#- Vous ne me croirez pas si je vous le dis.
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lolochaponnay · 6 months ago
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Un policier rencontre une petite fille perdue et lui demande : - OĂč habites tu ? - Avec ma famille. - Et oĂč habite ta famille ? - Avec moi. - D'accord, mais oĂč se trouve ta maison ? - À cĂŽtĂ© de celle de mes voisins. - Et oĂč est la maison de tes voisins ? - Vous ne me croirez pas si je vous le dis. - Essaye toujours... - À cĂŽtĂ© de la mienne.
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ekman · 11 months ago
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Moi, la guerre, je l’ai faite, figurez-vous. Oui, on ne dirait pas en me voyant. Cet air de s’en foutre que j’affiche toujours du coin de mon Ɠil bleu, les gens se disent en le dĂ©couvrant que je dois ĂȘtre un fieffĂ© malin, peut-ĂȘtre mĂȘme un salaud, un abuseur, allez savoir.
Moi, je les emmerde tous. J’ai pas survĂ©cu Ă  la mitraille, Ă  la boue, aux Boches et aux rats pour subir leur sale gueule et baisser les yeux. Je les emmerde, je vous dis. Et dans des proportions que vous ne soupçonnez pas. Pas l’un d’eux ne trouvera grĂące Ă  mes yeux. Ni le bourgeois replet parti prier son Juif repenti Ă  l’église le dimanche, ni le tchĂ©kiste restĂ© Ă  encenser son grand Staline dans une rĂ©union de quartier. Les deux me font chier – et savez-vous pourquoi j’entretiens Ă  leur endroit une haine parfaitement Ă©galitaire ? Mais parce qu’ils sont jumeaux, sortis du mĂȘme ventre flasque de la RĂ©volution, de la mĂȘme fente puante, matrice qui dĂ©gueule son trop plein d’humanitĂ© fĂ©roce, foetus aux dents acĂ©rĂ©es, dĂ©voreurs de mamelle ! Boivent autant de sang que de lait, ces monstres absurdes. Des vraies dĂ©gueulasseries biologiques conçues pour anĂ©antir le monde beau et sauvage qui ne les a pas vu venir.
Ces affreux-lĂ , j’en ai croisĂ© sur le front. Jamais en premiĂšre ligne, trop couards pour ça. Toujours en retrait, juste ce qu’il faut. Se chiant dessus Ă  la premiĂšre dĂ©flagration, mĂȘme lointaine, mĂȘme tĂ©nue. TerrorisĂ©s Ă  l’idĂ©e d’une baĂŻonnette boche s’enfonçant dans leur sale bide tout gonflĂ© de haricots mal cuits et de gaz diaboliques. Le rouge et le calotin unis dans la mĂȘme pĂ©toche minable, incapables de transcender leur peur de mammifĂšre absurde, condamnĂ©s Ă  baisser la tĂȘte, Ă  lever les bras, Ă  Ă©carter leurs miches poisseuses de merde honteuse. Ah ils puaient ces deux-lĂ , faut me croire. Dans les abris, on les laissait pas rentrer ces ordures. “Allez les gars, soyez pas salauds, allez. Faites une place... Je boirais bien la moitiĂ© d’un quart de soupe... Allez
” Des cafards, des magouilleurs, arrangeurs, tricoteurs. Des enculĂ©s de frais. “Va chier avec ton quart, sale rat !”, que je leur gueulais. “Quand il fallait monter l’échelle tout Ă  l’heure, t’étais oĂč, hein, mon salaud ?” GĂ©nĂ©ralement, ils baissaient la tĂȘte ou mieux, ils se barraient. Partaient pleurnicher dans l’abri d’à-cĂŽtĂ©. Mendigoter un quignon ou une tige Ă  de bonnes Ăąmes qui ne les avaient pas vu s’affaler au signal de l’assaut. Les mĂȘmes tous les deux ! Le rouge et le calotin. Tout pareillement conjoints dans la terreur, taillĂ©s pour survivre Ă  tout, coĂ»te que coĂ»te, dussent-ils se faire cracher Ă  la gueule pour l’éternitĂ© des temps, se faire maudir par les agonisants, ceux dont la tripe s’étalait tout autour et qui mettaient pourtant tant de temps Ă  crever ! J’aurais jamais assez de toute ma vie pour les maudire, ces fils de salaud, ces petits rongeurs sans honneur, sans grandeur, sans rien !
Et allez ! Que croyez-vous ? Qu’on n’avait pas peur nous autres ? Qu’on ne pleurait pas en claquant des dents au milieu des Ă©clairs qui hurlaient la mort ? Que l’on se prenait pour des CroisĂ©s ou pour des Jean-sans-Peur ? Tu parles ! Dans toute cette apocalypse, nous n’étions plus rien ! Et c’est bien Ă  cause de cela qu’on se redressait et qu’on y allait. Parce que je vais vous dire, moi, l’idĂ©e de crever recroquevillĂ© comme un cafard, ça m’a toujours Ă©tĂ© insupportable. Si je dois y passer, ce sera debout, nom de Dieu. À ma gauche, j’avais Lepault Gaston, un garçon gentil comme tout qui voulait entrer dans la banque. À ma droite, j’avais Lefeuvre Martial, fils de paysan, au travail depuis ses treize ans, pĂšre de quatre marmots Ă  pas vingt-cinq. Un peu plus loin, il y avait notre lieutenant, un marquis avec un nom Ă  rallonge incroyable, qu’on appelait Duguesclin pour faire court. Eh bien vous le croirez ou pas, mais on est sortis de la tranchĂ©e tous les quatre comme un seul homme et moins de deux minutes plus tard, j’étais le seul en vie, coincĂ© dans un trou peu profond, avec un Ă©clat boche calĂ© dans la cuisse. Les autres Ă©taient partis en poussiĂšre, pulvĂ©risĂ©s par un obus fabriquĂ© avec soin par de rondelettes bouffeuses de saucisse, quelque part du cĂŽtĂ© de Cologne.
Alors ne venez pas me faire chier avec mon regard inquisiteur. Il fera toujours moins mal que le shrapnel, tas de cons. Si je vous attrape du coin de l’Ɠil... si je vous ajuste, pour tout dire, soyez heureux que ce ne soit pas entre deux rangĂ©es de barbelĂ©s avec, calĂ© dans la molletiĂšre, le beau couteau de chasse que mon oncle Albert gardait depuis Sedan.
J.-M. M.
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yes-bernie-stuff · 9 months ago
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Venir à la vérité 30/05/2024
Vous sondez les Écritures, parce que vous pensez avoir en elles la vie Ă©ternelle, ce sont elles qui rendent tĂ©moignage de moi. Et vous ne voulez pas venir Ă  moi pour avoir la vie ! Jean 5.39-40
« À quoi servirait Ă  un homme de possĂ©der des clĂ©s s’il se dĂ©sintĂ©resse des portes ? » Ă©crit avec pertinence François GarragnonÂč. Curieux paradoxe, on peut connaitre une chose, la comprendre et l’admettre pour vraie, tout en refusant de l’appliquer Ă  soi

Dans le rĂ©cit de l’Évangile, JĂ©sus expose la bonne nouvelle du salut aux hommes, mais beaucoup la refusent. Il semble que ce rejet rĂ©sulte d’un choix dĂ©libĂ©rĂ© de sauvegarder leurs intĂ©rĂȘts personnels plutĂŽt que de saisir la vĂ©ritĂ© dont ils redoutent sans doute les consĂ©quences. Blaise Pascal Ă©voque ce choix de l’amour propre qui fausse notre jugement sur le vrai, « pour nous crever les yeux agrĂ©ablement »ÂČ. L’apĂŽtre Paul dĂ©crit ceux qui suivent les sĂ©ductions de l’iniquitĂ© parce qu’ils n’ont pas reçu l’amour de la vĂ©ritĂ© pour ĂȘtre sauvĂ©s Âł.
Ici, JĂ©sus s’étonne que ceux qui avaient la connaissance de Dieu par l’enseignement des Saintes Écritures, repoussent son tĂ©moignage et passent Ă  cĂŽtĂ© de la vie Ă©ternelle. Plus loin, il en donne la raison simple : « Vous n’avez point en vous l’amour de Dieu ».
Puissiez-vous, au contraire, choisir l’amour de la vĂ©ritĂ© en ouvrant votre cƓur Ă  JĂ©sus

Dominique Moreau
Âč Philosophie du quotidien, p17 ÂČ PensĂ©es, fr78 Âł 2 Thessaloniciens 2.10
__________________ Lecture proposĂ©e : Évangile selon Jean, chapitre 5, versets 33 Ă  47
.33 Vous avez envoyé vers Jean, et il a rendu témoignage à la vérité.
34 Pour moi ce n'est pas d'un homme que je reçois le témoignage; mais je dis ceci, afin que vous soyez sauvés.
35 Jean était la lampe qui brûle et qui luit, et vous avez voulu vous réjouir une heure à sa lumiÚre.
36 Moi, j'ai un tĂ©moignage plus grand que celui de Jean; car les oeuvres que le PĂšre m'a donnĂ© d'accomplir, ces oeuvres mĂȘmes que je fais, tĂ©moignent de moi que c'est le PĂšre qui m'a envoyĂ©.
37 Et le PĂšre qui m'a envoyĂ© a rendu lui-mĂȘme tĂ©moignage de moi. Vous n'avez jamais entendu sa voix, vous n'avez point vu sa face,
38 et sa parole ne demeure point en vous, parce que vous ne croyez pas à celui qu'il a envoyé.
39 Vous sondez les Écritures, parce que vous pensez avoir en elles la vie Ă©ternelle: ce sont elles qui rendent tĂ©moignage de moi.
40 Et vous ne voulez pas venir Ă  moi pour avoir la vie!
41 Je ne tire pas ma gloire des hommes.
42 Mais je sais que vous n'avez point en vous l'amour de Dieu.
43 Je suis venu au nom de mon PĂšre, et vous ne me recevez pas; si un autre vient en son propre nom, vous le recevrez.
44 Comment pouvez-vous croire, vous qui tirez votre gloire les uns des autres, et qui ne cherchez point la gloire qui vient de Dieu seul?
45 Ne pensez pas que moi je vous accuserai devant le PÚre; celui qui vous accuse, c'est Moïse, en qui vous avez mis votre espérance.
46 Car si vous croyiez MoĂŻse, vous me croiriez aussi, parce qu'il a Ă©crit de moi.
47 Mais si vous ne croyez pas Ă  ses Ă©crits, comment croirez-vous Ă  mes paroles?
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christophe76460 · 9 months ago
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LAISSONS PARLER LA BIBLE
SI VOUS NE CROYEZ PAS A SES ECRITS,COMMENT CROIREZ-VOUS A MES PAROLES ?
Jean 5.31-47
31 »Si je me rends tĂ©moignage Ă  moi-mĂȘme, mon tĂ©moignage n'est pas valable.
32 C'est un autre qui témoigne en ma faveur, et je sais que le témoignage qu'il me rend est
vrai.
33 Vous avez envoyé une délégation vers Jean, et il a rendu témoignage à la vérité.
34 Pour ma part, ce n'est pas d'un homme que je reçois le témoignage, mais je dis cela afin que vous soyez sauvés.
35 Jean était la lampe qui brûle et qui brille, et vous avez voulu vous réjouir une heure à sa lumiÚre.
36 Pour ma part, j'ai un tĂ©moignage plus grand que celui de Jean: ce sont les oeuvres que le PĂšre m'a donnĂ© d'accomplir. Ces oeuvres mĂȘmes que je fais tĂ©moignent Ă  mon sujet que c'est le PĂšre qui m'a envoyĂ©,
37 et le PĂšre qui m'a envoyĂ© a rendu lui-mĂȘme tĂ©moignage Ă  mon sujet. Vous n'avez jamais entendu sa voix, vous n'avez pas vu son visage
38 et sa parole n'habite pas en vous, puisque vous ne croyez pas en celui qu'il a envoyé.
39 Vous étudiez les Ecritures parce que vous pensez avoir par elles la vie éternelle. Ce sont elles qui rendent témoignage à mon sujet,
40 et vous ne voulez pas venir Ă  moi pour avoir la vie!
41 »Je ne reçois pas ma gloire des hommes.
42 Mais je vous connais: vous n'avez pas l'amour de Dieu en vous.
43 Je suis venu au nom de mon PĂšre et vous ne me recevez pas; si un autre vient en son propre nom, vous le recevrez.
44 Comment pouvez-vous croire, vous qui recevez votre gloire les uns des autres et qui ne recherchez pas la gloire qui vient de Dieu seul?
45 Ne pensez pas que c'est moi qui vous accuserai devant le PÚre; celui qui vous accuse, c'est Moïse, celui en qui vous avez mis votre espérance.
46 En effet, si vous croyiez Moïse, vous me croiriez aussi, puisqu'il a écrit à mon sujet. 47 Mais si vous ne croyez pas à ses écrits, comment croirez-vous à mes paroles?»
LA BIBLE
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quelquesmots02 · 3 years ago
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Tout est diffĂ©rent aprĂšs avoir connu l'amour. Le premier amour qui ouvre la porte aux sensations encore inconnues. Est ce que vous me croirez si je vous dis que je suis encore coincĂ©e au premier stade aprĂšs une rupture ? Oublier tous ces moments, toutes ces sensations qui capturent la peau et les espaces Ă  l'intĂ©rieur de notre tĂȘte, oublier la personne ; c'est difficile. Comment on fait ?
Puis, je me rends compte qu'on oublie jamais vraiment quelqu'un. Et mon cƓur bat fort. Trùs fort. De quoi ? je ne sais pas. Pourquoi ? je ne sais toujours pas.
Tout ce que je sais, c'est que je ne veux pas avoir mal. Mal de tous ces souvenirs.
Maintenant, je comprends toutes ces chansons qui parlent d'amours finis. (ma phrase fait clichĂ© mais c'est la vĂ©ritĂ© toute nue.) Je m'endors parfois en les Ă©coutant en boucle. Ça tourne entre apaisement et tristesse.
19/06/22
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coarseee · 4 years ago
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Aujourd’hui ma gĂ©nĂ©rositĂ© est de sorti
Je vous partage, Ă  vous lecteurs et lectrices une magnifique photographie.
Via cette photo, je veux vous témoigner la puissance du naturalisme.
Oui, cet photo a Ă©tĂ© prise naturellement, sans ĂȘtre voulus, par pure hasard.
C’est trùs beau, je vous l’affirmes
Lorsque que j’ai inspectĂ© cette image plus en dĂ©taille, j’ai ressentis une certaine aura Ă©manante de cette derniĂšre.
J’ai trouver sa curieux qu’une simple photo puisse procurer autant d’émotions.
J’ai essayĂ©, par la suite, de dĂ©celer toute ses Ă©motions dĂ©goulinante de cette photo.
Deux hypothÚses se sont présentées à moi.
L’amour : la prĂ©sence de deux personnes qui s’aimes et qui voulaient immortalisĂ© ce moment.
FraternitĂ©: deux frĂšres et sƓurs, extrĂȘmement proche avec une complicitĂ© hors du commun.
Que pensez-vous de cela ?
Pour tout vous dire, ce n’est ni de l’amour, ni de la fraternitĂ©
Mais une simple amitié
Eh oui les deux personnes figurant dans cette photo sont de simple amis.
Étrange vous me diriez
Analysons le peux d’émotion facial que nous pouvons observer
Un eyes contacte fort, gorger de mystùre et d’interrogation
Est-ce la un regard neutre ou un regard d’amour et de tendresse ?
Encore une fois, aucun de ses arguments n’est correctes.
Ces regards sont de simple regard d’amitiĂ©s
Époustouflant vous me diriez
Parlons du sourire de la jeune fille
Nous avons la un détaille assez intrigant
Ce sourire est difficilement saisissables
Il nous vĂ©hicule pas forcĂ©ment d’émotion ressentis.
Était-ce un sourire forcer ?
Était-ce un sourire honnĂȘte ?
Était-ce un sourire narquois ?
Nous le seront jamais malheureusement.
Une information a ne pas nĂ©gliger, le rapprochement de leurs visage, presque coller, prĂȘt Ă  s’embrasser.
Un élément qui laisse certains doutes sur leur relation dite « amical »
Parlons de l’endroit de la photo
Devant le reflet d’une fenĂȘtre
La jeune fille est assises sur un bureau.
Quand au jeune homme, il est debout entre ses jambes.
Sa mains gaucher positionne sur sa cuisse
Sa mains droite positionner sur son bassin.
De simple amis sont-ils
Un dernier point a éclaircir, leur intimité
Une forte intimité est présente entre ces deux personnes.
Ils paraissent insĂ©parables, on dirait mĂȘme qu’ils sont lier par le sang.
Pourtant ce ne sont que de simple amis.
Extraordinaire vous me diriez
Maintenant, j’ai une question à vous posez
Me croirez vous si je vous dis que c’est deux personne ne se parle plus.
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syruppawnao · 4 years ago
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Anniversaire Simeon 1-1 Ă  1-9
Demande d’anniversaire de Simeon
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Luke – MC, j'ai besoin de te demander quelque chose ! Tu sais que l’anniversaire de Simeon approche Ă  grands pas, non ? Il, euh
 m'aide toujours, alors j'aimerais lui organiser une fĂȘte
 pour lui dire merci. Est-ce que tu souhaites en faire partie ? MC - Je serais ravi d’aider ! / Est-ce une fĂȘte surprise ? Luke - Merci ! Je sais que nous pouvons rĂ©ussir ensemble ! Cela doit rester entre nous, d'accord- Aah! Asmo – MC ! Pour dĂźner ce soir
 Oh, bonjour Luke. Luke - Les dĂ©mons ne frappent jamais ?! J’ai presque fait une crise cardiaque ... Asmo – Tu tombe Ă  pic. Joins-toi Ă  nous pour le dĂźner ! Luke - Hein ? Asmo - Tada ! Le fabuleux menu de ce soir se compose de concombre de mer d'ombre gĂ©ant dans un ragoĂ»t de lait ! Mammon - Mec, ça a l'air gĂ©nial ! Luke - La-La-La chose bouge toujours ! Asmo - Mange de tout ton cƓur ♄ Luke - Ugh
 Mammon – Tu fais quoi ici tfaçon, Luke ? Asmo - À ce sujet, vous ne le croirez jamais ! Luke et MC avaient une rĂ©union secrĂšte derriĂšre notre dos ! Mammon – Quoi ? T’es un ange. Qu'est-ce que tu complotes ? Luke - Je ne suis pas comme vous les dĂ©mons ! Je suis juste en train de prĂ©parer un anniversaire surp-
 Oups. Lucifer - Ah, oui. L’anniversaire de Simeon approche. Luke -
 !
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Lucifer -
 je vois. Tu souhaites donc remercier Simeon pour sa gentillesse ? Luke - Oui, mais ne lui parle pas de ça ! Simeon – Ne lui parle pas de quoi ? Luke - DAAAH ! Simeon ? Simeon - Bonjour, Luke. Satan m'a dit que tu Ă©tais ici, alors je suis venu te chercher. Ta rĂ©union secrĂšte avec MC, est-elle terminĂ©e ? Luke - Comment est ce que tu peux ĂȘtre au courant ? Simeon - Hehe. Je peux gĂ©nĂ©ralement deviner ce que tu penses, Luke. MC - Qu'allons-nous faire, Luke ? / Il n'y a pas eu de rĂ©union secrĂšte. Luke - Merci, MC. Mais ça va. Je vais lui dire. Ton anniversaire approche, non, Simeon ? Je parlais Ă  MC d'organiser une fĂȘte pour toi. Je voulais que ce soit une surprise, mais
 Simeon - Vraiment
 ? C’est tellement attentionnĂ© de ta part, Luke. Merci. Satan - Puisque tu a perdu l’élĂ©ment de surprise, pourquoi ne fait tu pas un anniversaire de demande Ă  la place ? Luke - Qu'est-ce qu'un anniversaire de demande ? Satan - C’est assez simple. Simeon fait des demandes
 et nous les remplissons le jour de la fĂȘte. Belphie - Gotcha. Cela me semble bien. Lucifer - Simeon, tu as aussi fait beaucoup pour mes frĂšres. Ce serait une excellente occasion pour nous de dĂ©montrer notre gratitude. Simeon - Demandes
 ? Je ne sais pas quoi dire. Luke - Je
 je sais dĂ©jĂ  ce que tu veux ! Tu n’as pas Ă  me le dire ! Je vais te concocter quelque chose de trĂšs spĂ©cial, prĂ©pare toi bien !
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Simeon -
 Alors, c’est ce qui s’est passĂ©. Tout le monde est si attentionnĂ© que je commence Ă  me rĂ©jouir de mon anniversaire. Barb – Un anniversaire de demande, dis tu ? Quelle magnifique idĂ©e. Diavolo – Tu va, bien sĂ»r, nous faire des demandes aussi, je prĂ©sume ? Simeon - Pardon ? Barb - Nous souhaitons Ă©galement cĂ©lĂ©brer avec toi. Nous sommes camarades de classe, n'est-ce pas ? Simeon – Vous aussi les amis
 Merci. Je vous en suis reconnaissant. MC - Quelle est ta demande pour Diavolo ? / Quelle est ta demande pour Barbatos ? Simeon - A propos de ça
 J'ai une idĂ©e, mais je te le ferai savoir un peu plus tard. Diavolo - TrĂšs bien. Je serai patient. As-tu dĂ©jĂ  fait des demandes aux autres ? Simeon - Pas encore. Je devrais probablement me dĂ©pĂȘcher, mais rien ne me vient Ă  l'esprit. Diavolo - Il n'y a pas de prĂ©cipitation. Prends le temps de rĂ©flĂ©chir Ă  ce que tu veux vraiment. Barb - L'important n'est pas la demande elle-mĂȘme, mais de savoir si elle te fait sourire. Simeon - Hmmm
 Vous avez raison. Mais que demander ? HĂ©hĂ©, j'ai tellement d'options.
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Simeon - Je dois dire que le thĂ© et le gĂąteau de Barbatos ne déçoivent jamais. Cependant, je suis surpris que lui et Diavolo aient acceptĂ© de participer Ă  la fĂȘte. MC – Tu peux leur demander n'importe quoi. / La fĂȘte devrait ĂȘtre animĂ©e avec eux en plus. Simeon - Oui. C'est un honneur. Et tout cela grĂące Ă  Luke
 Oh, tu veux bien regarder ça. Un nouveau magasin de variĂ©tĂ©s a ouvert ici. Il y a une paire d'animaux en peluche dans la fenĂȘtre. Leurs pulls Ă  carreaux assortis sont adorables, non ? C’est ça. MC, de ta part, je voudrais quelque chose qui forme une paire. MC - Une paire ? / C'est parfait ! Simeon - N’est-ce pas ? En prime, Ça me dira comment tu aimerais passer du temps avec moi. Je peux difficilement attendre. MC - C’est beaucoup de pression. / Je ferai de mon mieux ! Simeon - Hehe. C'est bon. Tu peux y aller doucement
 Hmm ? Qui vient par ici ? Belphie - Oh ? MC. Simeon aussi. Beel - Est-ce que vous ĂȘtes sortis quelque part ? Simeon - Nous avons Ă©tĂ© invitĂ©s au chĂąteau du seigneur dĂ©mon pour prendre le thĂ©. Je suppose que vous ĂȘtes sur le chemin du retour du RAD ?
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Belphie - Ouais. J'attendais la fin du cours supplĂ©mentaire de botanique du Devildom de Beel. Il a fini par finir assez tard. Simeon - Botanique du Devildom
 Je pense que j’ai dĂ©cidĂ© ce que j’aimerais de vous deux. Belphie - Oh, pour la fĂȘte, hm ? Quoi ? Simeon - Connaissez-vous les fruits du crimson dogwood ? Beel - Je n'en ai jamais entendu parler. Belphie - Moi non plus. Simeon - C’est un fruit rouge avec des bosses noires qui brillent comme l’obsidienne. La rumeur veut qu'il pousse dans la forĂȘt du sud. C’est soi-disant l’un des fruits les plus dĂ©licieux du Devildom, alors j’ai toujours voulu en essayer un. Je voudrais que vous en preniez pour le dessert Ă  la fĂȘte. Beel - Allons-y, Belphie. Belphie - Hein ? Beel - Si c'est aussi bon, alors nous devons le trouver tout de suite. Belphie - H-Hey, attends ! Beeeeeeeeel! Simeon - Beelzebub est partie en portant Belphegor
 Est-ce que ça ira ? MC - Ça arrive tout le temps. / Je suis un peu inquiet. Simeon – Vraiment ? Bon, je considĂšre ma demande pour eux comme complĂšte. Au fait, es-tu disposĂ© Ă  t’arrĂȘter au Purgatory Hall ? J'ai une faveur Ă  demander.
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santiagotrip · 6 years ago
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Fin du voyage
Lundi 8 juillet - Mardi 9 juillet
Ce matin, je me suis levĂ© tard. 7 heures. A partir de 5 heures du matin, il me presse de reprendre la mochila. Je n’arrive pas encore Ă  me mettre dans la tĂȘte que c’est fini.
Aujourd’hui, j’ai commandĂ© le promĂšne-couillons pour Finisterre et Muxia. Finisterre parce que c’est la fin du monde (enfin Ă  l’époque oĂč on croyait que la terre Ă©tait plate), et Muxia parce que c’est un lieu lĂ©gendaire du pĂ©riple de Saint Jacques : La Virgen de la Barca. Je raconterai aprĂšs.
Bon, je vais pas vous la faire « carnets de voyage », j’en suis bien incapable et vous trouverez ça partout. Le rendez-vous est Ă  9h30 devant la CathĂ©drale. J’y suis. Vous ne le croirez jamais : Les premiĂšres personnes que je vois, auprĂšs du guide (il est reconnaissable, c’est le type Ă  la casquette jaune !), c’est le couple d’Italiens odieux que j’ai eu Ă  frĂ©quenter au moins trois ou quatre fois sur le trajet (En fait, je n’en ai souffert qu’une fois, les autres fois, je les ai ignorĂ©s et tout s’est bien passĂ©). Pendant une fraction de seconde, j ‘ai caressĂ© l’idĂ©e de rebrousser chemin. Et puis non, je vais quand mĂȘme pas changer mon emploi du temps pour deux blaireaux agressifs, tout italiens soient-ils ! En fait, durant tout le pĂ©riple, nous ne nous adresserons mĂȘme pas un regard et tout se passera bien. Pour eux comme pour moi.
Il y a une vingtaine de personnes dans le bus. Deux Français (un monsieur et une dame, qui se sont rencontrĂ©s sur le chemin, et ont marchĂ© un peu ensemble). Lui est un pro du Camino, il l’a fait plusieurs fois, et nous la joue « je connais tout », jusqu’à nous emmener dans le restaurant de Finisterre oĂč il connaĂźt tout le monde, et vous allez voir ce que vous allez voir, comment on sera reçus comme des rois ! En fait, personne ne le connaĂźt, bien Ă©videmment, mais il s’adresse aux gens comme Ă  des vieux potes, il embrasse le patron, parle trĂšs fort ... Dire que je suis gĂȘnĂ© serait faux. En fait, je ne sais plus oĂč me mettre.
Elle, vient de Nantes. Elle aurait Ă  peu prĂšs 65 ans (je demande pas leur Ăąge aux dames, c’est mon Ă©ducation qui veut ça). Elle boĂźte Ă  un point inimaginable. Je ne sais pas si elle a mal comme ça depuis longtemps, mais ça a l’air terrible. Sans que je ne lui demande rien, elle me tient un discours curieux. Elle a fait le chemin, parce que jamais de sa vie, elle n’avait fait quelque chose par elle-mĂȘme. Elle a toujours obĂ©i Ă  quelqu’un. Ses parents, ses profs, ses chefs, son mari. Elle me dit : « Je n’ai jamais rien dĂ©cidĂ© moi-mĂȘme ». Et dĂšs le premier jour du chemin, me dit-elle, elle s’est sentie enfin libre. Je n’ai pas osĂ© lui demander l’effet que ça lui faisait de rentrer, mais elle m’a fait un peu froid dans le dos. Je ne pensais pas que de nos jours, une femme pouvait encore se sentir soumise Ă  ce point.
On est donc allĂ©s Ă  Finisterre. C’est vrai que ça fait un peu bout du monde. Quelques photos pour vous faire montrer (c’est absolument pas français, mais j’aime bien).
Un peu avant d’arriver Ă  Finisterre, Ă  DumbrĂ­a, il y a une curiositĂ©. Le Rio Mino n’est pas au niveau de la mer. Il s’y jette aprĂšs une chute d’eau gigantesque. Évidemment, les gens se servent de cette Ă©norme source d’énergie pour faire fonctionner des turbines et fabriquer de l’électricitĂ©
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À Dumbría, il y a le plus gros horreo du monde :
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Et voilĂ  donc Finisterre
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Une autre :
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Et encore une. Partout, des petits « totems », oĂč les gens laissent leur marque ou une intention de priĂšre pour un de leurs proches.
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Et si d’aucuns doutaient qu’ on est tout prùs du Portugal :
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On est remontĂ©s dans le bus en direction de Muxia. Il faut quand mĂȘme que je vous raconte le voyage en bus, ça fait longtemps que je n’ai pas rĂąlĂ©. Juste devant moi, trois Italiens Ă  gauche, deux Italiens Ă  droite. Au dĂ©but, ça va. mais petit Ă  petit, ils deviennent copains. Et alors, je ne sais pas comment vous dire, plus ils sont copains, et plus il faut que tout le monde le sache. Jusqu’aux hurlements et aux Ă©clats de rire. Mais quand je dis Ă©clats de rire, c’est un euphĂ©misme ! Je ne savais pas que de si petits corps Ă©taient capables d’émettre de tels niveaux sonores. Ca, c’est pour la qualitĂ©. Maintenant, la quantitĂ©. En une heure de trajet, de Finisterre Ă  Muxia, il n’y a pas eu dix secondes de rĂ©pit. Evidemment, je ne sais pas de quoi ils ont parlĂ©, mais ils ont parlĂ©. Enfin, si on peut parler de “parler” !
Personne ne rĂąle, dans le bus, alors que moi, j’ai les tympans qui vrillent. Je me dis que je suis peut-ĂȘtre un fĂącheux, alors je change de place et m’installe au fond du bus. J’entends toujours les Italiens, mais moins. Le bonheur. Enfin, trois minutes de bonheur. Juste derriĂšre moi, Ă  droite, un Espagnol. CĂŽtĂ© fenĂȘtre. Juste derriĂšre moi, Ă  gauche, une Espagnole. CĂŽtĂ© fenĂȘtre. Et ils se mettent Ă  parler. Fort d’abord, puis trĂšs fort. Puis trĂšs trĂšs fort. Je me demande s’ils font un concours avec les Italiens. Je suis tentĂ© de dire au monsieur de s’asseoir Ă  cĂŽtĂ© de la dame, de sorte de ne pas ĂȘtre forcĂ© d’hurler pour faire traverser au son la largeur du bus, mais j’en ai marre de passer pour le casse-pieds de service. Alors je sors mes Ă©couteurs, je me les colle bien profond dans les oreilles et je mets de la musique. Dire Straits, pour les gens qui connaissent. Ca ne suffit pas Ă  couvrir les voix des Espagnols, mais c’est mieux que rien. En plus, c’est joli. Ai-je rĂ©ussi, de façon subliminale, Ă  vous faire sentir que j’avais vĂ©cu un voyage en bus tout simplement infernal ?
Nous arrivons Ă  Muxia. La “Virgen de la Barca’ (la Vierge de la barque). Je vous raconte la lĂ©gende : L’apĂŽtre Jacques, venu de Palestine pour Ă©vangĂ©liser l’Europe, se retrouve, aprĂšs un pĂ©riple inouĂŻ, Ă  Muxia. Il est crevĂ© et dĂ©moralisĂ©. Il s’assied sur un rocher en regardant la mer, et il dit Ă  Dieu “Je n’en peux plus, des mois, des annĂ©es que je marche et que je parle, j’en vois des vertes et des pas mĂ»res, j’en prends parfois plein la figure, j’en ai, pour tout dire, ras la casquette. Alors soit tu me fais un signe tangible pour m’encourager, soit je te rends mon tablier” (c’est son discours en substance, je ne suis pas sĂ»r des mots exacts). Et lĂ , il voit, sur la mer, s’approchant de lui, la Vierge Marie, debout sur une barque en pierre. Elle lui sourit et lui dit qu’il a bien travaillĂ©, que Dieu est fier de lui et qu’il peut rentrer chez lui, en Palestine, pour vaquer Ă  ses occupations. Et effectivement, Ă  proximitĂ© de la mer, il y a une Ă©norme pierre ressemblant Ă  une barque Ă  l’envers, et une trĂšs grosse pierre plate en Ă©quilibre, qui serait la voile de la barque. On dit que si un homme parvient, Ă  la seule force de ses bras, Ă  la faire pivoter, alors ses pĂ©chĂ©s lui seront remis. Aujourd’hui, il y a de moins en moins de pĂ©chĂ©s Ă  remettre, parce que comme c’était dangereux, la pierre a Ă©tĂ© scellĂ©e au sol.
Voilà le décor
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Ça, c’est la barque (Ă  l’envers, Ă©videmment !
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Et ça, c’est la voile
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On se balade un peu, et on reprend le bus vers Santiago. Je ne sais pas si les Italiens sont toujours copains ni si les Espagnols ont fini par se marier, j’ai mis mes Ă©couteurs sur les oreilles, la musique, et je me suis endormi.
Je me rĂ©veille Ă  Santiago, oĂč je fais quelques courses, histoire de rapporter des bricoles en France. Je trouve un petit restaurant qui propose un “menu peregrino”, je mange et je rentre Ă  l’hĂŽtel. Au passage, si, sur tout le chemin, on mange trĂšs bien pour 10€, voire moins, Ă  Santiago, il est difficile de trouver un menu Ă  moins de 16, voire 20€. Tu penses, ils sont pas fous !
A l’hĂŽtel, comme je vous l’ai peut-ĂȘtre dĂ©jĂ  dit, j’ai des soucis avec mon tĂ©lĂ©phone. J’ai deux cĂąbles pour le charger, l’un qui vient de France et l’autre que j’ai achetïżœïżœ Ă  Burgos (je crois ...), les deux cĂąbles sont morts. Quand, au prix d’efforts terribles, je parviens Ă  voir la petite icĂŽne qui indique la charge, il faut que je cesse d’y toucher, et mĂȘme de la regarder. Pour taper 100 lignes, c’est sportif. En plus, j’en aurai besoin demain, mes billets de bus et d’avion sont dessus ! Tant pis, je ferai ça dans l’avion (J’avais juste oubliĂ© que dans l’avion, il n’y a pas d’Internet !), et c’est la raison pour laquelle je suis en train d’écrire depuis mon bureau, Ă  FaviĂšres, en compulsant les notes que j’ai prises Ă  l’hĂŽtel pour ne rien oublier.
Mardi matin donc, je quitte l’hĂŽtel vers 8h30. Le bus est Ă  midi, j’ai le temps de me promener et de terminer mes achats. Je prends des photos, je me laisse aller au hasard dans les rues de la ville ... C’est ce qui est bien avec le GPS. On peut se perdre pendant des heures, il retrouve toujours le chemin. J’ai la mochila sur le dos, Ă©videmment. Avec plaisir. Depuis lundi, je marche seul, elle reste Ă  l’hĂŽtel. Mais je me sens mieux avec elle. Comme une prĂ©sence rassurante. Comme une partie de moi.
Me voilĂ  au terminal des bus. Je ne sais plus si je vous l’ai dit, pour des raisons financiĂšres et pratiques, l’astuce, plutĂŽt que de prendre l’avion Ă  Santiago, consiste Ă  descendre en bus jusqu’à Porto, oĂč on prend un avion Ryanair pour Beauvais. C’est moins de moitiĂ© moins cher.
Dans le bus, rebelote ! Mais cette fois, avec une AmĂ©ricaine qui raconte sa vie avec une voix insupportable, Ă  un niveau moyen de 95 dĂ©cibels. LĂ , je vais la voir, et avec un sourire, je lui demande de bien vouloir baisser le niveau sonore. Elle me regarde avec des yeux de merlan frit, mais obtempĂšre. Quand je retourne Ă  ma place, plusieurs personnes me font signe qu’ils partagent mon agacement et me remercient. Sauf que l’AmĂ©ricaine monte le son petit Ă  petit au point qu’un quart d’heure plus tard, c’est comme si je n’avais rien demandĂ©. Je jette un regard autour de moi, plusieurs personnes me regardent d’un oeil mouillĂ© pour que j’y retourne. Zut, Ă  la fin ! Je ne suis pas le ronchon de service ! Alors je regarde un monsieur Ă  cĂŽtĂ© de moi, et je lui dis que lui aussi, il peut intervenir. Elle va quand mĂȘme pas le manger, l’AmĂ©ricaine ! Et je le dis en français, en anglais et en espagnol, suffisamment fort pour que tous mes voisins l’entendent. HĂ© bien croyez-moi si vous voulez, personne ne s’est levĂ© ! Ils ont tous baissĂ© le nez et l’AmĂ©ricaine a terminĂ© le voyage au bord de l’extinction de voix. Moi, je m’en moque, j’avais mes Ă©couteurs et Dire Straits.
Un autre truc amusant, sur ce voyage en bus. Au milieu du chemin, le bus s’arrĂȘte pour prendre des passagers. Je suis Ă  la place n°2. la place n°1, Ă  cĂŽtĂ© de moi, cĂŽtĂ© fenĂȘtre, est libre. Les gens derriĂšre moi, aux places 5 et 6 dorment profondĂ©ment. Un type monte. Il a la place n°5. Je lui fais signe qu’il peut laisser les gens dormir et qu’il vienne s’asseoir Ă  la place n°1, puisque c’est exactement la mĂȘme que celle qu’il aurait dĂ» occuper, Ă  cinquante centimĂštres prĂšs. Et lĂ , il se fĂąche. Il me montre que sur son billet, c’est marquĂ©Â â€œplace n°5″ et que c’est quand mĂȘme un comble que quelqu’un se permettre de s’installer Ă  la place n°5 alors que c’est la sienne ! Il a donc secouĂ© la jeune fille (car c’était une jeune fille) qui dormait Ă  la place n°5 pour la rĂ©veiller afin qu’elle se rende bien compte de l’incivilitĂ© qu’elle venait de commettre. Donc, tout le monde se lĂšve, le type prend la place n°5, dans une posture victorieuse, son voisin (qu’il a Ă©videmment rĂ©veillĂ© aussi) se rassied, et la jeune fille vient s’asseoir Ă  cĂŽtĂ© de moi, Ă  la place n°1, aprĂšs, Ă©videmment, que je me sois levĂ© aussi pour la laisser passer.
Mais bon, il a raison, le type ! Si on laisse faire des choses pareilles, petit Ă  petit, on se fait dĂ©border et tout fout le camp ! En plus, je suis dĂ©solĂ©, mais j’ai vu de mes yeux que sur son billet, c’est bien la place n°5 qui lui Ă©tait affectĂ©e !
On arrive Ă  l’aĂ©roport de Porto. C’est rigolo, l’avion ! Il y a deux heures de vol, mais on poireaute quatre heures dans l’aĂ©roport, plus une heure Ă  l’arrivĂ©e pour rĂ©cupĂ©rer la mochila. Sinon, ben c’est rapide !
Vers 22 heures, j’arrive Ă  Beauvais, oĂč AgnĂšs m’attend. Evidemment, je suis heureux, Ă©videmment je suis content de la retrouver, Ă©videmment j’ai hĂąte d’ĂȘtre Ă  la maison. 
Mais je me force. Comme je le disais, un grand vide. Je pense aux autres, Ă  Valentino, Gauthier, Kaska, Pier, Eric, la mochila sur le dos, qui cheminent. Et moi, j’ai fini. Un grand coup de blues. La seule chose qui me console, c’est que je sais que ça ne va pas durer. Mais Ă  cet instant prĂ©cis, et tout le temps du trajet, je me sens mal. L’idĂ©e gĂ©nĂ©rale, c’est “qu’est-ce que je vais faire, maintenant ?”. C’était tellement fort, tellement dĂ©lirant, tellement inhabituel, tellement impossible que je me demande ce qui pourrait bien, maintenant, me faire vibrer Ă  ce point.
On verra bien. Je ne suis pas Ă  court de ressources !
VoilĂ , c’est la fin du voyage. Je suis dĂ©solĂ© de finir sur une note un peu tristounette, mais je vais quand mĂȘme pas vous mentir. C’était magnifique, merveilleux, indescriptible. Moi qui dĂ©teste autant la marche, que le sport, que le tourisme, j’ai vĂ©cu trois mois d’une intensitĂ© rare.
C’est que le chemin, ce n’est ni de la marche, ni du sport, ni du tourisme. C’est unique. Il y a incontestablement quelque chose de surrĂ©el dans le Camino. Quelque chose d’inoubliable. Quelque chose qui vous change un bonhomme.
Est-ce que quelque chose a changĂ© pour moi ? Je ne sais pas. Aujourd’hui, je suis encore sonnĂ©. Je n’arrive pas Ă  me dire que c’est fini. Demain, debout Ă  5 heures, la mochila est prĂȘte, je sangle mes chaussures, je n’oublie pas mes bĂątons, mon bob sur la tĂȘte. On y va.
D’ici quelques semaines, j’aimerais Ă©crire un billet. Juste pour dire ce qui reste quand on a tout oubliĂ©.
Et puis je voudrais dire mon immense gratitude Ă  tous ceux qui m’ont suivi, soutenu, encouragĂ© ... Tous ceux aussi qui, par leurs mails, leurs SMS, leurs coups de fil, m’ont rappelĂ© que ce n’est pas que pour moi que je suis parti, mais pour eux aussi.
Et que d’une certaine façon, eux aussi, ont fait le Camino.
Et moi, vidant mon sac Ă  dos de toutes les belles personnes qui y avaient pris place, j’ai dĂ©posĂ© un petit morceau de chacune d’elles sur la Praza do Obradoiro, le parvis de la CathĂ©drale. Il ne tient qu’à vous de venir vĂ©rifier que le vĂŽtre est toujours lĂ .
Buen Camino.
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feunos · 6 years ago
Text
Le monde Infernal Ch1
Kay                                                    CH1 L’arrivĂ© en enfer
Nous somme Ă  Paris le 3 septembre, C’est la rentrĂ© des classes pour les Français. A 7h00 du matin un jeune garçon ce rĂ©veil dans son lit, le soleil brille et une belle et chaude journĂ©e s’annonce.
-Enfin la rentrĂ© des classe !! Je vais pouvoir aller au lycĂ©e avec Sakura, faut que je m’habille bien pour cette rentrĂ©e. (Kay)
Je m’habillai vite, fallait que je sorte pour 7h30, je pris un bermuda en jean et un teeshirt noir avec une faucheuse en gris dessus. Puis un petit dĂ©jeunĂ© rapide, une pomme pote, un pain au lait et un verre de lait.
-Kay moins vite tu vas t’étouffer. (MĂšre de Kay)
-Oui maman, mais je dois retrouver Sakura devant chez elle Ă  7h30. Faut que j’y aille, je vais ĂȘtre en retard. (Kay)
-Bonne rentré mon chéri. (MÚre de Kay)
J’étais dĂ©jĂ  entrain de courir, Sakura m’attend, je suis tellement heureux de pouvoir aller dans le mĂȘme lycĂ©e qu’elle. On Ă©tait les meilleurs amis du monde en primaire mais mĂȘme si on a que quelques maisons d’écart entre chez nous, on n’a pas Ă©tait dans le mĂȘme collĂšge. Mais on Ă©tait restĂ© meilleurs amis, on continuĂ© de ce voir, on a choisi le mĂȘme lycĂ©e pour ĂȘtre ensemble.
-Kay, je suis là ! (Sakura)
-Bonjour Sakura, comment sa va ? (Kay)
-Bien et toi ? (Sakura)
-Sur excité pour la rentrée. (Kay)
-C’est bien toi. (Sakura)
Elle c’était mise Ă  rire, son rire est tellement magnifique. Je dois lui avouĂ© mes sentiments cette annĂ©e, elle est tellement belle, intelligente, gentil et sensible.
-C’est pas tout mais on va louper notre mĂ©tro si tu reste rire pendant une heure. (Kay)
-Ah oui, désolé. On y va. (Sakura)
AprĂšs une marche d’à peu prĂšs une demi-heure on arriva au mĂ©tro juste Ă  temps, pour le notre. On avait de la chance, il y avait beaucoup d’élĂšves monde dans notre wagon, mais on avait pu trouver des siĂšges pour s’assoir.
-Au faite, tu es parti oĂč pour t’es vacance d’étĂ© Sakura ? (Kay)
-Je suis allé voir ma grand-mÚre au japon avec mes parents et mes frÚres. Et toi ? tu es parti un peu avant moi. (Sakura)
-Oui, je suis allĂ© avec mes parents voir ma grande sƓur au canada pendant une semaine. C’était super, il faisait super beau et chaud, il y avait des super lieux. En plus je vais bientĂŽt ĂȘtre oncle, ma sƓur est enceinte de deux mois. (Kay)
-GĂ©nial, ça Ă  du ĂȘtre super, moi je vais tout le temps au japon, mĂȘme si j’adore mon pays d’origine, j’aimerai aller ailleurs de temps en temps. (Sakura)
-Je sais, la prochaine fois, tu viens avec moi au canada et moi je viendrai avec toi au japon. T’en pense quoi ? (Kay)
-Ca serait génial ! (Sakura)
-Alors je te promets que je partirais avec toi soit au canada soit au japon pour les prochaines vacances. Promis ? (Kay)
-Promit

 . (Sakura)
Ce fut le trou noir, je m’étais Ă©vanoui dans le wagon. J’ai chaud. J’ouvris les yeux et vis un dĂ©sert rouge. Mais oĂč je suis ? Comment je suis arrivĂ© lĂ , j’étais dans le mĂ©tro avec Sakura. Sakura !!! OĂč est elle, je la vois pas. Je dois la trouvĂ©, qu’est ce que, il y a quelqu’un qui arrive. C’est un garçon, je vais lui demandĂ© ce qui ce passe.
-Salut, il se passe quoi on est oĂč ? (Kay)                      
-Moi je ne sais pas, j’ai atterri y’a quelque minute. Mais faut fuir y’a des monstre qui me poursuive, dĂ©solĂ©. (Le garçon)
Hein des monstres ?, le soleil lui Ă  tapĂ© sur la tĂȘte. Je me tournai vers l’endroit qu’il Ă©tait venu, il y avait un groupe d’homme qui arrivais. Je dois aller leur demander de l’aide. Je m’approcha du groupe lorsque je vis une femme courir vers le groupe, surement pour demander aussi de l’aide. Mais lorsqu’elle arriva prĂšs d’eux, elle se retourna pour fuir mais les hommes se jetĂšrent sur elle pour la manger. C’était horrible, je dois fuir, fuir. Mais lĂ  un des hommes me vis et tous commencĂšrent Ă  venir vers moi.
Je couru pendant au moins 5 minute je l’ai ne pouvais plus les voir. Mais je me doutais qu’ils Ă©taient derriĂšre moi, je marcher pour reprendre mon souffle et lĂ  je vis le garçon Ă  cotĂ© d’un corps. Je me rapprocha prĂšs de lui, et je reconnu Sakura, enfin je l’avais retrouvĂ©.
-Tu es toujours vivant, tu la connais ? (le garçon)
-Oui, c’est ma meilleur amie Sakura. J’ai vus les monstres, c’est des zombies ? (Kay)
-Je ne sais pas et je leur ai pas demandé, aide moi à la réveillé, ils ne vont pas tarder à arriver. (Le garçon)
-Sakura, Sakura réveille toi.  (Kay)
Je la frappa pour la réveille, ce qui fonctionna mais je me sentais un peu mal.
-Qu’est ce qui ce passe ? C’est qui lui ? On est oĂč ? (Sakura)
-Désolé, mais il y a pas le temps pour les questions de ta copine, ils arrivent, ils sont lent mais endurant. (Le garçon)
-Sakura faut courir ou ils vont nous tués. (Kay)
-Ok

 . (Sakura)
On ce mit Ă  courir pour distancĂ© les monstres, le garçon nous guida vers la dune en disant que en nous ne voyant pas ils ralentiront. On l’écouta et on courut vers la dune, mais une fois de l’autre cotĂ©, il y avait un autre groupe de monstre. On couru de l’autre cotĂ© mais le groupe nous avais rattrapĂ©, ils nous avaient piĂ©gĂ©s. Ils se rapprochaient de plus en plus et en regardant de prĂšs ils Ă©taient tous vert sauf un qui Ă©tait rouge.
-Kay, j’ai peur. On va faire quoi. (Sakura)
-T’inquiĂšte, je vais te protĂ©ger. (Kay)
Les monstres Ă©taient presque sur nous, je savais me battre mais avec un si grand nombre je pensĂ© pas tenir le coup. Peut-ĂȘtre permettre Ă  Sakura de fuir. Pendant que j’étais en train de rĂ©flĂ©chir, un des monstres attrapa l’autre garçon alors plusieurs d’entre eux se jeta sur lui. On Ă©tait foutu, ils Ă©taient vraiment trop nombreux. Mais au  moment oĂč je perdis tout espoir, deux garçons apparu aves une Ă©pĂ©e en main, ils dĂ©capitĂšrent plusieurs monstres. Puis un ce tourna vers nous.
- Vite suivaient-nous ! (un des garçons)
  On suivi les deux garçons, mais le monstre rouge me mordis pendant qu’on s’échappa. On rĂ©ussi je ne sais comment Ă  semĂ© le groupe de monstre. On marcha pendant au moins deux bonne heures dans ce dĂ©sert, ils nous avaient pas parlĂ© pendant ce temps Ă  part pour nous dire de marcher plus vite. Bon ils nous avaient quand mĂȘme donnĂ©s de l’eau.
-Je pense que c’est bon, on doit ĂȘtre assez loin pour qu’ils ne nous repĂšre plus. Vous avez de la chance qu’on vous ait sortie de lĂ . Sinon vous seriez devenu de la pattĂ© Ă  zombie. (Le garçon qui nous avez parlĂ©)
-C’étaient des zombies ces trucs !!, ils ne ressemblent pas aux zombies des films. Et plus important on est oĂč, c’est quoi cette merde ?! (Kay)
Le garçon qui nous avait rĂ©pondu me regarda fixement, il avait les cheveux bruns foncĂ© court et en bataille, il Ă©tait trĂšs grand, il devait avoir vers les 18 ans. Il regarda aprĂšs son ami, l’autre garçon, celui-ci Ă©tait trĂšs diffĂ©rent, il avait les cheveux long, blanc gris. Puis le brun ce tourna vers moi.
-Vous ĂȘtes nouveau ici ? (le brun)
-Oui, eux
. (Kay)
Sakura pris la parole d’un coup.
-On Ă©tait dans le mĂ©tro de paris pour aller au lycĂ©e et on c’est Ă©vanouis. Et lorsqu’on c’est rĂ©veillĂ© on Ă©tait ici. Moi, c’est Sakura et lui c’est Kay. Merci de nous avoir sauvaient. (Sakura)
-C’est rien, on aide les gens de temps à autre. Moi c’est Jordan et voici Peter.  (Jordan)
-Vous savez oĂč on ce trouve ? (Sakura))
-Oui, mais si je vous le dis, vous ne me croirez pas.
Comment ça on n’allait pas le croire, il nous prend pour des dĂ©biles. Je ne l’aime pas ce Jordan. Faut rĂ©gler ce problĂšme, on doit rentrer tout les deux, cet endroit est trop dangereux.
-Jordan tu pourrais ĂȘtre plus sympa, dit leurs oĂč ils sont. (Peter)
L’autre sait parler, wah, il n’avait pas sorti un mot, en plus il a parlĂ© qu’à son pote. Si tu veux qu’on sache la vĂ©ritĂ© alors dit le nous.
-Bon alors, je vous souhaite la bienvenue dans le monde infernal. (Jordan)
-Comment ça le monde infernal, c’est l’enfer ? Comment on a atterrie ici. (Kay)
Moi et Sakura on commença Ă  paniquĂ© complĂštement, on Ă©tait en enfer c’est quoi ce bordel, pourquoi ? On a rien fait de mal, on n’a commis aucun pĂ©chĂ©.
-Vous arrivez ici par la volontĂ© de dieu, ceci n’est pas l’enfer c’est pire. Vous ĂȘtes toujours vivant, dieu vous a tĂ©lĂ©portĂ© dans ce monde. Je vais vous expliquer pendant qu’on marchera vers notre repaire. (Jordan)
Il nous fit signe de les suivre, mĂȘme si moi et Sakura on Ă©tait choquĂ©, on savait que c’était notre seul chance de survivre dans ce monde. On marcha pendant un moment, puis lorsque je commençai Ă  me calmĂ© Sakura pris la parole.
- Donc on n’est pas en enfer, mais c’est dieu qui nous a envoyĂ© ici.
-Oui, enfaite faut que je vous donne un petit cours d’histoire du monde humain. Il y a des milliers d’annĂ©e l’homme Ă©tait attaquĂ© tout le temps par les dĂ©mons, donc dieu rentra en guerre pour protĂ©gĂ© les humains. Mais elle fut terrible, il perdit tout ses enfants, aprĂšs la mort du dernier il dĂ©cida de faire la paix avec les dĂ©mons mais aussi on Ă©tait au bord de l’extinction. Les dĂ©mons ne voulaient pas laisser les humains alors dieu fit ce marché : les dĂ©mons laisse la terre tranquille en Ă©change ils pourront faire ce qu’ils veulent au humain qu’il enverra dans une dimension de poche qui crĂ©a. Le diable a acceptĂ© le marchĂ©, donc dieu envois souvent des humains dans ce monde pour servir de jouĂ© au dĂ©mon. (Jordan)
-Donc on est des sacrifices, il nous prend pour des moutons. Comment on rentre chez nous ? (Kay)
- On n’est pas tous des moutons, dieu nous a pas envoyĂ© mourir, on peut ce dĂ©fendre dans ce monde. On a bien tuĂ© c’est zombies tout Ă  l’heure. De plus on voit rarement des dĂ©mons, on voit surtout les monstres qu’ils ont crĂ©Ă©s pour nous. De plus il est impossible de partir et personne ne vous cherchera car dans le monde des humains vous ĂȘtes mort, au bout d’un moment vous vous souviendrez de votre façon de mourir. (Jordan)
-On est mort dans le monde humain ?! (Kay)
-Oui, dieu essaye de ne pas laisser la famille dans le doute, une disparition et pire qu’une mort car on ne sait pas si la personne et morte ou non. Moi en tout cas je prĂ©fĂšre que mes parents pense que je suis mort, et non qu’il me cherche Ă  s’en Ă©puisĂ© mentalement et physiquement. (Jordan)
Jordan avait raison, c’est surement le plus facile pour nos parents. Mais cela veux dire qu’on ne reverra plus jamais nos parents, maman, papa. Pourquoi ce matin je suis parti aussi pressĂ©, je n’ai mĂȘme pas dit en revoir Ă  ma mĂšre correctement. C’est idiot comme pensĂ©.
-Donc les zombies on était crées par un démon ? (Sakura)
-En parti. (Jordan)
-Comment ça en parti ? (Kay)
-Enfaite le rouge que vous avez vue Ă©tait le premier zombie du groupe, un zombie Ă  donnĂ© un virus dĂ©moniaque pour que ça le transforme et qui le transmette Ă  d’autre humain. Si tu es mordu tu deviens un zombie vert car ils n’obtiennent pas tous les pouvoirs du rouge. Le rouge est plus fort, plus rapide et intelligent. (Jordan)
D’un coup je me senti mal, j’avais la tĂȘte qui tourne. Il fait trop chaud, je me sens mal. Je tombai par terre et tout le monde s’approcha de moi. Peter me regarda un instant puis ce tourna vers Jordan.
-Il c’est fait mordre. (Peter)
-Oui je sais, ça se voie au symptÎme. Qui ta mordu, un vert ou le rouge ? (Jordan)
-C’est le rouge. (Kay)
-On c’est fait avoir, il a du nous sentir venir de loin. Il l’a mordu pour pouvoir nous suivre jusqu'Ă  notre planque. Peut-ĂȘtre qu’on n’aurait pas dĂ» les sauver. (Peter)
-Tu rigoles lĂ , c’est toi qui a insistĂ© pour les sauver. On a encore des remĂšdes contre le virus Ă  la planque. Mais le rouge saura oĂč on est, ce n’est pas si grave, on aura qu’à le tuĂ© demain. (Jordan)
Jordan m’attrapa le bras et me mis sur ses Ă©paules et commença Ă  marchĂ©.
- Tu ne voulais pas nous sauver, pourquoi ? (Sakura)
-C’est compliquĂ©, il y a longtemps on a aidĂ© une personne qui venait d’arrivĂ© comme vous, il a rejoint notre groupe parce qu’on s’entendait bien. Mais en faite il s’agissait d’un espion d’un grand groupe qui tue et vole les autres. On s’est fait donc fait piĂ©ger et on ne veut pas encore se faire avoir, pour vous, on vous a cru sinon vous ne seriez pas lĂ . (Jordan)
-Sinon comment ce truc rouge peu me suivre ? (Kay)
-Simple, par magie, il est plus doué que les autres.  On va bientÎt arriver, vous allez pouvoir vous reposer ainsi que vous restaurer. (Jordan)
On s’approchait de plus en plus d’une formation rocheuse qui sortait de ce dĂ©sert rouge. Jordan me posa Ă  terre pendant que lui et Peter allaient sur le cotĂ© la formation rocheuse. Puis ils appuyĂšrent sur plusieurs pierres en mĂȘme temps, puis un bruit de mĂ©canique se fit entendre et une partie de la roche s’éleva pour ouvrir un passage cachĂ©.
-C’est donc votre cachette, vous ne devez pas avoir beaucoup de problùme de voisinage. (Sakura)
-Oui, c’est vrais. On ferait mieux de rentrer la nuit va pas tarder, vient là toi. (Jordan)
Il me prit par l’épaule et rentra dans le passage, Sakura le suivi puis Peter ferma la marche, il s’avança vers un levier et le baissa ce qui ferma le passage. La caverne n’était pas du tout sombre, il y avait des mousses phosphorescentes sur le plafond ce qui l’éclairĂ©. On entendait un bruissement d’eau, il y avait comme des piĂšces dans cette grotte, j’en comptais sept. Trois Ă  droite, trois Ă  gauche et une au bout de ce hall. Peter entra dans l’une d’elle, la premiĂšre Ă  droite et on entendit fouiller, pendant ce temps lĂ , Jordan Ă©tait rentrĂ© dans une autre piĂšce de la caverne celle du bout. Puis on entendit plus de bruit et Peter revint avec une fiole.
-Jordan j’ai trouvĂ© l’antidote. Tu fais quoi, je lui donne ? (Peter)
-Non, j’arrive ! (Jordan)
-Pourquoi vous ne voulez pas la donner !! il est de plus en plus mal !! S’il vous plaĂźt aidĂ© le. (Sakura)
Jordan arriva pendant que Sakura paniquĂ© pour moi, j’étais de plus en plus engourdit. Jordan tenais un sachet dans sa main.
-Ca sert Ă  rien de lui donnĂ©, le virus du premier et plus puissant que celui d’un vert. Faut rajouter une fleur de lumiĂšre, comme celle de ce sachet. Peter donne moi le remĂšde. (Jordan)
Jordan mĂ©langea la fleur Ă  la potion, puis il secoua et me la fit boire d’un coup. Le remĂšde me fit de l’effet de suite.
-Merci beaucoup, je me sens mieux. Je ne sais pas ce qu’on aurait fait s’en vous. (Kay)
-Kay !!! Merci de l’avoir sauvĂ© et je m’excuse d’avoir criĂ©. (Sakura)
-on va vous montrer la chambre d’ami et on va vous donner à manger. (Jordan)
-Je vais chercher de la viande séchée et des fruit secs. (Peter)
Il alla dans la piĂšce du milieu Ă  droite, pendant que Jordan nous guidait vers celle du milieu Ă  gauche. La piĂšce Ă©tait en faite plus une bibliothĂšque qu’une chambre, il y avait des Ă©tagĂšres rempli de livre. Mais au milieu de la grande piĂšce il y avait des espĂšces de canapĂ© en pierre trĂšs grand, avec une table en bois entre les deux. Jordan s’approcha d’un coffre derriĂšre une des banquettes et il y sorti deux Ă©normes fourrures trĂšs Ă©paisses.
-Chacun son lit, tenait, ces fourrures sont trĂšs Ă©paisses, elle remplace les matelas dans cette grotte et elles sont trĂšs chaudes. (Jordan)
-VoilĂ  le repas! (Peter)
Il Ă©tait revenu avec un grand plateau avec du pain, des saucissons, du jambon, des dattes, des abricots sec, du beurre et du fromage. On mangea ensemble sur les banquettes, puis d’un coup Jordan se mit Ă  parler.
-Demain on vous conduira dans un village, et de là vous vous débrouillerez.  (Jordan)
-Tu pourrais ĂȘtre plus sympa, pourquoi ne pas les entrainer. (Peter)
-Tu es sĂ»r de toi, tu te souviens de la derniĂšre fois ? Tu te souviens comment ça c’est fini, dĂ©solĂ© mais je n’ai plus confiance en l’homme. (Jordan)
-Anna l’aurai fait elle. (Peter)
Qui est cette Anna, en tout cas cela mis en colĂšre Jordan qui fusilla du regard Peter. Il Ă©tait trĂšs fĂąchĂ©, ils ne vont pas se battre quand mĂȘme ? Puis Jordan commença Ă  s’apaisĂ©, il se leva et se dirigea vers la sortit mais il s’arrĂȘta devants le seuil de la sortit.
-D’accord pour les garder, mais dĂšs qu’ils ont un niveau correct ils s’en iront. De plus s’ils font des missions, on prendra 50% de leur part de gain, ce sera notre rĂ©munĂ©ration pour leurs entrainements. Vous me donnerez votre rĂ©ponse demain matin, bonne nuit. (Jordan)
Je pensĂ© au dĂ©part que Jordan Ă©tĂ© le plus sympa des deux, mais c’était le plus froid, le plus distant. MĂȘme si Peter ne nous parlait pas directement on ne le dĂ©rangĂ© pas, alors que pour Jordan on Ă©tait comme une Ă©pine dans la main. Peter lui souriait tout content de l’avoir fait changer d’avis, puis il se leva, nous salua et parti. On ce retrouva moi et Sakura seul dans notre chambre, on allait enfin pouvoir parler.
-Ils sont bizarres l’un comme l’autre, tu ne trouve pas Sakura ? (Kay)
-Non pas tellement que ça, je pense que la trahison qu’ils ont subit, a affectĂ© Jordan trĂšs durement. Pour Peter je pense que le problĂšme est autre, il nous aime bien, il est peut ĂȘtre timide. (Sakura)
-Pourquoi tu leur donne des excuses pour leur comportement ? (Kay)
-Parce qu’ils sont gentil dans le fond, de plus je pense que cette Anna Ă  quelque chose Ă  voir avec le comportement de Jordan. Vu que Peter en  a parler au passĂ©, elle doit ĂȘtre morte. N’oublie pas qu’ils nous ont sauvĂ©, je ne  pense pas qu’ils soient mĂ©chant. (Sakura)
Sakura avait raison, ils nous avaient sauvĂ© et deux fois pour moi. De plus c’était Jordan qui avait voulu me soigner absolument. Ils vont nous protĂ©ger en plus, on ne devrait pas dire du mal d’eux.
-Tu as raison Sakura, on peut leur faire confiance. (Kay)
-Je suis morte, cette longue marche ma crevé, je vais dormir. Bonne nuit. (Sakura)
-Bonne nuit Sakura. (Kay)
On se coucha chacun dans notre banquette emmitouflĂ©e dans les fourrures. Cette fourrure me chauffais correctement et en plus elle Ă©tait bien moelleuse. On ce serait dit dans un vrai lit. Je regardais Sakura, celle-ci Ă©tait dĂ©jĂ  endormi alors je fermais les yeux et sombra dans l’inconscience.
Pendant la nuit nous fument rĂ©veillĂ© par des cries, on se leva Ă  toute vitesse et on alla voir dans la piĂšce central ce qui ce passĂ©. Les cries venaient de la piĂšce du bout on regarda dedans et on vit Peter tenant Jordan pendant que celui-ci hurlais alors qu’il dormait. Des terreurs nocturnes ? Puis il arrĂȘta de bouger et ce calma.
-Jordan sa va ? Tu as vus quoi ? (Peter)
Jordan ouvrit les yeux mais il paraissait dans les vapes, je remarquais alors que celui-ci était allongé sur un gros bloc de pierre sculpté en lit sur lequel il y avait des fourrures comme les nÎtres.
-Qu’est ce qui lui arrive, il va bien ? (Sakura)
-C’est rien, ça arrive de temps en temps. (Peter)
Quoi, il nous avait parlĂ©, c’était la premiĂšre fois. Peut ĂȘtre que ce qui arrivait Ă  Jordan Ă©tait grave. Puis Jordan commença Ă  se levĂ© faiblement, on aurait dit qu’il avait eu un accident.
-Peter, c’est grave. (Jordan)
-Qu’a tu vus de si grave, c’est mauvais comment ? (Peter)
- On mourait tous dans mon rĂȘve. (Jordan)
-Ah, il a juste fait un cauchemar, si tu peux tuer des monstres comme les zombies ce n’est pas un rĂȘve qui devrais te faire peur. (Kay)
Là Peter se leva du lit et marcha rapidement vers moi et me gifla, je l’avais pas vue venir. Cela lança un froid dans la piùce et figea Sakura.
-Ne te moque jamais de Jordan et de ses rĂȘves. (Peter)
-Pourquoi es-tu si fĂąchĂ© pour ce que j’ai dit ? (Kay)
Peter se retourna vers moi et recommença à marché vers moi, et moi je commencé à reculé instinctivement.
-Ça suffit!!!! Peter, c’est bon, autant leur expliquĂ© parce qu’ils ne comprendront pas mĂȘme si tu les mets K.O. (Jordan)
-D’accord Jordan. Qu’a tu vue exactement dans ton rĂȘve. (Peter)
-Bon d’abords je leur explique. Mes rĂȘves son prĂ©monitoire, c’est pour ça que quand ils sont violent, ils ressemblent Ă  des terreurs nocturnes. (Jordan)
-Donc tu rĂȘves du futur et t’as vu ta mort ? (Sakura)
-Oui et pas que la mienne, on Ă©tait tout les quatre. On Ă©tait dans le dĂ©sert il y avait plusieurs colonne noir qui nous entourait, et on en avait trĂšs peur. Puis on a levĂ© nos tĂȘtes et lĂ  il y avait un gros corps duquel sorti un rayon d’énergie qui nous tua. (Jordan)
-C’était arachnasse ? C’est bien ça ? (Peter)
-Arachnasse c’est qui ? (Sakura)
-Il s’agit d’une araignĂ©e gĂ©ante, crĂ©er par les dĂ©mons pour tuĂ© une grande quantitĂ© d’humains. Mais ils ont perdu le contrĂŽle sur elle, Ă  cause de son appĂ©tit dĂ©mesurĂ©. Elle a tellement semĂ© la destruction qu’elle a faillit dĂ©truire la poche dimensionnelle, les dĂ©mons ont donc dĂ» l’arrĂȘter et ils l’ont scellĂ©. J’ai vue qu’elle allait se libĂ©rer le jour de l’éclipse solaire. (Jordan)
-Mais c’est dans deux semaines !!! Il faut fuir et vite. (Peter)
La tout le monde commença Ă  paniquĂ©, moi y compris. Sakura c’était mise Ă  pleurĂ© en disant qu’elle ne voulait pas mourir, Peter courrai de piĂšce en piĂšce pour faire je ne sais quoi et moi je rageais sur place.  Mais Jordan Ă©tait sur son lit calme posĂ©, il rĂ©flĂ©chissait, cela commença Ă  me calmĂ©.
-Bon tout le monde ce calme, on va s’en aller d’ici pour Ă©viter la prĂ©monition. Par contre Peter, ils ne survivront pas Ă  cette menace s’ils n’obtiennent pas leurs facultĂ©s. Est qu’on aura assez d’argent ? (Jordan)
- Non, on n’a mĂȘme pas assez pour un. (Peter)
-De quoi vous parlez !! (Sakura et Kay)
-On parle d’un monastĂšre, c’est un lieu oĂč toute personne qui y vont, obtiennent des facultĂ©s magique ou de combat spĂ©ciale du Ă  leur rang. Exemple Peter est un mercenaire magique, il est trĂšs fort en combat corps Ă  corps, et en arme mĂȘme les magique. Mais tout ce qui concerne sort magique il est nul et la guĂ©rison il ne maitrise mĂȘme pas. (Jordan)
-C’est comme les RPG, chaque joueur a des force et des faiblesses, donc il faut mieux formĂ© un groupe pour que chacun aide pour les faiblesses des autres. (Sakura)
-Et pourquoi il faut de l’argent pour ce monastùre ? (Kay)
-Parce que pour avoir son rang et ses facultés, il faut payer les moines 50 000 crédit par personne. (Jordan)
-Mais c’est beaucoup !! (Sakura)
-Oui surtout que obtenir une tel somme sans avoir ses facultĂ© c’est presque impossible. Jordan il ne nous reste que 20 000 crĂ©dit. Mais on a rĂ©cupĂ©rĂ© des demandes de mission ce matin. (Peter)
-D’accord, on va gĂ©rer ça moi et Peter. RetournĂ© vous couchĂ©, demain on va beaucoup marcher.
Sakura et moi, on alla nous couchĂ© comme il nous l’avait demandĂ©. On Ă©tait trĂšs inquiet et on eu du mal Ă  nous rendormir, mais la fatigue Ă©tait plus forte que le stress.
Le lendemain matin je fus rĂ©veillĂ© par une odeur de nourriture appĂ©tissante, je me leva et constata que Sakura c’était dĂ©jĂ  levĂ©. Je marcha jusqu'Ă  la piĂšce centrale et suivit l’odeur jusqu'Ă  la piĂšce du milieu droit. Peter Ă©tait assis sur un banc de pierre devant une table elle aussi en pierre, Jordan aussi Ă©tait lĂ  il faisait Ă  ce que je voyais le petit dĂ©jeunĂ©.
-Salut. OĂč est Sakura. (Kay)
-Ah, elle est entrain de se laver. (Jordan)
-Hein, comment elle peut se lavé dans cette grotte ? (Kay)
-Il y a une salle de bain, on a l’eau courante dans la grotte. Il y a un courant qui passe, on a creusĂ© une sorte de baignoire, on Ă  mis des pierres chauffantes qui chauffe l’eau. (Jordan)
Jordan vint avec une poĂȘle bizarre dans laquelle ce trouvĂ© quatre Ɠufs au plat, il en servit deux Ă  Peter et servit les autres dans une autre assiette. Sur la table se trouvait du pain et de la confiture. Jordan me fit assoir en face de Peter. Celui-ci me regarda avec un regard noir, il Ă©tait encore fĂąchĂ© de la veille. Je commença Ă  mangĂ© mes Ɠufs et Peter fit de mĂȘme, Jordan lui c’était remis Ă  cuire des Ɠufs au plat, surement pour lui et Sakura. Puis Sakura passa l’entrĂ© de la salle, elle Ă©tait habillĂ© avec d’autre vĂȘtement  que les siens, elle portĂ© un short en jeans noir, un teeshirt blanc et une espĂšce de veste de militaire noire. Elle vint Ă  cotĂ© de moi et me fis la bise.
-Bonjour Kay, tu es enfin réveillé. (Sakura)
-Oui, j’ai senti l’odeur des Ɠufs et je suis venu jusqu’ici. (Kay)
-J’aurai dĂ» y penser lorsque j’ai essayĂ© de te rĂ©veiller mais tu ne voulais pas bouger. J’aurai dĂ» parler de nourriture, tu aurais sautĂ© du lit. Au fait merci Peter et Jordan pour les vĂȘtements. (Sakura)
-De rien c’était tout naturel, fallait bien que tu te lave et change de vĂȘtement pour ĂȘtre propre. (Peter)
AprĂšs ça phrase il me regarda, l’aire de dire toi tu pue et tu as des habits salle. Mais on ne te prĂȘtera pas de vĂȘtement.
-J’espùre que notre salle de bain ta plus ? (Jordan)
-Oui, beaucoup, on dirait un bain public au japon. (Sakura)
-Content que ça ta plĂ»t. Kay quand tu auras fini tu pourras y allait, j’ai laissĂ© une tenue pour toi sur une des chaises. J’espĂšre qu’elle te plaira. Par contre tu devrais faire vite j’aimerai qu’on parte le plutĂŽt possible, en plus j’ai des Ă©quipements Ă  vous donner. (Jordan)
-Ok, mais j’ai une question avant. Comment on va gagner de l’argent pour le monastùre. (Kay)
-C’est vrais que je me suis aussi demandĂ© comment on allait faire. (Sakura)
-Bon, il existe 3 façons de gagnĂ© beaucoup d’argent : 1 on fait le commerce de produit important comme les armes, les potions, etc.
, 2 le vole, on vole les plus faible et on les tues pour Ă©vitĂ© d’ĂȘtre arrĂȘter aprĂšs, 3 ĂȘtre un chasseur, celui-ci chasse les monstres pour des primes. Nous on est des chasseurs. (Jordan)
-Donc on va aller chasser les monstres. (Sakura)
-Sa va pas ĂȘtre trop dangereux pour nous ? Enfin c’est surtout pour Sakura que je m’inquiĂšte. (Kay)
-Non sa va aller, je serais avec vous. On part tout les trois pour une chasse, et Peter seul. (Jordan)
-T’inquiùte Kay, si Jordan nous accompagne ça ira. (Sakura)
-Sa va aller seul à chasé  pour toi? (Kay)
Il ne me rĂ©pondit pas, ce qui crĂ©a un froid. Je mangea vite fait pour aller me laver, une fois dans la piĂšce je vis la baignoire creusĂ© dans le roc. J’entrai dans l’eau, celle-ci Ă©tait Ă  bonne tempĂ©rature, je pris le savon et commença Ă  me laver. Une fois fini je m’avança vers la chaise, il y avait un miroir sur le mur. Les vĂȘtements sur la chaise Ă©tait un peu grand pour moi, mais il Ă©tait sympa, un bermuda noir, un teeshirt camouflage militaire et une veste militaire aussi.
Une fois habillé, je me mis à chercher Jordan et Sakura, ils étaient encore dans la cuisine.
-Tu as fini, bien. Hier soir j’ai prĂ©parĂ© vos sacs, dedans il y a quelque tenu de rechange, de la nourriture et des potions de soin. Vous avez aussi une carte, de l’eau et une boussole. (Jordan)
-Merci beaucoup. Mais comment on va faire pour ce protégé si on va à la chasse aux monstres? (Kay)
-Ne t’inquiĂšte pas toi et ta petite amie on va vous fournir une arme. Mais je voulais que vous veniez pour ĂȘtre sur de l’arme que vous aurez. (Jordan)
Petite amie, ils nous voyaient comme un couple. Bon ce n’est pas dĂ©rangeant, j’aime Sakura, mais c’était gĂȘnant pour moi mais aussi pour Sakura qu’il le sorte Ă  haute voie.
-Bon suivais moi, au faite dans le désert faudra pas trainer, ok ?
-Oui, Monsieur. (Kay)
-On fera de notre mieux. (Sakura)
Jordan nous fit entrĂ©e dans la troisiĂšme salle de gauche, celle du bout. Elle Ă©tait remplie de quantitĂ© d’objets : des armes, des meubles, des instruments, etc.
, une vraie caverne d’Ali Baba. On regarda donc tous c’est trĂ©sors moi et Sakura quand Jordan ce tourna vers nous.
-C’est quoi toute c’est armes et c’est trucs ? Vous prĂ©parez une guerre ? (Kay)
-On est déjà en guerre. Bon choisissait une arme, je peu vous donnez des conseils si vous voulez. (Jordan)
On commença Ă  regarder tout les deux les armes pour en choisir une, il y avait de tout. Des pistolets, des lances, des haches, et des Ă©pĂ©es. Je m’arrĂȘta devant une grande Ă©pĂ©e, bien sur les armes Ă©taient de toute formes et de tout temps, allant du pistolet pirate Ă  la mitraillette. Elle serait parfaite pour dĂ©couper des zombies, de plus un pistolet pour moi trĂšs peu, je ne saurai pas bien viser. Sakura elle tenait dans ses mais un pistolet et une petite Ă©pĂ©e.
-Bien, vous avez fait des choix intéressant, vous voulez tout les deux des lames, normale rien de plus efficace. Pour toi Sakura je te conseillerais plutÎt une rapiÚre, vu que tu es une gymnaste, tu pourras faire des mouvements plus souple et rapide. La bleue là-bas serait bien. (Jordan)
-Comment vous avez su??? (Sakura)
-TrĂšs simple, Ă  ta façon de te tenir et comment tu bouge, toi Kay par exemple je sais que tu pratique un sport qui demande du muscle. Tu arrive Ă  porter une grande Ă©pĂ©e alors qu’elle est trĂšs lourde. (Jordan)
-C’est vrais que je fais de la boxe, mais pourquoi c’est si important ? (Kay)
- Vos capacitĂ©s que vous utilisiez pour vous amuser peuvent vous sauver ici. Et pour moi c’est pour mieux vous Ă©quiper. Ton Ă©pĂ©e est trop abimĂ© elle ne tiendra pas vu tes compĂ©tences, tient prend cette Ă©pĂ©e bersĂ©ckeur. Elle tue les dĂ©mons sans problĂšme, prend aussi ces gantelets, ils ont des piques pour faire mal quand tu bastonneras des monstres. (Jordan)
-Pas mal les gants, mais je trouve que cette épée est bizarre. (Kay)
-Et moi pour un pistolet ? (Sakura)
-L’épĂ©e est lourde mais tu la porte donc c’est celle qui te faut, ce que tu sens de bizarre est l’énergie qu’a l’épĂ©e. Elle porte le nom bersĂ©ckeur car c’est  une Ă©pĂ©e de dĂ©mon mais elle est sans danger pour un humain. Et toi Sakura tu sais tirer ? (Jordan)
-Non. (Sakura)
Elle l’avait rĂ©pondu un peu déçu, mais moi j’étais un peu choquĂ©, une Ă©pĂ©e dĂ©moniaque !!! Comment et oĂč avait-il eu ce truc ? C’est pour ça que je la trouve bizarre, mais bon autant lui faire confiance, en plus elle tue les dĂ©mons donc c’est un plus.
-Tu sais ce n’est pas grave si tu ne sais pas tirer, je vous apprendrez en chemin pour le monastĂšre. C’est toujours bien de savoir utiliser plusieurs armes. En plus les balles spĂ©ciales valent trop chĂšres. (Jordan)
Jordan marcha vers un tas d’armes et prit un coffret en bois qui y  avait dans le tas. Puis il nous fit signe de le suivre on sorti de la piĂšce et il alla dans sa chambre pour ce prĂ©parer. Nous on attenta dans le hall qu’il finisse de ce prĂ©parĂ©. Il revenu aprĂšs quelque minutes, il portĂ© un Ă©norme sac comparĂ© Ă  nous, il le posa par terre. Il portait un gros sabre sur son dos, une Ă©pĂ©e sur son cotĂ© gauche et un pistolet sur son cotĂ© droit. Ce sabre et bien trop gros, ce n’est pas normal, il doit ĂȘtre spĂ©ciale.
-Peter je suis presque prĂȘt, j’ai plus qu’à prendre mes instruments !! (Jordan)
AprĂšs avoir criĂ©, Jordan s’avança devant un des murs du hall et ouvris une cache duquel il sortit un ocarina et une flute. Peter arriva aprĂšs, il avait un pistolet lui aussi et une grande Ă©pĂ©e. Par contre pourquoi prendre ces instruments ?
-Pourquoi tu prends des instruments ? (Kay)
-Il on une valeur sentimental pour moi, ok. (Jordan)
-D’accord, je comprends. (Kay)
-Il y a pas mal de zombie dehors, le traqueur de l’autre en a ramenĂ© une bonne cinquantaine, et peut ĂȘtre une surprise avec. (Peter)
-Commença mon traqueur !!! (Kay)
-C’est toi qui as Ă©tĂ© mordu par lui, alors c’est ton traqueur. Bon vous, vous allez au bout de la piĂšce on va ouvrir la porte et dĂ©gommer tout les zombies. Sortez vos armes, vous en aurez peut ĂȘtre besoin. Peter c’est toi qui ouvre moi je rĂ©ceptionne les premiers. (Jordan)
AprĂšs que Jordan ai parlĂ©, on se mit au fond et Peter devant une autre cache du hall, qui contenait un mĂ©canisme, surement d’ouverture. Jordan attrapa son sabre et le sĂ©para en deux, ceci expliquĂ© donc pourquoi il Ă©tait si gros. Peter activa le mĂ©canisme ce qui ouvris la porte. Punaise mais il y a combien de zombies ?! Il y a au moins une centaine lĂ , on va mourir ils ne pourront pas gĂ©rer tout ça Ă  tout les deux. Puis Jordan commença Ă  bouger vite trĂšs vite et  des tĂȘtes de zombies commencĂšrent Ă  tombĂ© en pagaille. Puis Peter tira avec son pistolet et tua une dizaine de zombie avant de ce mettre Ă  les combattre avec son Ă©pĂ©e, en deux minute tout les zombies Ă©tĂ© morts. Mais ce n’était pas encore fini, le traqueur apparu avec deux monstres bizarre noir et Ă©norme. LĂ  Jordan ce retourna vers nous.
-LĂ  c’est du lourd, donc on ne va pas pouvoir vous protĂ©ger du rouge. Alors dĂ©brouillez vous. (Jordan)
-Je prends celui de droite. (Peter)
Ça avait le mĂ©rite d’ĂȘtre claire, les deux monstres noirs fondirent  leurs bras sur Jordan et Peter. Mais ils rĂ©ussirent Ă  les arrĂȘter avec leurs armes mais les lames ne les blĂ©sĂšrent pas mĂȘme elle ne pĂ©nĂ©trer pas leurs peaux. Pire, les monstres se mirent Ă  frapper plus vite et fort.
-Kay attention !!! (Sakura)
Le traqueur me fonça dessus, je l’attrapa par les bras, mais il me fit basculer. Il est sur moi comment je vais faire pour m’en dĂ©barrasser. Merde, il est trop fort, sa tĂȘte ce rapproche de mon cou. LĂ  une pointe dĂ©passa de sa tĂȘte et il tomba sur moi mort. Sakura l’avait transpercĂ© avec sa rapiĂšre.
-Merci Sakura. (Kay)
Elle m’aida Ă  me relever, puis on se rapprocha l’un de l’autre. Enfin notre premier baisĂ©, j’attends ce moment depuis longtemps. Mais deux coups de feu nous ramenĂšrent Ă  la rĂ©alitĂ©, on se retourna et vis Jordan tenant le pistolet et les deux monstres noir tombĂšrent sur eux avec un Ă©norme trou Ă  la tĂȘte. On a loupĂ© note coche, quand pourrais-je l’embrasser ? Quand pourra-t-on vivre une histoire ? A ce moment j’étĂ© le garçon le plus frustrĂ©, car en moins de 24h j’étĂ© tombĂ© en enfer et en plus je me suis fais attaquer par des monstres mais en plus de tout ça on va peut-ĂȘtre bientĂŽt mourir.
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carolinspirational · 4 years ago
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Qui suis-je ?
Ecrire est ma passion, au point de m’ĂȘtre prĂ©cipitamment mise Ă  Ă©crire, j’en oublie mes bonnes maniĂšres. Je ne me suis pas encore prĂ©sentĂ©e. 
Je m’appelle Caroline. C’est plutĂŽt un joli prĂ©nom, ça veut dire ” courage” en allemand. J’ai 26 ans, et j’ai mis 6 ans de celle-ci Ă  la dĂ©truire. Involontairement au dĂ©part, puis volontairement. J’adore Ă©crire, lire, Ă©crire et lire de la poĂ©sie. 
Si je dis que j’ai fait des Ă©tudes de Lettres modernes complĂštement par hasard, vous ne me croirez pas. C’est pendant ces annĂ©es Ă  la fac que mon anorexie a commencĂ©. Mes plus belles annĂ©es, mais aussi les plus tristes, ternes, vides. Toutes ces annĂ©es oĂč j’étais tel un fantĂŽme, une autre personne aux yeux de ma famille, comme si une partie de moi Ă©tait morte intĂ©rieurement. Je me laissais vivre, tel un ĂȘtre vide. J’étais considĂ©rĂ©e comme une malade. Une folle. Et parfois, je crois que je le suis. Alors je craque, je m’étouffe, je pleure, je me dĂ©truis. Je ne m’accepte pas. J’ai toujours jouĂ© avec les limites comme un enfant. M’interdire, c’est m’inciter. 
Qui aurait pu imaginĂ© que la petite fille qui aimait tant manger et qu’on surnommait “ la grande (grosse?) mangeuse” serait anorexique, fumerait des joints par-ci, par-lĂ , draguerait des hommes, leur enverrai des nudes pour ensuite les ghoster? 
Personne. J'Ă©tais l'enfant sage, polie, obĂ©issante et souriante. DiscrĂšte, timide, sĂ©rieuse et travailleuse Ă  l'Ă©cole. Moi-mĂȘme je ne m'en doutais pas. Je ne savais pas ce que voulait dire “anorexie”. Je me disais que je ne toucherai jamais Ă  la drogue. Qu’elle est naĂŻve la p’tite Caro.. Quand j'Ă©tais petite je voulais vivre. Aujourd'hui aussi d'ailleurs. Mais il y a eu ce moment d’épuisement. Un Ă©puisement tellement intense au point de se demander si le seul remĂšde ne serait pas un sommeil sans fin. Alors je me fait du mal. Me faire du mal pour me faire du bien. 
Mon anorexie a commencĂ© bien plus tard que les jeunes filles en gĂ©nĂ©ral. J’ai Ă©tĂ© diagnostiquĂ©e anorexique mentale Ă  l’ñge de 20 ans. Et pourtant, je n’ai jamais voulu l’ĂȘtre. Je me souviens lorsque j’étais plus jeune (15-16 ans) regarder des reportages sur les mannequins, sur l’anorexie, en me disant que c’était moche et je remerciais Dieu de ne pas ressembler Ă  ces filles squelettiques. Peut-ĂȘtre n’aurais-je pas dĂ» le remercier? Car quelques annĂ©es plus tard, ce fut mon tour. Me voilĂ  ĂȘtre une de ces filles squelettiques, maigre, me voilĂ  anorexique.  
Je l’ai dĂ©jĂ  dit: je ne voulais pas ĂȘtre maigre. Je trouvais ça laid. Mais plus je me voyais dans la glace, plus je me disais que je devais l’ĂȘtre. 
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andrewrossiter1 · 4 years ago
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Veillée de Noël 2020
Ce culte est aussi disponible en directe sur FaceBook et plus tard cet aprùs-midi sur la chaüne “Andrew Rossiter” en YouTube
20 dĂ©cembre 2020 Ă  10h30 CĂ©lĂ©bration de NoĂ«l pour les enfants de l’École Biblique et les jeunes du KT 2020 PrĂ©paration: Il faut un narrateur avec un micro. Un micro portatif pour les enfants qui parlent.. Il faut prĂ©parer la « musique de la fĂȘte » en scĂšne 2 et le PowerPoint (scĂšne 4). Joseph et Marie auront besoin de sacs de voyage et peut-ĂȘtre un baton. Ils se trouvent dans la chaire avant que le culte commence.
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Musique
Allumer la quatriùme bougie de l’Avent
Chant 14-03. 1 et 8
ScĂšne 1 Narrateur Voici nos deux amis en route en ce temps d’hiver. Ils doivent quitter leur maison, leur village et partir loin. Dans ce temps-lĂ  les autoritĂ©s n’avaient pas la possibilitĂ© de pister tout le monde par l’usage des rĂ©seaux sociaux ou par la gĂ©olocalisation du tĂ©lĂ©phone portable (ce n’était pas encore inventĂ©), le gouvernement a donc dĂ©cidĂ© de dĂ©crĂ©ter le recensement de toute la population.
Joseph et Marie arrivent et tournent un peu en rond.
Narrateur Tout homme doit se rendre dans sa ville de naissance. Donc Joseph part de Nazareth oĂč il s’est installĂ© comme charpentier, avec sa toute jeune femme, Marie, pour aller Ă  BethlĂ©em. Ils comptent passer trois jours et deux nuits pour parcourir les 160 kilomĂštres avant d’y arriver. Deux nuits Ă  la belle Ă©toile, comme on dit, sauf qu’en cette saison les Ă©toiles sont plutĂŽt voilĂ©es, quand il ne pleut pas. En plus Marie arrive au terme de sa grossesse. Mais une fois arrivĂ©e sur place, Joseph peut compter sur sa famille pour les loger et prendre soin d’eux. Donc c’est presque des vacances, des retrouvailles et de la joie qui les attendent Ă  BethlĂ©em. Nous les quittons sur la route. Ne vous inquiĂ©tez pas, rien de mĂ©chant leur arrivera, pas de bandit, si nombreux dans les montagnes, ni d’accidents. Ils vont bientĂŽt arriver et nous les retrouverons lĂ -bas.
Lecture: Luc 2. 1-5 Chant 32-13 Nuit Lumineuse (musique: Nos cƓurs te chantent)
ScĂšne 2 Narrateur Joseph est fatiguĂ© mais soulagĂ©, et Marie est Ă©puisĂ©e, quand ils arrivent Ă  BethlĂ©em. Ça fait tellement longtemps que Joseph n’a pas mis les pieds Ă  BethlĂ©em, et avec toutes les nouvelles constructions, les sens-uniques et les changements il a du mal a repĂ©rer oĂč se trouve la maison de sa famille. Enfin ce n’est pas tout Ă  fait de la famille proche, c’est plutĂŽt la demie-soeur de son oncle par alliance. Comment trouver la rue? Il va demander Ă  quelqu’un:
Joseph: Excusez-moi je cherche la maison de la famille Kileab de la famille de David? Passant: Je viens d’arriver moi-mĂȘme. C’est Ă  cause du recensement, je viens de HĂ©bron et je cherche aussi la maison de ma famille. Mais si je me souviens bien, elle doit se trouver dans la rue Droite qui est la premiĂšre Ă  gauche juste aprĂšs la rue des Enfants, lĂ  devant vous. Bonne chance! Joseph: Merci mon ami et bonne chance aussi.
Narrateur Ils trouvent la maison, et elle est exactement comme il se souvient, mĂȘme la couleur de la porte n’a pas changĂ©.  Narrateur Mais en entrant, la maison est pleine, vraiment pleine. Il y a des gens partout, mĂȘme lĂ  oĂč les animaux dorment. Evidemment il n’y a pas de place pour eux. Sa « presque tante » lui conseille d’essayer de trouver de la place chez son frĂšre quelques rues plus loin. Mais lĂ  encore tout le monde a eu la mĂȘme idĂ©e. Pas de place. Et encore et encore, le pauvre Joseph fait le tour de sa famille, et les familles de sa famille, mais c’est toujours la mĂȘme rĂ©ponse. Que vont-ils devenir? Joseph et Marie s’installe autour d’une mangeoire
Narrateur Enfin quelqu’un veut bien pousser un peu le foin d’un coin et les laisser passer quelques nuits chez eux. Ce n’est pas l’idĂ©al pour Marie, mais que faire d’autre? Nous allons les laisser s’installer aussi confortablement qu’ils le peuvent, au moins ils ont un toit au-dessus de leurs tĂȘtes et la chaleur des animaux pour compagnie, et un coin pour prĂ©parer leurs repas. C’est lĂ  que Marie va donner naissance Ă  son enfant, JĂ©sus.
Lecture: Luc 2.6-7  Annonces Offrande Chant 32-27 Les anges dans nos campagnes
ScĂšne 3 Narrateur Le monde est sens dessus dessous en ces temps. D’abord le printemps Ă©tait trĂšs sec, l’étĂ© long et chaud et puis Ă  l’automne nous avons eu des orages, des vents violents et des inondations. Vous avez sĂ»rement entendu parler de ces 18 personnes Ă©crasĂ©es quand la tour de SiloĂ© leur ait tombĂ© dessus? Ou encore de ces attentats sur les marches du temple quand les prĂȘtres ont Ă©tĂ© Ă©gorgĂ©s par quelques fous-fanatiques? En effet nous vivons un drĂŽle de moment ce temps-ci. Personne ne peut se sentir en sĂ©curitĂ© aujourd’hui. On m’a parlĂ© aussi des manifestations sur les carrefours et sur les places Ă  Rome, ils se font appelĂ©s les « toges jaunes », je ne sais pas ce que cela va devenir. Maintenant que l’hiver arrive, nous ne savons pas quoi penser, mĂȘme les bergers parlent de descendre leurs troupeaux des collines plus tĂŽt que d’habitude cette annĂ©e.
Quelques bergers arrivent
Narrateur Tiens, les voilĂ . DĂ©jĂ , mais ils sont fous, ils sont en ville et ils n’ont pas leurs animaux. S’ils arrivent en courant comme ça il faut barricader les portes des maisons, je connais la rĂ©putation ils ont de tout voler. On dit dans notre pays, « Faire confiance Ă  un berger, c’est comme mettre ta main dans la gueule d’un lion ».
Les bergers crient, tous en mĂȘme temps. «Les anges, j’ai vu des anges», «As-tu entendu leurs chants».  «Quelle beautĂ© et quel Ă©clat dans le ciel».  «Et oĂč est-il?» «Qui aurait pensĂ© voir un tel spectacle».  «J’en ai comptĂ© une centaine facilement». «Je veux savoir oĂč il est»  «J’ai soif». «Il faut le trouver avant le couvre-feu».
Narrateur Mais, qu’est-ce qu’ils disent, ils crient tous en mĂȘme temps. Je n’arrive pas Ă  comprendre. Attend, je vais lui demander, il a l’air un peu moins excitĂ© que les autres. Narrateur: Hey-hoola, oui toi, viens par ici un moment. Quoi? Tu n’as pas le temps. Mais c’est juste pour savoir pourquoi vous ĂȘtes tous si excitĂ©s? Berger: Alors si je vous le dis, vous me croiriez pas. Narrateur: Non, non essayez toujours, allez-y. Berger: Nous Ă©tions avec les troupeaux bien protĂ©gĂ©s du vent. Il a commencĂ© Ă  neiger, donc au commencement je pensais que c’était la neige qui a fait que le ciel est devenu blanc. Mais non, des voix, des hommes, ou comme des hommes, des chants. Narrateur: Quoi? Je vous connais, vous les bergers
 trop de calva c’est ça votre problĂšme
 Berger: Non, non, non je n’ai pas bu, ou pas beaucoup en tout cas. Et tout d’un coup nous avons compris qu’il fallait venir Ă  BethlĂ©em pour voir la naissance d’un nouveau roi. Narrateur: Alors lĂ , vous dĂ©jantez complĂštement, il n’y a pas de roi ici. Et attention Ă  ce que vous dites
 les murs ont des oreilles, vous savez. Quelqu’un peut vous entendre et vous dĂ©noncer. Berger: Je m’en fiche. Je vous ai dit que vous ne me croirez pas. Narrateur: Mais çà alors!
Musique Lecture: Luc 2.8-20 Chant 32-14 Oh! Quel Ă©clat sur nos matins PriĂšres
JĂ©sus mon frĂšre et mon maĂźtre tu es venu jusqu’à nous.  Tu as habitĂ© une vraie maison, avec une famille des bĂȘtes, des instruments de travail et peut-ĂȘtre dans le dĂ©sordre d’une maison ordinaire. Puisque tu es venu jusqu’à nous je te demande de venir aussi habiter ma maison. JĂ©sus mon frĂšre et mon maĂźtre tu es nĂ© dans une famille humaine une famille ordinaire avec les joies et les difficultĂ©s avec des frĂšres et des sƓurs Ă  partager ta vie d’enfant. Puisque tu es venu dans une famille je te prie pour ma famille pour ceux et celles qui sont loin et aussi pour ceux et celles qui sont proches je te dis merci pour ceux et celles qui m’ont prĂ©cĂ©dĂ© et pour toutes ces personnes qui partagent ma vie. JĂ©sus mon frĂšre et mon maĂźtre tu as marchĂ© sur notre terre, tu as guĂ©ri et tu as enseignĂ© aux gens. Je te prie pour toutes les personnes qui sont malades ou isolĂ©es en ce temps de NoĂ«l. Je te prie pour toutes les personnes qui souffrent de la guerre et qui sont loin de chez elles, toutes ces personnes qui errent sur la route en recherche d’un foyer ou d’un pays d’accueil. JĂ©sus mon frĂšre et mon maĂźtre tu es venu jusqu’à moi ouvre mes yeux pour que je dĂ©couvre ta prĂ©sence dans ma vie. Toi, qui nous a enseignĂ© ta priĂšre:  Notre PĂšre
ScĂšne 4 Narrateur C’est exactement comme je vous ai dit, ces bergers ont fait entrer le loup dans la bergerie, ha ha c’est pas mal pour les bergers! Bref les choses se sont empirĂ©es depuis cette naissance. D’abord il y avaient ces gens Ă©tranges venus de loin. Tout vĂȘtu de soie, avec leurs chameaux, serviteurs, le grand train. J’imagine d’ici peu ils feront fortune avec leurs petro-dollars et vont revenir tout acheter, des stades, des hotels
 et tout. On verra, mais souvenez bien de ce que je dis. Ces guignols qui pensent tout se permettre ont criĂ© sur les toits qu’ils Ă©taient venus pour rendre hommage Ă  un roi. Encore une histoire de roi. Et je vous le dis, il n’y a qu’un roi dans ce pays, et il habite JĂ©rusalem et il sait tout ce qu’il se passe dans le pays. Il a des espions partout. Donc chuchotes aprĂšs le couvre-feu chez toi si tu veux, mais ne crie pas sur les toits qu’il y a un nouveau roi. Et c’est justement ce qu’ils ont fait. Et puis ce qui devait arriver, est arrivĂ©. Mais oui un massacre. C’est terrible, toutes ces femmes et ces hommes qui pleuraient. Les mĂšres qui serraient leurs enfants contre elles. Et les soldats partout, du sang sur leurs Ă©pĂ©es, sur leurs mains et sur leurs uniformes. A cause de ces « sages ». Et eux? Ils sont partis tranquillement comme si rien ne s’est passĂ©. Quand je pense de cette nuit j’ai des cauchemars, j’en ai rĂ©guliĂšrement. Je ne veux pas en dire plus, c’est trop dure. 
Et alors je sais ce que tu penses. Je sais ce que tu veux demander. Et ce roi, qu’est-ce qu’il est devenu aprĂšs tout ça? Et c’est ça le plus extraordinaire. Ce bĂ©bĂ©, un miraculĂ©, on dirait aujourd’hui. NĂ© dans des conditions pas trop hygiĂ©niques, Ă©levĂ© en fuyant vers un autre pays, obligĂ© de passer son enfance loin de chez lui dans un pays Ă©tranger. Et quand il Ă©tait grand il a Ă©tĂ© mis Ă  mort, crucifiĂ©. Oui crucifiĂ©, encore ces Romains qui ont fait ça. EnterrĂ©, comme il est nĂ©, loin de chez lui dans une tombe que quelqu’un lui a prĂȘtĂ©. Et puis, ses amis, les disciples, l’ont rencontrĂ© un peu partout. Lui, il est devenu le plus grand roi de tous les temps.
Voix 1:  Il est devenu roi sans jamais siéger sur un trÎne.
Voix 2: Il est devenu roi sans jamais commander une armée, sans jamais avoir fait la guerre.
Vois 3: Il est devenu roi sans jamais avoir eu une cour, une capitale ou mĂȘme un pays Ă  lui.
Narrateur Il est roi dans les cƓurs de tout le monde. Il rĂšgne sur un royaume de paix, d’amour, de pardon et de gĂ©nĂ©rositĂ©. Il est le roi de ma vie, et il ne demande qu’une seule chose, de devenir roi de ta vie. Musique Chant 32-22 O peuple fidĂšle Envoi  Merci, mon Dieu, d’ĂȘtre venu et me chercher. Merci d’ĂȘtre ici avec nous ce matin. Merci pour ta prĂ©sence Ă  mes cĂŽtĂ©s tous les jours de ma vie. Je te bĂ©nis car maintenant tu m’attends dehors. LĂ  oĂč je vis ma vie: Ă  l’école, en famille dans mon village. Merci, parce tu es toujours lĂ  pour moi.
Bénédiction Musique
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blogdimanche · 6 years ago
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Évangile de JĂ©sus-Christ selon saint Luc 22,14–23,56
La Passion de notre Seigneur Jésus Christ selon saint Luc Indications pour la lecture dialoguée : Les sigles désignant les divers interlocuteurs sont les suivants : X = Jésus ; L = Lecteur ; D = Disciples et amis ; F = Foule ; A = Autres personnages.
14 L. Quand l’heure fut venue, JĂ©sus prit place Ă  table, et les ApĂŽtres avec lui. 15 Il leur dit : X « J’ai dĂ©sirĂ© d’un grand dĂ©sir manger cette PĂąque avec vous avant de souffrir ! 16 Car je vous le dĂ©clare : jamais plus je ne la mangerai jusqu’à ce qu’elle soit pleinement accomplie dans le royaume de Dieu. » 17 L. Alors, ayant reçu une coupe et rendu grĂące, il dit : X « Prenez ceci et partagez entre vous. 18 Car je vous le dĂ©clare : dĂ©sormais, jamais plus je ne boirai du fruit de la vigne jusqu’à ce que le royaume de Dieu soit venu. » 19 L. Puis, ayant pris du pain et rendu grĂące, il le rompit et le leur donna, en disant : X « Ceci est mon corps, donnĂ© pour vous. Faites cela en mĂ©moire de moi. » 20 L. Et pour la coupe, aprĂšs le repas, il fit de mĂȘme, en disant : X « Cette coupe est la nouvelle Alliance en mon sang rĂ©pandu pour vous. 21 Et cependant, voici que la main de celui qui me livre est Ă  cĂŽtĂ© de moi sur la table. 22 En effet, le Fils de l’homme s’en va selon ce qui a Ă©tĂ© fixĂ©. Mais malheureux cet homme-lĂ  par qui il est livrĂ© ! » 23 L. Les ApĂŽtres commencĂšrent Ă  se demander les uns aux autres quel pourrait bien ĂȘtre, parmi eux, celui qui allait faire cela. 24 Ils en arrivĂšrent Ă  se quereller : lequel d’entre eux, Ă  leur avis, Ă©tait le plus grand ? 25 Mais il leur dit : X « Les rois des nations les commandent en maĂźtres, et ceux qui exercent le pouvoir sur elles se font appeler bienfaiteurs. 26 Pour vous, rien de tel ! Au contraire, que le plus grand d’entre vous devienne comme le plus jeune, et le chef, comme celui qui sert. 27 Quel est en effet le plus grand : celui qui est Ă  table, ou celui qui sert ? N’est-ce pas celui qui est Ă  table ? Eh bien moi, je suis au milieu de vous comme celui qui sert. 28 Vous, vous avez tenu bon avec moi dans mes Ă©preuves. 29 Et moi, je dispose pour vous du Royaume, comme mon PĂšre en a disposĂ© pour moi. 30 Ainsi vous mangerez et boirez Ă  ma table dans mon Royaume, et vous siĂ©gerez sur des trĂŽnes pour juger les douze tribus d’IsraĂ«l. 31 Simon, Simon, voici que Satan vous a rĂ©clamĂ©s pour vous passer au crible comme le blĂ©. 32 Mais j’ai priĂ© pour toi, afin que ta foi ne dĂ©faille pas. Toi donc, quand tu sera revenu, affermis tes frĂšres. » 33 L. Pierre lui dit : D. « Seigneur, avec toi, je suis prĂȘt Ă  aller en prison et Ă  la mort. » 34 L. JĂ©sus reprit : X « Je te le dĂ©clare, Pierre : le coq ne chantera pas aujourd’hui avant que toi, par trois fois, tu aies niĂ© me connaïżœïżœtre. » 35 L. Puis il leur dit : X « Quand je vous ai envoyĂ©s sans bourse, ni sac, ni sandales, avez-vous donc manquĂ© de quelque chose ? » 36 L. Ils lui rĂ©pondirent : D. « Non, de rien. » L. JĂ©sus leur dit : X « Eh bien maintenant, celui qui a une bourse, qu’il la prenne, de mĂȘme celui qui a un sac ; et celui qui n’a pas d’épĂ©e, qu’il vende son manteau pour en acheter une. 37 Car, je vous le dĂ©clare : il faut que s’accomplisse en moi ce texte de l’Écriture : Il a Ă©tĂ© comptĂ© avec les impies. De fait, ce qui me concerne va trouver son accomplissement. » 38 L. Ils lui dirent : D. « Seigneur, voici deux Ă©pĂ©es. » L. Il leur rĂ©pondit : X « Cela suffit. » 39 L. JĂ©sus sortit pour se rendre, selon son habitude, au mont des Oliviers, et ses disciples le suivirent. 40 ArrivĂ© en ce lieu, il leur dit : X « Priez, pour ne pas entrer en tentation. » 41 L. Puis il s’écarta Ă  la distance d’un jet de pierre environ. S’étant mis Ă  genoux, il priait en disant : 42 X « PĂšre, si tu le veux, Ă©loigne de moi cette coupe ; cependant, que soit faite non pas ma volontĂ©, mais la tienne. » 43 L. Alors, du ciel, lui apparut un ange qui le rĂ©confortait. 44 EntrĂ© en agonie, JĂ©sus priait avec plus d’insistance, et sa sueur devint comme des gouttes de sang qui tombaient sur la terre. 45 Puis JĂ©sus se releva de sa priĂšre et rejoignit ses disciples qu’il trouva endormis, accablĂ©s de tristesse. 46 Il leur dit : X « Pourquoi dormez-vous ? Relevez-vous et priez, pour ne pas entrer en tentation. » 47 L. Il parlait encore, quand parut une foule de gens. Celui qui s’appelait Judas, l’un des Douze, marchait Ă  leur tĂȘte. Il s’approcha de JĂ©sus pour lui donner un baiser. 48 JĂ©sus lui dit : X « Judas, c’est par un baiser que tu livres le Fils de l’homme ? » 49 L. Voyant ce qui allait se passer, ceux qui entouraient JĂ©sus lui dirent : D. « Seigneur, et si nous frappions avec l’épĂ©e ? » 50 L. L’un d’eux frappa le serviteur du grand prĂȘtre et lui trancha l’oreille droite. 51 Mais JĂ©sus dit : X « Restez-en lĂ  ! » L. Et, touchant l’oreille de l’homme, il le guĂ©rit. 52 JĂ©sus dit alors Ă  ceux qui Ă©taient venus l’arrĂȘter, grands prĂȘtres, chefs des gardes du Temple et anciens : X « Suis-je donc un bandit, pour que vous soyez venus avec des Ă©pĂ©es et des bĂątons ? 53 Chaque jour, j’étais avec vous dans le Temple, et vous n’avez pas portĂ© la main sur moi. Mais c’est maintenant votre heure et le pouvoir des tĂ©nĂšbres. » 54 L. S’étant saisis de JĂ©sus, ils l’emmenĂšrent et le firent entrer dans la rĂ©sidence du grand prĂȘtre. Pierre suivait Ă  distance. 55 On avait allumĂ© un feu au milieu de la cour, et tous Ă©taient assis lĂ . Pierre vint s’asseoir au milieu d’eux. 56 Une jeune servante le vit assis prĂšs du feu ; elle le dĂ©visagea et dit : A. « Celui-lĂ  aussi Ă©tait avec lui. » 57 L. Mais il nia : D. « Non, je ne le connais pas. » 58 L. Peu aprĂšs, un autre dit en le voyant : F. « Toi aussi, tu es l’un d’entre eux. » L. Pierre rĂ©pondit : D. « Non, je ne le suis pas. » 59 L. Environ une heure plus tard, un autre insistait avec force : F. « C’est tout Ă  fait sĂ»r ! Celui-lĂ  Ă©tait avec lui, et d’ailleurs il est GalilĂ©en. » 60 L. Pierre rĂ©pondit : D. « Je ne sais pas ce que tu veux dire. » L. Et Ă  l’instant mĂȘme, comme il parlait encore, un coq chanta. 61 Le Seigneur, se retournant, posa son regard sur Pierre. Alors Pierre se souvint de la parole que le Seigneur lui avait dite : « Avant que le coq chante aujourd’hui, tu m’auras reniĂ© trois fois. » 62 Il sortit et, dehors, pleura amĂšrement. 63 Les hommes qui gardaient JĂ©sus se moquaient de lui et le rouaient de coups. 64 Ils lui avaient voilĂ© le visage, et ils l’interrogeaient : F. « Fais le prophĂšte ! Qui est-ce qui t’a frappĂ© ? » 65 L. Et ils profĂ©raient contre lui beaucoup d’autres blasphĂšmes. 66 Lorsqu’il fit jour, se rĂ©unit le collĂšge des anciens du peuple, grands prĂȘtres et scribes, et on emmena JĂ©sus devant leur conseil suprĂȘme. 67 Ils lui dirent : F. « Si tu es le Christ, dis-le nous. » L. Il leur rĂ©pondit : X « Si je vous le dis, vous ne me croirez pas ; 68 et si j’interroge, vous ne rĂ©pondrez pas. 69 Mais dĂ©sormais le Fils de l’homme sera assis Ă  la droite de la Puissance de Dieu. » 70 L. Tous lui dirent alors : F. « Tu es donc le Fils de Dieu ? » L. Il leur rĂ©pondit : X « Vous dites vous-mĂȘmes que je le suis. » 71 L. Ils dirent alors : F. « Pourquoi nous faut-il encore un tĂ©moignage ? Nous-mĂȘmes, nous l’avons entendu de sa bouche. » 23 1 L. L’assemblĂ©e tout entiĂšre se leva, et on l’emmena chez Pilate. 2 On se mit alors Ă  l’accuser : F. « Nous avons trouvĂ© cet homme en train de semer le trouble dans notre nation : il empĂȘche de payer l’impĂŽt Ă  l’empereur, et il dit qu’il est le Christ, le Roi. » 3 L. Pilate l’interrogea : A. « Es-tu le roi des Juifs ? » L. JĂ©sus rĂ©pondit : X « C’est toi-mĂȘme qui le dis. » 4 L. Pilate s’adressa aux grands prĂȘtres et aux foules : A. « Je ne trouve chez cet homme aucun motif de condamnation. » 5 L. Mais ils insistaient avec force : F. « Il soulĂšve le peuple en enseignant dans toute la JudĂ©e ; aprĂšs avoir commencĂ© en GalilĂ©e, il est venu jusqu’ici. » 6 L. À ces mots, Pilate demanda si l’homme Ă©tait GalilĂ©en. 7 Apprenant qu’il relevait de l’autoritĂ© d’HĂ©rode, il le renvoya devant ce dernier, qui se trouvait lui aussi Ă  JĂ©rusalem en ces jours-lĂ . 8 À la vue de JĂ©sus, HĂ©rode Ă©prouva une joie extrĂȘme : en effet, depuis longtemps il dĂ©sirait le voir Ă  cause de ce qu’il entendait dire de lui, et il espĂ©rait lui voir faire un miracle. 9 Il lui posa bon nombre de questions, mais JĂ©sus ne lui rĂ©pondit rien. 10 Les grands prĂȘtres et les scribes Ă©taient lĂ , et ils l’accusaient avec vĂ©hĂ©mence. 11 HĂ©rode, ainsi que ses soldats, le traita avec mĂ©pris et se moqua de lui : il le revĂȘtit d’un manteau de couleur Ă©clatante et le renvoya Ă  Pilate. 12 Ce jour-lĂ , HĂ©rode et Pilate devinrent des amis, alors qu’auparavant il y avait de l’hostilitĂ© entre eux. 13 Alors Pilate convoqua les grands prĂȘtres, les chefs et le peuple. 14 Il leur dit : A. « Vous m’avez amenĂ© cet homme en l’accusant d’introduire la subversion dans le peuple. Or, j’ai moi-mĂȘme instruit l’affaire devant vous et, parmi les faits dont vous l’accusez, je n’ai trouvĂ© chez cet homme aucun motif de condamnation. 15 D’ailleurs, HĂ©rode non plus, puisqu’il nous l’a renvoyĂ©. En somme, cet homme n’a rien fait qui mĂ©rite la mort. 16 Je vais donc le relĂącher aprĂšs lui avoir fait donner une correction. » 18 L. Ils se mirent Ă  crier tous ensemble : F. « Mort Ă  cet homme ! RelĂąche-nous Barabbas. » 19 L. Ce Barabbas avait Ă©tĂ© jetĂ© en prison pour une Ă©meute survenue dans la ville, et pour meurtre. 20 Pilate, dans son dĂ©sir de relĂącher JĂ©sus, leur adressa de nouveau la parole. 21 Mais ils vocifĂ©raient : F. « Crucifie-le ! Crucifie-le ! » 22 L. Pour la troisiĂšme fois, il leur dit : A. « Quel mal a donc fait cet homme ? Je n’ai trouvĂ© en lui aucun motif de condamnation Ă  mort. Je vais donc le relĂącher aprĂšs lui avoir fait donner une correction. » 23 L. Mais ils insistaient Ă  grands cris, rĂ©clamant qu’il soit crucifiĂ© ; et leurs cris s’amplifiaient. 24 Alors Pilate dĂ©cida de satisfaire leur requĂȘte. 25 Il relĂącha celui qu’ils rĂ©clamaient, le prisonnier condamnĂ© pour Ă©meute et pour meurtre, et il livra JĂ©sus Ă  leur bon plaisir. 26 L. Comme ils l’emmenaient, ils prirent un certain Simon de CyrĂšne, qui revenait des champs, et ils le chargĂšrent de la croix pour qu’il la porte derriĂšre JĂ©sus. 27 Le peuple, en grande foule, le suivait, ainsi que des femmes qui se frappaient la poitrine et se lamentaient sur JĂ©sus. 28 Il se retourna et leur dit : X « Filles de JĂ©rusalem, ne pleurez pas sur moi ! Pleurez plutĂŽt sur vous-mĂȘmes et sur vos enfants ! 29 Voici venir des jours oĂč l’on dira : ‘Heureuses les femmes stĂ©riles, celles qui n’ont pas enfantĂ©, celles qui n’ont pas allaitĂ© !’ 30 Alors on dira aux montagnes : ‘Tombez sur nous’, et aux collines : ‘Cachez-nous.’ 31 Car si l’on traite ainsi l’arbre vert, que deviendra l’arbre sec ? » 32 L. Ils emmenaient aussi avec JĂ©sus deux autres, des malfaiteurs, pour les exĂ©cuter. 33 Lorsqu’ils furent arrivĂ©s au lieu dit : Le CrĂąne (ou Calvaire), lĂ  ils crucifiĂšrent JĂ©sus, avec les deux malfaiteurs, l’un Ă  droite et l’autre Ă  gauche. 34  JĂ©sus disait : X « PĂšre, pardonne-leur : ils ne savent pas ce qu’ils font. » L. Puis, ils partagĂšrent ses vĂȘtements et les tirĂšrent au sort. 35 Le peuple restait lĂ  Ă  observer. Les chefs tournaient JĂ©sus en dĂ©rision et disaient : F. « Il en a sauvĂ© d’autres : qu’il se sauve lui-mĂȘme, s’il est le Messie de Dieu, l’Élu ! » 36 L. Les soldats aussi se moquaient de lui ; s’approchant, ils lui prĂ©sentaient de la boisson vinaigrĂ©e, 37 en disant : F. « Si tu es le roi des Juifs, sauve-toi toi-mĂȘme ! » 38 L. Il y avait aussi une inscription au-dessus de lui : « Celui-ci est le roi des Juifs. » 39 L’un des malfaiteurs suspendus en croix l’injuriait : A. « N’es-tu pas le Christ ? Sauve-toi toi-mĂȘme, et nous aussi ! » 40 L. Mais l’autre lui fit de vifs reproches : A. « Tu ne crains donc pas Dieu ! Tu es pourtant un condamnĂ©, toi aussi ! 41 Et puis, pour nous, c’est juste : aprĂšs ce que nous avons fait, nous avons ce que nous mĂ©ritons. Mais lui, il n’a rien fait de mal. » 42 L. Et il disait : A. « JĂ©sus, souviens-toi de moi quand tu viendras dans ton Royaume. » 43 L. JĂ©sus lui dĂ©clara : X « Amen, je te le dis : aujourd’hui, avec moi, tu seras dans le Paradis. » 44 L. C’était dĂ©jĂ  environ la sixiĂšme heure (c’est-Ă -dire : midi) ; l’obscuritĂ© se fit sur toute la terre jusqu’à la neuviĂšme heure, 45 car le soleil s’était cachĂ©. Le rideau du Sanctuaire se dĂ©chira par le milieu. 46 Alors, JĂ©sus poussa un grand cri : X « PĂšre, entre tes mains je remets mon esprit. » L. Et aprĂšs avoir dit cela, il expira. (Ici on flĂ©chit le genou et on s’arrĂȘte un instant) 47 À la vue de ce qui s’était passĂ©, le centurion rendit gloire Ă  Dieu : A. « Celui-ci Ă©tait rĂ©ellement un homme juste. » 48 L. Et toute la foule des gens qui s’étaient rassemblĂ©s pour ce spectacle, observant ce qui se passait, s’en retournaient en se frappant la poitrine. 49 Tous ses amis,ainsi que les femmes qui le suivaient depuis la GalilĂ©e, se tenaient plus loin pour regarder. 50 Alors arriva un membre du Conseil, nommĂ© Joseph ; c’était un homme bon et juste, 51 qui n’avait donnĂ© son accord ni Ă  leur dĂ©libĂ©ration, ni Ă  leurs actes. Il Ă©tait d’Arimathie, ville de JudĂ©e, et il attendait le rĂšgne de Dieu. 52 Il alla trouver Pilate et demanda le corps de JĂ©sus. 53 Puis il le descendit de la croix, l’enveloppa dans un linceul et le mit dans un tombeau taillĂ© dans le roc, oĂč personne encore n’avait Ă©tĂ© dĂ©posĂ©. 54 C’était le jour de la PrĂ©paration de la fĂȘte, et dĂ©jĂ  brillaient les lumiĂšres du sabbat. 55 Les femmes qui avaient accompagnĂ© JĂ©sus depuis la GalilĂ©e suivirent Joseph. Elles regardĂšrent le tombeau pour voir comment le corps avait Ă©tĂ© placĂ©. 56 Puis elles s’en retournĂšrent et prĂ©parĂšrent aromates et parfums. Et, durant le sabbat, elles observĂšrent le repos prescrit.
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Commentaire de Lc 23,34.43
« PĂšre pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu’ils font ! 
 Aujourd’hui, avec moi, tu seras dans le Paradis. » (Lc 23,34.43) Ces paroles de JĂ©sus, si l’ÉvangĂ©liste Luc est le seul Ă  les noter, c’est parce qu’elles rĂ©vĂšlent bien ce qui est important Ă  ses yeux. D’abord cette priĂšre extraordinaire de JĂ©sus : « PĂšre pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu’ils font ! » (23,34) C’est au moment prĂ©cis oĂč les soldats romains viennent de crucifier JĂ©sus. Que font-ils ? Ils ont expulsĂ© au-dehors de la Ville sainte celui qui est le Saint par excellence. Ils ont expulsĂ© leur Dieu ! Ils mettent Ă  mort le MaĂźtre de la Vie. Au nom de Dieu, le SanhĂ©drin, c’est-Ă -dire le tribunal de JĂ©rusalem, a condamnĂ© Dieu. Que fait JĂ©sus ? Sa seule parole est de pardon ! C’est bien dans le Christ pardonnant Ă  ses frĂšres ennemis que nous dĂ©couvrons jusqu’oĂč va l’amour de Dieu. « Qui m’a vu a vu le PĂšre » (Jn 14,9) avait dit JĂ©sus, la veille. DeuxiĂšme phrase : « Aujourd’hui, avec moi, tu seras dans le Paradis. » (Lc 23,43) À ce moment, tout le monde agresse JĂ©sus; trois fois retentit la mĂȘme interpellation Ă  JĂ©sus crucifiĂ© : « Si tu es... »; « Si tu es le Messie » (23,35), ricanent les chefs... « Si tu es le roi des Juifs » (23,37) se moquent les soldats romains
 « Si tu es le Christ » (23,39), injurie l’un des deux malfaiteurs crucifiĂ©s en mĂȘme temps que lui. Et c’est lĂ  qu’intervient celui que nous appelons « le bon larron », qui n’était pourtant pas un « enfant de chƓur » comme on dit ! Alors en quoi est-il admirable ? En quoi est-il un exemple ? Il commence par dire la vĂ©ritĂ© : « Pour nous, c’est juste : aprĂšs ce que nous avons fait, nous avons ce que nous mĂ©ritons. » (23,41) Puis il s’adresse humblement Ă  JĂ©sus : « JĂ©sus, souviens-toi de moi quand tu viendras dans ton Royaume. » (23,42) Il reconnaĂźt JĂ©sus comme le Sauveur, il l’appelle au secours... priĂšre d’humilitĂ© et de confiance... Il lui dit « Souviens-toi », ce sont les mots habituels de la priĂšre que l’on adresse Ă  Dieu : Ă  travers JĂ©sus, c’est donc au PĂšre qu’il s’adresse; on a envie de dire « Il a tout compris ». Dans le rĂ©cit de la passion, il est une autre phrase que saint Luc, lĂ  encore, est seul Ă  dire : « DĂ©jĂ  brillaient les lumiĂšres du sabbat » (23,54). Luc termine le rĂ©cit de la passion et de la mort du Christ par une Ă©vocation insistante du sabbat; il prĂ©cise que les femmes qui accompagnaient JĂ©sus depuis la GalilĂ©e sont allĂ©es regarder le tombeau pour voir comment le corps de JĂ©sus avait Ă©tĂ© placĂ©, elles ont prĂ©parĂ© d’avance aromates et parfums, puis elles ont observĂ© le repos du sabbat. Le rĂ©cit de ces heures terribles s’achĂšve donc sur une note de lumiĂšre et de paix; n’est-ce pas curieux ? Pour les Juifs, et, visiblement Luc Ă©tait bien informĂ©, le sabbat Ă©tait la prĂ©figuration du monde Ă  venir : un jour oĂč l’on baignait dans la grĂące de Dieu; le jour oĂč Dieu s’était reposĂ© de toute l’Ɠuvre de crĂ©ation qu’il avait faite, comme dit le livre de la GenĂšse; le jour oĂč, par fidĂ©litĂ© Ă  l’Alliance, on scrutait les Écritures dans l’attente de la nouvelle crĂ©ation. Dans la passion et la mort de JĂ©sus de Nazareth, l’humanitĂ© nouvelle est nĂ©e : le rĂšgne de la grĂące a commencĂ©. DĂ©sormais, nos crucifix nous montrent le chemin Ă  suivre : celui de l’amour des autres, quoi qu’il en coĂ»te, celui du pardon.
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yes-bernie-stuff · 1 year ago
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Sondez La Parole De Dieu 04/02/2024
Vous sondez les Écritures [
] Ce sont elles qui rendent tĂ©moignage de moi. Jean 5.39
Les IsraĂ©lites Ă©taient trĂšs attachĂ©s Ă  la lecture des Écritures, lesquelles faisaient leur fiertĂ©. Ces textes sacrĂ©s reçus de Dieu avaient une valeur inestimable. Les scribes ne cessaient de les recopier pour qu’ils puissent ĂȘtre lus par tous. Ainsi, un ministre Ă©thiopien put acquĂ©rir le livre du prophĂšte ÉsaĂŻe que Philippe, l’évangĂ©liste, utilisa pour lui rĂ©vĂ©ler le ChristÂč. Car JĂ©sus est aussi rĂ©vĂ©lĂ© dans l’Ancien Testament.
Les pharisiens sondaient les Écritures. Mais ils n’avaient pas rĂ©ussi Ă  y dĂ©couvrir la prĂ©sence du Christ. JĂ©sus leur dit : Vous sondez les Écritures, parce que vous pensez avoir en elles la vie Ă©ternelle ; ce sont elles qui rendent tĂ©moignage de moi. JĂ©sus le confirmera aux disciples d’EmmaĂŒs : Hommes sans intelligence, et dont le cƓur est lent Ă  croire tout ce qu’ont dit les prophĂštes
 Et commençant par MoĂŻse et par tous les prophĂštes, il leur expliqua dans toutes les Écritures ce qui le concernait ÂČ.
Ne sommes-nous pas comme ces disciples qui n’avaient pas compris que toute la Bible rĂ©vĂšle le Christ, celui qui est le Dieu vĂ©ritable et la vie Ă©ternelleÂł ? Alors, avec persĂ©vĂ©rance, fouillons l’Ancien Testament pour y dĂ©couvrir JĂ©sus, le Fils de Dieu, le Sauveur du monde, que les IsraĂ©lites n’avaient pas su dĂ©couvrir.
Yves Perrier
Âč Actes des ApĂŽtres 8.26-40 ÂČ Luc 24.25-27 Âł 1 Jean 5.20
__________________ Lecture proposĂ©e : Évangile selon Jean, chapitre 5, versets 30 Ă  47.
30 Je ne puis rien faire de moi-mĂȘme: selon que j'entends, je juge; et mon jugement est juste, parce que je ne cherche pas ma volontĂ©, mais la volontĂ© de celui qui m'a envoyĂ©.
31 Si c'est moi qui rends tĂ©moignage de moi-mĂȘme, mon tĂ©moignage n'est pas vrai.
32 Il y en a un autre qui rend témoignage de moi, et je sais que le témoignage qu'il rend de moi est vrai.
33 Vous avez envoyé vers Jean, et il a rendu témoignage à la vérité.
34 Pour moi ce n'est pas d'un homme que je reçois le témoignage; mais je dis ceci, afin que vous soyez sauvés.
35 Jean était la lampe qui brûle et qui luit, et vous avez voulu vous réjouir une heure à sa lumiÚre.
36 Moi, j'ai un tĂ©moignage plus grand que celui de Jean; car les oeuvres que le PĂšre m'a donnĂ© d'accomplir, ces oeuvres mĂȘmes que je fais, tĂ©moignent de moi que c'est le PĂšre qui m'a envoyĂ©.
37 Et le PĂšre qui m'a envoyĂ© a rendu lui-mĂȘme tĂ©moignage de moi. Vous n'avez jamais entendu sa voix, vous n'avez point vu sa face,
38 et sa parole ne demeure point en vous, parce que vous ne croyez pas à celui qu'il a envoyé.
39 Vous sondez les Écritures, parce que vous pensez avoir en elles la vie Ă©ternelle: ce sont elles qui rendent tĂ©moignage de moi.
40 Et vous ne voulez pas venir Ă  moi pour avoir la vie!
41 Je ne tire pas ma gloire des hommes.
42 Mais je sais que vous n'avez point en vous l'amour de Dieu.
43 Je suis venu au nom de mon PĂšre, et vous ne me recevez pas; si un autre vient en son propre nom, vous le recevrez.
44 Comment pouvez-vous croire, vous qui tirez votre gloire les uns des autres, et qui ne cherchez point la gloire qui vient de Dieu seul?
45 Ne pensez pas que moi je vous accuserai devant le PÚre; celui qui vous accuse, c'est Moïse, en qui vous avez mis votre espérance.
46 Car si vous croyiez MoĂŻse, vous me croiriez aussi, parce qu'il a Ă©crit de moi.
47 Mais si vous ne croyez pas Ă  ses Ă©crits, comment croirez-vous Ă  mes paroles?
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christophe76460 · 2 years ago
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Si toi tu es le Christ, dis-le nous. Il leur dit : Si je vous le dis, vous ne le croirez pas ; et si je vous interroge, vous ne me rĂ©pondrez pas, ni ne me laisserez partir. Mais dĂ©sormais le Fils de l’homme sera assis Ă  la droite de la puissance de Dieu. Luc 22. 67-69
Christ Ă  la droite de Dieu
Nous avons vu que, dans l’Évangile de Marc, le Seigneur JĂ©sus est prĂ©sentĂ© comme le parfait Serviteur de l’Éternel. Dans l’Évangile de Luc, il apparaĂźt comme l’Homme saint et sans pĂ©chĂ©, l’homme rĂ©ellement selon le cƓur de Dieu. Le “Fils de l’homme” est un nom que le Seigneur employait souvent en parlant de lui-mĂȘme. Combien nous sommes reconnaissants pour cette affirmation : “Le Fils de l’homme est venu chercher et sauver ce qui Ă©tait perdu” (Luc 19. 10) !
Pour nous, l’expression “Fils de l’homme” insiste sur son humanitĂ© bien rĂ©elle. Elle a aussi un caractĂšre prophĂ©tique. Le Psaume 8 nous dit que le Fils de l’homme rĂ©gnera sur toutes les Ɠuvres sortant des mains de Dieu. Daniel annonce que le Fils de l’homme recevra plus tard “la domination, et l’honneur, et la royautĂ©, pour que tous les peuples, les peuplades et les langues, le servent” (7. 14). Le PĂšre voulait que ce que le Fils a crĂ©Ă©, Ă©tant Dieu, il le gouverne en tant qu’Homme.
Dans ce passage de Luc 22, JĂ©sus est amenĂ© devant les dirigeants d’IsraĂ«l qui lui demandent s’il est le Christ. Sa vie, ses miracles, son enseignement le prouvaient Ă  tous ceux qui avaient de la foi pour le recevoir et voulaient bien ouvrir les yeux. Mais le Seigneur connaissait leurs cƓurs. Leur question n’était pas sincĂšre, et ils cherchaient plutĂŽt une raison pour l’accuser et mettre Ă  mort l’Oint de Dieu, le Fils de l’homme destinĂ© Ă  dominer sur tout.
Il est bien remarquable que ce soit dans cette circonstance oĂč il peut sembler sans pouvoir, que JĂ©sus affirme au contraire qu’il sera dĂ©sormais assis Ă  la droite de la puissance de Dieu ! Les hommes pouvaient le rejeter de la terre, mais ce ne serait que pour qu’il prenne dans le ciel la place du pouvoir suprĂȘme !
K. Quartell
“Que ta main soit sur l’homme de ta droite, sur le fils de l’homme que tu as fortifiĂ© pour toi” (Psaume 80. 17). Nous pouvons comprendre d’aprĂšs ce passage pourquoi le Seigneur prend habituellement le titre de Fils de l’homme. Bien que rejetĂ©, il est Celui sur lequel la main droite de Dieu doit manifester sa puissance
 Cela donne une grande importance Ă  ce nom qui, d’aprĂšs le Psaume 8, apporte la dĂ©livrance selon toute la vaste portĂ©e de sa puissance.
J.N. Darby
➡ Dimanche 25 juin 2023
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sakrum1 · 6 years ago
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Dimanche 14 avril 2019 : Évangile de JĂ©sus-Christ selon saint Luc 22,14-71.23,1-56.
Quand l’heure fut venue, JĂ©sus prit place Ă  table, et les ApĂŽtres avec lui. Il leur dit : « J’ai dĂ©sirĂ© d’un grand dĂ©sir manger cette PĂąque avec vous avant de souffrir ! Car je vous le dĂ©clare : jamais plus je ne la mangerai jusqu’à ce qu’elle soit pleinement accomplie dans le royaume de Dieu. » Alors, ayant reçu une coupe et rendu grĂące, il dit : « Prenez ceci et partagez entre vous. Car je vous le dĂ©clare : dĂ©sormais, jamais plus je ne boirai du fruit de la vigne jusqu’à ce que le royaume de Dieu soit venu. » Puis, ayant pris du pain et rendu grĂące, il le rompit et le leur donna, en disant : « Ceci est mon corps, donnĂ© pour vous. Faites cela en mĂ©moire de moi. » Et pour la coupe, aprĂšs le repas, il fit de mĂȘme, en disant : « Cette coupe est la nouvelle Alliance en mon sang rĂ©pandu pour vous. Et cependant, voici que la main de celui qui me livre est Ă  cĂŽtĂ© de moi sur la table. En effet, le Fils de l’homme s’en va selon ce qui a Ă©tĂ© fixĂ©. Mais malheureux cet homme-lĂ  par qui il est livrĂ© ! » Les ApĂŽtres commencĂšrent Ă  se demander les uns aux autres quel pourrait bien ĂȘtre, parmi eux, celui qui allait faire cela. Ils en arrivĂšrent Ă  se quereller : lequel d’entre eux, Ă  leur avis, Ă©tait le plus grand ? Mais il leur dit : « Les rois des nations les commandent en maĂźtres, et ceux qui exercent le pouvoir sur elles se font appeler bienfaiteurs. Pour vous, rien de tel ! Au contraire, que le plus grand d’entre vous devienne comme le plus jeune, et le chef, comme celui qui sert. Quel est en effet le plus grand : celui qui est Ă  table, ou celui qui sert ? N’est-ce pas celui qui est Ă  table ? Eh bien moi, je suis au milieu de vous comme celui qui sert. Vous, vous avez tenu bon avec moi dans mes Ă©preuves. Et moi, je dispose pour vous du Royaume, comme mon PĂšre en a disposĂ© pour moi. Ainsi vous mangerez et boirez Ă  ma table dans mon Royaume, et vous siĂ©gerez sur des trĂŽnes pour juger les douze tribus d’IsraĂ«l. Simon, Simon, voici que Satan vous a rĂ©clamĂ©s pour vous passer au crible comme le blĂ©. Mais j’ai priĂ© pour toi, afin que ta foi ne dĂ©faille pas. Toi donc, quand tu seras revenu, affermis tes frĂšres. » Pierre lui dit : « Seigneur, avec toi, je suis prĂȘt Ă  aller en prison et Ă  la mort. » JĂ©sus reprit : « Je te le dĂ©clare, Pierre : le coq ne chantera pas aujourd’hui avant que toi, par trois fois, tu aies niĂ© me connaĂźtre. » Puis il leur dit : « Quand je vous ai envoyĂ©s sans bourse, ni sac, ni sandales, avez-vous donc manquĂ© de quelque chose ? » Ils lui rĂ©pondirent : « Non, de rien. » JĂ©sus leur dit : « Eh bien maintenant, celui qui a une bourse, qu’il la prenne, de mĂȘme celui qui a un sac ; et celui qui n’a pas d’épĂ©e, qu’il vende son manteau pour en acheter une. Car, je vous le dĂ©clare : il faut que s’accomplisse en moi ce texte de l’Écriture : Il a Ă©tĂ© comptĂ© avec les impies. De fait, ce qui me concerne va trouver son accomplissement. » Ils lui dirent : « Seigneur, voici deux Ă©pĂ©es. » Il leur rĂ©pondit : « Cela suffit. » JĂ©sus sortit pour se rendre, selon son habitude, au mont des Oliviers, et ses disciples le suivirent. ArrivĂ© en ce lieu, il leur dit : « Priez, pour ne pas entrer en tentation. » Puis il s’écarta Ă  la distance d’un jet de pierre environ. S’étant mis Ă  genoux, il priait en disant : « PĂšre, si tu le veux, Ă©loigne de moi cette coupe ; cependant, que soit faite non pas ma volontĂ©, mais la tienne. » Alors, du ciel, lui apparut un ange qui le rĂ©confortait. EntrĂ© en agonie, JĂ©sus priait avec plus d’insistance, et sa sueur devint comme des gouttes de sang qui tombaient sur la terre. Puis JĂ©sus se releva de sa priĂšre et rejoignit ses disciples qu’il trouva endormis, accablĂ©s de tristesse. Il leur dit : « Pourquoi dormez-vous ? Relevez-vous et priez, pour ne pas entrer en tentation. » Il parlait encore, quand parut une foule de gens. Celui qui s’appelait Judas, l’un des Douze, marchait Ă  leur tĂȘte. Il s’approcha de JĂ©sus pour lui donner un baiser. JĂ©sus lui dit : « Judas, c’est par un baiser que tu livres le Fils de l’homme ? » Voyant ce qui allait se passer, ceux qui entouraient JĂ©sus lui dirent : « Seigneur, et si nous frappions avec l’épĂ©e ? » L’un d’eux frappa le serviteur du grand prĂȘtre et lui trancha l’oreille droite. Mais JĂ©sus dit : « Restez-en lĂ  ! » Et, touchant l’oreille de l’homme, il le guĂ©rit. JĂ©sus dit alors Ă  ceux qui Ă©taient venus l’arrĂȘter, grands prĂȘtres, chefs des gardes du Temple et anciens : « Suis-je donc un bandit, pour que vous soyez venus avec des Ă©pĂ©es et des bĂątons ? Chaque jour, j’étais avec vous dans le Temple, et vous n’avez pas portĂ© la main sur moi. Mais c’est maintenant votre heure et le pouvoir des tĂ©nĂšbres. » S’étant saisis de JĂ©sus, ils l’emmenĂšrent et le firent entrer dans la rĂ©sidence du grand prĂȘtre. Pierre suivait Ă  distance. On avait allumĂ© un feu au milieu de la cour, et tous Ă©taient assis lĂ . Pierre vint s’asseoir au milieu d’eux. Une jeune servante le vit assis prĂšs du feu ; elle le dĂ©visagea et dit : « Celui-lĂ  aussi Ă©tait avec lui. » Mais il nia : « Non, je ne le connais pas. » Peu aprĂšs, un autre dit en le voyant : « Toi aussi, tu es l’un d’entre eux. » Pierre rĂ©pondit : « Non, je ne le suis pas. » Environ une heure plus tard, un autre insistait avec force : « C’est tout Ă  fait sĂ»r ! Celui-lĂ  Ă©tait avec lui, et d’ailleurs il est GalilĂ©en. » Pierre rĂ©pondit : « Je ne sais pas ce que tu veux dire. » Et Ă  l’instant mĂȘme, comme il parlait encore, un coq chanta. Le Seigneur, se retournant, posa son regard sur Pierre. Alors Pierre se souvint de la parole que le Seigneur lui avait dite : « Avant que le coq chante aujourd’hui, tu m’auras reniĂ© trois fois. » Il sortit et, dehors, pleura amĂšrement. Les hommes qui gardaient JĂ©sus se moquaient de lui et le rouaient de coups. Ils lui avaient voilĂ© le visage, et ils l’interrogeaient : « Fais le prophĂšte ! Qui est-ce qui t’a frappĂ© ? » Et ils profĂ©raient contre lui beaucoup d’autres blasphĂšmes. Lorsqu’il fit jour, se rĂ©unit le collĂšge des anciens du peuple, grands prĂȘtres et scribes, et on emmena JĂ©sus devant leur conseil suprĂȘme. Ils lui dirent : « Si tu es le Christ, dis-le-nous. » Il leur rĂ©pondit : « Si je vous le dis, vous ne me croirez pas ; et si j’interroge, vous ne rĂ©pondrez pas. Mais dĂ©sormais le Fils de l’homme sera assis Ă  la droite de la Puissance de Dieu. » Tous lui dirent alors : « Tu es donc le Fils de Dieu ? » Il leur rĂ©pondit : « Vous dites vous-mĂȘmes que je le suis. » Ils dirent alors : « Pourquoi nous faut-il encore un tĂ©moignage ? Nous-mĂȘmes, nous l’avons entendu de sa bouche. » L’assemblĂ©e tout entiĂšre se leva, et on l’emmena chez Pilate. On se mit alors Ă  l’accuser : « Nous avons trouvĂ© cet homme en train de semer le trouble dans notre nation : il empĂȘche de payer l’impĂŽt Ă  l’empereur, et il dit qu’il est le Christ, le Roi. » Pilate l’interrogea : « Es-tu le roi des Juifs ? » JĂ©sus rĂ©pondit : « C’est toi-mĂȘme qui le dis. » Pilate s’adressa aux grands prĂȘtres et aux foules : « Je ne trouve chez cet homme aucun motif de condamnation. » Mais ils insistaient avec force : « Il soulĂšve le peuple en enseignant dans toute la JudĂ©e ; aprĂšs avoir commencĂ© en GalilĂ©e, il est venu jusqu’ici. » À ces mots, Pilate demanda si l’homme Ă©tait GalilĂ©en. Apprenant qu’il relevait de l’autoritĂ© d’HĂ©rode, il le renvoya devant ce dernier, qui se trouvait lui aussi Ă  JĂ©rusalem en ces jours-lĂ . À la vue de JĂ©sus, HĂ©rode Ă©prouva une joie extrĂȘme : en effet, depuis longtemps il dĂ©sirait le voir Ă  cause de ce qu’il entendait dire de lui, et il espĂ©rait lui voir faire un miracle. Il lui posa bon nombre de questions, mais JĂ©sus ne lui rĂ©pondit rien. Les grands prĂȘtres et les scribes Ă©taient lĂ , et ils l’accusaient avec vĂ©hĂ©mence. HĂ©rode, ainsi que ses soldats, le traita avec mĂ©pris et se moqua de lui : il le revĂȘtit d’un manteau de couleur Ă©clatante et le renvoya Ă  Pilate. Ce jour-lĂ , HĂ©rode et Pilate devinrent des amis, alors qu’auparavant il y avait de l’hostilitĂ© entre eux. Alors Pilate convoqua les grands prĂȘtres, les chefs et le peuple. Il leur dit : « Vous m’avez amenĂ© cet homme en l’accusant d’introduire la subversion dans le peuple. Or, j’ai moi-mĂȘme instruit l’affaire devant vous et, parmi les faits dont vous l’accusez, je n’ai trouvĂ© chez cet homme aucun motif de condamnation. D’ailleurs, HĂ©rode non plus, puisqu’il nous l’a renvoyĂ©. En somme, cet homme n’a rien fait qui mĂ©rite la mort. Je vais donc le relĂącher aprĂšs lui avoir fait donner une correction. » [
] Ils se mirent Ă  crier tous ensemble : « Mort Ă  cet homme ! RelĂąche-nous Barabbas. » Ce Barabbas avait Ă©tĂ© jetĂ© en prison pour une Ă©meute survenue dans la ville, et pour meurtre. Pilate, dans son dĂ©sir de relĂącher JĂ©sus, leur adressa de nouveau la parole. Mais ils vocifĂ©raient : « Crucifie-le ! Crucifie-le ! » Pour la troisiĂšme fois, il leur dit : « Quel mal a donc fait cet homme ? Je n’ai trouvĂ© en lui aucun motif de condamnation Ă  mort. Je vais donc le relĂącher aprĂšs lui avoir fait donner une correction. » Mais ils insistaient Ă  grands cris, rĂ©clamant qu’il soit crucifiĂ© ; et leurs cris s’amplifiaient. Alors Pilate dĂ©cida de satisfaire leur requĂȘte. Il relĂącha celui qu’ils rĂ©clamaient, le prisonnier condamnĂ© pour Ă©meute et pour meurtre, et il livra JĂ©sus Ă  leur bon plaisir. Comme ils l’emmenaient, ils prirent un certain Simon de CyrĂšne, qui revenait des champs, et ils le chargĂšrent de la croix pour qu’il la porte derriĂšre JĂ©sus. Le peuple, en grande foule, le suivait, ainsi que des femmes qui se frappaient la poitrine et se lamentaient sur JĂ©sus. Il se retourna et leur dit : « Filles de JĂ©rusalem, ne pleurez pas sur moi ! Pleurez plutĂŽt sur vous-mĂȘmes et sur vos enfants ! Voici venir des jours oĂč l’on dira : “Heureuses les femmes stĂ©riles, celles qui n’ont pas enfantĂ©, celles qui n’ont pas allaitĂ© !” Alors on dira aux montagnes : “Tombez sur nous”, et aux collines : “Cachez-nous.” Car si l’on traite ainsi l’arbre vert, que deviendra l’arbre sec ? » Ils emmenaient aussi avec JĂ©sus deux autres, des malfaiteurs, pour les exĂ©cuter. Lorsqu’ils furent arrivĂ©s au lieu dit : Le CrĂąne (ou Calvaire), lĂ  ils crucifiĂšrent JĂ©sus, avec les deux malfaiteurs, l’un Ă  droite et l’autre Ă  gauche. JĂ©sus disait : « PĂšre, pardonne-leur : ils ne savent pas ce qu’ils font. » Puis, ils partagĂšrent ses vĂȘtements et les tirĂšrent au sort. Le peuple restait lĂ  Ă  observer. Les chefs tournaient JĂ©sus en dĂ©rision et disaient : « Il en a sauvĂ© d’autres : qu’il se sauve lui-mĂȘme, s’il est le Messie de Dieu, l’Élu ! » Les soldats aussi se moquaient de lui ; s’approchant, ils lui prĂ©sentaient de la boisson vinaigrĂ©e, en disant : « Si tu es le roi des Juifs, sauve-toi toi-mĂȘme ! » Il y avait aussi une inscription au-dessus de lui : « Celui-ci est le roi des Juifs. » L’un des malfaiteurs suspendus en croix l’injuriait : « N’es-tu pas le Christ ? Sauve-toi toi-mĂȘme, et nous aussi ! » Mais l’autre lui fit de vifs reproches : « Tu ne crains donc pas Dieu ! Tu es pourtant un condamnĂ©, toi aussi ! Et puis, pour nous, c’est juste : aprĂšs ce que nous avons fait, nous avons ce que nous mĂ©ritons. Mais lui, il n’a rien fait de mal. » Et il disait : « JĂ©sus, souviens-toi de moi quand tu viendras dans ton Royaume. » JĂ©sus lui dĂ©clara : « Amen, je te le dis : aujourd’hui, avec moi, tu seras dans le Paradis. » C’était dĂ©jĂ  environ la sixiĂšme heure (c’est-Ă -dire : midi) ; l’obscuritĂ© se fit sur toute la terre jusqu’à la neuviĂšme heure, car le soleil s’était cachĂ©. Le rideau du Sanctuaire se dĂ©chira par le milieu. Alors, JĂ©sus poussa un grand cri : « PĂšre, entre tes mains je remets mon esprit. » Et aprĂšs avoir dit cela, il expira. À la vue de ce qui s’était passĂ©, le centurion rendit gloire Ă  Dieu : « Celui-ci Ă©tait rĂ©ellement un homme juste. » Et toute la foule des gens qui s’étaient rassemblĂ©s pour ce spectacle, observant ce qui se passait, s’en retournaient en se frappant la poitrine. Tous ses amis, ainsi que les femmes qui le suivaient depuis la GalilĂ©e, se tenaient plus loin pour regarder. Alors arriva un membre du Conseil, nommĂ© Joseph ; c’était un homme bon et juste, qui n’avait donnĂ© son accord ni Ă  leur dĂ©libĂ©ration, ni Ă  leurs actes. Il Ă©tait d’Arimathie, ville de JudĂ©e, et il attendait le rĂšgne de Dieu. Il alla trouver Pilate et demanda le corps de JĂ©sus. Puis il le descendit de la croix, l’enveloppa dans un linceul et le mit dans un tombeau taillĂ© dans le roc, oĂč personne encore n’avait Ă©tĂ© dĂ©posĂ©. C’était le jour de la PrĂ©paration de la fĂȘte, et dĂ©jĂ  brillaient les lumiĂšres du sabbat. Les femmes qui avaient accompagnĂ© JĂ©sus depuis la GalilĂ©e suivirent Joseph. Elles regardĂšrent le tombeau pour voir comment le corps avait Ă©tĂ© placĂ©. Puis elles s’en retournĂšrent et prĂ©parĂšrent aromates et parfums. Et, durant le sabbat, elles observĂšrent le repos prescrit.
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christophe76460 · 2 years ago
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Je vous aime de l'amour de JĂ©sus-Christ ❀⚘
{Jean, 3:1 - 21}
"Mais il y eut un homme d'entre les pharisiens, nommĂ© NicodĂšme, un chef des Juifs, qui vint, lui, auprĂšs de JĂ©sus, de nuit, et lui dit: Rabbi, nous savons que tu es un docteur venu de Dieu; car personne ne peut faire ces miracles que tu fais, si Dieu n'est avec lui. JĂ©sus lui rĂ©pondit: En vĂ©ritĂ©, en vĂ©ritĂ©, je te le dis, si un homme ne naĂźt de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu. NicodĂšme lui dit: Comment un homme peut-il naĂźtre quand il est vieux? Peut-il rentrer dans le sein de sa mĂšre et naĂźtre? JĂ©sus rĂ©pondit: En vĂ©ritĂ©, en vĂ©ritĂ©, je te le dis, si un homme ne naĂźt d'eau et d'Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. Ce qui est nĂ© de la chair est chair, et ce qui est nĂ© de l'Esprit est Esprit. Ne t'Ă©tonne pas que je t'aie dit: Il faut que vous naissiez de nouveau. Le vent souffle oĂč il veut, et tu en entends le bruit; mais tu ne sais d'oĂč il vient, ni oĂč il va. Il en est ainsi de tout homme qui est nĂ© de l'Esprit. NicodĂšme lui dit: Comment cela peut-il se faire? JĂ©sus lui rĂ©pondit: Tu es le docteur d'IsraĂ«l, et tu ne sais pas ces choses! En vĂ©ritĂ©, en vĂ©ritĂ©, je te le dis, nous disons ce que nous savons, et nous rendons tĂ©moignage de ce que nous avons vu; et vous ne recevez pas notre tĂ©moignage. Si vous ne croyez pas quand je vous ai parlĂ© des choses terrestres, comment croirez-vous quand je vous parlerai des choses cĂ©lestes? Personne n'est montĂ© au ciel, si ce n'est celui qui est descendu du ciel, le Fils de l'homme qui est dans le ciel. Et comme MoĂŻse Ă©leva le serpent dans le dĂ©sert, il faut de mĂȘme que le Fils de l'homme soit Ă©levĂ©, afin que quiconque croit en lui ait la vie Ă©ternelle. Car Dieu a tant aimĂ© le monde qu'il a donnĂ© son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne pĂ©risse point, mais qu'il ait la vie Ă©ternelle. Dieu, en effet, n'a pas envoyĂ© son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvĂ© par lui. Celui qui croit en lui n'est point jugĂ©; mais celui qui ne croit pas est dĂ©jĂ  jugĂ©, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. Et ce jugement c'est que, la lumiĂšre Ă©tant venue dans le monde, les hommes ont prĂ©fĂ©rĂ© les tĂ©nĂšbres Ă  la lumiĂšre, parce que leurs oeuvres Ă©taient mauvaises. Car quiconque fait le mal hait la lumiĂšre, et ne vient point Ă  la lumiĂšre, de peur que ses oeuvres ne soient dĂ©voilĂ©es; mais celui qui agit selon la vĂ©ritĂ© vient Ă  la lumiĂšre, afin que ses oeuvres soient manifestĂ©es, parce qu'elles sont faites en Dieu."
JĂ©sus-Christ est lĂ  LumiĂšre venu du ciel , pour nous Ă©clairer. Si nous avons foi en Lui , nous marcherons dans la lumiĂšre , et nous avons la vie Ă©ternelle.
{Jean 8:12}
"De nouveau, JĂ©sus parle Ă  la foule. Il dit : "La lumiĂšre du monde, c'est moi. Si quelqu'un me suit, il ne marchera pas dans la nuit, mais il aura la lumiĂšre qui donne la vie."
{Jean 1:5-9}
"La lumiĂšre brille dans la nuit, mais la nuit ne l'a pas reçue. Dieu a envoyĂ© un homme qui s'appelait Jean. Il est venu comme tĂ©moin pour ĂȘtre le tĂ©moin de la lumiĂšre, afin que tous croient par lui. Il n'Ă©tait pas la lumiĂšre, mais il Ă©tait le tĂ©moin de la lumiĂšre. La Parole est la vraie lumiĂšre. En venant dans le monde, elle Ă©claire tous les ĂȘtres humains. "
{ 1Jean 1:5-7}
"Voici le message que nous avons entendu de la bouche de JĂ©sus-Christ, et nous vous l'annonçons : Dieu est lumiĂšre, en lui, il n'y a pas de nuit. Nous disons peut-ĂȘtre : nous sommes unis Ă  Dieu. Mais si, en mĂȘme temps, nous marchons dans la nuit, nous mentons et nous ne faisons pas sa volontĂ©. Dieu est dans la lumiĂšre. Alors, si nous aussi, nous marchons dans la lumiĂšre, nous sommes unis les uns aux autres, et le sang de JĂ©sus, son Fils, nous purifie de tous les pĂ©chĂ©s. "
{Psaumes 119:105}
"Ta parole est une lampe qui Ă©claire mes pas, une lumiĂšre sur ma route."
{Psaumes 36:10}
"La source de la vie est en toi,
Ă  ta lumiĂšre, nous voyons la lumiĂšre. "
Dieu est LumiÚre, et dans Sa LumiÚre, c'est l'éternité.
Au nom de JĂ©sus-Christ. En Christ pour toujours ❀ ⚘
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