#1974 sabel
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lemaldusiecle Ā· 5 months ago
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Lori Mattix, Sabel Starr (and cropped Iggy) by James Fortune, 1974.
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brendajouys Ā· 4 years ago
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Confinement ; enfermeĢs ou libeĢreĢs ?
Depuis quelque temps, je reĢalise des recherches au sujet de la convertibiliteĢ des espaces. Sensible au modes de preĢsentation de l'exposition et fortement toucheĢe par lā€™espace de vie des artistes, je me suis inteĢresseĢe aĢ€ une question qui nous traverse toutes et tous, je crois, aĢ€ un moment de nos vies : le manque dā€™espace. Il me semble que ce manque peut provoquer autant de frustration quā€™il engendre une cristallisation de reĢ‚veries infinies.
Avant meĢ‚me dā€™imaginer une vie dans une grande meĢtropole, il fallait se trouver un espace : un commencement. Le toit au-dessus de sa teĢ‚te comme point de deĢpart et comme refuge de lā€™art. ReĢfleĢchir aĢ€ nos efforts constants dā€™ameĢliorer nos inteĢrieurs, pousser les murs, chercher lā€™eĢconomie de place et parfois meĢ‚me la double fonction des objets (1)ā€‹ā€‹. Cette queĢ‚te, aussi instable et incessante soit-elle, eĢvoque toute lā€™eĢnergie deĢployeĢe aĢ€ la poursuite de notre bien-eĢ‚tre.
Les petits espaces, que lā€™on consideĢ€re poeĢtiques voire magiques dans lā€™imaginaire collectif, correspondent aĢ€ lā€™archeĢtype du refugeā€‹ (2).ā€‹ Abri primitif, il nous entourent, nous rassurent, nous proteĢ€gent. AĢ€ notre image, les frontieĢ€res de nos inteĢrieurs se rapprochent autant que possible de celles de nos corps. Comme nos enveloppes corporelles, lā€™espace domestique et lā€™espace de travail nous contiennent autant quā€™il nous limitent. Lā€™ideĢe claustrophobique de vivre entre quatre murs qui sembleraient se rejoindre, cohabite avec celle dā€™envisager le petit espace comme un outil au pouvoir eĢmancipateur. Nous, habitants, aurions le moyen dā€™embrasser du regard tous les eĢleĢments indispensables aĢ€ nos vies. La sensation de reĢconfort, dā€™appartenance et de seĢcuriteĢ est immeĢdiate (3)ā€‹ā€‹.
Mais au-delaĢ€ des reĢaliteĢs pragmatiques et rationnelles de nos appartements; que se passe t-il lorsque lā€™absence dā€™espace devient tyrannique et que lā€™immensiteĢ de nos deĢsirs nous paralyse, posait Georges Perec en 1965 (4)ā€‹ā€‹ ? Dans les petits espaces, on trouve des solutions. Sous lā€™exemple du canapeĢ-lit, intermeĢdiaire de deux usages ; se coucher et sā€™asseoir, les combinaisons que nous offrent certains endroits ne sont parfois que binaires. Outre l'argument du charme, souvent employeĢ pour apposer des œilleĢ€res autoritaires sur les yeux de potentiels habitants, la fonctionnaliteĢ de ces espaces ne permet que peu d'alternatives. Couchez-vous, asseyez-vous, mais surtout taisez-vous.
Tout comme les corporations dā€™artistes depuis le XIXā€‹eā€‹ sieĢ€cle cherchaient aĢ€ concilier lā€™art et la vie, nos espaces de vie connaissent une mutation et abritent aĢ€ preĢsent en leur sein un ensemble beaucoup plus composite dā€™usages. Alors que nos habitats se font lieu de travail, le champ lexical de lā€™art est contamineĢ par cette eĢvolution ; artistes co-locataires, œuvres co-llectives, espaces co-habiteĢs. AĢ€ rebours de la figure romantique du creĢateur de geĢnie et de son atelier individuel comme celle de Friedrich aĢ€ Dresde, les artistes inventent aujourdā€™hui de nouvelles manieĢ€res de ā€œfaire du communā€. Les pratiques autrefois qualifieĢes de marginales, ou de deĢviantes sont aujourdā€™hui joyeusement accueillies par les pouvoirs publics et participent aĢ€ redorer lā€™image de certains quartiersā€‹ (5).ā€‹
Lā€™artiste nā€™est plus un squatteur de l'espace mais un reĢsident. Lā€™atelier nā€™est plus un lieu clos, reĢserveĢ, mais il devient ouvert, collaboratif et participe aĢ€ la dynamique de voisinage. En devenant accessible, il sā€™ouvre lui-meĢ‚me vers de nouveaux espaces artistico-pratiques. AĢ€ La Friche de la Belle de Mai aĢ€ Marseille, il est possible de jouer au foot avec des habitants du quartier avant de grimper quelques marches pour visiter une exposition dā€™envergure, puis de sā€™arreĢ‚ter prendre un cafeĢ tout en eĢcoutant ā€œRadio GaleĢ€reā€ et de finir par acheter une eĢdition limiteĢe imprimeĢe sur place, dans un atelier exigu grouillant de coloris pop (6)ā€‹ā€‹.
Les expeĢriences de mise en commun dans lā€™art, sā€™expliquent en partie par des reĢaliteĢs mateĢrielles tangibles et incontestables ; lā€™envoleĢe des prix de lā€™immobilier correĢleĢe aĢ€ lā€™augmentation croissante dā€™artistes en situation de preĢcariteĢ (7). Face aĢ€ ce constat, il ne reste que peu de choix aux artistes pour habiter lā€™espace : inteĢgrer des reĢsidences de recherche ou de production, partager son atelier et donc son loyer, travailler depuis chez soi, pour des situations sommes toutes fatalement temporaires ou temporairement instables et eĢreintantesā€‹ (8).ā€‹
Il y a lā€™eĢchelle du temps qui peut eĢ‚tre un facteur de stress aĢ€ lā€™occupation dā€™un lieu lorsquā€™une eĢcheĢance dā€™exposition se rapproche, mais aussi la preĢcariteĢ de lā€™espace lui-meĢ‚me. Nā€™avez-vous jamais eĢteĢ deĢcĢ§us en vous deĢplacĢ§ant voir un appartement, de constater quā€™il nā€™eĢtait pas tout aĢ€ fait conforme aux photographies alleĢchantes de lā€™annonce ? Lā€™art cā€™est un peu cĢ§a en 2020. CĢ§a fait du bien aĢ€ voir et cĢ§a nous fait (re)penser le monde. Face aux œuvres, on eĢchange des discours philosophiques enflammeĢs et engageĢs pendant des heures, en revanche, si lā€™on regarde dans le deĢtail, le plafond fuit et il fait froid. Exposez, mais nā€™attendez pas dā€™eĢ‚tre payeĢs (9) ā€‹ā€‹!
Les prix des surfaces minuscules flambent et creusent dans leur sillon, de facĢ§on toujours plus profonde, les ineĢgaliteĢs sociales entre proprieĢtaires et occupants (1ā€‹0)ā€‹. Cette puissance des uns, eĢrige des murs que les artistes deĢtruisent pour les refonder autrement. En deĢveloppant durant les avant-garde modernistes le concept de ā€œMaison-Communeā€, des personnaliteĢs visionnaires ont voulu deĢpasser le cadre de lā€™habitat comme refuge de lā€™individualisme et de la famille au sens le plus traditionnel du termeā€‹ (11).ā€‹ Ce nouvel habitat concĢ§u par et pour la commune fut aussi appeleĢ ā€œhabitat de type transitoireā€. Il devait inciter aĢ€ la vie collective sans toutefois le rendre obligatoire en usant dā€™eĢquipements communautaires avec des espaces concĢ§us pour eĢ‚tre partageĢs. Instruments dā€™eĢducation, ces dits lieux avaient pour ambition de preĢparer aĢ€ la vie collective de lā€™avenir.
Lā€™avenir est laĢ€, et lā€™ambition d'antan a eu des eĢchos dans les espaces artistiques que lā€™on nomme aujourd'hui sous une multitude d'eĢpitheĢ€tes ; Ā« Friches culturelles Ā», Ā« Artist-run spaces Ā», Ā« Lieux intermeĢdiaires Ā», Ā« CommunauteĢs artistiques Ā». Il y en aurait des milliers aĢ€ citer, ne serait-ce que sur le territoire francilien, mais prenons lā€™exemple du Wonder. Autrefois nommeĢ ā€œLiebertā€ lorsquā€™il sā€™eĢtablissait aĢ€ Bagnolet (93), puis ā€œZeĢnithā€ lorsquā€™il sā€™eĢtait implanteĢ aĢ€ Nanterre (92) et deĢsormais ā€œFortinā€ installeĢ aĢ€ Clichy depuis 2020 (1ā€‹2) ā€‹Le Wonder est un espace dā€™expeĢrimentations qui pourrait juxtaposer beaucoup de qualificatifs. Lā€™enjeu dā€™un tel lieu est clair : mettre aĢ€ profit lā€™intelligence collective et la coproduction de savoirs dans un souci eĢconomique, politique et social.
RevendiqueĢ libre et indeĢpendant, il nā€™est plus aĢ€ preĢsenter tant il sā€™est imposeĢ comme un lieu archeĢtypal de la sceĢ€ne artistique parisienne, et son organisation non hieĢrarchiseĢe en tant que collectif ne le rend que plus indeĢfectible. Lā€™habitation dā€™espaces geĢneĢreux dā€™une ancienne imprimerie que permet le bail dā€™occupation preĢcaire, autorise les artistes aĢ€ implanter de lā€™art laĢ€ ouĢ€ il nā€™y en a pas. Du haut de leur toit terrasse ils partent aĢ€ la conqueĢ‚te du monde (rien que cĢ§a), aĢ€ coups de drapeaux peinturlureĢs, de ballons immenses gonfleĢs aĢ€ lā€™heĢlium, de performances bruyantes et vibrantes, de projecteurs, de chants, de danses et de spectacles nocturnes infinis.
Du haut dā€™un immeuble, dans lā€™interstice dā€™une impasse ou sur le coin dā€™une table de cuisine convertie en bureau, les artistes semblent transformer chaque espace en de potentiels lieux de renouveau. Alors certes Ā« Less is moreā€‹ā€‹ Ā» (13) tient toujours, mais le manque lui, permet-il de sā€™eĢmanciper ?
(1) Ken Isaacs, ā€‹How to build your own living,ā€‹ 1974. (2) Mona Chollet, ā€‹Chez soi, une odysseĢe de lā€™espace domestique [ā€‹ 2015], La DeĢcouverte, Paris, 2019.
(3) ā€‹ā€œSous nos yeux, ils forment un tableau bien net : lā€™essentiel est laĢ€, aĢ€ porteĢe de mainā€. ā€‹Ibidā€‹. (4) Georges Perec, Lā€‹es choses. Une histoire des anneĢes soixanteā€‹, Julliard, Paris, 1965. (5) Le 6b aĢ€ Saint-Denis en tant que Ā« lieu de creĢation et de diffusion Ā», beĢneĢficie par exemple de lā€™aide Ā« Fabriques de culture Ā» deĢployeĢe par la ReĢgion IĢ‚le-de-France. Il sā€™agit dā€™un Ā« dispositif de soutien aux lieux artistiques dits intermeĢdiaires Ā», initieĢ par la ReĢgion en 2012.
(6) La Friche la Belle de Mai est aĢ€ la fois un espace de travail pour ses 70 structures reĢsidentes (400 artistes et producteurs y travaillent quotidiennement) et un lieu de diffusion (600 propositions artistiques publiques par an, de lā€™atelier jeune public aux festivals).
(7) Iā€‹sabelle Mayaud, ā€‹Lieux en commun, des outils et des espaces de travail pour les arts visuels,ā€‹ Rapport commanditeĢ par Le MinisteĢ€re de la Culture et la Direction geĢneĢrale de la creĢation artistique, 2019. (8) La Villa Belleville aĢ€ Paris, a geĢneĢreusement prolongeĢ toutes les reĢsidences de ses onze artistes suite aĢ€ la crise sanitaire du Covid-19 pour leur permettre de profiter plus longuement des espaces individuels et des espaces techniques, collectifs de travail.
(9) Cela fonctionne aussi pour les commissaires dā€™exposition selon la meĢ‚me formule et dans une formule un peu diffeĢrente pour les critiques dā€™art, aĢ€ savoir: "EĢcrivez, mais nā€™attendez pas dā€™eĢ‚tre payeĢs.ā€ (10) ā€‹Dans son essai paru en 2015, Mona Chollet parle de Ā« despotisme primaire Ā» en deĢveloppant le fait que nā€™importe quelle personne qui posseĢ€de un bien, souhaite en tirer un certain profit.ā€‹ op. citā€‹.
(11) Anatole Kopp, ā€‹Quand le moderne nā€™eĢtait pas un style mais une causeā€‹ [1988], EĢcole nationale supeĢrieure des Beaux-Arts, Paris, 1996. (12) Le Wonder est un artist-run space geĢreĢ par et pour les artistes. ā€‹ApreĢ€s les usines de piles Wonder aĢ€ Saint-Ouen (93) de 2013 aĢ€ 2016, la tour Liebert aĢ€ Bagnolet (93) de 2016 aĢ€ 2019, le baĢ‚timent ZeĢnith aĢ€ Nanterre (92) de 2019 aĢ€ 2020, Le Wonder est deĢsormais installeĢ au Fortin, une ancienne imprimerie situeĢe aĢ€ Clichy (92).
(13) Expression attribueĢe aĢ€ Ludwig Mies Van der Rohe (1886-1969), architecte allemand et grand repreĢsentant du Bauhaus, dont le sens signifie que l'ameĢlioration d'une œuvre se fait par sa soustraction mateĢrielle, selon une approche minimaliste, eĢpureĢe et deĢfaite de tout ornement.
(texte rƩdigƩ durant le 2eme confinement en France, en novembre 2020).
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littlequeenies Ā· 3 months ago
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The link doesn't work anymore, reblogging just for the photos, taken by Julian Wasser.
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Lori Mattix, the Tyndall sisters, Thea Constantine, Sabel Starr and other groupies pictured with the New York Dolls for the August 1974 ā€˜glam rockā€™ issue of Creem Magazine.Ā 
Watch CREEM: Americaā€™s Only RockĀ ā€˜Nā€™ Roll Magazine, available for streaming now!
#creem50 #boyhowdy #creemmag #creemmagazine
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queen-of-the-scene Ā· 1 year ago
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sabel starr and Johnny thunders!
genuinely not sure what year or date :") guessing around 1974
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queen-of-the-scene Ā· 3 years ago
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Johnny thunders and Sabel starr at Max's Kansas city, 1974
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littlequeenies Ā· 3 months ago
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Episode aired on October 17, 1973.
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Sabel Starr,Ā Queenie GlamĀ andĀ Chuck E. StarrĀ atĀ Tom Snyderā€˜sĀ Tomorrow Show, 1974.
Found onĀ Chuck E. Starrā€™s Facebook. All credit goes to him.
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groupiesoutrageously Ā· 8 years ago
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Rodney Bingenheimerā€™s English Disco
Disappointed with the American music industry, Rodney Bingenheimer moved to London, England, in 1971. There, he discovered and fell in love with the brand new genre of glam rock, which was then unheard of in the United States.
ā€œThere was great music in London, like T. Rex, Slade, Mott the Hoople, and the Sweet. [...] All these bands, in these clubs. And David Bowie said, ā€œYou should do a club like this in L.A., Rodney.ā€ And I did. I came to L.A. and put together the English Disco.ā€
Along with his business partner Tom Ayers, Bingenheimer founded The E Club on Sunset Boulevard in October of 1972. It was then moved further down the Sunset Strip and renamed Rodney Bingenheimer's English Disco ā€“ it soon became one of L.A.ā€™s hottest spots, introducing glam rock to young Americans. Frequent attendees included rockstars (Iggy Pop, the New York Dolls, Michael Des Barres), groupies (Sabel Starr, Lori Mattix, Queenie Glam, Pleasant Gehman), celebrities (Kim Fowley, Lance Loud, Mackenzie Phillips), and future celebrities (Joan Jett, Cherie Currie, and Jackie Fox of the Runaways).
ā€œThe dance floor is a dizzy kaleidoscope of lamĆ© hotpants, sequined halters, rhinestone-studded cheeks, thrift-store anythings and see-through everythings. During the breaks, 14-year-old girls on 6-inch platforms teeter into the back bathrooms to grope with their partners of the moment. Most of the sex is as mixed as the drinks and the drugs the kids bring with them.ā€ ā€“Newsweek magazine
ā€œThe crowd at the club ranged in age from twelve to fifteen... Nymphet groupies were stars in their tight little world. Some dressed like Shirley Temple; others wore dominatrix outfits or ā€˜Hollywood underwear,ā€™ a knee-length shirt, nylon stockings, and garter belts. These stargirls streaked their hair chartreuse and like to lift their skirts to display their bare crotches. As they danced they mimed fellatio and cunnilingus in tribute to [David Bowie]'s onstage act of fellatio on [Mick Ronson]'s guitar.ā€ ā€“Tony Zanetta
ā€œOnce inside, everybody's a star. The social rules are simple but rigid: all you want to hear is how fabulous you look, so you tell them how fabulous they look. You talk about how bored you are, coming here night after night, but that thereā€™s no place else to go. If you're not jaded there's something wrong. It's good to come in very messed up on some kind of pills every once in a while, and weekend nights usually see at least one elaborate, tearful fight or breakdown. If you're 18 you're over the hill.ā€ ā€“Richard Cromelin
By 1974, glam rock was going out of fashion, making way to hard rock and disco music. In October of that year, the legendary "Death of Glitter" party took place at the Hollywood Palladium, where Chuck E. Starr (famous groupie and house DJ at the English Disco) was carried onto the stage inside a glitter coffin, as the partygoers threw roses and glitter at him. Due to partnership and licensing problems, the English Disco was closed a few months later, in 1975.
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groupiesoutrageously Ā· 4 years ago
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Lori Mattix, the Tyndall sisters, Thea Constantine, Sabel Starr and other groupies pictured with the New York Dolls for the August 1974 'glam rock' issue of Creem Magazine.Ā 
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littlequeenies Ā· 3 months ago
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February 14, 1974 - His parents were David and Marcelle Sylvain. Backstage at the Academy of Music, NYC.
sylvain sylvain, his parents, sabel starr and some random people idk their names lolol
photo by bob gruen
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sabel also looks so pretty here :( miss her
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littlequeenies Ā· 5 months ago
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By James Fortune, 1974.
i tried to colorize this photoshoot!! i love sabel in it šŸ’‹
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littlequeenies Ā· 9 months ago
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Sabel Starr and Lori Mattox at Whisky a Go Go in West Hollywood in 1974, by James Fortune. Unknown further details.
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