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Hi ( with the intention of beating you)
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Au-delà des Ombres : L’Histoire d’un survivant
Au-delà des Ombres : L’Histoire d’un Survivant
Introduction
“La vérité fait mal. Mais plus que cela, le silence peut être un fardeau que l’on porte toute sa vie. J’ai grandi dans l’ombre d’un parent qui, au lieu d’être un soutien, est devenu la source de ma plus grande douleur. Ce livre n’est ni un jugement, ni une vengeance. C’est simplement mon histoire – une vérité que j’ai choisie d’écrire, non pas pour moi, mais pour tous ceux qui ont vécu ou vivent des expériences similaires. Écrire ce livre est pour moi une libération et, j’espère, une encouragement pour d’autres à trouver leur propre voix. Derrière des portes fermées, beaucoup d’entre nous vivons des histoires que le monde ne voit pas, et voici mon histoire.”
Chapitre 1 : L’enfance perdue
Je me souviens des jours où tout ce que je voulais était de me sentir aimé. Mon père était là, physiquement, mais son âme et son attention étaient toujours ailleurs. Dès mon plus jeune âge, j’ai compris que pour lui, j’étais plus une obligation qu’un être qu’il devait aimer.
Lorsque les autres enfants passaient des moments avec leurs pères, moi j’étais puni, privé de nourriture ou traité comme un esclave. Il me disait de nettoyer chaque coin de la maison, pendant qu’il laissait des déchets partout. Il cuisait, mais jetait les restes par terre, et l’odeur dans la maison devenait insupportable. C’était à moi de réparer ce désastre, et si je refusais ou si je ne bougeais pas assez vite, il me frappait sans hésitation.
Un jour, alors que j’avais seulement huit ans, je suis rentré de l’école fatigué, mais heureux d’avoir eu une bonne note à un test. Je suis entré dans la maison avec l’idée de lui montrer le travail, espérant au moins un mot d’encouragement. Au lieu de cela, j’ai trouvé des bouteilles et des ordures éparpillées par terre. Il était sur Facebook, riant et parlant avec des inconnus, ignorant complètement ma présence. Quand je lui ai parlé de ma note, il ne m’a même pas regardé. Au lieu de cela, il m’a envoyé nettoyer la cuisine, me menaçant que si je ne le faisais pas immédiatement, je resterais sans nourriture.
Peu importe combien je réussissais à l’école. Pour lui, j’étais juste une source d’argent. Je me souviens qu’il m’a un jour dit : « Tu es là juste pour que je puisse toucher les allocations sociales. Si ce n’était pas pour l’argent, je ne te garderais même pas. » Ces mots m’ont hanté pendant des années, détruisant lentement toute trace de confiance que j’avais en moi.
Mais le pire n’était pas les mots ou les punitions. C’était l’absence de toute forme d’affection. Je voulais tellement qu’il me prenne dans ses bras, qu’il me dise que j’étais important. À la place, je n’avais droit qu’à des critiques, des ordres et de l’indifférence.
Chapitre 2 : La famille déchirée
Notre famille n’a jamais été unie. S’il existe un mot pour décrire les relations entre nous, c’est « division ». Au lieu de nous soutenir les uns les autres, nous étions séparés, chacun essayant de survivre à sa manière.
Mon père n’était pas seulement un mauvais soutien, mais par son comportement, il réussissait à détruire ce qu’il restait de la famille. La relation entre lui et ma grand-mère – sa propre mère – était marquée par la trahison et l’indifférence. Lorsqu’il l’a emmenée en Roumanie pour régler quelques papiers, j’ai cru qu’il allait enfin faire quelque chose de bien pour elle. Mais la vérité était bien plus cruelle. Après avoir obtenu ce dont il avait besoin, il l’a abandonnée là-bas, sans argent et sans nourriture. Si ce n’était pas ma tante Denisa qui l’avait sauvée et l’avait ramenée, je ne sais pas ce qui lui serait arrivé.
Ce geste m’a montré encore une fois qui était réellement mon père. À ses yeux, les gens n’avaient aucune valeur. Tout était question de lui et de ce qu’il pouvait obtenir. Ma grand-mère, une femme qui avait travaillé toute sa vie et qui l’avait élevé, ne méritait même pas le respect de base.
Lorsque ma grand-mère a compris qu’elle ne pouvait pas compter sur lui, elle a refusé de continuer à avoir affaire à lui. Il était évident que ce qu’il voulait, c’était la maison de Capu Codrului, qu’il voyait comme un bien matériel qu’il pourrait vendre, pas comme un lieu rempli de souvenirs familiaux.
Cette cupidité a été le moment où leur relation s’est définitivement rompue. Ma grand-mère ne voulait plus le voir et a fini par perdre toute confiance dans les gens à cause de lui. Ce qui m’a le plus blessé, c’est de voir une femme âgée, vulnérable, devoir supporter autant d’humiliation de la part de son propre fils.
Ma tante Denisa a été la seule à essayer de réparer la situation. C’est elle qui a pris la responsabilité de ma grand-mère, lui offrant le soutien que mon père aurait dû lui apporter. Mais même Denisa a été confrontée à la résistance de sa part. Il essayait de la contrôler, de dicter ce qu’elle devait faire, refusant d’accepter qu’il avait perdu son autorité sur la famille.
Cette rupture dans la famille m’a profondément affecté. En plus du traumatisme direct causé par mon père, j’ai dû vivre avec la douleur de voir les relations entre mes proches se déchirer à cause de l’égoïsme et de l’indifférence.
Chapitre 3 : L’abus physique et émotionnel
L’abus que j’ai subi de la part de mon père n’était pas seulement physique, mais aussi émotionnel – et c’est peut-être cela qui a été le plus difficile à supporter. Les cicatrices laissées par les coups guérissent avec le temps, mais les mots et les humiliations restent gravés dans l’âme.
Mon père avait une étrange obsession pour le contrôle. Chaque aspect de ma vie devait être sous ses ordres. Si je ne faisais pas ce qu’il voulait, il criait sur moi ou me frappait. Parfois, il me punissait en me privant de nourriture, me laissant affamé pendant des heures simplement parce qu’il n’aimait pas quelque chose que j’avais dit ou fait.
Lorsqu’il s’agissait de l’école, son attitude était tout aussi destructrice. Au lieu d’être fier de mes notes ou des efforts que je fournissais, il ignorait complètement mes résultats. Parfois, il se moquait de moi, disant que l’apprentissage était inutile et que de toute façon, je n’irais nulle part dans la vie.
Le souvenir le plus douloureux est lié au chien qu’il m’avait offert en cadeau. Je l’aimais énormément, car c’était la seule présence qui me faisait sentir en sécurité. Mais mon père a trouvé un moyen de me blesser même à travers cela. Quand il voyait que je ne réagissais pas à ses insultes, il dirigeait sa colère sur le chien, le frappant sans pitié. Chaque coup porté à cet animal était comme une blessure dans mon âme.
J’ai appris à vivre dans le silence, à tout supporter sans montrer ma douleur. Mais ce silence m’a consumé de l’intérieur, me transformant en un enfant replié, sans confiance en les gens et en moi-même.
Chapitre 4 : Le masque d’un parent « parfait »
De l’extérieur, le monde aurait pu croire que mon père était un homme à succès, un parent impliqué, une personne digne de respect. Il était expert dans la création d’une image fausse – des vidéos en direct, des photos soigneusement choisies, des histoires fabriquées pour attirer l’admiration de ceux qui ne le connaissaient pas vraiment.
Mais moi, je connaissais la vérité. Derrière l’écran, c’était un homme dépourvu de compassion, préoccupé uniquement par lui-même. Ses journées se déroulaient entre des publications sur Facebook et la construction d’une réalité parallèle, dans laquelle il était toujours le héros.
Je me souviens de comment je regardais ses lives, tandis qu’il parlait de combien il travaillait dur et s’occupait bien de sa famille. Je restais là, dans le coin de la pièce, avec le ventre vide et le cœur brisé, me demandant comment il pouvait mentir aussi facilement.
Cette contradiction était difficile à supporter. D’un côté, je vivais la réalité des abus, et de l’autre, je voyais comment des inconnus le félicitaient pour les « sacrifices » qu’il faisait. C’était comme si j’étais invisible. Mes cris muets, ma douleur – rien de tout cela n’avait d’importance pour lui ou pour ceux qui le suivaient.
Chapitre 5 : À la recherche de l’espoir
Quand j’ai été pris par les autorités et emmené dans une maison d’enfants, j’aurais dû ressentir du soulagement. C’était, en théorie, ma chance de m’échapper de l’enfer que j’avais vécu jusqu’à présent. Mais la vérité, c’est que ce n’était pas aussi simple.
Bien que j’étais loin de lui, le traumatisme était resté avec moi. J’avais encore des moments où je me réveillais en sursaut au milieu de la nuit, entendant sa voix dans ma tête, ses menaces et ses insultes qui étaient devenues familères. J’essayais de m’intégrer, de construire une nouvelle vie, mais les blessures du passé me tiraient en arrière.
Cependant, cette période a également été un tournant. Peu à peu, j’ai commencé à comprendre que je n’étais pas défini par mon père. Je n’étais pas ce qu’il disait que j’étais – faible, inutile, sans valeur. J’étais bien plus que cela.
Chapitre 6 : Les Cicatrices du Passé : Survivre à l’Injustice
Parler de mon passé n’est pas facile. C’est comme si j’ouvrais une plaie qui commence à peine à guérir. Mais je sais que c’est nécessaire. Pendant trop d’années, j’ai vécu avec la honte et la peur, laissant la douleur me consommer. Aujourd’hui, cependant, je choisis de revendiquer mon histoire.
La vérité est douloureuse, mais elle est aussi libératrice. Dire au monde ce qui s’est passé ne changera pas le passé, mais cela pourrait changer mon avenir. Je ne suis plus l’enfant effrayé qui se cache de l’ombre de son père. Je suis un homme qui a traversé l’enfer et en est sorti de l’autre côté.
Si mon histoire peut aider ne serait-ce qu’une personne à comprendre qu’elle n’est pas seule, alors tout cela en valait la peine.
Chapitre 7 : La vie au foyer – Une évasion douloureuse
Lorsque j’ai été placé en foyer, j’aurais dû me sentir soulagé, mais la réalité était loin de ce que j’avais espéré. Ce qui semblait être une échappatoire à l’enfer que j’avais vécu à la maison est devenu un autre cauchemar. Le foyer, censé être un lieu de protection et de soutien, s’est rapidement transformé en une autre forme de violence, de négligence et de trahison.
Les éducateurs, censés nous guider, nous protéger, étaient eux-mêmes des exemples de défaillance. J’ai été témoin de comportements que je n’aurais jamais imaginés dans un lieu censé être sécurisé. Certains d’entre eux fumaient de la drogue en notre présence, nous imposant des règles strictes tout en se comportant de manière totalement irresponsable. La confiance, si fragile dans un endroit comme celui-là, a été rapidement détruite. Ils se montraient indifférents à nos besoins, négligeant même de nous donner nos repas à temps, ou pire encore, nous privant de notre argent de poche sans explication. Nous étions des enfants, des adolescents, coincés dans un système censé nous aider, mais qui, au lieu de cela, nous laissait souffrir davantage.
La frustration et le sentiment d’injustice étaient écrasants. J’avais besoin d’argent pour acheter des vêtements, des livres, des choses qui me permettaient de m’évader de cette réalité. Mais ce besoin d’indépendance m’a poussé à prendre des décisions que je n’aurais jamais envisagées autrement. Les fugues sont devenues une échappatoire. J’étais prêt à tout pour m’éloigner de l’atmosphère oppressante du foyer. Je pensais que l’extérieur, même dans sa brutalité, offrirait plus de liberté que cet endroit.
Mais, évidemment, ces fugues n’étaient pas la solution. Parfois, j’ai dû faire des choses de plus en plus graves juste pour survivre, pour avoir l’argent dont j’avais besoin pour manger, ou pour ne pas me sentir invisible. Je me suis retrouvé à faire des conneries, à prendre des risques que je savais dangereux, tout simplement parce que je croyais que c’était le seul moyen d’obtenir ce que je voulais. La peur de manquer, de ne pas être vu, de ne pas être entendu, m’a poussé à me perdre dans des comportements qui ne me ressemblaient pas.
Mais au fond, je savais que je n’étais pas un délinquant. J’étais un jeune qui avait été abandonné, maltraité, négligé, et qui, au final, cherchait juste à exister dans un monde qui ne me donnait pas beaucoup de chances. J’étais constamment en lutte contre des systèmes qui ne me comprenaient pas, ne me soutenaient pas, et, en fin de compte, m’avaient échoué.
Mais dans tout ça, j’ai appris une chose essentielle : chaque erreur, chaque faux pas, m’a rapproché de la personne que je suis aujourd’hui. J’ai appris à me relever après chaque chute, à comprendre que, même dans mes moments de faiblesse, il y avait une force en moi qui me poussait à continuer, à ne pas me laisser engloutir par le système, à ne pas me laisser briser.
Ce fut une période difficile, remplie de doutes, de souffrances et de pertes, mais elle m’a aussi enseigné à me battre pour ce que je voulais, même quand tout semblait contre moi. Et c’est cette résilience, ce refus de me laisser définir par mes circonstances, qui m’a permis de survivre, de continuer et de me reconstruire, petit à petit, même quand l’environnement autour de moi semblait tout faire pour me détruire.
Chapitre 8: Un acte de rébellion – La violence en réponse à l’injustice
La vie au foyer était un tourbillon de violences, aussi bien physiques que psychologiques. Mais un événement particulier, un instant précis, est resté gravé dans ma mémoire comme un tournant décisif. Un moment où la colère et l’instinct ont pris le dessus sur la raison.
Une nuit, j’ai entendu des bruits venant du deuxième étage. Des bruits de lutte, des cris étouffés. J’ai immédiatement compris ce qui se passait. Une jeune fille de notre groupe, souvent isolée, était victime d’une tentative d’agression. Je n’ai pas réfléchi une seconde, la peur et l’indignation ont pris le dessus. J’ai quitté ma chambre précipitamment, courant dans les couloirs sombres, ne pensant qu’à la défendre, à empêcher l’injustice qui se préparait.
Arrivé à l’étage, j’ai vu un des veilleurs de nuit, censé être là pour nous protéger, saisir la jeune fille et tenter de l’attirer dans une pièce isolée. Sans réfléchir, comme poussé par un instinct de défense, je me suis jeté sur lui. J’ai voulu l’empêcher, j’ai voulu l’arrêter. La rage m’aveuglait, l’adrénaline me poussait à agir.
Mais la situation ne s’est pas déroulée comme je l’avais imaginée. L’homme m’a repoussé, et une bagarre a éclaté. Au lieu d’être félicité pour mon courage, j’ai été vu comme un perturbateur, un problème à gérer. Et la jeune fille, elle, n’a même pas été entendue, ni prise en charge correctement.
Aujourd’hui, quand je repense à ce moment, je réalise que, bien que mon geste ait été motivé par une volonté de protéger, j’étais un enfant perdu, en proie à la colère et à l’impuissance. Je n’avais pas les outils pour réagir autrement. Ce qui était pour moi une réaction de révolte face à l’injustice a finalement conduit à plus de problèmes qu’il n’en a résolu. Il y avait sûrement d’autres manières d’agir pour défendre cette jeune fille, d’autres moyens d’intervenir sans tomber dans la violence.
Cette expérience m’a appris une leçon dure mais nécessaire : dans certaines situations, la violence ne fait qu’aggraver les choses. La situation de la jeune fille méritait d’être traitée, mais ce n’était pas par la violence que je pouvais faire avancer les choses. C’est ce que j’ai compris après coup, même si sur le moment, je n’avais que la colère et l’envie de protéger.
Ce jour-là, j’ai pris conscience que, même si mes intentions étaient bonnes, la manière dont j’ai agi n’était pas la meilleure. Ce n’est pas en réagissant de manière impulsive qu’on parvient à réparer les injustices. Cela m’a coûté cher, mais cela m’a aussi ouvert les yeux sur l’importance de trouver des solutions plus intelligentes, plus pacifiques, même quand on est face à l’injustice.
Je ne regrette pas d’avoir voulu défendre cette fille, mais aujourd’hui, je sais que ce n’était pas la meilleure façon de faire. Ce geste, bien que motivé par un sens de la justice, était celui d’un enfant qui n’avait pas appris à maîtriser ses émotions ni à gérer de telles situations. J’ai agi sous le coup de la colère, de l’indignation, sans penser aux conséquences.
Cependant, cette expérience m’a également appris que parfois, la meilleure manière de lutter contre l’injustice, c’est de prendre du recul et d’agir de manière plus réfléchie. Je n’avais pas les ressources émotionnelles et intellectuelles à l’époque pour comprendre que la violence engendre souvent plus de souffrances. Mais aujourd’hui, je le comprends. Si j’avais su gérer ma colère autrement, peut-être que cette situation aurait été différente.
Ce jour-là, j’ai appris que, même si on lutte pour une cause juste, il est essentiel de le faire de manière mesurée et réfléchie. J’ai aussi appris que le courage ne réside pas seulement dans l’action immédiate, mais aussi dans la capacité à prendre du recul, à chercher des solutions durables et à ne pas se laisser emporter par ses émotions.
J’ai grandi après cet incident. Et même si je n’ai jamais regretté de défendre quelqu’un, j’ai compris qu’il existe toujours des moyens plus efficaces de se battre pour ce qui est juste. La violence peut sembler une réponse rapide à l’injustice, mais elle n’est jamais la solution à long terme.
Chapitre 7 : L’Abandon par l’ASE
À mes 18 ans, l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE) m’a laissé tomber, comme une vieille écorce d’arbre qu’on jette, sans regarder en arrière. On nous apprend à croire qu’il y a des gens pour nous soutenir, qu’on peut compter sur l’État, sur les éducateurs, mais quand le moment est venu de prendre soin de nous, tout change. À 18 ans, tu deviens “adulte”, et tout le système t’ignore soudainement. Il n’y a plus de soutien, plus de mains tendues. C’est à ce moment-là que j’ai compris que, dans leur vision, on n’est plus qu’un numéro, une statistique.
Je me souviens de mon éducatrice, une personne qui, pendant des années, m’avait fait croire qu’elle était là pour m’aider. Mais quand j’ai eu 18 ans, elle m’a laissé partir sans aucune réelle aide, comme si j’étais un fardeau dont elle n’avait plus à s’occuper. Le soutien dont j’avais besoin, la stabilité, les conseils, tout ça a disparu. On m’a abandonné comme si j’étais rien. Comme une merde qu’on jette une fois que l’on pense qu’on n’a plus d’utilité.
L’ASE, c’est censé être un filet de sécurité pour des jeunes comme moi, mais au final, c’est un système qui te laisse te débrouiller seul quand tu atteins un certain âge. On t’apprend à dépendre d’eux pendant des années, puis à 18 ans, tu es rejeté sans préparation, sans rien. C’est une trahison, un coup dur, et ça m’a profondément marqué.
Je me suis retrouvé à devoir naviguer seul dans un monde que je ne comprenais pas, sans l’aide dont j’avais désespérément besoin. L’ASE m’a laissé dans cette merde, et mon éducatrice n’a pas su me soutenir dans ce moment charnière. J’ai compris que, dans ce système, on n’est souvent qu’un obstacle à gérer, une “case” à cocher dans un dossier.
Chapitre 9: Le mauvais chemin – Entre tentation et rédemption
À un moment donné, après toutes les épreuves que j’avais traversées, je me suis retrouvé à un croisement où j’ai pris un mauvais chemin. C’était un moment de ma vie où je cherchais des moyens d’échapper à la douleur, à la colère, à l’injustice que j’avais vécues. L’opportunité m’a été donnée de me plonger dans un monde sombre, celui du deal de drogue et d’armes, à Montreuil et Bobigny, des endroits où la tentation était forte et où les risques étaient omniprésents.
Je suis devenu un “dealeur”, mêlé à un environnement de violence, d’illégalité et de compromission. J’étais dans une spirale de choix destructeurs, où chaque jour était une course pour gagner de l’argent, pour m’en sortir d’une manière ou d’une autre. Mais à quel prix ?
Je me suis retrouvé impliqué dans des situations de plus en plus dangereuses. J’ai vu des choses que je ne peux pas oublier : la violence entre bandes rivales, la peur qui nous habitait tous. J’ai fait des choix que je regrette profondément aujourd’hui. À l’époque, je pensais que c’était le seul moyen de m’en sortir. C’était un moyen rapide, mais pas durable. C’était une fausse solution.
Mais avec le temps, j’ai commencé à comprendre que ce que je faisais n’était pas la bonne voie. Ce n’était pas une vie. Ce n’était pas un avenir. J’ai vu des gens autour de moi se perdre, tomber dans la violence, la dépendance, ou pire. J’ai vu des amis, des proches, s’éteindre dans cette vie-là, dans ce monde de fausses promesses. Chaque jour était une lutte pour ne pas sombrer encore plus.
Je ne voulais pas finir comme eux. Je ne voulais pas que cette voie détruise tout ce qui me restait. C’est là que j’ai pris conscience de la nécessité d’un changement. Ce n’était pas facile. J’ai dû me sortir de cette vie, quitter cet environnement toxique. Mais j’ai appris à mes dépens que, parfois, il faut savoir dire stop avant qu’il ne soit trop tard.
Je me suis éloigné de ce milieu. J’ai cherché des alternatives, même si c’était difficile, même si ça semblait presque impossible. Mais petit à petit, avec de la volonté et beaucoup d’efforts, j’ai réussi à m’en sortir. J’ai compris qu’il n’y avait pas de chemin facile, que la véritable liberté venait de l’intérieur, que le vrai changement ne pouvait pas venir d’un monde extérieur fait de fausses promesses, mais de ma propre décision de quitter cet univers.
Ce parcours, aussi sombre qu’il ait été, m’a appris une leçon précieuse : il n’y a pas de raccourci vers le bonheur. Ce que je faisais à l’époque, je le regrette profondément, mais cela fait partie de mon histoire. Aujourd’hui, je sais que je peux aller de l’avant sans avoir besoin de la violence, de l’illégalité ou de la drogue. J’ai compris que, même dans les moments les plus sombres, il existe toujours un moyen de sortir de l’obscurité.
Je ne suis pas fier de ce que j’ai fait, mais je suis fier de ce que je suis devenu. Le passé ne peut pas être effacé, mais il peut être un tremplin pour grandir et se relever.
Chapitre Final : Ma renaissance
Aujourd’hui, à 20 ans, je regarde en arrière et j’ai du mal à croire combien ma vie a changé. Les années ont passé, laissant derrière la douleur, la souffrance et l’ombre d’un passé sombre. Je ne dis pas que cela a été facile – chaque pas a été une lutte, chaque jour un défi. Mais, d’une manière ou d’une autre, j’ai réussi.
J’ai appris à transformer la souffrance en leçons et la peur en motivation. Je ne me laisse plus définir par les erreurs des autres ni par les mots qui m’ont blessé. J’ai pris ma vie en main et j’ai commencé à construire quelque chose de nouveau, quelque chose de meilleur.
Aujourd’hui, je ne suis plus seul. Je suis aux côtés d’une fille que j’aime de tout cœur. Elle est mon soutien, ma joie, la preuve que, après la tempête, le soleil finit par se lever. Ensemble, nous construisons un avenir, un avenir basé sur le respect, l’amour et la sincérité – des choses qui m’ont tant manqué dans le passé.
Aujourd’hui, je sais ce que c’est que d’être heureux et ce que c’est que d’être libre. J’ai découvert que l’amour véritable ne fait pas mal, mais guérit. Et elle m’a guéri de nombreuses façons que je ne peux même pas décrire avec des mots.
En regardant vers l’avenir, je sais que lorsque je deviendrai père, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour être un père que je n’ai pas eu. J’aimerai sans condition, j’écouterai et je serai là, toujours. J’ai vu quelles erreurs détruisent une famille, et les leçons que j’ai apprises me guideront pour ne pas les répéter.
Ma vie n’est pas parfaite, mais elle est la mienne. Et maintenant, pour la première fois, je sens que je peux respirer, sourire, vivre vraiment. Je ne suis plus la victime de mon passé. Je suis un survivant, un homme qui a choisi de se relever, d’avancer et d’aimer.
Et pour tous ceux qui lisent cette histoire, je veux vous dire une seule chose : aussi difficile que cela puisse paraître, il y a de l’espoir. Même dans les moments les plus sombres, il existe une issue. Vous n’êtes pas seuls, et la vie peut vous surprendre de la plus belle des façons, si vous choisissez de ne pas abandonner.
Voici qui je suis maintenant – plus fort, plus sage et, surtout, libre.
Chapitre Final : Il est possible de s’en sortir
Aujourd’hui, je veux dire à tous ceux qui traversent des épreuves similaires, ou qui se sentent pris au piège dans un chemin sombre, qu’il est possible de s’en sortir. Peu importe à quel point la situation semble désespérée, peu importe combien de fois on tombe, il y a toujours un moyen de se relever.
J’ai vécu l’enfer. J’ai connu la violence, la souffrance, la solitude, et j’ai même pris des décisions qui m’ont éloigné de la personne que je voulais être. J’ai cru qu’il n’y avait pas d’issue. Je pensais que tout ce que je faisais, que toutes les erreurs, étaient irrémédiables. Mais aujourd’hui, je sais que ce n’était pas vrai. Si je suis ici, si je suis arrivé à un endroit plus serein dans ma vie, c’est parce que j’ai choisi de me battre. J’ai choisi de croire qu’il y avait quelque chose de mieux à l’extérieur de la souffrance, quelque chose de plus grand que la douleur que je portais en moi.
Je veux que ceux qui me lisent comprennent que même si le chemin est difficile, même s’il semble parfois que tout est contre vous, il est toujours possible de changer. Il est possible de sortir des ténèbres, de reconstruire sa vie et de se réinventer. Chaque jour est une nouvelle chance. Parfois, il faut accepter de demander de l’aide, de se faire accompagner, de se battre contre ses propres démons, mais on peut le faire.
Je suis la preuve vivante que les erreurs du passé ne définissent pas qui nous sommes. Il ne faut pas avoir honte de son passé, mais il faut avoir la volonté de se réécrire, de faire des choix différents, de se donner une nouvelle chance. C’est ce que j’ai fait. Ce n’était pas facile. Ce n’est pas un chemin linéaire, mais c’est un chemin possible. C’est un chemin qui commence avec un seul pas : celui de décider qu’il est temps de changer, de se libérer de la peur, de la douleur, des mauvaises habitudes.
Si moi, qui ai vécu tout cela, j’ai pu m’en sortir, alors vous le pouvez aussi. Ne laissez personne vous dire que c’est trop tard, que vous êtes irrécupérable, que vous ne méritez pas de réussir. La seule chose qui compte, c’est ce que vous choisissez de faire à partir de maintenant. Le passé ne peut pas être effacé, mais il ne doit pas vous emprisonner. Vous pouvez encore vous battre pour votre avenir. Vous avez cette force en vous, même si elle vous semble enfouie sous des couches de douleur.
Si vous traversez des moments sombres, je veux vous dire que vous n’êtes pas seuls. Et il y a toujours une porte qui peut s’ouvrir, une chance de vous relever, une lumière au bout du tunnel. Ne lâchez pas. Il y a toujours un moyen de s’en sortir, tant que vous choisissez de ne pas abandonner.
Aujourd’hui, je suis ici pour témoigner de cette vérité. Vous pouvez vous reconstruire, vous pouvez vous relever, et vous pouvez vivre une vie meilleure. Ne perdez jamais espoir.
#Abandon#abus#servicesociaux#Educateurs#Foyer#placement#solitude#douleur#histoire#abusfamilial#Parents#pere#france
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i want a lock on my door and all her shit out my room and i never want to speak to her again
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🤮🤔🤮👎😡🤮🤔🤮👎😡🤮🤔🤮👎😡
Il est important de savoir aussi que le Projet de Loi 50 donne des pouvoirs extraordinaires aux municipalités pour des raisons économiques, environnementales et sanitaires, par exemple la possibilité d’entrer dans un domicile sans avoir de mandat Ce projet autoritaire est fait contre la population québécoise. Ils veulent se donner le droit d'entrer dans vos demeure sans mandat!!!! 🚨🚨🚨🚨
https://t.co/BzDNY1XHuZ
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#quebec#population#projetdeloi#peuple#restriction#controle#abus#abusif#municipalité#gouvernement#economie#envoronnemental#sanitaie#domicile
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Un livre terrible sur les silences : silence d’un père incapable de dire à son fils qu’il l’aime (ni même lui montrer), silence d’un fils abusé par un prêtre, silence d’un prêtre face au père de l’enfant, silence d’une grand-mère qui se sent coupable.
Un livre aussi sur les limites du pardon et de la vengeance.
On touche à l’insoutenable. Ce n’est pas l’histoire de Grégoire Delacourt mais il a été témoin, enfant, de ce camarade qui revenait dans son lit au milieu de la nuit et qui se cachait sous sa couverture en pleurant. Et il priait pour ne pas être le suivant.
Une très belle préface éclairante qui commence comme ça : «En commençant l'écriture de ce livre, je savais que je m'attaquais à la face nord d'une montagne verglacée.
Il n'y aurait pas d'aimable mercière cette fois, pas d'amoureuse éperdue, pas plus que de petite fille qui apprendrait à pardonner à son papa de lui avoir tiré une balle de revolver dans la figure. Et surtout, pas de happy end.
Il n'y aurait que deux hommes. Un Père et un père.
Un face à face. Un règlement de mots. Une boucherie à propos du désir de l'un et de l'interdit de l'autre.
Des frayeurs d'homme, en somme.
Il y aurait mes peurs anciennes d'enfant lorsque l'ombre me couvrait de nuit et de larmes. Il y aurait mes angoisses de père, plus tard - et cette infirmité de ne jamais pouvoir protéger tout à fait ceux qu'on aime.
Il y aurait ce que notre part humaine compte de plus cannibale ou de plus désespéré.
Alors oui, lorsque, après avoir lu la brève quatrième de couverture, cette dame a reposé Mon Père sur la haute pile dressée devant moi au salon du livre de Vannes et qu'elle m'a dit « je ne le prends pas, c’est trop dur », j'ai su que j'étais parvenu au sommet de ma montagne, là où l'on est forcé de regarder en bas, regarder loin ; là où, sans avoir besoin de cligner des yeux, l'on voit tout - la cime des arbres comme les noirceurs qu'ils tentent de masquer, et dans la plaine les hommes qui fuient et au seuil des maisons les femmes qui pleurent. Ainsi, ce qui semblait être « dur » à ma visiteuse de Vannes, c'était de voir. Et donc de savoir. Voir et savoir le mal fait à nos enfants, nos faiblesses à les défendre, l'appétit des ogres. Je crois que tôt ou tard il faut montrer, il faut nommer, car l'imagination est sans fin lorsqu'elle se hasarde du côté du féroce. Je crois aussi qu'en ces temps où la pensée est réglementée et, comme aux heures sombres du monde, la parole suspectée, il est du devoir de l'art de retrouver son rôle d'empêcheur de vivre en rond, de pousser les murs, de cogner, d'évoquer « cette sinistre nouvelle de ce qu'un homme a pu faire d'un autre homme ». Il faut retrouver cette liberté essentielle qui consiste à parler de tout, à montrer tout, cette joie de donner la parole à ceux qui ne l'ont plus car leurs mots en eux sont restés enfouis, car les mots en eux ont été émiettés, et s'il arrive parfois, oh rarement, que quelques-uns parviennent enfin à leurs lèvres, ils ne sont pas cueillis, pas recueillis. »
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Einführungsangebot ABUS Thermalkameras Wärmebildkameras erfassen die natürliche Wärmestrahlung von Personen, Fahrzeugen und anderen Objekten. Dadurch ist die Überwachung noch besser. Infos und Preise : www.ucc.Solutions oder telefonisch 07741/9129210 #abus #wärmebildkamera #videoüberwachung #angebote @hgk_lauchringen https://www.instagram.com/p/CpmkwFEDqbn/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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"La raison pour laquelle mes abuseurs ne peuvent plus me faire de mal, ce n'est pas parce que je leur ai finalement prouvé que je mérite d'être bien traitée, mais parce qu'ils ne savent pas comment me contacter. S'enfuir, c'est gagner."
The reason abusers can’t hurt me anymore is not because I finally proved to them that I am worthy of being treated well, it’s because they don’t know where I live or how to contact me. Getting away is winning.
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Khóa móc treo ABUS: Vệ sĩ thầm lặng cho ngôi nhà của bạn
Bạn đã bao giờ lo lắng về sự an toàn của gia đình và tài sản quý giá của mình chưa? Trong một thế giới đầy rẫy những bất trắc, việc bảo vệ ngôi nhà và những người thân yêu luôn là ưu tiên hàng đầu. Và một trong những biện pháp đơn giản nhưng hiệu quả nhất chính là lựa chọn một hệ thống khóa cửa đáng tin cậy. Trong số đó, khóa móc treo, hay còn gọi là khóa bấm, nổi lên như một giải pháp an ninh vừa túi tiền lại vừa đảm bảo an toàn. Và khi nhắc đến khóa móc treo, không thể không nhắc đến thương hiệu ABUS - một tên tuổi uy tín với chất lượng đã được khẳng định.
ABUS, với bề dày lịch sử và kinh nghiệm trong lĩnh vực an ninh, luôn đặt chất lượng và sự an toàn của người dùng lên hàng đầu. Mỗi sản phẩm khóa móc treo ABUS đều được chế tạo tỉ mỉ từ những vật liệu cao cấp, chống chịu được mọi điều kiện thời tiết khắc nghiệt, đảm bảo độ bền bỉ theo thời gian. Không chỉ vậy, công nghệ tiên tiến được ứng dụng trong từng chi tiết của khóa móc treo ABUS giúp ngăn chặn hiệu quả mọi hành vi cạy phá, cắt khóa tinh vi.
Thiết kế của khóa móc treo ABUS cũng là một điểm cộng đáng kể. Với kiểu dáng nhỏ gọn, hiện đại và đa dạng về mẫu mã, bạn có thể dễ dàng lựa chọn được một chiếc khóa móc treo ABUS phù hợp với phong cách của ngôi nhà mình. Dù là cổng chính, cửa phụ, cửa sổ hay thậm chí là kho chứa đồ, khóa móc treo ABUS đều có thể đáp ứng mọi nhu cầu bảo vệ của bạn.
Vậy tại sao khóa móc treo ABUS lại là sự lựa chọn hoàn hảo cho ngôi nhà của bạn?
An toàn tuyệt đối: Với cấu tạo chắc chắn và công nghệ chống cắt tiên tiến, khóa móc treo ABUS sẽ là bức tường thành vững chắc bảo vệ ngôi nhà bạn khỏi những kẻ xâm nhập.
Giá cả hợp lý: So với các loại khóa cửa cao cấp khác, khóa móc treo ABUS có mức giá phải chăng, phù hợp với túi tiền của mọi gia đình.
Dễ dàng sử dụng: Việc lắp đặt và sử dụng khóa móc treo ABUS vô cùng đơn giản, không đòi hỏi kỹ thuật phức tạp.
Độ bền cao: Được chế tạo từ vật liệu chất lượng cao, khóa móc treo ABUS có khả năng chống chịu mọi điều kiện thời tiết, đảm bảo hoạt động ổn định trong thời gian dài.
Thiết kế đa dạng: Với nhiều mẫu mã và kích thước khác nhau, bạn có thể dễ dàng tìm thấy một chiếc khóa móc treo ABUS phù hợp với nhu cầu và sở thích của mình.
Đừng để sự an toàn của gia đình và tài sản của bạn bị đe dọa. Hãy đầu tư ngay hôm nay cho một chiếc khóa móc treo ABUS - vệ sĩ thầm lặng, luôn bảo vệ ngôi nhà của bạn 24/7.
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Comment reconnaître rapidement un manipulateur ?
Votre bien-être et votre santé mentale sont importants pour vous? Si oui, il est donc essentiel de savoir identifier les comportements toxiques des "manipulateurs'' autour de vous. Agissez avant que les choses ne soient totalement hors de contrôle!
Dans les relations humaines, il est essentiel de savoir identifier les comportements toxiques pour préserver votre bien-être émotionnel et votre santé mentale. Un manipulateur utilise des tactiques subtiles et pernicieuses pour exercer un contrôle et influencer les autres à son avantage. Il est important d’agir avant que les choses ne soient totalement hors de notre contrôle. Comment reconnaître…
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Antivol Abus Yardo Fingerprint 7807F, à empreinte digitale
On ne prendra pas cet antivol pour une balade entre amis, certes. Mais pour protéger sa monture du vol, l’Abus Yardo Fingerprint 7807F avec son verrouillage par empreintes digitales a des atouts. Idéal surtout si le vélo est partagé. L’antivol de vélo Abus Yardo 7807F dispose d’une chaîne dont les maillons font 7mm. Mais ce qui fait son originalité c’est qu’il utilise les empreintes digitales…
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Un autre exemple de contrôle de la Coalition Anti-Québécoise (CAQ) La loi 50 de Bonnardel qui est là pour faire potentiellement le même genre d'abus qui s'est passé pendant la plandémie. (masque, confinement, fermeture... pour en donner quelques exemples) Le Canada et le Québec ont été abusé par des mesures non nécessaires des gouvernements qui utlilisaient les médias pour créer la peur dans la population afin que celle-ci accepte l'innacceptable. La loi 50 est un autre exemple d'abus qu'ils veulent faire avaler au Québecois et Québécoise. Assez c'est assez! Disons NON à ce projet de loi.
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Casco EKOÏ AR 13 AZUL: Mi opinión personal
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