au New Jersey.
En 1999, Williams avait enregistré ‘’Live at the Montreux Jazz Festival’’ avec un quartet comprenant le pianiste Mulgrew Miller, le vibaphoniste Steve Nelson et le batteur Carl Allen. Même si la composition du groupe rappelait un peu le légendaire Modern Jazz Quartet, Williams avait tenu à préciser qu’il n’avait pas choisi ce format pour rendre hommage au groupe. Williams, qui appréciait particulièrement le vibaphone comme instrument, avait expliqué:
‘’It’s an instrument that I enjoy immensely. The vibes bring a different sound to the band. It gives us a different flavor. I like the romanticism of the vibes, and in my view it has what I call a great blendability, if that’s a word, with the rest of the instruments. I’m excited by the chance to have it in my band. The only problem with this new record is that this isn’t my working band. It’s really becoming difficult today to make records with even the same personnel from one time to the other, let alone have your regular group. My working band includes Miller on piano, Stefon Harris, a wonderful young vibes player, and Lenny White on drums. Steve Wilson, who is Gerald Wilson’s son, plays with us at times on alto and soprano sax. I really would love to be able to actually rehearse and record a series of records with this same band, but that’s just one of the problems with what’s happening today.’’
En juin 2008, Williams avait autoproduit un enregistrement digital intitulé ‘’Live Volume 1’’ qui était disponible exclusivement sous forme de téléchargement.
De 2010 à 2014, Williams avait fait une tournée avec le groupe 4 Generations of Miles, composé de Sonny Fortune, Mike Stern et Jimmy Cobb. Le groupe devait son nom à un concert et à un album publié en 2002 qui rendait hommage aux quatre générations du groupe de Miles Davis. Le groupe original comprenait Ron Carter à la contrebasse et George Coleman au saxophone ténor.
Également professeur, Williams avait fondé en 2013 la Buster Williams School of Music, une organisation à but non lucratif qui avait pour objectif de transmettre son héritage aux générations futures. Le projet faisait suite à une classe d’été que Williams avait donnée dans sa ville natale de Camden en 2012. À la même époque, le groupe Something More s’était produit au Festival de jazz de Portland et au Dimitriou's Jazz Alley avec une formation composée des anciens collègues de Williams avec le groupe Mwandishi, Bennie Maupin et Julian Priester, et des musiciens Cindy Blackman-Santana et George Colligan.
En 2013, Williams avait participé à une tournée en Europe avec le pianiste Eric Reed,  le saxophoniste Bruce Williams et le batteur Joey Baron. En mars 2014, Williams avait fait une brève tournée en Europe avec le trio du pianiste Steve Kuhn. L’autre membre du groupe était le batteur Billy Drummond. En 2023, Williams avait publié l’album ‘’Unalome’’. Le titre de l’album faisait référence à la loi de la cause et de l’effet dans la religion bouddhiste dont Williams était un adhérent.
Reconnu par le Penguin Guide to Jazz on CD comme un des plus importants accompagnateurs du jazz moderne, Williams est également considéré comme un maître de l’harmonie, du contrepoint et de l’orchestration. Au cours de sa carrière, Williams a joué avec une copie d’une contrebasse Boosey & Hawkes du début du 19e siècle. Même s’il adorait la contrebasse, Williams appréciait également des spécialistes de la basse électrique comme Stanley Clarke, Jaco Pastorius, Anthony Jackson, Marcus Miller, Victor Wooten, Christian McBride et Derrick Hodge.
Refusant de se limiter à un rôle de chef d’orchestre ou d’accompagnateur, Williams se percevait d’abord et avant tout comme un contrebassiste. Il expliquait: ‘’I’m a bass player, front and center. When I’m working in a group, then the music gets defined and determined by the leader. The main reason I’ve decided now to concentrate on my own music is that I wanted to be the person determining what got played, how it was played and what it ultimately sounded like on the bandstand. That’s my focus now, to play my own music and emphasize my compositions.’’
Williams a collaboré avec plusieurs grands noms du jazz au cours de sa carrière, de Chet Baker à Count Basie, en passant par Art Blakey, Chick Corea, Miles Davis, Erroll Garner, Dexter Gordon, Herbie Hancock, Roy Ayers, Freddie Hubbard, Mary Lou Williams, Larry Coryell, Wynton Marsalis, Branford Marsalis, Sonny Rollins, Chick Corea, Kenny Barron, Jimmy Rowles, Hampton Hawes, Cedar Walton, Billy Taylor, Mulgrew Miller, Sonny Stitt, McCoy Tyner, Lee Konitz, Herbie Mann, The Jazz Crusaders, Bobby Hutcherson, Stanley Cowell, Steve Turre, Lee Morgan, Ron Carter, Joe Farrell, Sonny Fortune, Jimmy Cobb, Mike Stern, Kenny Burrell, Frank Morgan, Jimmy Heath, Harold Land, Herbie Mann, Frank Foster, Charlie Rouse, Stanley Turrentine, Roy Ayers, Woody Shaw, Benny Golson, Illinois Jacquet, Jimmy Heath, Gene Ammons, Hank Jones, Lee Morgan, Elvin Jones, Harold Mabern et Hamiet Bluiett. Williams avait également accompagné de nombreux chanteurs et chanteuses, dont Sathima Bea Benjamin, Shirley Horn, Betty Carter, Jonathan Schwartz, Nancy Wilson, Jean Baylor, Carmen McRae, Roseanna Vitro, Helen Merrill, Dakota Staton, Nnenna Freelon, Jon Lucien, Marguerite Mariama et Champian Fulton.
Particulièrement marqué par sa collaboration avec Sarah Vaughan, Sonny Rollins, Miles Davis, Dexter Gordon et Herbie Hancock, Williams avait commenté:
‘’There have been so many wonderful folk that I’ve worked with and played with over my years, but Sarah Vaughan was special. So were Sonny Rollins and Miles Davis, Dexter Gordon and, of course, Herbie Hancock. There are people who didn’t just teach you about music. They took you aside and taught you about life, about what it really means to play this music well, to actually have something to say on the bandstand. This was my true college, if you will, traveling and playing with all these great people.’’
Lorsqu’on avait demandé à Williams ce qu’il pensait de l’évolution du marché de la musique, il avait répondu:
‘’If I really answered that one the way I want to, it would take about seven books. Let’s just say that the scene has never been like it is today. There are so many elements in play that have nothing whatsoever to do with the music. I’ve always been an optimist, someone who saw the glass said it was half full, rather than saying it was half empty. It’s very interesting that in terms of the legitimacy of the music, you’ve got so many people in high places that don’t have any idea about what even constitutes musical quality. You’ve got these bureaucraties in place of gigs and in every situation, and in that way I’m a little bit disturbed. But you have to keep on fighting, no matter who’s supposedly in charge and whatever it is they try to tell you. I get upset sometimes because the real thing is being overlooked, and being assaulted by politics, economics and all the people who want to be part of the controlling forces. This isn’t something I sit around and complain about a lot, but it really something that anyone who’s been out here even a little bit can easily see.’’  
La tête toujours remplie de projets, Williams avait ajouté:
‘’I still haven’t written my symphony yet. I would like to write some movies. Those two things are pretty much my goals, and I want to do everything in between as well. I never feel like I’ve arrived or that there’s nothing more for me to do. I don’t ever feel like things have brought me to some sort of stablemate. There’s always more things to do and more things to say, and that’s what I plan to continue doing as I’m capable.’’
Williams avait également collaboré à plusieurs bandes sonores de film et à des commerciaux pour la télévision (notamment pour Coca-Cola, Budweiser, la champagne Tott's, la compagnie d’assurances Prudential, Chemical Bank, Alpo Dog Food, le réseau de télévision HBO,  Budweiser et Old Spice). Williams avait composé sa première bande sonore pour le cinéma dans le cadre d’une collaboration avec Quincy Jones dans le film ‘’Mackenna's Gold’’ de J. Lee Thompson en 1969. En 1981, Williams avait retrouvé le contrebassiste Ron Carter dans le film ‘’Le Choix des Armes’’ du réalisateur Alain Courneau mettant en vedette Yves Montand et Simone Signoret. Composée par Philippe Sarde, la musique du film avait été interprétée par le London Symphony Orchestra. Commentant sa participation au film, Williams avait précisé: ‘’"That film required quite a commute. I had to go back and forth to London at least once a month for six months, carrying my bass. They really got to know me at JFK and Heathrow.’’
Dans les années 1990, Williams avait collaboré avec Angelo Badalamenti dans le film de David Lynch ‘’Twin Peaks: Fire Walk with Me’’ (1992) et avec le trompettiste Terence Blanchard dans le cadre du film ‘’Clockers’’ (1995) de Spike Lee. Williams avait aussi fait quelques apparitions à la télévision, y compris avec le groupe du Tonight Show dirigé par Branford Marsalis, avec lequel il avait interprété cinq de ses propres compositions. Williams avait également accompagné le pianiste Erroll Garner dans le cadre de la même émission. Williams avait aussi fait des apparitions dans le Andy Williams Show (avec Nancy Wilson), le Joan Rivers Show, le Joey Bishop Show, le Mike Douglas Show et dans la série de télévision pour enfants Sesame Street aux côtés du chanteur Joe Williams. En 2004, Williams avait aussi interprété son propre rôle dans le film ‘’The Terminal’’ de Steven Spielberg aux côtés de Benny Golson, Nilke LeDonne et Carl Allen. Les arrangements et les compositions de Williams ont été enregistrés par de nombreux artistes dont Roy Ayers, Roy Hargrove, Art Blakey, Larry Coryell, Freddie Hubbard, Buck Hill, les Jazz Crusaders, Mary Lou Williams et Herbie Hancock.
Williams a remporté de nombreux honneurs au cours de sa carrière, dont un Min-On Art Award, un SGI Glory Award, un SGI Cultural Award et un RVC Corporation RCA Best Seller Award.  Williams avait également remporté un prix Grammy pour l’album Love for Sale qu’il avait enregistré avec The Great Jazz Trio en 1980. Le groupe était composé de Hank Jones au piano et de Tony Williams à la batterie. 
Aujourd’hui âgé de quatre-vingt-deux ans, Williams passe une retraite paisible dans sa ville natale de Camden, au New Jersey, avec son épouse Veronica. Familiarisés avec la religion boudhiste par sa soeur en 1972, Williams et son épouse s’étaient convertis au boudhisme Nichiren après que Veronica ait été victime d’une commotion dans un accident d’automobile. Williams était aussi membre de la Soka Gakkai International, une association boudhiste active sur la scène mondiale. L’album de 2004 ‘’Griot Libertè’’ était d’ailleurs inspiré d’un autre problème de santé dont avait été victime Veronica alors qu’elle avait récupéré d’un coma à la suite d’une crise cardiaque.
En 2021, le réalisateur Adam Kahan a rendu hommage à Williams dans le cadre di documentaire ‘’Buster Williams, From Bass to Infinity.’’
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
SOURCES:
‘’Buster Williams.’’ Wikipedia, 2023.
‘’Buster Williams.’’ All About Jazz, 2024.
‘’Buster Williams: Blendability.’’ Jazz Times, 18 avril 2021.
‘’Buster Williams discusses a life in time and making the most of it.’’ WRTI, 16 avril 2023.
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recidivelocale · 8 months ago
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La tendreté des cailloux.
J’en ai fait des choses avant d’être un tendre caillou
Vous ne pouvez pas imaginer la force que cela demande
Polir ses aspérités, montrer sa souplesse velouté quand on est un
caillou aux arêtes acérées, je me fait un passage en force
j’existe en me frayant un chemin  en roulant mes bosses
J’en ai fait des choses avant d’être lisse et doux
Je me suis frotté à plus dur que moi
J’ai composé avec des roches qui avaient peur,
Chez nous on dit qu’elles sont poreuses, quand on est un
caillou aux arêtes acérées, je me fait un passage en force
j’existe en me frayant un chemin  en roulant mes bosses
J’avais une belle couleur uniforme, blanche, brillante et luisante
J’ai maintenant un peu jauni, vieilli et j’ai quelques marques
Mes aspérités sont devenues tendre, et oui un caillou peut être tendre quand on est un
caillou aux arêtes acérées, je me fait un passage en force
j’existe en me frayant un chemin  en roulant mes bosses
Après des années de roulé-boulé, j’ai fini échoué sur une belle plage de l’ile d’Yeu
La plus belle plage de cette île sur laquelle est arrivé celle qui m’a trouvé
Elle m’a pris au creux de sa main, bien au chaud et m’a choisi, parce que je suis un
Tendre caillou aux yeux malicieux, la douceur est mon maitre mot
J’existe au creux de ta main, et tout contre toi je ne suis plus un
caillou aux arêtes acérées, je me fait un passage en force
j’existe en me frayant un chemin  en roulant mes bosses
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camisoledadparis · 5 days ago
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saga: Soumission & Domination 373
Noël 2015-3,
25 au soir.
Dès qu'ils sont partis ça part en touze ! Nous sommes tous nus en quelques minutes et je retrouve mes Samir et Ammed habituels vêtus de leurs seuls boxers en cuir maintenant bien patinés.
Ça sonne !! Fuck ils ont oubliés quelques choses (un des parents) et on est déjà tous à poil.
Heureusement ce ne sont que Dorian avec Julien venu voir si son petit apprenti s'était bien tenu !
Ils montent et ont la demi-surprise de nous trouver déjà tous biens chauds. Quelques âmes charitables les aident à arborer la même tenue que nous et ils entrent dans la mêlée.
Je me fais la réflexion que serait quand même bien si les derniers arrivants se faisaient Nathan. Je suis sûr que ce dernier ne refuserait pas.
Je pars à sa recherche et le trouve en levrette à subir les assauts de Dan. Je me penche et lui fais part de ma dernière idée. Vu qu'il était déjà bien parti dans son trip, il met un peu de temps à tilter. Il demande un temps mort à son étalon et nous nous écartons quelques minutes.
Il argumente que ça va surement gêner Julien avec qui il a établi un relationnel stable. D'un autre côté, il ne sait pas comment le remercier lui et Dorian. Connaissant mes deux amis, je suis sûr que ce n'est pas parce qu'ils l'auraient baisé ce soir qu'ils abuseraient plus tard de la situation. Là-dessus il est d'accord avec moi.
Nous laissons en plan Dan qui part chercher son bonheur avec un autre partenaire et cherchons son maître de stage. Nous les trouvons tous les deux à s'occuper de Duke. A bien y réfléchir c'est plutôt l'inverse !  Les carrures et les " équipements " de mes deux Pros l'ont attiré comme le miel un ours (bon un ourson tout imberbe d'accord !).
Pas d'explication, je pousse Nathan dans le trio. J'observe de loin (enfin à 2m). Il faut quelques minutes aux deux ainés pour s'apercevoir de qui les avait rejoints. Bref mouvement de recul de la part de Dorian alors que julien, le nez entre les fesses de son apprenti, n'a toujours pas capté. Nathan lui fait " chut " d'un doigt sur ses lèvres avant de les ouvrir pour engloutir son manche. Je vois Julien se redresser et kpoter sa queue pour enfiler le cul qu'il venait de préparer. Il ne devine pas qui il encule, Dorian, avec ses mains posées sur la tête de Nathan (pour bien maîtriser le ramonage de sa gorge) camoufle son identité. De plus de dos à 4 pattes ça pourrait être n'importe lequel de mes " petits frères ".
Il capte au moment où il échange sa place avec Dorian. Nathan relève la tête et plonge sur le gland de son maitre de stage avant que ce dernier n'ait le temps de se reculer. Après c'est trop tard ! Le plaisir apporté par la douceur de la gorge de son apprenti le soude à lui. L'aspiration au fond de sa gorge encore plus. Je les laisse et me trouve un duo où m'intégrer.
Pablo m'accueille avec plaisir et je m'intercale entre lui et Duke échoué sous sa coupe après son remplacement par Nathan. Je me glisse dans le cul de Duke et collé à son dos lui glisse dans l'oreille de bien serrer son anneau. Chose qu'il fait parfaitement au ressenti de la compression de ma bite. Pablo profite de cette position pour introduire ses 24 x 6 bien au fond de mon trou.
Après quelques instants où j'ai été l'élément moteur du trio, Pablo a pris la relève. Il m'a pilonné la rondelle et chacun de ses coups de rien m'envoyait taper mes couilles contre celles de Duke alors que mon gland cherchait à aller encore plus profond en lui. Un simple " Gorgeous " provenant de Duke a salué ce changement de rythme.
Je retrouve mon ibère dans ce qu'il a de plus impérieux (complètement différent de son frère malgré une bite identique). Son gros gland à force de buter contre ma prostate fini par m'envoyer au 7ème ciel et je jute dans ma kpote alors que je maintiens Duke au plus près de moi, le pilonnant dur mon dernier cm de bite. Quand je recule brutalement, je provoque l'explosion de mes deux partenaires. Duke me jute dans la main alors que je ressens chacune des éjaculations qui gonflent encore plus le volume de Pablo (enfin par Kpote interposée).
Petit repos, je roule un patin à Duke alors que Pablo nous quitte pour aller enculer plus loin. Il me demande si aux prochaines vacances françaises, ses trois nouveaux amis pourraient revenir en Californie, il aimerait bien les emmener visiter le Grand Canyon, aller jusqu'à Las Vegas. Je suis d'autant plus d'accord que ce sera le dernier mois de ma présence à Berkeley.
Quand il apprend ça, il est content puis déçu que mon séjour ne dure pas plus longtemps. Je ne pense pas mentir en lui affirmant que ce n'est pas parce que je ne serais plus en Californie qu'il cessera de voir mes " petits frères ". Je crois bien qu'ils sont suffisamment accrochés pour que je sois bon à payer quelques allers et retours France-Californie.
Cette affirmation me vaut une nouvelle pelle qui de remerciement dévie en un nouvel appel de sexe.
Nous nous faisons rejoindre par ses trois amis avant que je ne replonge ma queue dans son intimité. Petite fête de retrouvaille, d'autant plus forte qu'ils apprennent que la fin de mes études aux USA ne sonnera pas celle de leurs contacts. Du coup je me fais violer par 4 énergumènes en rut !!
C'est Ludovic qui me tire de cet enchevêtrement de corps. Quand il en apprend la raison, il me dit que c'est de ma faute, j'ai qu'à être plus circonspect dans mes déclarations !! Merci le soutient !!
Semaine inter fêtes :
 Débarquons à Paris pour que nos américains en prennent plein les yeux. Nous squattons l'appart de Kev et aussi celui d'Henri sur l'insistance de ce dernier.
Kev est encore plâtré mais avec une coque en fibre de verre qui ne l'immobilise plus.
Les journées nous laissons les jeunes trainer ensemble et avec Dan et Tyler nous parcourons, musées et sites remarquables de la capitale. L'affluence touristique est plus faible que de normale, rapport aux attentats de novembre !
Je m'éclipse du groupe le temps d'aller cherche ma commande place Vendôme. En plus des participants de l'année dernière qui manqueraient notre " Nouvel an " pour rien au monde, cette année je dois ajouter mes trois invités.
" Mon " vendeur n'est pas en vacances et s'il m'introduit dans un salon privé, moi je m'introduis dans son cul. Il est mouillé tellement il attendait ma visite. Je l'encule en prenant mon temps, lui le torse posé sur la table de présentation puis, lui le dos sur cette même table ses jambes relevées vers le plafond puis, moi assis dans le fauteuil client et lui les deux jambes passées sur les accoudoirs qui me branle la bite avec sa rondelle.
La chose faite, on vérifie un par un les bracelets que j'ai commandés. En raccord avec les anneaux de l'an passés, en or rose aussi mais gravé " Blockhaus 16 ". 83, ça prend du temps !! Le chiffre m'a été donné par PH qui n'as pas préciser qui sera là. Je sais qu'il y aura tous mes escorts homos et les potes mais qui peut ou ne peut pas venir je ne le sais pas !
Henri profite de notre passage pour nous " sortir " dans un grand restaurant de la capitale. Les consommateurs sont un peu revenus depuis les lendemains des attentats mais il est déjà 20h30 et la salle est loin d'être pleine. Notre table de 15, Ric et Nathan nous ont rejoints détone. Duke est muet jusqu'au milieu du repas, impressionné par le service. Les serveurs qui connaissent bien Henri sont souriants à nous passer les assiettes. Ils prennent un soin particulier auprès de Kev qui ne peut aps encore dissimuler complètement son état.
J'en vois même un draguer ouvertement Duke qui ne sait plus où se mettre.
L'ambiance est bonne et nous sommes un peu bruyants. Notre table attire les regards et beaucoup de sourires. Henri a beau avoir presque 3 fois nos âges, il nous comprend quand même. Ric impressionne Tyler et Duke qui ne l'avaient pas encore rencontré. Son physique même dissimulé sous ses vêtements coupés sur mesure ne laisse personne indifférent. Je discutais avec Alban et Henri quand je me suis aperçu que Duke n'était plus à table. Quand il revient, je note qu'il ne peut cacher un air satisfait.
Dessert et café pris nous partons après que je me sois " battu " avec Henri pour la note. Bien sûr il a gain de cause et règle nos diners. Du coup je laisse le pourboire et les 200€ que je glisse au serveur qui nous raccompagne me valent un merci appuyé.
Dans la rue je coince Duke et le questionne jusqu'à ce qu'il m'avoue s'être fait le serveur qui l'avait chauffé. Il m'avoue que c'est quand même une première pour lui, même à San Francisco, il n'avait jamais consommé sur place.
J'éclate de rire, lui tape dans le dos et lui souhaite la bienvenue en France. Enguerrand lui demande s'il avait été actif ou passif avec le mec. Réponse de l'intéressé " actif, son cul était trop tentant " et non seulement il l'avait défoncé mais le mec ruait du cul pour la prendre plus hard encore !!
Retour à l'appart de Kev pour notre dernière soirée à Paris. Nous buvons un verre quand sonnerie de la porte. Kev va ouvrir et revient avec 3 bomecs qui nous les présentent comme ses potes de muscu. Je reconnais dans le plus balaise celui dont il m'avait déjà parlé et qui est " super équipé ". Ils boivent avec nous mais ça dérape vite à ce pourquoi ils étaient venus, c'est-à-dire un bon plan baise !
Avec le format de Ric et la bite d'Ernesto, faut dire que le balaise se pose en fantasme vivant !!
Je me l'accapare direct et mon petit cul étroit sous un dos et des épaules bien larges à l'air de lui faire de l'effet. Nous nous étalons dans le grand séjour et même l'escalier qui monte à la chambre.
Pour ma part, j'étale ma conquête dos sur la table basse et entreprend de vérifier le tonus musculaire de la bête. Je m'étale sur lui. A part les épaules qui sont de même largeur, tout le reste chez lui est plus hypertrophié que chez moi. Je descends sur ses pecs et bouffe ses gros tétons en érection. En même temps j'empoigne ses pecs épais et les presse avec difficulté. Je descends plus bas, ma langue suit le sillon entre ses blocs d'abdos. J'atteins son gland avant le nombril, bien avant d'au moins 5cm, la taille de son gland quasiment !! Je ne peux m'empêcher d'ouvrir grand ma bouche pour abriter cette merveille. Comme je fais une pause, il m'attrape par la nuque et d'une seule poussée me défonce la gorge et plaque mon nez contre son pubis épilé. En bonne " salope " je déglutis rapidement pour masser sa bite. Là c'est lui qui s'arrache de ma bouche en gueulant un " la saloooope " qui fait éclater de rire plus d'un participant !!
Quand je le reprends en bouche il est plus circonspect et me laisse gérer la pipe. J'alterne le jeu de ma langue sur son gland, décolletage de la couronne, pénétration de ma langue en pointe dans son petit trou.... Avec des plantages dans les profondeurs étroites du début de mon oesophage.
Alors que j'ai son gland bien profond dans ma gorge, il me soulève le bassin et me fait tourner pour nous placer en 69. J'ai l'impression de ne peser que quelques kilos vu la facilité avec laquelle il m'a basculé. Il me suce un peu puis attaque direct l'objet de sa convoitise, ma rondelle encore fraiche. Alors que je m'occupe a bien lubrifier sa bite, il en fait de même avec cette dernière. Je sens sa langue progresser et pousser sa salive. Quand il estime que je dois être préparé plus profond, ce sont ses doigts qui prennent la relève et j'en sens un puis rapidement 2 et enfin 3 pénétrer mon intimité. Cela dure un bon moment jusqu'à ce qu'il m'estime prêt à le recevoir. Je ne voulais pas le vexer mais ça va faire un moment que je le suis, prêt !
Il se couche sur le dos et je l'enjambe de face. Les mains en appui sur ses gros pecs, je descends mon bassin pour faire le contact gland / rondelle. Il m'a traité de salope, il va voir que ce n'était pas juste une promesse. Je bouge un peu des hanches pour bien me placer puis d'un coup d'un seul, je me plante ses 24x6 jusqu'aux couilles. Là, c'est lui qui cri son plaisir. Moi je me retiens, et savoure cette pénétration violente mais à la hauteur de mon désir. Je reste un moment les fesses écrasées contre ses cuisses avant de le chevaucher façon grand prix de l'arc de triomphe. Là il doit bien admettre que c'est moi qui mène le jeu. Ce sont mes fréquences de va et vient, mes différents degrés de compression de rondelle qui dirigent sa courbe de plaisir. Kev qui l'entend gémir s'approche de moi et me dit de ne pas le lui " gâcher " car il n'est pas sûr de pouvoir être aussi bon que moi. C'est flatteur !!
Son pote lui dit de me laisser faire. Il se laisse encore mener quelques minutes puis reprend la barre. Il se redresse, plie ses jambes sous moi et d'un coup de rein nous met debout. Enfin lui, car moi je suis accroché à son cou, mes bras enserrant mes chevilles posées sur ses épaules. De nouveau j'ai l'impression de ne rien peser. Il campe ses pieds un peu écartés sur le sol et avec ses gros bras, m'écarte le bassin du sien avant de relâcher son effort et que, naturellement, mes fesses reviennent s'écraser contre lui, son gland me pénétrant au plus profond de mon trou. Trop, trop bon !!!
Je bande comme un fou et mes couilles écrasées contre ses abdos à chaque retour à la position de départ me procurent un plaisir/douleur mélangé. Alors que je comptais bien tirer le jus de ses couilles avant de moi-même partir, c'est l'inverse qui se produit. Les montées de plaisir qui me provient de ma rondelle et de ma prostate maltraitée à chaque passage de son gros gland se confond avec la douleur renvoyée par mes couilles écrasées au même moment. J'explose et recouvres nos pecs de grosses giclées de sperme. J'ai le plaisir de sentir en moi que mes contractions d'anus ont raison de sa résistance et il repli sa kpote. Avant d'être totalement vidé, ses jambes cèdent et alors qu'il s'agenouille sur le tapis, je m'enfonce une dernière et très profonde fois sa bite dans le cul. Ça me procure une dernière poussée de plaisir qui me fait gémir comme la dernière des salopes ... que je suis à ce moment-là. Je serre mon anneau à le bloqué tout au fond de moi et quand je relâche l'effort, il explose dans sa kpote.  
On s'écroule sur le côté en se déboitant. Kev nous rejoint et me demande comment je trouve son " culturiste ". Seule réponse possible, " trop bon ".
Je ne peux m'empêcher de lui demander ce qu'il fait pour le nouvel an. Il ne déparerait pas dans notre bande et plus d'un lui servirait de kpote vivante !
Il est déjà pris et m'explique qu'il réalise une prestation pour un mec !!
Les autres se finissent et de tous les côtés ça gémi, ça exprime le plaisir pris par ou dans le corps du partenaire.
Nous finissons la nuit tous ensemble dans l'appart de Kev
Le lendemain retour au Blockhaus.
Jardinier
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TIREZ LES ROIS ! 🤴 
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dixvinsblog · 1 year ago
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Mohamed Amara -Le juge et l'éléphant !
Inspiré par un poème de mon ami Barek Abas L’éléphant en regardant en dessous de la soutane du juge lui tint à peu près ce langage : -oh! Maitre du marteau, vous qui condamnez à foison les petites gens pour leurs petits larcins, avec vos mains de fer sans le velours du gant. Alors que vous vous couchez devant le dernier des gouvernants, à quoi pourrait vous servir une aussi petite trompe? Vous…
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markpuni · 10 months ago
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Intrigué depuis mon adolescence par la fessée je n'imaginais pas qu'elle ferait partie de la gestion de discipline lorsque je serai tout jeune adulte . Cet après midi là, en 1993 j'avais prévu un entretien pour réaliser un stage dans un restaurant .Pendant l'essai , un accident technique est arrivé , les portes battantes de la salle ont tapées de plein fouet mon plateau de verres tout propres , je m'apprêtais à la ranger dans la console .En fin de journée ,la responsable du restaurant me fait remarqué la casse des verres en l'écoutant d'un air désolé . Plus tard , elle me demande de l'accompagner dans un grand magasin ,pour acheter de nouveaux verres pour remplacer la casse .Sur le chemin de retour , la maitresse d'hôtel m'offre un verre chez elle .Nous en profitons pour changer les menus sur les cartes , et faire un point sur la cave . Sylvie , s'avance vers moi et me questionna encore sur le choc avec les portes et le plateau de verres .. Sa question est ce que j'aurai pu éviter de casser les verres ? Ma réponse , oui Madame je pense que j'aurai du marcher moins vite , mais ne vous inquiétez pas je ferai attention maintenant ....
Maitre d'hôtel "- Tu reconnais donc avoir fait une bêtise ?
Moi -Oui je reconnais !
Maitre d'hôtel - Je pense que tu mérites une punition rétorque la Chef
Moi - Une punition ? mais je n'ai pas fait exprès !
Maitre d'hôtel- Je m'assurer que tu retiennes bien la leçon pour éviter de nouveaux verres à la poubelle !"
Quelques pas vers moi , elle agrippe mon poignet et d'un ton ferme :
Maitre d'hôtel- "Tu vas recevoir une fessée ! je vais t'apprendre à courir !
Elle glisse sa main entre mes jeans et mon t-shirt , déboutonnant , et descends tout aux chevilles .Me voilà en slip , devant elle quand elle pose sa main de nouveau sur ma nuque et m'ordonna de m'allonger sur ses genoux . Elle assise sur son fauteuil et sur la petite table , elle y avait déposer une brosse plate à cheveux carré en bois, mon regard fut saisi de cette image . Sur ses genoux , elle retrancha mon slip qu'elle pliait sur le coté du sofa . Elle giflait soigneusement mon derrière en faisant la leçon , et je devais répéter ce qu'elle me disait .Une petite pause , quand elle prend la brosse et puis l'applique sur le haut de mes cuisses ! une dizaine de coups . Et m'envoya au coin jusqu'au diné ..
Sylvie m'a suivi quelques mois ensuite.. Je me souviendrai des leçons ,quelle belle autorité !
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b1190 · 2 years ago
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27 mai
Il est le Possesseur Absolu à qui appartient seul la totalité des univers et tout ce qu’ils contiennent meme le moindre grain de sable sur terre lui appartient. Tout lui appartient puisqu’Il est celui qui a tout crée en les faisant sortir du néant et ou en les faisant des enrailles de la femelle à la suite d’une fécondation. Tout les biens matériels que nous possédons lui appartiennent 
1) puisqu’ils ont été fabriqués à partir des éléments de base que Lui seul à crée et qu’Il nous a mis disposition.
2) et avec la force et l’intélligence qu’Il a octroyé à l’homme.
Il sera également l’Héritier final de toutes nos possessions à la toute fin.
Soumission: je reconnais que je ne m’appartient mais que j’appartient à mon maitre à qui je me soumet en Lui obeissant et en évitant Ses interdits.
Puisque j’appartient à Allah, tout ce que je possède Lui appartient car Il m’en a seulement donné la gérence et il me demandera des comptes la-dessus au Jour Dernier.
Argument coranique: tout ce que vous adorez en dehors d’Allah ne possède rien. Car le possesseur  est le réel détenteur de la force et du pouvoir mais lorsqu’il maitrise ce qu’il possède et lorsqu’il dirige ce qu’il possède.
Le possesseur de la Royauté absolue est Allah. Autre que Lui possède mais n’a pas l’autorité absolue sur son royaume et ou a une autorité relatif (dirige et gouverne pour qq1 d’autre).
Autorité : 1) La puissance et Le Pouvoir Absolu. 2) Le fait de détenir la chose; elle m’appartient et personne ne peut venir me la contester. 3) etre capable de décider ce que je souhaite (Aquida).
Implication: Apprendre à demander à Allah puisque tout est entre Ces mains et ne jamais désespérer de notre situation. Cette connaissance nous rassure, nous donne de la confiance et nous donne la détermination à semer les graines du bien.
2) Allah nous montre la perfection qui est de maitriser ce qu’il possède. Il nous a donner 1 royaume (notre ame), s’impregner de ce nom c’est maitriser notre ame et l’éduquer mais également apprendre à maitriser ses passions et ses désirs.
Vouloir caractériser ce nom et tenter de ressembler à Allah, c’est de comprendre que mon plus grand défi/reseponsabilité/combat c’est d’éduquer mon ame afin de la maitriser et me libérer de la domination de mes passions et de mes désirs dans l’harmonier et l’équilibre. Car s’est ainsi que je serai fort et que j’atteindrai la noblesse que l’on accorde à tout roi.
Sagesse: Youssouf va atteindre les plus hauts sommets de l’Etat et les hauts sommets de la spiritualité par le fait qu’il va mener et gagner le combat contre ses passions et vice-versa pour Zuleykha.
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roulerlesmecaniques · 1 year ago
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Trucs, astuces et modifications Fantic Caballero
Je recense ici toutes les évolutions ou "retours d'expérience" avec mon Fantic Caballero 500 Euro 4, dans le but de donner des idées et surtout avoir vos retours, suggestions, avis...
(Les billets non soulignés ne sont pas encore disponibles. Abonez vous pour recevoir une notification lorsqu'ils seront publiés)
Généralités :
Mon avis sur cette moto
Qu'est ce que la Caballero?
Que faut il vérifier avant d'acheter une Caballero d'occasion?
Pièces/accessoires à vendre
Entretien
Amélioration de la moto
Refroidissement
Réglage/Evolution de fourche
Changement ressort de fourche
Boutons de cligno et Warning
Vis de selle
Pare chaleur silencieux
Réparation du phare
routage faisceau/colonne de direction
Protection maitre cylindre de frein arrière
Changement des leviers de frein et embrayage
Réglage amortisseur arrière
Solutionner les à-coups a bas régime (injection et volant moteur)
Amortisseur de couple
Poignée à tirage rapide
Changements esthétiques
Suppression canister (evap)
Routage reniflard
Centrage trappe à carburant
Bocal de liquide de refroidissement
Bocal de liquide de frein arrière
Porte paquet de réservoir
Saute vent carbone
Grilles d'aération
Cache pompe à essence
Ecopes latérales en carbone
Cache câbles injection
Couvre pignon de sortie de boite
Carter de chaine
Protège main
Fixation moteur
Connecteur de phare
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conceptionhumaine · 2 years ago
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Pluton en Verseau 0 degree - Pluto in Aquarius 0 degree
Ce 23 Mars, Pluton fera une premiere entrée dans le signe du Verseau pour un peu moins de 3 mois, jusqu'au 11 juin, date à laquelle il rétrogradera en 'revenant 'en Capricorne.
This March 23, Pluto will make a first entry into the sign of Aquarius for a little less than 3 months, until June 11, when it will retrograde back into Capricorn.
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Les Echecs Amoureux, Pluto and Proserpine (Hades and Persephone) enthroned, with Cerberus at their feet, from Les Echecs amoureux, 15th Century
Pluton, appelée planète naine, (un peu plus petite que notre lune) est le corps principale du système Plutonien; il forme un couple indissociable avec son grand satellite Charon, et peut donc etre considéré comme un système double.
Astrologiquement, Pluton est l'octave supérieure de mars, maitre du signe du Scorpion, (gouvernant la maison 8) ; c'est le transformateur, dont l'essence est le renouvèlement.
Pluto, called dwarf planet, (a little smaller than our moon) is the main body of the Plutonian system; it forms a couple with its big satellite Charon, and can therefore be considered as a double system.
Astrologically, Pluto is the superior octave of Mars, ruler of the sign of Scorpio, (governing the 8th house). It is the transformer, whose essence is renewal.
Il s'agit de la planète la plus lente puisqu'elle met 248 ans pour faire le tour du zodiaque. Elle invite à la métamorphose, son énergie s'insinuant au coeur de l'être, le transformant de manière irréversible, agissant au niveau du subconscient et de l'inconscient.
Son processus est irréversible, pénétrant les secrets les plus intimes...
Cette énergie se mêle à celle des autres planètes accroissant leur puissance et leur intensité
It is the slowest planet since it takes 248 years to go around the zodiac. It invites to transcend, to shake to the core being and transforms it in an irreversible way, acting on the subconscious and unconscious level.
Its process is irreversible, penetrating the most intimate secrets…
This energy mixes and increases the power and intensity of the planets it transits by.
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Cette entrée en Verseau est un événement astrologique marquant (la lenteur de son cycle ne permet aux Hommes de ne connaitre au maximum que 6 changements de signes de Pluton ; les secteurs de vie concernés par son passage (maisons) sont voués à être des supports d'évolution personnelle, des domaines existentiels susceptibles de connaître de puissantes transformations.
This entry into Aquarius is a significant astrological event (the slowness of its cycle allows man to experience at most 6 changes of sign of Pluto; the sectors of life concerned by its passage (houses) are destined to be supports of personal evolution, existential domains likely to experience powerful transformations.
Le Verseau, signe d'air appartenant à la triplicité relationnelle (Gémeaux, Balance, Verseau) est gouverné par Uranus et en porte les caractéristiques; l'ingénieusité, l'esprit d'avant-garde, un goût prononcé pour l'indépendance et la liberté et l'énergie de transformer les choses, en analogie avec la maison 11.
Aquarius, an air sign belonging to the relational triplicity (Gemini, Libra, Aquarius) is ruled by Uranus and carries its characteristics; ingenuity, avant-garde spirit, a pronounced taste for independence and freedom and the energy to transform things, in analogy with the 11th house
Avec lui, un signe d’air donc, c'est l'action mentale et sociale qui y est stabilisée et concentrée ; dans ce signe Pluton exercera sa transformation sur les rapports sociaux et le rapport de chacun à la collectivité sera questionné.
Chacune de nos actions fait société; sous ce prisme, l'action individuelle revet une importance capitale. Ce transit dans un signe de modalité air (mouvement énergétique de consolidation) est la suite logique du transit de Pluton en Capricorne en 2008 ( signe de modalité carinal, mouvement énergétique d'initiation) autour des thématiques liées au pouvoir; c'est une mise en pratique concrètement de nos prise de conscience et l'incarnation d' une autre manière de vivre ensemble.
With this air sign, mental and social action is stabilized and concentrated; in this sign Pluto will therefore exert its transformation on social relationships and the relationship of each person to the community will be questioned.
Each of our actions makes society; under this prism, the individual action is of capital importance. This transit in an air modality sing (energetic movement of consolidation) is the logical continuation of the transit of Pluto in Capricorn in 2008 (sign of carinal modality, energetic movement of initiation) around the themes related to power; it is a concrete implementation of our awareness and the incarnation of another way of living together.
Ce signe porte en lui des energies pénétrantes, qui résultent de la conscientisation et du désir de changement ; avec pluton, il pourra en résulter des discours et des actions qui s'opposent dans de violents rapports de forces.
Pluton en Verseau laisse des traces irréversibles dans l'histoire de l'humanité;
Le dernier transit de la planète dans ce signe, (1777 à 1797) à connu la Révolution américaine et Révolution française.
This sign carries penetrating energies, which result from awareness and the desire for change; with Pluto, it may result in speeches and actions that oppose each other in violent relationships of power.
Pluto in Aquarius leaves permanent traces in the history of humanity;
The last transit of the planet in this sign (1777 to 1797) saw the American Revolution and the French Revolution.
Le Verseau concerne également le rapport que nous entretenons avec la technologie, car gouverné par Uranus. (dont les transits seront à considérer avec grande importance tout au long de ce cycle)
Le passage de Pluton viendra en modifier ce secteur et la façon dont nous en envisageons l'avenir ainsi que la teneur de nos discussions à ce sujet ( transhumanisme )
Aquarius also concerns the relationship we have with technology, as it is ruled by Uranus (whose transits will be considered with great importance throughout this cycle)
The transit of Pluto will modify this sector and the way we contemplate the future as well as the content of our discussions on this subject (transhumanism)
Qu'est-ce que l'Homme? Jusqu'où sommes nous prêts à laisser la technologie nous envahir ?
Comment envisageons-nous l'avenir?
Comme dans tout système Capitaliste, nos réponses à ses questions par nos décisions consommatrices sera déterminant dans la décennie à venir.
What is Man? How far are we willing to let technology invade us?
How do we envision the future?
Like in any capitalist system, our answers to these questions through our consumer decisions will be decisive in the coming decade.
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