#Aéroport International des Amériques
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Une Haïtienne détenue illégalement et agressée alors qu’elle tentait de quitter la République Dominicaine
Une ressortissante haïtienne en République Dominicaine a rapporté qu’elle a été détenue illégalement et agressée sexuellement alors qu’elle s’apprêtait à quitter le territoire voisin en destination du Nicaragua. C’est ce qu’a révélé N Digital, un média dominicain. Nombreux sont les Haïtiens qui fuient la RD depuis le commencement du conflit diplomatique entre les deux pays qui partagent l’île à…
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#Aéroport International des Amériques#Agression sexuelle#AILA#Crise haitiano dominicaine#Direction Générale de l&039;Immigration#Discrimination#Dominicain#Droit humains#Haiti#Nicaragua#Presslakay#Raciste#Reporters Sans Frontières#republique dominicaine#Rivière massacre#RSF#Stephy Graph
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Reykjavik - Iceland
L’Islande fait partie politiquement de l'Europe, et non de l'Amérique. Géographiquement, elle se situe en effet à cheval sur le rift de séparation des deux continents, la plus grande partie de son territoire se situant du côté européen du rift.
Culturellement et historiquement, sa population est d'origine européenne et non amérindienne ou inuit. L’Islande possède la plus faible densité de population d'Europe avec 3,4 hab./km 2. La répartition de la population de l'île est très inégale. La majorité des villes et villages est située sur la côte car les terres intérieures, ou « Hautes Terres d'Islande », sont constituées principalement de déserts inhabitables. La principale ville du pays est Reykjavik, la capitale, qui concentre près de la moitié de la population islandaise, et même les deux tiers si on inclut l'agglomération dont elle est le centre. La partie orientale de l'île ne compte que 12 000 habitants, qui dépendent en grande partie de la pêche. Les principales villes du pays en dehors de l'agglomération de Reykjavik sont Akureyri, un port important du nord de l'île, et Keflavík, le lieu d'implantation de l'aéroport international.
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La Colombie rouvre. La demande de voyages aériens se matérialisera-t-elle?
L'aviation commerciale en Colombie a été fermée depuis mars 2020, lorsque de nombreux pays d'Amérique latine ont choisi de cesser les vols commerciaux pour empêcher la propagation du COVID-19. Mais la région reste un point chaud pour le COVID-19: le Brésil, le Pérou, le Mexique et la Colombie figurent parmi les dix premiers pays avec le plus grand nombre d'épidémies. Le nombre de cas confirmés en Colombie dépasse désormais largement les 500 000. Au cours des dernières semaines, l'industrie a poussé la Colombie et d'autres pays de la région à reprendre les vols commerciaux. L'IATA a noté que les bus terrestres peuvent circuler en Colombie, «donc l'aviation doit avoir cette option». L’IATA a récemment déclaré qu’elle se félicitait de l’annonce du président colombien Iván Duque Márquez selon laquelle 15 des aéroports du pays rouvriraient en septembre 2020, y compris la principale porte d’entrée du pays, Bogotá International. «Bien qu'il s'agisse de la première étape vers une réouverture totale, nous appelons le gouvernement à maintenir les canaux de communication ouverts avec l'industrie qui nous permettront de lancer le processus de réactivation des vols internationaux», a déclaré Peter Cerdá, vice-président régional de l'IATA. pour les Amériques. L'IATA a déclaré que l'industrie avait démontré que toutes les garanties existaient pour redémarrer l'industrie grâce au transport de 70000 passagers qui avaient voyagé au cours des cinq derniers mois sur des vols humanitaires et sur la première route d'essai entre Bucaramanga et Cúcuta, qui comprenait 1000 passagers. "Il reste encore plusieurs problèmes à résoudre prochainement, cependant, l'aviation va à nouveau décoller en Colombie. Cela permettra à notre industrie de devenir l'un des piliers de la reprise économique du pays après la pandémie", a déclaré M. Cerdá . Le gouvernement colombien semble adopter une approche prudente en ce qui concerne la réouverture de l'aviation commerciale. El Tiempo a cité le président colombien Iván Duque Márquez, qui a déclaré: «tout au long de septembre 2020, nous observerons le comportement de la pandémie, comment sont les mesures de prévention, comment les protocoles de prévention se développent».
Les compagnies aériennes colombiennes s'apprêtent à redémarrer leurs vols intérieurs et internationaux
Les données de la CAPA et du BVG montrent que les sièges à l'aéroport international de Bogotá El Dorado se déplaceront solidement du bas à partir de septembre 2020, alors que la Colombie commencera à reprendre le service aérien. Les deux plus grandes compagnies aériennes colombiennes - Avianca et LATAM Airlines Colombia - sont actuellement en train de se restructurer dans le cadre du processus de mise en faillite du chapitre 11. LATAM a déclaré qu'elle prévoyait de reprendre ses vols le 1er septembre 2020, et OAG montre que la compagnie aérienne reprend les vols de Bogotá à Barranquilla, Bucaramanga, Cali, Carthagène et Medellín. Tout au long du mois de septembre-2020, LATAM ajoutera des fréquences sur ces routes. Le troisième opérateur du pays, LCC Viva Air Colombia, salue la relance des vols. Le PDG de Viva Air Group, Felix Antelo, a récemment déclaré sur son compte LinkedIn que Viva Air Colombia redémarrerait ses opérations le 1er septembre 2020, notant: «L'heure de voler en Colombie est enfin arrivée.» La publication sœur de CAPA, Routes Online, a rapporté qu'en plus de la reprise des vols intérieurs, Viva Air Colombia ajoutait des vols internationaux de Bogota à Lima, et de Medellín à Lima et Miami. En septembre 2020, Avianca ajoute également un service de retour depuis son plus grand hub de Bogotá et, selon les horaires de l'OAG, prévoit également d'opérer des vols internationaux de Bogotá à Punta Cana, Quito, Mexico, Miami, New York JFK, Panama City Tocumen , Aruba, Cancún, São Paulo, Guayaquil et Madrid.
Les tendances de la demande seront surveillées de près lorsque les pays latins commenceront à reprendre leurs vols
Le nombre de passagers en Colombie augmentait à un rythme régulier avant la pandémie. Les données du gouvernement colombien montrent que le pays a enregistré une croissance du nombre de passagers d'environ 7% en 2019, à 45 millions de passagers. Cependant, pour les six premiers mois de 2020, seuls 10 millions de passagers ont voyagé par avion. Il faudra un certain temps pour que la demande en Colombie rebondisse. Reuters a récemment rapporté que l'agence de notation de crédit Fitch s'attend à ce que l'économie colombienne se contracte de 7% en 2020 et que le pays pourrait perdre sa note d'investissement. Fitch prévoit une croissance économique de 5% en Colombie en 2021. Petite astuce - Ne manquez pas billet pas cher pour des billets d'avion bon marché. L’un des facteurs de la solide croissance du nombre de passagers en Colombie au cours des dernières années est une classe moyenne en expansion qui a bénéficié de revenus plus discrétionnaires pour les voyages aériens. La classe moyenne du pays pourrait prendre un certain temps pour reconstituer ses coffres respectifs. De plus, comme c'est le cas dans d'autres régions du monde, l'industrie aéronautique colombienne doit communiquer avec force les mesures qu'elle prend, pour rassurer les passagers et atténuer toute anxiété que les clients pourraient avoir concernant les voyages aériens. Les compagnies aériennes colombiennes savent qu'un long chemin leur reste à parcourir pour rétablir la demande de voyages aériens
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Mai 2019 - Comment l'IA transforme les RH - 🙋🏼♂️ Ma rencontre avec Cécile Dejoux et Isabelle Gally du CNAM clôturait leur "Learning Expedition" en Amérique du nord. ✈️ De Boston à Montréal, elles analysaient les nouveaux usages et les impacts de l'IA en RH et sur le management. Quoi de mieux que de visiter Montréal pour parler IA ? Le Deep-Learning est presque né ici. Nous nous sommes donc retrouvés à l'aéroport de Montréal, quelques heures avant leur vol retour pour Paris. Cela sentait déjà l'été et les vacances. 🔊 Écoutez mon échange avec Cécile sur YouTube: Les Jeudis de Cécile #26. Comme je le souligne depuis 2015, l'IA est pervasive. Elle s'infiltre partout ou la donnée structurée et non structurée reste sous-exploitée par l'Homme, par manque de ressources cognitives. Je donne lors de notre échange quelques exemples d'utilisation de l'IA en paie, en gestion des temps, en staffing, en recrutement ou encore en apprentissage. 🔊 Je vous invite aussi à écouter Cecile Dejoux sur sa chaine YouTube "Les jeudis de Cécile - Manager à l'ère du Numérique et de l'IA". Elle y fait le décryptage hebdomadaire d’innovations managériales racontées par des dirigeants et DRH. ▶️ Abonnez-vous aussi à ses deux MOOCs: «Du manager au leader : devenir agile et collaboratif » et « L’intelligence artificielle pour les managers et leurs équipes » Merci à Mathieu Barrault pour cette mise en relation. May 2019 - How AI transforms HR - 🙋🏼♂️ My meeting with Cécile Dejoux and Isabelle Gally from CNAM closed their "Learning Expedition" in North America. ✈️ From Boston to Montreal, they analyzed new uses and the impact of AI in HR and on management. What could be better than visiting Montreal to talk about AI? Deep-Learning was almost born here. So we ended up at Montreal airport, a few hours before their return flight to Paris. It already looked like summer and holidays. 🔊 Listen to my exchange with Cécile on YouTube: Les Jeudis de Cécile # 26. #HRTechMTL #HRTech #TransformationNumRH #TransfoNumRH #DigitalTransfo #IA #IntelligenceArtificielle #DataAnalytics #TotalTalentLeadership #IVADO (at YUL Aéroport International Montréal-Trudeau) https://www.instagram.com/p/B6tKLZXla1k/?igshid=1phw1tsf3xmp1
#26#hrtechmtl#hrtech#transformationnumrh#transfonumrh#digitaltransfo#ia#intelligenceartificielle#dataanalytics#totaltalentleadership#ivado
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KIRGHIZISTAN
Lundi 10.04
Arrivée à l’aéroport de Bishkek, Manas International Airport. Il est 5h heure locale, 2h du matin à Istanbul que nous avons quitté il y a quelques heures. Autant dire que nous n’avons pas vraiment les yeux en face de trous. Vers 7h le service des minibus commence, nous nous dirigeons vers le n°380 “Osh Bazaar” (ou “ош базаар“ en russe, c’est-à-dire ce que vous verrez effectivement écrit sur la pancarte du minibus). Nous devons rejoindre le centre-ville, à une trentaine de kilomètres plus au sud de l’aéroport. Les chauffeurs de taxi nous proposent leurs services en pagaille. Nous leur disons que nous allons prendre le bus ; “nooo but there is no bus !! No bus ! Take à taxi i’ll make you a good price !”. Nous lui montrons en souriant du doigt le minibus en question, que nous avons repéré avant de sortir du hall de l’aéroport. Ils nous sourient en retour. Quelques minutes plus tard le véhicule d’une quinzaine de places assises démarre. Ici ça semble fonctionner comme en Amérique Latine : pas d’horaires spécifiques, les chauffeurs attendent d’être complets avant de partir.
Arrivés à un carrefour où de nombreux bus passent, nous prenons un autre minibus pour aller jusqu’à notre hôtel. Nous nous étonnons devant le peu de mots échangés entre le chauffeur et les clients malgré l’espace confiné. Les gens montent sans dire un mot, descendent avec un "spaciba" (“merci” en russe). Pas d'arrêts spécialement prévus à l'avance, il vaut mieux avoir un GPS fonctionnant hors-ligne pour suivre son trajet au fur et à mesure. Et une fois l’arrêt demandé, descendre sans trop discuter (!) Pour ma part, petite erreur de débutante : pas sûre du prix du trajet, j’essaie de demander au chauffeur si je lui ai bien payé ce qu’il fallait. Au moment de descendre. Erreur fatale. Il me hurle littéralement dessus, me faisant signe de descendre, vite. A peine sur le trottoir il redémarre en trombe. Nous on est un peu sonné mais on éclate de rire. Tout est nouveau pour nous, la monnaie, la langue, l’alphabet cyrillique… Pour trouver l'hôtel pareil, mieux vaut avoir le GPS : les noms de rue ne sont pas indiqués, pas plus que l'hôtel. Nous avons réservé notre première nuit à 6 kms du centre-ville dans un quartier populaire, d’où une infrastructure moins bien organisée. Il nous reste à croiser les doigts au moment de sonner pour ne pas s'être trompés de maison !
La chambre n’est pas prête car nous sommes arrivés tôt. Pas de problème ! En deux temps trois mouvements, le propriétaire nous improvise un lit dans le salon, avec draps et oreillers, un vrai luxe après la nuit dans l'avion+aéroport !
Le prix de la chambre est plus que raisonnabe : 12€ pour 2, chambre privée, grand lit, SDB et toilettes partagés.
Repas du midi et du soir pris dans un petit restaurant au bout de la rue (pas facile de savoir que ça en est un avant de rentrer dedans : il faut soit oser entrer, soit demander à quelqu'un avant !). Cuisine maison, très bonne et bon marché. L'endroit fait aussi office de petite épicerie.
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Ce que vous devez savoir avant de voyager aux États-Unis
billet d avion pas cher États-Unis d'Amérique sont l'une des destinations de voyage les plus populaires au monde, même parmi les Américains; la majorité de la population américaine ne possède même pas de passeport, et l'aéroport LAX (Californie), l'aéroport JFK (New York) et l'aéroport MCO (Floride) figurent souvent en tête de liste des aéroports les plus populaires pour les voyages intérieurs. Mais, que vous soyez un voyageur international ou national, il existe quelques règles aux États-Unis qui déconcertent même les voyageurs les plus avertis. Soyez au courant avant de voyager grâce à nos meilleurs conseils.
Assurez-vous que votre passeport est valide
La plupart des voyageurs se rendant aux États-Unis devront avoir au moins 6 mois de validité sur leur passeport. Cependant, les citoyens de certains pays n'ont besoin que d'un passeport valable pour la durée de leur séjour. Consultez le site Web du gouvernement de votre pays de résidence pour voir quelles règles s'appliquent à vous.
Connaissez votre situation de visa
Il est important que les voyageurs qui se rendent aux États-Unis comprennent les conditions d’entrée dans le pays. Le programme d'exemption de visa (VWP) permet aux ressortissants de certains pays d'entrer aux États-Unis à des fins de tourisme ou de visite pendant jusqu'à 90 jours sans visa. Si vous pouvez entrer dans le pays dans le cadre du VWP, vous devez demander une autorisation avant de voyager via le système électronique d'autorisation de voyage (ESTA). Les conditions requises pour voyager dans le cadre du VWP incluent la possession d'un passeport électronique, la citoyenneté d'un pays membre, la possession de l'autorisation ESTA, la visite pour affaires, le plaisir ou le transit et un séjour aux États-Unis pendant 90 jours au maximum. Vous devez avoir obtenu l'autorisation de voyager au moins 72 heures avant votre vol (vous ne pourrez pas embarquer sur votre vol autrement), et après cela, votre ESTA est valable deux ans. Pour en savoir plus sur les pays membres et pour une liste complète des exigences ESTA, consultez le site Web ESTA des douanes et de la protection des frontières des États-Unis. L'ESTA coûte 14 $ US par demande, qui peut être faite et payée en ligne. Il est à noter que vous devez utiliser une carte de crédit pour payer. Si vous n'êtes pas admissible au VWP - pour des raisons telles que votre voyage de plus de 90 jours, vos études, être citoyen d'un pays non membre, par exemple - vous devrez alors demander un visa pour visiter le NOUS. Le pourboire est un champ de mines notoire pour les voyageurs qui se rendent aux États-Unis, l’ancien «est-ce que je, pas moi, est-ce déjà inclus?»
Achetez une serrure approuvée par la TSA
C’est une excellente idée de verrouiller vos bagages pendant que vous voyagez. Quelle meilleure façon d’avoir la tranquillité d’esprit que vos effets personnels sont en sécurité une fois que vous les avez envoyés à l’enregistrement? Mais lorsque vous voyagez aux États-Unis, la Transportation Security Administration (TSA) applique des directives strictes en matière de bagages pour la sûreté et la sécurité. Tous les bagages enregistrés sont contrôlés, et si les inspecteurs de la TSA estiment qu'un sac doit être inspecté physiquement, ils sont autorisés à casser une serrure et à ouvrir un sac. Une note sera placée à l'intérieur de vos bagages pour vous informer de ce qui s'est passé. Pour éviter de perdre un verrou, il est préférable d’en utiliser un approuvé par la TSA. Ceux-ci peuvent être ouverts avec une clé principale, ce qui signifie que le responsable de la TSA n'a pas besoin de casser la vôtre.
Connaître les règles billet d avion en commun
Si vous avez un vol international qui transite par les États-Unis (particulièrement courant avec les vols vers le Canada ou l'Amérique du Sud), vous devrez passer les douanes américaines; techniquement, il n’existe pas de «transit» en Amérique, car tous les passagers sont tenus de débarquer et de passer par l’immigration et les douanes. N'oubliez pas que cela signifie remplir les conditions de visa pour les États-Unis, même si vous ne restez que quelques heures entre les vols internationaux et que vos bagages sont enregistrés jusqu'à votre destination finale. Même si vous êtes en correspondance avec un vol intérieur américain, il est important de se rappeler que votre premier port d’entrée sera celui où vous passez les douanes et l’immigration. Dans cet esprit, vous devez prévoir au moins deux à trois heures d'escale entre les vols (qu'ils soient internationaux ou nationaux) pour permettre l'immigration, les douanes et le contrôle des bagages. Essayez de réserver des vols auprès d'une seule compagnie aérienne pour vous assurer qu'elle sait que vous êtes en transit.
Réservez votre transfert aéroport
Que vous soyez un voyageur national ou international aux États-Unis, un transfert est un excellent moyen de vous rendre de l'aéroport à votre destination. En arrivant aux États-Unis, il ne faut pas longtemps pour remarquer que c'est un pays dépendant de la voiture; 95% des ménages américains possèdent une voiture. Les infrastructures de transport public sont souvent limitées et les routes peuvent être très fréquentées, difficiles à naviguer et assez intimidantes pour un visiteur, ce qui signifie que le moyen le plus simple de se rendre là où vous devez être lorsque vous atterrissez aux États-Unis est le transfert aéroport. Laissez-nous vous aider avec cette partie - comparez et réservez vos transferts ici.
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Partir en Amérique du Nord en low cost
Un vol aller retour Paris- New York au prix d'un billet de train Marseille - Paris ? C'est possible ! Les compagnies low cost, toujours plus nombreuses sur les liaisons transatlantiques, proposent des tarifs imbattables, moyennant quelques concessions sur les services proposés habituellement dans les compagnies traditionnelles. Comment savoir si le jeu en vaut la chandelle ? On vous explique tout.
Compagnies low cost VS compagnies traditionnelles
Evidemment, la première chose qui différencie les compagnies low cost des compagnies traditionnelles, c'est le prix des vols. Et pas qu'un peu d'ailleurs. Depuis quelques temps, le développement du low cost sur les vols longs courriers donnent du fil à retordre aux compagnies telles que Delta Airlines, Air France ou Air Canada, en cassant littéralement les prix. Leur succès est tel que le choix des destinations et des compagnies ne cesse de s'élargir d'année en année. Les infos qu'on va vous donner devrons, de ce fait, être certainement actualisées dans les prochains mois.
Avantage ?
Le low cost rend abordable des voyages qui auraient été inaccessibles pour certains voyageurs il y a quelques années. Un vol aller retour France - USA à moins de 200 euros, soit le prix d'un TGV plein tarif Lyon -Paris, ça tenait du délire il y a peu, et pourtant, c'est possible aujourd'hui.
Idéal pour aller dans des aéroports plus petits et moins fréquentés. On passe moins de temps à la frontière et on peut éviter les grandes métropoles si ça n'est pas l'objectif du voyage.
Les avions sont très récents. Même si le confort n'est pas le même que dans les compagnies traditionnelles, il n'est pas sacrifié pour autant.
Inconvénient ?
A ce prix là, ne vous attendez pas à bénéficier des services traditionnellement inclus dans votre billet d'avion. Et oui, casser le prix d'un billet d'avion ne se fait pas sans concessions. Attendez-vous par exemple, à payer votre repas, l'enregistrement de vos bagages, ou à faire une croix sur les films gratuits proposés habituellement pour vous distraire pendant le vol.
Privilégiez donc le low cost si vous comptez voyager léger: l'enregistrement de vos bagages et le paiement de la nourriture peut vous coûter jusqu'à 50% du billet au final... consultez toujours les sites de ces compagnies pour connaître les prestations tarifées en supplément.
Dans ce climat hautement concurrentiel, les compagnies traditionnelles font tout pour défendre leur part de marché, là où les compagnies low cost, toujours plus nombreuses, cherchent à se tailler une part du lion. Du coup, c'est le consommateur qui en profite !
Si vous ne cherchez pas forcément à atterrir à proximité directe d'une grande métropole, ça peut être pratique. Ces compagnies low cost sont traditionnellement implantées dans les aéroports secondaires.
A titre personnel, je trouve que l'aéroport International de Newark dans le New Jersey, est pratique pour aller à New York, tant en vol low cost qu'en vol classique.
Quelle type de compagnie choisir ?
Tout va dépendre de ce que vous attendez de votre voyage: Si vous n'imaginez pas emmener votre casse croûte avec vous, ou si vous êtes un adepte des films gratuits ou des voyages en Classe Affaires, le low cost ne vous conviendra certainement pas.
Si vous avez déjà expérimenté ce type de compagnie sur des vols moyens courriers, vous saurez que ne pas s'occuper, ou manger pendant 2h00 c'est tenable, certes. Mais un vol transatlantique, c'est 7h00 minimum. Considérez lors de votre choix de billet que vous aurez nécessairement besoin de vous hydrater et de manger, et donc, de payer pour cela. (Vous ne passerez pas les portiques de sécurité avec de la nourriture ou des boissons... surtout pas sur les vols en direction des USA !! Donc vous devrez acheter votre sandwich dans tous les cas.)
Le low cost n'est pas disponible sur toutes les destinations, et sur tous les horaires. En effet, tous les aéroports ne disposent pas (encore) de vols transatlantique low cost. Il n'est donc pas toujours possible d'en bénéficier. De même, les horaires et dates de départ sont limitées. Il est parfois impossible de réserver un vol sur ces compagnies pour une simple question de timing.
Les aéroports desservis par les compagnies low cost
Au départ, le low cost n'était proposé que dans les aéroports secondaires, ce qui ne facilitait pas toujours le transfert en direction du lieu de vacances. Depuis quelques années cependant, on voit les compagnies s'implanter peu à peu sur de grands aéroports.
Du coup, quand vous étudiez les offres d'une compagnie low cost, je vous recommande de prendre également le temps de regarder sur google map (par exemple), où vous aller atterrir.
Partir d'Europe en low cost ? comparez et faites votre marché !
Voici les compagnies actuellement les moins chères en partance d'Europe vers l'Amérique du Nord:
Les pionnières du low cost: les plus connues des expatriés
Ces deux compagnies sont tellement connues que vous aurez à réserver votre billet 4 à 6 mois à l'avance pour être sûr d'avoir votre billet. Pour ma part, j'ai raté une réservation à 360 euros.. faute de place, que j'ai trouvé à 850 euros dans les meilleurs tarifs en vol traditionnel ...
Les dernières arrivées qui font du bruit...
Wow Air fait systématiquement une escale en Islande, ce qui incite les passagers à faire une halte. Pourquoi pas ? Primera Air et Level ouvrent de nouvelles ligne en 2018.
En résumé: Voyager sur un vol low cost est intéressant si:
Une fois les prestations payantes complémentaires ajoutées à votre billet, le coût TOTAL du vol est nettement inférieur à ce qui est proposé dans les compagnies classiques. Considérez également dans ce calcul les frais de transfert, et les frais éventuels de parking. Notamment si l'aéroport low cost est plus loin de votre destination finale que ce qui était prévu.
Si vous acceptez de payer pour bénéficier de prestations proposées gratuitement dans les compagnies classiques
Si vous êtes un adepte du voyage en classe économique
Si vous pouvez réserver votre voyage à l'avance
En savoir plus sur les sites de réservations de vols
Pour creuser sur les sites américains ..
Les compagnies ultra low cost au départ du Québec
Air Transat, la compagnie canadienne qui concurrence Air Canada
Jet Blue Airways, la compagnie américaine à bas prix
Les 14 compagnies ultra low cost les moins chères en Amérique
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Le succès des low costs
Une compagnie aérienne à bas prix est un transporteur qui offre des tarifs généralement bas en échange de la réduction de nombreux services de transport de passagers traditionnellement offerts, sans compromettre la sécurité des voyageurs. Les caractéristiques générales des compagnies aériennes à bas prix sont: Voler vers des aéroports secondaires moins chers et moins encombrés et voler tôt le matin ou tard dans la soirée pour profiter des frais d'atterrissage moins élevés; des vols courts et des délais rapides, permettant une utilisation maximale de l'avion; la vente directe de billets, notamment sur Internet, en évitant les frais et les commissions versés aux agents de voyages et aux systèmes de réservation; éliminé la restauration en vol et d'autres services gratuits, remplacés par de la nourriture et des boissons en vol payantes facultatives. Depuis le début des années 1990, un certain nombre de ces compagnies aériennes ont vu le jour partout en Amérique du Nord en tant qu'alternative aux principaux transporteurs établis depuis longtemps. Les compagnies aériennes low-cost / charter les plus populaires opérant aux États-Unis et au Canada sont: ALLEGIANT Desservant des vols nationaux à destination de Las Vegas, desservant des bases importantes à l'aéroport international d'Orlando Sanford et à l'aéroport international de St. Petersburg-Clearwater ATA AIRLINES Une compagnie aérienne à bas prix basée à Indianapolis, en Indiana, qui exploite des vols passagers réguliers à travers le continent américain et Hawaii, ainsi que des vols charters commerciaux dans le monde entier. AIRTRAN AIRWAYS Basée à Orlando, en Floride, AirTran exploite plus de 700 vols quotidiens dans l'est des États-Unis et dans le Midwest, y compris plus de 200 départs quotidiens depuis Atlanta. AMÉRIQUE WEST AIRLINES Il s'agit de la deuxième plus grande compagnie aérienne à bas prix aux États-Unis, desservant une centaine de destinations aux États-Unis, au Canada et au Mexique. Les hubs principaux sont Phoenix, Arizona et Las Vegas, Nevada FRONTIER AIRLINES Basé à l'aéroport international de Denver à Denver, Colorado, le transporteur exploite des vols à travers les États-Unis, le Mexique et le Canada. Ses principales destinations américaines sont à l'ouest du fleuve Mississippi. JETBLUE AIRWAYS C'est l'une des principales compagnies aériennes américaines à bas prix desservant les États-Unis (New York-JFK, Long Beach, Oakland, Boston, Orlando, Fort Lauderdale, Washington-Dulles), ainsi que des vols vers les Caraïbes, les Bahamas et les Bermudes. et Mexique. SOUTHWEST AIRLINES La plus grande compagnie aérienne à bas prix d'Amérique, ayant notamment de grandes opérations à l'aéroport international de Baltimore-Washington, l'aéroport Midway de Chicago, l'aéroport Hobby de Houston, l'aéroport McCarran de Las Vegas, l'aéroport Sky Harbor de Phoenix, Nashville, Oakland et San Diego. SPIRIT AIRLINES Servir des vols à l'échelle nationale, ainsi que des destinations dans les Caraïbes, les Bahamas et le Mexique. SUN COUNTRY AIRLINES Utilise l'aéroport international de Minneapolis-Saint Paul comme hub principal et opère des vols vers des destinations aux États-Unis, au Mexique et dans les Caraïbes. Je vous laisse le lien vers le site spécialiste de ce de pilotage en avion à Calais.
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Etats-Unis : les enjeux du premier discours de Trump sur l'état de l'Union
Sous la menace de l’enquête sur l’ingérence russe, le président américain va vanter les succès de sa première année à la Maison Blanche et chercher un soutien pour ses grands projets de l’année.
« Construire une Amérique sûre, forte et fière. » Pour son premier discours sur l’état de l’Union, mardi 30 janvier, Donald Trump va revenir sur ses thèmes favoris. A l’heure où sa majorité au Congrès se réduit, la question de sa capacité à tourner la page d’une première année chaotique à la Maison Blanche et de s’adresser à tous les Américains reste plus que jamais posée. Réponse, mardi à partir de 21 heures (3 heures à Paris). Pour Simon Grivet, historien des Etats-Unis à l’université de Lille, une chose est certaine, « le discours du président sera très conventionnel : il va lire son prompteur ».
Lire l’éditorial du « Monde » : Donald Trump doit être jugé pour ce qu’il fait autant que pour ce qu’il est
Tourner la page de l’année 2017
Après une séquence internationale au Forum de Davos, le président américain retrouve Washington, quelques jours après la fin du blocage sur le budget national (shutdown), à un moment où républicains et démocrates cherchent toujours un consensus autour d’une de ses promesses de campagne : la question des migrants.
Côté pile, ce discours sera l’occasion de vanter le bilan de sa première année, marquée par le vote de sa réforme fiscale, les bons chiffres de croissance et de l’euphorie de Wall Street.
Côté face, sa présidence est menacée par l’enquête du procureur spécial, Robert Mueller, sur les interférences russes pendant la présidentielle de 2016 ; par sa cote de popularité à 39 %, selon le sondage NBC-WSJ du 19 janvier (loin derrière celle de ses prédécesseurs à la même époque (Barack Obama 50 %, George W. Bush 82 %, Bill Clinton 60 %) ; et par la perspective des élections de mi-mandat, en novembre, qui s’annoncent compliquées et risquent de voir la Chambre basculer dans le camp démocrate.
Lire aussi : Tout comprendre à l’affaire Trump-Russie
Présenter l’agenda de l’année 2018
Le New York Times rappelle que le discours de l’état de l’Union consiste avant tout à présenter une liste de succès, établie en collaboration avec les responsables des différentes agences gouvernementales.
Selon le Washington Post, Donald Trump devrait mettre l’accent sur l’immigration et les questions de sécurité, détailler ses intentions concernant la renégociation des accords commerciaux internationaux et son plan à 1 000 milliards de dollars concernant la réfection des infrastructures américaines (autoroutes, ponts, aéroports, etc.).
Le site Axios relève que, pour ce genre de grands discours, le président est capable de s’en tenir au script. Une chose est certaine : aussi transgressif soit-il, il s’inscrira dans une tradition qui remonte au 8 janvier 1790, lorsque George Washington prononça le premier discours sur l’état de l’Union.
Lire notre compte-rendu de tchat : « Après un an de mandat, la base électorale de Donald Trump reste mobilisée »
Un rendez-vous prévu par la Constitution
Ce discours sur l’état de l’Union est inscrit dans la Constitution des Etats-Unis. L’article II, section 3, clause 1 prévoit que :
« Le président informera le Congrès, de temps à autre, de l’état de l’Union, et recommandera à son attention telles mesures qu’il estimera nécessaires et expédientes. »
Entre 1790 et 1800, les présidents George Washington puis John Adams se sont présentés douze fois, en personne, devant le Congrès, pour prononcer ce fameux discours. Puis, en 1801, Thomas Jefferson, considérant qu’il ressemblait trop au discours du Trône britannique, a rompu avec la tradition et décidé d’envoyer un message écrit, lu par des fonctionnaires du Congrès. En 1913, le président Woodrow Wilson décida de réinstaurer le discours.
Traditionnellement, il n’est question de discours sur l’état de l’Union qu’à l’issue de la première année d’un président à la Maison Blanche. Le 28 février 2017, après seulement cinq semaines à la Maison Blanche, l’allocution de Donald Trump n’était qu’une adresse aux deux Chambres. Et, surprise, après un premier mois tumultueux au 1600 Pennsylvania Avenue (l’adresse de la Maison Blanche), il s’était alors montré plus… présidentiel qu’à son habitude. Pendant quelques jours seulement. Le 4 mars 2017, Donald Trump s’en prenait directement à son prédécesseur, affirmant que Barack Obama avait autorisé la mise sur écoute de la Trump Tower.
Le discours est prononcé devant les membres actuels et passés de la Chambre des représentants et du Sénat, le cabinet du président, le juge en chef des Etats-Unis et les juges de la Cour suprême, et le corps diplomatique.
Chaque membre du Congrès a le droit d’inviter une personne de son choix. Le président va tenter, comme en 2017, de faire vibrer la fibre émotionnelle lorsqu’il s’était adressé à la veuve de William « Ryan » Owens, le premier militaire américain tué sous sa présidence.
VIDEO
Pour son discours de 2018, celui qui a fait de la lutte contre l’immigration clandestine et les gangs une de ses priorités a choisi d’inviter Elizabeth Alvarado, Robert Mickens, Evelyn Rodriguez et Freddy Cuevas, les parents de Nisa Mickens et Kayla Cuevas, battues à mort par des membres du gang MS-13, en septembre 2016.
#MeToo, #TimesUp et Kennedy côté démocrates
Pour ce qui est des symboles, les démocrates ne sont pas en reste. De nombreuses élues devraient s’habiller en noir, en hommage au mouvement #MeToo (« moi aussi ») et #TimesUp (« c’est fini »), les deux mouvements antiharcèlement et pour l’égalité des femmes.
Joseph Kennedy III, étoile montante du Parti démocrate — petit-fils de Robert Kennedy et petit-neveu de l’ancien président John F. Kennedy —, répondra dans une allocution télévisée au discours de Donald Trump. Il devrait s’adresser à la classe moyenne que le président avait promis de cajoler, mais qui est laissée pour compte, notamment par sa réforme fiscale. Joseph Kennedy a invité la sergente-cheffe Patricia King, servant dans l’US Army depuis dix-neuf ans, elle faisait partie des militaires transgenres menacé.e.s par la volonté du président Trump de leur interdire l’accès à l’armée.
En réponse aux atermoiements du président après chaque tuerie de masse, le représentant du Michigan, Dan Kildee, qui essaie d’interdire la vente de bump stock — mécanismes permettant de transformer les fusils semi-automatiques en fusils automatiques —, a, pour sa part, invité un pasteur, Jeffery Hawkins, qui intervient auprès des familles victimes de violences par armes à feu. Enfin, le représentant de Floride, Carlos Curbelo, sera, quant à lui, accompagné par Adrian Escarate, un bénéficiaire du programme DACA.
Lire aussi : Après la tuerie de Las Vegas, le débat sur les armes se déplace vers les « bump stocks »
Parmi les absences remarquées, celle annoncée de la juge Ruth Bader Ginsburg, membre de la Cour suprême est la plus commentée. Alors qu’elle était présente à chacun des discours de Barack Obama, elle n’a pas assisté au discours de Donald Trump en 2017. Mais elle n’est pas la seule juge de la Cour suprême à ignorer la cérémonie : le juge Antonin Scalia (mort en février 2016) n’y a pas assisté entre 1997 et 2016, estimant « qu’on y est juste assis, l’air stupide » ; Samuel Alito, lui, a estimé que les juges y étaient comme des « plantes en pot ».
Etat de l’Union, technologies et records
1923 : premier discours radiodiffusé (Calvin Coolidge).
1947 : premier discours diffusé à la télévision (Harry Truman).
1965 : premier discours diffusé en direct (Lyndon Johnson).
2002 : premier discours diffusé en direct sur Internet (George W. Bush).
2004 : premier discours diffusé en télévision haute définition (George W. Bush).
Selon l’American Presidency Project hébergé par l’université de Californie (Santa Barbara), le discours le plus long est le message écrit par Jimmy Carter en 1981 : 33 667 mots, suivi par celui (parlé) de Bill Clinton, en 1995 (9 190 mots). Le plus court est celui de George Washington, en 1790 (1 089 mots).
La durée des messages : en moyenne, ceux de Bill Clinton (1993-2000) ont duré une heure et quatorze minutes, ceux de George W. Bush (2001-2008) cinquante-deux minutes et trente-cinq secondes, ceux de Barack Obama (2009-2016), une heure et deux minutes, et le discours de Donald Trump, en 2016, une heure.
Article complet: http://www.lemonde.fr/international/article/2018/01/30/etats-unis-les-enjeux-du-premier-discours-de-donald-trump-sur-l-etat-de-l-union_5249390_3210.html
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Aéroports de Paris : +4,7% en septembre
http://feedproxy.google.com/~r/AirJournal/~3/hVJFLjY4aLI/2017-10-12-aeroports-de-paris-47-en-septembre-5188880.html Le trafic de Paris Aéroport est en hausse de 4,7% par rapport au mois de septembre 2016 avec 9,96 millions de passagers accueillis, dont 6,204 millions à Paris-Charles de Gaulle (+6,7%) et 2,764 millions à Paris-Orly (+0,4%). Les statistiques de trafic du groupe ADP pour septembre 2017 indiquent une stabilité en France (+0,1%), pour une part dans le trafic total de 15,8%. En Europe hors France le nombre de passagers progresse de 4,6%. Le trafic international hors Europe est en progression (+6,7%) du fait d’une croissance sur les faisceaux suivants : DOM-COM (+14,4%), Moyen-Orient (+10,8%), Amérique du Nord (+8,4%), Afrique (+6,4%), Asie-Pacifique (+2,8%) ; seul le faisceau Amérique Latine est en retrait (-4,6%). Le nombre de passagers en correspondance augmente de 0,8%, le taux de correspondance de Paris Aéroport s’établissant à 24,9%, en retrait de 0,5 point par rapport à septembre 2016. Les mouvements d’avions sont en baisse par rapport à septembre 2016, avec -0,4% à Orly et -5,3% à Roissy (+0,6% et -1,7% respectivement depuis le début de l’année). Depuis le début de l’année, le trafic de Paris Aéroport est en progression de 4,7% avec un total de 77,323 millions de passagers. Le nombre de passagers en correspondance progresse de 0,8% ; le taux de correspondance s’établit à 22,8%, en diminution de 0,9 point. Le trafic France affiche +1,7%, le trafic Europe hors France +4,4% et le trafic international hors Europe +6,4%. Le trafic de TAV Airports, dont le Groupe ADP détient 46,1% du capital, est en hausse de 15,2% sur le mois de septembre 2017 et de 7,8% (hors Bordrum) depuis le début de l’année. Le trafic de l’aéroport de Santiago du Chili, dont le Groupe ADP détient 45% du capital, est en hausse de 13,1% sur le mois de septembre 2017 et de 10,9% depuis le début de l’année.
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Employment as an Jr. IT Technician (6-8 month contract) at the AerRianta International North America Inc. Montréal
Employment as an Jr. IT Technician (6-8 month contract) at the AerRianta International North America Inc. Montréal
Preview AerRianta International North America Inc. AerRianta International (Amérique du Nord) Inc. est un des opérateurs majeurs de boutiques hors taxes dans les aéroports au Canada,… Location: Montréal – QC – CA Summary Experience required for IT Technician: 1 year minimum Required Knowledge for IT Technician: Computer networking and general knowledge Windows 7, 8, 10 Windows Server 2003-2012…
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Air Canada multiplie les nouveautés en 2018
http://feedproxy.google.com/~r/AirJournal/~3/Bz7Lzxiiff8/2017-09-29-air-canada-multiplie-les-nouveautes-en-2018-5188325.html La compagnie aérienne Air Canada a dévoilé pour juin 2018 deux nouvelles liaisons saisonnières au départ de Montréal, vers Lisbonne au Portugal et Bucarest en Roumanie. Cette dernière ville sera également desservie au départ de Toronto, où des vols vers Porto et Zagreb seront en outre mis en place. Sa présence à Casablanca, Lima et Buenos Aires va être renforcée. Du 15 juin au 26 octobre 2018, la filiale loisirs Rouge de la compagnie nationale canadienne proposera trois vols par semaine entre sa base à Montréal-Pierre Elliott Trudeau et l’aéroport de Lisbonne-Humberto Delgado, opérés en Boeing 767-300ER pouvant accueillir 24 passagers en classe Premium et 258 en Economie. Les départs sont programmés mercredi, vendredi et dimanche à 20h45 (arrivée le lendemain à 8h10), les vols retour quittant le Portugal lundi, jeudi et samedi à 9h45 (arrivée à 12h10). Air Canada sera en concurrence avec Air Transat et Azores Airlines sur cette route, sa deuxième vers la capitale portugaise après celle au départ de Toronto. Du 7 juin au 3 octobre 2017 sous réserve d’approbations gouvernementales, Rouge proposera d’autre part deux rotations hebdomadaires en 767-300ER entre Montréal et Bucarest-Henri Coanda, cette fois sans concurrence. Les départs sont programmés lundi et jeudi à 17h20 (arrivée le lendemain à 9h15), les vols retour quittant la Roumanie mardi et vendredi à 11h30 (arrivée à 14h05). Toujours au départ de Montréal, la compagnie de Star Alliance annonce qu’elle reprendra à Rouge la desserte de l’aéroport de Casablanca-Mohammed V dès le 1er juin 2018, l’habituel 767-300ER étant alors remplacé par un Airbus A330-300 (27 sièges en classe Affaires, 21 en Premium et 244 en Economie). Les jours d’opération et horaires habituels seront apparemment conservés. Enfin la nouvelle ligne vers Lima-Jorge Chavez au Pérou, qui sera inaugurée le 16 décembre par Rouge, sera désormais assurée toute l’année et non plus sur une base saisonnière. « Grâce à ces nouveaux services au départ de Montréal, Air Canada devient le seul transporteur aérien en Amérique du Nord desservant la Roumanie, le plus grand marché européen sans vols transatlantiques, renforçant encore plus la présence d’Air Canada dans la région sud-est de l’Europe », a fait valoir dans un communiqué Benjamin Smith, président – Transporteurs de passagers à Air Canada. « Misant sur le succès actuel d’Air Canada sur le marché portugais, la nouvelle liaison Montréal-Lisbonne renforce la présence du transporteur dans le marché d’agrément d’été au départ de Montréal. De plus, les améliorations apportées à nos services assurés toute l’année à destination de Casablanca et de Lima démontrent l’engagement continu d’Air Canada à renforcer le rôle de Montréal à titre de plaque tournante importante à notre réseau mondial. Ensemble, ces nouveaux services améliorés permettront d’offrir aux clients un plus grand confort, plus de choix, ainsi que la possibilité de profiter des correspondances pratiques dans notre vaste réseau nord-américain et international ». Air Canada a déjà annoncé plusieurs nouveaux services internationaux sans escale qui seront inaugurés en juin pour l’été 2018, dont Vancouver-Paris, Vancouver-Zurich, Toronto-Shannon, Montréal-Tokyo Narita et Montréal-Dublin. De plus, la nouvelle route reliant Vancouver à Melbourne, exploité à compter de décembre et initialement prévu comme un service saisonnier, sera assuré toute l’année à compter de juin 2018. Rappelons que huit nouvelles destinations sans escale au départ de l’aéroport québécois ont été lancées cette année : Shanghai (Chine), Marseille (France), Dallas/Fort Worth (États-Unis), Washington-Dulles (États-Unis), Reykjavik (Islande), Tel-Aviv (Israël), Alger (Algérie) et donc Lima (Pérou). Air Canada, Air Canada Rouge « et leurs partenaires commerciaux régionaux assurant des vols sous la marque Air Canada Express » exploitent en moyenne 2400 vols par semaine entre Montréal et 87 destinations : 24 au Canada dont 9 au Québec, 20 aux États-Unis, 26 dans les Antilles, en Amérique centrale et au Mexique, 13 en Europe et, à partir de 2017, 1 en Chine, 2 en Afrique du Nord, 1 au Moyen-Orient et, dès décembre 2017, 1 en Amérique du Sud. Nouveautés à Toronto : Air Canada va également renforcer sa base à Toronto-Pearson, avec trois nouveautés en Europe proposées par Rouge en 767-300ER, et des vols désormais directs vers Buenos Aires en Argentine. Vers Porto-Francisco Sa Carneiro, quatre vols par semaine seront opérés du 8 juin au 16 octobre, avec départs lundi, mercredi, vendredi et dimanche à 22h50 (arrivée le lendemain à 10h50), les vols retour quittant le Portugal lundi, mardi, jeudi et samedi à 12h20 (arrive à 15h20). Rouge fera face à Air Transat et Azores Airlines sur cet axe. Vers l’aéroport de Zagreb-Franco Tudjman, Rouge proposera aussi quatre rotations hebdomadaires avec des départs du 3 juin au 7 octobre les mardi, mercredi, jeudi, samedi à 16h55 (arrivée le lendemain à 7h30) et des retours de Croatie mercredi, jeudi, vendredi et dimanche à 9h15 (arrivée à Toronto à 12h40). Air Transat est déjà présente sur cette ligne. Enfin vers Bucarest-Henri Coanda, deux vols par semaine seront mis en place du 9 juin au 6 octobre, avec des départs mardi et samedi à 16h50 (arrivée le lendemain à 9h15) et des retours de Roumanie mercredi et dimanche à 11h30 (arrivée à 14h45). Rouge sera cette fois sans concurrence. En Amérique du Sud, la liaison entre Toronto et Buenos Aires, jusque-là assurée via Santiago du Chili, deviendra directe à partir du 2 mai ; la capitale chilienne continuera d’être desservie séparément. Air Canada fournit des services passagers réguliers directs sur 64 aéroports au Canada, 57 aux États-Unis et 98 en Europe, au Moyen-Orient, en Afrique, en Asie, en Australie, dans les Antilles, au Mexique, en Amérique centrale et en Amérique du Sud. Air Canada est un membre fondateur du réseau Star Alliance, le plus vaste regroupement de transporteurs aériens du monde, qui dessert 1 300 aéroports dans 191 pays. Air Canada est le seul transporteur nord-américain d’envergure internationale offrant une gamme complète de services à obtenir le classement quatre étoiles de la firme de recherche indépendante Skytrax du Royaume-Uni, qui a également nommé Air Canada meilleur transporteur aérien en Amérique du Nord pour 2017.
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France : le trafic aérien en hausse de 7% en aout
http://feedproxy.google.com/~r/AirJournal/~3/gd3KxsQwNPI/2017-09-28-france-le-trafic-aerien-en-hausse-de-7-en-aout-5188222.html Le trafic aérien dans les aéroports français a progressé de 7% le mois dernier par rapport à aout 2016, et de 6,2% sur les huit premiers mois de l’année. Dans ses statistiques mensuelles TendanCiel, la DGAC souligne que ce « coup de chaud » confirme la tendance de l’été, la progression du trafic étant plus particulièrement portée par l’expansion des grands aéroports métropolitains en région (+12,5%). Le marché intérieur (+6,1%) affiche en août des indicateurs au vert sur l’ensemble des segments ; les lignes transversales en Métropole (+12,2%) et les liaisons reliant la Métropole et l’Outre-Mer (+10,3%) restent les mieux orientées, avec une croissance à deux chiffres. En cumul annuel, le trafic national progresse de +3,8%. Le dynamisme du trafic international est encore très intense ce mois-ci (+7,2%). Dans la continuité de juillet, l’Afrique a la croissance la plus vive (+10,1%). Les autres continents suivent de près (entre +7,5% et +6,6%), avec toutefois des résultats plutôt contrastés entre sous-ensembles régionaux en Amérique et en Asie : le marché américain (+7,5%) continue d’être tiré par l’essor du trafic avec les États-Unis (+10,6%) et la zone Amérique centrale-Caraïbes (+16,2%) mais les échanges avec l’Amérique du Sud (-8,0%) connaissent une sévère contraction ; la zone Asie-Pacifique (+6,7%) reste partagée entre un Proche et Moyen-Orient en net regain d’activité (+14,4%) et un Extrême-Orient quasi-stable (+0,7%). En Europe (+6,6%), la situation est plus homogène sur les principaux flux, depuis le Royaume-Uni (+7,4%) jusqu’à l’Espagne (+3,4%) et l’Italie (+3,0%). Côté pavillons, la hausse du trafic profite aux exploitants nationaux (+5,6%), davantage à l’international (+6,5%) que sur le marché intérieur (+3,9%), mais ils sont supplantés par leurs homologues sur chacun de ces segments. Au global, le différentiel de croissance négatif pour les entreprises françaises s’établit à -2,4 points en août et -3,4 points en cumul annuel. À l’issue de ce mois, l’effritement de la part de marché du pavillon national calculée sur l’année demeure inchangé : -0,8 point en termes de passagers, -0,6 point en passagers kilomètres transportés (PKT). Côté aéroports, les grandes plateformes en région connaissent une croissance forte voire exceptionnelle : Toulouse (+23,1%), Nantes (+16,2%), Bordeaux (+12,3%), Nice (+11,5%), Bâle-Mulhouse (+11,1%), Marseille (+9,7%), Lyon (+7,5%). À l’écart du mouvement, Beauvais continue d’enregistrer une contraction d’activité marquée (-9,7%). À Paris, la croissance reste différenciée entre les deux pôles : CDG confirme sa bonne orientation (+5,0%), Orly (+1,0%) marque le pas pour le quatrième mois d’affilée. En matière de retard, si les indicateurs relatifs au retard sont meilleurs que ceux de juillet, ils traduisent comme ces derniers une dégradation sensible entre 2016 et 2017 : le taux des vols retardés de plus d’un quart d’heure au départ a atteint 34,7% (soit +4,8 points) ; le retard moyen au départ tous vols confondus s’est élevé à 19,0 minutes (soit +2,4 minutes). Le nombre de vols contrôlés en France métropolitaine a progressé de +3,3% en août. La tendance est générale : plus soutenue sur les survols du territoire (+4,8%), elle s’étend également aux mouvements domestiques (+2,3%) ainsi qu’aux vols à l’international et avec l’Outre-Mer (+1,5%).
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Aéroports de Paris : nouveaux records de chiffres
http://feedproxy.google.com/~r/AirJournal/~3/s691ZeA_B4w/2017-09-14-aeroports-de-paris-nouveaux-records-de-chiffres-5187411.html Au mois d’août 2017, le trafic de Paris Aéroport (ADP, Aéroports de Paris), le gestionnaire des plateformes Orly et Roissy-CDG, est en hausse de 3,8% par rapport au mois d’août 2016. 9,8 millions de passagers ont été accueillis dans les aéroports parisiens dont 6,8 millions à Roissy-Charles De Gaulle (+5,0%) et 3 millions à Orly (+1,0%). Sur les mois de juillet et août 2017, le trafic dans les deux aéroports parisiens s’est élevé à 19,9 millions de passagers, le chiffre étant de 19,1 millions à la même période en 2016. Le 30 juillet 2017 a été une journée historique à l’aéroport de Roissy avec 236 772 passagers accueillis. Depuis le début de l’année, le trafic de Paris Aéroport est en progression de 4,7% avec un total de 68,4 millions de passagers. Le nombre de ces passagers en correspondance progresse de 0,8%. Le trafic international (hors Europe) est en progression : + 7,2 %, du fait d’une croissance sur les faisceaux Moyen-Orient (+ 12,8 %), DOM-COM (+ 9,7 %), Afrique (+ 8,7 %), Amérique du Nord (+ 7,6 %) et Amérique Latine (+ 1,8 %). Seul le faisceau Asie-Pacifique est en retrait (- 0,1 %). Le trafic Europe (hors France) est en progression de 1,1%. Le trafic France est en croissance de 1,8%. Par ailleurs, le trafic du gestionnaire turc TAV Airports, dont le Groupe ADP détient 46,1%, est en hausse de 13,8 % sur le mois d’août 2017 et de 6,7% depuis le début de l’année. Le trafic de l’aéroport de Santiago du Chili, dont le Groupe ADP détient 45% du capital, est en hausse de 12,1% sur le mois d’août 2017 et de 10,3% depuis le début de l’année.
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Swiss fait ses adieux au Jumboliner
http://feedproxy.google.com/~r/AirJournal/~3/6mTHotINGZE/2017-08-16-swiss-fait-ses-adieux-au-jumboliner-5186148.html La compagnie aérienne Swiss International Air Lines a opéré mardi son dernier vol en Avro RJ100, un vol spécial entre Genève et Zurich marquant la fin de plus de quinze ans d’opérations pour le quadriréacteur court- et moyen-courrier. La compagnie nationale suisse a « pris congé » le 15 aout 2017 de son dernier RJ100, l’ultime représentant de la flotte de 21 Avro hérités de Crossair, . L’appareil immatriculé HB-IYZ a décollé de Genève-Cointrin dans la matinée pour atterrir à l’aéroport de Zurich-Kloten, où il a été accueilli par les traditionnels jets d’eau « et les applaudissements frénétiques des nombreux collaborateurs et des fans de l’aviation ayant assisté à l’événement ». Le vol spécial complet, code LX7545, transportait outre des journalistes et des collaborateurs, ainsi que de nombreux autres invités, précise Swiss dans un communiqué. « Assister au dernier atterrissage d’un Avro sur notre aéroport d’attache a été pour moi un événement très émotionnel. Le retrait des avions du type Avro de la flotte de SWISS met fin à tout un pan de l’histoire de l’aviation civile suisse », a déclaré le commandant de bord et chef de la flotte Avro Michael Weisser, qui partageait les commandes pour cet ultime vol de Genève à Zurich avec son remplaçant, le commandant de bord Peter Huber. Les Avro RJ100 et RJ85 avaient constitué depuis la création de l’entreprise en 2002 « la colonne vertébrale de la flotte européenne » de la compagnie de Star Alliance ; ils ont effectué plus de 700.000 heures de vol « productives ». Pendant cette même période, Swiss a effectué plus d’un demi-million de vols avec cet avion produit par British AeroSpace (BAe). « En raison de l’excellence de leur maintenance et entretien, les désormais anciens appareils de SWISS sont, malgré leur âge avancé, des aéronefs bénéficiant d’une demande importante et seront dès lors mis en œuvre auprès d’autres compagnies aériennes », souligne la compagnie. Selon Peter Huber interrogé par swissinfo.ch, une grande partie des avions a pu être vendue à un centre de maintenance au Canada, trois étant déjà en service en Amérique du Sud et deux dans les Caraïbes. Swiss a lancé en 2016 le renouvellement de sa flotte, avec en particulier l’arrivée des Bombardiers CSeries dont les huit CS100 déjà en service et dont elle est compagnie de lancement (configurés pour accueillir 20 passagers en classe Affaires et 105 en Economie), et deux CS300 (30+115). Elle attend deux CS100 et 18 CS300 supplémentaires. Les vols long-courrier seront assurés d’ici au printemps prochain par deux autres Boeing 777-300ER, remplaçant partiellement la flotte des Airbus A340-300. D’ici à la fin de l’année 2018, elle disposera ainsi « d’une des flottes les plus jeunes d’Europe ». Au départ de Zurich et Genève, les 91 avions de la filiale du groupe Lufthansa transportent chaque année environ 16,5 millions de passagers vers plus de 100 destinations dans 43 pays. Sa division fret – Swiss WorldCargo – propose par ailleurs un large éventail de solutions de transports d’aéroport à aéroport, tout particulièrement destinées à des objets de valeur ou nécessitant une surveillance constante ; son réseau comprend environ 130 destinations aériennes dans plus de 80 pays.
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Oneworld: un toast pour la meilleur alliance œnologue
http://feedproxy.google.com/~r/AirJournal/~3/E-_5Yy24U-U/2017-08-14-oneworld-un-toast-pour-la-meilleur-alliance-oenologue-5186088.html Oneworld a remporté le titre 2017 de « meilleure alliance » pour les vins servis à bord des avions de ses compagnies aériennes, décerné par US Global Traveler. Lors d’un concours international renommé récompensant les meilleurs vins servis à bord des compagnies aériennes, des juges ont à nouveau distingué l’alliance Oneworld et plusieurs de ses membres. Oneworld a regagné son titre de « Meilleure alliance » pour la qualité des vins servis à bord dans le cadre des « Wines on the Wing 2017 », dont les résultats viennent d’être publiés par le magazine US Global Traveler ; un titre que l’alliance avait remporté il y a deux ans. Cette nouvelle récompense vient s’ajouter à celle décernée à Oneworld dans le cadre du palmarès « Cellars in the Sky », organisé par le magazine britannique Business Traveller en février dernier ; un prix « remporté systématiquement » par l’alliance depuis plusieurs années. Ainsi, elle est désormais détentrice des deux prix majeurs récompensant la qualité des vins servis à bord des compagnies membres d’alliances globales. Outre ce titre de « Meilleure alliance », les compagnies membres de oneworld se sont également distinguées dans le cadre des Prix « Wines on the Wing », comme elles l’avaient déjà fait à l’occasion des « Cellars in the Sky awards ». American Airlines a remporté le titre de « Meilleure compagnie d’Amérique du Nord pour les vins de Première et Classe Affaires », ainsi que ceux de « Meilleur vin blanc servi en Première / Classe Affaires » et « Meilleur vin rouge servi en Première / Classe Affaires » pour la région Amérique du Nord. La compagnie américaine s’est également classée 2ème dans la catégorie « Meilleur Champagne en Première ». American Airlines « et British Airways, ainsi qu’Air Berlin, ont également remporté de nombreuses médailles d’argent et d’autres nominations ». A l’occasion de cette compétition, 32 compagnies aériennes ont présenté 56 vins blanc, 61 vins rouge et 28 champagnes ou vins pétillants servis à bord de leurs Classes Affaires internationales et Classes premium en Amérique du Nord pour une dégustation à l’aveugle. La dégustation était organisée par Global Traveler magazine avec 21 juges indépendants reconnus comme des experts. Cette dernière récompense en date conforte la position de oneworld en tant qu’alliance globale la plus primée. Outre ces deux distinctions pour la qualité de ses vins, oneworld détient également 7 autres récompenses de “Meilleure alliance aérienne”: « Alliance préférée » dans le cadre des Trazees 2017, pour la 2ème année consécutive, « Meilleure alliance» dans le cadre de l’enquête 2016 « GT Tested » de Global Traveler, pour la 7ème année consécutive, On-Time Performance Service Award 2016 de FlightStats, pour la 4ème année consécutive « Meilleure alliance aérienne » pour la 4ème année consécutive dans le cadre des Business Traveller Awards 2016, « 2016 Best in Business Travel » de Business Traveler North America pour la deuxième fois, « Meilleure alliance aérienne au monde » des World Travel Awards 2016 pour la 14ème année consécutive, « Best of 2015» de Premier Traveler pour la 3ème année consécutive. Oneworld est l’une des trois alliances aériennes mondiales de premier plan, avec pour objectif « d’apporter le meilleur niveau de service et de prestations aux passagers fréquents voyageant à l’international ». Ses membres incluent actuellement Air Berlin, American Airlines et British Airways donc, Cathay Pacific, Finnair, Iberia, Japan Airlines, LATAM Airlines, Malaysia Airlines, Qantas, Qatar Airways, Royal Jordanian, S7 Airlines et SriLankan Airlines, ainsi qu’une trentaine de compagnies affiliées. Ensemble, les compagnies de l’alliance desservent plus de 1.000 aéroports plus de 150 pays avec 14.000 départs quotidiens, transportent quelques 550 millions de passagers par an sur une flotte combinée de 3.500 appareils, et génèrent 130 milliards de dollars de revenus cumulés annuels.
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