#Art XXè siècle

[vagabondageautourdesoi]

Germaine Richier - Pompidou

[ferid-muchir]

1 rue Condorcet

Label Patrimoine du XXe siècle, Édifice bâti protégé (PLU)

Section cadastrale : BW

Numéro de parcelle : 298

Typologie : Maison de ville

Dates : 1934

Architectes : Alfred Joffre et Férid Muchir

Description : Style Art déco de type paquebot, avec l'angle arrondi de la rotonde demi hors-œuvre, l'oculus, le toit-terrasse, et lecontraste des matériaux entre le béton et la brique.

Influence régionaliste : Arcades des fenêtres de la rotonde et utilisation de la brique.

L'habitation est située à l’angle de la rue Condorcet et de la rue Pascal-Marie-Agasse.

Type de patrimoine:Habitat individuel

Période: L'entre deux-guerres (1919-1939)

Quartier: Saint-Assiscle

Type signalétique: Edifices labellisés XXè siècle

[claudehenrion]

Déconologie, ou démonologie ?

Depuis le tout début de l'humanité, depuis que les premiers hominiens (appelés ‘’Adam et Eve’’ par la plupart des mortels, ou ''homo-quelque chose'' par d’autres, plus savants) ont eu l'idée d'enterrer leurs morts, en se demandant à leur manière s'il pourrait y avoir quelque chose ''de l'autre côté'', une question ronge l’humanité : le ''mal'' existe-t-il en tant que lui-même ? La réponse étant  souvent positive, la question est devenue, sous tous les cieux et tous les dieux : ''Faut-il croire qu'il existe un Démon ?'', symbole, puis représentation, puis incarnation du mal ?

La seule leçon permanente que nous enseignent l'Histoire et la proto-histoire est que la notion de ''religiosité'' est inhérente --on peut même dire préalable-- à l'idée-même d'humanité, et les derniers ''progrès'' en cette matière (fruits de la puissance infinie des ordinateurs, qui a offert un nouvel essor à tout ''thésaurus'' existant) souscrivent à cette idée, très récente, que ''ce sont les dieux qui ont directement créé toutes les civilisations'', même s'il est vrai, aussi, que comme sans hommes il n'y aurait personne pour pouvoir dire qu'existeraient un dieu ou plusieurs, c'est en quelque sorte l'homme qui a créé dieu ! Mais que tout peut donc être compliqué !

Les rites qui sont nés de cette confrontation entre des hommes et des dieux (titre d'un film superbe) ont été et sont encore autant de points de friction entre des forces antagonistes dont la confrontation permanente permet que puisse s'exprimer toute la palette du génie de l'Homme. Car qu'est-ce qu'une civilisation, sinon une réponse, à un instant donné, au défi permanent que posent à une faible créature (c’est nous !) des forces immenses,  climatiques, atmosphériques, telluriques, et tant d'autres, dont la dite créature elle-même ? Si telle ou telle réponse perdure, c'est la preuve inattaquable que la réponse qu'elle donne est la bonne (sinon la meilleure) à cet instant-là... d'où l'évidence, énoncée par Valéry, que toute civilisation serait mortelle : elle l’est, en fait,.. ‘’par définition’’.

Partant de cette évidence démontrée qu'aucune civilisation n'a jamais vu le jour sans l'existence préalable d'un dieu (ou d'un ''principe supérieur'' ne ressortissant pas de l'humain), la litanie est longue, des démonstrations a contrario de la vanité prétentieuse de ces pauvres esprits qui se sont pris eux-mêmes ou leurs pensées pour des déités ou des iso-démiurges et qui ont prétendu innover... en insultant l'évidence. Le XXè siècle a été particulièrement fécond en folies de ce genre et nous a condamnés à voir naître des empires qui ont duré... le temps qu'il leur fallait pour s'effondrer. (NDLR - Il convient de citer, ici, le tout dernier livre de Michel-Yves Bolloré et Olivier Bonnassies, ''Dieu : la science, les preuves'' (Ed. Trédaniel), qui vient tout juste de ''sortir'' (le 13 octobre) et qui remet à leur place un grand nombre d'idées fausses qui avaient envahi notre imaginaire et obscurci toute notre vision des choses. Je l'avais lu en avant-première et je vous en parlerai dès que possible).

Etonnant : personne n'a jamais apporté la plus petite réponse à la question : ''Pourquoi toutes les sociétés humaines se sont-elles, sans une exception, constituées autour de quelque forme de religion ?''. On a adoré Baal et Mazda, Anubis, Hator, Amon et Râ, Vishnou et Brahma, Zeus et Jupiter, le dieu-Soleil Huitzilopochtli (on comprend que la civilisation aztèque n'ait pas survécu à un tel nom !) ou le dieu-serpent Quetzalcoatl, Wotan et Odin, voire Teutatès comme Astérix, ou Yahweh, Jésus ou Mahomet, et tant d'autres dont la liste est immense... Les républicains hébertistes de 1793 avaient été jusqu'à inventer une ''déesse raison'', aussi irraisonnable qu'irraisonnée... Le ridicule les a heureusement tués.

Il n'empêche que c'est exclusivement autour d'invocations diverses à nombre de puissances tutélaires, protectrices, guerrières ou charitables que se sont construits des mondes, des arts de vivre, des livres sacrés, des morales et des croyances qui ont, seuls, été responsables de l'élévation au dessus de leur condition initialement animale des hommes qui croyaient  en et à elles. Un point commun : toutes ces ''visions du monde'' ont identifié et personnalisé ''le Mal'', d'une façon ou d'une autre, tant il est inséparable du Bien, comme l'ombre l'est de la lumière ou le Vrai du Faux.

En ces jours de tristesse (où certains voient la fin du monde... ou d'un monde --qui était le nôtre et que nous aimons tant) où semble se déliter notre civilisation dite judéo-chrétienne, dont on ne dira jamais à quel point elle a offert à l'humanité tout ce dont toutes les autres avaient rêvé sans jamais réussir à s'en approcher --même un tout petit peu--, la question doit être regardée en face : par quoi allons-nous remplacer le Dieu qui dirige actuellement nos destinées ? (car, n'en déplaise aux bouffeurs de curés, la civilisation occidentale, et donc, le monde entier, plus qu'on ne le pense, ne vivent que grâce à, dans, avec, pour et par le message christique).

Il n'est pas trop difficile de voir où se cache le Mal qui nous menace (certains le personnifient, et citent des noms : le Mal, de nos jours, serait incarné par des Attali, Minc, Schwab, Gates, Soros, et quelques autres, ce qui, même si ce n'est pas impossible, me semble faire trop d'honneur à ces agitateurs de marionnettes, à ces philosophes de comptoir qui sont puissants de notre seule faiblesse... Mais il est plus difficile de deviner autour de quelles aspirations, quels idéaux, quels rêves, de quelles envies à plus long terme pourrait s’organiser le vide abyssal et terrifiant que nous avons ouvert sous nos pas... C'est même impossible.

La pensée qui prédomine dans les cercles dont la responsabilité devrait se résumer à ouvrir de nouvelles avenues plus belles que celles dont ils nous privent, ne sait plus voir que des composantes techniques et économiques à notre situation, ce qui lui interdit de pouvoir être une alternative acceptable au monde d'hier.  Ces composantes n'existent ou ne devraient exister que pour être au service exclusif de ce qu’il y a d’humain en nous... tout ce, justement, dont ils ne veulent pas entendre parler, ce qu’ils veulent effacer, ce que tous leurs efforts tendent à supprimer, comme chaque  décision prise nous en apporte la preuve. (Un exemple ? Hier, Emmanuelle Wargon, la Sinistre de la transition écologique (Zazie aurait ajouté un commentaire malséant, à cet endroit) a avoué préparer la fin de la maison individuelle, ‘’écologiquement sub-optimale’’. Elle est tout-à-fait dingue !)

Il circule depuis peu sur tous les réseaux qui peuvent être parfois ''sociaux'' des accusations parfois très graves qui sous-entendraient l'existence de véritables ''complots'' relatifs à des ''tests'' qui auraient été annoncés puis réalisés depuis plusieurs années, qui seraient une illustration de toutes les horreurs qui nous ont été imposées depuis le printemps 2020, comme des ''essais-en-grandeur-nature''... dont quelque ‘’démon’’ aurait établi les contraintes et le mal-être qui en découle.

De telles accusations, qui ont été reprises, dûment cotées et référencées, par de nombreux hommes politiques de premier plan dans des livres (dont les ventes cumulées ne s'approchent même pas du tirage de chacun des livres d'Eric Zemmour) éclairent d’une lumière crue les campagnes (incompréhensibles,  autrement) et les chiens de garde que le Pouvoir s'acharne à lancer contre ce qu'il appelle ''des fake-news'', dont la définition version 2021 est : ''une information vraie qui est très différente de la vérité officielle --qui doit pourtant s'imposer''.

En allant au fond des choses, dites-moi comment un français pourrait être autre chose qu'un ''complotiste'', en 2021 ? La seule manière de lutter contre les influences diaboliques que beaucoup se mettent ou se remettent à deviner sous le Mal qui nous détruit, serait le rire devant le ridicule de la déconfiture inévitable, à terme, des déconstructeurs de notre civilisation. Mais s'il peut protéger, le rire ne sait pas proposer, et moins encore réaliser. Tout va très mal, Madame la Marquise. Pourriez-vous me dire où est la sortie ?

H-Cl.

[bruxellescity]

« EUROPALIA-VOIES DE LA MODERNITÉ », AUX « MUSÉES ROYAUX DES BEAUX-ARTS », JUQU’AU 13 FÉVRIER

« EUROPALIA-VOIES DE LA MODERNITÉ », AUX « MUSÉES ROYAUX DES BEAUX-ARTS », JUQU’AU 13 FÉVRIER

Dans le cadre d’ « Europalia – Trains & Tracks », l’exposition temporaire « Voies de la Modernité » nous propose un parcours artistique et historique autour du thème du train, à travers des œuvres d’artistes majeurs des XIXè et XXè  siècles. Cet événement, programmé par « Europalia », ayant débuté en 2021, nous noterons que cette année là marquait le  175e anniversaire de la liaison ferroviaire…

[philo-lo-fi]

Le Cerveau : Machine Mystérieuse

Aujourd’hui on va penser au cerveau, c’est marrant non? Le cerveau… qui se pense lui-même… donc il utilise son propre système pour penser à son propre système… 

«My brain is so self-conscious.» — Humanity 

Et nous retrouvons nos comparses aux histoires dignes des plus grands films américains, sortez les violons : Pitts évidemment, et McCulloch, prêts à tout pour percer les mystères de ce bon vieux cerveau. 

C’est l’article What the Frog’s Eye Tells the Frog’s Brain qui les fait déchanter et les met sur la voie d’un système nerveux bien plus complexe qu’il n’y paraît. Le titre ressemble à celui d’une histoire pour enfants et pourtant, c’est bien le résultat de cette recherche qui les a mis au 36è dessous… Mais s’ils savaient… S’ils savaient que c’est seulement aujourd’hui dans la première décennie 2000 qu’on prouve que certaines parties du cerveau sont essentielles, alors que certains disaient qu’elles ne servaient à rien. C’est fou non? Voilà, on arrive à l’homo sapiens, au terme de millions d’années d’évolution et on décide dans la deuxième moitié du XXè siècle que «allez, 50 à 80% des cellules qui composent le cerveau sont là pour faire joli». Evidemment la réalité est bien plus complexe mais tout de même : on a mis de côté des mécanismes du cerveau essentiels et incompris. 

Ces bons vieux Ranelot et Bufolet ou Frog and Toad en VO, personnages inséparables d’Arnold Lebel.

Toutes ces années de désintérêt scientifique, de mépris, de rabaissement ne seront certainement pas rattrapées par cette petite note mais elle mérite qu’on parle d’elle. Mesdames et Messieurs : la glie. 

Originally posted by dewdneym

“hé salut toi petite glie” (Pixel art issu du jeu Dragon Quest)

Ce nom très rigolo à l’enchaînement consonnes-voyelle assez rares, qui fait penser à «gluant», «glue», «gloubliboulga», ou encore “glouglou” nous place tout de suite dans le registre de la matière, du grec ancien γλία pour glue ou colle. Dans la glie, on trouve les cellules dites (prononcez à voix haute c’est excellent pour la langue) «gliales».

Ça fait plusieurs mois que ces cellules me tournent autour, étant donné qu’elles opèrent une percée dans les média mainstream de vulgarisation scientifique (France Culture, LeMonde.fr, France Inter, Ouest France…). Or, récemment on nous parlait en cours de réseaux neuronaux artificiels, et plus largement des intelligences artificielles et de leurs variétés de fonctionnement : machine learning, deep neural network et tutti quanti. Là émerge la question de la reproduction du cerveau humain pour faire fonctionner l’IA. 

Comment peut-on vouloir reproduire le cerveau humain, alors qu’on ne sait en fait pas vraiment comment le cerveau humain fonctionne? 

Vous vous souvenez peut-être des schémas réalisés en SVT («en cours de Bio» pour les plus anciens) : neurone - synapse - axone - synapse - neurone et même «dendrites» pour les plus téméraires. Tout ça fonctionnant sur le principe d’impulsions électriques se déplaçant à grande vitesse entre tous ces neurones. Eh bien voilà, on nous aurait menti par omission, laissant de côté les cellules gliales, sans lesquelles les neurones feraient moins les malins. 

Plus largement dans le monde scientifique, on a longtemps réduit les cellules gliales à des fonctions de cellules «ménagères». 

Leur fonction première serait d’être des conduits d’alimentation : ni plus, ni moins qu’un réseau de «soutien» des neurones. Pendant que neurone travaille, la bonne glie lui prépare un repas chaud et un foyer agréable, glidyllique. Étonnant cette reproduction de la représentation de la société patriarchale… mais on s’égare.

Une très belle cellule gliale, l'astrocyte.

Si vous voulez en savoir plus sur les cellules gliales je vous invite à écouter la bonne émission réalisée sur France Culture, celle qui a éveillé ma curiosité il y a quelques mois. On parle quand même de révolution de la vision du système de communication du cerveau, ça vaut le détour, et ça réduit la taille de mon roman glial, avant qu’on se perde en considérations sur les neurotransmetteurs…

Que faut-il retenir? Lorsqu’une information circule dans les neurones on remarque désormais que sa circulation se fait de manière multiple, surperposée, dans les neurones et dans la glie. Le fil tendu des «découvertes» scientifiques montre l’importance de la glie dans l’exercice de la mémoire comme dans les maladies de la mémoire. 

De tout ça naît ma grande question (assez naïve), latente depuis deux semaines : s’intéresse-t-on aux cellules gliales pour reproduire le cerveau humain OUI ou NON? 

Vous vous en doutez, non? 

Si nous simples mortels effectuons un petit pas de côté pour considérer la glie, nos scientifiques organisés en réseaux complexes et globalisés ont déjà su partager l’info. On a donc vu l’apparition de travaux sur, par exemple, les réseaux artificiels «neuroglials» (ANGNs : Artificial NeuroGlial Networks). Ces systèmes prennent en considération le «cerveau glial» et «imitent», à coups d’algos, ce mode de fonctionnement à plusieurs strates (multilayered). 

Mais ne nous accrochons pas trop vite à cette belle comète. Il faut interroger l’efficacité du biomimétisme dans la construction des IA et la définition du contour de celles-ci : un réseau neuronal artificiel est-il une intelligence artificielle? Pour construire des avions on a fini par se rendre compte que leur faire des ailes comme aux oiseaux ne serait pas la clef du problème, quid des modèles bio-mimétiques? 

Controverse la semaine prochaine? 

Originally posted by buddhaismyhomeboy

[vagabondageautourdesoi]

Nicolas de Staël - MAM

Petit retour sur une exposition exceptionnelle

Nicolas de Staël siège en majesté au Musée d’Art Moderne à l’automne 2023 pour une présentation rétrospective de son œuvre. À peu près mille cent toiles et autant de dessins constituent le fond de ces vingt années de production dont deux cent les deux dernières années de sa vie. Nicolas de Staël était fasciné par le spectacle du monde, confirme Pierre Wat, l’un des commissaires de l’exposition.…

[vagabondageautourdesoi]

Daaaaaali ! Quentin Dupieux

Chronique d'un film loufoque et drôle !

FAN-TAS-TI-QUE aurait ponctué Daaaaaali en visionnant le film de Quentin Dupieux ! Que ces deux-là étaient faits pour se rencontrer ! Absolument pas autobiographie, mais un vrai hommage à ce comédien, cet hurluberlu narcissique, mégalomane mais complètement esseulé que fut cet artiste prodigieux ! Jeune journaliste (Anaïs Demoustier) décide de réaliser une interview de Daaaaaali qu’elle…

[vagabondageautourdesoi]

Découvrez l'Arte Povera à la Bourse du Commerce

L’Arte Povera se découvre en ce moment à la Bourse du Commerce avec plus de soixante œuvres de quatorze artistes différents appartenant soit directement à et la Fondation Pinault soit venant de collections publiques et privées. Ce n’est ni un mouvement, encore moins un dogme, tout juste un rassemblement d’artistes dans les années 60, tous italiens, qui se connaissaient et qui, chacun à leur…

[vagabondageautourdesoi]

Gustave Caillebotte - Sandrine Andrews

Pour la Rentrée artistique 2024, Gustave Caillebotte de Sandrine Andrews présente la modernité de ce peintre amoureux de la ville, des corps et des activités

Rentrée artistique 2024 Présentation d’un peintre amoureux de la ville, des corps et des activités des hommes Gustave Caillebotte (1848 – 1894)entre en majesté à Paris en investissant le Musée d’Orsay cet automne. Pour compléter ou même remplacer cette visite, le beau livre de Sandrine Andrews pose les bases du talent de ce peintre effacé qui participa pleinement au courant Impressionniste.…

[vagabondageautourdesoi]

En jeu ! Les artistes et le sport

Aperçu de l'exposition En jeux ! au Musée Marmottan- Monet pour célébrer les jeux olympiques en mettant en perspective le sport et les artistes de 1870 à 1930.

(1870-1930) Profitant des Jeux Olympiques organisés à Paris, avec l’accord du Comité de l’Organisation de Paris, le Musée Marmottan-Monet a choisi de présenter le rapport entre sport et artistes peintres. Degas et Manet avaient habitué leur public à assister aux courses de chevaux. Mais, l’exposition explore les rapports entre art et sport, entre 1870 et 1930, à partir d’une cent soixantaines…

[vagabondageautourdesoi]

Colin Thibert Une saison à

Présentation du nouveau roman de Colin Thibert, Une saison à Montparnasse, qui illustre la liberté des femmes dans le Paris de Montparnasse dans les années 20.

Montparnasse La liberté des femmes dans la France des années 20 Sur une reproduction d’un tableau de Tamara De Lempicka, Colin Thibert conte le destin d’une femme qui s’est crue libre dans la société de la France des années 20. Une histoire un peu réchauffée mais si bien racontée ! Tout aurait pu être si simple. La famille de Gabrielle lui avait servi une éducation bourgeoise, exemplaire pour…

[vagabondageautourdesoi]

Centre Pompidou Malagà

Présentation du Centre Pompidou de Malagà, premier petit frère étranger du grand musée parisien, consacré aussi à l'Art moderne, à découvrir ici !

Malagà est surnommée “La Malagà de Los Museos”. On dit qu’il y a un musée pour tous les goûts dans la capitale de la Costa Del Sol ! Au printemps 2015 s’installe pour cinq ans à Malagà le premier espace étranger du musée parisien, après Pompidou Metz. “El Cubo” tel que l’appellent les habitants est situé sur Le Pier One à côté du port de plaisance et du centre historique. L’entrée en…

[vagabondageautourdesoi]

Inventer l'impressionnisme : Célébration 150ème Anniversaire - Musée d'Orsay 2024

Petite présentation de l'exposition Inventer l'Impressionnisme du Musée d'Orsay du 26 mars au 14 juillet 2024 sur leur première exposition.

Reconstituer la première exposition, ce courant artistique qui portera, plus tard, le nom d’impressionnisme est une belle initiative du Musée d’Orsay pour ce printemps 2024. Une merveilleuse manière de célébrer le 150ème anniversaire de ce mouvement artistique connu et apprécié de tous ! Le Musée d’Orsay rassemble une centaine d’œuvres issues soit du Salon, instance officielle de l’Art de…

[vagabondageautourdesoi]

le tableau volé - Pascal Bonitzer

Avis sur le tableau volé de Pascal Bonitzer, une comédie réussie

André Maison (Alex Lutz), “comme le peintre”, aime-t-il à répéter, est commissaire-priseur et accueille une nouvelle stagiaire. Un jour, un courrier l’informe qu’un tableau d’Egon Schiele a été découvert à Mulhouse, chez un jeune chimiste, travaillant de nuit. Après authentification de la toile qu’il fait avec son ex-femme Bertina (Léa Drucker), André décide d’en faire la vente de sa carrière.…

[vagabondageautourdesoi]

Musée - Christophe Chabouté

Un roman graphique sur le Musée d'Orsay . Magnifique !

Grand Prix RTL de la BD 2023 Nous, banlieusards et parisiens, amoureux de l’art, connaissons le Musée d’Orsay. Inauguré en 1987, ce Musée consacré aux œuvres du 19ème siècle a rencontré son public au-delà des espérances de ses concepteurs. Alors, au moment où l’on fête les 150 ans de l’impressionnisme, orchestré justement par le Musée d’Orsay sur toute la France,  il semblait important de…

[vagabondageautourdesoi]

Paola Pigani - Le château

Des insensés À partir de l’histoire d’une patiente au moment de la seconde guerre mondiale, Paola Pigani choisit de raconter, pour son roman Le château des insensés, les grands changements de la psychiatrie moderne, introduisant ce qui plus tard s’appellera la psychothérapie institutionnelle. De Ville Evrard en août 1939, Jeanne, vingt-quatre ans, vient de perdre son enfant à la…