#Abraham Kronenberg
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The 59 books posted on JewishBookWorld.org in February 2022
The 59 books posted on JewishBookWorld.org in February 2022
Here is the list of the 92 books that I posted on JewishBookWorld.org in February 2022. The image above contains some of the covers. The bold links take you to the book’s page on Amazon; the “on this site” links to the book’s page on this site. (more…)
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#A Pain in the Tuchis#A Requiem for Hania#A Targumist Interprets the Torah#A “Jewish Marshall Plan"#Abraham Kronenberg#Adam Mansbach#Alex Pomson#Alice Blumenthal McGinty#Always Remember Your Name#Alwin Meyer#American Princess Warrior#Andra Bucci#Andrew Fukuda#Anne Schenderlein#Antony Polonsky#Antti Laato#Aviva Hermelin#Barry Friedman#Batya Brutin#Bethany Ball#Betsy R. Rosenthal#Coming to Terms with America#Daniel Horowitz#Daniel Lasker#David Gelernter#Dekel Peretz#Destruction of Bilgoraj#Dream Catcher#Eleanor Reissa#Etched in Flesh and Soul
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En toute chose, au palais de Tokyo l'homme et l'objet discutent
Pour sa nouvelle saison En toute chose, Le Palais de Tokyo s'arrête sur le lien entre l'objet et l'homme. Quelle vie leur attribuons-nous, quels pouvoirs et formes leur confère-t-on ? Jusqu'au 8 mai 2017, il est question d'amour, d'épreuve du corps, de spiritualité et d'avenir de l'humanité : entre art et technique, les cœurs s'unissent !
Le Palais de Tokyo propose comme à son habitude, une programmation éclectique sur l'art en train de se faire. Si chaque artiste peut se comprendre de manière totalement autonome, ils se retrouvent autour d'une thématique centrale : celle de la relation de l'individu avec l'objet. Le performeur Abraham Poincheval éprouve le temps et les conditions corporelles en s'enfermant dans des lieux impénétrables, l'artiste Dorian Gaudin qui interroge la vie des machines à travers une installation animée, Mel O'Callaghan et Emmanuel Saulnier qui rendent à l'objet sa charge spirituelle, Taro Izumi qui voit la construction de l'homme comme support d'une hyper-humanisation et l'exposition collective Sous Le regard de machines pleines d'amour et de grâce qui pense le monde comme lien poétique entre la machine et l'homme.
G : Marie Lund, Raising the Vessel, 2015 et The Very White Marbles, 2015. Berlin, 2015. Courtesy Laura Bartlett Gallery, Croy Nielsen et Jose Garcia - D : Michael E. Smith, Untitled, 2016. Photo : Ladislav Zajac. Courtesy de l’artiste et KOW, Berlin
Au delà de l'art digital
Les machines sont partout. Elles se sont tant acclimatées à nos espaces qu'elles en deviennent presque invisibles. Prolongement de la main, le smartphone est devenu (pratiquement) inévitable. Le cinéma met en image nos imaginaires, et internet, le grand, l'immense internet, calcule nos amours, noue nos relations, détermine nos emplois et monnaie nos quotidiens. C'est cette omniprésence, cette influence au delà du digital même qu'ont tenté de mettre en lumière les artistes réunis dans Sous le regard de machines pleines d'amour et de grâce. Ce que l'on voit sans n'y être plus attentif est également le travail qu'expérimente la lauréate du prix du 61ème salon de Montrouge, Emmanuelle Lainé. Avec une installation en trompe l'œil, elle berne doucement et avec humour la véracité de l'œuvre d'art. Elle veille à reproduire la même intensité de l'expérience cinématographique en Le transposant dans les arts plastiques.
G : Dorian Gaudin, Aging Beauty, 2015. Photo: Romain Darnaud. Courtesy de l’artiste et Nathalie Karg Gallery (New York) - D : Mel O’Callaghan, Dangerous on-the-way, 2016. Courtesy de l’artiste et de la Galerie Allen (Paris) ; Belo-Galsterer (Lisbonne) et Kronenberg Wright (Sydney). Production SAM Art Projects
L'objet de l'homme, le monde comme réceptacle d'émotion
Le pouvoir que nous donnons aux objets est immense. Nous les façonnons pour placer en eux nos croyances, pour pâlir à nos peurs. Ils nous réconfortent et nous offrent d'incroyables pouvoirs. La vie cachées des objets, celle qu'ils vivent lorsque la lumière est éteinte et que les rideaux sont tirés est pensée par le plasticien français Dorian Gaudin. Il offre le théâtre vivant de ce que notre curiosité réclame depuis la petite enfance : des objets animés. Cette vie mystérieuse, inconnue, qu'il ne nous serait pas possible de cerner se retrouve dans le religieux. Tout l'espoir de notre sort est remis entre les mains d'instances invisibles. C'est sur ces questions du mysticisme et du rituel que travaille Mel O'Callaghan. À travers les objets que l'homme créé, il est capable de prouver les limites de son corps. La recherche de la transe est constante.
G : Taro Izumi, Tickled in a dream, (Protect bananas from pirates), Courtesy de l’artiste, Galerie GP&N Vallois (Paris) et Galerie Take Ninagawa, Photo : Aurélien Mole - D : Protect Banana © Taro Izumi
Le corps comme outils
La transition est parfaite. Du corps comme mystique à atteindre par l'objet chez Mel O'Callaghan, se lie la pratique d'Abraham Poincheval qui expose les vaisseaux qui lui ont permis ses performances. De l'épreuve du corps à la contemplation et la compréhension du monde, l'objet recherche les limites de l'être. C'est également ce que l'on peut appréhender dans le travail de Taro Izumi. L'artiste japonais travaille à partir de photographies du quotidien où le corps est mis à rude épreuve. Éprouvé, désarticulé, le squelette dans ces placements improbables constituent la matière première de ses installations. L'objet devient caricature, support de l'extra-ordinaire.
Vue de l’exposition d’Abraham Poincheval, Palais de Tokyo (03.02 – 08.05.2017). Courtesy de l’artiste et Galerie Semiose (Paris) Photo : Aurélien Mole
En toute chose propose un parcours reflétant, comme il est d'usage au Palais de Tokyo, toute l'étendue des questionnements qui transitent dans l'art contemporain. L'objet, partie inhérente de nos quotidiens, n'a pas fini de nous étonner, et si l'on ne comprend pas toujours d'emblée ce que nous racontent les artistes, ils continuent de nous interroger.
C'est là toute la beauté du geste !
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En toute chose, Jusqu'au 8 mai 2017, Palais de Tokyo, 13 avenue du Président Wilson Plein tarif : 12€ / tarif réduit : 9€
A retrouver ici.
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Destruction of Bilgoraj by Abraham Kronenberg
Destruction of Bilgoraj by Abraham Kronenberg
Cover Art: Nina Schwartz We know Bilgoraj’s river and forest from the stories of I.B. Singer, who spent his early adulthood here. Jews lived here since the late 14th century, and before the First World War, made up half its population. They owned grain and lumber mills, and worked as merchants, shoemakers, smiths, tailors, bakers, sieve makers, and printers. (The Kronenberg Press was known…
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