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le soutien est parfois une grande consolation qui devient un art, un élément du décor ; celui prodigué aux murs pour qu’ils ne se fissurent ni ne se désolent davantage, maintenant des nefs de pierre comme la lumière étaye insensiblement ses ciels, est de cela ; humanité des cathédrales
© Pierre Cressant
(samedi 2 octobre 2022)
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Final Fantasy IV ( PR)
Final Fantasy IV, développé par Square( Enix), est un joyau du genre RPG qui a été remasterisé pour les plateformes modernes. Sorti initialement en 1991, ce titre est un incontournable pour les fans de la franchise et les amateurs d'aventures épiques.
📖 Histoire : Final Fantasy IV vous embarque dans un voyage palpitant à travers un monde où la lumière et les ténèbres se livrent une bataille sans merci. Suivez Cecil, un chevalier tourmenté, alors qu'il se lance dans une quête de rédemption et de découverte de soi. Entre trahisons déchirantes, alliances improbables et sacrifices héroïques, l'histoire est un véritable tour de montagnes russes émotionnelles qui vous tiendra en haleine jusqu'au dénouement épique.
🎮 Gameplay : Explorez des donjons labyrinthiques, affrontez des monstres redoutables et maîtrisez un système de combat tactique. Final Fantasy IV propose une expérience de jeu riche en stratégie et en action, où chaque décision compte. Les mécaniques de jeu sont bien équilibrées, offrant un défi stimulant sans être écrasant, et les nombreuses classes de personnages ajoutent une profondeur stratégique supplémentaire.
🔮 Ambiance : L'ambiance de Final Fantasy IV est tout simplement envoûtante. Des villages pittoresques aux paysages majestueux, en passant par les donjons lugubres, chaque lieu est imprégné d'une atmosphère unique qui vous transporte instantanément dans ce monde fantastique. Les décors détaillés et les magnifiques cinématiques en pixel contribuent à créer une immersion totale.
🛶 Aventure : Plongez-vous dans une aventure épique où l'action ne cesse jamais. Entre les quêtes principales qui vous emmènent aux quatre coins du monde et les quêtes secondaires qui cachent des trésors et des secrets, il y a toujours quelque chose de nouveau à découvrir. L'exploration est récompensée, et chaque recoin de la carte recèle des surprises inattendues.
🎼Bande son : La bande son de Final Fantasy IV est tout simplement magistrale. Des mélodies épiques aux thèmes émouvants, chaque morceau est une véritable œuvre d'art qui accompagne parfaitement l'action à l'écran. Les compositions musicales restent gravées dans votre mémoire bien après avoir éteint la console, ajoutant une dimension supplémentaire à l'expérience de jeu.
Points forts :
Scénario captivant et émouvant
Les petits + de la Pixel Remastered
Gameplay stratégique et dynamique
Ambiance immersive et envoûtante
Aventure riche en rebondissements et en découvertes
Bande son magistrale qui ajoute une profondeur émotionnelle
Points faibles :
Certains aspects de la mécanique de jeu peuvent sembler un peu datés pour les joueurs habitués aux RPG plus récents.
Les graphismes en pixel peuvent ne pas plaire à certains joueurs en quête de graphismes plus modernes.
Conclusion : Final Fantasy IV PR est un chef-d'œuvre intemporel qui continue de captiver les joueurs du monde entier des décennies après sa sortie. Avec son histoire captivante, son gameplay addictif et son ambiance envoûtante, il offre une expérience de jeu inoubliable qui restera gravée dans votre mémoire bien après avoir éteint la console. Si vous êtes un fan de RPG ou simplement à la recherche d'une aventure épique à vivre, ne cherchez pas plus loin que Final Fantasy IV. C'est un classique absolu qui mérite une place de choix dans la collection de tout joueur passionné.
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"../...Tu le sais je suis né d'un père et d'une mère humains. Mes soeurs, pas plus qu'eux, n'ont quatre pattes, une tête bête, ni des yeux rouges. Mes enfants non plus. De mon côté, j'ai aussi l'apparence d'un être humain, un peu sombre, peut-être. J'aime l'herbe, mais ne la broute pas, et j'habite un studio donnant sur les arbres à Montmartre, au pied du Sacré-Coeur. C'est là où je reprends conscience de ma vie. Il y a certainement eu en elle des choses qui m'ont totalement échappé...car je ne les cherchais pas.
Ces phrases que je transcris sont les premières d'un texte intitulé le mouton noir mélancolique. Près de deux cents pages rédigées à la main d'une écriture soignée, corrigées et annotées jusqu'à la fin. Sur la chemise bleue qui les renferme, mon père a écrit "à romancer". Ce texte, il le destinait à d'autres. Ma soeur et moi pour commencer. Il a passé les derniers mois de sa vie à l'écrire, dans le petit appartement que nous lui avions aménagé: une pièce blanche et claire, au rez-de-chaussée d'un immeuble moderne précédée d'un couloir en coude , sur lequel ouvraient une cuisine, une salle de bain, une penderie, et dont la paroi du fond était entièrement occupée par une baie vitrée qui donnait sur voie plantée d'arbres. Il y avait dans ce lieu comme dans certaines chambres d'hôtel, quelque chose d'impersonnel et de rassurant. Dès que nous l'avons vu nous avons su qu'il y serait bien, qu'il y échapperait à la peur. Nous y avons installé les meubles et les bibelots rescapés de la vente à Drouot, une grande bibliothèque où tenaient ses livres de droit et les cartons remplis de ses cahiers, un divan et un bureau, des tapis usés, une console Empire, des tableaux de mon grand-père, une photographie en noir et blanc de la Malouinère de Saint-Méloir-des Ondes: les reliques d'une dynastie de notables qui recomposeraient autour de lui le décor d'une vie respectable, lente et feutrée. Les psychiatres l'ont autorisé à quitter la clinique où depuis un an il était enfermé. Il allait pouvoir recommencer à vivre. C'est dans cette chambre qu'il est mort, neuf mois après.Tout de suite, il s'est approprié cette nouvelle scène. Et durant ces neuf mois, le temps d'une gestation, il s'est inventé un nouveau rôle. Il avait été le Malade, il serait le Médecin; il avait été le Fou, il serait le Sage. Il s'est remis à lire; pas de romans mais des essais, saint Thomas et Hannah Arendt, Jung et Plotin ( ce sont les névrosés qui lisent des romans m'avait dit un psychiatre rencontré peu après sa mort, les psychotiques préfèrent la poésie et la philosophie, ils creusent plus loin dans le réel). Lui-même, dans sa chambre blanche, il se rêvait penseur, moine-savant. il était Abélard isolé et banni, ou l'un de ces mélancoliques de la Renaissance assis à son écritoire, entouré de livres, de globes, de vanités et de miroirs ternis. Ce texte qu'il écrivait, n'est pas l'histoire de sa vie mais celle de sa maladie. J'ignore qui est ce "Tu" auquel il s'adresse d'emblée, ce tu qui "sait"; un autre malade, compagnon d'armes, frère d'âme? Celui que la maladie avait, en lui, laissé invaincu, impassible? Ce "Procureur implacable" dont il dit que, sa vie entière, il l'a redouté et qu'il espérait fléchir enfin? Ou bien encore une femme, une compagne rêvée comme celle que s'inventent les enfants tristes et les adolescents solitaires, une Héloïse, dit-il: Que n'ai-je une Héloïse à qui écrire parfois dans ma solitude?" ../..." Citation et extrait de "Personne" un roman de Gwenaëlle Aubry-Editions Mercure de France-
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Une fois les flon-flons envolés, il reste quoi ?
Les dernières notes joyeuses des chants de Noël se sont envolées dans le vent, et il a fallu ranger, plier, replier, remettre en place, puis tout remonter tout en haut de l'armoire. J'ai raconté il y a peu le difficile retour dans leur boite de centaines de Santons dont personne ne peut garantir qu'ils ne s'ennuient pas énormément, là haut. Et il y a quelques jours, Carême oblige, j'ai supprimé le décor artificiel des cartes de vœux qui, il y a quelques années encore, recouvraient tout le piano à queue et débordaient, drues, serrées sur une crédence et une console voisines.
Petit pincement au cœur, cette année : il y en a beaucoup moins, de ces jolies cartes de vœux, et même encore moins que ne me le fait croire mon impression de “moins”. Est-ce dû à mon âge (mes amis m'oublient… ou oublient tout, peut-être, pour quelques uns)… à l'éloignement progressif du monde du travail (où j'étais plus “cajolé” –titre ronflant oblige, même non-mérité)… à l'impact des nouvelles technologies sur les manifestations de la pensée –car il est vrai que je reçois 100 % de mails de plus qu'il y a 20 ans… Si c'est ça, c'est une perte et un regret de plus à ajouter à la longue litanie de toutes les jolies choses perdues, sans doute à jamais : la “carte de vœux” était une belle occasion annuelle d'écrire à la main quelques mots –rarement géniaux, mais bon… passons…– au verso d'une jolie image, religieuse ou profane mais choisie, pour se rapprocher les uns des autres.
Un ami, tout de même, a dérogé à cette nouvelle (et mauvaise, comme beaucoup des nouveautés auxquelles on finit par s'habituer) habitude : il m'a envoyé une belle lettre pleine de remarques intelligentes, où il me confiait le désenchantement que lui inspirent l'actualité, le monde qui en découle et celui, pire encore, qui semble s'annoncer pour “après”. “Je ne sais pas comment tu fais, écrit-il, pour entretenir ta foi dans un monde dont Dieu –s'il existe– a fichu le camp sans demander son reste, trop content de s'être sorti vivant de cette expérience ratée… Il fait si noir, sur Terre, que si tu connais un endroit où une petite lumière brille encore, dis-moi où il est…”.
Cette lettre me taraudait, lorsque, par miracle (car il faut croire aux miracles, même s'ils n'arrivent jamais : “un miracle”, c'est un autre nom, plus poétique, pour désigner une bonne nouvelle, un clin d’œil du destin, un sourire de la vie. Vous voyez, que ça existe ! ), une lecture est venue illuminer la grisaille à laquelle nous sommes si habitués qu'on la voit presque moins grise qu'elle n'est en réalité. C'est un livre, recommandé par Frank Ferrand, écrit par un Marocain, Driss Ghali –qui n'est pas “R'bati”, mais “Bédaoui”, c'est-à-dire casablancais. “Nobody’s perfect”? Lui l'est presque : couvert de vrais diplômes (ni sciences-pipo ni éna, mais Centrale et Edhec !), voyageur polyglotte, bosseur, sérieux, profond… et vraiment intelligent. Son titre “Français, ouvrez les yeux” a, vous vous en doutez, tout pour séduire.
Car s'il ne nous épargne pas, c'est avec honnêteté et tendresse… qui sont deux denrées devenues “absentes sur les rayons” des magasins à cause des pénuries fabriquées artificiellement par nos Nuls, sans vraies raisons, sauf leur impéritie ou (à en croire ceux qu'ils disent complotistes’ –qui se trompent rarement) une volonté de nous préparer à un monde où les permissions (chichement données par eux, bien sûr) remplaceront la liberté que nous aimions tant. Dans une langue élégante qu'il doit à sa mère, française, il s'efforce de tirer de sa léthargie un grand peuple dont il admire le passé et l'Histoire mais qu'il voit se précipiter, de son propre chef pas si propre que ça en l'espèce, vers sa perte –qu’il estime facilement évitable.
Son diagnostic, en partie vu de l'extérieur, est intéressant et original, puisqu'il attribue notre effacement actuel en tant que nation à trois grands renoncements : notre puissance nationale, notre souveraineté populaire et, le plus grave, notre “génie français” lui-même… c'est-à-dire à trois des composants de notre superbe “culture française”, à laquelle nos dirigeants sont tellement étrangers qu'ils prennent leur méconnaissance abyssale pour son inexistence à elle ! Seul ennui, la nature ayant horreur du vide, “les populations ainsi devenues orphelines en sont réduites à se tourner vers les Etats-Unis et leur anti-culture consumériste (’‘Je consomme, donc je suis !”), quand ce n'est pas –phénomène nouveau– vers un islam qui nous envahit et prolifère’’ sur les ruines de ce à quoi nous tournons le dos sans raison… Ne sachant plus que copier les autres, nous avons perdu tout amour-propre, “notre seule fierté commune et partagée semblant relever d'une victoire en Coupe du monde de foot ou d'un premier prix au concours de Miss Monde… ce qui est peu, pour galvaniser les âmes autour du rêve d'un destin commun… ”. Il parle d’or.
Son diagnostic, parfois “rude”, peut faire mal, mais nous contraint à nous remettre en cause tant cette douleur reflète et annonce une maladie plus profonde… Jugez-en plutôt : “Des places fortes autonomes se sont retranchées de la communauté nationale qui leur doit cependant le ravitaillement, le droit de passage et souvent de cuissage”. Ou encore, cette “pépite” : En l'espace d'un siècle, on est passés du Maréchal Lyautey à Gabriel Attal… en moins de cinquante ans, de Marie-France Garaud à Marlène Schiappa… [et j’ose ajouter : '’ou de De Gaulle à Macron, via Hollande’’], et en moins de vingt ans, de Philippe Séguin à Olivier Véran : il y a de quoi avoir le vertige, devant la vitesse et la profondeur de notre chute’’. Recopions encore cette forte analyse : “Les français veulent juste qu'on les laisse tranquilles, pour jouir de quelques minutes supplémentaires de plaisir (?)… Ils veulent que la fête continue, alors qu'elle a pour principal résultat de brouiller les sens et les repères, le son trop élevé et les lumières saccadées cachant la réalité de notre déclassement national et de notre ensauvagement en voie de généralisation”.
Driss Ghali conclut sur le “mélange de lâcheté, de prébendes et de mimétisme ” qu'il voit être érigé comme nos soi-disant “valeurs républicaines”, les dernières avant la fin de notre fin… Merci, cher Driss, de vous joindre à tous mes efforts désespérés –mais qu'ils soient maltraités et ignorés ne suffira pas à ralentir mon effort– pour hurler dans la tempête : “Français, ouvrez les yeux”, comme vous le dites si bien. Courage : le pire ne peut pas être éternel, puisque le sujet qui y est soumis disparaît… Vous me direz : “Quel rapport en une carte de vœux et ce beau livre”? Celui qui existe entre deux jolies choses qui préfèrent la douceur du temps qui passe à l'horreur du temps qu'on nous prépare ! N'abandonnons pas, surtout !
H-Cl.
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Metal Slug Tactics
https://youtu.be/ljVNq3x2g_4
Metal Slug Tactics – Quand l’Esprit Arcade Revient en Force dans un Monde de Stratégie
Imaginez : vous entrez dans une salle d’arcade vers la fin des années 90. Entre les jeux en déclin et les consoles qui grignotent le marché, vous tombez sur une borne Neo Geo affichant Metal Slug : Super Vehicle 001. Alors que la 3D promettait d’être l’avenir avec ses DOOM et compagnie, voilà qu’un jeu en 2D imposait une leçon d’art pixelisé : des sprites énormes et magnifiquement animés, une bande-son survoltée, des boss gigantesques, et un chaos visuel spectaculaire. Ce run ‘n’ gun effréné est l’œuvre de l’équipe derrière Gunforce et In the Hunt, vétérans du genre, qui savent comme personne faire parler la poudre.Face à un tel succès, Metal Slug n’allait pas s’arrêter là. Même après la faillite de SNK, la série renaît sous SNK Playmore, avec pas moins de sept épisodes, sans compter les remakes et les versions alternatives. Mais qui aurait imaginé voir Metal Slug renaître en 2024 sous la forme d’un jeu de stratégie au tour par tour avec une touche de roguelike ? Oui, l’esprit d’arcade se mue en un jeu stratégique isométrique, sous la houlette de Leikir Studio (à qui l'on doit Rogue Lords et l'énigmatique Isbarah). Et la question, bien sûr : est-ce que ça marche ?La réponse est un grand « oui ». Contre toute attente, Metal Slug Tactics parvient à capturer la tension et la folie visuelle de la série tout en nous offrant une expérience tactique où chaque décision pèse, comme si la stratégie pure allait de soi dans cet univers explosif. Leikir Studio a réussi l’improbable en adaptant l’énergie brutale de Metal Slug à un jeu où la réflexion remplace l’adrénaline, tout en rendant hommage à l’iconique héritage Neo Geo.
Metal Slug Tactics – Un Retour Explosif… à Condition d'Aimer la Difficulté !
Dès le lancement de Metal Slug Tactics, le jeu nous met directement dans le bain avec trois personnages jouables : Marco, Fio, et Eri. Mais pas d’inquiétude, les vétérans de la série comme Ralf, Leona et Clark viennent bientôt compléter l’équipe pour enrichir la stratégie. L’histoire, comme toujours avec Metal Slug, ne s’encombre pas de fioritures : le général Donald Morden, ce méchant récurrent de la saga, refait surface à la tête d’une armée armée jusqu’aux dents, prête à semer la pagaille. Et nous ? Nous sommes là pour lui faire barrage. Ne vous attendez pas à des miracles narratifs – ici, le décor est posé avec juste assez de dialogues pour donner un prétexte à la mission. En somme, un Metal Slug fidèle à lui-même, avec juste ce qu'il faut de contexte pour lancer l’action.Le jeu démarre dans une zone centrale où les options sont d'abord limitées. On peut choisir son équipe, mais l’aventure dévoilera peu à peu une boutique et des menus d’améliorations pour personnaliser nos héros. Metal Slug Tactics s’enracine dans la tradition roguelike : des améliorations permanentes sont possibles, mais en cas de défaite, certains progrès s’évaporent. Les missions, générées de manière procédurale, sont réparties dans des zones inspirées des niveaux classiques de la série et offrent diverses récompenses : des fournitures vitales, de l’expérience, ou encore de nouvelles compétences pour étoffer le développement des personnages. Cette approche ajoute une vraie stratégie à la série et pousse les joueurs à choisir avec soin les missions en fonction des récompenses.Chaque zone nous mettra face à un boss, et le battre nous permet d’installer un nouvel avant-poste pour avancer dans l’aventure. La difficulté, cependant, monte en flèche dès les premières heures. Metal Slug Tactics ne se laisse pas aborder à la légère : un échec pourrait bien être à l’horizon si l’on aborde les batailles sans un minimum de planification. Mais c’est justement dans ce défi que réside tout l’attrait du jeu. Malgré sa difficulté, ce mélange de stratégie et d’action fait honneur à l’essence de Metal Slug et, à mesure que l’on progresse, chaque victoire renforce notre affection pour ce nouveau chapitre de la saga.
Metal Slug Tactics – Entre Run 'n' Gun et Stratégie : Une Révolution Tactique Audacieuse
Metal Slug Tactics relève un défi aussi intrigant que risqué : transformer le concept explosif du run 'n' gun en un jeu de stratégie au tour par tour. Pour beaucoup, cette combinaison peut paraître improbable, voire paradoxale, mais le résultat est bien plus captivant qu'on aurait pu l’imaginer. Les mécaniques de jeu innovantes ajoutent une profondeur surprenante et font évoluer le genre tout en conservant la tension propre à Metal Slug. Ici, la mobilité des personnages devient clé : plus ils se déplacent pendant un tour, plus leur capacité d’esquive augmente. Ajoutez à cela des bonus de couverture, une montée d’adrénaline et des caractéristiques de personnage bien pensées, et vous obtenez une défense quasi invincible – même à découvert !Les développeurs poussent l’audace avec un système de synchronisation d’attaques : dès qu’un membre de l’équipe ouvre le feu, ses alliés avec la même cible dans leur ligne de mire s’alignent pour l’offensive. Le jeu récompense ainsi une approche téméraire, incitant le joueur à adopter un style agressif où camper en retrait mène souvent à une défaite cuisante. Par exemple, un personnage qui reste immobile subira des dégâts amplifiés à chaque tir ennemi, ce qui punit sévèrement toute velléité de passivité.Les niveaux, de taille modeste mais riches en défis, sont conçus pour maintenir l’action frénétique. Le joueur est rapidement entouré d’ennemis, et les objectifs varient constamment pour éviter la monotonie : des missions chronométrées où il faut détruire des camions en fuite, des escortes à protéger jusqu’à leur point d’extraction, ou encore des cibles à pourchasser. La carte, générée de manière procédurale, renforce l’imprévisibilité et nécessite une adaptation constante.Les combats contre les boss mettent particulièrement à l’épreuve cette stratégie dynamique. Un blindé, par exemple, force les personnages à se déplacer en permanence pour éviter tirs et explosions, ou bien encore un robot géant qui traverse la carte en semant la panique – impossible de rester statique si l’on espère échapper à sa fureur destructrice. La progression devient vite gratifiante grâce à un système d’améliorations : des compétences à débloquer, des statistiques à booster, et de nouvelles armes à acheter qui ouvrent d’innombrables possibilités stratégiques.Mais attention, Metal Slug Tactics ne fait aucune concession : même au niveau de difficulté minimal, le jeu exige une compréhension précise du champ de bataille. Et si l’expérience reste fraîche et stimulante, certains bémols apparaissent sur le long terme. Le jeu devient parfois répétitif au bout de quelques heures, et certaines améliorations sont si cryptiques qu’elles en deviennent déroutantes. Un bonus défensif qui s’active après avoir frappé trois pigeons, avec des ajustements de 1 % par tir ? C’est le genre de complexité qui peut désorienter. Mais ces bonus, aussi obscurs soient-ils, influencent souvent les décisions stratégiques en incitant le joueur à planifier ses actions pour maximiser leurs effets.Finalement, Metal Slug Tactics réussit à offrir un hommage à la série avec un gameplay renouvelé. Le jeu allie légèreté et brutalité : sous ses airs cartoonesques, il cache une complexité impitoyable qui rappellera aux fans pourquoi ils ont tant aimé la saga Metal Slug à l’époque – une expérience intense, et loin d’une simple promenade de santé.
Un Retour Artistique Sans Fausse Note
Artistiquement, Metal Slug Tactics réussit un véritable tour de force : transposer fidèlement le style iconique de la saga Metal Slug sans chercher à r��inventer la roue. Les développeurs de Leikir Studio nous offrent ici un jeu où chaque pixel, chaque animation, chaque explosion évoque instantanément l’esprit des chapitres d'origine. Sprites colorés et détaillés, animations soignées, et effets pyrotechniques à gogo – le jeu pourrait se résumer ainsi, à l’instar des premiers épisodes de la série run 'n' gun. Sauf que cette fois, le défi se joue dans un cadre stratégique.Si la perspective change, l’authenticité reste intacte grâce à un travail d’adaptation méticuleux. Les environnements conservent l’essence des niveaux arcade, chaque zone reprenant les éléments caractéristiques qui ont fait la gloire de la saga. Les décors sont non seulement magnifiques mais respectueux de l'héritage visuel du jeu original. On se retrouve face à des zones de combat familières mais retravaillées, où le soin du détail fait honneur à l’héritage de SNK. Quant à la bande-son, elle ne déçoit pas : les premières notes suffisent pour replonger les fans dans l’univers explosif de Metal Slug, chaque morceau étant une ode à la nostalgie.Pour les vétérans, Metal Slug Tactics n’est pas simplement un jeu de stratégie au tour par tour, mais bien un hommage authentique à une série culte. En conservant ce style inimitable, Leikir Studio réussit à combler l’attente de ceux qui suivent la saga depuis des décennies tout en offrant un renouveau subtil mais respectueux. Bref, une adaptation artistique à la fois audacieuse et fidèle qui fera mouche auprès des nostalgiques et de la nouvelle génération de joueurs.
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CHRONIQUE DE QUELQUES PUBLICATIONS CHABEUILLOISES....ET UN GIONO POUR SOULAGER L'AFFAIRE.
Trois livres ou supposés tels viennent de sortir à Chabeuil. Ils ressortissent à une littérature de sauvegarde personnelle, à visée soignante et consolante, ou tonitruante. Ces trois livres sont auto-édités et expriment donc sans filtre éditorial qui un malaise politique et victimaire, qui une rêverie poétique et autocentrée, qui une obscène boursoufflure gloriolisée. Chronique donc ci-après, avec, côté gloriole : François Merle et ses 'Tintinofolies, histoire des rencontres internationales tintinophiles à Chabeuil', côté plainte vengeresse Lysiane Vidana et son 'Journal d'une femme maire, 18 mois, le prix à payer'. Et côté intimisme poyétique Millie Rosiers et sa 'Part des oiseaux'. Millie Rosiers est le pseudonyme de Mireille Rossi, collaboratrice de cabinet d'Alban Pano, maire de Chabeuil. Trois exercices de style très différents, comme on va voir, pénibles comme l'impudeur, à des degrés très divers. Pour se consoler, on pourra utilement se plonger dans le dernier rapport d'observations définitives de la Chambre régionale des comptes, qui traite de la Commune de Chabeuil. On vous en parle ici parce qu'après trois embardées autocentrées, un peu de 'sujet-verbe-complément', ça réconcilie avec le français, qui, sait on jamais, peut servir à dire autre chose que soi-même...
-Allez...on commence par le pire, l'étouffe chrétien qu'impose François Merle quand il veut documenter un quart de siècle de tintinophilie à Chabeuil. François Merle est un enfant désoeuvré de Chabeuil qui s'est jadis mis en tête d'installer en ville de spectaculaires décors inspirés des albums de Tintin, en mettre plein la vue avec ses maquettes géantes, épaves, pyramides et...fusées. Le livre qu'il propose aujourd'hui est un exposé de la démarche, album photo de ses grandes réalisations. Et comme ses souvenirs de grand gosse sont marqués de pharaonique, d'interstellaire et d'éléphantesque, on a droit au total à du gigantesque du formidable et de l'épastrouillant, que la ville est invitée à considérer à longueur de page. Innombrables photos de Merle François, qui appuient le propos de François Merle : tant d'orgueil triomphant finit par donner le vertige quand il tourne au panégyrique, tendance onaniste, dont la lecture est empêchée par l'omniprésence narrative et visuelle du personnage unique et principal.
Pour : le livre parvient tout de même à saluer la dévotion des bénévoles qui ont permis par leur rude et patient travail, à cette dinguerie autocentrée d'exister. Et souvenir des années 2000, quand les journées tintinophiles étaient encore bon enfant...
Contre : Merle par-ci, Merle par -là, au moi surchargé d'un discours d'apparat, à tous les âges et à toutes les pages, on n'insiste pas. Ne répond pas à la question : pourquoi Tintin ? Pourquoi Chabeuil ? Et quel intérêt, au fond pour la ville ? Fatiguant. Et le prix, 25 €, pas piqué des vers. Tiré paraît-il à 2000 exemplaires.
Cet ouvrage, c'est Tintouin à Chabeuil, c'est fatiguant. La manifestation (budget : approx 50 000 € pour la dernière édition, aux dires des promoteurs de l'événement) s'arrête. Elle s'arrête pour cause d'épuisement, tu m'étonnes : 'on est épuisés', entend-on chez les bénévoles, au coeur de l'équipe en question. Oui, Chabeuil est fatigué (comme il y a des fatigues psychiques, si l'on veut...) Ce livre a le même défaut : il est éreintant de kitsch, de ringardise et de mauvais goût, le tout sur papier glacé de fort grammage (quel gâchis...) Faut que ça s'arrête.
-Lysiane Vidana sort de son silence et propose un court livre (156 pages), ramassé, monocorde et tendu, de son mandat de maire de Chabeuil (juillet 2020 à février 2022). Maître mot : trahison. Lysiane Vidana a été trahie, voilà tout le propos ; elle explique sans détour par qui.
Elle présentait l'autre soir (27 septembre 2024) son livre à ses soutiens chabeuillois et valentinois. Assistance fournie, applaudissements, pleine page ou quasi dans le Dauphiné Libéré du même jour. Sa présentation était succincte, en forme de justification de l'ouvrage : écrire pour aller mieux en somme, sortir d'une très mauvaise passe. Écrire aussi pour expliquer aux chabeuillois le pourquoi du comment du putsch qui avait agité la ville à l'automne 2021, à la suite de quoi elle avait dû démissionner et quitter son mandat, provoquant une nouvelle élection. Pas d'analyse politique à proprement parler, mais on comprend tout de même, au fil des pages, qu'Alban Pano n'est pas maire de Chabeuil par la seule grâce d'un charme bien mis et d'une rhétorique droitiste. Il y fallait un golpe, une entourloupe démocratique, une trahison : le livre de Lysiane Vidana permet utilement d'en comprendre le principe, la manière, et les circonstances.
Lysiane Vidana expose ses 'blessures', sans fard ni faux semblants : 'cette introspection était faite pour guérir mes déceptions, ma tristesse (...) et pour exprimer mes vérités et mes sentiments'. Une question revient, tout au long de l'ouvrage : 'pourquoi des personnes que j'avais choisies et en qui j'avais confiance m'avaient-elles trahie ? J'ai une certaine idée de la loyauté, pas ceux qui m'ont trahie'. Une trahison qui obsède le récit, on le voit bien. Et encore une fois : 'par cette élection de 2020, j'avais fait naître de nouveaux visages, et ils m'ont trahie'.
Dans son récit l'ancienne maire de Chabeuil ne nomme personne [c'est un défaut sérieux du livre, parmi d'autres (absence de recul, ignorance du contexte politique, pas de point de vue comparatif à propos des premiers mois de l'équipe Pano, rien non plus sur les contraintes réglementaires qui ont encadré la crise...)] et se contente de désigner les protagonistes du putsch par leur fonction dans son équipe. On y perd en précision, et en clarté. En somme, des brutes ont joué avec l'institution communale, l'ont mise à bas, et on ne connait pas leur nom, ce qui leur économise de porter leur responsabilité devant les chabeuillois. Pas nommés, les voilà impunis, alors qu'une partie d'entre eux est en place dans la nouvelle équipe municipale. Faisons une hypothèse : et si, sous les fonctions 'adjoint à l'urbanisme' et 'adjoint aux associations' et si...bas les masques, étaient dissimulés respectivement Patrice Courthial et Alban Pano, dont les rôles sont largement détaillés (mais anonymisés) ? Leurs responsabilités dans le putsch de 2021 serait alors plus claire, plus évidente.
À son habitude, Lysiane Vidana est directe et ne retient pas ses coups ('ce tartuffe, méprisant et fourbe...', ou encore 'panurgisme et inculture politique', ou encore 'un homme pressé qui avait pris la grosse tête'), et le chaos municipal d'octobre 2021 est bien rendu, crépitant, violent. Le débit est rapide, haletant et, au bout du compte, étouffant. Pas de recul, pas de mise en perspective, de la part d'une femme blessée, seule au monde, face à la brutalité irresponsable de quelques uns, qui ont bien fini par couler le navire municipal.
Pour : une victime, on l'écoute, basta, c'est la règle. Et on ne peut plus faire comme si ces explications n'existaient pas, comme s'il ne s'était rien passé.
Contre : un ton étouffant : colère et indignation ne cèdent jamais à l'analyse politique de la période concernée. Et l'anonymisation, incompréhensible, nuit à la clarté de l'ouvrage.
'Le prix à payer' fera l'objet d'une édition en ligne, sous peu, prévue à 10€. L'article du Dauphiné Libéré (26 septembre 2024) se présente sous la forme d'une interview (complète, vive, bien menée). Inévitable question finale : 'Ce livre est-il un moyen de revenir dans le paysage politique'. La réponse ('je ne sais pas.Je ne m'interdis rien') fait sacrément causer en ville...
-Autre ton, tout autre style, plus posé, plus distant, mais pour une littérature pareillement auto centrée : 'La part des oiseaux' de Millie Rosiers. Millie Rosiers, c'est le pseudonyme de Mireille Rossi, collaboratrice de cabinet du maire de Chabeuil, Alban Pano. Rien d'autre, et pas le contenu de ce recueil de gentils poèmes, ne relie ce livre à l'actualité chabeuilloise ; ça ne parle pas du pays. La chronique en sera donc rapide. Le recours à un pseudonyme n'est pas ici un artifice, une planque, c'est plutôt l'invention d'un personnage, Millie, qui écrit de la poésie, qu'elle nous présente. Millie Rosiers est ainsi comme un vrai personnage de fiction poétique, qui nous raconte son monde, ses amours, son âme (avec insistance) et son corps, son corps, et encore son corps tourmenté. L'ambiance générale est à l'art-thérapie, fleur bleue d'un genre particulier, tendance psy. Avec des bonheurs d'expression tout de même, qui peuvent racheter l'agacement que provoque toujours l'art-qui-veut-soigner.
Pour : mignon.
Contre : mignon.
Le livre (14 €, 101 pages) est plutôt bien fichu, beau papier ivoire, mais orné de dessins simplets, par l'autrice elle-même. Mireille Rossi est une ancienne (il y a peu) journaliste au Dauphiné Libéré, soulignant encore un peu plus l'ambiance valentinoise dans l'entourage (personnel et professionnel) d'Alban Pano. Mireille Rossi écrit les discours du maire de Chabeuil ; on peut utilement lire sa Part des oiseaux pour se mettre dans l'oreille son style et ses thèmes de prédilection et, ainsi repérer dans les envolées du maire de Chabeuil ce qu'il doit à la plume de Rossi-Rosiers. Souvenir, dans un récent discours de voeux à la population, d'une surprenante citation de Frida Khalo, qui doit peu à la passion d'Alban Pano pour la peinture mexicaine et tout à l'intérêt de Mireille Rossi pour les corps déglingués...
-Mais les chabeuillois qui préfèrent la concision et la nervosité du Code Civil, modèle, comme les stendhaliens de Chabeuil le savent bien, de naturel, de précision et de clarté, ceux-là se délecteront du rapport d'observations définitives de la Chambre régionale des comptes Auvergne-Rhône-Alpes qui vient de paraître. Prêt dès le début de juillet, mais acté seulement au Conseil Municipal de Chabeuil du 26 septembre, il est maintenant public. Ce qui ne veut pas dire accessible facilement : rien encore sur le désastreux site de la mairie, toujours aussi bancal et daté, très mal mis à jour. Mais votre Bachass'Club favori met ici le lien vers le site de la CRC, où vous trouverez le pdf du document, disponible depuis hier (2 octobre) seulement. Merci qui ?
Situation correcte quant à la qualité de la gestion budgétaire et comptable, endettement, emprunts, etc...Alban Pano, lors du Conseil municipal où était examiné ce rapport, s'est bien entendu attardé sur ces (bons) points. Mais le rapport liste très utilement les nombreux abandons de projets opéré récemment par la Commune : un investissement considérablement ralenti, qui permet à Chabeuil de présenter un tableau serein des finances locales. Atone, serein.
On vous laisse plutôt découvrir le chapitre 3 consacré à la gestion des ressources humaines, très sévère (courtois bien sûr, et pondéré, mais rude) quand il traite au point 3.6 de la 'situation de la responsable du service administration générale et solidarité'. Précédé, p.12 d'un point d'histoire : 'le recrutement du Directeur Générale des Services (DGS), M. Campens en mars 2022 a été contesté par les services de la Préfecture, ce qui a conduit à son départ le 15 juin 2023'. On rappelle que le motif du courroux préfectoral était rien moins qu'un recrutement de Vincent Campens (puisé dans les meilleures ressources de la daragonie valentinoise), 'hors classe'. Illégal, rien moins. C'est page 18 que ça se gâte, quand ça concerne la responsable de l'important service 'administration générale et solidarité, comprenant le CCAS et les services d'accueil, d'état civil, des titres d'identité, des affaires funéraires et des élections' (ouf). Le rapport cingle à son propos : 'la titulaire de ce poste a été recrutée par voie de mutation en juin 2022, soit au cours de la période de présence de son mari [Vincent Campens, le 'hors classe' en question] sur les fonctions de DGS. Son dossier ne fait pas mention de la tenue d'un jury de recrutement.' La CRC ne prononce pas les mot de népotisme, ni de scandale, mais bon, elle en dit suffisamment long pour qu'on le fasse à sa place. D'autant que la CRC enfonce le clou, toujours concernant notre bienheureuse (et désormais fameuse) responsable de service : 'l'affectation rapide de son actuelle titulaire sur un poste de responsabilité d'un service composé de 3,5 agents, est ainsi irrégulière au regard des missions d'exécution et de simple coordination dont sont normalement chargés les agents relevant du cadre d'emplois d'adjoint administratif territorial.' 'RAPIDE' et 'IRRÉGULIÈRE' : vive le style du Code Civil qui décrit au plus près notre petite Commune à l'oeuvre. Et pour pimenter le tout, au chapitre du traitement de madame : une NBI (Nouvelle Bonification Indiciaire)) et un CIA (Complément Indemnitaire Annuel) parfaitement indus, dont la CRC détaille les montants.
La Chambre régionale formule évidemment de fortes recommandations, pour que de telles fantaisies ne perdurent pas. En somme, pour la faire moins 'code civil' : les services chabeuillois sont à la ramasse, faut que ça change. Les chabeuillois le savent pour ce qui concerne les services techniques (ça se voit), qui rament, pleins de bonne volonté, mais qui rament. La CRC vient de mettre la lumière (ça finit par se voir) sur les services administratifs, où les problèmes sont nombreux.
-Note finale : vient de paraître, de Jean Giono : Voyage à pied dans la Haute-Drôme. Excellent, très bien édité, le carnet de balade de Giono, livré tel. Et l'histoire du manuscrit est incroyable : retrouvé dans le dossier judiciaire Giono, où s'instruisait une enquête sur les activités de l'écrivain pendant la derrière guerre. Oui, petit livre, mais superbe édition. La 'haute Drôme', c'est ValDrôme, Bouvières, Nyons, où Giono s'était aventuré à pied...
Claude Meunier
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France : Un Président en quête d’un Premier Ministre… ou d’un miracle?
En ces temps troubles, la France ressemble de plus en plus à une comédie de Molière, où les protagonistes se livrent à des jeux de dupes, avec pour décor l’Élysée et ses interminables couloirs. Emmanuel Macron, notre cher président, se trouve dans une situation digne d'une pièce de théâtre absurde : il ne parvient pas à choisir un Premier Ministre. Oui, vous avez bien lu. Le poste le plus important après le sien semble être devenu une patate chaude que personne n’est digne de recevoir.
Un casting digne de The Voice
Imaginez la scène ou le bureau ovale de l’Élysée transformé en plateau de télé-réalité, avec Emmanuel Macron dans le rôle de l’animateur stressé. Chaque prétendant à Matignon défile devant lui, présentant ses meilleures réformes, son sourire le plus avenant et ses idées les plus novatrices pour sauver le pays du marasme. Mais hélas, chaque prestation se termine par un regard perplexe du Président, suivi d’un "Merci, on vous rappellera". C’est à se demander si l’homme ne rêve pas de s’autoproclamer Premier Ministre, histoire de ne plus avoir à chercher. Mais même ça, il semble que ce soit compliqué, tant la Constitution lui met des bâtons dans les roues. Entre les réticences des différents partis, les frondes internes et la grogne des Français, il est fort probable que Macron hésite à appuyer sur le bouton rouge qui activerait son choix.
Le syndrome du choix impossible
On connaissait le syndrome de la page blanche, celui qui frappe les écrivains et journalistes au moment de coucher leurs idées sur papier. Mais voilà qu’un nouveau mal ronge nos dirigeants : le syndrome du choix impossible. Trop de critères, trop de risques, trop de mécontents… choisir un premier ministre devient un véritable casse-tête. Et pendant ce temps, la France attend, comme un client au restaurant dont le serveur a oublié la commande. Ne serait-ce pas là le reflet d’un problème plus profond, d’une présidence qui peine à trancher, à décider, à s’affirmer ? Le pays est en quête de solutions, mais son chef semble surtout en quête de quelqu’un à qui refiler la responsabilité des décisions impopulaires à venir.
Un avenir incertain ...
Qu’on se le dise, cette situation, bien que sérieuse, inspire déjà les humoristes et les internautes. Les parodies sur les réseaux sociaux fleurissent plus vite que les hausses de prix à la pompe. Certains imaginent déjà le casting de l’émission "Premier Ministre : la quête", avec des épisodes hebdomadaires où chaque candidat est soumis à des épreuves de réforme économique, de gestion de crise et, bien sûr, de popularité. Les perdants repartent avec un lot de consolation : une place au conseil d'administration d'une entreprise publique.
Quand le rideau tombera-t-il ?
En attendant, la France retient son souffle. Le président, lui, temporise, réfléchit, consulte… peut-être même consulte-t-il son horoscope, qui sait ? Une chose est sûre : quel que soit le dénouement, le feuilleton de l’Élysée nous offre un spectacle aussi inattendu que divertissant, même si le pays préférerait sans doute une stabilité politique plutôt que ces rebondissements dignes des meilleures séries télévisées. Alors, Monsieur le Président, qu’attendez-vous pour lever le rideau sur votre choix ? Le peuple français n’en peut plus d’attendre… et de rire, parfois jaune, de cette situation rocambolesque. Ah oui, le 23 août, cette date qui deviendra peut-être un jour férié en l'honneur de notre bon roi Emmanuel, grand chef des horloges. Oui, le voilà qui convoque les forces politiques pour choisir un Premier ministre. Un grand moment de démocratie, où l'on fait mine de consulter pour mieux imposer. On pourrait presque croire qu'il s'agit d'une élection de Miss France, où chaque parti défile, sourire crispé, espérant obtenir le titre de "Premier des ministres" avec, en prime, un ruban tricolore. La convocation, bien sûr, tombe en plein été, quand tout le monde est encore à moitié en maillot de bain, mais qu'importe ! Peut-être est-ce une nouvelle stratégie, moins de chemises, moins de sueur politique ? Ou est-ce simplement que notre président a trouvé, entre deux plongeons à Brégançon, un créneau pour organiser ce grand casting national ?
Alors, qui aura la rose (ou l'épine) ?
À ce rythme, pourquoi ne pas pousser la logique jusqu'au bout et organiser l'événement en direct sur TF1, avec un jury composé des présidents de partis, et pourquoi pas une starlette de téléréalité pour assurer le suspense ? Le public pourrait voter par SMS, et hop, le tour est joué ! Mais ne soyons pas cyniques. Après tout, si le choix du Premier ministre se fait en plein mois d'août, c'est peut-être pour nous rappeler qu'en France, la politique, c'est comme la mode : chaque saison a son accessoire indispensable. Et pour cet été, le nouvel indispensable, c'est… un Premier ministre tout neuf, parfait pour les défilés d'automne. Chapeau l'artiste ! David SCHMIDT Read the full article
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Test : Sclash
Aujourd’hui on part au Japon et à son époque féodal avec Sclash développé en collaboration par Abiding Bridge, Bevel Bakery et Just For Games. Le titre est disponible depuis mars sur Nintendo Switch, consoles Xbox, consoles Playstation pour 9,99€. Il est disponible également sur PC depuis aout 2023. Alors préparez vos katanas et en avant pour le test.
« Test réalisé sur nihotaku.fr »
« Test réalisé avec une version presse Xbox mise à disposition par l’éditeur »
Une histoire de clan
Vous incarnez Jinmu, un jeune samouraï appartenant à un clan et qui va devoir se battre pour la survie de ce dernier. L’histoire est plus profonde bien sûr avec des personnages charismatiques et des conflits familiaux bien ancrés.
J’ai adoré suivre cette histoire même si elle est plutôt classique, elle est bien amenée et les dialogues doublés en anglais sont de qualités. Bémol tout de même, uniquement des voix anglaises et pour ce genre de titre le japonais aurait été le bon choix.
Un coup, une vie
Parlons gameplay à présent car on est en face d’une production 2D léchée où l’on va devoir affronter des ennemis en petit nombre venant des deux côtés de l’écran. Il y aura aussi des combats de bosses plus techniques eux et demandant une bonne dose de sang froid.
Votre katana est donc votre allié principal, une touche pour l’utiliser, une autre pour parer et possibilité de mettre un coup de poing pour arrêter l’adversaire quelques instants. On trouve aussi une esquive pour parfaire le système. Les deux premières actions et l’esquive consomment de l’endurance, une barre pour être précis, vous en possédez quatre qui se régénèrent lorsque vous ne faite aucune d’action.
Un bouton permet également de dégainer et rengainer votre arme. L’endurance fait que vous devez réfléchir à vos actions et bien observer l’ennemi. Un coup et s’en est fini de vous, pareil pour les ennemis de base, les bosses eux disposent de plus de points de vies.
Heureusement le jeu n’est pas punitif et en cas de mort vous reviendrez juste au point avant votre combat.
Néanmoins les joutes sont intenses, demandant de l’observation et d’utiliser votre parade correctement. Aller trop vite vous mènera inévitablement vers la mort. On est en face de combats plutôt lents sans aucun combo possible d’ailleurs et c’est aussi la qu’est la force du titre à mon sens. L’objectif n’étant pas de faire du dégât mais de porter le coup qui fera mouche au bon moment.
Néanmoins la parade n’est pas toujours indispensable, parfois agir avant votre adversaire suffira. C’est en cela que les combats sont passionnants car la moindre erreur est fatale et donne un côté réaliste au titre.
Le titre m’a fait penser au tout premier Prince of Persia dans les combats et même au niveau des animations hyper détaillés. En revanche pour la progression en mode solo il n’y a que des combats et des déplacements qui permettent de changer de décors. Les personnages dessinés à la main et les décors peints sont d’une beauté qui offre au titre un aspect contemplatif exaltant.
D’ailleurs la transition naturelle s’opérant entre les diverses zones est propre et bien pensé mais le gameplay est uniquement axé sur les combats, le reste du temps vous avancerez et traverserez de magnifiques décors en écoutant l’histoire.
Intense mais court
Sur la partie purement solo le jeu est donc court, comptez une heure la première fois, même si l’on débloque des modes permettant de le refaire en contre la montre ou avec une seule vie cela reste bien maigre. Le jeu semble bien difficile au départ puis on s’y fait et on avance trop vite.
En progressant dans l’histoire vous débloquerez aussi des katanas et masques pour le mode affrontement jouable à deux ou contre l’IA. On sent d’ailleurs que le titre est plus taillé pour le multijoueurs.
Plusieurs arènes et paramétrages disponibles pour s’affronter entre amis ou faire durer le plaisir en solo mais là encore c’est peu et vite redondant.
Il y a aussi un mode online mais vide malheureusement et je n’ai donc pas pu m’y essayer même s’il reprend le mode confrontation mais en ligne.
C’est vraiment sur le contenu que le jeu pêche malgré un excellent gameplay et une patte artistique incroyable tout comme la bande-son d'ailleurs.
Conclusion : 6/10
Je ressors partagé de Sclash, l’expérience est originale, le gameplay excellent, l’histoire prenante et graphiquement ça en jette. Pourtant c’est trop court et si on a pas d’amis sous la main on tourne vite en rond une fois terminé.
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Stardew Valley gratuit
Stardew Valley est un jeu de rôle en bac à sable inspiré de la très populaire série agricole Harvest Moon, principalement connue sur les consoles portables de Nintendo. Le jeu a été développé par Concerned Ape, un studio indépendant fondé par un certain Eric Barone. La production a d'abord été créée pour les PC, mais son succès extraordinaire a incité le développeur à préparer également des versions console et mobile du jeu.
L'histoire
L'intrigue de Stardew Valley raconte l'histoire d'un jeune homme qui mène une vie normale en tant qu'employé d'une grande entreprise. Dans le passé, il a reçu une enveloppe mystérieuse de son grand-père, avec la recommandation de ne l'ouvrir que lorsqu'il sentira que sa vie est devenue monotone et qu'elle ne lui apporte plus de bonheur. Décidant que ce moment vient d'arriver, notre protagoniste l'ouvre et apprend qu'il a reçu un héritage de son grand-père sous la forme d'une petite ferme située quelque part à l'extérieur de la ville. Sans réfléchir, l'homme abandonne son ancienne vie et son travail ennuyeux pour relever un tout nouveau défi. Cependant, lorsqu'il arrive à la ferme, il s'avère que l'endroit n'a rien d'idyllique ; la ferme, qui est tombée en ruine, est en fait une petite maison entourée d'un terrain envahi par d'épais buissons et des mauvaises herbes. La tâche du protagoniste consiste à redonner à la ferme sa splendeur d'antan.
Mécanismes de jeu
Le gameplay général de Stardew Valley est presque une copie conforme des solutions connues de la série Harvest Moon. Le point de départ est donc un jeu économique, au cours duquel nous nous occupons principalement de la gestion et du développement de notre ferme. Tout le jeu commence par la remise en état de la ferme : déterrer les pierres, couper les arbres et éliminer les mauvaises herbes. Nous nous occupons ensuite de planter des cultures, de les arroser et de les récolter, ce qui constitue notre principale source de revenus. Au fil du temps, nous avons la possibilité de cultiver de plus en plus de produits et même d'élever des animaux, et nous pouvons investir l'argent que nous gagnons dans le développement de la ferme.
Une grande liberté d'action
Les réalités décrites ci-dessus d'un jeu économique classique ont été encadrées dans Stardew Valley en tant que sanbox RPG. À cet égard, le titre nous offre une grande marge de manœuvre, en proposant une extraordinaire variété d'activités et de tâches auxquelles nous pouvons nous consacrer, en fonction de nos préférences. Outre l'agriculture, notre protagoniste peut, par exemple, pêcher, visiter une mine voisine et chercher des matières premières utiles, ou encore s'aventurer dans des donjons où l'attendent des monstres dangereux et de précieux trésors. Tout cela est complété par un module d'artisanat avancé, typique des bacs à sable, et un système de développement du personnage qui nous permet d'améliorer les différentes compétences de notre héros au fur et à mesure que nous montons en niveau.
Les relations humaines
Un autre aspect tout aussi important du jeu est l'intégration à la communauté locale. Lorsqu'il ne travaille pas dans les champs, notre fermier peut se rendre dans une ville voisine, participer à divers événements, interagir avec les personnages qu'il rencontre et accepter des tâches de leur part. Comme dans Harvest Moon, le jeu offre également la possibilité de vivre une histoire d'amour et, à plus long terme, de se marier et d'élever des enfants.
Multijoueurs
Stardew Valley est un jeu initialement conçu pour un seul joueur. Cependant, après la sortie du titre, l'auteur n'a pas cessé de travailler à son développement, introduisant un certain nombre de nouveaux éléments dans les mises à jour ultérieures du jeu, y compris, entre autres, la possibilité de jouer en mode multijoueur en coopération. Il est à noter que le mode multijoueur est absent sur les plateformes mobiles.
Problèmes techniques
En termes de décor, Stardew Valley ressemble fortement aux premiers volets de la série Harvest Moon, offrant des graphismes simples en 2D en vue de dessus, rappelant les productions de l'ère des consoles 16 bits. Cependant, malgré cette apparente simplicité, le jeu propose un modèle de gameplay extrêmement complexe, ainsi qu'une multitude de saveurs et de possibilités supplémentaires, que l'on découvre au fur et à mesure de la progression du jeu. Le développeur n'a pas oublié des détails tels que le cycle du jour et de la nuit, le changement dynamique des saisons ou encore le système de fatigue du héros, qui perd de l'énergie à force de "faire la grasse matinée" ou d'effectuer des activités agricoles plus exigeantes.
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Le nouveau Kona N-Line entièrement redessiné.
Par Éric Descarries
Quand le constructeur sud-coréen Hyundai a lancé son petit «VUS» Kona, il y a quelques années, le petit véhicule a connu le succès dès ses premiers jours sur le marché. Mais, selon toute vraisemblance, ses dimensions se rapprochaient trop de celles de son petit frère le Venue. Donc, dès 2024, le Kona nous revient mais entièrement redessiné avec des dimensions un peu plus imposantes avec un empattement allongé de 2,36 pouces (60 mm) et une caisse plus longue de 5,7 pouces (145 mm) ce qui pousse le Kona plus près de sa concurrence soit les Subaru Crosstrek, Kia Seltos, Honda HRV, Toyota Corolla Cross et autres. Incidemment, au cas où vous ne le sauriez pas, le nom Kona est inspiré de la région hawaïenne de l’ouest de la grande île qui est une destination touristique populaire.
Le tout nouveau Kona de Hyundai se présente avec des dimensions plus imposantes. (Photo Éric Descarries)
Toutefois, le nouveau Kona repose sur une plateforme semblable à celle du modèle précédent avec une motorisation aussi semblable, soit un quatre cylindres de base de 2,0 litres de 147 chevaux ou un autre quatre cylindres mais turbocompressé, celui-là, de 1,6 litre de 190 chevaux. Évidemment, il y a aussi une version toute électrique du même véhicule dont il sera question plus tard.
En attendant, regardons plus attentivement à la nouvelle ligne de ce VUS dont l’avant est plus aérodynamique que dans le passé avec une illumination plus élaborée. Évidemment, comme souligné plus haut, le nouveau Kona est plus long et plus imposant ce qui a permis à son constructeur Hyundai d’en agrandir l’intérieur. La portion arrière de la caisse a des ailes plus proéminentes qui me rappellent celles des Plymouth (Chrysler) PT Cruiser du passé. Certains observateurs adorent cette nouvelle présentation, d’autres moins. C’est une question de goût. Le véhicule de presse qui m’a été confié était de la finition N-Line plus poussée.
L’arrière me rappelle celui des PT Cruiser du passé ! (Photo Éric Descarries)
Toutefois, l’intérieur devrait faire l’unanimité. En effet, comme mentionné précédemment, il profite de l’agrandissement de la caisse pour être plus vaste et plus accueillant. Le tableau de bord au style plutôt rectiligne met en vedette un écran rectangulaire avec un affichage numérique très clair à lire (sauf que je n’y ai pas retrouvé les affichages vidéo au tableau de bord lorsqu’on actionne les clignotants, une idée brillante de Hyundai) incluant l’affichage à tête haute de la vitesse en réflexion à l’intérieur du pare-brise.
Le tableau de bord se distingue par un design très rectiligne mais aussi très moderne et efficace. (Photo Éric Descarries)
Il y a beaucoup de commandes au tableau de bord du Kona, tant tactiles à l’écran que mécaniques qui sont, dans bien des cas, dédoublées sur les branches du volant. La commande qui m’a demandé un peu plus d’apprentissage, c’est celle du «levier de vitesses», un bloc qui le conducteur doit tourner pour passer de D à R alors qu’il doive presser à son extrémité pour la position P (Park). La petite console sous le tableau de bord se compose de petites tablettes pour la recharge du téléphone et des touches pour verrouiller la motricité aux quatre roues (car ce Kona était à traction intégrale).
Les places arrière sont un peu plus généreuses grâce à l’empattement allongé. (Photo Éric Descarries)
Le reste de la finition était très plastique mais bien moulée. Mon véhicule d’essai étant de la finition N-Line, j’ai eu droit à une sellerie en suède plus attirante avec les broderies décoratives. Les sièges d’avant m’ont paru relativement confortables avec des réglages manuels. La position de conduite m’allait parfaitement. Les places arrière, elles, sont un peu plus généreuses que dans le passé non seulement grâce à l’empattement allongé mais aussi par un peu d’espace acquis en diminuant l’épaisseur des dossiers d’avant. Quant à l’espace arrière destiné au cargo, encore une fois grâce à l’agrandissement du véhicule, celui-ci a gagné, selon son constructeur, 33% de volume ce qui n’est pas négligeable.
L’augmentation des dimensions du Kona permet un volume plus utile du coffre. (Photo Éric Descarries)
Si l’on revient à la mécanique, soulignons que mon modèle N-Line d’essai avait, sous son capot, un moteur à quatre cylindres turbocompressé de 1,6 litre et 190 chevaux combiné à une boîte automatique à huit rapports et à la traction intégrale. Hyundai avait équipé le véhicule de pneus Yokohama BluEarth d’hiver sur les jantes de 19 pouces du VUS. Dès le départ, je dois vous avertir, malgré le fait qu’il y ait un verrouillage central du système, ce Kona n’est pas un véhicule tout-terrain. Mais il propose une bonne traction dans la neige, ce que j’ai pu vraiment vérifier.
Sur la route
Hyundai semble vouloir pousser son Kona de véhicule de base à véhicule plutôt technique pour son créneau. Par exemple, il est possible pour le conducteur de déverrouiller le véhicule et le faire partir avec son téléphone cellulaire (ai-je des craintes concernant cette technologie? Je n’ose vous le dire!). On peut en faire du pareil avec le porte-clés à commande électronique qui permet aussi à l’utilisateur de faire avancer ou reculer le véhicule (en ligne droite) pour le faire sortir d’un endroit de stationnement très serré.
Sous le capot de la version N-Line se cache un quatre cylindres turbocompressé bien connu de Hyundai. (Photo Éric Descarries)
Je m’en suis tenu aux bonnes vieilles méthodes traditionnelles quoique, pour le démarrage, il me fallait pousser sur un bouton au lieu de tourner une clé. Encore une fois, pour passer les vitesses, Hyundai a cru bon remplacer l’encombrant levier au plancher par un bloc que le conducteur doit tourner d’un sens pour avancer, de l’autre pour faire marche arrière.
Évidemment, une des premières expériences que je tente avec une voiture d’essai, c’est d’en vérifier les accélérations et les réactions de reprises sur route sèche. Disons tout de suite que le Kona n’est pas un «foudre de guerre» quand vient le temps de passer de 0 à 100 km/h alors qu’il lui faut entre huit et neuf secondes pour ce faire. Par contre, les reprises sont plus rassurantes grâce la boite à huit rapports qui a réagi relativement rapidement à mes sollicitations. La tenue de route sur chemin de campagne est satisfaisante sans, toutefois, être surprenante. En effet, si le Kona n’est pas un tout-terrain, ce n’est pas une voiture de sport non plus. Par contre, en vitesse de croisière, le véhicule est confortable et suffisamment silencieux pour entreprendre de longs trajets. Et la visibilité y est bonne quoique la vue trois-quarts arrière et arrière est légèrement réduite à cause de la ligne du hayon. La direction est ferme à souhait sans être dure. Le freinage est adéquat et il n’a montré aucune faiblesse durant l’essai.
L’environnement qui sied le mieux à ce petit VUS est, bien entendu, la ville. Son encombrement réduit, malgré les nouvelles dimensions plus imposantes, sont parfaites pour les déplacements urbains et il se manœuvre facilement pour le stationnement. Ce qui est un «plus» sur le modèle précédent, c’est, bien entendu, l’espace de chargement plus grand qui permet de déplacer des objets bien souvent de dimensions excessives.
Hyundai avait équipé mon Kona d’essai de pneus d’hiver Yokohama BluEarth V905. (Photo Éric Descarries)
En ce qui a trait à la consommation, ma semaine au volant du Kona (qui s’est surtout passée en déplacements urbains) s’est soldée par une moyenne de 10,8 litres aux 100 kilomètres (essence Super de préférence vu que c’est un moteur turbocompressé) alors que l’ordinateur de bord indiquait 9,4, une déception pour un véhicule Hyundai, une marque qui m’a toujours donné des résultats plus convaincants (lire consommation moins élevée). Il est vrai que nous sommes en début d’hiver et qu’il y a eu de la neige sur la route. Incidemment, Hyundai annonce une consommation moyenne de 91, l./100 km pour un tel Kona soit 9,7 en ville et 8,4 sur route.
On s’y attendait, le nouveau Kona est un peu plus cher que le modèle de la génération précédente. Si sa version de base débute à 25 999 $, la version N-Line (mais pas Ultimate) qui m’a été prêtée affichait un prix de 35 499 $ (incluant la seule option de la superbe peinture rouge de 250 $). Toutefois, si l’on ajoute le transport et la préparation, la facture passe à 38 395 $.
Malgré tout, je considère que le nouveau Kona demeure un véhicule recommandable. Encore une fois, ce n’est pas un tout-terrain (quoiqu’il soit capable de se déplacer facilement dans de rudes sentiers) ni un «sports car». Mais si vous recherchez un véritable petit VUS urbain, ajoutez le Hyundai Kona à votre liste de véhicules à considérer.
À l’an prochain
Ce reportage constitue mon dernier blogue pour 2023. Je serai de retour vers la deuxième semaine de janvier avec d’autres reportages incluant un premier rapport sur une série de pneus «homologués» (si la neige est au rendez-vous). De plus, ce retour au travail coïncidera avec la période du Salon de l’auto de Montréal (dont je n’ai que peu de nouvelles pour le moment)…en espérant que celui-ci nous aidera à démarrer l’année 2024 «sur les chapeaux de roue»!
Sur cela, Joyeux Noël et Bonne Année et surtout, Bonne Santé!
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Horizon Forbidden West est un jeu développé par Guerrilla Games, qui devait être une exclusivité PS5. Mais face à la pénurie de la nouvelle console et au nombre important de joueurs sur PS4, Sony a décidé de sortir le jeu sur les deux plateformes. Ce choix a eu des conséquences sur le développement du jeu, qui a dû s’adapter aux contraintes techniques de la PS4. Ainsi, les développeurs ont failli renoncer aux phases aériennes et sous-marines, qui représentaient un défi énorme pour la console de 2013. Ils ont finalement réussi à les intégrer, mais au prix de quelques sacrifices. Une extension exclusive à la PS5 qui montre les limites de la PS4 Si Horizon Forbidden West est sorti sur PS4 et PS5, ce n’est pas le cas de son extension Burning Shores, qui n’est disponible que sur la nouvelle console. Cette décision s’explique par la vision ambitieuse des développeurs, qui voulaient proposer une expérience inoubliable et innovante. La PS4 n’était pas capable de supporter leurs exigences techniques et créatives, et ils ont donc préféré se concentrer sur la PS5. Cela montre que la PS4 a bridé les ambitions de Guerrilla Games, qui n’a pas pu exploiter tout le potentiel de son jeu. Un exemple parmi d’autres de la nécessité de passer à la nouvelle génération Horizon Forbidden West n’est pas le seul jeu à avoir été impacté par la coexistence entre la PS4 et la PS5. D’autres titres comme Ratchet & Clank: Rift Apart ont fait le choix de ne sortir que sur la nouvelle console, pour profiter pleinement de sa technologie SSD. Cette dernière permet des transitions instantanées entre les décors, ce qui n’est pas possible avec un simple disque dur. La version PC du jeu a d’ailleurs montré les problèmes que cela pouvait poser. Il est donc temps de tourner la page de l’ancienne génération, qui ne peut plus suivre les avancées technologiques et créatives des studios.
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Volkswagen Golf GTE Skylight 2021 - Conçue spécialement pour le Wörthersee GTI Treffen
Volkswagen Golf GTE Skylight est un projet de stage pour Wörthersee 2021.
VW Golf GTE Skylight est l'œuvre d'apprentis du groupe allemand. Chargés de préparer quelque chose de spécial pour le Wörthersee GTI Treffen 2021. Chaque année, Volkswagen présente un nouveau prototype pour les passionnés de la marque au Festival du lac Wörthersee en Autriche. Et si l'événement de cette année a été_affecté par la pandémie de COVID-19. (comme en 2020). Le virus n'a pas empêché l'entreprise allemande de montrer son modèle de régulation. Volkswagen Golf GTE Skylight Wörthersee Concept. Bien qu'elle soit très similaire à la Golf GTE HyRace de l'année dernière, cette Golf dispose d'un groupe motopropulseur hybride rechargeable. Galerie / Volkswagen Golf GTE Skylight 2021
Le festival de Wörthersee Au festival de Wörthersee, les gens aiment les voitures plus rapides et plus agressives. Il va donc de soi que Volkswagen se concentre principalement sur la création de ses prototypes. Cette fois ce n'est pas différent. En fait, cette voiture a été construite spécialement pour le rallye, n'arrivera jamais à la chaîne de production . C'est la treizième fois que les apprentis de l'entreprise mettent une Golf comme exposant maximum de l'événement et, bien sûr, avec le temps, elle ne pouvait être autre que la plus sportive et "éco" de la gamme, la Golf GTE. Design extérieur Le surnom de « Skylight » (« lucarne »), lui a été donné par son inspiration dans la lumière du ciel et l'électromobilité . Les apprentis peintres ont appliqué des lignes en Lapiz Blue et Catalina Blue sur le corps blanc. Les couleurs peuvent également être trouvées sur l'extérieur de diverses garnitures! les poignées de porte éclairées, sur le logo GTE et sur les accents des roues de 20 pouces. De plus, l'aileron arrière, plus grand que celui de série! et les marchepieds latéraux - empruntés à la Golf R pour obtenir cette esthétique plus frappante. Design intérieur Mais les apprentis Volkswagen ont_également abordé le sujet à l'intérieur. Les tubes lumineux particulièrement frappants au-dessus des sièges reproduisent le design extérieur! tout comme les moulures décoratives, les housses de siège et les détails du volant. Un autre élément qui attire l'attention survient lorsque vous appuyez sur l'accélérateur. Un hologramme installé dans la console centrale montre les initiales "GTE" très grandes, une caractéristique qui vient directement du département de Volkswagen Group Components et qui change en fonction de l'accélération. Motorisation - Golf GTE Skylight Comme la Golf GTE standard, la mécanique associée est_composée d'un moteur à essence turbocompressé (TSI) de 1,4 litre! associé à un moteur électrique qui délivrent ensemble un total de 245 ch et 400 Nm . Bien sûr, pour attirer l'attention lors de la réunion, vous avez également besoin du bon son. Le système d'échappement fait sur mesure. Fabriqué en acier inoxydable et réalisé avec une imprimante 3D! reprenant le design traditionnel en nid d'abeille de la famille GTI. De plus, si vous optez pour l'électrique, mais que vous voulez continuer à faire tourner les têtes, il y a un support acoustique de 3 110 W dans le coffre . 16 apprentis ont travaillé sur le projet Une autre chose que vous trouverez dans le coffre - un skateboard zéro émission pour les derniers déplacements de mètres, baptisé « Mellow-Board » . Ainsi, 16 apprentis ont travaillé sur le projet. Comme le suggère la tradition, trois d'entre eux ont également participé au prototype éclos de l'année dernière! apportant leur expérience à l'équipe. Et pour ceux qui veulent voir de plus près la Volkswagen Golf GTE Skylight Wörthersee Concept, disons qu'elle sera exposée dans l'usine Autostadt de l'entreprise , à Wolfsburg. Tous les modèles Volkswagen Read the full article
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Illuminez votre espace : DIY de photophores charmants avec des bocaux en verre
Vous êtes à la recherche d’une décoration douce et chaleureuse pour illuminer vos soirées d'été ou votre nid douillet ? Voici comment créer de magnifiques photophores originaux avec des bocaux en verre. Embellissez votre espace avec des photophores DIY Il est souvent surprenant de voir comment de simples objets du quotidien peuvent se transformer en merveilleux accents décoratifs. Les photophores en bocaux de verre sont une tendance DIY qui allie beauté et simplicité, en plus d'être écologiques. Matériel requis pour les photophores en bocaux de verre Pour commencer votre projet, rassemblez d'abord le matériel nécessaire. Pour chaque photophore, vous aurez besoin : - D'un bocal en verre de taille moyenne - De sable, de petites pierres ou de billes décoratives - De bougies chauffe-plats Instructions étape par étape pour réaliser votre photophore La réalisation de ces photophores en verre est un véritable jeu d'enfant. Suivez ces étapes pour créer le vôtre. Étape 1: préparez votre bocal Commencez par nettoyer votre bocal. Il doit être bien sec pour que le sable, les pierres ou les billes adhèrent correctement. Étape 2: ajoutez du sable, des pierres ou des billes Ajoutez ensuite une couche de sable, de petites pierres ou de billes décoratives dans le fond du bocal. Le but est de créer un lit pour votre bougie. Étape 3: positionnez la bougie Placer votre bougie au centre de votre lit de sable ou de pierres. Assurez-vous qu'elle est bien stable. La touche personnelle pour vos photophores DIY Maintenant que vous avez la base de votre photophore, laissez parler votre créativité ! Personnalisez votre création avec des rubans, des paillettes ou même des peintures à verre. La seule limite est votre imagination. A lire aussi : Surfez en famille : les vagues n’attendent que vous ! Mettez en scène vos photophores Une fois vos photophores prêts, il ne reste plus qu'à trouver l'endroit idéal pour les mettre en scène. Sur une table, une étagère ou une console, ils apporteront une touche lumineuse et chaleureuse à votre intérieur. Alors, prête à transformer votre espace avec ces photophores DIY ? Partagez vos créations et vos idées avec nous ! Vos lumières douces et scintillantes en bocaux de verre apporteront assurément un charme unique à votre décoration. N'attendez plus et laissez votre créativité s'exprimer ! Read the full article
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