#CHRISTIANISME
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steph-photographie · 6 months ago
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La salle capitulaire de l'abbaye du Thoronet (83)
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sakuyaxs · 7 months ago
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Alexandre Cabanel (Montpellier-França 1823-1889)
L'Ange déchu (O anjo caído)
O Anjo CaĂ­do – em francĂȘs, L'Ange dĂ©chu – Ă© uma pintura do artista francĂȘs Alexandre Cabanel. Foi pintada com a tĂ©cnica Ăłleo sobre a tela em 1847, quando o artista tinha 24 anos, e representa LĂșcifer apĂłs sua queda do paraĂ­so. Cabanel retrata o anjo em um estado de desespero e sofrimento, mostrando a consequĂȘncia da escolha errada de Lucifer.No olhar de LĂșcifer podemos sentir uma mistura de emoçÔes e sentimentos, incluindo ressentimentos e um desejo de vingança. Se tiver cuidado, tambĂ©m se nota que uma lĂĄgrima sai do olho do anjo.
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julie-h · 21 days ago
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Me, God and the Devil walking side by side
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fidjiefidjie · 10 months ago
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"Vendredi Saint. Ce jour-lĂ , les concerts symphoniques deviennent « spirituels », on n'a jamais su pourquoi, Ă©tant donnĂ© qu'on y joue spirituellement les mĂȘmes choses." 🕊🌿🙏
Claude Debussy
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ombre-originelle · 2 months ago
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Henri Camille Danger - Aimez-vous les uns les autres (1892)
"Nous sommes tous, en effet, tellement aveuglĂ©s et pleins d’amour-propre que personne ne doute qu’il a de bonnes raisons de s’élever au-dessus des autres et de les dĂ©prĂ©cier par rapport Ă  lui-mĂȘme. Si Dieu nous a donnĂ© quelques qualitĂ©s apprĂ©ciables, dĂšs que nous en prenons la mesure non seulement notre cƓur se gonfle, mais il Ă©clate presque d’orgueil ! Nous sommes pleins de dĂ©fauts que nous cachons soigneusement aux autres, alors que nous prĂ©tendons qu’ils sont petits et lĂ©gers ; il arrive mĂȘme que nous les considĂ©rions comme s’ils Ă©taient des qualitĂ©s ! Quant Ă  nos points forts, nous les apprĂ©cions tellement qu’ils nous remplissent d’admiration. Si les autres possĂšdent les mĂȘmes qualitĂ©s et en plus grande mesure que nous, et que nous devions le reconnaĂźtre, nous les ignorons ou les dĂ©prĂ©cions tant que nous pouvons. En revanche, nous ne nous contentons pas de juger avec sĂ©vĂ©ritĂ© les dĂ©fauts de nos prochains, nous les amplifions odieusement. De lĂ  vient l’impertinence avec laquelle chacun de nous, comme s’il Ă©chappait Ă  la condition commune, cherche Ă  avoir la prĂ©Ă©minence sur les autres et, sans exception, les mĂ©prise comme s’ils nous Ă©taient infĂ©rieurs. Les pauvres cĂšdent aux riches, les vilains aux nobles, les serviteurs Ă  leurs maĂźtres, les ignorants aux savants ; mais chacun a dans son cƓur le sentiment qu’il est digne d’ĂȘtre considĂ©rĂ© meilleur que les autres. Chacun, de son point de vue, rĂšgne en souverain dans son cƓur. En s’attribuant les qualitĂ©s qui lui plaisent, il censure les pensĂ©es et les mƓurs des autres. Si un conflit Ă©clate, le venin sort et se manifeste. Certes, plusieurs ont l’apparence de la gĂ©nĂ©rositĂ© et de la rĂ©serve tant que tout leur sourit ; mais combien y en a-t-il qui conservent leur douceur et leur modestie si on les attaque ou les irrite ? Il ne peut, en effet, en ĂȘtre autrement tant que cette peste mortelle que sont l’amour-propre et l’autosatisfaction n’est pas arrachĂ©e du plus profond de notre cƓur."
Jean Calvin. Institution de la religion chrétienne
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francepittoresque · 1 month ago
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25 dĂ©cembre 496 : baptĂȘme du roi Clovis ➜ http://bit.ly/Bapteme-Clovis Clovis fut le premier roi catholique de la chrĂ©tientĂ©, et sa conversion aprĂšs la bataille de Tolbiac qu’il remporta en invoquant l’aide de Dieu, le servit tant par l'influence qu'il eut ainsi sur le peuple gaulois, que par l'appui du clergĂ© dont le pouvoir Ă©tait alors immense
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oviri7 · 8 months ago
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« Dans l'inĂ©puisable recueil, ce qui touche, ce qui bouleverse, ce ne sont pas les arguments, pas mĂȘme celui du pari : c'est le cri qu'on y entend, et qui fait Ă©cho Ă  notre plus profonde angoisse. Une Ăąme se raconte lĂ , non seulement l'Ăąme d'un des plus grands gĂ©nies de l'humanitĂ©, mais celle d'un chrĂ©tien pour, qui Dieu est une expĂ©rience vitale, l'alpha et l’omĂ©ga de tout. »
Daniel-Rops - L’Église des temps classiques
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bebliafrench · 1 month ago
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Lis la Bible: beblia.com 🙏
Dis amen si tu es d'accord
Colossiens 3:14-15
beblia.com
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raisongardee · 6 months ago
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youtube
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steph-photographie · 11 months ago
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Eglise du Castellet
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lours-postal · 8 months ago
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2024 - 498
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comprendrelislam · 5 months ago
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L’Homme peut-il vivre sans croyances ?
Ce qu’en dit l’Islam.
L’ĂȘtre humain se caractĂ©rise par une grande capacitĂ© d’apprentissage, qui lui permet non seulement d’accĂ©der Ă  un certain savoir pratique et thĂ©orique et de le gĂ©rer, mais de s’en servir pour dĂ©velopper une formidable capacitĂ© d’action, conformĂ©ment Ă  une volontĂ© qui lui est propre. NĂ©anmoins, comme ses questionnements dĂ©passent trĂšs vite la portĂ©e, somme toute, limitĂ©e de ses « connaissances certaines », l’Homme se restreint naturellement, dĂšs qu’il est confrontĂ© Ă  ce qui le dĂ©passe, Ă  procĂ©der par l’adoption d’opinions et l’adhĂ©sion aux croyances qui correspondent le plus Ă  ses idĂ©es ou convictions intimes, Ă  ses besoins ou dĂ©sirs ou encore Ă  ses objectifs ou aspirations !
Les croyances sont Ă  entendre ici au sens gĂ©nĂ©ral du terme, c’est-Ă -dire qu’elles englobent aussi bien les croyances momentanĂ©es et changeantes que celles ancrĂ©es et permanentes, qu’elles soient adoptĂ©es Ă  tort ou Ă  raison, de maniĂšre consciente ou inconsciente.
Prise dans ce sens, la croyance parait alors incontournable pour l’Homme et vient inĂ©luctablement s’adjoindre, avec ou sans cohĂ©rence, Ă  la rationalitĂ© ou Ă  la raison, qu’il est Ă  mĂȘme de dĂ©velopper. Ce recours Ă  la croyance se manifeste, en effet, non seulement au niveau de la relation Ă  soi ou Ă  autrui et de l’activitĂ© quotidienne - comme le fait de croire en l’amour de ses proches, que tel meilleur ami est digne de confiance ou encore en les chances de rĂ©ussite de son projet - mais s’étend, en dĂ©finitive, Ă  toute perception non fondĂ©e sur une « connaissance certaine », que l’Homme peut ĂȘtre amenĂ© Ă  se faire de soi, de son entourage, de l’origine de la crĂ©ation, de la vie, de la mort, du sens de la vie-prĂ©sente, de l’au-delà

A cet Ă©gard, Henri-Louis Bergson [1] fit remarquer Ă  juste titre que l’« on trouve  dans l’histoire des exemples de sociĂ©tĂ©s humaines qui n’ont eu ni science ni art ni philosophie, alors qu’il n’y a jamais eu de sociĂ©tĂ© sans religion » ! Selon que l’on se place du cĂŽtĂ© de leurs fidĂšles ou de celui de leurs dĂ©tracteurs, les religions sont fondĂ©es sur des rĂ©vĂ©lations divines considĂ©rĂ©es comme Ă©tant authentiques ou falsifiĂ©es voire inventĂ©es de toutes piĂšces, lorsqu’elles ne sont pas basĂ©es sur des idĂ©ologies, de gros mĂ©dia-mensonges, de prĂ©tendues sciences occultes, des lĂ©gendes ou superstitions construites par les Hommes eux-mĂȘmes !
D’aucuns s’empressent de rĂ©duire le recours de l’Homme Ă  la croyance en Dieu Ă  un artifice psychologique ou intellectuel, qui permettrait Ă  l’Homme de pallier ses ignorances, de juguler sa tristesse ou ses peurs et inquiĂ©tudes ou encore de faire subsister en lui l’espoir d’accĂ©der Ă  un avenir meilleur ! D’autres y voient un exemple, parmi d’autres, de ces croyances gĂ©nĂ©rales qui constituent un puissant et incontournable instrument de gouvernement ou de domination des masses ou, comme les considĂ©ra Gustave le Bon [2], « les supports nĂ©cessaires des civilisations, car [les croyances gĂ©nĂ©rales] impriment une orientation aux idĂ©es et seules peuvent inspirer la foi et crĂ©er le devoir. Les peuples ont toujours senti l’utilitĂ© d’acquĂ©rir des croyances gĂ©nĂ©rales et compris d’instinct que leur disparition devait marquer pour eux l’heure de la dĂ©cadence ».
En ce qui concerne la position de l’Islam, cette inclinaison de l’Homme Ă  croire en Dieu n’a rien de fortuit et constitue l’une de ses caractĂ©ristiques fondamentales, qui dĂ©coule de la nature originelle ou prime-nature, dite Fitrah dans le Coran, que le CrĂ©ateur a originellement donnĂ©e Ă  tous les ĂȘtres humains :
« Dirige tout ton ĂȘtre vers la religion exclusivement, telle est la nature [Fitrah] qu'Allah a originellement donnĂ©e aux Hommes - pas de changement Ă  la crĂ©ation d'Allah -. VoilĂ  la religion de droiture ; mais la plupart des gens ne savent pas. [30] » [S30]
La Fitrah, terme souvent confondu avec al-Khalq (la crĂ©ation), s’étend en fait Ă  toutes les crĂ©atures de Dieu et recouvre, en plus de l’acte de crĂ©er, la formation harmonieuse [al-Taswiyyah], la prĂ©destination [al-TaqdÄ«r] et la guidĂ©e [al-Hidāyah] :
« Celui Qui a créé et formé harmonieusement, [2] qui a décrété et guidé, [3] » [S87]
Selon Ibn al-Qayyim [3], la formation harmonieuse parachĂšve la crĂ©ation, en ce sens qu’elle a pour effet de donner Ă  toute crĂ©ature la crĂ©ation qui lui convient, conformĂ©ment Ă  la volontĂ© divine. Quant Ă  la guidĂ©e, elle parachĂšve, selon lui, la prĂ©destination, c’est-Ă -dire que toute crĂ©ature est guidĂ©e, par rĂ©vĂ©lation divine de son ordre, afin qu’elle puisse effectuer les fonctions auxquelles Dieu l’a prĂ©destinĂ©e, ou ĂȘtre Ă©prouvĂ©e conformĂ©ment Ă  Sa volontĂ© pour les crĂ©atures qu’Il a dotĂ©es de raison et de libre arbitre. Il s’agit, en fait, d’un premier niveau de guidĂ©e, dite gĂ©nĂ©rale, en Islam :
« [MoĂŻse] dit "Notre Seigneur est celui qui a donnĂ© Ă  chaque chose sa propre crĂ©ation puis l’a guidĂ©e". [50] » [S20]
« [Allah] dĂ©crĂ©ta d'en faire sept cieux en deux jours et rĂ©vĂ©la Ă  chaque ciel son ordre
 [12] » [S41]
« [Et voilĂ ] ce que ton Seigneur rĂ©vĂ©la aux abeilles : "Prenez des demeures dans les montagnes, les arbres, et les treillages qu’ils [les Hommes] font. [68] »  [S16]
Dans le cas des crĂ©atures vivantes, cette guidĂ©e gĂ©nĂ©rale a des effets spĂ©cifiques Ă  chaque espĂšce et des effets gĂ©nĂ©raux, tels que le fait de se mouvoir, de se nourrir, d’accĂ©der Ă  la subsistance, d’interagir avec l’environnement, de se protĂ©ger, de se dĂ©velopper, de reproduire l’espĂšce
 et ce, pour remplir les fonctions auxquelles le CrĂ©ateur les a prĂ©destinĂ©es. Il n’en demeure pas moins que ce premier niveau de guidĂ©e [gĂ©nĂ©rale] fait partie, sans doute, des secrets de la crĂ©ation divine, que Dieu a soustrait Ă  la connaissance rationnelle des Hommes, Ă  l’instar de l’esprit [al-RĆ«h], par exemple.
Aussi, la Fitrah ne peut-elle ĂȘtre bien apprĂ©hendĂ©e que par ses effets observables, qu’illustre une multitude d’exemples Ă©difiants de comportements et de facultĂ©s innĂ©s, observĂ©s grĂące au progrĂšs scientifique aussi bien chez l’Homme qu’au niveau des espĂšces animales et vĂ©gĂ©tales. En ce qui concerne l’Homme, le Coran indique que l’un des effets spĂ©cifiques importants de sa Fitrah est justement sa religiositĂ©, la Fitrah reposant elle-mĂȘme sur le fait que le CrĂ©ateur a inspirĂ© Ă  l’ñme humaine son immoralitĂ© de mĂȘme que sa piĂ©tĂ© ([S91,v7-8]). En d’autres termes, la Fitrah prĂ©dispose l’Homme Ă  accomplir la mission pour laquelle le CrĂ©ateur l’a crĂ©Ă© - qui est de L’adorer en Islam - et ce, en dirigeant tout son ĂȘtre vers la religion de droiture, c’est-Ă -dire celle qui consiste Ă  rechercher par la raison (la connaissance certaine) et par la foi (la croyance bien fondĂ©e) le droit chemin - ou la vĂ©ritĂ© des choses - et Ă  le suivre, comme le prescrivent les commandements religieux de Dieu.
A cet Ă©gard, il y a lieu de distinguer deux types de commandement divin en Islam : les commandements universels Ă©manant de la volontĂ© universelle de Dieu, laquelle volontĂ© rĂ©git tout ce qui survient dans l’univers, aussi infime soit-il, et les commandements religieux se rapportant Ă  Sa volontĂ© religieuse, qui rĂ©git Sa loi religieuse. La volontĂ© divine universelle porte ainsi aussi bien sur ce que Dieu aime et agrĂ©e que sur ce qu’Il n’aime pas ou n’agrĂ©e pas, alors que Sa volontĂ© religieuse porte sur ce qu’Il aime et agrĂ©e de Ses crĂ©atures qu’Il a dotĂ©es de raison et de libre-arbitre, tout en excluant ce qu’Il n’aime pas ou n’agrĂ©e pas d’elles. Le CrĂ©ateur a ainsi crĂ©Ă© les Hommes et les a dotĂ©s de raison, d’une nature originelle qui les prĂ©dispose Ă  suivre Ses commandements religieux, de moyens d’accĂšs au savoir et Ă  la foi, ainsi que de libre-arbitre [vis-Ă -vis de ces commandements religieux], pour les Ă©prouver conformĂ©ment Ă  Sa volontĂ© dans la vie-prĂ©sente (et savoir) qui d’eux s’avĂ©rera meilleur en Ɠuvre :
« Celui qui a crĂ©Ă© la mort et la vie afin de vous Ă©prouver (et de savoir) qui de vous est le meilleur en Ɠuvre, et c'est Lui le Puissant, le Pardonneur. [2] » [S67]
Par ailleurs, le verset citĂ© plus haut relatif Ă  la Fitrah ([S30,v30]), indique que celle-ci constitue une constante de la crĂ©ation divine (pas de changement Ă  la crĂ©ation d’Allah). C’est dire que tout nouveau-nĂ© nait selon la Fitrah et que, par consĂ©quent, toute dĂ©viation de cette derniĂšre avant son atteinte de l’ñge de l’autonomisation intellectuelle est Ă  imputer Ă  l’influence de son environnement, qui relĂšve de l’acquis ou du culturel et non de la prime-nature que Dieu a originellement donnĂ©e aux Hommes. A ce propos, le Messager d’Allah Muhammad a dit dans un Hadith communĂ©ment admis :
" Tout nouveau-nĂ© naĂźt selon la Fitrah (nature originelle ou prime-nature), ce sont ses parents qui en font un juif, un chrĂ©tien ou un mage. De mĂȘme que la bĂȘte de somme qui naĂźt sans difformitĂ© : y voyez-vous une quelconque mutilation ? "
En effet, le Coran indique dans plusieurs verstes [4] que les gens du Livre l’ont en partie falsifiĂ©, et perverti ainsi ce qui fut descendu par Dieu Ă  MoĂŻse dans la Torah puis Ă  JĂ©sus dans l’Evangile, notamment en associant Ă  Dieu de fausses divinitĂ©s. De mĂȘme, le statut du Coran en tant que rĂ©vĂ©lation divine ultime qui clĂŽt dĂ©finitivement l’ùre des ProphĂštes lui confĂšre une double spĂ©cificité en Islam, comme l’a montrĂ© Mohamed Achiq [5] : il constitue, d’une part, un livre de rappel et de discernement qui englobe tous les livres divins descendus avant lui et dissipe toute falsification ou interprĂ©tation malintentionnĂ©e de ces livres et, d’autre part, un guide universel ultime protĂ©gĂ©, de ce fait, par Dieu contre toute altĂ©ration [6]. De mĂȘme, le Coran prĂ©cise que les Hommes ne divergent pas au sujet de la croyance en leur CrĂ©ateur, ce qu’ils ont en commun par la Fitrah, mais que ce sont ceux-lĂ  mĂȘmes Ă  qui Dieu envoya des ProphĂštes et fit descendre le Livre (la Torah, selon al-Tabari), pour rĂ©gler parmi les gens leurs divergences, qui se mirent Ă  en disputer, aprĂšs que les preuves leur furent venues, et ce, par esprit de rivalité :
« Les gens formaient (Ă  l'origine) une seule communautĂ© (croyante). Puis, (aprĂšs leurs divergences,) Allah envoya des prophĂštes comme annonciateurs et avertisseurs; et Il fit descendre avec eux le Livre contenant la vĂ©ritĂ©, pour rĂ©gler parmi les gens leurs divergences. Mais, ce sont ceux-lĂ  mĂȘmes Ă  qui il avait Ă©tĂ© apportĂ©, qui se mirent Ă  en disputer, aprĂšs que les preuves leur furent venues, par esprit de rivalitĂ©! Puis Allah, de par Sa GrĂące, guida ceux qui crurent vers cette VĂ©ritĂ© sur laquelle les autres disputaient. Et Allah guide qui Il veut vers le chemin droit. [213] » [S2]
En conclusion, on peut dire que les croyances sont incontournables dans la vie de l’Homme et qu’elles viennent inĂ©luctablement s’adjoindre, avec ou sans cohĂ©rence, Ă  la rationalitĂ© ou Ă  la raison qu’il est Ă  mĂȘme de dĂ©velopper. En ce qui concerne l’inclinaison de l’Homme Ă  croire en Dieu, elle n’a rien de fortuit en Islam et constitue une consĂ©quence de la nature originelle qu’Il a donnĂ©e Ă  tous les Hommes, pour les prĂ©disposer Ă  L’adorer de leur plein grĂ©. Le CrĂ©ateur a ainsi dotĂ© les Hommes de raison, de moyens d’accĂšs au savoir et Ă  la foi ainsi que de libre-arbitre vis-Ă -vis de Ses commandements religieux, pour les Ă©prouver conformĂ©ment Ă  Sa volontĂ© dans la vie-prĂ©sente (et savoir) qui d’eux s’avĂ©rera meilleur en Ɠuvre. Et c’est sans doute ce qui fait de l’Homme cette crĂ©ature si distinguĂ©e et singuliĂšre, capable du meilleur comme du pire, selon le bien-fondĂ© ou le mal-fondĂ© de ses croyances et le degrĂ© d’alignement de ses actes sur ces croyances !
Abourina.
[1] Henri-Louis Bergson, « Les deux sources de la Morale et de la Religion »
[2] Gustave le Bon, « La Psychologie des Foules »
[3] Ibn al-Qayyim, « La Guérison du Patient au Sujet des Questions du Destin » (Titre traduit)
[4] Coran : [S2,v75], [S2,v79], [S4,v46], [S4,v157], [S5,v13], [S5,v41], [S5,v116]
[5] Mohamed Achiq, « Comprendre l’Islam Ă  la lumiĂšre du Coran et de la tradition ProphĂ©tique » (Amazon.fr)
[6] Coran : [S36,v69], [S25,v1], [S27,v76], [S34,v28], [S2,v2], [S18,v1], [S15,v9]
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jloisse · 1 year ago
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Palestine : les chrétiens persécutés
Un prĂȘtre tĂ©moigne des persĂ©cutions sionistes sur les chrĂ©tiens en Palestine et de la solidaritĂ© entre musulmans et chrĂ©tiens face Ă  l'occupation
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transparentgentlemenmarker · 6 months ago
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C'Ă©tait Ă  Paris
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whencyclopedfr · 9 months ago
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Oswald de Northumbrie
Oswald de Northumbrie (c.604 - c.642) Ă©tait un roi et un saint anglo-saxon du VIIe siĂšcle. C'est aprĂšs sa victoire sur le roi de Gwynedd, Cadwallon ap Cadfan, qu'il monta sur le trĂŽne de Northumbrie vers l'an 633 ou 634. Oswald rĂ©gnait sur les royaumes northumbriens de Bernicie et de Deira, mais a exerçait Ă©galement une autoritĂ© considĂ©rable sur certaines parties de l'Angleterre, du Pays de Galles et de l'Écosse d'aujourd'hui. L'historien originaire de Northumbrie BĂšde le vĂ©nĂ©rable, qui Ă©crivait au VIIIe siĂšcle, ne tarit pas d'Ă©loges sur le rĂšgne d'Oswald. Il fit mĂȘme de ce dernier l'un des hĂ©ros de son ouvrage de rĂ©fĂ©rence, l'Historia Ecclesiastica Gentis Anglorum (Histoire ecclĂ©siastique du peuple anglais). Oswald contribua activement Ă  la propagation du christianisme dans son royaume ainsi qu'au-delĂ  de ses frontiĂšres. En 642, il trouva la mort Ă  la bataille de Maserfield livrĂ©e au roi des Merciens, Penda. AprĂšs sa mort, Oswald fut rĂ©vĂ©rĂ© comme saint et martyr. Ses reliques firent l'objet d'une grande vĂ©nĂ©ration et un culte se forma autour de lui, en Angleterre et sur le continent, qui devait particuliĂšrement prospĂ©rer au Moyen-Âge.
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francepittoresque · 3 months ago
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TRADITION | Toussaint (FĂȘte de la) : origine, histoire ➜ http://bit.ly/Fete-Toussaint La langue française dĂ©signe par cet unique mot fort heureux la solennitĂ© collective de tous les saints. Cette fĂȘte ne remonte pas aux siĂšcles primitifs du christianisme. Voici quelle en a Ă©tĂ© l’origine
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