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8 conseils simples sur l’apprentissage de la propreté de votre enfant
Avez-vous essayé l’apprentissage de la propreté de votre enfant et ça ne va pas bien? Certains enfants combattent chaque tentative d’apprentissage de la propreté que vous ferez, tandis que d’autres enfants sont intéressés par l’apprentissage de la propreté. En tant que parent, vous serez en mesure de dire quand votre enfant est prêt à commencer l’apprentissage de la propreté. Deux ou trois ans est l’âge moyen auquel votre enfant commence le processus d’apprentissage de la propreté. Voici quelques méthodes simples pour vous faciliter la tâche, à vous et à votre enfant.
1. Commencez à utiliser les toilettes vers l’âge de deux ans. Sortez et achetez une petite chaise pot ou un siège pot qui s’adapte sur les toilettes de taille normale. Si vous entraînez un garçon à la propreté, faites en sorte qu’il ait un bouclier à l’avant pour qu’il ne fasse pas de dégâts. Apportez le petit pot dans la pièce où votre enfant passe le plus clair de son temps un jour ou un week-end lorsque vous avez du temps libre. Laissez votre enfant courir avec juste une chemise sans sa couche. Si cette nudité vous dérange, demandez à votre fils ou à votre fille de porter des sous-vêtements. Si vous les avez dans une couche, ils n’auront jamais l’idée que lorsqu’ils urineront, cela coulera le long de leurs jambes et fera des dégâts.
2. Effacez votre emploi du temps avant de commencer à entraîner votre enfant à la propreté. Choisissez un moment où vous savez que vous et votre routine familiale sont les moins susceptibles d’être dérangés par des vacances, des invités, un déménagement dans une nouvelle maison, etc. Les longs week-ends de vacances sont le moment idéal pour commencer l’apprentissage de la propreté de votre tout-petit.
3. Décidez quels mots vous utiliserez pour décrire les parties du corps, l’urine et les selles. Essayez de ne pas utiliser de mots comme sale, puant ou méchant. L’utilisation de ces termes négatifs peut rendre votre enfant conscient de lui-même et honteux. Parlez de la miction et des selles d’une manière simple et concrète.
4. Utilisez la figurine ou la poupée préférée de votre enfant sur un faux pot, en expliquant que le bébé va faire pipi dans le pot. Mettez des couches sur leur ours en peluche préféré, puis transformez l’ours en sous-vêtements.
5. Discutez avec votre enfant des avantages d’être propre. Parlez-leur de ne plus avoir d’érythème fessier, de ne pas avoir à s’absenter du jeu pour changer leur couche et de la merveilleuse sensation d’être propre et sec. Aidez-les à comprendre que l’apprentissage de la propreté est une étape importante de la croissance.
6. Utilisez des livres et des vidéos pour aider votre enfant à comprendre le processus d’apprentissage de la propreté et voir d’autres enfants apprendre à utiliser le pot. De nombreux livres et vidéos sont disponibles en ligne ou dans votre librairie locale. Laissez votre enfant regarder son livre préféré assis sur le pot pour faire passer les minutes.
7. Sortez votre calendrier et déclarez un jour pot. C’est le jour où votre enfant aimerait commencer l’apprentissage de la propreté. Utilisez une couleur vive et encerclez cette date. Continuez à leur rappeler que le jour du petit pot est presque là.
8. Votre fils ou votre fille aime-t-il dérouler le papier toilette ? Essayez d’écraser le rouleau pour que le rouleau de carton à l’intérieur ne soit plus rond. De cette façon, il ne se déroulera pas aussi rapidement. De plus, les tout-petits qui s’entraînent à la propreté n’obtiendront pas trop de papier par tirage sur le rouleau.
Habituellement, il faut plusieurs séances d’entraînement pour qu’un enfant comprenne ce qu’il est censé faire et soit totalement propre. N’oubliez pas de continuer à essayer, votre enfant finira par comprendre et réussira.
Outil miracle pour des enfants et parents épanouis Ce guide simple et efficace est destiné à toutes les personnes qui veulent : Comprendre leur enfant- Etre plus efficace dans leur quotidien avec leur enfant- Encourager l’épanouissement de leur
#la parentalité#parentalité#education familiale#éducation positive#enfant#parents#éducation zen#éducation bienveillante
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"Un autre problème : la catastrophique éducation scolaire chrétienne, y compris la soi-disant école privée hors-contrat (comme si cela garantissait quoi que ce soit) tenue par importantes dondons hurleuses et petits précieux efféminés, entièrement débilitante, républicaine, africaine, gaffeuse, inoffensive. Autoritaire mais par procédé, sans le tact que confère un vécu sensible (chose que les enfants même jeunes perçoivent très bien chez les adultes qui leur parlent). Bienveillante, mais maternante et castratrice et toujours nimbée de la lâche crainte du jugement des mères, seules véritables directrices (par proxy) des écoles tratras, les désastreuses mères quadras démusclées à tennis violettes en plastique étouffant des soupirs de porteur d'eau même pour monter dans la voiture. L'éducation chrétienne actuelle même très-très-tratra est une manière de se raconter des histoires entre administrateurs "membres du haut conseil" chevaliers de la dînette complètement cocufiés et féminisés. Ils ont trop lu, trop ressassé le moyen-âge, trop visité de monastères détruits en s'extasiant sur le plan alors que la guide devant eux a des faux-cils, des faux ongles, des faux seins. Ils ne voient jamais ces faux-culs le concret des choses.
[...] Quel être physique reste-t-il dans un enfant après formation religieuse par animatrice pastorale ? Quelle force, quel rapport au monde, quel nécessaire fanatisme, quelle énergie, quelle estime de soi, quelle certitude métaphysique peut-il rester à un garçon après s'être fait inculqué la déférence envers une dame dont la place sociale est en elle-même une usurpation? La réponse arrive 10 ans plus tard lors des premières confrontations physiques avec la racaille et avec la gent féminine amatrice de racaille. Ce jour-là il n'y a plus l'animatrice pastorale "dame respectée" pour rendre des comptes sur les résultats de sa formation. Mais "elle était très gentille madame Lebrouneux hein?" Nous avons grandi sous propagande contre les pères, désignés comme alcooliques, abusifs, frappeurs à coup de ceinture. Nous n'avons jamais rien vu de tel dans les faits nulle part en 18 ans de salle d'attente de l'âge adulte. Nous n'avons vu partout et toujours dans les familles françaises que la mère abusive, la mère mauvaise, la mère indigne, la mère déshonorante, la mère hurleuse, la mère dégueulasse de manœuvres, la mère cinglée profiteuse destructrice effroyable et qui se fout absolument des conséquences de ses actes, entièrement protégée par les tribunaux et célébrée par les médias.
Mais les choses les plus sérieuses en matière d'éducation commencent exactement lorsque l'éducation scolaire vient de finir et que l'enfant doit faire sa place dans un monde qui lui est soit indifférent soit hostile. Toutes ces écoles à la con soi-disant tratra forment des intellectuels sur le modèle franc-maçon vieux de 150 ans le plus inepte imaginable, quand la seule voie porteuse, tracée par Thomas Arnold, consiste à forger le caractère dans une stricte séparation garçons/filles, loin des désastreuses mères surtout, dans une ascèse de Grec ancien, dans une apologie absolue de la Providence, de la génération de famille nombreuse, de la xénélasie et de l'excellence, dans le chant, le sport, le discernement professionnel dès 13 ans, dans la mise à l'épreuve par "devoirs" comme dans la scène du Starbucks dans Fight Club. Forger le caractère consiste à faire coïncider le tempérament personnel de l'enfant avec la Tradition : la Nature lui a donné de naître et de vivre, la Tradition lui donnera de bien vivre. En l'état actuel des choses qu'iront faire ces pauvres gamins une fois leur éducation finie, une fois au pied du mur pour "choisir des études" après des années de crétinisation sous maîtresses et chapons ? À votre avis quelle est l'espérance de vie de l'âme d'un garçon de 18 ans logé en résidence étudiante d'une ville lointaine pour y "faire une école de commerce"? Et d'une fille ?"
Lounès Darbois, août 2023.
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Once upon a time
Je ne savais pas trop par où commencer. J'avais même peur quelque part d'étaler ces quelques mots, ces quelques lignes, sans trop savoir vers où j'irais. Mais je vais tenter. Dans le pire des cas, ça se perdra dans les baffons de l'internet !
Comment arrive-t-on encore à trouver l'envie d'avancer, lorsqu'on ne trouve sa place dans aucune case (famille, travail, politique, religion, etc). Comme si nous étions dans un néant. On se fixe uniquement des "objectifs", on planifie des événements, des voyages, des sorties, on tente de faire de nouvelles rencontres, on change de travail, etc.
Tout cela dans le seul et unique but de trouver un sens à ce qu'on fait, à ce qu'on vit, ce qui nous pousse à nous lever le matin, à ne pas rester léthargique dans notre lit, être productif, avoir un rôle dans la société, ou sans aller jusque là trouver un but à notre existence.
Comment fait-on lorsqu'on est las de tout ça ? Comment fait-on lorsqu'on a conscience de tout cela ? Comment faire, continuer, sans avoir une seule envie que de celle de tout arrêter, de se mettre sur le bas côté et laisser les autres continuer sans nous, continuer à avancer.
Personnellement, ça fait longtemps que j'ai l'impression de regarder le monde s'agiter, les gens se mouvoir, sans réussir à en faire autant. Je pense que je fais bien semblant. Des années d'entraînement, de mimétisme, une éducation qui a aidé je pense aussi. Mais j'ai cette boule dans le ventre, ce poids dans le coeur, ces nuages dans la tête. Toute cette brume en moi, tous ces maux, ces moments de malaise que je ressens depuis que je suis petite, à ne pas comprendre pourquoi les adultes s'agitaient autant, pourquoi tout était une question de temps ...
Aujourd'hui, étant adulte aux yeux des autres, de la société, du travail, de tout le monde, excepté de moi-même (finalement), je tente tant bien que mal de m'agiter aussi. Mais j'ai le sentiment d'être ridicule dans ce rôle. Comme si je n'étais pas fait pour ce costume que je porte. Mon propre déguisement d'adulte, que j'ai élargie en grandissant. Il est tout rapiécé, décousu, usé, alors que je n'ai que 34 ans. Je me suis tant débattu dedans, à essayer de trouver comment le porter sans avoir l'impression d'étouffer.
Il était une fois une jeune femme, perdue dans ce monde d'adultes, dans lequel, il faut apprendre à vivre. Mais qui ne veut pas oublier l'enfant qu'elle était, l'adolescente curieuse, la jeune femme naïve, remplie d'espoir.
Aujourd'hui, j'ai l'impression d'avoir acquis l'aigreur d'une vielle dame, sans la sagesse. Je me sens blasée par les gens, par la foule, par la politique, les médias, la vie. Ce n'est pas une passade, c'est quelque chose qui dure, qui est en moi depuis si longtemps que l'écrire me semble inutile, car évident. Pourtant, lorsqu'on apprend à me connaître, je ne laisse rien paraître.
Mon visage, refuse de montrer qui je suis réellement. J'ai une tête de gentille. On a l'impression que je sais exactement ce que je fais, je suis sérieuse, fiable, loyale, empathique, bienveillante, etc. Cependant, derrière ce masque se cache une toute autre personne.
Il était une fois, une jeune femme de 34 ans complètement perdue dans ses travers, dans son tourbillon d'émotions, de sentiment, dans sa forteresse de solitude. Une hypersensible qui le cache bien.
#hypersensibilité#pensées#inutile#journal intime#diary#hypersensitivity#thoughts#french#texte libre#vie
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L’empathie est un atout essentiel qui peut être cultivé dès le plus jeune âge. Cette capacité précieuse permet de se mettre à la place d’autrui, ressentant et comprenant ses émotions. Un enfant empathique ne se contente pas de percevoir les sentiments des autres ; il est aussi capable d’intervenir, d’apporter son soutien et d’aider de manière spontanée.
Il est essentiel de travailler l’empathie et de la développer chez les enfants, en les encourageant à réfléchir régulièrement sur les émotions et les ressentis des autres. À cet égard, poser des questions qui les amènent à adopter le point de vue d’autrui est une méthode efficace : « Comment se sent-il ? » « Si tu étais à sa place, comment te sentirais-tu ? » « Que voudrais-tu qu’on te dise ou fasse dans cette situation ? ».
Je m’attarde également sur la question des insultes en ligne, un domaine où la distance numérique entre les interlocuteurs peut souvent réduire la capacité à s’identifier à l’autre et, par conséquent, l’empathie. C’est un défi moderne qui requiert une sensibilisation et une éducation adaptée pour préserver et renforcer les valeurs d’empathie dans un monde de plus en plus connecté.
L’empathie ne se manifeste pas uniquement dans les moments de tristesse ou de difficulté ; elle se révèle aussi dans des actes quotidiens comme aider à comprendre une leçon ou participer aux tâches ménagères. L’idée est d’apporter l’aide que nous aurions souhaité recevoir dans une situation similaire, créant ainsi un environnement bienveillant et solidaire.
Finalement, aider les autres ne génère pas seulement du bien-être pour la personne aidée ; cela procure également un sentiment de satisfaction et de réussite pour celui qui aide. C’est un échange enrichissant et gratifiant qui renforce les liens sociaux et contribue à l’épanouissement personnel.
Au travers de cette vidéo, je souhaite partager des conseils, des réflexions et des exercices pratiques pour encourager et développer l’empathie chez les enfants. Ensemble, cultivons une génération plus compréhensive, bienveillante et solidaire.
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Sa Parole Pour Aujourd'hui du Mardi le 10 septembre 2024
Esprit ! Ouvre-toi !
“Il leur ouvrit l’esprit pour comprendre les Écritures.” Lc 24. 45
Qu’est-ce qu’avoir l’esprit ouvert ? Nous prétendons parfois être ouverts d’esprit, mais que voulons- nous dire par cette expression ? Intellectuellement ? Ce serait accueillir les idées nouvelles, être en éveil avec la culture ambiante, aux découvertes, aux techniques de pointe. Mais est-ce tout ? Moralement ? Ce serait avoir une ouverture bienveillante vis-à-vis des mœurs du moment, sans être prisonnier des principes, des lois ou des convenances. Mais, est-ce juste ? Socialement ? Ce serait ne pas avoir de préjugés de races, de nationalités, de classes, de genres. Ne pas être sexiste ou raciste, anti-ceci ou anti-cela ! Mais est-ce possible ? Et bibliquement ? L’ouverture d’esprit ne tient ni à une disposition de tempérament, ni à une éducation reçue, ni à l’influence de la culture du moment ou du niveau social.
D’ailleurs, est-ce que nous nous ouvrons l’esprit nous-même ? Rien de moins sûr, d’autant que, d’après l’Évangile, c’est Jésus qui nous l’ouvre comme Il le fit pour les disciples bouleversés dans leur quotidien et dans leur espérance, après l’épisode de la croix. Il faut une intervention divine pour que notre esprit s’ouvre vraiment et correctement, et ce, en ayant contact avec l’Écriture. C’est la Parole de Dieu qui va nous permettre de saisir notre temps, notre société mais aussi notre vie, et le sens à leur donner. À condition que la Bible, elle, reste ouverte et que nous nous en saisissions. Il y a donc une réelle nécessité à lire, à méditer, à étudier cette Parole. Alors, notre esprit s’ouvrira à l’Esprit saint, moralement, socialement, intellectuellement et, bien sûr, spirituellement. Cette Parole enfin reçue et comprise, permettra, vous permettra de vous mettre, remettre en route, non plus l’esprit abattu, comme pour les disciples, mais l’esprit ouvert et conquérant.
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Mardi 10 septembre 2024 Esprit ! Ouvre-toi !
“Il leur ouvrit l’esprit pour comprendre les Écritures.” Lc 24. 45
Qu’est-ce qu’avoir l’esprit ouvert ? Nous prétendons parfois être ouverts d’esprit, mais que voulons- nous dire par cette expression ? Intellectuellement ? Ce serait accueillir les idées nouvelles, être en éveil avec la culture ambiante, aux découvertes, aux techniques de pointe. Mais est-ce tout ? Moralement ? Ce serait avoir une ouverture bienveillante vis-à-vis des mœurs du moment, sans être prisonnier des principes, des lois ou des convenances. Mais, est-ce juste ? Socialement ? Ce serait ne pas avoir de préjugés de races, de nationalités, de classes, de genres. Ne pas être sexiste ou raciste, anti-ceci ou anti-cela ! Mais est-ce possible ? Et bibliquement ? L’ouverture d’esprit ne tient ni à une disposition de tempérament, ni à une éducation reçue, ni à l’influence de la culture du moment ou du niveau social. D’ailleurs, est-ce que nous nous ouvrons l’esprit nous-même ? Rien de moins sûr, d’autant que, d’après l’Évangile, c’est Jésus qui nous l’ouvre comme Il le fit pour les disciples bouleversés dans leur quotidien et dans leur espérance, après l’épisode de la croix. Il faut une intervention divine pour que notre esprit s’ouvre vraiment et correctement, et ce, en ayant contact avec l’Écriture. C’est la Parole de Dieu qui va nous permettre de saisir notre temps, notre société mais aussi notre vie, et le sens à leur donner. À condition que la Bible, elle, reste ouverte et que nous nous en saisissions. Il y a donc une réelle nécessité à lire, à méditer, à étudier cette Parole. Alors, notre esprit s’ouvrira à l’Esprit saint, moralement, socialement, intellectuellement et, bien sûr, spirituellement. Cette Parole enfin reçue et comprise, permettra, vous permettra de vous mettre, remettre en route, non plus l’esprit abattu, comme pour les disciples, mais l’esprit ouvert et conquérant.
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Éduquer un Jack Russell : Un défi passionnant ! Le Jack Russell, avec son énergie débordante et son intelligence, est un chien qui demande une éducation ferme et bienveillante. Son caractère unique, mêlant vivacité et indépendance, en fait un compagnon ...
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Gérer la pression sociale de l'Hygiène Naturelle Infantile en s'organisant
Comprendre la pression sociale autour de l'HNI
L'hygiène naturelle infantile (HNI), également appelée "communication elimination" ou "sans couches", est une pratique où les parents répondent aux besoins d'élimination de leur bébé en utilisant des systèmes HNI en backup pour éviter de recourir systématiquement aux couches. Bien que bénéfique, cette méthode peut susciter des incompréhensions et des pressions sociales.
Pourquoi l'HNI peut-elle être mal comprise ?
L'HNI est souvent perçue comme une pratique exigeante et peu commune. Les raisons courantes des pressions sociales incluent :
Méconnaissance : Beaucoup de personnes ne connaissent pas les principes et les avantages de l'HNI.
Préjugés : Des idées reçues sur les méthodes d'éducation des enfants peuvent mener à des jugements.
Inquiétudes : Les proches peuvent s'inquiéter de la gestion des accidents ou de la santé du bébé.
Stratégies pour gérer la pression sociale
Éducation et sensibilisation
Partagez des ressources : Fournissez des articles, des études et des témoignages de parents pratiquant l'HNI pour informer votre entourage.
Expliquez les bénéfices : Mettez en avant les avantages de l'HNI, tels que la réduction des érythèmes fessiers, l'impact écologique positif et le renforcement du lien parent-enfant.
Démonstration par l'exemple
Invitez à observer : Permettez à vos proches de voir comment vous gérez l'HNI au quotidien, ce qui peut dissiper les malentendus.
Restez calme et confiant : Montrez que vous êtes à l'aise avec cette pratique, ce qui peut encourager l'acceptation.
Communication ouverte
Soyez prêt à répondre aux questions : Abordez les préoccupations de manière bienveillante et informative.
Partagez vos expériences : Parlez des défis et des succès que vous rencontrez avec l'HNI, ce qui peut humaniser la pratique et la rendre plus accessible.
Oui mais souvent le parent est épuisé ! Pas spécialement par l'HNI, mais plutôt par l'accouchement, la gestion d'un bébé qui dort peu, la mise en place de l'allaitement, les nuits courtes, voire la fratrie à gérer. Ou simplement fatigué de devoir expliqué tout ce qu'il fait. Alors l'exemple peut être la façon la plus simple de réagir : l'entourage constatera ce que c'est, comment ça se passe.
Conseils pratiques pour l'HNI qui vous éviteront aussi la pression sociale
Flexibilité
Accepter de ne pas réussir tout le temps à communiquer : Soyez indulgent avec vous-même et acceptez simplement de changer bébé quand son système de protection HNI est mouillé. Cela fait partie du processus.
Adapter selon les situations : Pensez à prendre plus de changes lors des moments plus stressants ou quand vous êtes en public. Optez pour un système imperméable comme l'Ecopants pour les sorties plus stressantes.
Oust la culpabilité, bienvenue à la sérénité : La communication reste fluide avec bébé quand on est détendu. Le stress est contre-productif à la communication. Il s'agit de se préparer mentalement à changer un peu plus bébé parce qu'on va accorder plus d'attention à l'entourage. Donc pas de souci, avec une pile de langes (ou autres systèmes HNI), vous n'aurez qu'à remplacer le lange mouillé par un sec sur place. Pour les selles, vous pouvez aller aux WC ou dans la salle de bain, de façon à avoir un peu plus d'intimité pour bébé. Si le lieu n'est pas rédhibitoire, vous pouvez même proposer le petit pot sur place, les selles d'un bébé allaité ne sont pas trop odorantes.
Tester nos capacités et respecter ses envies : Vous pouvez tester dans un premier temps votre détachement avec des personnes compréhensives, des amis ou des proches, ou au contraire des inconnus. Si vous parvenez à rester détendue, vous pouvez vous aventurer plus loin, sinon prenez le temps de vous sentir à l'aise.
Trouver du soutien
D'autres parents pratiquant l'HNI : Partager ensemble notre quotidien permet de relativiser, se ressourcer, et repartir motivé.e.
Chercher des conseils : Comme toute pratique de l'HNI, chacun a ses propres façons de faire, et vous pouvez solliciter Ecopitchoun pour une consultation individuelle de façon à régler les situations que vous rencontrez.
Gérer la pression sociale liée à l'HNI nécessite une bonne organisation et une communication efficace, un lâcher-prise. En éduquant votre entourage, mais plus simplement en montrant l'exemple, et en vous organisant de manière stratégique, vous pouvez pratiquer l'HNI sereinement. La clé est de rester flexible, de partager les responsabilités, et de trouver du soutien lorsque c'est nécessaire. En adoptant ces stratégies, vous pourrez gérer la pression sociale tout en offrant à votre enfant les bénéfices de l'HNI.
Pour une consultation individuelle avec Christina d'Ecopitchoun : https://ecopitchoun.fr/fr/consultation/2049-consultation-individuelle.html
#ecopitchoun#bebe#pottytraining#hni#eliminationcommunication#continence#windelfrei#madeinfrance#zerodechet#pot#consultation
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Koh Khsach Tunlea, Koh Memeay ou l’île des veuves sur le Tonlé Bassac
Koh Khsach Tunlea, Koh Memeay ou l’île des veuves sur le Tonlé Bassac
Avant 1975, Koh Khsach Tunlea était une île luxuriante et fertile située sur l’affluent du Mékong et du Tonlé Sap, la rivière Bassac, à une vingtaine de kilomètres au sud de Phnom Penh dans le district de Sa'ang, province de Kandal. L’endroit abritait une communauté agricole paisible qui vivait dans de petits villages de la culture des légumes, du riz et de la pêche.
Camp d’internement pour les femmes
Sam Chang vivait à Koh Khsach Tunlea avec son mari Eang Heang qui exerçait la profession d’avocat. Lors de la prise du pouvoir par les troupes de Pol Pot, la jeune épouse venait d’accoucher. Avec l’arrivée des Khmers rouges sur l’île, Eang Heang a choisi de fuir sachant que son métier le condamnait à une mort certaine. Mais, il n’a pas pu résister à revenir voir son fils âgé d’un mois seulement. C’est alors que les Khmers rouges l’ont emmené. Chang les a suppliés de la laisser partir avec son mari, mais ils ont refusé. On ne lui dira pas où il fut transféré et elle ne le reverra jamais.
L’Angkar, l’organisation politique toute puissante qui dirigeait le Kampuchéa démocratique expulsa presque toutes les familles et y créa un camp d’internement pour les épouses dont les maris avaient été exécutés, car accusés d’être des « traîtres ». Des milliers de femmes en deuil venant du district environnant ont été rassemblées avec leurs enfants et transportées dans l’île.
Conditions de vie
Koh Khsach Tunlea
Exceptions
Une poignée de familles de « personnes de base », c’est-à-dire celles issues d’un milieu agricole pauvre et sans éducation que le régime communiste extrémiste considérait comme non corrompu, ont été autorisées à séjourner, mais ont été séparées du reste de l’île. Chang est restée contre sa volonté, mais a été forcée de déménager de l’autre côté de l’île avec sa mère malade. Sa maison est devenue une « prison sans murs ».
Aujourd’hui âgée de 72 ans et vivant toujours sur l’île, Chang est une femme bienveillante au sourire accueillant qu’on pourrait trouver apaisée. Cependant, alors qu’elle parle de ses expériences entre 1975 et 1979, le chagrin d’avoir perdu son mari, la faim, le travail forcé et la peur d’une surveillance permanente l’ont rendue renfermée et peu loquace. Plus de 40 ans après, les souvenirs restent encore très douloureux. Elle raconte qu’en raison de la position et de l’éducation de son mari, elle avait reçu l’un des traitements les plus durs sur l’île. Elle et les quatre plus jeunes de ses six enfants se nourrissaient exclusivement de bobor et de tiges de banane agrémentées parfois d’un peu de maïs. Chang travaillait plus que de raison, de 7 h à 21 h dans les champs de légumes et de riz avec une heure de pause à midi pour le déjeuner.
Elle raconte qu’elle vivait dans la peur constante de se faire emmener comme son mari, des cadres khmers rouges ou des informateurs rôdaient chez elle pour savoir si elle ne critiquait pas le régime :
« La nuit, ils espionnaient les familles pour voir si elles faisaient ou disaient quelque chose de mal », dit-elle.
Sans aucune installation médicale sur l’île, les Khmers rouges laissaient mourir ceux qui sont tombaient malades ou souffraient de grave malnutrition. Chang raconte qu’elle n’a jamais vu les Khmers rouges tuer ou torturer quelqu’un sur l’île, mais de nombreuses veuves avaient été emmenées, une à la fois, et probablement exécutées ailleurs.
« C’était un endroit difficile à vivre, je n’avais plus d’��motions, je ne réfléchissais plus, j’essayais simplement de survivre »
Éviter la rébellion
« Lorsqu’ils m’ont dit qu’il avait été arrêté, j’ai perdu l’espoir de le revoir un jour », confie-t-elle
« J’étais bouleversé et je pleurais en permanence. Ensuite, les Khmers rouges sont venus et m’ont maltraitée pour avoir pleuré, alors j’ai dû arrêter ». Tout comme Chang, elle raconte que le plus éprouvant sur l’île à l’époque était le manque de nourriture et le travail forcé. « Je travaillais dans la cuisine à décortiquer du riz plusieurs heures par jour », dit-elle, confiant également qu’aucune des veuves ne tentait de s’échapper par crainte que les Khmers rouges ne tuent leurs familles.
Youk Chhang, directeur exécutif du Centre de documentation du Cambodge (DC-Cam), raconte que les Khmers rouges avaient peur de la rébellion et que les veuves ont probablement été envoyées sur l’île parce qu’elle était isolée du reste de la société.
« Si vous regardez les fosses communes des prisons à Kandal, vous verrez que de nombreux meurtres ont eu lieu — laissant derrière eux de nombreuses veuves », dit-il. « Ils les gardaient à Koh Khsach Chunlea pour s’assurer qu’elles n’aient aucun moyen de révolter ou de se venger ».
Travail de recherche
La Cambodgienne Kalyanee Mam, réalisatrice et productrice du documentaire « A River Changes Course », a réalisé il y a une quinzaine d’années un projet de recherche sur Koh Khsach Tonlea au cours duquel elle a interviewé plusieurs veuves envoyées sur l’île : « Je me souviens avoir été particulièrement choquée que les femmes qui avaient récemment accouché aient été forcées de servir d’infirmières communes pour d’autres femmes », dit-elle.
« J’ai également été horrifiée que, peut-être pour apaiser les jalousies des femmes “de base”, les veuves étaient forcées de se remarier »
Il est difficile de savoir combien de veuves ont été envoyées sur l’île au total. Certaines d’entre elles prétendent qu’il y en avait plusieurs milliers. Cependant, Youk estime qu’il n’y en avait probablement que « quelques centaines ». Il est également difficile de dire combien de femmes ont été violées et assassinées à Koh Khsach Tunlea. Theresa de Langis, chercheuse et écrivaine sur les droits humains des femmes dans les zones de conflit et d’après conflit, qui compila une histoire orale des survivantes des Khmers rouges, pense que la situation sur l’île exposait les veuves à un risque élevé de violence sexuelle. « Elles étaient considérées comme des ennemies, donc sexuellement “disponibles” ainsi, certaines ont été forcées d’épouser des soldats khmers rouges handicapés ; elles se trouvaient dans une situation carcérale sous le pouvoir absolu des cadres de l’Angkar sans aucun recours », conclut-elle.
Violences
Youk Chhang raconte qu’à la fin des années 1990, alors qu’il enquêtait sur des allégations faisant état d’agressions sexuelles commises par les Khmers rouges, il a interviewé des femmes qui avaient été violées après avoir été emprisonnées à Koh Khsach Tunlea.
Il explique : « Les gardiens de prison n’avaient pas de vie sociale et l’île est très isolée »
En 2012, Sam Oeurn, qui avait été envoyée à Koh Khsach Tunlea en 1977 après l’exécution de son mari, a déclaré au tribunal khmer rouge qu’elle avait vu au moins une femme brutalement assassinée. « Un soir, une femme a volé un fruit, puis elle a été exécutée en étant frappée avec une perche et jetée dans une fosse », confie Sam Oeurn. « Et je me suis dite que mon jour viendrait bientôt ».
Catégorisation
Craig Etcheson, auteur de « After the Killing Fields: Lessons from the Cambodian Genocide » et ancien enquêteur en chef du bureau des co-procureurs du Tribunal khmer Rouge, s’est rendu à Koh Khsach Tunlea il y a près de 20 ans alors qu’il travaillait sur le projet de cartographie des fosses communes de DC-Cam. Il explique que des endroits comme l’île des veuves ont été créés pour deux raisons.
« Premièrement, si un individu était identifié comme un “ennemi”, on supposait souvent que les autres membres de la famille de cet individu étaient également des ennemis, dans un type de culpabilité par association », dit-il.
« Deuxièmement, les Khmers rouges étaient préoccupés par la possibilité pour les survivants de la famille d’un ennemi de se venger, une éventualité qui pourrait être atténuée par l’opportunité d’emprisonner et/ou d’exécuter tous les membres de la famille »
Les conditions dans ces prisons étaient bien pires que celles vécues par la population dans son ensemble : des rations alimentaires plus petites, des exigences de travail plus ardues et une discipline beaucoup plus sévère, raconte-t-il. Selon Craig Etcheson les prisonnières étaient divisées en catégories et certaines étaient mieux traitées que d’autres. Les prisonniers de première catégorie étaient identifiés comme des ennemies et rapidement exécutés, les prisonnières de catégorie deux étaient constamment évaluées pour être classées dans la première catégorie tandis que les prisonniers de catégorie trois n’étaient pas considérés comme une menace et pouvaient même être libérés dans certains cas.
« Les prisonniers de catégorie trois pouvaient également bénéficier de plus grosses rations et d’exigences de travail un peu moins lourdes que les deux autres catégories »
Meilleur traitement
Sa famille recevait suffisamment de nourriture et même si le travail était dur et interminable, de tôt le matin jusqu’à 17 heures, c’était supportable.
« Je n’ai pas eu une vie si terrible qu’au début du régime. J’avais déjà vécu sous une discipline stricte donc je savais que je ne pouvais pas me plaindre, sinon j’aurais été emmenée et tuée »
Em Kan dit avoir vu des personnes âgées tomber malades et mourir, mais personne n’est mort de faim et elle affirme que les seules veuves emmenées pour être exécutées étaient « vietnamiennes ou chinoises ». Son fils Em Poul, qui avait environ 12 ans à l’époque, raconte que Koh Khsach Tunlea était « le paradis » par rapport au camp de travail pour enfants où il se trouvait auparavant. Poul, qui prétendait être handicapé mental pour pouvoir rester avec sa mère, passait ses journées à ramasser de la bouse de vache pour l’engrais ou à aider le cuisinier.
Quitter Koh Khsach Tunlea
Les veuves ont finalement été autorisées à quitter Koh Khsach Tunlea après l’arrivée des Vietnamiens en 1979. Kan se rappelle qu’elle cueillait du riz un jour lorsqu’elle a remarqué de la fumée et des bruits d’explosion venant de Phnom Penh. Au cours des jours suivants, les veuves avec leurs enfants et les cadres ont commencé à disparaître et il n’y avait plus personne pour préparer le repas commun. Un seul cadre khmer rouge âgé était resté. Après lui avoir dit de préparer le repas, il est parti et Kan a décidé de retourner dans son village natal.
Chang et Ly ont découvert que les Khmers rouges avaient été vaincus lorsque leurs voisins ont commencé à retourner sur l’île. Bien que la vie soit restée difficile les années suivantes, leurs familles et elles se sentaient relativement heureuses. Les six enfants de Chang ont survécu aux Khmers rouges et lui ont donné 16 petits-enfants.
« Nous étions heureux de retrouver nos enfants même si nous avions du mal pour nous nourrir », déclare Chang.
Environ 1400 familles vivent sur l’île aujourd’hui. Alors qu’évoquer les souvenirs est encore douloureux, la famille de Chang semble avoir presque oublié, vivant aujourd’hui de la culture du gingembre, des oignons, des bananes, des mangues, du jacquier et du chou, la même activité qu’ils exerçaient avant l’arrivée des Khmers rouges.
« Il fait beau et le sol est fertile. C’est aussi un bon endroit pour vivre », conclut Em Kan.
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Dresseur pour Malinois Thuir.
Pourquoi un chien mange-t-il de la terre ?
Pension canine Prades, Ille-sur-têt, Millas, le Soler & dresseur pour chiens et chiots en éducation canine positive et bienveillante.
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Pourquoi mon chien mange-t-il de la terre ?
Les chiens sont naturellement curieux et prêts à explorer le monde qui les entoure, que ce soit en interagissant avec d'autres chiens, d'autres humains, ou simplement en reniflant littéralement ce qui passe. Bien que, pour l’essentiel, ce comportement exploratoire ne soit que cela, explorer, il peut parfois se transformer en quelque chose dont il faudra peut-être s’occuper. Exemple concret : les chiens et la saleté.
Les propriétaires de chiens sont très habitués à ce que leurs précieux animaux mangent quelque chose qu'ils ne devraient pas manger : des restes de nourriture dans la rue, des déchets ou même de la terre. Mais certains chiens poussent leur consommation de saleté à l’extrême, ce qui peut souligner d’autres problèmes.
Certains chiens mangent de la terre en raison de leur instinct ou pour d'autres raisons, comme des troubles gastro-interstinaux, l'ennui ou des parasites. Comprenez ce qui pousse votre chien à manger de la terre afin de pouvoir remédier aux carences nutritionnelles, à l'anxiété, au manque de stimulation ou à la maladie afin de freiner ce comportement.
Raisons courantes pour lesquelles les chiens mangent de la terre
1. Instincts naturels de récupération
L’une des raisons pour lesquelles votre chien continue de manger de la terre pourrait simplement être une extension de ses instincts naturels, surtout s’il est jeune. Les chiots essaient d’explorer leur environnement, ce qui implique de mettre dans leur bouche des choses qu’ils ne devraient pas. Il existe de nombreuses raisons pour lesquelles les chiens peuvent essayer de manger de la terre.
De nombreuses causes sont simplement comportementales, notamment chez les chiots, qui essaient de tout mettre à la bouche. Les chiens peuvent également manger de la terre en raison d'anémie (un faible nombre de globules rouges) ou d’une mauvaise absorption des nutriments dans leur tube digestif.
2. Inconforts digestifs ou carences nutritionnelles
De nombreux chiens peuvent manger de la terre parce qu'ils ont un problème digestif ou une carence nutritionnelle. La cause la plus importante est « l’anémie, qui peut provoquer une carence en fer, serait probablement la cause la plus courante pour laquelle un chien mange de la terre. » Cela vaudrait la peine d'emmener votre chien chez le vétérinaire pour faire vérifier cela. Si l'anémie n'est pas un problème, remplacer la nourriture d'un chien par une nourriture contenant de meilleurs nutriments peut aider ou garantir qu'il n'est pas sous-alimenté.
Cela pourrait également être dû à une sorte de maux d’estomac. Beaucoup de gens pensent que les chiens doivent manger de l'herbe pour se purger, et certains chiens pourraient éventuellement manger de la terre pour se faire vomir. Cependant, même si manger de la terre procure un soulagement initial à un chiot, continuer à manger de la terre à long terme peut provoquer des problèmes gastro-intestinaux, tels que des blocages gastro-intestinaux, la consommation de toxines et des abrasions du tractus gastro-intestinal s'il y a des pierres ou des bâtons dans la terre.
3. Parasites
Manger de la terre peut également rendre votre chien plus sensible à tous les types de parasites qui traînent sur le sol, tels que les ankylostomes, les trichures, le giardia et autres. Si votre chien attrape l’un de ces parasites, il pourrait y avoir toute une série d’autres symptômes. Le pica a été associé à des parasites intestinaux chez certains animaux, cela pourrait être causé par une perte de sang et de nutriments par les vers ou par un inconfort physique et des crampes dans les intestins s'il y a un grand nombre de vers.
4. Pica
Le pica est la mastication et la consommation persistante d'objets non digestes qui n'apportent aucune valeur nutritionnelle à l'animal. Alors que beaucoup se contentent de mâcher ces objets, certains les consomment. Le pica peut alors provoquer une myriade de problèmes de santé, selon l'objet.
Le pica peut parfois être associé au fait qu'un chien attrape un parasite, mais il peut également être causé par des carences nutritionnelles sous-jacentes ou des problèmes médicaux. Cependant, il existe également d’autres raisons derrière le pica. Pour les chiens plus jeunes, il peut s'agir d'une question de poussée dentaire: ronger un objet étranger si un jouet approprié n'est pas fourni pourrait aider à apaiser leurs gencives. Pour d’autres, il pourrait s’agir d’un trouble compulsif, pouvant être causé par la génétique. Pour certains, il s’agit peut-être simplement d’ennui et d’anxiété.
5 . Soulagement de l'ennui et du stress
Si la consommation de terre de votre chien ne présente aucun problème médical sous-jacent, il se peut qu'il ait simplement besoin d'une activité supplémentaire. Cela pourrait signifier plus d'exercice, qu'il s'agisse d'une sortie au parc ou d'une longue marche. Certains nouveaux jouets pourraient aider à stimuler un chiot auparavant concentré sur la saleté. Cela pourrait également signifier que le chien a besoin de plus d'interactions sociales, que ce soit avec ses maîtres, d'autres humains ou d'autres chiens.
Pour d’autres, cela pourrait être un signe d’anxiété. Manger de la terre pourrait être un signe d'anxiété de séparation, redirigeant son stress vers ce qu'il ingère. Surveillez attentivement votre chien pour découvrir quelle pourrait être la source de son stress, en veillant à garder une trace de la fréquence, de l'heure et de la durée. Prendre des notes sur ce qui peut affecter votre animal aidera mieux à éliminer ce comportement. Surveillez également la façon dont vous interagissez quotidiennement avec votre animal de compagnie – voyez si fixer des limites avec votre animal peut aider à soulager toute anxiété. Si rien de tout cela ne fonctionne, cela vaut peut-être la peine de faire appel à un dresseur de chiens.
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L'éducation positive : une approche bienveillante pour élever des enfants heureux et épanouis
En tant que maman, j'ai toujours été à la recherche de la meilleure façon d'élever mes enfants. J'ai lu des livres, participé à des ateliers et discuté avec d'autres parents. C'est au cours de ces recherches que j'ai découvert l'éducation positive, une approche éducative qui a révolutionné ma façon d'être parent.
L'éducation positive, aussi appelée "parentalité positive" ou "éducation bienveillante", se base sur le respect mutuel, la communication bienveillante et l'encouragement. Elle vise à encourager l'autonomie et la responsabilisation des enfants tout en leur offrant un cadre sécurisant et bienveillant.
Les principes fondamentaux de l'éducation positive
Le respect des besoins de l'enfant : L'éducation positive reconnaît que les enfants ont des besoins fondamentaux, tels que le besoin d'amour, de sécurité, d'attention et d'estime de soi. Les parents doivent s'efforcer de répondre à ces besoins afin que l'enfant puisse se développer harmonieusement.
La communication bienveillante : L'éducation positive encourage les parents à communiquer avec leurs enfants de manière positive et respectueuse. Cela implique d'utiliser un langage clair et positif, d'écouter attentivement les enfants et de valider leurs émotions.
L'encouragement : L'éducation positive met l'accent sur l'encouragement plutôt que sur la punition. Les parents doivent féliciter les efforts de leurs enfants et les aider à apprendre de leurs erreurs.
L'autonomie et la responsabilisation : L'éducation positive vise à encourager l'autonomie et la responsabilisation des enfants. Les parents doivent donner aux enfants des choix et des responsabilités adaptés à leur âge.
Les bienfaits de l'éducation positive
L'éducation positive a de nombreux bienfaits pour les enfants et les parents. En effet, elle permet aux enfants de :
Développer une meilleure estime de soi
Être plus heureux et plus épanouis
Avoir de meilleures relations avec leurs parents et les autres
Être plus autonomes et responsables
Mieux gérer leurs émotions
L'éducation positive : une approche accessible à tous
L'éducation positive est une approche éducative bienveillante et efficace qui permet aux enfants de se développer harmonieusement. En adoptant une attitude positive et respectueuse, vous pouvez aider vos enfants à grandir en confiance et en responsabilité.
Elle offre aux parents des outils concrets pour élever des enfants heureux et épanouis. Il existe de nombreuses ressources disponibles pour les parents qui souhaitent s'initier à l'éducation positive, si vous souhaitez en apprendre davantage sur l'éducation positive et mettre en pratique ses principes au quotidien, je vous invite à suivre cette formation (cliquez ici).
Cette formation vous permettra de :
Acquérir les bases de l'éducation positive
Découvrir des outils concrets pour gérer les situations quotidiennes
Développer une communication positive avec vos enfants
Favoriser l'autonomie et la responsabilisation de vos enfants
Renforcer le lien entre vous et vos enfants
N'hésitez pas à vous renseigner et à faire le premier pas vers une éducation plus positive et épanouissante pour vos enfants.
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Comment renforcer la confiance en soi de vos enfants grâce à l’éducation positive?
La confiance en soi est un aspect crucial du développement des enfants. C’est une qualité qui les aide à surmonter les défis, à faire face aux obstacles et à atteindre leurs objectifs. Malheureusement, de nombreux enfants manquent de confiance en eux en raison de divers facteurs tels que la comparaison avec les pairs, la pression sociale et les expériences négatives. C’est pourquoi il est important pour les parents d’aider leurs enfants à développer leur confiance en soi.
L’éducation positive peut jouer un rôle clé dans ce processus. Cette approche éducative vise à renforcer les comportements positifs, les attitudes et les croyances chez les enfants, plutôt qu’à les corriger ou les punir. En adoptant cette approche, les parents peuvent aider leurs enfants à développer leur confiance en eux de plusieurs façons.
Valoriser les réalisations de votre enfant
Il est important de reconnaître les réalisations de votre enfant, même les plus petites, et de les célébrer. Cela peut inclure la participation à des activités extérieures, la réussite à l’école ou les compétences développées à la maison. En valorisant ces réalisations, vous aidez votre enfant à développer une image positive de lui-même et à renforcer sa confiance en soi.
Encourager l’expression des émotions
Il est important que les enfants apprennent à exprimer leurs émotions de manière saine et appropriée. En les encourageant à parler de ce qu’ils ressentent, vous leur montrez que leurs émotions sont valides et importants. Cela peut aider à renforcer leur confiance en eux et à les aider à développer une image positive d’eux-mêmes.
Fournir des opportunités d’apprentissage et de développement
Les enfants ont besoin d’opportunités pour développer leurs compétences et explorer de nouvelles choses. En leur fournissant ces opportunités, vous les aidez à découvrir leurs talents et leurs passions, ce qui peut renforcer leur confiance en eux.
Encourager l’autonomie
Fournir un environnement sécurisant et positif
Les enfants ont besoin de se sentir en sécurité pour développer leur confiance en eux. En fournissant un environnement stable et positif, vous les aidez à se sentir en sécurité et en confiance, ce qui peut les encourager à explorer de nouvelles choses et à prendre des risques.
En fin de compte, renforcer la confiance en soi de votre enfant peut prendre du temps et de la patience, mais cela en vaut la peine. En aidant leur enfant à développer une image positive d’eux-mêmes et une confiance en eux, les parents peuvent les préparer à réussir dans la vie.
Pour plus d’information, nous avons sélectionné des livres sur le sujet qui pourront vous aider à faire de vos enfants des personnes à mental positif.
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Quand le harcèlement d'enfance poursuit à l'âge adulte
Le rire des autres enfants, des murmures dans les couloirs, des insultes qui résonnent longtemps après leur écho initial. C'est une réalité que trop d'enfants vivent chaque jour. Mais que se passe-t-il lorsqu'ils grandissent ? Les cicatrices sont-elles vraiment guéries ? Aujourd'hui, nous plongeons dans les effets à long terme du harcèlement sur la santé mentale des enfants et leur répercussion sur l'âge adulte. De l'école à l'âge adulte : la persistance du trauma Le harcèlement n'est pas qu'un simple jeu d'enfants. Ses effets peuvent s'étendre bien au-delà des années scolaires. Ce qui peut commencer comme une simple moquerie peut se transformer en une souffrance profonde qui s'étend jusqu'à l'âge adulte. - Séquelles émotionnelles : l'anxiété, la dépression et une faible estime de soi sont courantes chez ceux qui ont été harcelés. Bien qu'il soit parfois difficile de lier directement ces problèmes à des incidents spécifiques, la corrélation est indéniable. - Difficultés relationnelles : l'enfant victime de harcèlement peut devenir un adulte méfiant. Cela crée des barrières dans les relations, aussi bien amicales qu'amoureuses. La mémoire corporelle : quand le corps n'oublie pas Il est fascinant de voir comment le corps garde en mémoire les traumas. La peur ressentie lors d'un harcèlement peut se manifester sous forme de troubles du sommeil, de maux de tête ou même de symptômes de stress post-traumatique. - Réactions physiologiques : les victimes peuvent être hypersensibles aux situations qui rappellent le harcèlement. Une simple blague anodine à l'âge adulte peut déclencher une réaction de défense. - Troubles de l'alimentation : le besoin de contrôler un aspect de sa vie, en réaction au chaos ressenti pendant les années de harcèlement, peut conduire à des troubles alimentaires. A lire également : Un pacte de paix parental : comment trouver un terrain d’entente sur l’éducation des enfants Agir pour prévenir : une responsabilité partagée Connaître les effets à long terme du harcèlement sur la santé mentale est une première étape. Il est essentiel de prendre des mesures proactives pour prévenir ces situations. - Éducation et sensibilisation : informer les enfants, les enseignants et les parents est crucial. La compréhension est la première étape pour combattre le harcèlement. - Intervention rapide : réagir rapidement face à un cas de harcèlement peut limiter les dégâts. Ne pas minimiser la souffrance des enfants est essentiel. Vers une société bienveillante Chaque enfant mérite de grandir dans un environnement sûr, aimant et stimulant. Vous, en tant que parent, tuteur ou simple citoyen, avez le pouvoir d'agir. Sensibilisez votre entourage, écoutez les enfants et soyez le changement que vous voulez voir dans le monde. La prise de conscience collective peut créer un futur où le harcèlement n'a pas sa place. Read the full article
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Bon. Pour être honnête, je ne discerne pas toujours avec une grande acuité ce qui m’échappe de ce qui m’énerve. Par exemple, la bienveillance… Vous savez, ce truc hyper tendance, aussi bien en éducation qu’en management, qu’en… un peu partout, en fait. C’est chouette, ça, la bienveillance !
Vouloir le bien d’autrui… Quel noble motif ! Que demander de mieux que des personnes bienveillantes pour s’occuper de nous, nous instruire et nous diriger ?
On peut donc légitimement s’attendre à ce que, dans les milieux qui mettent en avant cette qualité, l’acte et l’attitude bienveillants soient valorisés, ou même récompensés, et qu’en revanche, des comportements qui ne répondraient pas à ce critère soient dénoncés, blâmés, voire sanctionnés.
Eh bien, moi, c’est là que je ne comprends pas tout bien comme il faut, voyez-vous ? Parce que ça n’a pas du tout l’air d’être comme ça. Non… en vrai, il semble que ce qui est valorisé soit de dire que vous êtes bienveillant. Vous êtes bienveillant, puisque vous l’avez dit à tout le monde dans votre dernière intervention. Vous l’avez écrit dans votre dernier mail. Vous l’avez répondu au dernier de vos collègues qui se plaignait de votre attitude. Et, surtout, vos responsables hiérarchiques le savent, puisque ce sont eux qui vous ont fortement suggéré d’en faire le point central de votre communication.
Vous m’objecterez que, si tout un chacun n’est peut-être pas parfaitement honnête, une majorité de personnes sont naturellement bienveillantes sans en faire tout un plat. Sans doute. Mais, si ´M. X se contente des actes en omettant le discours, il aura toutes les chances d’être au mieux ignoré, au pire moqué.
J’ai beau faire, je ne m’explique pas que ça marche. Qu’on continue à trouver si formidables des énoncés de concepts devenus totalement creux à force d’être utilisés de façon creuse. Qu’on ne trouve pas étrange qu’une personne qui serait naturellement bienveillante ait à le préciser. Que malgré tant de bienveillance proclamée, il y ait toujours autant d’indifférence, de mépris et de mesquinerie.
Et vous ? Vous comprenez ?
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Retrouvez sur la fiche métier professeur toutes les informations utiles sur ce travail : Salaire, études, formation, rôle, description du poste professeur, les qualités et compétences requises pour travailler en tant que professeur. Le métier professeur fait partie du domaine Enseignement. , Professeur,Fiche métier,Retrouvez , fiche ,métier ,professeur ,informations u, travail , Salaire, études, formation, rôle, description ,poste professeur, qualités ,compétences requises ,travailler , professeur, métier professeur , domaine ,Enseignement, Professeur, Fiche métier à découvrir Le rôle du professeur est de transmettre des connaissances à des élèves de collège ou de lycée. Spécialisé dans une matière en particulier, il a la charge de faire découvrir de nouveaux domaines par le biais de chapitres élaborés en fonction du niveau de chaque classe. Le but est d’aborder une thématique, de faire des recherches afin de mieux se l’approprier, d’analyser ensemble des documents. A la fin du chapitre, chaque élève doit avoir des acquisitions qui seront vérifiées par le biais d’une évaluation. Le développement de chaque chapitre reste sensiblement le même afin de permettre à l’élève d’apprendre à organiser son travail. Pour parvenir à de bons résultats dans l’ensemble de la classe, un grand travail de préparation est nécessaire. Chaque nouvelle notion doit avoir son activité d’exploration et ses exercices d’application. Le cours doit également être réalisé de telle façon que les éléments qui doivent être retenus soient formulés de la meilleure façon. Le savoir doit être transmis de façon à ce que l’enfant puisse se le réapproprier et le réutiliser. Synonyme Quels sont les autres noms du poste Professeur ? Un professeur peut également être appelé un enseignant. Salaire Professeur Quel salaire et combien gagne un Professeur ? En France, un professeur touche en moyenne 36 400 euros bruts annuels. Travail Professeur Pourquoi et comment travailler en tant que Professeur ? Les plus • Permet de participer à la transmission des connaissances • Profession avec une forte dimension utile • Travail avec des enfants et des adolescents • Congés scolaires accordés Les moins • Travail de préparation très important • La correction des devoirs demande beaucoup de temps Qualités et compétences nécessaires Quelles sont les qualités et compétences nécessaires pour être embauché en tant que Professeur ? Le professeur fait preuve d’enthousiasme et de passion pour chaque nouvelle notion abordée. Sa façon de transmettre les informations va permettre de susciter la curiosité. Un professionnel qui possède lui-même une certaine soif d’apprendre et d’expliquer le pouvoir de chaque nouvel acquis sera un parfait professeur. Capable de s’adapter facilement, il est proche de ses élèves tout en exerçant une autorité bienveillante. Strict de façon à imposer le respect, il sait créer une certaine émulation. Valorisant chaque progrès des élèves, il participe activement à leur éducation en leur permettant de se construire également en tant que personne. Etudes et formation Quelle formation et comment devenir Professeur ? Après la licence dans la matière de son choix, le candidat au poste de professeur doit poursuivre sa formation en intégrant un Master MEEF spécialisé dans l’enseignement, de l’éducation et de la formation. Une fois que ce diplôme aura été validé, la personne intéressée par la profession de professeur pourra passer le concours de l’éducation nationale, appelé CAPES qui est différent selon la matière qui sera enseignée. Evolutions possibles Que faire après Professeur ? Après cinq années d’enseignement en qualité de professeur, le concours pour devenir chef d’établissement. Principaux employeurs Quelles sont les entreprises qui peuvent recruter un Professeur ? Le professeur travaille la plupart du temps dans des établissements scolaires du secteur public mais il est également possible de préférer le privé. Les professeurs particuliers sont également de plus en plus
recherchés pour intervenir directement au domicile des élèves par le biais de prestataires spécialisés. Offres d'emploi Professeur Enseignant Formateur en Electrotechnique H/F Arras - 62 - CDI Enseignant de CFA H/F Aix-en-Provence - 13 - Indépendant/Freelance Enseignant Formateur en CAO - Rdm H/F Le Mans - 72 - CDI > Les offres d'emploi en Professeur L'emploi dans le domaine Enseignement [caption id="attachment_236392" align="alignnone" width="1200"] displayobs[/caption] Educateur spécialisé Directeur d'école Educateur de jeunes enfants Professeur Chef de service éducatif Conseiller d'éducation Professeur particulier Inspecteur de l'Education Nationale Responsable pédagogique Secrétaire d'administration scolaire Educateur technique Professeur d'anglais Recteur Professeur mathématiques Professeur de langues Professeur de lycée professionnel Directeur de l'enseignement et de la recherche Principal de collège Principal adjoint Professeur de français Les métiers proches Professeur [caption id="attachment_236388" align="alignnone" width="1200"] Les métiers proches Professeur Capture[/caption] L'emploi par ville pour le métier Professeur Où trouver un emploi Professeur ? Les débouchés sont nombreux dans ce secteur d’activité, et il est possible de trouver un emploi Professeur aux quatre coins de l’hexagone , que cela soit à Paris, Toulouse ou encore dans la ville de Montbonnot-Saint-Martin. Offres d'emploi Professeur Paris Offres d'emploi Professeur Toulouse Offres d'emploi Professeur Montbonnot-Saint-Martin Offres d'emploi Professeur Autun Offres d'emploi Professeur Saintes Offres d'emploi Professeur Lille Offres d'emploi Professeur La Flèche Offres d'emploi Professeur Angers Offres d'emploi Professeur Le Mans Offres d'emploi Professeur Nanterre Offres d'emploi Professeur Nanterre Offres d'emploi Professeur Dijon Offres d'emploi Professeur Riom-ès-Montagnes Offres d'emploi Professeur Lodève Offres d'emploi Professeur Guyancourt Offres d'emploi Professeur Saint-Cyr-l'École Apprendre avec des formations en Enseignement Quelles formations dans le domaine Enseignement ? Offres de formation Éducateur de jeunes enfants (eje) Offres de formation Formateur Offres de formation Animateur de formation Offres de formation Advp Offres de formation Éducation nationale Offres de formation Conseiller d'orientation Offres de formation Pédagogie Offres de formation Vae Offres de formation Éducateur spécialisé Offres de formation Pal
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*SON MESSAGE POUR NOUS !*
*Esprit ! Ouvre-toi !*
*Il leur ouvrit l’esprit pour comprendre les Écritures.” Lc 24. 45*
*Qu’est-ce qu’avoir l’esprit ouvert ? Nous prétendons parfois être ouverts d’esprit, mais que voulons- nous dire par cette expression ? Intellectuellement ? Ce serait accueillir les idées nouvelles, être en éveil avec la culture ambiante, aux découvertes, aux techniques de pointe.*
*Mais est-ce tout ? Moralement ? Ce serait avoir une ouverture bienveillante vis-à-vis des mœurs du moment, sans être prisonnier des principes, des lois ou des convenances. Mais, est-ce juste ?*
*Socialement ? Ce serait ne pas avoir de préjugés de races, de nationalités, de classes, de genres. Ne pas être sexiste ou raciste, anti-ceci ou anti-cela ! Mais est-ce possible ?*
*Et bibliquement ? L’ouverture d’esprit ne tient ni à une disposition de tempérament, ni à une éducation reçue, ni à l’influence de la culture du moment ou du niveau social. D’ailleurs, est-ce que nous nous ouvrons l’esprit nous-même ?*
*Rien de moins sûr, d’autant que, d’après l’Évangile, c’est Jésus qui nous l’ouvre comme Il le fit pour les disciples bouleversés dans leur quotidien et dans leur espérance, après l’épisode de la croix. Il faut une intervention divine pour que notre esprit s’ouvre vraiment et correctement, et ce, en ayant contact avec l’Écriture.*
*C’est la Parole de Dieu qui va nous permettre de saisir notre temps, notre société mais aussi notre vie, et le sens à leur donner. À condition que la Bible, elle, reste ouverte et que nous nous en saisissions. Il y a donc une réelle nécessité à lire, à méditer, à étudier cette Parole.*
*Alors, notre esprit s’ouvrira à l’Esprit saint, moralement, socialement, intellectuellement et, bien sûr, spirituellement. Cette Parole enfin reçue et comprise, permettra, vous permettra de vous mettre, remettre en route, non plus l’esprit abattu, comme pour les disciples, mais l’esprit ouvert et conquérant.*
*MARDI BÉNI + ESPRIT S
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