#⠀⠀ ⠀✦ ⠀ֺ ▭ la beauté et ira ⠀ ⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀
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ㅤㅤㅤ ㅤ ︶ིྀᩧㅤ âme de cristallo .. ✦
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Renoir est l'un des derniers peintres à avoir restitué avec exactitude les caractères physiques particuliers du peuple français. Ses peintures sont imprégnées certes de tout ce que l'on sait déjà: la fraîcheur d'un bal ici, la gravité des attitudes là, le bonheur ménager encore ailleurs, mais elles vibrent surtout d'un trésor que nous oublions de regarder à force de le voir c'est la beauté physique au milieu de laquelle nous vivons. Le peuple français est un peuple d'une très grande beauté physique. Renoir a pris soin de rendre le plus fidèle hommage possible à la spécificité de ces yeux profonds, de ces figures symétriques, de ces teints très purs, de cet ordonnancement d'une race déployée sur son pays comme des couleurs sur un nuancier. Un équilibre tel, une variété telle que toute irruption étrangère n'y apporterait rien qui ne s'y trouve déjà, n'y enlèverait rien qui ne soit perdu pour toujours. D'autres peintres du 19ème siècle ont entrepris ce travail inconscient qui consiste à répertorier le peuple et son territoire, ce sont les Monet, les Bouguereau, les gens de l'école de Barbizon et du soi-disant style "pompier" dont les critiques d'art ont dit tant de mal. Renoir est au plan de l'exactitude figurative une sorte de point d'orgue à ce type d'entreprise, et au plan chronologique un point final.
Plus le temps ira plus ces peintres deviendront malgré eux subversifs, leurs oeuvres prenant la forme de vivantes accusations portées contre l'ivresse contemporaine de se rouler dans la boue et la merde, contre ce goût inverti de descendre vers le singe, de dégrader ce que l'on porte en soi, penchant dont Baudelaire avait démasqué les rapports souterrains avec le satanisme. Le legs de ces artistes deviendra alors l'arche d'alliance du dépôt divin que porte en soi le peuple français et plus largement toute la race blanche. «Le Blanc, c'est la sérénité, la pureté, le divin» (Morand), vérité que connaissent toutes les aires géographiques et toutes les religions du monde. Combien de barbares se sont voilés la face en pleurant lorsqu'ils ont vu chez eux débarquer les Aryens, croyant reconnaître les dieux dont parlaient leurs propres traditions? Sagesse de leur crédulité car l'Histoire est l'histoire d'une chute, l'histoire de la Chute. Combien d'adeptes de combien de religions vont à leurs pèlerinages respectifs drapés de vêtements blancs, depuis les Pythagoriciens de l'Antiquité? Le Blanc c'est le divin et Pierre-Auguste Renoir porte jusque dans son nom de famille l'hommage que l'ombre doit rendre à la lumière, clin d'oeil que Dieu nous adresse par ce peintre merveilleux.
#Renoir#william adolphe bouguereau#école de Barbizon#France#tradition#peuple#people#Paul Morand#Pierre-Auguste Renoir#Pythagore
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Le toit du monde
Souvenir de voyage par Catherine Vincetti
Il y a des évènements de notre enfance qui nous marquent pour toujours. C'est ce qui s'est passé quand au CP, notre institutrice nous avait emmenées assister à une conférence de Frison-Roche "la migration des caribous en arctique". Je me souviens très bien, c'était à la salle Rameau à Lyon. Ces images m'ont transportée et je me suis dit: un jour, tu iras là-bas.
C'est comme cela qu'en 1992, je me suis retrouvée sur un kayak, dans l'Isfjord, au Spitzberg, l'île sur le toit du monde. Un bateau nous a déposés au pied d'un glacier, nous étions 6, et il devait venir nous récupérer à un autre point 12 jours après. Ce fut un enchantement permanent. Le silence qui n'en était pas, puisqu'il y avait le bruit de l'océan, les oiseaux, le bruit du vent sur la glace, le son des icebergs qui se détachaient des glaciers. Nous avions décidé de dormir à la belle étoile, si l'on peut dire, puisqu'il n'y avait pas de nuit. Et quel bonheur d'ouvrir les yeux le matin sur toute cette beauté!
Alors, quand le ciel est devenu sombre et angoissant, que l'océan s'est déchainé, que nous n'étions pas sûrs de pouvoir accoster, les vagues nous emportant vers le large, je me suis dit que peut-être, j'allais mourir là.
Mais peu m'importait, j'étais allée au bout de mon rêve.
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Ma femme, assomée.
L'aven de mon cœur creusé par les enfants de mes tourments s'approfondi d'années en années. Années après années cette marmaille prospère et ne cesse de couler sur mes pommettes. Les réminiscences de mon avant dilatent mon aven présent. Mes paupières gorgées de mouflettes prêtent à en découdre avec le toboggan rebondi et rosé, elles s'affublent de leur plus belle parure de moules et rosissent à l'unissons avec mes joues. Bon je sais pas si t'as compris le Gus mais j'me tape une salle déprime. De celles qui te donnent l'envie de crever car elle résoudrait pas mal de merde qui encombre ma caboche tu vois ? Rien de tel qu'un bon coup de ménage par un bon coup de corde tu m'suis ? Oh et puis au passage j'en torture et j'en bute quelques uns bien sûre. Allez hop une croisière vers le royaume des abysses. No problemo raclure d'humain c'est pour bibi, avec plaisir que j'le fais. Tu penses que je suis relativement extrême et probablement suprêmement rancunière? Ne t'en fait pas ma violence intérieure se fait rattraper à une vitesse fulgurante par la géhenne de mon quotidien insipide et l'amour plate que j'ai envers moi même. Ne peut-on se complaire dans la beauté de la souffrance, l'obscure étincelle qui illumine mes écrits ? Dois-je aller mal pour être considérée comme artiste ? Ou bien ce n'est plus tendance… Que dois-je faire pour être validée par mes paires ? La faim avide de reconnaissance, d'amour, de validation, de réconfort, de tendresse, d'humour, d'intérêt, de temps, m'affame. Ma femme, assommée, tombe et lévite au creux de mon aven. En suspension elle est ,malgré elle, absente à elle même. Elle s'abandonne, rien de la touche, elle flotte, n'est plus aux commandes. Elle ne sait plus ce qu'elle veut. Que faire d'une volonté ? Si ce n'est tout refaire foirer à nouveau. Oh le petit Caliméro il va se arrêter de nous gonfler. Tu me fais pitié à te donner en spectacle comme ça, sort toi les doits du cul arrêtes de blâmer les autres pour ton malheur. Fini de moisir dans ta caverne. Confortable mon cul, la crasse qui s'accumule et dans ta caboche et ta raie m'irritent. Ca nous irrite tous, ça nous gratte le cul, on a honte à cause de toi. Le zombie derrière ses séries est content ? ca y est on peut passer à autre chose, recommencer à se brosser les dents tous les jours ? J'ai pas arrêté de boire, de me droguer et de fumer pour vivre cet enfer ma parole. Des solutions je t'en foutrais moi. A l'essaim qui vit en moi, sache que tout ira bien.
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Et Ça A Duré - Dylan O'Brien
Masterlist
Résumé : Quand tu rentres en cinquième, tu fais la rencontre d'un garçon qui parait aussi seul que toi, mais tu ne te doutais pas qu'il serait la personne la plus importe pour toi.
Warnings : Fluff, sentiment de solitude, mention de grossesse, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 1.1k
Version Wattpad
Version anglaise sur Tumblr
Contrairement à ce que l'on pourrait penser, la vie est dure à 12 ans. Surtout quand tu n'as personne à qui parler. Ta timidité t'a toujours empêché de te faire des amis. Tu n'arrives pas à aller vers les autres et ils ne viennent pas vers toi car ils ont déjà un groupe. Tu as l'impression que tu ne pourras jamais être intégrée dans ce collège de Los Angeles. Tu te sens souvent seule, mais avec le temps, on s'y fait, pas vrai ? Enfin, c'est ce que tu te répète pour te rassurer.
La rentrée en cinquième est aujourd'hui et tu mentirais si tu disais que tu n'as pas une boule au ventre. À chaque rentrée, tu as peur que le professeur vous demande de vous présenter. Tu détestes parler devant la classe. Tu as toujours l'impression de paraître ridicule.
Comme tu t'y attendais, pendant que les autres se retrouvent et parlent de leurs vacances, tu attends dans un coin de la cour, seule. Tu regardes quelques groupes d'amis et te dis qu'ils ont de la chance d'avoir des gens sur qui compter. Tu aimerais que ça soit ton cas aussi.
Tu continues à regarder autour de toi quand tu vois un garçon dans son coin, également. Son visage ne te dit rien du tout et il n'a pas l'air de connaître grand monde ici. Peut-être que c'est l'occasion d'aller lui parler ? Tu as bien remarqué que ne faire aucun effort n'amenait à rien. Tu devrais essayer d'aller le voir, même si vous ne vous parlez plus après, au moins, tu aurais essayé et ça serait déjà une bonne chose, non ?
Tu prends une grande respiration et te dirige vers le garçon. Il a des cheveux bruns, un nez en trompette et plus tu te rapproches de lui, plus tu distingues des grains de beautés sur son visage, ça le rend mignon. Tu t'arrête quand tu es face à lui et lui souris timidement.
- Salut, je m'appelle Y/N, dis-tu nerveusement.
- Je m'appelle Dylan.
Tu avais un espoir qu'il continue la conversation. Tu comprends que c'est à toi de le faire.
- Tu es nouveau ?
- Oui, j'ai emménagé ici il y a un peu plus de deux mois, t'informe-t-il. Tu es nouvelle aussi ?
- Non, j'ai toujours vécu ici.
Et un nouveau blanc prend place. C'est vraiment dur de faire une conversation quand tu ne connais pas la personne.
- Tu habitais où avant ? demandes-tu en espérant que la conversation dure.
- Dans le New-Jersey. C'est très différent d'ici.
Tu crois que tu as utilisé tout le quota de sociabilité que tu avais. Tu ne sais plus quoi lui poser comme questions. Tu es très embarrassée, tu savais que c'était une mauvaise idée d'aller lui parler. Tu n'as jamais réussi à te faire des amis avant, pourquoi ça changerait maintenant ?
- Tu sais, si tu veux aller retrouver tes amis, je comprendrais, te dit Dylan en jouant nerveusement avec ses doigts. Ils doivent sûrement t'attendre.
- Ne t'inquiète pas pour ça, ça ne risque pas.
- Ça te dirait si on se mettait à côté pendant les cours ? propose-t-il et tu souris.
- Je veux bien.
Comme convenu, tu t'assois à côté de Dylan pendant que votre professeur vous explique ce que vous allez faire dans son cours cette année. Tu es contente de voir que ça s'est bien passé avec Dylan. Certes, vous n'avez pas eu une grande conversation, mais ça ira sûrement mieux après. Tu ne veux pas avoir des attentes trop hautes, mais tu aimerais sincèrement devenir amie avec Dylan. Il a l'air d'être un garçon gentil et attentionné.
- Pour que vous apprenez à mieux vous connaître, je vais vous demander à tour de rôle de vous lever et de dire quelque chose sur vous comme votre prénom, âge, hobbies et d'autres choses si vous le souhaitez, ordonne le professeur avec un sourire.
En voyant le regard que te lance Dylan, tu comprends qu'il pense la même chose que toi. Il ne veut absolument pas faire ce que le prof vient de vous demander. Vous attendez votre tour avec beaucoup d'appréhension, mais c'est à vous trop rapidement. Tu pries pour que ça finisse vite ! Dylan est le premier à prendre la parole.
- Je m'appelle Dylan, j'ai douze ans et j'adore le Baseball.
- Quel est ton équipe préférée ? Questionne monsieur Walker, intéressé.
- Les Mets.
- Bonne équipe, mais pas aussi bien que les Dodgers, le taquine le prof. Au tour de ta camarade.
- Je m'appelle Y/N, j'ai douze ans également et j'aime dessiner, bégaies-tu.
- Tu dessines quoi ?
- De tout, je n'ai pas vraiment de préférences. J'essaye encore de trouver mon style.
- Très bien, te sourit-il. Allez, au suivant.
Finalement, ça été moins pire que ce que tu pensais. Monsieur Walker sait vous mettre à l'aise et tu penses qu'il est le genre à voir tous les bons côtés en vous. Il n'a pas l'air d'être le genre de prof à rabaisser, tu sens qu'il va essayer de faire ressortir le meilleur en vous.
Pendant tout le reste de la journée, tu apprends à connaître Dylan de plus en plus et tu deviens moins timide, tout comme lui. Tout compte fait, tu as peut-être trouvé un ami. Tu espères que ça durera car il à l'air d'être quelqu'un de génial.
Et ça a duré. Dylan fait parti de ta vie depuis quatorze ans maintenant et tu es tellement reconnaissante à la vie pour l'avoir mis sur ton chemin. Depuis que tu l'as rencontré, les choses se sont facilitées, tu es devenue moins timide avec le temps et tu as réussi à te faire d'autres amis, même si ton amitié avec Dylan reste la plus importante de toute.
En parlant de Dylan, tu le regardes venir vers toi avec un grand sourire. Il était sur un tournage pendant quelques mois, mais il est de retour depuis quelques jours, pile à temps. Une fois proche de toi, il s'assoit à tes côtés sur le canapé et pose sa main sur ton ventre rond. Votre petite-fille semble avoir senti la présence de son père car elle te donne un coup de pied.
- Hey, mon bébé. C'est papa, dit-il avec une voix toute mignonne. Ton papa est rentré pour te voir naître. Papa est content de voir que tu l'as attendu pour pointer le bout de ton nez.
- Papa n'est pas obligé de parler de lui à la troisième personne, le taquines-tu.
- Mais papa va continuer à parler de lui à la troisième personne parce qu'il sait que maman trouve ça mignon, même si elle veut montrer le contraire, te contredit Dylan en souriant.
- Je t'aime, idiot, lui dis-tu.
- Je t'aime aussi, Y/N.
Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
#marie swriting in french#dylan o'brien x y/n#dylan o'brien x you#dylan o'brien x reader#dylan o'brien#dylan o'brien x fem reader#tumblr français#Dylan O'Brien x fem!reader#dylan o'brien x female reader#dylan o'brien one shot#dylan o'brien imagine
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❤️J'ai quelques amies, une famille, de l'amour ! Aucune raison valable d'être triste. Pourquoi, à certains moments de ma vie, j'ai l'impression d'être abandonnée ou délaissée... Le sentiment d'être seul surgit seulement quand je me retrouve à la maison. Depuis 3 ans, je vis très mal cette "solitude", j'en ai peur. Quand je sors, je suis heureux, heureux de pouvoir rire, discuter, m'amuser et faire des rencontres. J'évite au maximum de dévoiler ma tristesse, car ce n'est pas moi... Je porte ce vide en moi comme un fardeau et je suis conscient que tout dépend du temps. J'essaie de voir le positif des choses et de me dire : "Ne t'inquiète pas , demain ça ira mieux “ je repense a des souvenir pas ci ancien que ça , j’en deviens nostalique . c’est souvenirs qui m'ont rendu heureux et qui me procurent encore beaucoup de bonheur. Mais dans ce bonheur, la tristesse se mélange quand je repense à tous ces moments partagés, ces moments de partage, d'amour et d'amitié, en me posant la question : à quel moment tout a basculé ?" Comment une personne aussi aimée que moi a fini par se retrouver presque seule ? J'ai longtemps trouvé cela injuste. Je n'ai même pas essayé de me battre, je me suis laissé tomber sans même essayer , car je pensais que le monde tournait autour de moi alors que c’était le contraire ...... J'ai en tête quelque nom de personne qui mon brisé, des personnes avec qui je ne souhaite plus rien, j'ai encore énormément de colère, de haine et de tristesse, même si je trouve c'est adjectif lourd à mon sens, je n'arrive pas à trouver d'autre mots, c'est ce que je ressent. Je suis tellement horrible et hypocrites, parce que accepter de leur parler, c'est le seul moyens pour moi de sortir de ma solitude.... Alors que parfois je me sans tellement plus seul en leur compagnie. Un jour, je sais que j'arriverai à faire la part des choses à les supprimer définitivement de ma vie. Tout es une question de temps. Mon ami, mon frère, a toujours été là pour moi, un homme incroyable malgré la distance qui nous sépare. Peu importe la situation, il trouve toujours du temps. Un SMS, un message sur Instagram ou même un appel sur Snapchat, je n'ai jamais eu l'impression d'être relégué au second plan. J'ai le sentiment que le seigneur agit avec justesse, que la beauté succède à la tempête. J'y crois énormément. Parfois, certaines personnes surgissent dans nos vies, sans préavis, et tout change. Je ne saurais dire comment cela se produira , mais elles rentrera dans ma vie d'une manière singulière. Elles apportera un sourire qui illuminera mon visage, le genre de personne qui fait rayonner une journée pluvieuse, à rendre les choses grises plus colorées. Le genre de personne qui surgit lorsque l'on s'y attend le moins, une personne qui devient irremplaçable, car elle laisse une empreinte dans nos cœurs, une marque indélébile et réconfortante, teintée d'espoir. Elle comblera le vide qui manquait, un fragment de puzzle trouvé. J'y crois tellement, c'est en quelque sorte ma "3 ème" la personne en qui j'aurais envie de faire ma vie et rendre heureuse.
Je sais que cela va être très compliqué pour moi pour la garder, mais à 2 tout est possible, ont s apportera mutuellement des choses qui font que rien ne pourront nous séparer. S'élever l'un pour l'autre, s'entraider et s'aimer ! Le réel amour, la femme de ma vie, la pièce de puzzle qui me manquais j'ai l'impression que tout s'arrange dans ma vie. Tout devient plus clair . Pouvoir converser, échanger, j'ai l'impression d'être écouté et compris, me sentant moins seul.
Savoir qu'autant de bienveillance et de bonté résident en l'être humain me redonne espoir. Je me dis que je ne suis pas seul. J'ai repris le sport, mes ambitions n’ont pas été moqué mais encouragées. j’ai été bloqué pendant près de trois ans, mais une rencontre a tout bouleversé... Ce bouleversement est tombé sur moi alors que je n'attendais rien, un cadeau du ciel pour me montrer que la vie en valait la peine, que j'ai le droit d'être triste ou heureux, de hurler quand ça ne va pas. Le seigneur m'a montré par ses signes que j'avais les cartes en main et que moi seule pouvais changer les choses. Il m'aide énormément et m'accompagne de jour en jour.
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Ces jours-ci, je me retrouve souvent à regarder le plafond vide et à me poser la même question qui me trottait à l'esprit ces derniers temps.
« Suis-je un raté ? "
C'est une question à laquelle je connais mon côté optimiste et mes amis répondraient immédiatement par un "non", mais c'est la même question qui m'empêche de dormir chaque nuit. Je me retrouve parfois sur le point de tomber en panne parce que je sais par moi-même que j'essaie constamment de progresser, mais au lieu de progresser, je touche constamment le fond. Peut-être que la pression a été un facteur supplémentaire parce que beaucoup de gens ont tellement confiance en moi et que j'ai fini par échouer à atteindre leurs attentes.
J'espère qu'en essayant lentement de me prouver que je ne suis pas un échec, je trouverai la beauté d'avoir peut-être un rêve brisé ou pas parfait mais réalisable. Peu importe à quel point nous pourrions nous sentir imprévisibles, peu importe à quel point c'est difficile, j'espère toujours que, bientôt, les choses tomberont à leur place et tout ira bien.
H.I
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Psaumes 49
Futilité des richesses
1 Au chef des chantres. Des fils de Koré. Psaume. 2 Ecoutez ceci, vous tous, peuples, Prêtez l’oreille, vous tous, habitants du monde, 3 Petits et grands, Riches et pauvres ! 4 Ma bouche va faire entendre des paroles sages, Et mon cœur a des pensées pleines de sens. 5 Je prête l’oreille aux sentences qui me sont inspirées, J��ouvre mon chant au son de la harpe. 6 Pourquoi craindrais-je aux jours du malheur, Lorsque l’iniquité de mes adversaires m’enveloppe ? 7 Ils ont confiance en leurs biens, Et se glorifient de leur grande richesse. 8 Ils ne peuvent se racheter l’un l’autre, Ni donner à Dieu le prix du rachat. 9 Le rachat de leur âme est cher, Et n’aura jamais lieu ; 10 Ils ne vivront pas toujours, Ils n’éviteront pas la vue de la fosse. 11 Car ils la verront : les sages meurent, L’insensé et le stupide périssent également, Et ils laissent à d’autres leurs biens. 12 Ils s’imaginent que leurs maisons seront éternelles, Que leurs demeures subsisteront d’âge en âge, Eux dont les noms sont honorés sur la terre. 13 Mais l’homme qui est en honneur n’a point de durée, Il est semblable aux bêtes que l’on égorge. 14 Telle est leur voie, leur folie, Et ceux qui les suivent se plaisent à leurs discours. – Pause. 15 Comme un troupeau, ils sont mis dans le séjour des morts, La mort en fait sa pâture ; Et bientôt les hommes droits les foulent aux pieds, Leur beauté s’évanouit, le séjour des morts est leur demeure. 16 Mais Dieu sauvera mon âme du séjour des morts, Car il me prendra sous sa protection. – Pause. 17 Ne sois pas dans la crainte parce qu’un homme s’enrichit, Parce que les trésors de sa maison se multiplient ; 18 Car il n’emporte rien en mourant, Ses trésors ne descendent point après lui. 19 Il aura beau s’estimer heureux pendant sa vie, On aura beau te louer des jouissances que tu te donnes, 20 Tu iras néanmoins au séjour de tes pères, Qui jamais ne reverront la lumière. 21 L’homme qui est en honneur, et qui n’a pas d’intelligence, Est semblable aux bêtes que l’on égorge.
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Lundi, 18 Novembre 2024
J'ai demandé une chose à l'Éternel, et je la chercherai, afin d'habiter dans la maison de l'Éternel tous les jours de ma vie, de contempler la beauté de l'Éternel, et de m'enquérir dans son temple. Psaumes 27:4
L'obéissance découle de la confiance, et la confiance se révèle par l'obéissance. La volonté du Seigneur dans notre vie est bonne, parfaite et agréable. Jésus lui dit : Je suis la résurrection et la vie; Celui qui croit en moi, fût-il mort, vivra; Et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Pour être spirituellement nourris, nous avons besoin de lire la Bible, d'aller à l'église pour entendre la Parole de Dieu, d'apprendre de Jésus, de marcher dans ses voies, de pratiquer ses enseignements et de lui permettre d'œuvrer dans nos vies. De cette façon, nous serons sûrs que nous contemplerons de grands prodiges qui seront accomplis par Jésus et ensuite nous chanterons l'hymne de la victoire. Est-ce la santé? Côté sentimental? Familier? Vous manquez un emploi? Ou est-ce la conversion de quelqu'un que vous aimez beaucoup? Peu importe la situation ! Nous sommes aimés de Dieu et Il prend toujours soin de chaque détail de notre vie, et agit dans le surnaturel, même si nous ne le voyons pas, Il est en train de faire, tout comme Josué est venu à la terre promise, et a vu que la terre était bonne, croyez-moi, sa terre est bonne aux yeux de Dieu. Peut-être qu'aujourd'hui vous traversez une situation difficile, et la seule chose qui vous vient à l'esprit en disant est N'ABANDONNEZ PAS, N'ARRÊTEZ PAS D'Y CROIRE ! Les rêves de Dieu ne mourront pas.
PRIERE: Tu es un projet saint du Seigneur, un jour Il a fait un rêve à ton sujet et aujourd'hui tu es cette personne belle et spéciale. Si ces paroles vous sont parvenues, c'est parce que Dieu les a préparées pour que vous les lisiez. Pour vous rappeler qu'il vous aime. Alors laissez chaque mot s'enfoncer dans votre cœur et là où vous êtes ! Voyez la présence du Seigneur dans votre vie. Et faites-lui confiance ! Aujourd'hui, tout ira bien, ressentez la joie, la paix et l'amour qui viennent du trône de Dieu. Priez : Seigneur, merci de ce que je suis ainsi, parce que tu m'as conçu, enseigne-moi tes voies et délivre-moi de mes ennemis. Au nom de Jésus. Amen.
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Ce soir ça va.
Les accords des chansons de Flavia me résonnent en tête. J'entends encore sa voix chanter dans mes oreilles.
C'était beau, c'était l'énergie, c'était joyeux. De la joie de vivre, d'aimer, chanter.
J'aime l'art. J'aime la musique, la beauté, sentir, vibrer. J'ai l'impression de parfois l'oublier, penser que les choses sont grave, avoir peur, et oublier que le son me touche. Qu'il y a des gens qui dansent, qu'il y en aura toujours et que ça ira. Écoute toi Sacha, aime toi et fais toi confiance. T'y arrivera, demain ça ira mieux. Ce soir c'est la tempête, l'angoisse comme un mur entre toi et la paix. Mais demain le soleil se lève, et toi aussi. Tu te lavera, t'habillera, verra le monde et ira faire quelque chose. Sois ta Flavia, heureuse, solaire.
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Tad Lo, on est là!
Réveil échelonné: petit déjeuner Mékong auquel on s'habitue bien et facilement; piscine; bagages.
Nous quittons les 4000 îles ce midi direction Tad Lo.
2h30 pour retourner à Paksé, puis 1h30 jusque TadLo, on est 9, avec autant de bagages; à Paksé, il faut récupérer 3 caisses de bière, 1 caisse de fromage mais Golf descend: qui monte en 1er ?😅
well, tout le monde ira dans la benne! (Et si tu mets le cousin pour les fesses, le cousin pour le dos, la crème sur le nez et le foulard sur tout le reste: le voyage est vraiment sympa.)
Avant l'arrivée sur Paksé, on s'est arrêté au marché simplement histoire de découvrir les différentes étales: tous les animaux sauvages n'y seront pas, mais on a le choix entre cafards, vers, écureuils...bizarrement personne n'avait faim à ce moment là.
La nuit tombe vers 17h30, bravo Loic pour la conduite de nuit des derniers km, c'est vla sportif: il faut éviter, les piétons, les tracteurs qui s'éclairent à la lampe torche ou encore la vache qui traverse quand tu arrives.
Il fait trop noir pour se rendre compte de la beauté du site, mais déjà l'espace commun, on s'y sent bien !
On fait la connaissance de Pierrot et Kelly, les associés de Loic pour le waterpark et la pizzeria en face du lac...
Un peu ko, on se fait une soirée tranquille et on rejoint nos différentes cabanes...
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Extrait du 20 II 24
"Ce qui importe le plus dans certaines situations c'est de maîtriser à temps l'euphorie." René Char Le chapitre N est enfin clos. L'histoire fut longue, dure, terrible, tragique mais j'en ressors grandi. Être. Le mystère, quel mystère. Je ne veux pas écrire des poncifs. Je pense souvent à la mort, à papa, à grand-mère. L'idée de mourir me terrifie, ma vie me ravit. Il y a urgence, je dois écrire. Écrire pour venger ma race? J'ai enfin compris la colère, elle est un moteur, une puissant moteur. Tant de choses ces temps. Le stress du mémoire, l'amour de la vie. S: nouvelle idylle, nouveau drame. Ne pas oublier l'aphorisme de René Char. Ne surtout pas l'oublier. Une romance, une idylle, un début d'amour? Ou une passante? Elle me plaît, assurément, sa beauté uniquement? peut-être. Je sais que cela ne pourrait durer. Je suis maladroit, incertain, c'est le signe qu'elle me plaît.Je dois écrire de grande chose, je dois vivre grandement. L'excellence est le début. C'est aussi la fin. Excellence. Je tombe amoureux? Ou serait-ce un amour passager, un amour contingent, deux âmes blessées qui cherchent à panser le passé? Peut-être faut-il ne pas trop se questionner, peut-être faut-il vivre, vivre sans trop de questions, simplement vivre, vivre simplement. "Ce qui importe le plus dans certaines situations c'est de maîtriser à temps l'euphorie." René Char Ne pas oublier l'aphorisme, ne pas l'oublier. Surtout ne pas l'oublier. Eros Eros Eros Eros Eros Eros Epos Epos Epos Affinité élective et tendresse. Tendrement. Rien que de la tendresse. Je ne veux pas t'aimer, tu ne le veux pas. A S A N? Le monde s'est en allé. C'est ce que tu n'as pas compris, le monde s'en est allé. Il est parti, il a fui, il n'est plus. Il faut que tu me portes. Porte moi Tendrement Mélancoliquement Passionnément Mais laisse le monde s'en aller Il doit s'en aller La fin du monde C'est la fin du monde, on attend. Je veux vivre grandement. Je suis un être d'exception, extraordinaire, unique. Je m'aime, je mérite de m'aimer. Quoi qu'en disent les contempteurs. Ton souvenir s'efface. Le monde s'en est allé, j'ai appris à le porter Où sont passés les dieux? Jamais ils ne sont partis, je leur ai tourné le dos. La terre m'accueille, qu'elle te soit douce. Aime la comme tu m'as aimé J'aimerais un jour conter ton histoire, notre histoire, du moins je croyais que je le voulais. Désormais elle n'est qu'un souvenir tendre et douloureux. Elle nous appartient, elle s'en ira avec nous. Il te faut apprendre à vivre sans moi, uniquement avec mon souvenir. Il n'y aura pas d'amitié, il n'y aura plus rien. Rien que le souvenir, juste le souvenir, qui gentiment, tranquillement, paisiblement, avec le temps, dans la douleur et la nostalgie, qui s'en ira et s'effacera jusqu'au jour où mon nom ne sera plus qu'un sourire esquissé. Le souvenir, rien que le souvenir. Je t'ai aimé, plus que de raison. Peut-être étais-je trop jeune? Je ne le crois pas. Ce fut le bon moment, la bonne personne, le bon lieu. la contingence la plus pure.
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DIMANCHE 28 JUILLET 2024 (Billet 2 / 3)
Etant parisiens et habitant près de la Seine et pas très loin de la Tour Eiffel, nous avons été plus qu’agacés par les mesures de sécurité qui se sont mises en place dans notre quartier, bien avant l’Ouverture des Jeux Olympiques… même si tout en râlant nous reconnaissions quand même malheureusement leur utilité.
Pourtant, pas rancuniers, vendredi à 19h30, il n’était pas question que nous rations ce spectacle. Sachant qu’il allait durer presque 4 heures, sur notre canapé et devant notre poste de télé, nous avons décidé de nous offrir un petit « Cocktail Gold » (made in Club Med) pour fêter l’événement qui a lieu parait-il en France une fois tous les cent ans. Il y a-t-il des bulles dorées « là-haut » ?... Il vaut mieux donc tenir que courir !...
Les zakouskis sur notre plateau (blinis, tarama, œufs de saumon, crème fraîche, sprats de la Baltique, saumon fumé parfumé à l’aneth et aux zestes de citron), 2 jolies flutes (souvenir du mariage de nos neveux Maïlys et Jérôme), un délicieux Crémant de Loire rosé (Langlois) et une petite carafe de Vodka givrée à l’herbe de bison (Zubrowka)… ont fait que nous avons pu tenir jusqu’à la fin, sans problème.
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NB 1. Notre « paparazzi » attitré est incroyable, il est présent à tous les moments heureux de notre vie. Du coup, le pauvre, parfois il n’arrête pas (🤣) !
NB 2. Evidemment, dans le défilé des délégations, JM a identifié et photographié l’embarcation du Maroc. Petit clin d’œil à nos amis Mostéfa, Youssef et Noureddine (ainsi qu’à leurs épouses)…
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Nous avouons avoir été « bluffés » par l’originalité et la beauté de certains tableaux, par la prouesse organisationnelle et technique incroyable que cela sous-entendait, dans des conditions météorologiques tout à fait défavorables… mais aussi CHOQUÉS (nous citons à partir d’ici un article publié le lendemain dans le Figaro auquel bien sûr nous adhérons à 100%) par les nombreuses incartades idéologiques. Comme si, au moment de célébrer sa fierté et son histoire, la France ne pouvait s’empêcher de puiser dans ses entrailles révolutionnaires l’esprit de provocation et de discorde qui alimente depuis la nuit des temps ses propres paradoxes et ses divisions.
Alors voici, pêle-mêle, le flop de ces images que les organisateurs des Jeux Olympiques auraient pu nous épargner - du moins s’ils avaient tenu à maintenir intact l’esprit de concorde propre aux valeurs olympiques.
Une Marie-Antoinette décapitée portant sa propre tête dans ses mains
Nourrie par les conseils avisés de l’historien Patrick Boucheron, ennemi déclaré du « roman national » français et de toute forme de célébration de l’héroïsme français, la cérémonie a toutefois fait une exception dans son souci de ne pas célébrer les grandes heures de l’Histoire. Certes, Jeanne d’Arc, les Poilus de la Grande Guerre ou Napoléon sont restés au placard, mais il y a tout de même une héroïne de l’Histoire qu’on ne pouvait pas passer à la trappe : la guillotine, bien sûr !
Alors soudain, aux fenêtres rouge sang d'une Conciergerie aux couleurs révolutionnaires, là-même où la reine Marie-Antoinette fut emprisonnée pendant la Révolution française alors que le célèbre monument de l'Île de la Cité était encore une prison, a résonné le chant des sans-culottes. Un « ça ira » entonné par une diva... déguisée en Marie-Antoinette, portant dans ses mains sa propre tête décapitée. Une évocation sans fausse pudeur de la violence révolutionnaire, dont le double régicide en 1793 fut l'apothéose. Un surprenant hommage rendu à la fièvre révolutionnaire en cette année 2024 où la France pleurait, en février, la mort de Robert Badinter, instigateur de l’abolition de la peine de mort...
Une parodie de la Cène avec des drag-queens en lieu et place des apôtres
La France est aussi le pays de la satire et de la moquerie. À condition, bien sûr, de ne pas trop sortir des clous : seule l’iconographie chrétienne aura eu droit aux faveurs d’une parodie burlesque, avec la reconstitution d’une Cène - le dernier repas de Jésus Christ avant sa mort - avec des drag-queens en lieu et place des apôtres et une DJ en très nette surcharge pondérale en guise de… Jésus Christ.
Un choix artistique qui a ébranlé l’Église de France. Mais pas qu’elle. De nombreuses personnalités politiques et des internautes se sont indignées en dénonçant une « provocation », témoignant d’une mise en scène « christianophobe », « irrespectueuse » ou encore « blasphématoire ».
La récupération politique d’Aya Nakamura
C’est peu dire que la participation d’Aya Nakamura déchaînait depuis longtemps déjà les passions. Afin bien sûr de les attiser une dernière fois, les organisateurs ont eu l’idée de faire sortir la chanteuse de... l’Académie française, dans une mise en scène qu’il est difficile de ne pas interpréter comme une réponse aux polémistes qui critiquaient le faible rapport qui existe entre la langue française et les paroles de l’interprète de « Djadja » et de « Pookie » (ne cherchez pas dans le dictionnaire...). Mais bon, « Y’a du rythme, y’a d’la vitalité », après tout.
Philippe Katerine, le schtroumpf en slip
S’il fallait finir sur un choix iconographique qui enterre définitivement l’unité esthétique de la cérémonie, la médaille d’or du mauvais goût revient sans doute au chanteur Philippe Katerine, en tenue d’Adam et la peau bleue, campé en bouffon décadent, avachi sur un pont dans une atmosphère bacchanale.
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Dieu seul sait 🌠
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Le secret des déesses - Dieu seul sait
Quand tu pleures Compte tes bénédictions Chaque fois que tu essaies Apprends quelque-chose, fais-toi confiance
Regarde le ciel comme un oiseau sans ailes Si tu veux voler, sens ton cœur, libère-toi
Nous vivons tous dans ce monde La vie est parfois injuste On continue dans ce monde Le Seigneur entendra nos prières
Regarde le ciel comme un oiseau sans ailes Si tu veux voler, sens ta respiration, libère-toi Pourquoi soupires-tu ? Compte tes bénédictions Chaque fois que tu essaies Trouve quelque-chose, fais-toi confiance
Ma mission va être difficile Je sais que ce n'est plus un jeu Je jure que je n'échouerai plus Car je ne veux plus avoir de regrets
Peux-tu entendre mon appel ? Je veux juste te sentir N'oublie pas de te souvenir S'il te plaît, souviens-toi
Je t'entends m'appeler Je veux que tu me sentes Tu sais que je n'abandonnerai pas N'abandonne jamais
Je dois exécuter ma mission Je sais que ce n'est plus un jeu Je jure que je n'échouerai plus Car je ne veux plus avoir de regrets
Le secret des déesses - Dieu seul sait
Chapitre 1 : Vulcain (Héphaistos), dieu du feu
Tel est mon destin J'accepte toute la douleur Je surmonterai la souffrance
Je partage ton destin Je ne te laisserai pas tomber Je ferai de mon mieux tout le temps
Tu es ma lumière Je serai ta lumière Alors je resterai à tes côtés Tout ira dans ton sens Et dans mon sens C'est comme un rêve dans la nuit
Voici Luna Toujours scintillante et brillante Il existe une vérité définitive Une noble beauté
Pour un vrai amour Avancer légèrement J'accomplis tous les vœux La vraie justice, c'est ce en quoi je crois
Chapitre 2 : Apollon, dieu de la beauté et de l'amour
Je sais que ce n'était la faute de personne Ne sois pas désolé, ce n'était pas ta faute Souviens-toi que tu es dans mes pensées J'espère que tu ressens la même chose Tu es celui qui peut me sauver
Chaque fois que je pense à toi J'aimerais pouvoir être avec toi Je m'en sortirai, ne pleure plus Je souris pour toi, je chante pour toi
Chaque fois que tu penses à moi Je t'en prie, souviens-toi de ma chanson Je t'attends Donne-moi tout ton amour…
Chapitre 3 : Diane (Artémis), déesse de la chasse et de la Nature
Partout et quand tu as besoin de moi Je viendrai sur le champ pour t'aider N'aie jamais peur Il faut juste que j'ajuste ma visée
Partout et quand tu as besoin d'amour Tu devrais montrer tes vraies émotions Ta respiration Est comme une douce brise
Tu as besoin de quelqu'un qui te prenne la main Ouvre tes yeux et ton cœur Prends ton temps Et dis-moi ce qui te tracasse
Lois naturelles, tout croît Je veux que tu gardes un esprit pur L'amour te rendra plus fort
Lois naturelles, coule la rivière Je veux que tu restes innocent Et l'amour te fera briller
Lois naturelles, souffle le vent Je veux que tu trouves l'amour La vie t'apportera beaucoup de bonheur
Chapitre 4 : Minerve (Athena), déesse de la sagesse
Tu préfères t'asseoir et passer ton temps Seul dans ta chambre silencieuse Et ce que tu préfères Est lire des livres et rêver
Je fais confiance en la sagesse de mon âme Et j'ai foi en mon cœur Même si je trébuche Je me relèverai et marcherai de nouveau
Avance, tente ta chance
Nous y voilà Tes mots et pensées positives T'apporteront la chance
N'hésite pas à dire et exprimer ton amour Libère ton cœur maintenant Tu peux te métamorphoser
Chapitre 5 : Mars (Arès), dieu de la guerre
Mon cœur courageux est une arme puissante Pour combattre le Mal et me battre pour ce qui est juste Comme un belle femme déguisée en homme Tu te défends contre toutes tes peurs
Tu as l'air à l'aise dans ton déguisement Es-tu satisfait de devenir quelqu'un d'autre ?
Mon cœur courageux est une arme puissante Pour combattre le Mal et me battre pour ce qui est juste Comme un belle femme déguisée en homme Tu te défends contre tous tes ennemis
Il faut se battre pour gagner maintenant Cours !
Chapitre 6 : Mercure (Hermès), dieu du voyage
Tu traces ton chemin Dis-moi vers où tu te diriges Ne sois pas pressé, prends ton temps Qu'est-ce qu'il t'arrive ?
Tu es si amoureux De près ou de loin, pensant à lui Imagine ton futur amour Que va-t-il t'arriver ?
Étudier les gens est amusant « Deux hommes différents, deux esprits différents » Je suis curieux de tant de choses De plus en plus
Ne sois pas triste si tu as perdu ton amour Je sais que tu es bien plus courageux que ce que tu crois Et je veux que tu restes tel que tu es Je souhaite que tu sois toujours rempli de bonheur
Épilogue : Amour et renaissance
Le temps est venu De mettre fin à toutes les missions Je ne regarderai pas en arrière Cela appartient au passé désormais
Tu brilles comme les étoiles Si gracieux, si pur, halo de lumière Blanc, brillant (leukos) et des ailes merveilleuses Enfin, je vois toutes les déesses
Je suis un peu déprimé et je me sens vide Tu es si grand et si incroyable Je n'ai fait que mon devoir Enfin, je vois toutes les déesses
Le temps est venu De te faire revivre Mais ce n'est pas si spécial C'est quelque-chose de naturel à accomplir
Tu brilles comme les étoiles Si gracieux, si pur, halo de lumière Blanc, brillant (leukos) et des ailes merveilleuses Enfin, je vois toutes les déesses
Je suis un peu déprimé et je me sens vide Tu es si bien et si beau Je n'ai fait que mon devoir Enfin, je vois toutes les déesses
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( j’ai pas mon journal actuellement alors je vais juste écrire ici histoire de pouvoir mettre des mots sur mes larmes et me calmer. )
c’est très rude d’avoir une tel facilité d’aimer mais en contrepartie d’être incapable d’être dans une relation. c’est finis avec le g, ça a jamais vraiment eu lieu, dans le sens où c’était trop tôt pour dire qu’on était en couple, mais on s’aime et on le sait. malheureusement (ou plutôt heureusement) j’ai beaucoup d’amour et de respect envers moi même, je ferais toujours tout pour mon propre bonheur même lorsqu’il s’agit de prendre des décisions qui me font du mal.
j’ai toujours eut des doutes sur mon orientation parce qu’aucunes case ne me définît, je rentre ni dans la case “lesbienne” ni dans la case “bi” ni même dans la case “pan” même si elle paraît la plus convenable. je peux aimer n’importe quel être humain, je vois de la beauté dans chacun d’entre nous parce que chacune des choses que je trouve belle reflète des aspects de ali (lol). j’ai beau aimer tout le monde je suis comme je l’ai dis dans l’incapacité de me mettre en couple mais alors avec un homme ? surtout après lorette, oui c’était la catastrophe totale, mais c’était une femme. entre femmes ce qui nous semblait évident nous le vivions ensemble. exemple très bête: l’empathie, lorette et moi on savait quoi se dire, comment se rassurer, quels mots employés; et c’est vraiment EXTRÊMEMENT important dans une relation pour moi. mais le g ? un homme avec une tel empathie vous avez vu ça où ? je sais c’est la socialisation primaire qui les éduque ainsi mais il faudrait vraiment aller se faire foutre. je ne peux pas éduquer mon copain. jamais de la vie. c’est encore plus rude quand je me dis que je passe de lorette, une femme, à un homme; les différences sont vraiment énormes et à la longue je ne pourrais pas vivre comme ça.
alors là oui je pleure encore et encore parce que je l’aime, mais au fond je le fais pour moi et pour mon bonheur. donc oui c’est très très dur mais mentalement je sais aussi que c’est pour mon bien et que ça ira, le seul remède c’est le temps.
demain on doit se voir pour y mettre un terme définitif, pour qu’il comprenne que c’est réel, que c’est terminé. je vais beaucoup pleurer, pas m’attarder sur les explications (parce que comment je suis supposée lui expliquer que je ne veux plus de lui parce que c’est un homme MAIS que je l’aime), puis rentrer chez moi et réviser le bac lol. ça ira. ça finis toujours par aller même lorsque ça parait impossible, il faut juste que je reste concentrée sur moi même et que je me répète que c’est pour le mieux.
bref stoner thoughts
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MORT / FINE – CHARLINE MIGNOT
Je te voyais partout, je t’imaginais tout le temps Je me rappelais de tes bisous qui sentaient les champs J’avais ton parfum comme seul somnifère Une espèce d’embrun pour que mon sommeil s’accélère
Écoute les parler les autres Ils te diront que ça ira mieux Parce que d’après tous ces apôtres Le ciel redevient toujours bleu
Je les ai vus passer les nuages Sans pouvoir contrôler le vent Je les aurais bien tous mis en cage Dans l’armoire de grand-maman
Mais tu sais moi je demandais rien Je voulais juste qu’on me foute la paix Mais tôt ou tard il revient bien Et puis tu sais comment ça fait
Toi t’étais présent dans tous mes mouvements Y avait ce truc en moi pour me pousser du toit Trop d’années perdues, trop de temps gâché Des gens que j’ai pas vu juste pour ta beauté
T’avais ce sourire qui me faisait pâlire Et puis tes discours incessants chaque jour J’ai arrêté de me battre, ça y est c’est fini J’en ai pris des claques cette fois j’ai compris
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