#Développement durable Afrique
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Discours Historique d'Abdoulaye Maïga à l'ONU : Une Défense Inébranlable de la Souveraineté Africaine !
Lors de la 79e session de l’Assemblée Générale de l’ONU, Abdoulaye Maïga, Vice-Premier Ministre du Mali, a livré un discours historique en défense de la souveraineté africaine.Dans une prise Face aux défis du terrorisme, des ingérences étrangères et de l’exploitation des ressources africaines , Maïgarefuser la soumission et s’unir pour un développement durable et souverain . Un appel puissant à…
#Confédération des États du Sahel#Coopération internationale Mali#Développement durable Afrique#Dignité humaine Afrique#Lutte contre le terrorisme au Sahel#Mali géopolitique 2024#Mali politique internationale#ONU Afrique 2024#Partenariat Afrique souveraineté#Refondation du Mali#Relations Mali Russie#Souveraineté Afrique#Transition malienne 2024
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Mali : Quand le Blogging au Service de l’Écologie Devient un Moteur de Changement
À l’occasion de la Journée mondiale du Blog, célébrée chaque année le 31 août, BENBERE a organisé, ce vendredi 30 août 2024, à son siège à Missabougou, dans le district de Bamako, un Tweet-Up centré sur le thème de l’environnement et de l’écologie. Ce rassemblement a mis en avant l’importance du blogging pour sensibiliser les communautés maliennes aux enjeux écologiques et renforcer la…
#écologie Mali#état de catastrophe nationale#blogging environnemental#changement climatique Afrique#développement durable Mali#gestion des déchets
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FESTISOL 2023 : l'ONG Save Our Planet sensibilise à la préservation des semences locales
La préservation des semences locales revêt une importance cruciale pour garantir la diversité génétique des cultures et la souveraineté alimentaire des communautés. L’ONG Save Our Planet, consciente de cet enjeu, a organisé, à l’occasion du FESTISOL COLLINES 2023, une sensibilisation grand public sur la nécessité de préserver les semences locales. Vue d’ensemble Festisol 2023 / ONG Save Our…

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#Biodiversité#CGLTE-Afrique de l&039;ouest#Collectif FESTISOL 2023#FESTISOL 2023#Journal Santé Environnement#Ministère du Cadre de Vie et du Développement Durable#ONG Save Our Planet#Sécurité alimentaire#Semences locales
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#Inde #Afrique #Sécurité #Maritime L'Inde et dix nations africaines s'apprêtent à inaugurer une coopération maritime sans précédent à travers l'exercice naval multilatéral baptisé *Africa India Key Maritime Engagement* (AIKEYME). Cet événement, prévu du 13 au 18 avril 2025 au large de Dar-es-Salaam en Tanzanie, marque une étape significative dans le renforcement des liens stratégiques entre l'Inde et les pays africains. Co-organisé par la marine indienne et les Forces de défense populaires de Tanzanie, cet exercice vise à promouvoir l'interopérabilité entre les marines et agences maritimes participantes. L'exercice se déroulera en deux phases distinctes. La phase portuaire comprendra des exercices de poste de commandement axés sur la lutte contre la piraterie, le partage d'informations et des formations pratiques en matelotage ainsi qu'en opérations de visite, fouille et saisie (VBSS). La phase maritime, quant à elle, mettra l'accent sur des compétences opérationnelles telles que les manœuvres de navigation, les missions de recherche et sauvetage, les exercices avec armes légères et les opérations héliportées. Cette initiative s'inscrit dans la vision stratégique indienne SAGAR (*Security and Growth for All in the Region*), qui célèbre son dixième anniversaire cette année. Elle reflète l'engagement croissant de l'Inde envers la sécurité maritime dans l'océan Indien, tout en consolidant son rôle en tant que partenaire privilégié et premier intervenant dans cette région. Parallèlement à AIKEYME, l'Inde lancera également le programme *Indian Ocean Ship Sagar* (IOS Sagar), qui verra le déploiement du navire INS Sunayna avec un équipage mixte composé de marins indiens et de personnel provenant de neuf pays partenaires. Ce navire effectuera des missions conjointes de surveillance des zones économiques exclusives (ZEE) dans plusieurs pays africains tout en faisant escale dans divers ports. L'exercice AIKEYME ne se limite pas seulement à renforcer les capacités opérationnelles des participants. Il vise également à répondre aux défis sécuritaires communs tels que la piraterie, le trafic illicite et la pêche non réglementée. En outre, il offre une plateforme pour approfondir les relations bilatérales et multilatérales entre l'Inde et ses partenaires africains, tout en favorisant un environnement maritime stable et sécurisé. Cet effort collectif intervient dans un contexte où d'autres puissances mondiales, notamment la Chine, intensifient leur présence stratégique en Afrique. En réponse, l'Inde cherche à affirmer sa position en tant qu'acteur clé dans le domaine de la sécurité maritime tout en soutenant le développement économique durable des nations africaines. Read the full article
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L'autonomisation économique des femmes constitue un enjeu majeur pour le développement durable en Afrique. À ce titre, les Associations Villageoises d'Épargne et de Crédit (AVEC) émergent comme une solution efficace pour permettre aux femmes d'améliorer durablement leurs conditions de vie
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L'appel à candidatures pour cette neuvième édition, consacrée au numérique au service de l'eau, a enregistré près de 300 dossiers. Parmi eux, 10 projets ont été sélectionné par notre jury.
Mamitina Rolando Randriamanarivo – Madagascar 🇲🇬
INOMAWA est une plateforme numérique qui connecte les travailleurs indépendants locaux aux habitants d’une commune pour des services liés à l’eau. Elle facilite la gestion de l’eau tout en créant des opportunités d’emploi au niveau local.
Ahmed Kounta - Sénégal 🇸🇳
H20CONNECTÉE est une plateforme interactive qui permet de localiser en temps réel les points d’eau et d’accéder à des données détaillées sur leur qualité et leur débit. Grâce à des outils d’analyse et de simulation, cette solution aide les acteurs de l’eau à prendre des décisions éclairées et favoriser un développement durable.
Comlan Apollinaire - Fabrice Salavi - Bénin 🇧🇯
Robodo est un bateau télécommandé conçu pour nettoyer les eaux polluées en collectant plastiques, métaux et déchets organiques. Il est équipé de capteurs, caméras HD et GPS pour une surveillance en temps réel et un pilotage à distance.
Marie-Esther Muadi – République Démocratique du Congo 🇨🇩
AquaConnect Africa est une application visant à résoudre les défis liés à l’accès à l’eau potable et à l’assainissement en Afrique. Elle intègre des outils éducatifs, de signalement, et de gestion des ressources en eau accessibles dans plusieurs langues africaines (swahili, lingala, wolof, zoulou).
Joseph Tsongo – République Démocratique du Congo 🇨🇩
Jambo-Lab est une plateforme numérique interactive connectant les communautés rurales et populations déplacées en RDC pour améliorer l’accès à l’eau, la gestion des ressources et l’assainissement. Elle mise sur la sensibilisation, la prévision des pénuries et la gestion des crises pour offrir une solution durable et accessible.
Fatoumata Lamarana Diallo - Sénégal 🇸🇳
SEN VIDANGE Solutions optimise l’assainissement urbain en facilitant la mise en relation entre propriétaires de fosses septiques, vidangeurs et autorités. Grâce à la géolocalisation et aux commandes simplifiées, elle réduit les risques de déversement des eaux usées, d’inondations et de maladies hydriques, contribuant ainsi à un environnement plus sain et mieux géré.
Yawo Mawupé Konou – Togo 🇹🇬
CASH WATER est un dispositif permettant aux usagers de prépayer leur consommation d’eau via un système sécurisé et facilement accessible, facilitant ainsi l’accès à l’eau potable tout en promouvant une gestion durable des ressources hydriques.
Babacar Thiaw - Sénégal 🇸🇳
SurfRider est une application participative permettant aux citoyens de signaler les déchets, de suivre la qualité de l’eau et de référencer les pollutions sur le littoral et les rivières. Elle favorise la transparence, l’analyse des données et l’engagement communautaire pour la préservation des écosystèmes aquatiques.
Adja Aminata Cissé Diop - Sénégal 🇸🇳
SOTILMA transforme la gestion de l’eau dans l’agriculture et l’industrie grâce à des solutions intelligentes et automatisées. La solution permet de contrôler et optimiser l’irrigation agricole ou la gestion de l’eau d’une installation directement depuis un smartphone, même hors connexion internet. Conçue pour simplifier le quotidien des utilisateurs, elle réduit le gaspillage d’eau.
Oscar Vib – Cameroun 🇨🇲
PIXYS+ est une application innovante dédiée à la pisciculture au Cameroun. Grâce à la commande vocale en langues locales, l’automatisation des tâches et à un kit mesurant la qualité de l’eau en temps réel, Pixys+ simplifie le travail tout en contribuant à une production durable de poissons.
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Cultiver le changement : Comment les partenariats collaboratifs transforment l’agriculture en Asie du Sud-Est, en Afrique et au-delà
L’agriculture demeure la pierre angulaire économique de millions de personnes dans les pays en développement, même si les petits exploitants doivent composer avec des défis tels qu’un accès limité aux technologies, l’instabilité climatique et l’exclusion des circuits de marché. Face à ces obstacles, des partenariats innovants réunissant gouvernements, institutions de recherche, ONG et secteur privé induisent une véritable révolution. En s’appuyant sur des exemples concrets en Asie du Sud-Est, en Afrique et ailleurs, cet article présente des modèles opérationnels qui combinent recherches de pointe et collaboration étroite afin d’améliorer la productivité, la durabilité et l’équité. Dans un contexte de crises climatiques et de croissance démographique, le déploiement de tels partenariats apparaît non seulement comme bénéfique, mais absolument indispensable.
Asie du Sud-Est : Outils numériques et Avancées en aquaculture
Digital Green : Donner les moyens aux agriculteurs grâce à la vidéo
Né en Asie du Sud et étendu à l’ensemble du continent africain, Digital Green permet aux agriculteurs d’accéder à des contenus vidéo adaptés et produits localement par leurs propres communautés. En formant les agriculteurs à réaliser des vidéos dans leur langue et selon leur culture, l’initiative assure la diffusion de conseils pertinents sur les meilleures pratiques, allant de la lutte antiparasitaire à l’irrigation.
Les clés du succès :
• Appropriation locale : Les agriculteurs participent à la conception des contenus, renforçant ainsi la confiance et leur appropriation des pratiques proposées. • Coût maîtrisé : Des solutions technologiques simples – par exemple, l’utilisation de vidéoprojecteurs alimentés par batterie – permettent de déployer l’initiative même dans les zones les plus reculées. • Apprentissage visuel : La communication par l’image facilite la compréhension de techniques complexes, en contournant les difficultés liées à l’analphabétisme.
Impact : Plus de 1,5 million d’agriculteurs ont été touchés, avec des augmentations de rendement de 10 à 30 % chez les utilisateurs (Digital Green, 2023).
La révolution de l’aquaculture au Vietnam
Le secteur de la crevette au Vietnam illustre parfaitement l’aquaculture durable grâce à une collaboration étroite entre chercheurs, entreprises et décideurs politiques. Parmi les innovations, on note le développement de variétés de crevettes résistantes aux maladies, la conception d’aliments écologiques et la mise en place de systèmes de recyclage de l’eau, réduisant ainsi l’impact environnemental tout en améliorant les rendements.
Facteurs déterminants :
• Synergie entre R&D et industrie : Des institutions telles que l’Université de Can Tho collaborent avec le secteur privé pour tester et affiner des solutions innovantes. • Réduction des risques : Le partage des coûts entre le secteur public et privé favorise une adoption rapide des technologies. • Adaptabilité internationale : Les modèles développés ont été reproduits avec succès au Bangladesh et au Nigeria.
Résultat : Les exportations de crevettes vietnamiennes ont atteint 4,2 milliards de dollars en 2022, avec une diminution de 30 % des pertes liées aux maladies (Vietnam Association of Seafood Exporters, 2023).
Afrique : Innovations autour du manioc et plateformes de marché numériques
La renaissance du manioc en Afrique de l’Ouest
Sous l’impulsion de l’IITA, des initiatives au Nigeria et au Ghana ont permis de revitaliser la production de manioc grâce à l’introduction de variétés tolérantes à la sécheresse et au renforcement des chaînes de valeur. Les coopératives agricoles, en reliant les producteurs aux centres de transformation, contribuent à réduire les pertes post-récolte et à faciliter l’accès aux marchés régionaux.
Les leviers de la réussite :
• Cultures résilientes : Des variétés comme la TMS30572, résistantes aux parasites et adaptées aux faibles précipitations, s’imposent dans des environnements difficiles. • Accompagnement global : Des agents de vulgarisation forment les agriculteurs, tandis que les partenariats avec des agro-transformateurs garantissent un meilleur accès aux marchés. • Impact économique : Dans les zones concernées, les rendements ont progressé de 40 %, entraînant une hausse des revenus de 25 % (IITA, 2022).
M-Farm au Kenya : Réduire la fracture numérique
La plateforme mobile M-Farm relie plus de 15 000 agriculteurs aux acheteurs en fournissant des informations en temps réel sur les prix et en facilitant les ventes en gros. En supprimant les intermédiaires, les agriculteurs parviennent à conserver jusqu’à 70 % de revenus supplémentaires.
Les points forts de M-Farm :
• Large pénétration mobile : Avec 90 % des foyers kenyans équipés d’un téléphone, l’adoption du service s’est faite rapidement. • Démocratisation des données : Les agriculteurs peuvent ainsi analyser les tendances du marché et synchroniser leurs cycles de production avec la demande. • Autonomisation des femmes : 60 % des utilisateurs de M-Farm sont des femmes, contribuant ainsi à renforcer l’égalité des genres.
Modèles globaux : Coopératives et intégration agro-industrielle
La révolution laitière en Inde : La force des coopératives
L’initiative Operation Flood a transformé l’Inde en premier producteur mondial de lait grâce à un réseau de 15 millions de membres coopératifs. Des structures telles qu’Amul ont optimisé la collecte, la transformation et la commercialisation du lait, garantissant des prix équitables et réinjectant les bénéfices dans les communautés rurales.
Enseignements clés :
• Propriété collective : Les coopératives conservent les bénéfices au niveau local, permettant ainsi le financement d’écoles et d’infrastructures essentielles. • Intégration technologique : L’utilisation de contrôles qualité basés sur l’intelligence artificielle a permis de réduire de 20 % les pertes dues à la détérioration.
Innovations brésiliennes dans le soja et la canne à sucre
Les géants de l’agro-industrie brésilienne collaborent avec l’EMBRAPA pour développer des cultures adaptées au climat et promouvoir l’agriculture de précision. Depuis 1990, les rendements du soja ont doublé, tandis que l’éthanol issu de la canne à sucre représente désormais 45 % de la demande nationale en carburant.
Facteurs de succès :
• Valorisation de la recherche : L’EMBRAPA concède chaque année plus de 100 licences de technologies aux entreprises privées. • Engagement pour la durabilité : Des politiques strictes de non-déforestation, associées à une intensification raisonnée des cultures, renforcent la durabilité environnementale.
Stratégies pour amplifier le succès
Créer des pôles régionaux d’innovation Mettre en place des centres où universités, gouvernements et entreprises collaborent pour développer des solutions adaptées aux réalités locales (comme les Tech Hubs du Nigeria qui favorisent l’émergence de startups agri-tech).
Encourager les partenariats multipartites Proposer des avantages fiscaux ou des subventions pour soutenir les partenariats public-privé, à l’exemple des aides apportées à M-Farm au Kenya.
Investir dans l’infrastructure numérique Étendre l’accès à Internet dans les zones rurales afin de pouvoir déployer des modèles tels que Digital Green et M-Farm à plus grande échelle.
Harmoniser les politiques avec l’innovation Simplifier les réglementations concernant les cultures génétiquement modifiées ou l’utilisation de drones, à l’image du Vietnam qui a facilité l’adoption des technologies en aquaculture.
Renforcer la formation des agriculteurs Mettre en place des « académies mobiles » (comme l’application Kisan Rath en Inde) pour assurer un perfectionnement continu des compétences sur le terrain.
Conclusion
Qu’il s’agisse des fermes de crevettes vietnamiennes ou des plateformes numériques kenyannes, les partenariats collaboratifs redéfinissent le paysage agricole. Ces modèles illustrent que l’alliance du savoir-faire local et de l’innovation mondiale permet de lever les obstacles structurels. Pour reproduire ces succès, il est impératif que les pays en développement adoptent des politiques inclusives, investissent dans des technologies évolutives et créent des écosystèmes favorables à la synergie entre agriculteurs, chercheurs et entreprises. L’avenir de l’agriculture repose sur une résilience collective et adaptative, loin des initiatives isolées.
#Agriculture#InnovationAgricole#Partenariats#DigitalGreen#Aquaculture#AsieDuSudEst#Afrique#Durabilité#AgroIndustrie#Transformation#TechnologieAgricole#DéveloppementRural#FormationAgricole#Résilience#AgroTech
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VOUS AVEZ DIT ANTICOLONIALISME !?!
APRÈS toutes les humiliations que l'on nous a fait subir pour nous faire honte du colonialisme blanc, la France qualifiée d'avoir perpétré un "crime contre l'humanité", que dire de cet autre colonialisme feutré, opéré par la très controversée AFD-FRANCE !
Wikipédia met tout son art de la flatterie au service de l'AFD :
"L'Agence française de développement (AFD), est une institution financière publique qui met en œuvre la politique de développement de la France, agit pour combattre la pauvreté et favoriser le développement durable. Présente en Afrique, en Asie, au Moyen-Orient, en Amérique Latine, dans la Caraïbe et l'Outre-mer, cet établissement public finance et accompagne des projets qui améliorent les conditions de vie des populations, soutiennent la croissance économique et protègent la planète.
En 2020, le groupe AFD (composé de Proparco, filiale destinée au secteur privé, et d’Expertise France) a engagé 12,1 milliards d’euros dans 996 nouveaux projets de développement tous secteurs confondus.
Le groupe finance et accompagne environ 4 000 projets, dans 115 pays et en Outre-mer. Ses équipes sont basées à Paris, à Marseille et dans un réseau de 85 agences à travers le monde. Environ 3 000 collaborateurs travaillent pour le groupe AFD."
Mais si l'on regarde de plus près, nous trouvons ceci :
"𝐌𝐞𝐭𝐭𝐫𝐞 𝐥𝐞 𝐠𝐞𝐧𝐫𝐞 𝐚𝐮 𝐜œ𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐧𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐬𝐭𝐫𝐚𝐭𝐞́𝐠𝐢𝐞
𝐿’𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑒 𝑔𝑒𝑛𝑟𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑟𝑒𝑐𝑜𝑛𝑛𝑢𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛𝑎𝑢𝑡𝑒́ 𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑎𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑢𝑛 𝑓𝑎𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑑𝑒́𝑣𝑒𝑙𝑜𝑝𝑝𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡. 𝐷𝑒𝑝𝑢𝑖𝑠 2019, 𝑙𝑎 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑚𝑒𝑢𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑖𝑝𝑙𝑜𝑚𝑎𝑡𝑖𝑒 𝑓𝑒́𝑚𝑖𝑛𝑖𝑠𝑡𝑒, 𝑎𝑥𝑒́𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑟𝑒𝑐𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝑙’𝑒𝑥𝑒𝑟𝑐𝑖𝑐𝑒 𝑟𝑒́𝑒𝑙 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑐𝑢𝑛 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑐𝑢𝑛𝑒, 𝑎𝑢𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑠𝑡𝑟𝑎𝑡𝑒́𝑔𝑖𝑒 𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑛𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑎𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙’𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́ 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑒𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 2018-2022.
𝐷𝑒̀𝑠 2013, 𝑙’𝐴𝐹𝐷 𝑎 𝑒́𝑙𝑎𝑏𝑜𝑟𝑒́ 𝑠𝑜𝑛 𝑐𝑎𝑑𝑟𝑒 𝑑’𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑣𝑒𝑛𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑣𝑒𝑟𝑠𝑎𝑙 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑔𝑒𝑛𝑟𝑒 𝑎𝑢𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑡𝑟𝑜𝑖𝑠 𝑝𝑟𝑖𝑜𝑟𝑖𝑡𝑒́𝑠 :
. 𝑝𝑟𝑒́𝑣𝑒𝑛𝑖𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́𝑠 𝑓𝑒𝑚𝑚𝑒𝑠-ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑜𝑝𝑒́𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 ;
. 𝑝𝑟𝑜𝑚𝑜𝑢𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑙𝑒 𝑔𝑒𝑛𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑙'𝑎𝑢𝑡𝑜𝑛𝑜𝑚𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑒𝑚𝑚𝑒𝑠 ;
. 𝑎𝑐𝑐𝑜𝑚𝑝𝑎𝑔𝑛𝑒𝑟 𝑙’𝑒́𝑣𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑐𝑖𝑒́𝑡𝑒́𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑐𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑗𝑒𝑢𝑥.
𝑆’𝑎𝑓𝑓𝑖𝑟𝑚𝑎𝑛𝑡 𝑎𝑔𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑓𝑒́𝑚𝑖𝑛𝑖𝑠𝑡𝑒, 𝑙’𝐴𝐹𝐷 𝑎 𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑚𝑖𝑠 𝑒𝑛 œ𝑢𝑣𝑟𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑥𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑎 𝑠𝑡𝑟𝑎𝑡𝑒́𝑔𝑖𝑒 100% 𝐿𝑖𝑒𝑛 𝑠𝑜𝑐𝑖𝑎𝑙 𝑒𝑛 𝑚𝑎𝑡𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑢𝑡𝑡𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑒́𝑔𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́𝑠 𝑑𝑒 𝑔𝑒𝑛𝑟𝑒. 𝐸𝑙𝑙𝑒 𝑎 𝑎𝑖𝑛𝑠𝑖 𝑓𝑖𝑛𝑎𝑛𝑐𝑒́ 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑗𝑒𝑡𝑠 𝑒𝑚𝑏𝑙𝑒́𝑚𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 œ𝑢𝑣𝑟𝑎𝑛𝑡 𝑎𝑢 𝑟𝑒𝑛𝑓𝑜𝑟𝑐𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑡𝑒 𝑑𝑢 𝑔𝑒𝑛𝑟𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑑𝑖𝑎𝑙𝑜𝑔𝑢𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑙𝑖𝑡𝑖𝑞��𝑒𝑠 𝑝𝑢𝑏𝑙𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑎 𝑙𝑢𝑡𝑡𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑛𝑔𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑙𝑖𝑚𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑣𝑖𝑜𝑙𝑒𝑛𝑐𝑒𝑠 𝑓𝑎𝑖𝑡𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑥 𝑓𝑒𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑒𝑛𝑓𝑖𝑛 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑑𝑜𝑚𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡𝑠 𝑒𝑡 𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒́ 𝑠𝑒𝑥𝑢𝑒𝑙𝑠 𝑒𝑡 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑜𝑑𝑢𝑐𝑡𝑖𝑓��."
À nos yeux, il s'agit ici d'une propagande du genre dans l'hémisphère sud de la planète :
- "diplomatie féministe" :
les pays concernés vous ont-ils demandé cette propagande wokiste ? La réponse est écrite dans la présentation de l'AFD : "L’égalité de genre est reconnue par la communauté internationale comme un facteur de développement". Ce ne sont donc pas les pays concernés. Puis, de quel développement parle-t-on ?
- "axée sur la reconnaissance et l’exercice réel des droits de chacun et de chacune, autour de la stratégie internationale de la France sur l’égalité entre les femmes et les hommes 2018-2022" :
Les pays concernés vous ont-ils demandé cette propagande des Droits de l'hommisme ? C'est la France et sa stratégie internationale. Si c'est sur le terrain international, c'est alors une colonisation d'une idéologie particulière à un groupe philosophique expansionniste.
Quant à l'égalité... en France.
- "S’affirmant agence féministe" :
c'est donc une agence qui affirme son bord politique progressiste et non unanime.
- "dans la lutte contre le changement climatique" :
insertion d'une autre propagande politique dans la première propagande concernant le genre.
Pour finir, l'AFD dit : "Depuis 2013, l’AFD promeut l’égalité de genre et l'autonomisation des femmes dans tous les secteurs et tous les pays où elle intervient. Elle finance des projets spécifiquement orientés vers la réduction de l’inégalité, à travers un meilleur accès aux services de base, la lutte contre les violences faites aux femmes, leur éducation, l’amélioration de leur accès au marché du travail et leur participation à la bonne gouvernance."
Sur le fond, nous ne pouvons qu'être d'accord, mais sur la manière... À qui appartiennent ces millions ? Le peuple français vous a-t-il mandaté pour cette nouvelle colonisation ? Est-ce que cette égalité de genre que l'on exporte marche en France ?
Pour finir, nous sommes fondés à croire qu'il s'agit ici de bien d'autre chose que l'égalité entre homme et femme. La France en Algérie a construit quelque chose de concret dans tous les ordres de ce pays. Toutes ses structures sur lesquelles elle s'appuie ont été léguées par les Français. Reste à savoir si l'Algérie est partenaire du programme de l'AFD-France ?
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Partenariat Gabon-BDEAC : Vers un développement durable en 2025
Le jeudi 09 Janvier 2025 dernier, Charles M’BA, ministre des Comptes Publics, a reçu Jean Paterne MEGNE EKOGA, Vice-Président de la Banque de Développement des Etats d’ Afrique Centrale (BDEAC) qu’ accompagnait le Représentant Résident au Gabon de l’ Institution, venu principalement partager à son hôte les résolutions de l’Assemblée Générale de la Banque tenue à Paris le 3 janvier dernier. Après…
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Pour une agriculture familiale durable et équitable
L’agriculture reste le principal levier de développement en Afrique. La question de l’autosuffisance alimentaire, essentielle pour garantir la sécurité alimentaire des populations, demeure une priorité dans de nombreuses régions du continent.source
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2e édition de la conférence 10000Codeurs Bénin 2024: Accompagner la jeunesse dans l’ère numérique

La conférence 10000Codeurs, événement phare pour l’inclusion numérique en Afrique, revient au Bénin pour sa deuxième édition, qui se déroulera du 13 au 16 novembre 2024 à Cotonou. Cette initiative vise à dynamiser l’accès des jeunes Africains au monde du numérique, en les sensibilisant aux nombreuses opportunités de carrière offertes par le secteur technologique. Avec pour mission de créer un véritable pont entre les compétences locales et les besoins des entreprises, cette édition est un moment stratégique pour le développement numérique au Bénin et en Afrique francophone. Objectif de la conférence : La révolution numérique au service de l’inclusion

L’association 10000Codeurs poursuit un objectif ambitieux : former et accompagner jusqu’à 20.000 jeunes pour les intégrer aux métiers du numérique, et ce, dans un contexte où l’Afrique connaît une forte croissance de sa population et une demande accrue de compétences technologiques. Cette conférence s'adresse aux jeunes, aux professionnels du secteur et aux acteurs publics et privés, désireux de contribuer à l’inclusion numérique et à l’essor économique par la formation des talents locaux. Programme et temps forts : Deux jours de conférences et un forum pour l’avenir Les deux premières journées, les 13 et 14 novembre, seront dédiées à des conférences interactives et des ateliers de formation. Elles mettront en lumière les opportunités qu’offre la transition numérique au Bénin et en Afrique. Des experts de 10.000 Codeurs, des responsables d’entreprises, ainsi que des ambassadeurs de la jeunesse interviendront pour partager leur expérience et les meilleures pratiques du secteur. Une des sessions clés de cet événement sera la présentation de la Plateforme citoyenne de développement des territoires du Bénin. Cette plateforme vise à renforcer le développement durable au niveau local en utilisant le numérique comme levier pour atteindre les Objectifs de Développement Durable (ODD) dans les 77 communes béninoises. Forum du 16 novembre : Une mobilisation sans précédent pour la jeunesse béninoise
Le 16 novembre marquera le point culminant de l'événement avec un grand forum réunissant 800 professionnels et ambassadeurs. L’objectif de cette journée est de connecter des jeunes talents avec des mentors et des employeurs potentiels. Plus qu’un simple forum, cet espace d’échanges et de découvertes vise à révéler les 5.000 talents africains de demain, à travers des sessions de mentorat, des ateliers pratiques, et des interventions de rôles modèles inspirants. Ce forum permettra aux participants d’approfondir leur compréhension des métiers du numérique, tout en les sensibilisant aux compétences recherchées par les employeurs, dans un monde de plus en plus digitalisé. Une initiative porteuse d’espoir pour le futur de l’Afrique L’initiative 10000Codeurs est bien plus qu’une conférence : elle est le reflet d’une vision à long terme qui souhaite transformer la jeunesse africaine en acteurs clés du développement économique et technologique de leurs pays. En favorisant l’accès aux métiers du numérique, 10000Codeurs répond à un double défi : lutter contre le chômage des jeunes tout en répondant à la demande croissante de professionnels du numérique en Afrique. Ce modèle de transformation, qui met l’accent sur la formation, l’accompagnement, et la mise en réseau, est une réponse concrète aux défis économiques de l'Afrique et un espoir pour des milliers de jeunes talents. Si vous êtes un jeune passionné de technologie ou un professionnel du numérique, ne manquez pas cette occasion unique de découvrir, d'apprendre et de participer à un projet qui façonne déjà le futur du continent africain. Read the full article
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🚨 Un pas décisif vers l’intégration régionale : le projet de l’autoroute Abidjan-Lagos avance à grands pas
Dans une dynamique de coopération régionale sans précédent, le projet titanesque de l’autoroute Abidjan-Lagos se concrétise progressivement, promettant de transformer durablement le visage de l’Afrique de l’Ouest. Longue de 1 028 kilomètres, cette artère transnationale reliera cinq nations majeures : la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Togo, le Bénin et le Nigéria, formant ainsi un corridor stratégique au service du développement et de l’intégration économique.
Le calendrier des travaux, annoncé avec précision, fixe le début des constructions à 2026, pour une livraison prévue en 2030. Sur les 1 028 kilomètres prévus, le Bénin accueillera 127 kilomètres d’infrastructures flambant neuves, intégrant 63 échangeurs judicieusement répartis pour maximiser la fluidité des déplacements. Cette autoroute à péage libre, pensée pour répondre aux besoins de mobilité croissants de la région, sera équipée de 4 à 6 voies, offrant un confort de circulation sans précédent.
Au-delà des prouesses techniques, ce projet se positionne comme un levier économique d’envergure. Il est estimé que la réalisation de cette infrastructure générera pas moins de 70 000 emplois, stimulera les échanges commerciaux et renforcera l’interconnexion des économies ouest-africaines. Le Bénin, en particulier, pourra tirer parti de cette opportunité pour consolider son rôle de hub logistique dans la sous-région.
L’autoroute Abidjan-Lagos incarne également une vision ambitieuse pour le futur de l’Afrique de l’Ouest. En facilitant les échanges de biens et de services, en réduisant considérablement les temps de trajet et en favorisant une meilleure intégration des marchés, ce projet porte les espoirs d’une région tournée résolument vers le progrès.
En somme, cette initiative est bien plus qu’une infrastructure : elle symbolise une Afrique de l’Ouest unie, confiante en son potentiel et prête à écrire une nouvelle page de son histoire. Avec la mobilisation des parties prenantes et le soutien des partenaires internationaux, l’autoroute Abidjan-Lagos promet de devenir un véritable vecteur de transformation pour des millions de citoyens. Une avancée stratégique à suivre avec attention, alors que l’horizon 2030 s’annonce porteur de grandes réalisations.

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Justice sociale : la Convergence Globale des Luttes pour la Terre et l’Eau en Afrique de l’Ouest défend les communautés de Djêgbadji
Le vendredi 13 octobre 2023, la commune de Ouidah a été marqué par un événement dans le cadre de la 4e édition de la Caravane Ouest Africaine, avec la participation de la Convergence Globale des Luttes pour la Terre et l’Eau en Afrique de l’Ouest (CGLTE-AO). Cette initiative a pris place dans le village de Kouvènanfidé, situé sur la côte de l’arrondissement de Djêgbadji à Ouidah. Massa…

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#accaparement de terre#Caravane Ouest Africaine#CGLTE-Afrique de l&039;ouest#Convergence Globale des Luttes pour la Terre et l’Eau en Afrique de l’Ouest (CGLTE-AO)#Gouvernement du Bénin#Journal Santé Environnement#Massa KONE#Ministère de l&039;Agriculture de l&039;Elevage et de la Pêche#Ministère du Cadre de Vie et du Développement Durable#Ouidah#SYNPA Bénin#Wasexo
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Kaymite Consulting, une entreprise de conseil en Afrique de l'Ouest.
Découvrez des services de conseil en Afrique de l'Ouest avec Kaymite Consulting. Nous accompagnons les entreprises et les institutions dans leur développement stratégique, leur gestion des ressources humaines et l’optimisation de leurs opérations. Notre expertise locale et notre approche personnalisée assurent des solutions efficaces et adaptées aux défis régionaux, favorisant ainsi une croissance durable et un succès à long terme.
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Comment relever les défis de financement des industries extractives et énergétiques en Afrique ?
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Autonomiser les productrices de beurre de karité en Afrique de l’Ouest pour prospérer sur le marché mondial
Le beurre de karité, souvent appelé « l’or des femmes », est devenu une source d’espoir pour les petits producteurs et les coopératives agricoles en Afrique de l’Ouest. Alors que la demande mondiale pour des produits naturels, durables et éthiques ne cesse de croître, le karité offre une opportunité unique aux communautés locales de participer à l’économie mondiale tout en favorisant le développement durable. Cet article explore des stratégies éprouvées et des conseils pratiques pour aider les producteurs de karité ouest-africains à exploiter leur plein potentiel sur le marché international. À travers des récits de réussite, nous découvrirons comment la qualité, l’innovation et la collaboration peuvent transformer les défis en opportunités, permettant aux producteurs de prospérer tout en préservant leur patrimoine culturel et leurs ressources naturelles.
1. La qualité avant tout : bâtir la confiance grâce à l’excellence
Sur le marché compétitif des produits naturels, la qualité est non négociable. Les producteurs ouest-africains doivent prioriser :
- Des procédures de test rigoureuses pour garantir la pureté et la constance.
- Des certifications (bio, commerce équitable, etc.) pour valider l’authenticité et répondre aux normes internationales.
- Une amélioration continue des techniques de production pour maintenir des produits de haute qualité.
Histoire de réussite : La Coopérative des Femmes d’Ojoba (Ghana)
La Coopérative des Femmes d’Ojoba au Ghana illustre parfaitement l’importance de la qualité. En mettant en place des mesures strictes de contrôle de qualité et en obtenant une certification biologique, elles ont gagné la confiance d’acheteurs internationaux, y compris des grandes marques de cosmétiques comme L’Occitane. Leur engagement envers l’excellence a non seulement augmenté leurs revenus, mais aussi renforcé leur réputation sur le marché mondial.
Conseil supplémentaire
Les producteurs peuvent collaborer avec des laboratoires locaux et des organismes de certification internationaux pour simplifier le processus de certification, tout en maîtrisant les coûts.
2. Adopter la traçabilité et la transparence : raconter l’histoire du produit
Les consommateurs modernes valorisent la transparence et veulent connaître l’origine de leurs achats. Les producteurs doivent :
- Documenter les lieux d’approvisionnement et les processus de production.
- Mettre en avant les pratiques durables et leur impact positif sur les communautés locales.
- Utiliser la technologie (par exemple, des codes QR) pour permettre aux consommateurs de retracer le parcours du produit.
Histoire de réussite : L’Association des Femmes de Tungteiya
L’Association des Femmes de Tungteiya a collaboré avec The Body Shop pour créer une chaîne d’approvisionnement transparente. En mettant en place un système de traçabilité, elles ont permis aux consommateurs de suivre leur beurre de karité, de l’arbre à la table. Cette transparence a renforcé leur position sur le marché et favorisé des partenariats durables.
Conseil supplémentaire
Les producteurs peuvent collaborer avec des startups technologiques pour développer des solutions de traçabilité abordables, facilitant ainsi la communication de leur histoire à un public mondial.
3. Tirer parti de la collaboration : la force de l’union
La collaboration amplifie l’impact. Les petits producteurs doivent :
- Former ou rejoindre des coopératives pour augmenter leur pouvoir de négociation et réduire les coûts.
- Partager des connaissances et des ressources pour améliorer l’efficacité de la production.
- S’engager dans un marketing collectif pour accéder à des marchés plus vastes.
Histoire de réussite : L’Alliance Globale du Karité
L’Alliance Globale du Karité a réuni plus de 500 membres dans 35 pays, créant un réseau puissant pour le partage des connaissances et l’accès aux marchés. Leurs efforts collaboratifs ont entraîné une augmentation de 600 % des exportations de karité d’Afrique de l’Ouest au cours des deux dernières décennies.
Conseil supplémentaire
Les coopératives peuvent collaborer avec des ONG et des agences gouvernementales pour accéder à des formations, des financements et des liens commerciaux, renforçant ainsi leur impact collectif.
4. Développer une intelligence de marché : comprendre le paysage mondial
L’intelligence de marché est essentielle pour réussir. Les producteurs doivent :
- Étudier les marchés de niche (par exemple, les cosmétiques de luxe, les aliments biologiques).
- Se tenir informés des tendances des consommateurs (par exemple, les produits véganes et sans cruauté).
- Innover en développant de nouveaux produits à base de karité (par exemple, des chocolats ou des bougies infusés au karité).
Histoire de réussite : Baraka Shea Butter
Baraka Shea Butter a identifié une demande croissante pour du beurre de karité éthique en Amérique du Nord. En ciblant ce marché de niche, ils ont considérablement développé leur entreprise, fournissant plus de 1 000 marques de soins de la peau.
Conseil supplémentaire
Les producteurs peuvent utiliser des outils gratuits ou peu coûteux comme Google Trends et les analyses des réseaux sociaux pour identifier les opportunités émergentes.
5. Prioriser la durabilité : protéger l’avenir
La durabilité est un avantage concurrentiel. Les producteurs doivent :
- Participer à des initiatives de reboisement et de récolte durable.
- Adopter des pratiques écologiques pour minimiser l’impact environnemental.
- Promouvoir la biodiversité dans les zones de production de karité.
Histoire de réussite : Le Projet Shea Parkland de l’ICCO (Ghana)
Le Projet Shea Parkland de l’ICCO au Ghana combine la production de karité avec la conservation de l’environnement. En formant les communautés aux pratiques durables, ils ont augmenté les rendements tout en préservant la biodiversité, attirant des acheteurs premium qui valorisent la durabilité.
Conseil supplémentaire
Les producteurs peuvent collaborer avec des organisations environnementales pour accéder à des financements et un soutien technique pour des initiatives durables.
6. Se concentrer sur les produits à valeur ajoutée : capter plus de valeur
Monter en gamme maximise les retours. Les producteurs doivent :
- Développer des produits cosmétiques (par exemple, des lotions, des savons) et culinaires.
- Créer des produits spécialisés pour différents segments de marché.
- Investir dans des équipements de transformation à petite échelle pour produire des produits finis.
Histoire de réussite : Ele Agbe (Ghana)
Ele Agbe, une entreprise dirigée par des femmes au Ghana, est passée de la vente de beurre de karité brut à la production de produits à valeur ajoutée comme des savons et des crèmes. Cette transition a augmenté leurs profits et créé des emplois dans leur communauté.
Conseil supplémentaire
Les producteurs peuvent collaborer avec des universités ou des institutions de recherche locales pour développer des produits innovants à base de karité.
7. Mettre en avant les bienfaits pour la santé et le bien-être : surfer sur la tendance du bien-être
Les propriétés naturelles du beurre de karité sont un argument de vente majeur. Le marketing doit mettre l’accent sur :
- Sa richesse en antioxydants et vitamines (par exemple, la vitamine E).
- Ses propriétés hydratantes et anti-inflammatoires.
- Ses avantages pour la santé en tant qu’alternative naturelle aux produits synthétiques.
Histoire de réussite : Savannah Fruits Company
Savannah Fruits Company a mis en avant les bienfaits pour la santé de son beurre de karité, établissant des partenariats avec des marques de soins naturels en Europe et en Amérique du Nord.
Conseil supplémentaire
Les producteurs peuvent collaborer avec des influenceurs dans le domaine du bien-être pour amplifier leurs efforts de marketing.
8. Investir dans le branding et l’emballage : se démarquer sur le marché
Un branding fort différencie les produits. Les producteurs doivent :
- Développer des emballages écologiques et attrayants.
- Créer une identité de marque qui reflète le patrimoine culturel et la qualité.
- Utiliser le storytelling pour créer un lien émotionnel avec les consommateurs.
Histoire de réussite : TAMA Cosmetics (Burkina Faso)
TAMA Cosmetics au Burkina Faso a construit une marque forte autour du savoir-faire traditionnel et d’emballages écologiques, pénétrant les marchés haut de gamme en Europe et au Moyen-Orient.
Conseil supplémentaire
Les producteurs peuvent utiliser des plateformes de financement participatif pour lever des fonds afin d’améliorer leur branding et leur packaging.
9. Adopter les ventes en ligne : toucher des clients mondiaux
Le commerce électronique ouvre les portes des marchés mondiaux. Les producteurs doivent :
- Créer des boutiques en ligne ou collaborer avec des plateformes e-commerce.
- Utiliser les réseaux sociaux pour le marketing et l’engagement client.
- Proposer des livraisons internationales pour élargir leur portée.
Histoire de réussite : Karitè
Karitè a utilisé le commerce électronique pour vendre directement à des clients dans plus de 30 pays, augmentant considérablement ses marges bénéficiaires.
Conseil supplémentaire
Les producteurs peuvent utiliser des plateformes comme Shopify ou Etsy pour créer des boutiques en ligne abordables.
10. Rechercher des partenariats stratégiques : élargir les opportunités
Les partenariats offrent un accès à des ressources et des marchés. Les producteurs doivent :
- Collaborer avec des entreprises cosmétiques pour un soutien technique et commercial.
- Travailler avec des ONG et des agences gouvernementales pour obtenir des financements et des formations.
- Rechercher des partenariats de commerce équitable pour garantir des prix justes.
Histoire de réussite : La Coopérative Shea Yeleen
La Coopérative Shea Yeleen a collaboré avec Sundial Brands, augmentant ses revenus de plus de 200 % grâce à un soutien technique et des prix équitables.
Conseil supplémentaire
Les producteurs peuvent participer à des foires commerciales et à des événements sectoriels pour réseauter et établir des partenariats.
11. Former des coopératives : la force de l’union pour la qualité, le partage des coûts et l’accès au marché
L’une des stratégies les plus efficaces pour les producteurs de karité à petite échelle est de former ou rejoindre des coopératives. Les coopératives permettent de :
- Garantir une qualité constante grâce à des mesures de contrôle partagées.
- Réduire les coûts en mutualisant les ressources pour les équipements, les certifications et la logistique.
- Accéder à des marchés plus vastes grâce à un pouvoir de négociation collectif.
- Partager des connaissances et des meilleures pratiques pour améliorer la production.
Histoire de réussite : La Coopérative des Femmes du Réseau Karité (Ghana)
Cette coopérative a investi dans des équipements modernes et obtenu des certifications bio et équitables. Grâce à des efforts de marketing collectifs, elles ont sécurisé des contrats avec des acheteurs internationaux, augmentant significativement les revenus de leurs membres.
Conseil supplémentaire
Les coopératives peuvent explorer des outils numériques pour suivre la production et les ventes, améliorant ainsi la transparence et l’efficacité.
Conclusion
Le marché mondial du beurre de karité offre un potentiel immense pour les producteurs ouest-africains. En se concentrant sur la qualité, la durabilité et l’innovation, et en s’inspirant des réussites de coopératives comme Ojoba, Tungteiya et le Réseau des Femmes du Karité, les producteurs peuvent se tailler une place de choix sur la scène internationale.
La formation de coopératives est une stratégie puissante pour mutualiser les ressources, garantir la qualité et accéder aux marchés mondiaux. Bien que le chemin vers le succès mondial soit semé de défis, les récompenses – croissance économique, autonomisation des communautés et préservation de l’environnement – en valent la peine.
Alors que le beurre de karité ouest-africain continue de gagner en reconnaissance en tant que produit premium et durable, l’avenir s’annonce prometteur pour les producteurs qui adoptent ces stratégies. En travaillant ensemble, en exploitant la technologie et en restant fidèles à leurs racines, les producteurs de karité d’Afrique de l’Ouest peuvent non seulement rivaliser sur la scène mondiale, mais aussi montrer la voie en matière de pratiques commerciales durables et éthiques. L’opportunité est là, il est temps de la saisir.
J'espère que vous avez apprécié la lecture de cet article et que vous y avez appris quelque chose de nouveau et d'utile. Si c'est le cas, n'hésitez pas à le partager avec vos amis et collègues qui pourraient s'intéresser à l'agriculture et à l'agrobusiness.
M. Kosona Chriv
Directeur des Ventes et du Marketing du Groupe
Groupe Solina / Sahel Agri-Sol (Côte d’Ivoire, Sénégal, Mali, Nigeria, Tanzanie)
Vice-Président en charge des Opérations (COO)
Deko Group (Nigeria, Cambodge)
Conseiller Senior
Adalidda (Inde, Cambodge)
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Photo: Beurre de karité (crédit : Sahel Agri-Sol / Adalidda / Domaine Public)
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