#Château D’if
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jeffurlan · 7 months ago
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Château D’if, em Marselha
France 🇫🇷
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wretchedvulgarian · 2 years ago
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dang I do not post about the count of monte cristo enough for someone who’s been to the château d’if
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ippilifasil · 1 year ago
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chateau-dilf · 1 month ago
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My Little Château d’If doodles
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hanakihan · 6 months ago
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tbh in light of there being Count and Edmond, all they need is to have Rider Edmond Dantes before his imprisonment being an enthusiastic starry eyed young man while his two other versions just stand there looking like they saw some shit in their lives (and they did).
Idek it’s just funny having two avenger edgelords and then at least one of their version is a genuinely sweet young man dreaming of marriage to his beloved and sailing hcbfjcndjdnjd
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lafcadiosadventures · 1 year ago
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Oh Dantès we’re really in it now
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ninadove · 2 months ago
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So when the Comte de Monte-Cristo goes on a manipulation and murder rampage, he’s just “le spectre d’un malheureux que vous avez enseveli dans les cachots du château d’If” and also a “babygirl”. But when I, Milady de Winter —
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pegasusdrawnchariots · 14 days ago
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Super boops this, super boops that… What about boops that planned their revenge for 14 years in the Château d’If and reunite you with your long-lost presumed dead son (NOT CLICKBAIT!!!!!)
Literally this!!!!!1!!!1!!one!!!!!!!!1
What about boops that pined silently after you for those entire 14 years, only unveiling themselves at last when they found out you were about to kill their son? Now THAT'S haunting 👻
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kulakligimdakihayat · 4 months ago
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view from le château d’If
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pen-inks · 5 months ago
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ASMR ||🌊|| Villefort sends you to the Château D’If ||🚓|| Mouth sound, personal attention, letter burning, complete utter darkness and despair ||🇫🇷|| Ft. ASMRDantes
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fictionkinfessions · 5 months ago
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being fictionkin of a classic literature book is so weird.
Like, oh, yeah.
That’s me. (normal me)
And this is also me. (Film me)
And this is ALLLSO me. (Musical me)
AND THIS (video game me…?)
And…
This? (MLP me…?)
And this… (anime me-)
And can’t forget this! (Manga me,,,)
And. That’s- that’s not me, actually… (Sandwhich named after me)
Not to mention when you say “Oh! I’m Edmond Dantés !”
A few others will go, “I’m also Edmond Dantés!” And we will be like, five different completely different Edmonds.
Not that I mind it. Edmond is sick asf. Shoutout to all my Edmonds. Shoutout to doubles too. We need more Edmonds. /silly /j
It’s just a bit funny, is all.
Anyway, at least all of us can agree the Château D’if was kinda trash /lh
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thomas-querqy · 4 months ago
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youtube
Le Comte de Monte-Cristo écrit et réalisé par Matthieu Delaporte et Alexandre De La Patellière, avec Pierre Niney, Laurent Lafitte, Anaïs Demoustier, Vassili Schneider, Anamaria Bartolomei, Julien de Saint Jean 😍
M’a rappelé que la première fois que j’ai entendu parler du Comte de Monte Cristo, c’était à l’occasion d’un voyage à Marseille quand j’étais collégien chez les frères Maristes : la visite du château d’If m’avait impressionné. Durant le film, il m’est aussi revenu avoir navigué au large de l’île de Monte Cristo sur le petit voilier des Michelet lors d’une croisière passant par la Corse, l’île d’Elbe et la côte Toscane. Je devais avoir une petite vingtaine, il faudra que j’aille fouiller dans la poussière des sacs de photos pour voir si j’ai quelques traces. Il me semble que ce n’était pas la croisière d’où ma sœur Bérénice avait rapporté un méchant staphylocoque doré. Yvon Michelet est mort il y a 3 ans, sa femme l’a suivi un an après, leur "petit dernier" cette année.
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Vassili Schneider
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Thierry Jouno et Hervé Guibert, Ile d'Elbe 1984. (Photo Hans Georg Berger)
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sinvulkt · 3 months ago
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Chap 1 ✯✯✯ ꒰ঌ ⚔ ໒꒱ ✯✯✯ Chap 3
La main d’Edmond serra le manche de son couteau. Le sac mortuaire puant qui le recouvrait battait au rythme des pas des hommes qui le transportait, le ballottant inconfortablement. Il faisait froid. D’après le calendrier que l’abbé avait insisté pour tenir, on était le 27 février. L’air marin passait à travers le sac comme une porte grande ouverte, et Edmond peinait à ne pas grelotter. Des frissons le secouaient malgré tout de temps à autre, à peine suffisamment discrets pour ne pas être repéré par ses transporteurs.
Il se força à détendre ses muscles, faisant sa meilleure impression de mort flasque que l’on emmenait au cimetière. C’était loin d’être chose facile. Il avait mal rentré une de ses ailes, et elle reposait douloureusement tordue, coincée sous son bras pour ne pas que les geôliers la remarque. Des fourmillements avaient parcouru le membre un peu plus tôt, mais ces derniers s’étaient tus, laissant place à une étrange sensation d’engourdissement.
Le sac s’immobilisa. Edmond se gaina, étonné que les geôliers aient déjà atteint le cimetière. Le château d’if était à peine assez grand pour être appelé une île. Peut être attendaient ils une barque pour les mener au dernier lieu de repos des prisonniers ?
Un flash lumineux perça à travers le sac. Peu de temps après, un grondement sourd retentit. Edmond pouvait entendre l’agitation des vagues non loin, annonçant une tempête imminente. 
“L’orage ne va pas tarder à tomber,” un des geôliers commenta.
“Cela fera une belle noce pour l’abbé,” le second ricana.
Il y eut plusieurs bruits de froissement, puis Edmond sentit quelque chose se resserrer autour de ses chevilles. Il raffermit pour la énième fois sa prise sur son couteau de fortune.
“Tu l’as bien accroché?”
“Oui, aucun risque qu’il flotte comme le dernier.”
Flotter ? Les pensées d’Edmond furent distraites par un mouvement du sac. On le prit par la tête et les pieds et on balança le sac de droite à gauche.
“À la une, à la deux,” les geôlier chantèrent.
“À la tr—”
Le craquement du fil trop tendu qui cède retentit.
Les coutures du pauvre sac, recousues à la hâte par les mains fébriles d’Edmond, se déchirèrent d’un coup. Les geôliers, surpris, lâchèrent le sac qui tomba lourdement sur le sol. Edmond hoqueta, la respiration coupée par le choc. La chute avait libéré ses pieds. Il cligna des yeux, aveuglé par la soudaine lueur du jour attisant ses pupilles, même atténué par les sombres nuages qui couvraient le ciel.
“Mais- mais ce n’est pas l’Abbé Faria!” l’un des hommes s’écria.
Edmond surgit du sac comme un diable, couteau à la main. Le plan jouait en boucle dans son esprit. 
Attaquer le geôlier le plus proche. 
Courir. 
S’envoler.
Ses ailes s’arquèrent d’un air menaçant, plumes battant dans le vent qui hurlait. Avant qu’il ne réalise vraiment ce qu’il faisait, Edmond plongea son poignard dans la poitrine de l’homme qui avait crié. La lame s’enfonça avec un bruit répugnant dans la chair. 
Choqué, il lâcha l’arme et recula d’un pas. Sa promesse a l’abbé de n’attaquer les sentinelles qu’en dernier recours tournait sans fin dans sa tête.
Déjà, le second geôlier sonnait l’alarme à grands cris. Tout en hurlant, le géolier porta sa main à la baïonnette sanglée dans son dos et s’avança vers son compagnon blessé et le prisonnier. 
Edmond sonda ses portes de sortie. Ils se trouvaient sur un des chemins de ronde du château d’If, juste au bord de la falaise. Le geôlier bloquait la voie d’accès à la cour, et aucune barque n’était en vue. Il jeta un regard derrière lui. S’il prenait le tournant du chemin de ronde, il aurait peut-être assez d’élan pour décoller. 
Sans perdre une seconde de plus, Edmond détala à toute jambe. Ses ailes suivirent par instinct, se déployant de toute leur envergure d’une façon dont elles avaient été incapable entre les étroits murs du cachot. Le vent se pris dans les plumes tout comme il gonfle une voile. Edmond, surpris, failli tomber à la renverse et ne redressa sa course qu’en repliant ses ailes.
Derrière lui, le geôlier lui aboyait des ordres.
“Au nom de la loi, arrêtez-vous !”
Edmond s'arrêta. Il fit quelques pas en arrière pour regagner un peu de distance, vérifia que les gardes étaient encore assez loin, et reprit sa course. Cette fois, il ne garda ses ailes qu'à moitié entrouverte, comme on baisse le grand mât pour prendre un vent trop fort.
“Avec la tempête, vous ne vous en sortirez jamais !”
Ignorant les cris du geôlier qui se rapprochait, Edmond prit le tournant qui le menait à une belle ligne droite, puis soit à une chute vertigineusement létale, soit à un envol libérateur. Chaque pas n’était plus qu’un battement de cœur qui s’accélère, un muscle qui se prépare. Chaque pas était un espoir qui s'ajoutait au dernier. 
“C’est du suicide !”
Le bout du chemin vint en vue. Les vagues rugissaient sur des rochers pointus en contrebas. De temps en temps, un éclair venait aveugler la vue encore sensible d’Edmond, illuminant les crocs du relief l’espace d’un instant comme une vision d’horreur. L’idée de sauter du rempart, un instant plus tôt parfaitement réaliste, semblait désormais effectivement un suicide.
Mais rester menait à une mort certaine, et si elle n’était pas physique, alors elle serait mentale.
Le pied d’Edmond atteint le bout du rempart. Fermant fort les yeux comme un enfant qui prie une étoile filante d'apparaître, il ouvrit grand ses ailes et s’élança.
Après quelques battements d’ailes, il ouvrit les yeux.
Edmond volait.
Le vent, qui avait semblé si furieux au sol, le portait sans effort vers l’immensité du ciel. Dès qu’une bourrasque le menaçait, ses membres ajustaient son équilibre par un étrange instinct qu’Edmond n’avait jamais remarqué jusqu’alors. Il pouvait sentir chaque tendons crispé par l’effort, chaque plumes tendues pour maintenir son cap, le tout formant une machine magique lui permettant de naviguer les airs.
Edmond leva les doigts pour sentir l’air courir contre lui. L’atmosphère lourde et cinglante de l’orage qui n'attendait qu’un signe pour éclater faisait fleurir de la chair de poule sur sa peau. Il s’en délecta. Le goût salé de la liberté flottant sur sa langue l’enivrait. 
Edmond ne vit pas la baïonnette du garde pointé sur la cible facile qu’il formait, balancé par les courants aériens. Il n’entendit pas le cliquetis de la gâchette que l’on actionne. Il entendit la détonation, mais c’était déja trop tard.
Le coup parti. 
Au début, Edmond n’entendit que le bruit du fusil. Se pensant hors d'affaires, il se força à lutter contre le vent à large coup de battements d’ailes avant qu’un second fusiller ne visa mieux. Des plumes blanches tachées d’écarlates tourbillonnèrent dans le vent. Puis, une explosion de douleur retenti comme un fouet brulant le long de ses cotes et de son aile droite. Quand il porta la main à son torse, elle revint trempée de sang. La vue vacillante, incapable de lutter contre la tempête avec son aile touchée se repliant à la première bourrasque, Edmond chuta.
L’eau était glaciale.
Il accusa le choc d’un coup de brasse vigoureux. Sa blessure le lançait, mais pas autant qu’il ne l’avait craint. Edmond devait sa chute à la surprise et à son manque de pratique quant à l'utilisation de ses ailes, plus qu'à la traînée sanglante laissée par la baïonnette. Le sel attisait sa brûlure d’une manière qui était familière à tout marin, mais la douleur restait tolérable. Dans la mer enragée, à des kilomètres de la côte, les conséquences d’un coup de feu étaient le cadet de ses soucis.  
Les ailes qui le portaient jusqu’alors le condamnaient désormais. Leurs mouvements brusques et agités conflictaient avec la brasse qu’il avait appris auprès des autres marins. Gorgées d’eau, elles le traînaient lourdement vers le fond. Edmond se débattit de toutes ses forces pour retrouver la surface. Se souvenant des leçons prodiguées quatorze ans plus tôt, il vida son esprit et fit de son mieux pour ralentir son cœur. Plus calme, il réussit à replier ses ailes sur son dos, plaquée de telle sorte qu’elles ne le génèrent plus lors de la nage. 
Edmond était toutefois loin d’être sorti d’affaire pour autant. Les longues secondes qu’il avait pris pour retrouver ses esprits l'avaient emmené vers les bas-fonds. La mer, noire et profonde, le pressait de toute part de telle sorte qu’il avait perdu le ciel de vue. Ses poumons le brûlaient, réclament un air absent qu’Edmond ne pouvait pas leur procurer.
Un éclair lumineux attira son attention. Désespéré, Edmond donna de vigoureux coup de pieds dans sa direction. Son cœur battait à tout rompre, renforçant la douleur montante de sa poitrine. Quelques instants plus tard, il perça les flots, victorieux, et aspira goulûment l’air qui lui avait tant manqué.
Comme pour le moquer, l’orage grondant choisit ce moment pour déverser sur lui tout son malheur. Un flot de gouttes se précipita sur lui, martelant son visage et tout ce qui avait le malheur de dépasser de l’eau. Pis, le vent avait impossiblement forci, et des vagues effrénées menaçaient de noyer sa bouche grande ouverte, manquant de l’étrangler. Peu importe la façon dont Edmond battait des paupières, ses yeux, pourtant habitués à la pénombre des cachots, ne pouvaient distinguer qu’eau et noirceur.
Edmond nagea.
Il nagea à l’aveugle, luttant contre le courant de peur que les flots déchaînés ne le précipitent contre une falaise. Ses dents claquaient sous le froid glacial de février. L’effilade que la balle avait laissé le long de son torse et de son aile droite s’enflammait douloureusement à chaque mouvement. De temps à autre, une vague plus imposantes que les autres le renversait, et Edmond devait redoubler d'effort pour retrouver la surface. 
Il nagea.
Ses forces s’amenuisaient. Les frissons qui le secouaient jusqu’alors s’étaient tuent. La piqûre du sel était omniprésente dans sa bouche, dans sa gorge, dans ses poumons. Ses pensées avaient laissé son passé, la prison, ses gardes et le corps de l’abbé loin derrière, et se réduisaient désormais à un fin fil d’espoir désespéré, érodé par la houle qui le frappait interminablement. Il ne voyait que la prochaine vague, et les coups qu’il faudrait donner pour la franchir.
Il nagea encore.
Une autre vague le renversa. L’eau salée s’infiltra dans ses poumons, pressée d’investiguer ce nouvel orifice. Edmond se crispa et attendit, guettant un des flashs aveuglants de la foudre qui déverse sa fureur sur le monde pour retrouver son chemin. Ce n’est qu’une fois la surface retrouvée que, toussant, il réalisa la position vainement déployée de ses ailes. Comme ce qui lui semblait être une éternité plus tôt, le réflexe, loin de l’aider à flotter, lui compliquait la tâche. Il dépensa un peu de l’énergie raréfiante qui lui restait pour lutter contre le courant et replier les excroissances gorgées d’eau. 
Il nagea, encore et toujours.
C’était tout ce qui comptait désormais. Perdu dans l’immensité de l’océan, luttant pour chaque gorgée d’air atteignant ses poumons, Edmond n’avait plus que cet objectif en tête. Nager .
Son genou racla soudainement contre une surface dure. Sans même y penser, Edmond se retourna et s'accrocha à l’objet qui se présentait. La pierre, froide et glissante sous ses doigts, ne bougea pas. Des bouts s’effritèrent, peut-être, mais trop peu pour stopper son avance frénétique comme il se hissait, désespéré, à cette bouée inespérée de l'océan.  
Une fois arrivé en haut, il s’écroula, la respiration sifflante. Le rocher qu’il avait frappé était en réalité un îlot de quelques mètres de large, sur lequel poussait de rares broussailles. Un peu plus loin, Edmond pensait apercevoir la bordure d’une île, mais le rideau de pluie rendait le paysage difficile à distinguer. Il pouvait encore entendre les vagues rugir à ses oreilles. Elles battaient rageusement autour de son refuge, comme endiablé par la perte de leur proie. 
Edmond rassembla ses forces pour se traîner un peu plus loin de leur portée, juste par précaution. Il atteint une des broussailles, et trouva son pied confortable. L’amas de branche protégeait quelque peu du fouet de la tempête, et le lit de feuilles mortes était aussi confortable que la paille du cachot qu’Edmond venait de quitter. Ses plumes, qui s'étaient gonflées sous l'effet du froid maintenant qu'elles n'étaient plus immergées, feraient une parfaite; si légèrement humide; couverture.
Exténué, tremblotant, il se roula en boule et s’endormit.
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chateau-dilf · 2 months ago
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What if Ink Potts was still haunting me to this day and I made my own pony design of Villefort. What then.
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hanakihan · 2 months ago
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tbh it’s been long ago I watched count of Monte Cristo adaptations but clearly from childhood I remember how I was frustrated with portrayal of his time in château d’if
like most adaptations loosely or briefly go through his imprisonment time to quickly move to meat of his revenge and while I understand such moves, many adaptations just miss the importance of his time here
it’s not only crucial to his development, it’s pretty much what also motivates him on his revenge quest
his imprisonment time is what breaks his psyche and moral compass, it’s what created fundament for count of Monte Cristo
even if adaptation does touch on his time here, it’s honestly more filled with melancholic feel and quickly jumps into his conversations with abbe faria
but everyone forgets he spend years here before even meeting with abbe faria and by time of it his psychological state was already yeeted the fuck out
because after watching several adaptations with my friend who didn’t read the book, said friend asked me what stopped Dantes from simply taking the treasure and start his life anew without getting involved into revenge that hard. like yes he started his revenge quest to make sure people involved in his demise get what they deserve and suffer as much as him, but most importantly ‘suffer as much as him all these years’ is literally the hell that was solitary prison cell for decades for him. it’s half about ruining his life and mostly about hell he went through, but adaptations make it appear as if he’s executing revenge with sound mind. he’s not, he’s clearly psychologically unstable and his goals and explanations are shifted despite what narration and he himself tries to make us believe
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pedanther · 2 months ago
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The Calendar of Monte Cristo: Chapter 86
c.1817: Birth of Haydée. [R]
24 January 1822: Death of Ali Tepelena. [H]
Fernand sells Haydée and her mother into slavery.
1831 or 1832: Haydée is bought by the Count of Monte Cristo. [E]
22 September 1838: A traveller from Janina visits a second newspaper with a dossier incriminating Fernand. [R]
23 September 1838: The second newspaper publishes the allegation about Fernand, explicitly identifying the Comte de Morcerf. Beauchamp sends a messenger to inform Albert. The Comte de Morcerf faces a House enquiry, and is convicted following Haydée’s testimony. [R]
25 September 1838: Albert arrives back in Paris, and goes to see Beauchamp. Beauchamp brings him up to speed. [R]
The document recording the sale of Haydée to the Count of Monte Cristo is dated “year 1274 of the hegira”, which can’t be accepted at face value: 1274 AH is equivalent to 1857–1858 CE.
Positing a transcription error for 1247 AH gives us a more reasonable 1831–1832 CE.
The document also says that Haydée was 11 years old, when all the other indications point to her being a few years older than that by 1831, but I’m willing to chalk that up to the slave trader being fuzzy on her age; prioritising the “aged eleven years” would force us to conclude that the Count of Monte Cristo bought Haydée when Edmond Dantès was still a captive in the Château d’If.
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