#éric bothorel
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lrem-deco · 2 years ago
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Lannion 18/03/2023
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mfslg · 3 years ago
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Paul Christophe
Agnès Firmin Le Bodo
Dimitri Houbron
Loïc Kervran
Patricia Lemoine
Alexandra Louis
Maina Sage
Erwan Balanant
Géraldine Bannier
Philippe Berta
Christophe Blanchet
Vincent Bru
Jean-Pierre Cubertafon
Marguerite Deprez-Audebert
Nadia Essayan
Perrine Goulet
Brahim Hammouche
Cyrille Isaac-Sibille
Christophe Jerretie
Fabien Lainé
Jean-Paul Mattéi
Sophie Mette
Philippe Michel-Kleisbauer
Patrick Mignola
Jimmy Pahun
Frédéric Petit
Sabine Thillaye
Nicolas Turquois
Michèle de Vaucouleurs
Philippe Vigier
Sylvain Waserman
Saïd Ahamada
Éric Alauzet
Aude Amadou
Pieyre-Alexandre Anglade
Christophe Arend
Stéphanie Atger
Françoise Ballet-Blu
Aurore Bergé
Pascal Bois
Julien Borowczyk
Éric Bothorel
Pascale Boyer
Yaël Braun-Pivet
Jean-Jacques Bridey
Anne Brugnera
Stéphane Buchou
Carole Bureau-Bonnard
Pierre Cabaré
Céline Calvez
Christophe Castaner
Anne-Laure Cattelot
Philippe Chalumeau
Fannette Charvier
Stéphane Claireaux
Christine Cloarec-Le Nabour
Fabienne Colboc
Dominique Da Silva
Olivier Damaisin
Yves Daniel
Catherine Daufès-Roux
Dominique David
Marc Delatte
Jacqueline Dubois
Nicole Dubré-Chirat
Audrey Dufeu
Stella Dupont
Camille Galliard-Minier
Anne Genetet
Olga Givernet
Guillaume Gouffier-Cha
Fabien Gouttefarde
Carole Grandjean
Stanislas Guerini
Véronique Hammerer
Danièle Hérin
Sacha Houlié
Guillaume Kasbarian
Yannick Kerlogot
Fadila Khattabi
Daniel Labaronne
Michel Lauzzana
Célia de Lavergne
Gaël Le Bohec
Nicole Le Peih
Marie Lebec
Christophe Leclercq
Marion Lenne
Monique Limon
Richard Lioger
Sylvain Maillard
Sereine Mauborgne
Thomas Mesnier
Thierry Michels
Patricia Mirallès
Jean-Michel Mis
Sandrine Mörch
Jean-Baptiste Moreau
Florence Morlighem
Cendra Motin
Claire O’Petit
Catherine Osson
Xavier Paluszkiewicz
Sophie Panonacle
Zivka Park
Hervé Pellois
Alain Perea
Anne-Laurence Petel
Bénédicte Pételle
Bénédicte Peyrol
Michèle Peyron
Béatrice Piron
Jean-Pierre Pont
Éric Poulliat
Florence Provendier
Bruno Questel
Isabelle Rauch
Rémy Rebeyrotte
Stéphanie Rist
Mireille Robert
Cédric Roussel
Nathalie Sarles
Jean-Bernard Sempastous
Bruno Studer
Liliana Tanguy
Sylvain Templier
Jean Terlier
Vincent Thiébaut
Valérie Thomas
Alice Thourot
Stéphane Travert
Marie-Christine Verdier-Jouclas
Stéphane Vojetta
Guillaume Vuilletet
Hélène Zannier
Sce :
Pour les repérer :
Jean-Baptiste Moreau (l'unique dė-pute-eh de la Creuse)
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reseau-actu · 5 years ago
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La porte-parole du parti de la majorité a indiqué qu’elle allait voter une proposition de loi des Républicains interdisant le port du voile aux femmes qui accompagnent des groupes d’élèves.
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Il est plutôt rare que les désaccords internes à la République en Marche s'expriment en place publique. D'un simple mot-clé #NotInMyName (« Pas en mon nom »), cinq députés LREM se sont pourtant désolidarisés mardi soir de leur collègue Aurore Bergé, qui souhaite légiférer pour interdire le port du voile islamique aux mères accompagnatrices lors d'une sortie scolaire.
#NotInMyName https://t.co/GPf1DvCvBY
— Cécile RILHAC (@Cecile_Rilhac) October 15, 2019
La députée, par ailleurs porte-parole du mouvement, était l'invitée de l'émission « Ça vous regarde », diffusée sur LCP. Interrogée sur la proposition de loi du député Les Républicains (LR) Éric Ciotti qui souhaite interdire le voile aux mères de famille lors des sorties scolaires, Aurore Bergé répond qu'elle soutient et votera ce texte.
.@auroreberge votera la proposition de loi d'@ECiotti visant à interdire le port du voile aux accompagnants lors des sorties scolaires : "Je suis cohérente avec des convictions que j'ai toujours eues. Je vais assumer la position qui a toujours été la mienne." #CVR pic.twitter.com/A4pLnUBN8h
— LCP (@LCP) October 15, 2019
« Je suis cohérente avec des convictions que j'ai toujours eues. Je vais assumer la position qui a toujours été la mienne », explique celle qui, avant de rallier Emmanuel Macron en 2017, a soutenu successivement plusieurs leaders de droite : Sarkozy, Fillon, Juppé, etc.
Dans une interview accordée à l'Express mardi après-midi, elle avait également justifié que « dans une République laïque, pour que tout le monde se sente accueilli à égalité, il faut une neutralité de cet accueil. »
« Ce qu'elle dit n'engage pas tout le mouvement »
« Il y a des messages qui participent d'une forme de stigmatisation, et je trouve ça dangereux », réplique auprès du Parisien Éric Bothorel, l'un de ces cinq députés à avoir affiché leur désaccord sur Twitter, et qui se trouvaient « ensemble » à ce moment-là.
L'élu explique que c'est la fonction de porte-parole de la République en Marche d'Aurore Bergé qui les a décidés à réagir de cette façon : « Il ne faut pas laisser penser que ce qu'elle dit engage tout le mouvement ni que ce soit à l'image du groupe parlementaire. »
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D'autant que la prise de position « assumée » d'Aurore Bergé va à l'encontre des intentions du gouvernement. Le Premier ministre l'a martelé mardi, à l'Assemblée nationale : il ne souhaite pas interdire le port du voile lors des sorties scolaires. « Je ne pense pas […] que l'enjeu aujourd'hui ce soit de faire une loi sur les accompagnants scolaires », a-t-il répliqué à un élu Les Républicains qui lui demandait de « sortir de l'ambiguïté ».
C'est justement de voir la sortie médiatique d'Aurore Bergé alors qu'Édouard Philippe s'était exprimé à peine quelques heures plus tôt, qui a poussé les cinq députés LREM à réagir de concert. Leur mot-clé, NotInMyName, avait déjà été utilisé en 2014 par des musulmans de nombreux pays pour se désolidariser des actes commis par les djihadistes de Daech.
Une majorité très divisée
Ces désaccords sont une nouvelle illustration des divisions de la majorité sur le sujet du voile. Dimanche, le ministre de l'Education nationale Jean-Michel Blanquer avait estimé que le voile islamique « n'est pas souhaitable dans la société ». Le député Aurélien Taché avait répliqué, dans une interview au Point, que cette prise de position « renforce » le Rassemblement national.
Aurore Bergé a, de son côté, pris la défense du ministre. « Jean-Michel Blanquer conduit une politique exigeante, républicaine et d'égalité des chances pour l'ensemble des enfants de la République », a-t-elle estimé dans l'Express, se défendant d'être isolée au sein du parti. « Je côtoie beaucoup plus de gens qui ne veulent pas légiférer que l'inverse », estime, lui, Éric Bothorel.
Contactée, Aurore Bergé n'a pas répondu à l'heure de publication de cet article.
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courtneytincher · 5 years ago
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Commentaires : Pourquoi il vaut mieux passer votre smartphone sur le Wi-Fi à domicile
@numerama a écrit :
C’est une recommandation que l’ont voit fleurir sur les réseaux sociaux depuis le 16 mars, à l’image du message publié par le député Éric Bothorel ou celui du président de la fédération française des télécoms Arthur Freyfuss : chez vous, mieux vaut connecter son smartphone au Wi-Fi de la box pour surfer sur le net, plutôt que de passer par la connexion 4G. Cet appel, le gouvernement y souscrit. Cédric O, le secrétaire d’État au numérique, a mis en ligne le….
Par Julien Lausson Revenir à l’article
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@numerama a écrit :
C’est une recommandation que l’ont voit fleurir sur les réseaux sociaux depuis le 16 mars, à l’image du message publié par le député Éric Bothorel ou celui du président de la fédération française des télécoms Arthur Freyfuss : chez vous, mieux vaut connecter son smartphone au Wi-Fi de la box pour surfer sur le net, plutôt que de passer par la connexion 4G. Cet appel, le gouvernement y souscrit. Cédric O, le secrétaire d’État au numérique, a mis en ligne le….
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courtneyvbrooks87 · 6 years ago
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Favorable Cryptocurrency Tax Rules Rejected by France
Favorable Cryptocurrency Tax Rules Rejected by France
December 19, 2018 11:09 PM
France wants to be a leader in blockchain technology, but not so much that it’ll reduce crypto tax burdens to do so.
Four proposed tax amendments that would benefit cryptocurrency owners and investors have been rejected by the French Parliament.
The tax amendments were posed as part of France’s 2019 budget planning. They included a proposal to distinguish between occasional and frequent cryptocurrency trading, plans to only apply tax once balances have been transferred to a bank account, and tax exemptions.
Pierre Person, MP for centrists La République En Marche, argued in the “Assemblée Nationale”, France’s lower house of parliament, for a clarification on the classification of frequent and infrequent trading which currently determines how taxes are applied. This was rejected by the “rapporteur,” or budget chair, and the French finance minister Bruno Le Maire on the basis such an amendment “would only confuse the situation rather than clarify it.”
Person proposed that taxes on cryptocurrencies only be applied when balances reached the “real economy,” such as when they were transferred into conventional bank accounts. He was supported by Laure de la Raudière, one of two MPs who recently advocated for the French government to channel over $500 million in government spending to blockchain development efforts. De la Raudière proposed a separate amendment for a similar purpose.
Person, along with La République En Marche MP Éric Bothorel, also proposed an annual tax exemption above the currently applied €305 (roughly $346). The MP’s submitted exemption figures of €3000 and €5000 respectively (approximately $3410 and $5685), both figures were rejected as “excessive demands.”
French Republican MP Éric Woerth proposed that cryptocurrency capital gains be taxed under France’s existing system for securities. It was also returned but qualified by a promise to re-evaluate the amendment should crypto-assets become a greater part of the French economy.
Alexandre Stachtchenko, president of blockchain lobbying group La Chaintech, responded to the rejections in an interview with Capital magazine:
“The most frustrating thing about all this is that none of the rejections were motivated or justified by the Chairman or the Minister.”
Though the amendments would certainly benefit cryptocurrency investors and traders, some of the rejections are hardly surprising. It would be far easier to only tax cryptocurrency balances once they enter the “real” economy, but in theory traders could avoid tax by keeping their balances within the cryptocurrency markets for some time.
Thousand-dollar equivalent exemptions are also unlikely to be accepted. Though the French government is supportive of cryptocurrencies it’s unlikely to want to miss out on valuable tax revenue from the sector.
Currently cryptocurrency profits are taxed as capital gains, equivalent to those from “movable property” in France, according to whether trading activity is occasional or habitual. For many this equates to 19 percent income tax and 17.2 percent social contributions, a total of 36.2 percent. The classification of cryptocurrencies as “moveable property” was considered a tax break for investors earlier this year. Cryptocurrency holdings are also included in wealth tax calculations. 
Many in France hope to create a welcoming space for cryptocurrency and blockchain activity so the parliamentary debates are likely to continue. In September 2018, the French Parliament did progress the PACTE Act creating a legal framework for ICOs.
Melanie Kramer is a freelance FinTech, blockchain, and cryptocurrency writer based between France and Canada. Melanie has studied, and retains an avid interest in, global politics, business, and economics.
ETHNews is committed to its Editorial Policy
Like what you read? Follow us on Twitter @ETHNews_ to receive the latest France, Alexandre Stachtchenko or other Ethereum law and legislation news.
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mccartneynathxzw83 · 6 years ago
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Favorable Cryptocurrency Tax Rules Rejected by France
Favorable Cryptocurrency Tax Rules Rejected by France
December 19, 2018 11:09 PM
France wants to be a leader in blockchain technology, but not so much that it’ll reduce crypto tax burdens to do so.
Four proposed tax amendments that would benefit cryptocurrency owners and investors have been rejected by the French Parliament.
The tax amendments were posed as part of France’s 2019 budget planning. They included a proposal to distinguish between occasional and frequent cryptocurrency trading, plans to only apply tax once balances have been transferred to a bank account, and tax exemptions.
Pierre Person, MP for centrists La République En Marche, argued in the “Assemblée Nationale”, France’s lower house of parliament, for a clarification on the classification of frequent and infrequent trading which currently determines how taxes are applied. This was rejected by the “rapporteur,” or budget chair, and the French finance minister Bruno Le Maire on the basis such an amendment “would only confuse the situation rather than clarify it.”
Person proposed that taxes on cryptocurrencies only be applied when balances reached the “real economy,” such as when they were transferred into conventional bank accounts. He was supported by Laure de la Raudière, one of two MPs who recently advocated for the French government to channel over $500 million in government spending to blockchain development efforts. De la Raudière proposed a separate amendment for a similar purpose.
Person, along with La République En Marche MP Éric Bothorel, also proposed an annual tax exemption above the currently applied €305 (roughly $346). The MP’s submitted exemption figures of €3000 and €5000 respectively (approximately $3410 and $5685), both figures were rejected as “excessive demands.”
French Republican MP Éric Woerth proposed that cryptocurrency capital gains be taxed under France’s existing system for securities. It was also returned but qualified by a promise to re-evaluate the amendment should crypto-assets become a greater part of the French economy.
Alexandre Stachtchenko, president of blockchain lobbying group La Chaintech, responded to the rejections in an interview with Capital magazine:
“The most frustrating thing about all this is that none of the rejections were motivated or justified by the Chairman or the Minister.”
Though the amendments would certainly benefit cryptocurrency investors and traders, some of the rejections are hardly surprising. It would be far easier to only tax cryptocurrency balances once they enter the “real” economy, but in theory traders could avoid tax by keeping their balances within the cryptocurrency markets for some time.
Thousand-dollar equivalent exemptions are also unlikely to be accepted. Though the French government is supportive of cryptocurrencies it’s unlikely to want to miss out on valuable tax revenue from the sector.
Currently cryptocurrency profits are taxed as capital gains, equivalent to those from “movable property” in France, according to whether trading activity is occasional or habitual. For many this equates to 19 percent income tax and 17.2 percent social contributions, a total of 36.2 percent. The classification of cryptocurrencies as “moveable property” was considered a tax break for investors earlier this year. Cryptocurrency holdings are also included in wealth tax calculations. 
Many in France hope to create a welcoming space for cryptocurrency and blockchain activity so the parliamentary debates are likely to continue. In September 2018, the French Parliament did progress the PACTE Act creating a legal framework for ICOs.
Melanie Kramer is a freelance FinTech, blockchain, and cryptocurrency writer based between France and Canada. Melanie has studied, and retains an avid interest in, global politics, business, and economics.
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140eco · 6 years ago
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Numérique. Google organise des ateliers pour le monde économique à Lannion
Numérique. Google organise des ateliers pour le monde économique à Lannion
En juin, Google avait annoncé l’installation d’un camp de base à Lannion. Depuis, silence radio. Dans l’ombre, avec l’aide du député Éric Bothorel (LREM) et de la technopole Anticipa, le géant du numérique a tissé sa toile.Hier, les représentants de l’entreprise californienne ont « concrétisé une…
Source : ouest-france
Author: David Désille.
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reseau-actu · 5 years ago
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Le décret d’application, peu précis, ne répond pas aux inquiétudes des opérateurs télécoms pour le choix de leurs équipements.
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La 5G en France verra-t-elle le jour avec ou sans Huawei? Ni le texte de loi voté au printemps, ni son très attendu décret d’application, paru ce dimanche, ne permettent de véritablement répondre à cette question. Sur fond de guerre commerciale, les Américains ont décidé de fermer leur marché au groupe chinois, l’accusant d’espionnage pour le compte de Pékin. Le gouvernement français a opté pour une autre stratégie qui lui permet de ne pas stigmatiser Huawei: les opérateurs télécoms devront obtenir une autorisation du secrétaire général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN) pour leurs équipements de réseaux radio-électriques. L’absence de validation dans les deux mois sera considérée comme un refus.
«Nous sommes plus que jamais dans l’attente de clarifications au regard des investissements à venir», tempête Arthur Dreyfuss, président de la Fédération française des télécoms et secrétaire général d’Altice (SFR). Dans quelques semaines, les enchères portant sur l’attribution des licences 5G vont en effet être lancées. Les opérateurs estiment que les textes ne leur permettent pas de déterminer quels équipements seront autorisés. Et, donc, qu’ils ne peuvent pas planifier leurs dépenses pour les années à venir. «Nous conna��trons les règles du jeu après les enchères», déplore l’un d’eux. Un des sujets de préoccupation concerne la définition des zones dans lesquelles il sera interdit d’utiliser les matériels du groupe chinois. Avant la promulgation de la loi, une «ligne rouge» était tacitement respectée par les opérateurs français. Ils n’utilisaient pas d’équipement Huawei dans Paris, ni pour leur cœur de réseau, et Huawei représentait moins de 50 % de leurs équipements. «Le décret fait bouger cette ligne, sans déterminer clairement quelles parties du territoire sont concernées», résume Arthur Dreyfuss, qui agite le spectre d’un retard du déploiement de la 5G en France, imputable à ces nouvelles contraintes. «Les opérateurs télécoms ne méconnaissent pas les risques ni les zones à bannir», estime de son côté Éric Bothorel, député LREM et rapporteur de la loi Huawei. Charge à eux d’éviter les zones «sensibles» ou susceptibles de l’être. D’aucuns reprochent à l’État de s’être défaussé sur les opérateurs. Ils pourraient choisir de tourner le dos à Huawei, par prudence.
Discrimination?
Tous les opérateurs français n’ont pas le même degré d’exposition. Pour des raisons historiques, Orange et Free ne sont pas clients, du moins en France. Ce qui n’empêche pas Stéphane Richard, PDG d’Orange, de se montrer critique sur le texte. Et pour cause, son groupe utilise massivement des équipements Huawei dans d’autres pays, notamment en Espagne. Iliad, la maison mère de Free, est dans une situation comparable.
À lire aussi : 5G: comment la bataille d’intérêts a retardé le lancement en France
Celle de Bouygues Telecom et SFR est plus critique. Ils ont opté pour des équipements du groupe chinois pour leur 4G. Or, comme pour les Lego, toutes les marques de briques ne sont pas compatibles entre elles. Ces deux opérateurs craignent donc de devoir «déconstruire» une partie de leur réseau, s’ils ne peuvent pas s’appuyer sur l’existant pour déployer leur 5G. «Si un équipementier était amené à être interdit sur tout ou partie du territoire, il faudra que le gouvernement assume les conséquences d’un tel changement», ajoute Arthur Dreyfuss, qui en appelle à un soutien financier de l’État.
Pour le moment, Ericsson et Nokia, qui se trouvent de facto en position de force, «jouent le jeu»: ils n’ont pas augmenté leurs tarifs. Et ils se gardent bien d’accabler leur rival étant très présents en Chine. Nokia y a notamment hérité de la forte présence d’Alcatel Lucent, racheté en 2015. Pour Huawei, qui se garde de critiquer la volonté de Paris de «contrôler les nouvelles technologies», s’inquiète d’une éventuelle «discrimination» à son égard.
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courtneytincher · 6 years ago
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Commentaires : L'Assemblée nationale adopte à l'unanimité la loi sur la sécurité de la 5G
@numerama a écrit :
C’est un rare moment d’unité parlementaire. Mercredi 10 avril, l’Assemblée nationale s’est prononcée à l’unanimité en faveur de la proposition de loi « visant à préserver les intérêts de la défense et de la sécurité nationale de la France dans le cadre de l’exploitation des réseaux radioélectriques mobiles », dite loi sur la sécurité de la 5G. Le texte était examiné en première lecture par les députés. Éric Bothorel // Source : Jean-Luc Hauser L’issue positive du scrutin a été saluée par Éric….
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@numerama a écrit :
C’est un rare moment d’unité parlementaire. Mercredi 10 avril, l’Assemblée nationale s’est prononcée à l’unanimité en faveur de la proposition de loi « visant à préserver les intérêts de la défense et de la sécurité nationale de la France dans le cadre de l’exploitation des réseaux radioélectriques mobiles », dite loi sur la sécurité de la 5G. Le texte était examiné en première lecture par les députés. Éric Bothorel // Source : Jean-Luc Hauser L’issue positive du scrutin a été saluée par Éric….
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reseau-actu · 6 years ago
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Le nouveau secrétaire d’État va plonger dans le grand bain dès ce mardi avec la taxe Gafa.
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L’agenda du nouveau secrétaire d’État au Numérique, Cédric O, est déjà bien chargé. Vingt-quatre heures après la passation de pouvoirs avec Mounir Mahjoubi, un premier rendez-vous attend Cédric O ce mardi, avec l’examen de la «taxe Gafa» en commission à l’Assemblée nationale. Le dossier est loin d’être étranger au secrétaire d’État. Ce fidèle de la macronie était conseiller auprès du président et du premier ministre, en charge des participations publiques et de l’économie numérique.
Mercredi, ce sera au tour de la «loi Huawei», portée par Éric Bothorel (LREM), d’être présentée en commission. Cette proposition de loi porte en elle deux défis. Le premier est de réussir le passage à la 5G, la nouvelle génération de téléphonie mobile. Le deuxième est de permettre à la France de garantir sa sécurité et sa souveraineté. Ce dernier point est loin de se limiter au secteur des télécoms. La formation, la maîtrise des technologies du numérique sont des sujets vitaux. «Il faut permettre à la France de gagner en souveraineté numérique», tranche Laure de La Raudière, députée de l’Eure-et-Loir (UDI).
«Tous les ministères sont concernés: la Santé, l’Éducation… Le numérique est partout», ajoute Laure de La Raudière, qui prône une plus grande collaboration entre les administrations
Autre dossier brûlant, celui de l’inclusion numérique. La dématérialisation des services administratifs, qui basculent peu à peu sur Internet, implique que tous les citoyens puissent avoir accès à une connexion et sachent utiliser Internet. «Tous les ministères sont concernés: la Santé, l’Éducation… Le numérique est partout», ajoute Laure de La Raudière, qui prône une plus grande collaboration entre les administrations. Le proche d’Emmanuel Macron va devoir se transformer en chef d’orchestre.
«Il va aussi devoir s’attaquer au dossier de la régulation des acteurs du numérique», ajoute Éric Bothorel. Un vaste sujet qui englobe l’examen de la loi Avia sur la haine en ligne devrait lui aussi se faire dans les prochaines semaines. Un dossier chaud dont le Conseil constitutionnel s’est saisi.
Un familier de la tech
Face à ces défis, Cédric O a pour lui de connaître ses dossiers. «C’est un nom qui surprend le grand public mais que tout l’écosystème connaît bien», rassure Aymeril Hoang, ancien directeur de cabinet de Mounir Mahjoubi. Cédric O était notamment à l’initiative de Tech for Good ou encore de Choose France, des événements invitant les acteurs de la tech à investir dans l’Hexagone. Son intérêt personnel pour le sujet des start-up devrait être un atout pour répondre à une autre attente, concernant cette fois les entreprises de la French Tech. Il faut désormais les aider à grandir pour les transformer en entreprises de taille intermédiaire (ETI). Une démarche sur laquelle son prédécesseur s’était déjà beaucoup positionné.
«Mounir Mahjoubi a beaucoup communiqué, mais peu transformé. On attend donc un peu au tournant celui qui le pilotait depuis l’Élysée, note Benoît Thieulin, ex-directeur du Conseil national du numérique et auteur récent d’un rapport sur la souveraineté numérique européenne. Les sujets chauds où la France doit viser le leadership sont nombreux, mais Cédric O est prêt et connaît ces dossiers.».
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courtneytincher · 6 years ago
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Commentaires : 5G et espionnage : la loi taillée contre Huawei avance malgré les critiques
@numerama a écrit :
La proposition de loi sur la sécurité des réseaux de télécommunications mobiles, qui apparaît comme une manière de contrôler plus étroitement les activités de Huawei en France, vient de franchir une étape dans son parcours législatif. le mardi 5 mars, le groupe La République en marche a en effet choisi le député Éric Bothorel pour être le rapporteur du texte. Éric Bothorel // Source : Jean-Luc Hauser Le parlementaire, qui est impliqué dans tous les groupes de travail relatifs au numérique,….
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@numerama a écrit :
La proposition de loi sur la sécurité des réseaux de télécommunications mobiles, qui apparaît comme une manière de contrôler plus étroitement les activités de Huawei en France, vient de franchir une étape dans son parcours législatif. le mardi 5 mars, le groupe La République en marche a en effet choisi le député Éric Bothorel pour être le rapporteur du texte. Éric Bothorel // Source : Jean-Luc Hauser Le parlementaire, qui est impliqué dans tous les groupes de travail relatifs au numérique,….
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courtneytincher · 6 years ago
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Commentaires : Coût de l'électricité : les data centers en France obtiennent une aide fiscale de l'Assemblée nationale
@numerama a écrit :
La France propose-t-elle un environnement assez accueillant pour les centres de stockage de données numériques, plus connus sous le nom anglais de data centers ? Non estiment les députés de la République en marche. Pour corriger le tir, ils ont donc adopté jeudi 18 octobre un amendement proposé par Éric Bothorel qui consiste à leur appliquer une fiscalité plus douce, sous conditions. Cet amendement, voté dans le cadre du projet de loi de finances pour 2019, consiste en fait à appliquer….
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@numerama a écrit :
La France propose-t-elle un environnement assez accueillant pour les centres de stockage de données numériques, plus connus sous le nom anglais de data centers ? Non estiment les députés de la République en marche. Pour corriger le tir, ils ont donc adopté jeudi 18 octobre un amendement proposé par Éric Bothorel qui consiste à leur appliquer une fiscalité plus douce, sous conditions. Cet amendement, voté dans le cadre du projet de loi de finances pour 2019, consiste en fait à appliquer….
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