#- Un curé
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Película disponible para ver online en 720p, con subtítulos en español incrustados.
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Un jeune paysan croise le curé de son village. Il lui dit : - Monsieur le curé, je crois avoir commis un péché hier, mais je n'en suis pas sûr! - Eh bien, raconte-moi ça, et je te dirai. - Hier, j'ai traversé le pré du père Mathieu pour aller au bois. Y avait sa fille, la Marie, qui cueillait des champignons. Quand elle s'est baissée, j'ai vu sa petite culotte à fleurs et ça m'a fait un coup de chaleur. Alors je me suis approché, et j'ai pas pu me retenir. Je l'ai pénétrée assez violemment, faut bien le dire! C'est un péché ou pas ? - Euh...Dis-moi, c'était contre son gré ? - Ah, ben non, c'était contre la clôture!
#Un jeune paysan croise le curé de son village. Il lui dit :#- Monsieur le curé#je crois avoir commis un péché hier#mais je n'en suis pas sûr!#- Eh bien#raconte-moi ça#et je te dirai.#- Hier#la Marie#qui cueillait des champignons. Quand elle s'est baissée#et j'ai pas pu me retenir. Je l'ai pénétrée assez violemment#faut bien le dire! C'est un péché ou pas ?#- Euh...Dis-moi#c'était contre son gré ?#- Ah#ben non#c'était contre la clôture!
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Une âme pure est comme une belle perle. Tant qu'elle est cachée dans un coquillage, au fond de la mer, personne ne songe à l'admirer. Mais si vous la montrez au soleil, cette perle brille et attire les regards.
Le curé d'Ars
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... et quelle chance les Lavallois [Laval, banlieue de Montréal] auront le 21 avril lorsque Umberto Tozzi lui-même en personne montera sur la scène du Embassy Plaza.
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« Le Grand Embouteillage » (1979) Umberto Tozzi - Ti Amo
Quel film.!! Quel casting!!
#umberto tozzi au royaume des chars#« le spectacle est retardé pce que M. Tozzi est pogné dans un embouteillage sur le boulevard Curé-Labelle »#😃😄😁😆😅😂🤣
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Mon beau-frère et ma belle-sœur nous ont invités à leur pendaison de crémaillère en juillet 2025 et nous on se disait "ben dis donc ils prévoient en avance" puis hier on a croisé une amie commune qui nous a dit "je suis deg je suis déjà invitée ce jour-là, je préfèrerais être avec vous mais ils m'ont dit qu'ils pouvaient pas changer la date parce que c'était compliqué de décaler avec le curé" mdr comment ça le curé pour une pendaison de crémaillère ? vous pensez à ce que je pense ou pas
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Mi versión de la historia ya no importa. La vida pasó, me dolió, me curé, pero lo más importante es que aprendí quién merece un asiento en mi mesa y quién nunca volverá a sentarse en ella.
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À Miribel, il n'y a pas que le lac pour kiffer. Juste à côté, t’as un coin brutaliste construit par l'architecte Louis Mortamet, sur les ruines d'un vieux château dézingué en 1594 par les troupes d'Henri IV. On y trouve la Madone, alias Notre-Dame du Sacré-Cœur, une statue de la Vierge pas comme les autres : la plus grande de France, culminant à 33 mètres. Perchée sur les hauteurs de la Côtière, elle te balance une vue de malade sur Lyon, le Grand Parc de Miribel-Jonage, la plaine de l’Ain, le Jura, et même les Alpes par beau temps. Bâtie de 1938 à 1941 en béton moulé, cette statue a été érigée à la demande du Père Thomas, le curé du coin à l'époque, avec les deniers des paroissien·nes. Tranquille Emile. Elle cache une petite chapelle et un escalier de 151 marches menant à une plateforme dans sa couronne. Pas mal pour un peu de cardio. Juste à côté, tu peux pas rater le campanile du carillon du Mas Rillier. Un beffroi de 28 mètres de haut en pur béton, construit en 1945, abritant 50 cloches, de la plus petite de 10 kg à la plus lourde de 2157 kg, toutes inscrites à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques. Encore un projet du Père Thomas, qui voulait guider les pèlerins jusqu’à la Madone avec un peu de musique (et toujours avec les économies des paroissien·nes). Le carillon est mondialement connu pour son acoustique de folie. Le premier concert a eu lieu en 1947, dirigé par le Maître Carillonneur Maurice Lannoy et depuis, ça continue de sonner toute l'année, les 1er samedis et dimanches de chaque mois.
#Miribel#Histoire#Monument#Patrimoine#Béton#Statue#Campanile#Brutalisme#RuralBrutal#Architecture#LouisMortamet#Ain
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vocabulaire de lecture: Trois oboles pour Charon, (chapitre 1, 2e partie)
guéable: Qui peut être traversé à gué, c'est-à-dire à pied ou en véhicule par une rivière peu profonde. = when a place divided by a body of water is still walkable or driveable to cross it peu ou prou: Environ, approximativement = about/approximately un gué: Lieu où il est possible de traverser un cours d'eau à pied ou en véhicule. = place where you can cross a stream on foot or with a car la baugue: Masse de végétaux marins accumulés sur le littoral méditerranéen par l'action des courants. = mass of sea plants brought by the currents to mediterranean shores nimbée: Cerner d'une auréole lumineuse ou symbolique. = encircled with a halo hardes trempées: vieux habits très usés = soaked rags/old clothes gourds: engourdi = numb sépulcral: lié aux tombes = sepulchral (related to tombs) tertre: monticule de terre/lieu destiné aux enterrements = small hill/burial mound tumulus: monument funéraire sous la forme d'un monticule de terre (petite colline) burial mound sarments: rameaux de vigne = vine shoot hallali: cri de chasse/mise à more lors d'une chasse = the kill or scream of the hunters after a kill se mirer: se regarder/refléter = to mirror/look at your reflection la curée: moment où l'on nourrit les chiens lors d'une chasse = feeding time for hunting dogs rapineurs: voleurs = thieves chenu: blanchi par l'âge = white with age râblé: costaud = sturdy/well-built
#vocabulaire#vocabulary#vocabulaire français#french vocabulary#advanced vocabluary#trois oboles pour charon
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Les Misérables - Part 1 (Fantine), Chapter 1 (An Upright Man / Un Juste), Section 1 (M. Myriel)
Although it in no manner concerns, even in the remotest degree, what we have to relate, it may not be useless, were it only for the sake of exactlness in all things, to notice here…
Ah, the fundamental literary philosophy of Les Misérables! :P
The background of M. Myriel is one that you would expect to produce a reactionary. His family was prosperous (though not aristocratic), he had a life “devoted to the world and its pleasures,” his family were driven into exile by the Revolution and likely some were killed, his wife died, and he returned to France in his later years as a priest. (Having him become a priest outside of France and old return during Napoleon’s rule is also a convenient way for Hugo to have an elderly bishop without needing to bring in the question of whether or not he swore the oath in support of the Civil Constitution of the Clergy during the Revolutionary era.) The nature of his past is, I think, intended to make his actions and attitudes detailed in the rest of the chapter more unexpected for the reader.
Based on his age at the start of the book, M. Myriel was in his middle age - nearly fifty - when the Revolution began, and in his 60s when he first returned to France.
I feel like there is great significance in M. Myriel’s line to Napoleon - “Sire, vous regardez un bonhomme, et moi je regarde un grand homme. Le deux peux profiter.” [You regard a goodman, and I a great man. Both may benefit.] - but that I don’t understand all the nuances and connotation of the word ‘bonhomme’ that are needed to interpret it. My book translates it as ‘goodman’ in Napoleon’s preceding question (“Who is this goodman who looks at me?”) and ‘good man’ in Myriel’s reply.
I think there’s a deliberate contrasting of the “good man” who M. Myriel is and “great man” that Napoleon is, and possibly an implicit question followed up in the rest of the book about whether France should strive to be “good” or “great” , which is reflected in its ambivalent attitude towards Napoleon.
It’s also a gutsy thing for a mere curé to say to the Emperor of France (the implication is that Napoleon is a great man but not a good one), and shows that despite the quiet life Myriel has led since his return to France, he doesn’t lack for courage or boldness.
And in this particular case, Napoleon’s response - giving Myriel a large promotion but not an easy one, one where he will be responsible for a poor district facing many challenges, with the implication that Napoleon thinks he has the will and the strength to do a good job of it - is one that shows him in a positive light.
The use of the word palabres to mean gossip or meaningless talk must be part of the etymology of the English ‘palaver’; I like finding those connections!
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Me corté las venas con la leche derramada, una línea blanca sobre la muñeca larga de desandar hectáreas.
Recorrí los cielos asustados de la tarde triste, que cae como mi vida, solitaria ave desbandada en la caída, de las primeras veces.
Derroté a la noche mirándole a los ojos, mintiéndole seriamente una y otra vez, sobre el número de estrellas que conté, en mi primera noche solitaria.
Destruí las velas, apagué las lámparas, soplé las luces que desconocía en las miradas ajenas, me abrigué de más, tirité a propósito, chasqueé los dientes, y escurrí las alas de la metamorfosis helada.
Abracé, abracé demasiado, respiré por los brazos, por las piernas, por los codos, por la boca, respiré, por el pelo, por los pies, por las manos, por las yemas de los dedos infinitos en tu cabello rizado.
Crucé mil y dos espejos, rompí uno, soporté... ninguno, cogí con mi imagen impoluta, me traté con cariño y con ternura, me dije puta, y lo disfruté, desgarré mi propio cuello, cosí imanes en los lugares incorrectos, descosí los parches y los tiré al vacío, miré mis ojos mirarme, desde el propio abismo.
Derribe los árboles en honor a uno mismo.
Planté pesares, sostuve traumas, pinté mis uñas, una, dos, mil veces; lloré sobre la leche derramada, lloré sobre mi, sobre el agua, lloré sobre el viento, lloré por si acaso algún día no podía llorar, y reí por escasez, porque uno puede llorar, riendo también.
Te creí, le creí, la creí, no me creí, pagué mis deudas de más, rogué poco, pero dolió mucho... todo y un quizás.
Curé mis heridas con sal, y después me enteré que así no era, recomendé el azúcar para los sueños rotos, y condene los míos a volar demasiado pronto.
Recité en voz alta, callé los miedos, callé al miedo, callé al viento, y grité de rodillas con los brazos abiertos, lo suficiente, para saber que las películas no saben demasiado, sobre el dolor de dos tetas lactando a las luciérnagas ciegas, del adiós creado.
Y vaya, aún no saben qué hacer conmigo, y vaya... aún no sé qué hacer conmigo, y vaya... al destino no le importa, que vamos a hacer contigo.
-danielac1world ~Lectura en voz alta~
#mi vida#pensamientos#pensamientos nocturnos#pensamientos aleatorios#literatura#realidadalterada#realidad#poesía en prosa#una poeta#frases#fragilidad#escribiendo#escritura#escritos#escribir#cosas que escribo#cosas que pienso#cosas de la vida#cosas que siento#cosas sobre mi#cosas que pasan#cosas del alma#mi alma#almas#desolación#desolada#un vacío dentro de mi#un viaje a la vida#cosas que duelen#cosas que creo
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Un gars, qui aime plaisanter, appelle sa copine blonde : - Allo, ma chérie, tu sais comment on appelle l'inverse de la raie du cul ? - Euh...non. - Un curé, ha! ha! ha! ha! Puis il raccroche. Impressionnée, la blonde appelle une copine : - Allo, ma chérie, tu sais comment on appelle l'inverse de la raie du cul ? - Non, je ne vois pas. - Ben, un prêtre, hi! hi! hi! hi!
#Un gars#qui aime plaisanter#appelle sa copine blonde :#- Allo#ma chérie#tu sais comment on appelle l'inverse de la raie du cul ?#- Euh...non.#- Un curé#ha! ha! ha! ha!#Puis il raccroche. Impressionnée#la blonde appelle une copine :#- Non#je ne vois pas.#- Ben#un prêtre#hi! hi! hi! hi!
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Vulgaire
Trois vieilles dames partant à la messe, s’arrêtèrent devant une affiche du film « Emmanuelle ». Elles étaient éberluées par ce qu’elles découvrirent.
La première : C’est un film,
La seconde : Un film ? Mais pourquoi est-elle à poil ?
La troisième : C’est un film cochon. Ça c’est sûr, c’est un film cochon.
La seconde : Et ils vont le passer au cinéma ?
La première : Oui, c’est prévu dans quinze jours.
La seconde : C’est scandaleux ! Tous les hommes vont aller le voir. En plus, elle fait vulgaire assise comme ça, cette trainée.
La troisième : Ça c’est sûr, c’est une petite trainée. Oui, c’est vraiment une petite trainée.
La seconde : Une pute, oui ! Comment s’appelle-t-elle ?
La première lit l’affiche et répondit lentement: Sylvia Kristel.
La seconde : Avec un nom pareil, c’est une étrangère en plus !
La troisième : Ça c’est sûr, c’est une étrangère. Il n’y a pas de trainée par chez nous.
La seconde : A tous les coups, c’est une allemande. Il n’y a que les allemandes pour se foutre à poil comme ça en photo. On a bien fait d’avoir gagné la guerre. Ça ne m’aurait pas plu d’être à poil en photo.
La première : Ou de Paris. Ma sœur a visité Paris et m’a dit qu’il y avait beaucoup de femmes de mauvaise vie dans Paris.
La seconde : C’est pareil. C’est pas de chez nous !
La troisième : Ça c’est sûr, c’est pas de chez nous.
Un homme passe derrière eux. Il les salue en baissant sa casquette et continue de marcher en les regardant.
La seconde : A tous les coups, il va revenir mater l’affiche.
La troisième : Ça c’est sûr, c’est un cochon.
La première : C’est parce qu’il boit. Il ne va pas à l’église. Il va jouer au tiercé en face. Il va boire et va rentrer saoul comme une bourrique.
La seconde : Elle va être contente sa femme ! Et ce film parle de quoi ?
La première : Je ne sais pas.
La troisième : Ça ne peut être qu’un film grossier. Elle fait tellement vulgaire sur l’affiche. Ça c’est sûr, c’est un film grossier.
La seconde : C’est la faute à Giscard. Depuis qu’il est président, la France fout le camp. Ça ne se serait pas passé comme ça avec Pompidou ni avec le Général.
La troisième : Ça c’est sûr, c’est la faute à Giscard. Je n’aurais pas dû voter pour lui. Et c’est aussi la faute aux beatniks, ces jeunes mal-habillés qui traversent le village avec leurs motos.
La première : Tu as voté Giscard ?
La troisième : Oui, mon mari m’a dit de voter pour lui.
La seconde observe encore l’affiche : Et elle est maquillée comme une poufiasse.
La troisième : Ça c’est sûr, il n’y a que les poufiasses qui se maquillent. Ca fait vraiment vulgaire !
La première : Et ses seins sont tout petits. Elle n’a pas d’enfants.
La seconde : Encore heureux ! A sa place, je n’en ferai pas. J’aurais trop honte qu’ils voient le film.
La troisième : Ça c’est sûr, j’aurais honte aussi.
La première et la seconde commençaient à partir lorsque la troisième demanda : On laisse l’affiche comme ça ?
La première : Oui, on le signalera au curé. Il saura faire quelque-chose contre ce genre de mauvais film.
La seconde : En tous cas, si mon Marcel va voir le film, il prendra un coup de sac à main sur la tête.
La troisième : Et je suis sûr qu’il n’y a pas Louis de Funès dans ce film. Ça c’est sûr, il n’y a pas Louis de Funès.
Elles s’entrèrent dans l’église sans voir les deux garçons qui s’arrêtèrent devant l’affiche. Ils rougirent en voyant l’actrice nue avant de se poser des questions sur la poitrine des filles.
Le mari de la seconde n’ira jamais voir ce film. En revanche, le curé ira le voir incognito. Je veux dire sans son costume de curé.
Alex@r60 – août 2023
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¿Quién me salva a mi?
Soy especialista en escuchar los problemas de los demás, en dar mis mejores consejos diciendo que fue por expe- riencia propia, de tener las palabras que la mayoría busca escuchar, de tener mi hombro cuando ya no quieren ser fuertes, de dar grandes abrazos para acurrucar sus heridas.
Soy especialista en dar hogar, en callar cuando es nece- sario para escuchar, en dar mis mejores chistes para robarles una sonrisa cuando su vista se inunda del mar salado.
Ayudé a miles de corazones al borde del precipicio, he salvado miles de miradas entre las olas, he rescatado miles de sonrisas que están por volverse roca. Ya salvé a miles, pero...
¿Quién me escucha cuando mis palabras están a punto de convertirme en un completo caos?
¿Quién me salva cuando estoy asfixiándome con toda la presión que me quita el aire?
¿Dónde están esos corazones que curé con abrazos?
¿Dónde estoy para salvarme?
¿Dónde están mis mejores consejos?
Cherryofsaturn
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0️⃣ La lettre d’infO (la quotidienne annécienne) 🤍
Sélection journalière à destination de 12 réseaux sociaux et de 3 messageries instantanées en provenance directe de la version 3 de mon infolettre 📧
1️⃣ Les Journées (j’adOre) 💛
Aujourd’hui, vendredi 25/10/24, Journée européenne de la justice ⚖️ Journée internationale des artistes (depuis 2004) 🎨 Journée internationale du nanisme (depuis 2013) 👌 Journée mondiale des pâtes (depuis 1995) 🍝 et Journée mondiale du spina bifida et de l'hydrocéphalie (depuis 2011) 🙏
2️⃣ L’actu (point trop n’en faut) 🧡
Annecy : deux personnes qui circulaient à trottinette ont été blessées hier à l'angle de la rue Carnot et du boulevard du lycée dans une collision avec une voiture 🛴
Savoie : le barrage du lac Blanc, situé à plus de 2.400m d'altitude dans le massif des Sybelles, va être détruit. Des fuites ont été constatées ces dernières semaines. Par précaution, des travaux ont été pris en urgence et une partie de la structure va être détruite d'ici fin octobre 🚧
Avant-dernier jour❗️Tout feu, tout femme du 21 au samedi 26/10/24 : ce festival met les femmes à l'honneur. Découvrez le parcours de Femmes et profitez d'animations, d'ateliers, de rencontres, de conférences (Les Carrés, 43 avenue des Carrés) 👩
3️⃣ L’agenda (l’agendalp pour les ancien·nes) 🩷
🧺 Un marché le ven. matin à Annecy ➡️ Marché de la vieille ville 📍 Rue Sainte Claire ⌚️ 7h-13h ℹ️ Au cœur des vieux quartiers, flânez entre les étales du marché le plus typique : les produits du terroir sur le marché alimentaire mais également les produits textiles et manufacturés 🍴
🖼️ Avant-dernière semaine❗️ExpO : Joël Burger ➡️ À travers son art, l’artiste invite le spectateur à plonger dans un univers onirique et poétique, où chaque toile raconte une histoire et suscite une émotion ℹ️ Jusqu’au mer. 30/10/24 🎫 Accès libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 8h30-12h & 13h30-17h 📍 Mairie déléguée d'Annecy-le-Vieux (place Gabriel Fauré) 👨🎨
🖼️ ExpO de l'association Artistique de Meythet ➡️ Exposition de dessins et de peintures ℹ️ Jusqu’au lun. 11/11/24 🎫 Accès libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 8h30-12h & 13h30-17h 📍 Mairie déléguée de Meythet (rue de l'Hôtel de Ville) 🎨
🖼️ ExpO : Portraits de Martine Richard, une artiste pour qui la peinture est une véritable évasion ➡️ Passionnée par la magie de l'aquarelle, elle explore la fusion des couleurs et de l'eau, créant des œuvres où l'émotion guide chaque coup de pinceau ℹ️ Jusqu’au sam. 09/11/24 🎫 Accès libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 9h-12h & 14h-19h 📍 Le Mikado Novel (2 place de l'Annapurna) 👩🎨
🧒Les secrets du Palais de l'Île ➡️ Visite pour enfant à partir de 8 ans, accompagné d’au moins un adulte (activité en autonomie) ℹ️ Carnet illustré à demander à l’accueil 🎫 4€, 2€ & 0€ (-12 ans) 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 10h-12h & 14h-17h 📍 Palais de l’Île (3 passage de l'Île) 🏛️
☕ Coup de cœur annécien : un lieu d’accueil et d’échange ouvert quatre fois par semaine et géré par des bénévoles ℹ️ Boissons sans alcool, livres, jeux (après-midi jeux de société) 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 10h-12h & 14h30-16h30 📍 Café du curé (6 quai de l’Évêché, vieille ville) 😍
🖼️ ExpO collective : I say hi, You say low, You say why, I say I don’t know ➡️ Peintures, installations, vidéos et performances ℹ️ Jusqu’au mar. 03/12/24 🎫 Accès libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 10h-12h & 14h-17h 📍 Le Mikado Espace d'art contemporain (place des Rhododendrons) 😍
🖼️ ExpO : Rouge ➡️ Le travail de Marcel Savy oscille entre le figuratif et une abstraction guidée, lui permettant d’aller à l’essentiel tout en laissant place au rêve dans ses toiles ℹ️ Jusqu’au sam. 16/11/24 🎫 Accès libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 10h-18h45 📍 Artekné (Centre Bonlieu) 👨🎨
🧒 Vacances d’automne ou de la Toussaint ➡️ Fabrique ta lanterne d’Halloween ℹ️ À partir de 5 ans 🎫 10€ (adu.) & 6€ (enf.) 🎟️ Sans réservation 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 10h30-12h & 14h-17h (animation et visite) 📍 Château de Montrottier (Lovagny) 🏰
🖼️ ExpO BibliO : Carnets de voyages d'une famille annécienne à la Belle Époque ℹ️ Rédigés entre 1883 et 1912, ornés de photos et dessins, voyage panorama de l'Europe avec Annecy comme pied à terre 🎫 Accès libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 12h30-18h 📍 Médiathèque Bonlieu (Centre Bonlieu) 😍
🖼️ Premier jour❗️ExpO : Salon des artistes peintres d'Annecy ➡️ Évènement qui célèbre la créativité et le talent des artistes de notre territoire ℹ️ Jusqu’au ven. 22/11/24 🎫 Entrée libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 13h-18h 📍 Forum Exposition Bonlieu (1 rue Jean Jaurès) 🎨
🖼️ Dernier jour❗️ExpO : Aïe ! la note est sucrée ! ➡️ Faire le point sur l'augmentation spectaculaire de notre consommation de sucre depuis un siècle et de ses effets néfastes sur notre santé. Nous pouvons doser ce plaisir qui cause bien des tracas, si simples à prévenir ℹ️ Jusqu’au ven. 25/10/24 🎫 Entrée libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 13h30-18h 📍Médiathèque La Prairie (3 rue du Travail) 👨👩👧👦
🖼️ Avant-dernier jour❗️ExpO : L'effet Matilda ➡️ Dans le cadre de la FDS, une exposition proposée par le CNRS, le Quai des savoirs et l’association Femmes & Sciences ℹ️ Jusqu’au sam. 26/10/24 🎫 Accès libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 13h30-18h 📍 Médiathèque Novel (7 bis rue Louis Armand) 👩🔬
🧒 Ateliers scientifiques : menés par les médiateurs du lieu, ils font appel à la manipulation, à la démarche scientifique et à l’apprentissage par la pratique ℹ️ Spécial adolescent·es ⏱️ 1h30 🎫 5€ & 3€ 🎟️ Réservation en ligne 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 14h15 📍 La Turbine sciences (place Chorus) 🥼
🧒 ExpO : Illusions, quand notre cerveau nous joue des tours ➡️ Plus d’une trentaine de dispositifs interactifs ℹ️ L’enfant doit être accompagné d'un adulte (inscrit lui aussi) ⏱️ 2h 🎫 5€, 3€ & 0€ (- de 12 ans) 🎟️ Réservation en ligne 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 14h-16h & 16h-18h 📍 La Turbine sciences (place Chorus) 🧠
🖼️ ExpO : La nuit est encore debout c'est pour ça que je ne dors pas d'Annabelle Guetatra ➡️ Dessins aux fonds vaporeux travaillés au pastel sec ou à l’huile ℹ️ Jusqu’au sam. 23/11/24 🎫 Entrée libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 14h-18h 📍 Le Point Commun (12 avenue Auguste Renoir) 👩🎨
🖼️ ExpO : Les Temps changent ➡️ Lauréats de la commande nationale d'estampes initiée par le Centre National des Arts Plastiques (CNAP) en partenariat avec l'Association de développement et de recherche sur les artothèques (ADRA) ℹ️ Jusqu’au sam. 30/11/24 🎫 Accès libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 14h-18h 📍 Médiathèque Louise Michel (5 rue François Vernex) 🎨
🖼️ ExpO : Imagined Landscapes de Yang Yongliang ➡️ Artiste shanghaïen inspiré par la peinture traditionnelle chinoise le Shanshui ℹ️ Jusqu’au dim. 15/12/24 🎫 Accès libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 14h-19h 📍 L’Abbaye (15 bis chemin de l'Abbaye) 👨🎨
🖼️ ExpO : Claude Marthe ➡️ Artiste plasticienne ℹ️ Nouvelle exposition depuis le mer. 09/10/24 🎫 Accès libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 14h-19h 📍 L'Atelier 9 (9 avenue de la Mandallaz) 👩🎨
🛒 Bourse aux skis ➡️ Organisation : Aso NTN et SCA Ski Compétition Annecy ℹ️ Jusqu’au dim. 27/10/24 🎫 Entrée libre 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 16h-23h 📍 Cap Périaz (100 avenue de Périaz) 🎿
🎭 Théâtre : Folies au Manoir ➡️ Un crime a été commis au manoir de Jean-Eude et Marie-Christine… Réussirez-vous à dénicher le coupable ? ℹ️ À partir de 9 ans ⏱️ 1h20 🎫 19€ & 10€ (-18 ans et étudiant·es) 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 20h📍 Salle Pierre Lamy (12 rue de la République) 🕵️
👟 Ligue 2 : le FC Annecy (6e avec 15 pts) reçoit Laval (9e avec 14 pts) ➡️ Allez les Rouges et Blancs ℹ️ Dixième journée (sur 34) 🎫 À partir de 7, 9, 10 et 11€ (en fonction des catégories) 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 20h 📍 Parc des sports (1 rue Baron Pierre de Coubertin) ⚽️
🎭 Théâtre : Réveil de dingue ➡️ Suite à l'accouchement de sa femme, Véro, Jean-Phi s'est évanoui. Enfin, c'est ce qu'il croyait ℹ️ Les réparties claquent et les rires fusent, une comédie hyper dynamique pour le duo de Couple en délire 🎫 18€, 16€ & 12€ (-12 ans) 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 20h30 📍 Théâtre Les Têtes de l'Art (36 avenue de Chambéry) 👶
🎶 Café-concert ➡️ Le groupe New Nobody’s Perfect propose un répertoire festif constitué de compositions et de standards du jazz ⏱️ 1h 🎫 8€ 🎟️ Plancha de saison : 8€ sur réservation (04 56 20 23 04) 📆 Ven. 25/10/24 ⌚️ 21h 📍 Café Terra Natura (67 avenue des Neigeos) 🎸
4️⃣ La météO (pour celles et ceux qui veulent vivre) ❤️
Qualité de l’air à Annecy (indices ATMO) : le vent de sud se renforce et favorise la dispersion des polluants 🌡 La qualité de l’air reste bonne à moyenne dans la région 💨
Dans la cité lacustre et ailleurs, au niveau de vos déplacements, privilégiez vélo, trottinette, marche à pied, etc. et au niveau de vos activités physiques, privilégiez les parcs, les zones piétonnes et les rues peu circulantes pour vos activités de plein air 🌬️
L’indice de risque pollinique à Annecy est nul (niveau 0) ➡️ Ambroisies, armoise, cupressacées, graminées, saule, autre : niveaux 0 ➡️ Indice communal valable du 19 au vendredi 25/10/2024 inclus 🤧
5️⃣ Les dictons (maximes et autres proverbes) 💚
Deux dictons du jour, un acheté, un offert (pour la petite histoire, cette pratique est désormais illégale) : « À la saint Crépin, la pie monte au sapin. » 🌲 et « À la saint Crépin, les mouches voient leur fin. » 🪰
Et tout comme hier, trois autres dictons du jour pour la route : « À la saint Crépin, ramasse les coings. » 🧺 « Bien malin, qui rentre son bois à la saint Crépin. » 🪵 et « Pour la saint Crépin, mort aux mouches. » ☠️
Pour celles et ceux qui attendent décembre : « Beaucoup de pluie en octobre, beaucoup de vent en décembre. », « Brumes d’octobre et pluvieux novembre, font ensemble un bon décembre. », « Octobre ensoleillé, décembre emmitouflé. » et « Octobre ensoleillé, décembre sous le froid. » 🧐
6️⃣ Les fêtes (rigolO est le calendrier) 🩵
Je vous souhaite une très bonne journée annécienne et un excellent automne à Annecy, dans les 33 autres communes du Grand Annecy, en Savoie ou ailleurs 🍂
Bon cinquième jour de la semaine à tous et à toutes 🎷
Bonne fête aux Crépin et demain aux Dimitri 😘
7️⃣ Cohérence (histoire de simplifier) 💜
J’utilise les chiffres 0, 7, 8, 9 et 10 pour rendre plus lisibles les différentes parties de cette sélection (simple utilisation n’ayant absolument aucun rapport avec les parties “officielles”).
JamesO InfO V1 : jusqu’en 2012 🅰️
8️⃣ Migrations en cours (à marche forcée) 🤎
Les parties 7, 8 et 9 ne peuvent pas encore être diffusées totalement pour des raisons techniques. J’y travaille actuellement de manière régulière.
JamesO InfO V2 : de 2013 à 2022 🅱️
9️⃣ Abonnez-vous (nouveaux tarifs en 2025) 🩶
Les parties 10, 11 et 12 sont exclusivement réservées à mes abonné·es et ne sont plus diffusées sur les réseaux sociaux et autres messageries instantanées.
JamesO InfO V3 : depuis 2023 🆎
🔟 L’ours (nette préférence pour le dahu) 🖤
Par JamesO (Presse & Édition)
Agenda - Calendrier - Évènements
JamesO InfO n° 1.168 du vendredi 25/10/24
📷 JamesO PhotO à Annecy le 24/10/24 📸
JamesO © AlPy News ® StudiO 147 ℗ 2SC ™
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Nunca más, ahora sí, LO JURO!
Un Viernes normal, como cualquiera, me puse de acuerdo con un amigo para salir a tomar “Terremotos”, aquel brebaje tan típico de nuestro país que se puede beber en cualquier antro tirao a “picá shúper” o, en reales antros “chichas”. El asunto, es que nos juntamos y fuimos a La Piojera, clásico. En total, éramos 3 pelagatos en ese bar tirao a “shúper-chicha”, repleto de extranjeros y hueones de todo tipo y clase. Tuvimos que quedarnos en un rincón, parados, porque honestamente, el asunto estaba atestado de lagis. Mucho español, harto gringo, y una manga de mexicanos que cantaban “Las Mañanitas”, siendo coreado por la gran cantidad de hueones ebrios que estaban ahí.
No sé qué tienen realmente esos Terremotos, pero la verdad es que me dejan ebrísima. Me tomé uno, y ya andaba puesta. Me tomé otro, y en ese momento, -digámoslo-, estaba derechamente borracha. Lo increíble de esto, es que me puedo tomar una botella de pisco y quedo ahí, bien. Pero es cosa de que me tome más de un Terremoto en La Piojera, para que me embriague como el peor alcohólico del mundo. La cuestión, es que era muy temprano y mi pobre organismo no toleró más el alcohol, así que tuve que partir corriendo al baño para vomitar hasta el alma. En mi carrera desesperada, y la demora lógica, al intentar avanzar entre toda esa manada de borrachos, ya iba con el fluido percolado a medio camino del esófago.
“Por fin!” –Pensé cuando logré llegar al baño.-
Baños reculiaos. Todos llenos de meado, vómito, agua, copete y blá. Obvió, me saqué la conchetumare al ir como desesperá a botar el alma. ARGH!
Mi amigo Rafael, salió a mi ayuda y, a pesar de ser el baño de minas, intentaba –sólo intentaba- tratar de que mi impresentable espectáculo, no fuera tan, tan, patético.
“Oye, sale! Este es el baño de mujeres!” –Le gritaban las histéricas minas con las que compartía el sucucho asqueroso.-
“Es mi ‘mina’, hueón oh!” –Gritaba como enajenado, Rafael.-
Hasta que por obra divina, pude hacer lo que debía hacer y salir más o menos digna de aquel cerderío.
“Es que no he comido ná, ése es el problema” –Explicaba al resto que me miraba con cara de juguete, pero con asco a la vez.-
Como soy una mina con serias complicaciones mentales, entré en desesperación, y empecé a huevear para que nos fuéramos. Yo estaba comprometida para irme a otro lado después de La Piojera, y mis amigos no me dejaron ir, debido al lamentable estado en el que me encontraba, y claro, nos íbamos a ir al departamento de Rafael después de. Yo lo único que quería era morir, y despachar a todos los hueones, porque no me sentía nada de bien, pero bueno, no pude.
El camino al humilde hogar de Rafael, se transformó en un chiste, ya que para empezar, y contraria a cualquier ley de Murphy, se me pasó como por arte de magia, toda la curadera al salir al aire a “ventearme”, y me sentía de lo mejor que podría existir, excepto, que tenía un hambre endemoniado, y ganas de posar mi esqueleto en cualquier hueá que no fuera permitido quedar de forma vertical.
El horroroso espectáculo callejero de fumar marihuana en la calle, escupir autos, gritar, cantar, y no sé cuántas chucha hueás más, idiotas y ridículas, hicimos en el viaje de 10 minutos, que se extendió por casi 1 hora, no se los voy a mencionar, por puro amor al prójimo.
Al llegar a la morada de Rafael, me hicieron un tecito, y devoré como 10 panes con jamón, lechuga, queso, y ACEITE. Yo quería ponerle aceite a mis pancitos, y nuevamente, como por obra divina, me curé, así que peleando por ponerle aceite a mis sandwichs, dejé la pura cagá. Derramé como medio litro del viscoso y hediondo líquido en la hermosa mesa de madera con vidrio. Y a esas alturas, me querían “puro pitearme”.
De lo demás no me acuerdo mucho, pero creo que volví a vomitar, me acosté, hueveé por la tele, y blá. Hasta que a las 4:30 de la madrugada, me dieron unas ganas compulsivas de irme, y cual alimaña desbocada, me fui dejando todo tirado y chao nomás. Salí con todas las ganas de tomar un taxi, sin mp4 –porque me habían cagado el anterior fin de semana con él en el metro culiao-, y me liberé de toda presión por segunda vez, al aire libre.
Como andaba en el sector del metro Bellas Artes, estaba a pasos de mi nuevo palacio, así que en breves minutos, estaría sana y salva en mi casucha. Al salir, le pregunto a un paco-guardia de no sé qué chucha, dónde era más fácil tomar un taxi, y me sentí tranquila. Comencé a caminar por Miraflores, una cuadra más, y me sale al camino un flaite de esos que te hacen cagar de miedo. Se me pasó la ebriedad al instante cuando el feo culiao me para y me habla con su tonito tan especial:
“Sabe señorita cuál es la calle Huérfanos?”
“No, no sé” –Fue mi escueta respuesta y aceleré el tranco.-
“Oiga, pero espere!” –Me agarra el brazo.-
“Qué onda? Qué querís!” –Le digo no de muy buen ánimo, al conchesumare.-
“Oiga, usté tan relinda y anda sola a esta hora? No tiene hombre que la dejan salir sola? Usted va para La Florida, cierto?”
“Báh! Loco, voy a tomar un taxi, y me estoy atrasando. Me están esperando. Ok?”
“Ah, pero no se preocupe, yo la voy a dejar. O me tiene miedo?” –Me dieron ganas de patearlo, porque SÍ, le tenía miedo, pero por la chucha, no tenía a quién mierda acudir en esa calle vacía, así que salvaguardando mi integridad física, me hice la simpática con él y dejé que me fuera a dejar.-
Al llegar a mi edificio, como es una construcción del pleistoceno, olvídense del conserje, la entrada rápida, botón de pánico o hueás del estilo, así que el mono culiao encontró el mejor escenario para darme la lata, me abrazaba, no me dejaba abrir la puerta, me lateaba con su conversación repulsiva, y me pedía que le “diera un beso, porque dioC, en toda su misericordia, me traería sólo beneficios a mi vida.” Já!
Terminé por apestarme, y lo mandé a la chucha, a riesgo de que me tajeara, me violara o qué sé yo. Entré a mi edificio –POR FIN!- y me acosté en breve. Revisando mi pc, empiezan a tocar el timbre de mi departamento a los 20 minutos de haber entrado. Como hueona que soy la gran mayoría de las veces, contesté:
“Soy el Alexis, ábreme!”
“Está equivocado”
Era el flaite.
Me urgí. Me acosté, pasaron 10 minutos y siento el “RINGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGG” directo de mi depto. Casi me cagué. El flaite había entrado al edificio, no sé cómo mierda, y estaba ahí, en mi puerta tocando el timbre. Hueveó como media hora. Golpeaba, tocaba timbre y no decía nada.
Intenté llamar a los pacos. Como siempre, estos rechuchetumares, con las líneas “ocupadas”. Pero, y qué hubiese pasado si el flaite conseguía de alguna manera entrar a mi casa???
VIVO SOLA, POR LA GRAN MEGA CONCHESUMADRE!!!!!!!!!!!!!!
Me cagué de miedo, y prometí nunca más prestarle oreja a un flaite, venirme de cualquier parte sola de madrugada, y aprender a aperrar como corresponde, en cualquier circunstancia donde esté segura.
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Je vous souhaite une très joyeuse mort, en pleine fraternité macronienne…
Je n'ai jamais pu trouver d'explication à cette aberration : les mauvaises idées semblent être plus souvent prises en compte et mises en œuvre que les bonnes. Et je crois remarquer une accélération dans le processus actuellement en cours qui veut que de plus en plus d'idées de plus en plus mauvaises fleurissent (?) de plus en plus vite et de plus en plus souvent ! A la veille du Vendredi Saint, quel beau sujet que le dévoiement de notre mort, qui se met en place, dans une débauche de fausses informations, partielles ici, et partisanes, là, mais mensongères, toutes.
Mais pour une fois que les “bouffe-curés” et les “tue-dieu” admettent enfin que la mort peut être vaincue, comme les chrétiens le leur répètent depuis 20 siècles… on ne va pas mégoter notre plaisir, en cette Semaine Sainte où s'ouvre la phase finale de la mise en œuvre de ce caprice macronien, qui sera lancé sans qu'aient été évaluées –même un tout petit peu– les suites à long terme de cette initiative qui a toutes les chances de produire, au mieux, quelques avantages… et au pire des séries de drames dont l'humanité aurait préféré faire l'économie. Décidément, depuis le faux “vaccin” du covid, prendre des décisions mortifères est devenu un “marqueur” du progressisme, cette maladie infantile du modernisme !
Prenons la triple anti-idée terrifiante, qui a pourtant le vent en poupe, de l'invention d'un “droit à l'assassinat légal, au suicide aidé et à la mort par délégation’’. Ces trois modalités d'une même chose, la mort, ont inspiré des raz-de-marée de lavage de cerveau, de viol des consciences, de réinvention du sens des mots, et de détournement de l'attention de tous les vrais problèmes, à la macronie moribonde (NB : méfiez-vous des ultimes spasmes d'un animal blessé : ils peuvent être dangereux et faire beaucoup de dégâts !). Manque de bol, une fois encore, ça a marché, et bien des gens se sont laissés abuser, adoptant les expressions –toutes mensongères– qui ébranle,t l'intelligence.
Le nombre de paraboles, hyperboles, métaphores, fables, mensonges, bobards, et barbarismes qui ont été déversés sur nous par la Presse et la Gauche est très au delà de tout ce qui se pratique normalement. C'est simple : on ne sait plus du tout de quoi ils parlent ni ce à quoi ils pensent (car des milieux “généralement bien informés” m'assurent qu'il en resterait quelques uns qui pensent… Je ne les ai pas trouvés). Et s'il est toujours vrai que “les mots tuent”, c'est le moment où jamais : après, il sera trop tard ! Car depuis que le monde est monde, tuer, directement ou par délégation, un vieillard, un grand malade ou un embryon pas encore né mais parfaitement viable, ça avait un nom : un assassinat.
Mais dans un grand souffle libérateur, la hollando-macronie a tripoté les lettres et les syllabes, jusqu'à inventer les concepts affreux de “mort dans la dignité”, de “preuve de fraternité” (il y a des coups de pied… “occultes”, qui se perdent !), de “liberté de mourir” (et puis quoi, encore !), et de tant d'autres insanités. Nos irresponsables ont été jusqu'à inventer une soi-disant “aide à mourir”… pour le seul moment où aucune aide n'est possible ! Dieu, pour les uns, un “grand ordonnateur” pour d'autres, le “destin” pour d'autres encore, et… “rien” pour les plus pauvres d'esprit… fixe ou fixent le moment où la machine s'arrête, et personne ne peut avoir le moindre effet sur cette décision… si tant est qu'il y en ait une : on a beau bricoler l'horloge du temps, avancer l'échéance de quelques pouillèmes d'éternité, prétendre que “Moâ, ce petit dieu raté, je suis maître de mon corps” ou, comme d'aucuns, se proclamer (tout seul) “le maître des horloges”... c'est baratin & Co.
Car la seule chose qui ne fait pas de doute, c'est que nulle “force de l'ordre”, nul “agent de l'Etat”, nul GIGN, nulle “CRS 8”, nul dossier et nulle procédure “CERFA” ne pourra dire que la date de péremption est dépassée, qu'on a triché en respirant 3 fois de plus qu'indiqué sur la notice d'emploi, ou qu'un tel n'est plus qu'un nom à “zapper”, un sac noir à jeter au tri sélectif–(poubelle jaune) : la vision de la mort que peut avoir un élu macronien (je veux dire : “nul mais élu !”) est rien moins que désespérante… C'est à se demander avec quelle partie de leur corps ces trucs-là pensent ! Pour ces normateurs de l'innormable, “mourir dans la dignité” se résume à passer l'arme à gauche (NDLR : cette expression ancienne est une preuve éclatante que les mots ont un sens !) en se conformant scrupuleusement à un des 2 ou 3 protocoles prévus par une loi qui parle d'autre chose que du sujet de son titre ! Leur mort dans la dignité n'est qu'une mort dans les normes administratives.
Soulagez la souffrance, comme vous devriez apprendre à le faire, bande de Jocrisses, mais arrêtez de prétendre que vous pourriez avoir la plus petite influence sur un changement de nature de la mort : c'est la seule cérémonie à laquelle nous ne pourrons pas nous soustraire, et dans laquelle nous sommes certains de “ne pas avoir la main’‘ ! A l'opposé de leurs fatras fumeux, ’'mourir dans la dignité”, ce n'est pas “raccourcir ce qui ne doit pas l'être”, mais c'est –et ce n'est, ce ne peut être que– donner à chacun de pouvoir s'architecturer intérieurement, de résister aux sirènes trompeuses de l'époque, de trouver des contre-poids à la sous-culture du superficiel, de l'instant, de la trouille permanente, et de l'infantilisation, qui nous maintient dans une ignorance doucereuse et qui tue en nous tout sens moral, toute force spirituelle, toute résistance intellectuelle, la colonne vertébrale et le courage.
Bon ! Je sais bien que ces tentatives désespérées de rater son but affiché doivent tout à une pression morbide qui est dite “sociétale”, comme on dit dans le jargon gauchiste pour désigner l'amnésie volontaire… ce qui met la trop changeante “opinion publique” du côté des promoteurs de la vraie misère humaine : la plupart de nos contemporains ont, avec l'inévitable, un rapport fuyant, de déni et de rejet. C'est une triste évidence qui explique bien des malheurs que notre monde se fabrique en croyant résoudre l'insoluble… et qui n'existaient pas, lorsque le “métier d'homme” impliquait force, âme, courage et (j'ose !), la vie… jusqu'à en mourir.
Car mourir et vivre ne sont pas 2 choses séparées comme on nous le fait croire dans notre univers en voie de putréfaction en inutiles marches blanches, mais une seule et même chose, une seule et même aventure, un seul et même achèvement. Un éventuel “droit à mourir dans la dignité”, ce bobard fou pour politicards trop jeunes pour savoir de quoi ils parlent, ne saurait être ramené à un étalage de sensiblerie étalée complaisamment, comme sur les réseaux sociaux ! Partis comme nous le sommes… nous serons bientôt projetés dans un univers du type “Soleil vert”, ce Soylent Green, livre ou film sur la mort assistée, de Harry Harrison (1966)… Encore un effort, Monsieur le bourreau…
Je veux bien, à la rigueur, qu'on me parle de modifier la définition de la mort : je suis poli, et j'écouterai… en pensant à autre chose. Mais alors, s'il vous plaît, messieurs les irresponsables, que ce soit avec Montaigne, avec Bossuet, voire avec Platon, Epicure, et même Spinoza… ou –comme le faisait Mitterrand– avec un Jean Guiton. Mais je vous en supplie, qu'on m'épargne le cornet acoustique miniaturisé pour pensée-clonée de ces fausses vedettes du petit écran qui sont les nouveaux “maîtres-à-ne-pas-penser” érigés au rang d'oracles par notre époque qui ne peut que devenir lamentable à leur contact (et sur ça, on est bien parti !).
Une authentique “dignité” consisterait à être de vrais humains et à le rester jusqu'au bout, souffrance ou pas. Si vous saviez dans quelle harmonie sont morts tous les êtres chers qui m'ont quitté… J'aime me souvenir d'eux, être fier d'eux jusqu'au bout, les admirer, et ne pas avoir le remords de leur avoir volé, au nom de la sensiblerie fadasse et pleurnicheuse qui a envahi nos jours et obscurci notre jugement, LEUR MOMENT absolu, le seul… le ''bilan'' de leur vie.
En lisant toutes les insanités, tous les mensonges et toutes contre-vérités qui encombrent, polluent et salissent ce débat, il m'est venu une idée que j'aimerais partager, amis-lecteurs, “pour ce quelle est’' : sans doute fausse, mais méritant peut-être qu'on y pense deux secondes : après bientôt deux quinquennats ratés, un Macron-superman, ivre de ce qu'il croit qu'il est, trouve génial de transformer notre société et tous ses membres, en clones de ce qu'il imagine être (sous-entendu : un être supérieur, au niveau des dieux, et (osons le dire, avec modestie) Dieu lui-même). Pour ce faire, il déforme les mots, les idées, l'histoire, la culture, les systèmes de pensée et de référence… et crée un univers où plus rien ne peut exister, hors de son propre (?) néant : en chamboulant tout, n'importe comment pourvu que ça soit vite, et en mettant tout ’'cul par dessus-tête”, il fait de nous des zombies incapables de résister à toutes ses folies prétendues “sociétales”.
Nous découvrons peu à peu que nous devenons non pas ce qu'il s'imagine être, mais ce qu'il est : un grand vide, un cyborg en creux, superficiel, insignifiant, sans colonne vertébrale, changeant, flou, sans bon sens autre qu'insensé, fuyant le réel, inconsistant, sans passé –donc sans présent et sans futur, et hésitant, dans un désert sidéral, entre une non-pensée et une anti-pensée. Le seul ennui, c'est que le train est lancé et que nous avons laissé faire, sans rien dire –au contraire, pour certains– ce grand pas vers notre destruction, en tant qu'humanité et que civilisation. Dis, Monsieur, comment ça s'arrête, une catastrophe en marche ?
H-Cl.
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