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Danker Jan OREEL pour les éditions BD Must
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Les ombres de la Sierra Madre – Tome 3 – El Dedo de Dios : Philippe Nihoul et Daniel Brecht
Titre : Les ombres de la Sierra Madre – Tome 3 – El Dedo de Dios Scénariste : Philippe Nihoul Dessinateur : Daniel Brecht Édition : BD must (20/10/2020) Résumé : Mexique, années 1920, 40 ans après la reddition de Geronimo, alors qu’Hollywood tournait ses premiers films parlants, les Apaches poursuivaient une guerre perdue pour […]Les ombres de la Sierra Madre – Tome 3 – El Dedo de Dios : Philippe…
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And I knew it from afar, in that old rock’n’roll bar
moi aussi je voulais l’emporter de Julie Delporte (éditions Pow Pow)
Je sais que je me répète (peut-être que ça fait un peu partie de l’exercice ?)(d’être en vie, j’entends) mais je suis vraiment persuadée que toutes les œuvres viennent à moi à point nommé. Hier en faisant mes burgers j’écoutais la chanson de Jonathan Richman A Higher Power et il disait It’s magic, it’s magic, no not at random, and there must be a higher power somewhere (j’aime tant Jonathan Richman). En tous cas, ça s’applique je crois aux rencontres mais aussi aux BD qui nous arrivent dans les mains et qui viennent réchauffer et réconforter le petit point de vulnérabilité qui grossit, qui grossit, qui grossit. D’un coup, un matin, on écoute Hey Moon de John Maus sans pleurer et on se rend compte que d’un coup de baguette magique, Julie Delporte nous a guérie.
Donc, ces derniers temps, mes angoisses sont revenues et j’étais assez frustrée parce que ça faisait longtemps qu’elles s’étaient calmées. J’avais peut-être entrevu leur départ définitif et je m’en réjouissais.
Alors dans ce contexte si on m’avait dit « qu’est-ce que tu voudrais lire maintenant ? » j’aurais dit :
- quelque chose qui raconte mon syndrome de l’imposteur
- un livre sur les Moomin et sur tous les espaces de fiction qu’on ouvre en nous pour aller mieux
- un livre sur l’apprentissage de la solitude
- un livre sur l’intimité de l’écriture et le rapport complexe qu’on entretient avec ces récits à la première personne
- un livre doux et profond
Et voilà que je vais chercher samedi un livre que l’on m’a conseillé sur Twitter (merci Elodie), moi aussi je voulais l’emporter de Julie Delporte, paru aux éditions pow pow et qu’il aligne toutes ces planètes. C’est un livre qu’on m’a conseillé plusieurs fois et pourtant j’ai choisi de le lire maintenant
there must be a higher power somewhere je vous dis.
Moi aussi je voulais l’emporter fait référence au masculin qui l’emporte sur le féminin, à ce moment intolérable de cet apprentissage absurde : tu seras une femme, ma fille. L’autrice part de ce constat (on aimerait toutes l’emporter) et elle raconte des petites bribes de sa vie : un nouvel amour, un départ pour Helsinki sur les traces de Tove Jansson, un abus qu’elle a vécu étant enfant, un quotidien ponctué par des questions qui la taraudent et reviennent sans cesse comme un refrain. « Se sentir flouée d’être une fille ».
Et la petite chanson de la vie de Julie Delporte s’est tellement accordée à la mienne que j’ai cru reconnaître dans sa voix les notes que j’avais toujours rêvé qu’on me chante.
Chaque visuel (dessin, collage, peinture) est accompagné d’une petite phrase, qui n’est souvent composée de quelques mots et qui vous prend vraiment aux tripes. Ce livre m’a lancée exactement là où l’anxiété se niche, quelque part au fond à droite. Mais ce n’était pas une douleur mais plutôt un baume. De ces vérités qui soulagent parce qu’on se dit : je ne suis pas seule.
Elle y explore son écriture de l’intime, ce que cela signifie pour elle en tant que femme et féministe de se raconter. Pourquoi devrait-on toujours s’excuser d’écrire sur nous ? Pourquoi avons-nous l’impression que ça nous limite alors que cela peut, au contraire, tisser les liens les plus solides au monde ? Toute la bande dessinée dresse ses ponts avec l’histoire de l’art, avec Tove Jansson bien sûr mais aussi avec Chantal Akerman, avec Pierre Bonnard, avec Little Women et Star Wars et Mouchette. Où sont les femmes dans ces œuvres ? Où sont leurs histoires ? Pourquoi l’héroïne se plonge dans ces fictions comme si sa vie en dépendait ? Pourquoi il faut apprendre à être seule ?
C’est un livre plein de trous, plein de formes, plein de phrases qui semblent parfois rester en suspens. Je le disais à un ami qui me faisait relire son travail l’autre jour, que c’est bien, les trous. Ça laisse passer l’émotion, les larmes, les sourires, les respirations, les souvenirs. Il faut laisser suspendre des mots pour que l’on puisse s’y raccrocher. Ce sont ces petits moments de flottement qui rendent la bande dessinée de Julie Delporte si forte, si profonde, si pleine, finalement.
Je l’admire tellement d’avoir choisi cette forme. D’avoir assumé cette intimité même si elle semble, au premier abord, qu’elle nous limite. Parce que moi je l’ai lue et j’avais besoin d’elle. Besoin d’exister un instant dans ces pastels, dans ces terres de Moomin, dans ces questionnements, dans ces maisons colorées. J’avais besoin d’elle et elle était là. Quel lien plus fort peut-on tisser avec une bande dessinée ?
« On m’a dit que je portais peut-être une vieille histoire de famille… moi j’ai l’impression de porter la vieille histoire des femmes »
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Chiens de faïence Fail and Foil (Safe in the rain records / Hellzapoppin Records / Howlin’ Banana Records)
Vendredi soir c’était la release party de Chiens de Faïence. Un groupe que j’aime beaucoup, et pas seulement parce que j’aime beaucoup les membres qui le compose (peut-être que ce n’est pas très éthique et responsable d’écrire sur ses amis mais plot twist c’est mon blog et je fais ce que je veux !).
Je trouvais que cet album rebranchait bien sur toute cette idée d’une œuvre personnelle puisqu’ils font tout dans leur petite demeure de Nanterre et il y a beaucoup d’intimité dans cette musique. Dans leur pop plutôt dépouillée il y a beaucoup de souvenirs d’enfance, de déclarations d’amour à une forme de bizarrerie (qui me tient à cœur en musique), d’une énergie communicative, c’est une petite chasse au trésor pour aller à la recherche des sentiments profonds.
On a tendance à dire que l’indie pop un peu DIY est forcément « naïve ». Je n’aime pas trop cette condescendance, pour moi il y a une vraie beauté et une vraie sincérité à dire la vie comme elle l’est. À jouer la musique comme elle vient. Il n’y a rien de naïf là-dedans. Plutôt une manière de se parler, d’humain à humain. J’aime vraiment l’idée de prendre les instruments et de se jouer du dépouillement. Moi je trouve ça très beau et je vous invite à écouter ce très bon disque qui, le temps de quelques morceaux, vous fera peut-être vous sentir un peu moins seul·e. (et que demande-t-on d’autre de l’art, je vous le demande !)
Pour visiter leur page Bandcamp, c’est par ici !
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La vie de Delphine Seyrig
Je n’écoute pas beaucoup la radio (et je le regrette) mais après avoir adoré et repensé si souvent au documentaire Delphine et Carole, insoumuses j’ai développé une petite obsession pour la vie et la voix et les combats de Delphine Seyrig. J’ai donc écouté et adoré ce documentaire de Lisa Boses et Lou Quevauviller (réalisé par Annabelle Brouard).
Dans sa bande dessinée, Julie Delporte écrit « Je suis en train de tomber amoureuse de l’idée d’être une femme » et je crois que c’est un peu ce que j’ai ressenti en écoutant ce documentaire sur Delphine Seyrig. Parce qu’il mêle le personnel et le politique, sa carrière et son féminisme, son talent et son engagement. Elle n’a jamais voulu s’ériger en modèle et pourtant l’humilité avec laquelle elle a été de tous les combats est plutôt admirable. J’ai aimé que certains documentaires audio (notamment les cassettes qu’elle enregistrait pour son fils) la montrent aussi plus humaine que jamais, pétrie de doutes. Je me suis sentie vraiment proche d’elle pendant cette petite heure.
On sort de là en se questionnant sur la place des femmes dans l’histoire du cinéma, en ayant envie de voir tous ses films et les films de toutes les réalisatrices dont elle parle. A écouter si vous aimez le cinéma, Delphine Seyrig, le féminisme, ou la vie, tout simplement.
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[[[Regarder]] {1080p}Star Wars : L'Ascension de Skywalker 2019 //Film// streaming vf
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However, when Wilson “Kingpin” Fiskuses a super collider, another Spider-Man from another dimension, Peter Parker,accidentally winds up in Miles’ dimension. As Peter trains Miles to become a betterSpider-Man, they are soon joined by four other Spider-Men from across the”Spider-Verse”. As all these clashing dimensions start to tearBrooklyn apart, Miles must help the others stop Fisk and return everyone totheir own dimensions. Title : Star Wars : L'Ascension de Skywalker Year : 2019 Release Date : D�cembre 18, 2019 Genre : Action,Aventure,Science-Fiction Combien de temps as-tu dormi pendant le film Star Wars : L'Ascension de Skywalker? La musique, l’histoire et le message étaient phénoménaux dans Star Wars : L'Ascension de Skywalker. Je ne pouvais jamais voir un autre film cinq fois comme je l’ai fait ici. Retournez voir une seconde fois et faites attention. Regarder Star Wars : L'Ascension de Skywalker Movie WEB-DL Il s'agit d'un fichier extrait sans erreur d'un serveur tel que Story 4, tel que Netflix, Amazon Video, Hulu, Crunchyroll, DiscoveryGO, BBC iPlayer, etc. Il s'agit également d'un film ou d'une émission télévisée téléchargés via un programme en ligne site Web, tel que iTunes. La qualité est assez bonne car ils ne sont pas ré-encodés. Les flux vidéo (H.264 ou H.265) et audio (AC3 / Star Wars : L'Ascension de Skywalker C) sont généralement extraits de iTunes ou d'Amazon Video, puis remuxés dans un conteneur MKV sans sacrifier la qualité. DownloadMovie Star Wars : L'Ascension de Skywalker Un des flux vidéo en continu L'industrie du DVD a eu le plus gros impact sur l'industrie du DVD, ce qui a permis de faire face à sa disparition grâce à la vulgarisation en masse du contenu en ligne. La montée en puissance de la diffusion multimédia a provoqué la chute de nombreuses sociétés de location de DVD telles que Blockbuster. En juillet 2015, un article du New York Times a publié un article sur NetVix’sDVD serStar Wars : L'Ascension de Skywalkers. Il a déclaré que Netflix poursuivait ses DVD SerStar Wars : L'Ascension de Skywalker avec 5,3 millions d’abonnés, Regarder Star Wars : L'Ascension de Skywalker Movie Online en ligne Les déchirures de Blu-ray Bluray sont encodées directement à partir du disque Blu-ray en 1080p ou 720p (selon la source du disque) et utilisent le codec x264. Ils peuvent être extraits de disques BD25 ou BD50 (ou de disques UHD Blu-ray à des résolutions plus élevées). Les BDRips proviennent d’un disque Blu-ray et sont codés à une résolution inférieure à celle de sa source (c’est-à-dire 1080p à 720p / 576p / 480p). Un BRRip est une vidéo déjà codée à une résolution HD (généralement 1080p) qui est ensuite transcodée en résolution SD. Regardez Star Wars : L'Ascension de Skywalker Movie BD / BRRip en résolution DVDRip, quelle qu’en soit la raison, car le codage provient d’une source de meilleure qualité. Les BRRips correspondent uniquement à une résolution HD à une résolution SD, tandis que les BDRips peuvent aller de 2160p à 1080p, etc. tant qu'ils ont une résolution inférieure du disque source. Regarder Star Wars : L'Ascension de Skywalker Movie FullBDRip n'est pas un transcodage et peut être transféré vers le bas pour le codage, mais BRRip ne peut que redescendre aux résolutions SD au moment où ils sont transcodés. Les résolutions BD / BRRips dans DVDRip peuvent varier entre les codecs XviD et x264 (généralement de 700 Mo et de 1,5 Go, ainsi que pour les DVD5 ou DVD9 plus grands: 4,5 Go ou 8,4 Go), la taille varie en fonction de la longueur et de la qualité des éditions, mais elle est supérieure plus ils utilisent probablement le codec x264. regarder Star Wars : L'Ascension de Skywalker 123movies Star Wars : L'Ascension de Skywalker regarder en ligne Star Wars : L'Ascension de Skywalker film complet 123movies regarder Star Wars : L'Ascension de Skywalker film complet en ligne gratuit Star Wars : L'Ascension de Skywalker télécharger le film hindi Star Wars : L'Ascension de Skywalker film gratuit Star Wars : L'Ascension de Skywalker film complet télécharger Regarder Star Wars : L'Ascension de Skywalker en ligne HD1080px Regarder Star Wars : L'Ascension de Skywalker en ligne définitions de haute qualité Regarder Star Wars : L'Ascension de Skywalker en ligne Allmyvideos Regarder Star Wars : L'Ascension de Skywalker en ligne Boxofficemojo Regarder Star Wars : L'Ascension de Skywalker en ligne Bravo Voir le film de Star Wars : L'Ascension de Skywalker beta ray bill
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Les Galères d'un Panda
Titre : Les Galères d'un Panda
Auteur/Autrice : Panda
BD
Genre : Témoignage
Auto-édition numérique - 95 pages
Âge conseillé : ado, YA, adulte
Résumé :
Panda 17 ans nous parle de son handicap invisible et aussi un peu de sa trans-identité. Iel en profitera pour nous présenter des ami-e-s ou de la famille qui ont aussi connu l'errance médicale ou le rejet face à leur identité LGTBTIQ+
Identités représentées :
Bi/Pan, Non-binaire, Queer, En questionnement, Avec un handicap, Neuroatypique,
Personnages LGBT+/MOGAI principaux/secondaires
Thématiques présentes :
Handicap invisible, errance médicale, transidentité
(les thématiques LGBT+ ne sont pas au cœur de l'histoire)
TW : Violences verbales, Tentative de Suicide, Automutilation, Violences médicales… Avis de pablo :
Je ne dirai pas que c'est un must read mais c'est clairement un travail touchant venant d'une jeune personne qui a eu du mal à passer le virage d'un diagnostique arrivant après des années d'errance médicale et pile dans les années lycée.
C'est une œuvre à lire si vous avez un peu d'empathie et que vous souhaitez comprendre un peu mieux ce qui se passe dans le corps et dans la tête d'une personne ayant une maladie chronique, ou bien si vous êtes vous-même en errance médicale et cherchez un peu de réconfort.
#non binaire#non binarité#BD#bande dessinée#en questionnement#bisexualité#bi/pan#transgenre#transidentité#malades/handicap#Témoignage#handicap#maladie#auto édition#validisme#queer#Panda#neuroatypie#handicap invisible#errance médicale#médecine#Les Galères d'un Panda#YA#adulte#ado
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Des romans à offrir ou se faire offrir ! Gabriële d'Anne et Clair Bérest : Oui je sais j'en ai déjà parlé dans une précédente édition mais c'est vraiment mon coup de coeur de la rentrée et je pense qu'il ne faut pas passer à côté de ce texte ! C'est le cœur qui lâche en dernier de Margaret Atwood : Le nouveau né de Margaret Atwood, que l'on connaît bien sur pour son très célèbre Servante écarlate, ici le ton est plus léger, presque drôle par moment, satire de notre société. Beauté fatale de Mona Chollet : Alors oui ce n'est pas un roman je sais bien, mais pour ceux qui n'auraient toujours pas lu cet essai, je les encourage vivement à se le procurer. L'autrice décortique notre société, la publicité et son sexisme. Tout à fait abordable dans le style, un must-read féministe ! Une toile large comme le monde d'Aude Seigne : 4 personnes aux 4 coins du globe et avec un rapport à Internet omniprésent se retrouvent à pirater le système de cable d’alimentation de la toile. Un monde sans Internet, et pourquoi pas ? Un joli roman non-moralisant sur les dérives des vies ultra-connectées. Des BD en veux-tu en voilà ! Une case en moins d'Ellen Forney : A 30 ans, l’autrice découvre qu’elle est bipolaire. S’enchaînent alors longues périodes de dépression et moments de création intenses. S’enchaînent également les traitements, les rendez-vous chez les médecins et les désillusions. Une autobiographie très dure à lire, je ne vais pas vous mentir... Les faits divers d'Anouk Ricard : Anthologie de titres de presses illustrés par Anouk Ricard, comme d’habitude c’est hilarant et bien bêbête ! Step aside pops de Kate Beaton : Recueil de strips (que vous pouvez retrouver pour la grande majorité sur son site) de l’autrice de La princesse et le poney, dans lesquels on retrouve son amour pour l’histoire, la littérature et la pop-culture. Dans la combi de Thomas Pesquet de Marion Montaigne : L’autrice des Tu mourras moins bête nous raconte ici le parcours de l’astronaute Thomas Pesquet depuis une dizaine d’années, de l’envie folle de partir dans l’espace à la concrétisation de plusieurs années d’entrainement et de concours complètement dingues. Une BD drôle et instructive, dans laquelle on apprend comment faire caca dans l’espace ! Roller girl de Victoria Jamieson : Cela fait longtemps que cette BD était dans ma liste et je n'ai pas beaucoup hésité quand je l'ai vu sur les rayonnages des éditions 404 au Salon de Montreuil. Astrid découvre par hasard le monde du roller derby et décide alors de s'inscrire au camp d'été pour découvrir ce sport dans lequel on botte des culs (littéralement). Mais cette bande-dessinée parle également d'amitié, de rapport mère-fille et de l'adolescence en général. C'était parfait. Un peu de jeunesse ? L'aube sera grandiose d'Anne-Laure Bondoux : Alors que Nine devait se rendre à la fête de son lycée, sa mère décide de l'emmener dans un cabanon perdu dans la forêt. Il est temps pour sa fille de découvrir son histoire... Pas de thriller ou d'horreur(malgré le cadre) dans ce roman ado mais une belle histoire de famille qui se dévore ! La fourmi rouge d'Emily Chazerand : Pas facile de s'appeler Vania Strudel, d'avoir 15 ans et une vie qui part en vrille. Un soir, elle reçoit un mail anonyme qui lui explique que non, elle n'est pas une fourmi noire banale mais plutôt une fourmi avec des couleurs vives. Une métaphore super bizarre mais un roman ado très chouette, agréable à lire et qui change ! Ce que j'aime vraiment d'Astrid Desbordes et Pauline Martin : Si vous n'avez jamais lu d'albums de ce duo, attaquez vous d'abord à Mon amour, qui vous fera probablement verser une ou deux larmes. Dans ce nouvel album, Archibald perd un match de tennis et confie à sa mère qu'il n'est "vraiment pas doué". Un magnifique titre qui nous apprend que l'on est toujours bon en quelque chose, qu'il suffit de le trouver et d'y croire. Voir le jour d'Emma Giualiani : En jeunesse j'ai 2 passions : les pop-up et les livres découpés au laser. Voir le jour est un livre pop-up / frise où les fleurs s'ouvrent en même temps que les pages. Livre poétique sur la vie, la mort et tout ce qu'il se passe entre les deux. Magnifique !
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Un nouvel article a été publié sur https://www.rollingstone.fr/blutch-rencontres-illustration-2019/
Blutch & Co à l’honneur à Strasbourg
Du 21 au 31 mars derniers, la capitale européenne accueillait la grand messe de l’illustration. À l’honneur cette année, le dessinateur Christian Hincker, qui appose définitivement sa patte dans le monde du coup de crayon. Récit de l’événement
Oui, on peut l’affirmer haut et fort : Strasbourg est à l’illustration, ce qu’Angoulême est à la bande dessinée ! Preuve en est, la richesse de la 4e édition des Rencontres de l’illustration, qui se tenait du 21 au 31 mars derniers, et qui mettait à l’honneur Christian Hincker alias Blutch, enfant prodigue du pays, virtuose du dessin, de l’illustration et de la BD. Pour l’occasion, 5 lieux culturels de la capitale européenne, et pas des moindres, présentaient à l’unisson l’étendue du travail multiforme de cet artiste de 51 ans dont le talent navigue entre humour, mélancolie, introspection et poésie.
Hommage fut rendu également à l’immense artiste Tomi Ungerer, décédé récemment. Où l’œuvre atypique, anticonformiste et protéiforme de cet illustrateur-peintre-sculpteur-affichiste d’origine alsacienne révèle une filiation évidente avec celle de Blutch. Situé dans un ancien hôtel particulier, le musée Tomi Ungerer, qui valait à lui seul la visite, consacrait un étage entier à l’invité d’honneur des Rencontres avec notamment affiches de films pour Alain Resnais, carnets de croquis et autres œuvres à se pâmer.
Au Musée d’art moderne et contemporain, dessins, illustrations et BD de Blutch côtoyaient, sans ciller, des tableaux de grands maîtres tels que Dürer, Renoir, Gustave Doré ou Steinberg. Époustouflant.
Quant au 9e festival Central Vapeur qui partage depuis quatre ans maintenant l’affiche des Rencontres de l’illustration, ce fut l’occasion rêvée de découvrir la fine fleur de la jeune illustration dans une quinzaine de lieux au travers d’un copieux programme d’expositions, films, rencontres, concours, « battle » de dessins, pesée de panier…. À noter, cette année, une forte présence du genre féminin parmi les artistes invitées : Anne-Margot Ramstein, Anne Laval ou Marie Lallemand pour ne citer qu’elles. Les 30 et 31 mars, Central Vapeur organisait son Salon des indépendants réunissant le must de la micro édition : 25 revues, collectifs, ateliers d’art et éditeurs indépendants français dont les drôlissimes Toulousains Misma ou les Suisses Atrabile, et du côté de l’international, le collectif Kuti Kuti d’Helsinki, Ruja Press de Rotterdam ou Kakakids de Genève ont fait le voyage.
À voir aussi, bien sûr, l’exposition d’Anouk Ricard & Etienne Chaize, organisée par les excellentes éditions strasbourgeoises 2024, qui proposaient un parcours hilarant et décalé à travers les collections du Musée Historique. Et si l’Alsace vous semble vraiment trop loin, l’exposition Hors la Loi de Blutch sera fin septembre à l’affiche de Formula Bula, l’incontournable festival de BD parisien.
Belkacem Bahlouli
#Anouk Ricard#bande dessinée#bd#Blutch#Central Vapeur#Christian Hincker#dessin#Etienne Chaize#Hors La Loi#illustration#Kuti Kuti#Rencontres de l'illustration#Ruja Press#Strasbourg#Tomi Ungerer
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Gros coup de coeur pour cette édition exceptionnelle de Bloodshot Salvation dessiné par @micosuayan et @lewislarosa - 500 exemplaires numérotés - tirage noir et blanc - 29€ - quelques exemplaires disponibles à la boutique ! Un must pour les fans de @valiantentertainment et de @blisscomics #comics #n&b #bd #valiant #bloodshot #art #bordeaux (à Pulp's Bordeaux) https://www.instagram.com/p/BqPTf-8BTAa/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=n10a7dcuxu1c
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Après “Happy”, l’adaptation très réussie d’un comics barré de l’éditeur américain IMAGE et diffusée depuis quelques semaine en France sur NETFLIX, la chaîne américaine SYFY remet le couvert avec une autre adaptation de Comics : “Deadly Class”.
Pour vous en dire quelques mots “Deadly Class” est un comics écrit par Rick Remender, un des meilleurs et des plus inventifs scénaristes ricains du moment. Si vous ne le connaissez pas, je vous conseille l’excellent “Tokyo Ghost” (avec Sean Murphy aux dessins, un must !) et son dernier bébé “Seven to Eternity” (avec Daniel Opena aux dessins, une régalade pour les yeux !) tous deux publiés chez Image aux US et chez Urban Comics en France.
Pour en revenir à “Deadly Class”, Remender a placé son action dans les années 80 et orchestre son comics comme une série TV, découpé en saison et plus précisément en année scolaire. Le numéro 1 démarrait sur l’année 1987 et se situe à date en 1988. Le plus de cette série, c’est que Remender y met sa vie, ses souvenirs, il narre ce qu’il a lui-même vécu au lycée (en l’amplifiant fois XXL bien sûr, encore que…). Dans l’édition VO, à chaque fin de numéro, Remender fait une postface pour expliquer l’époque, y exposer ses souvenirs et surtout proposer des playlist de la crème musicale des eighties. Un régal. Je ne sais pas si c’est le cas aussi dans les éditions VF.
Aux dessins, on retrouve Wes Craig dont le trait sombre et aiguisé crée une atmosphère dark, mais pourtant d’une fluidité incroyable. Et le coloriste en jouant les aplats old school capture parfaitement l’époque.
Pour le moment aux Etats-Unis, 33 numéros sont parus et Urban Comics qui édite la VF en format broché regroupant 6 épisodes par numéro la suit de très près (pour le tome 6 on est déjà au numéro 31).
Le Pitch ? Il est identique dans le comics et la série TV : À la fin des années 1980, Marcus Lopez, un jeune SDF, est admis au sein d’une mystérieuse école privée qui accueille la progéniture des criminels les plus dangereux de la planète. Confronté à des cours pour le moins inattendus, qui font du meurtre une forme d’art, et à des camarades de classe qui vont lui rendre la vie dure, Marcus va devoir tenter de survivre, de garder à tout prix un certain code moral, et d’affronter du mieux qu’il peut les aléas de sa vie d’adolescent.
Les bonnes fées se sont penchées sur le berceau du comics, la série TV est produite par les frères Russo (oui, oui, les réalisateurs de “Avengers Infinity War” !) gage de qualité. On retrouve d’ailleurs le comédien Bénédict Wong (qui joue Wong, l’assistant du Dr Strange !) en directeur d’établissement. Coïncidence ? Je ne pense pas !
Ce qui est rassurant, c’est que le premier trailer reprend vraiment tous les codes de la BD et arrive à en capturer l’atmosphère et l’univers. On croise les doigts en espérant que ce sera vraiment le cas car cette BD est unique, folle, jusqu’au-boutiste et assez violente.
Pas encore de date de sortie fixée. On croise les doigts pour la rentrée 2018 ou au pire début 2019. On vous en dit plus dès qu’on en sait plus.
Series TV : “Deadly Class”, un des meilleurs comics du moment adapté par les Frères Russo ! Après "Happy", l'adaptation très réussie d'un comics barré de l'éditeur américain IMAGE et diffusée depuis quelques semaine en France sur NETFLIX, la chaîne américaine SYFY remet le couvert avec une autre adaptation de Comics : "Deadly Class".
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COSMOCIDES: ART(S), VIOLENCE, 21ST CENTURY
Pré-programme (sous réserve de modification) Du mercredi 4 avril au lundi 18 juin. Guest Curators : Dominique Malaquais et Lionel Manga.
Face au silence, à la médiocrité et à la brutalité nous devons mettre sur pied quelque chose de suffisamment grand pour que les damnés l’échangent contre leur terrible mémoire de vaincus — quelque chose qui en même temps blanchisse les nantis de leur triste illusion de vainqueurs — car dans la guerre qui aujourd’hui oppose l’esprit, la raison et l’intelligence à la médiocratie, il n’y aura pas d’autre vainqueur que le cosmocide. (Sony Labou Tansi, Encre, sueur, salive et sang, Paris, Seuil, 2015, pp.113-114) En 1973, l’écrivain congolais Sony Labou Tansi invente un néologisme : « cosmocide ». Le mot se veut un réquisitoire contre les violences infligées aux corps, aux esprits, à la nature par un capitalisme sauvage, contre la colonisation et le néocolonialisme, les États sanguinaires, les juntes, les polices de tous bords, la mise en charpie des démocraties et du futur. Pour Sony, dire le cosmocide c’était le battre en brèche. Écrire revenait à poser une bombe, non dans le but de détruire, répondant au désastre par le désastre, mais de faire table rase, éradiquant la « mocheté » pour créer des espaces de respiration, des possibles. Nommer l’horreur dans l’espoir de faire naître son contraire : c’est de cela qu’il s’agissait et dont il s’agira ici. Nous serons guidé.e.s par des créateur.trice.s qui, comme Sony, œuvrent à débusquer la violence pour la mettre à mal. Anthropocène, ou encore capitalocène ; éco- et urbicides ; apartheids ; mers et déserts, cimetières de réfugié.e.s ; coltan, dioxine et autres perturbateurs – de communautés, de rêves, de systèmes endocriniens ; camps et geôles… Architectes et urbanistes, historien.ne.s, performeur.e.s, plasticien.ne.s, chorégraphes, tels sont les objets qu’elles et ils abordent. Multiples, leurs pratiques ont ceci en commun : un acte de respirer. Pré -programme : Mercredi 4 avril – AbdouMaliq Simone (105 Bd Raspail, amphi Furet) Mercredi 18 avril – Emeka Okereke (Kadist) Mercredi 2 mai – Beth Weinstein (Maison Suger) Mercredi 16 mai – Jelili Atiku (CND) Vendredi 1 juin – Faustin Linyekula (Maison Suger ou Cité Internationale des Arts) Mercredi 6 juin – Lamyne Mohamed (Maison Suger) Lundi 18 juin – Gabrielle Hecht (Maison Suger) COSMOCIDES: ART(S), VIOLENCE, 21ST CENTURY In the face of silence, of mediocracy and brutality, we must set afoot something big enough that the wretched can trade it against the terrible memory of loss they bear – something that, at the same time, will wash the well-heeled of the sad conviction that they have won – for in the war that today opposes thought, reason and intelligence to the mediocratic world we inhabit, there will be but one victor: cosmocide. (Sony Labou Tansi, Encre, sueur, salive et sang, Paris: Seuil, 2015, pp.113-114) In 1973, Congolese writer Sony Labou Tansi invented a neologism : “cosmocide.” The term was intended as an onslaught. It aimed to take to task the violence inflicted by the savagery of capitalism on bodies, spirits and landscapes, to do battle against colonialism and neocolonialism, against blood-soaked states, juntas and police forces of all kinds, against the foreclosure of democracies and futures worldwide. The act of putting such violence into words, for Sony was a means of beating it into retreat. To write was to set off a bomb, not so much to destroy, responding to disaster with further disaster, but to wipe the slate clean, doing away with “ugliness” to create spaces wherein one might breathe and imagine new possibilities. Naming horror in hopes of giving rise to its obverse: such was his goal and so shall we attempt to do here. Our guides will be creators who, like Sony, seek to flush out – and in the process to do in – violence. Anthropocene or, yet again, capitalocene; eco- and urbicide; apartheid regimes; deserts and seas turned refugee graveyards; coltan, dioxin and other disruptors – of communities, dreams, endocrine systems; camps and jails… Architects and urbanists, historians, performers, visual artists, choreographers: these are their foci. Highly diverse, their work and approaches share one, distinct characteristic: all are exercises in breathing out of school. Dominique Malaquais, historienne d’art et politiste, interroge les intersections entre violences politiques, inégalités économiques et élaborations de cultures urbaines à l’ère du capitalocène. D’abord enseignante aux Etats-Unis (Columbia, Princeton, Sarah Lawrence), aujourd’hui chercheuse au CNRS (Institut des mondes africains), elle co-dirige avec Kadiatou Diallo la plateforme curatoriale expérimentale SPARCK (Space for Pan-African Research, Creation and Knowledge). Parmi ses projets récents et en cours : réflexions sur les échanges entre Afrique et Asie à travers les arts visuels, la littérature, l’urbanisme et la spiritualité (Afrique-Asie : arts, espaces, pratiques, co-dirigé avec Nicole Khouri et publié en 2016) ; Archive (re)mix : vues d’Afrique (2015, co-dirigé avec Maëline Le Lay et Nadine Siegert), recueil d’essais sur les trajectoires de plasticiens, d’écrivains, de musiciens qui, à travers leur travail, explorent les multiple facettes de la rencontre entre art(s) et archive(s) ; expositions (Dakar 66, Musée du quai Branly, 2016 et Kinshasa : chroniques urbaines, Cité de l’architecture et du patrimoine, 2019) ; Yif menga (2018-2019), recherche collective sur la performance comme proposition politique… Lionel Manga est l’auteur de L’Ivresse du papillon (2008), le premier essai paru sur la scène des arts plastiques au Cameroun. Après un passage éclair à la Sorbonne, une conspiration familiale l’exfiltre de France il y a de cela quarante ans. Tête pensante d’African Logik à Yaoundé (1996-1998), la scène rap et hip-hop locale lui doit sa visibilité. Sa chronique radiophonique Klorofil (1992-1996) lancera l’alerte sur la crise écologique globale. Observant le monde contemporain et scrutant l’Histoire à la croisée des bibliothèques, cet Altriciel inclassable a contribué au Tombeau pour Aimé Césaire paru en janvier 2017, sous la direction de Daniel Delas. Revendiquant et assumant son statut d’électron libre dans un contexte pétri d’allégeances, diverses revues ont accueilli sa prose ces dernières années, à l’instar de Mouvements, Riveneuve continents, Local contemporain et Chimurenga. Conférencier au musée du quai Branly pour le cinquantenaire des Indépendances, cet adepte de l’improbable et lecteur assidu de Michel Serres a ouvert la deuxième édition des Ateliers de la pensée, dirigés par Achille Mbembe et Felwine Sarr, à Dakar en novembre 2017.
De 19H à 21H, À LA MSH, 16 – 18 RUE SUGER, 75006 (métro Odéon ou Saint – Michel) La salle n’est pas ouverte avant 18h50. Et dans d’autres lieux de la région parisienne Pour respecter les mesures de sécurité durant l’état d’urgence, il est nécessaire de s’inscrire préalablement : [email protected] . For security measures, please register at this address if you wish to attend this event :[email protected] No access without registration. Le séminaire "Something you should know: Artistes et producteurs" est soutenu par la Fundación Almine y Bernard Ruiz-Picasso para el Arte ( http://www.fabarte.org ) Pour voir les anciens séminaires : http://www.vimeo.com/sysk/ Programmation passée et prochains rendez-vous: http://sysk-ehess.tumblr.com/ Et par abonnement à la newsletter [email protected]
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Les ombres de la Sierra Madre – Tome 2 – El Patio del Diablo : Philippe Nihoul et Daniel Brecht
Titre : Les ombres de la Sierra Madre – Tome 2 – El Patio del Diablo Scénariste : Philippe Nihou Dessinateur : Daniel Brecht Édition : BD must (13/01/2020) Résumé : Mexique, année 1920, 40 ans après la reddition de Geronimo, alors qu’Hollywood tournait ses premiers films parlants, les apaches poursuivaient une guerre perdue pour […]Les ombres de la Sierra Madre – Tome 2 – El Patio del Diablo :…
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Hello mes lous,
Je suis heureuse de vous retrouver pour vous présenter “un jour au festival Trolls et légendes”.
Pour retrouver les autres articles “1 jour à…”: Un jour au salon du livre de Bruxelles et Un jour au carnaval de Binche.
Dernier article: Chronique de Corsaire au nom du roi de Delman auteur.
Durant 3 jours, à Mons s’est tenu le festival littéraire Trolls et légendes. Mais attention, ce n’est pas un festival ordinaire car il regroupe tous les aspects de la Fantasy, de la littérature au jeu en passant par la musique, la bande dessinée, l’illustration et le cinéma. Il se tient tous les 2 ans au lotto Mons expo(près du centre commercial les Grands prés) et est organisé par l’ASBL Trolls&Légendes composée exclusivement de bénévoles.
Cette année, Trolls & Légendes vous conte des Légendes Nordiques et vous emmène à Asgard, le centre du monde, sous la protection de valeureux vikings. Thor a frappé un grand coup de son marteau et l’arbre magique de la vie a jailli. A l’ombre du frêne Yggdrasil se déploie un festival féerique, peuplé de créatures fantastiques. Levez la corne, dégoisez vos scaldes et trinquez à la santé du Valhalla! A Pâques, le temps d’un week-end, le paradis est sur terre…
Pour ma part, j’ai été le samedi et c’était une expérience incroyable!
Je vais vous expliquer ça en détails.
Les préventes
L’espace-lieu
L’ambiance
Les tickets boissons
La bouffe
Les prix des livres
Les livres achetés
Les informations supplémentaires
1.Les préventes
C’était très bien organisés sur le site pour acheter les préventes dessus. J’ai payé 12€ sans concerts, c’était 28€ avec concerts. Grâce à ça, j’ai pu éviter les files d’une heure. Donc si vous voulez y aller, penser à acheter en ligne, ça facilite la vie!
2.L’espace
Juste énorme! Il y avait environ 2 grandes salles principales(exposants, bouffe, boissons, jeux), 2 plus petites salles(expositions, animations), 1 hall où se trouvaient les décors les plus époustouflants, 1 mini-hall qui menait aux 2 grandes salles où se trouvait une magnifique exposition de dessins, 1 espace extérieur où se trouvaient d’autres exposants. La signalétique était facile et on ne pouvait pas se perdre.
3.L’ambiance
Elle était totalement déjantée. Ce qui fait, le succès de ce festival, c’est l’originalité des costumes du public ainsi que des exposants. Je vous montre quelques photos que j’ai prise là-bas :)
4.Les tickets boissons
Comme pour la nourriture, un jeton coûtait 1€ et pour une boisson comme du coca par exemple, c’était 2 jetons avec 1 jeton supplémentaire pour la caution la première fois. L’eau était gratuite. Et à la fin, quand vous sortez, vous récupérez 1€ pour la caution.
5.La bouffe
Ma pote et moi, sommes allés dans le centre commercial “les grands prés”, au Ikea pour manger un repas complet, bon marché. Mais comme expliqué dans les boissons, vous pouvez acheter sur le site, des jetons.
6.Les prix des livres
Les prix étaient relativement bon marchés(de 5 à 18€ sauf trilogie qui revenait à 45€).
7.Les livres achetés
Je me suis laissée tentée par 3 romans.
Le premier est odalisque de Fiona McIntosh aux éditions Bragelonne-Milady. J’ai rencontré l’auteure et elle est juste super adorable :) On a parlé tranquillement en anglais et c’était vraiment top!
J’ai d’ailleurs eu une dédicace du livre ainsi qu’une photo :)
Résumé: Le Zar de Percheron vient de mourir. Le jeune Boaz, fils de sa favorite, lui succède sur le trône. Ambitieuse et calculatrice, sa mère fait éliminer tous ses rivaux et entreprend de constituer un nouveau harem. Ana, lodalisque, découvre un monde où elle ne manquera de rien, sauf de liberté. Elle tente de fuir avec ses seuls amis, Lazar, lÉperon de Percheron, un homme aussi secret que séduisant, et Pez, un nain apparemment fou. Cette évasion entraîne des conséquences dramatiques…
Le deuxième est Actefacts tome 1de F.H Eiffel aux éditions Underground, est une trilogie incroyable, que ma copine Camille et moi, nous sommes partagés le prix de 45€. Elle a gardé les 2 derniers tomes tandis que moi, j’ai pris le premier.
Résumé: Dans les sombres cachots de l’inquisition, les sorcières de Salem sont en proie au doute et à la terreur. Les juges sont là, prêts à leur arracher leurs secrets par le feu et la souffrance.
Venus du présent, deux jeunes garçons vont se lancer dans une folle course contre la montre. Ils devront prendre garde de ne pas altérer la ligne temporelle. Entraînés dans la lutte sans merci que se livrent deux forces qui les dépassent, ils vont être confrontés aux mystères des origines.
Premier tome d’une saga qui vous transportera bien au-delà de l’espace et du temps, offrant une vision nouvelle de la magie et de la sorcellerie, au cœur de la dualité Satan-Lucifer.
Le troisième est Dentelle&Nécromancie, Victorian Fantasy tome 1 de Georgia Caldera aux éditions J’ai lu.
Résumé: D’aussi loin que remontent ses souvenirs, Andraste, issue d’une longue lignée de sorcières, vit dissimulée aux yeux du monde. Son univers restreint ressemble à s’y méprendre à une cage dorée, elle qui ne rêve que de s’envoler. C’est alors qu’une invitation de la main même de la Reine vient bousculer les plans de sa grand-mère qui dirige la famille d’une main de fer. Et une requête royale ne se refuse pas… à moins de souhaiter perdre la tête.
Sa découverte du monde commence, à mille lieues de ce qu’elle imaginait. La cour est pleine de dangers, de rumeurs et de règles qu’elle ne maîtrise pas.
Mais sa plus grande erreur est de succomber au regard aussi noir que la nuit de lord Thadeus Blackmorgan…
8.Les informations supplémentaires
Les invités d’honneur
Jeux – Exposition
Adrian Smith (uk)
Adrian Smith est né dans le Sussex, comté situé au sud de Londres, en 1969. A sa sortie de l’école, il est directement rentré dans le monde du travail mais en se disantqu’ildoit y avoir dans la vie autre chose à faire, il se met donc à étudier l’art graphique à Goring-by-Sea. Sur le conseil d’un ami, il se décide à envoyer un portfolio de ses dessins à Games Workshop, éditeur du célèbre jeu de rôle Warhammer. Recruté, il deviendra à 20 ans l’un de leurs illustrateurs phare. Ainsi, il travaille dès les premiers jours sur Warhammer et Warhammer 40000. Une année plus tard, Adrian décide de reprendre sa carrière freelance. Il produira durant cette période des couvertures pour Toxic, Wizards of the Coast et Fantasy Forge, pour qui il travaillera quelque temps sur le célèbre jeu Kryomek. Il constate alors, qu’il s’est forgé une solide réputation dans le monde du dessin freelance mais il se remet à rêver de Games Workshop après avoir vu la production des nouveaux artistes du studio. Il demande à y revenir et passe une autre année à travailler en interne. Ses innombrables illustrations de guerriers, de créatures et de décors font de lui un maître incontesté de l’heroïc fantasy. Ses dessins sont publiés dans le monde entier dans des magazines de fantasy tels que White Dwarf, et son dessin continue d’inspirer illustrateurs, dessinateurs de BD et concepteurs de jeux vidéo. Il est aussi l’auteur de la série de bande dessinée BRÖZ, avec Pat Mills au scénario, et de Chronicles of Hate, une saga graphique noir et blanc époustouflante en deux tomes. Une sélection de ses peintures, dessins et sketches produits pour Games Workshop, Black Library et Sabertooth Games est sortie en 2003 sous le titre The Art of Adrian Smith, livre aujourd’hui culte mais quasiment épuisé. En 2008, est sorti Dark Fantasy : l’Univers d’Adrian Smith, album cartonné en couleur en forme de bestiaire du monde des ombres. Plus récemment, il a collaboré sur plusieurs grands jeux de plateau tels que Conan, The Others: 7 sins et a créé tout l’univers visuel de Rising Sun (sortie en 2017) et surtout Blood Rage, où des clans Vikings s’affrontent pour la gloire à l’heure du Ragnarok dans un univers rempli de guerriers, de dieux Vikings et de créatures de légende nordiques (Fenrir, Géants…).
Littérature
Fiona McIntosh (uk)
Née en 1960, Fiona McIntosh a grandi et travaillé en Angleterre jusqu’au jour où elle la quitta pour l’Australie. Elle tomba amoureuse à la fois du pays et d’un homme.Sacarrière dans le tourisme lui a valu de parcourir la planète avant de s’établir comme écrivain à plein-temps. En compagnie de son mari et de ses deux fils, elle partage aujourd’hui sa vie entre la ville d’Adélaïde et la nature sauvage de Tasmanie. Elle avoue enfin une obsession pour le chocolat dont elle recherche les meilleurs produits à travers le monde. Elle accorde actuellement ce titre au macaron au chocolat qu’elle goûta à Paris et dont elle ne s’est pas encore remise…
On lui doit les séries Trinity (Betrayal, Revenge, Destiny), Shapeshifter (Severo’s Intent, Saxten’s Secret, Wolf Lair, King of the Beasts), The Lavender Keeper (The Lavender Keeper, The French Promise). En français, et éditées chez Bragelonne, on lui doit en outre les trilogies Le Dernier Souffle, qui a immédiatement obtenu un succès international (Le Don, Le Sang, L’Âme, ainsi qu’un roman indépendant situé dans le même univers, The Scrivener’s Tale), Percheron (Odalisque, Émissaire, Déesse) ou encore Valisar (L’Exil, Le Tyran, La Colère). À côté de ces séries Fantasy, elle écrit également des livres pour enfants (L’Appel du destin, chez Castelmore), de la romance historique (La Rose et la Tour, chez Milady) et des romans policiers (série Jack Hawksworth) sous le nom de Lauren Crow. Elle nous fait l’honneur de traverser la moitié du globe pour venir dédicacer pour la première fois à Trolls & Légendes.
Musique
Warranta (no)
Originaire de Bergen en Norvège. Fondé en 2003. Un must absolu. Wardruna vous fait remonter le temps et vous replonge il y a 900 ans, dans le quotidien d’une horde Viking. Le groupe a d’ailleurs signé la musique de la série télé du même nom. Des instruments surprenants, hors normes ou carrément dévoyés tels arbres, eau, pierres, torches… Ajoutez à cela un chant en alphabet runique et vous obtenez un dépaysement total et puissant!
Korpiklaani (fi)
Un sauvage mélange de folk et de Heavy métal venu de Finlande. En finnois, Korpiklaani (ndlr, Korpi pour les intimes) signifie : Clan des Contrées Sauvages. Tout un programme comme on les aime! Les thèmes chers au groupe oscillent entre ripailles barbares bien arrosées, les femmes, et les légendes forestières scandinaves,… Que demandez de plus?! Au fil des années, Korpiklaani est devenu une référence inévitable dans le monde de la musique métal. Ce qui leur vaut des tournées internationales allant de Rotterdam à Vancouver…
Bande Dessinée
Christophe Arleston (f)
Christophe Arleston (ou Scotch Arleston)est un scénariste de bande dessinée né à Aix-en-Provence le 14 août 1963. Il fait ses études à l’école de journalisme de Marseille dont il sort diplômé en 1987. Il travaille alors comme journaliste et homme de communication.Il fait ses débuts de scénariste BD pour le magazine Circus (Glénat), puis un premier album, Manie Swing, chez l’éditeur Alpen. Les deux premières séries d’importance d’Arleston, Les Maîtres cartographes et Léo Loden, paraissent en 1992 aux éditions Soleil, bientôt suivies des trois tomes des Feux d’Askell. C’est en 1994 que sort le premier tome de sa série la plus connue : Lanfeust de Troy. Scénariste prolifique, Christophe Arleston multiplie les créations dans des styles différents, de la fantasy au polar, de la science-fiction à l’historique en passant par la saga familialo-cullinaire, avec généralement l’humour comme fil conducteur. Mais ses plus gros succès commerciaux étant dans le domaine de la Fantasy, c’est cette image qui lui est toujours le plus immédiatement associée. En 2011, il signe pour la première fois un scénario de BD de son vrai nom, Christophe Pelinq. Il s’agit du premier album de la série Chimère(s) 1887. Un ouvrage très différent de ses productions habituelles. IEn 2016, les éditions ActuSF publient son premier roman, Le Souper des maléfices, un récit de fantasy teinté d’humour.
Son œuvre compte à ce jour plus de 170 ouvrages.
Pour la 1ère fois, Christophe Arleston vient au festival. Il sera en compagnie d’Adrien Floch.
Jean-Luc Istin (f)
Jean-Luc Istin nait le 1 août 1970 à Pontivy dans le Morbihan. En novembre 1997, sa première publication en tant que scénariste-dessinateur se fait au sein d’un collectif “BD-Clip” édité par Zone créative. Il crée alors 4 pages. En 1999, il s’implique en tant qu’auteur et directeur de collection chez Nucléa. C’est à cette époque qu’il crée Merlin, dessiné par Eric Lambert et Aleph avec DIM-D. Il décide de travailler ensuite pour les éditions Soleil où il reprend la série Merlin, et écrit alors Le Seigneur d’Ombre que dessine Dim-D. Jean-Luc Istin dessine également Les Brumes d’Asceltis sur un scénario de Nicolas Jarry. De son intérêt et de son attachement pour la Bretagne, il a l’idée de créer un collectif de contes bretons qu’il baptise Les Contes du Korrigan. Pour cela il fait appel à son ami Erwan Lebreton qui prend en charge le scénario. Suite au succès de cette série, Jean-Luc Istin va imaginer une collection Soleil Celtic qu’il propose à Mourad Boudjellal. Ce dernier accepte et c’est le début d’une aventure qui regroupe aujourd’hui pas moins de 17 titres. Dans cette collection, il est également parfois auteur comme pour Le Sang du Dragon, Les Contes de l’Ankou, Les Druides, Le Grimoire de Féerie, Merlin, la Quête de l’Épée. En 2013, il crée avec Nicolas Jarry, la série concept Elfes, 5 races, 5 scénaristes, 5 dessinateurs, 1 seul univers. Viennent ensuite les séries Les Maîtres inquisiteurs et Nains.
Jean-Luc Istin est aujourd’hui un auteur à multiples casquettes dont les séries se poursuivent, un artisan du 9ème art. A Trolls & Légendes, il sera accompagné de son épouse Laurence qui est coloriste.
Les expositions
Adrian Smith (uk)
Adrian Smith est l’invité d’honneur de cette 7ème édition de Trolls & Légendes. Il a fait l’immense honneur d’ offrir une somptueuse illustration pour l’affiche du Festival.
Didier Graffet (f)
Né en 1970, cet illustrateur français évolue dans un style médiéval-fantastique et explore tout à la fois la mythologie nordique et la mythologie celte. Il a suivi des études d’illustration traditionnelle et d’histoire de l’art et est diplômé de la prestigieuse école Émile-Cohl. Passionné de fantastique et de fantasy, il a commencé sa carrière par le biais du jeu de rôle et a obtenu sa première commande en 1994 pour la couverture du magazine Casus Belli. Il s’est immédiatement imposé comme le principal peintre de la Fantasy en France, notamment par sa collaboration dès la première heure avec les éditions Bragelonne. Parmi ses très nombreux travaux, on compte l’illustration intégrale de Vingt Mille Lieues sous les mers (pour lequel il a reçu le Grand Prix de l’Imaginaire 2003) et de L’Île mystérieuse, de Jules Verne (aux Éditions Gründ), qui l’ont fait connaître du grand public, ainsi que des couvertures des romans de David Gemmell, qui ont essaimé à travers toute l’Europe. Outre de très belles expositions, comme celle qui s’est tenue dernièrement à la galerie Maghen sur le thème du XIXe siècle et qui a été sublimée par la sortie de Steampunk : De vapeur et d’Acier (Le Pré aux Clercs, avec des textes de Xavier Mauméjean), on lui doit le artbook Mondes & Voyages, paru il y a quelques années chez Bragelonne ainsi que le calendrier 2017 A Song of Ice and Fire (d’après l’œuvre mieux connue en français sous le nom du Trône de Fer de George R. R. Martin).
Loïc Canavaggia (f)
Illustrateur originaire du sud de la France, Loïc Canavaggia a toujours été animé par la passion des arts graphiques. Il s’est longtemps essayé à la bande dessinée pour son plaisir personnel et c’est en 2008 qu’il décida d’exposer son travail dans des fanzines. L’incursion dans le milieu de l’illustration est survenue en 2012 après une participation à un salon du livre à l’occasion d’un festival féérique. L’idée de produire un livre illustré s’est alors imposée à lui comme une évidence. Depuis, Loïc a exposé ses travaux lors de nombreuses manifestations littéraires dont Trolls et Légendes à Mons en 2013 et 2015 ou encore les Rencontres de l’imaginaires à Comper en 2014 au cœur de la forêt légendaire de Brocéliande. C’est dans ces conditions que lui fût présenté Anthelme Hauchecorne avec qui il collabora sur le recueil de nouvelles Punk’s Not Dead paru en 2013 et lauréat du prix Masterton. Il a également illustré le roman de l’écrivain, Le Carnaval Aux Corbeaux sorti en février 2016 aux éditions du Chat Noir.
L’actualité de Loïc s’articule désormais autour de la sortie de leur premier livre illustré, Noces d’Écailles, à paraitre aux éditions Au Bord des Continents… au premier semestre 2017.
Charline (f)
Charline est une illustratrice d’origine normande, passionnée par l’Imaginaire et l’imagerie médiévale. Depuis l’enfance, celle-ci développe un univers graphique étonnant empli de détails et de chimères. Inspirée par la nature, elle privilégie comme technique l’aquarelle qui lui permet de créer des atmosphères particulières et poétiques.
Réalisant diverses collaborations éditoriales en jeunesse, féerie, BD ainsi que CD musicaux, elle travaille également en indépendante avec sa collègue Evelyne dont la plume est un véritable écrin pour le petit peuple magique qui habite les pages de leurs ouvrages.
Chloé C. (F) D’origine française, Chloé C. a fait de la Belgique son port d’attache après 5 ans aux Etats-Unis – l’histoire ne dit pas si c’est la bière belge qui l’a convaincue de rester dans nos contrées après y avoir étudié la bande dessinée pendant 3 ans. Curieuse de (presque tout) dans un monde qui la fascine, elle dessine des comics en espérant qu’ils apportent un peu de rires et d’amour. Son œuvre, quant à elle, se déploie en anglais sur le web – un media vivant et immédiat qui lui convient bien. Go Get a Roomie! , son premier webcomic, suit le quotidien de Roomie, une jeune femme qu’on serait tenté de qualifier d’hippie vivant sa vie le coeur (et parfois souvent le reste aussi) à nu, si cela n’était pas un poil trop réducteur.
Mais c’est pour Headless Bliss, son second webcomic qu’elle anime en parallèle, que nous la retrouvons en expo à Trolls & Légendes. Headless Bliss est un véritable coup de cœur, une aventure onirique pareille à aucune autre, explorant le monde des rêves et de la narration, mêlant émotion et humour, têtes volantes et jambes manquantes, univers fantastiques et règles non-existantes! Même si l’anglais n’est pas votre langue maternelle, on ne saurait vous conseiller assez de plonger dans l’étrange conte qu’est Headless Bliss.
Mathieu Coudray (f)
Mathieu Coudray, né en région parisienne le 27 juin 1980, est un illustrateur français spécialisé dans le domaine des mondes imaginaires. Après des études dans la communication graphique et le webdesign, il quitte l’univers des agences de publicité et se lance à son compte en 2007 pour retourner à ses premières amours : l’illustration et la bande dessinée. En 2009, il publie aux éditions du Riez Les Sombres Romantiques : un recueil rassemblant six de ses illustrations, lesquelles ont inspiré six écrivains. Un an plus tard, deux bds voient le jour : Les Zozios, tome 1 : J’crois qu’on nous observe ! et Sticker la Mouche aux éditions Argemmios.
En parallèle, il réalise un grand nombre de couvertures de livres pour les éditions Rivière Blanche, Presses Du Midi, Le Héron d’Argent, Mythologica, Flammèche… Il s’oriente également vers l’univers des jeux de rôles et illustre pour plusieurs éditeurs dont JDR Éditions, Oh My Game, 404 Éditions… Il devient le directeur artistique de Jeux de Rôles Magazine du n°21 au n°27. Il réalise des visuels pour différents évènements tels que le festival Trolls & Légendes 2013 et 2015, Cidre et Dragons 2015, Les Anthinoises 2016… Et le Salon Fantastique de Paris de 2013 à aujourd’hui dont il est le directeur artistique. Pour Mathieu Coudray, le dessin est plus qu’un métier, c’est une passion dévorante qui lui permet de s’exprimer.
Donjons & Dragons – Bosse & Darasse (b & f)
Les liens entre la BD et le jeu de rôle sont multiples (Donjon de Sfar & Trondheim ou Le Donjon de Naheulbeuk pour n’en citer que deux), mais saviez-vous que l’histoire remonte plus loin? Les moins jeunes, pardon, ceux ayant un peu plus de points d’expérience s’en souviendront certainement: en 1984, un étrange groupe d’aventuriers de salon fait son apparition dans les pages du Journal de Tintin. Habitant un petit village sans histoires, 3 jeunes gens se réunissent en cachette le soir pour vivre des aventures épiques autour des parties de Donjon & Dragon dirigées par le maître de jeu, épicier du village au civil. L’abominable trésor du galion maudit, Le Cratère de la Mort qui vole ou encore La Revanche de Grunda l’Impitoyable sont quelques titres de ces aventures extraordinaires truffées de gags, fleurant bon le second degré dans la plus pure tradition de la BD Franco-Belge.
Mais au delà de la BD, Donjons & Dragons est pour la toute grande majorité du lectorat du Journal de Tintin la toute première rencontre avec l’univers du jeu de rôle, amenant au passage de nouveaux joueurs, en témoignent les lettres de lecteurs adressés au journal demandant plus d’informations sur le jeu en question (le journal ayant d’ailleurs consacré un article au phénomène dans le numéro du n437 – 1984). Ce jeu était bien sûr le légendaire jeu Donjons & Dragons, dont la BD s’inspire ouvertement et a repris le titre. Bosse & Darasse sont d’ailleurs partis de réelles parties de jeu pour leurs scénarios, tout en accentuant la distortion entre les actions épiques des joueurs et leurs vies quotidiennes. Malheureusement, la fin du Journal de Tintin en 1988 signifiera aussi la fin de la série, qui ne paraîtra jamais en album (comme une bonne blague belge, une dernière histoire inédite en français paraîtra en néerlandais dans Kuifje, le pendant néerlandophone du Journal de Tintin, qui survivra quelques temps à son homologue francophone).
C’est donc avec une certaine fierté que Trolls & Légendes vous propose de (re-)découvrir, accompagnés de textes explicatifs par Bosse, des crayonnés et planches originales de cette série qui, bien avant notre festival, faisait déjà le lien entre différents pans de la fantasy. En attendant, qui sait, une possible édition future?
Martine Fassier alias Martinefa (f)
Née en 1974 en région parisienne, Martine Fassier alias “martinefa” débute ses études en A3. Après des études en Métiers d’Art, Arts Appliqués puis Arts graphiques, elle se dirige vers l’illustration. Du dessin à la calligraphie, en passant par le volume et la photographie, martinefa est en quête de nouvelles alliances graphiques, reflétant ses inspirations de toujours. Celles des Symbolistes et Préraphaélites, des mythes ancestraux et contes de sa jeunesse, sans oublier le domaine cinématographique avec Tim Burton, Alex Proyas, Jean-Pierre Jeunet, Charlie Chaplin et Buster Keaton qu’elle vénère.
Des contrats en tant que graphiste/sculpteur au sein d’agences de jeux de rôles, maquettiste ou accessoiriste pour le domaine télévisuel, de directrice artistique dans le secteur de l’édition de revues et périodiques, lui permettent d’acquérir toujours plus de techniques, afin de les appliquer au service de l’illustration et de la sculpture, ses principales motivations.
C’est avec ravissement bien que tardivement, que la peinture à l’huile entre dans sa vie, pour enfin lui permettre peut-être un jour, de s’exprimer picturalement comme elle l’a toujours espéré.
Martinefa partage son temps entre illustrations en presse et éditions, couvertures de livres et commandes pour des particuliers, festivals et autres expositions, tout en mettant en œuvre des projets personnels en édition et en peinture.
Trois ouvrages aux éditions martinefa ont déjà vu le jour, Fabliaux et autres chimères, Ze artbook et le Bestiaire encré.
La plupart de ses travaux personnels et professionnels, réalisés ses vingt dernières années, sont répertoriés sur son site en ligne martinefa.net.
Valérie Frances (b)
Valérie Frances est une artiste belge née en 1975. Ayant en poche un AESI (Agrégation de l’Enseignement Secondaire Inférieur) en Sciences, passionnée de biologie marine et de littérature fantastique anglo-saxonne, elle va très tôt écrire ses propres textes, sombres à souhait. Après avoir publié plusieurs nouvelles dans divers fanzines (en Belgique, en France ou encore au Québec), des articles, des interviews et avoir été rédactrice en chef d’un magazine dans le domaine du Fantastique, elle devient l’une des organisatrices de Trolls&Légendes, le festival de toutes les Fantasy (responsable du pôle Littérature et coordinatrice de l’espace Edition).
Dès 2013, après avoir fait ses armes comme directrice de collection aux Editions Asgard, elle dirige en outre l’anthologie de l’événement. Mais c’est pour sa série de livres pour la jeunesse qu’on la retrouve notamment sur les salons. En 2011, sortaient les premières aventures de « Brûlot le dragonneau ». Depuis lors, sont parues deux suites et un quatrième opus est en cours de réalisation. Enfin, depuis quelques années, elle étend sa palette de compétences artistiques dans le domaine du dessin, de la peinture et du modelage de la terre. Côté illustrations, elle réalise ses œuvres à l’encre, à l’aquarelle ou encore à l’acrylique, qu’elle expose lors de divers festivals, passant du Fan Art à la création de mandalas illustrant des créatures mythologiques ou médiévales et inspirés d’art celtique. Bref, tous ces projets s’ajoutent à la fièvre de sa plume qui continue à explorer le papier de ses larmes d’encre, par le trait ou par les mots, dans des mondes de l’Imaginaire toujours plus nombreux.
Mathilde Marlot (F)
Née en 1980 près de la mer, en Normandie, son tempérament rêveur l’amène à baigner très tôt dans l’univers des contes et du fantastique. Après un passage aux Beaux-Arts et en faculté d’arts plastiques, elle se lance en 2006 dans la création d’images et d’objets liés au merveilleux. Elle enseigne depuis de nombreuses années auprès des enfants les arts appliqués et l’illustration, participe régulièrement à de nombreuses expositions d’artistes et de créateurs autour des contes. Son travail s’inspire de la nature, faune et flore confondues, dont elle nourrit les petites créatures et les ambiances auxquelles elle donne vie.
Son univers créatif est plutôt féerique, onirique et fantastique. Mathilde aime travailler de nombreuses techniques : figurines en papier ou pâtes polymères, peinture, couture, illustration. Elle aime créer l’anecdote, confronter, mélanger ou marier les matières.
Depuis quelques années Mathilde réalise des illustrations pour des ouvrages jeunesse et des jeux de société. Très inspirée par PJ Lynch, Scott Gustafson, Rien Poortvliet ou encore Alan Lee, elle travaille sur des contes et un projet de jeu et de livre chez Ouest France. Mathilde réalise actuellement les illustrations d’un porfolio dont les images seront déclinées en jeu de cartes, elle a de même entamé sa première collaboration avec l’univers du jeu de rôle sur la campagne Man In The Maze chez les XII Singes.
Florent Maudoux (f)
Florent Maudoux est né en 1979. Formé au dessin animé à l’école des Gobelins, il sait restituer la justesse du mouvement et créer une narration fluide. Amateur de films hongkongais, ses influences se situent à la croisée des mangas et de l’art classique italien ou encore des illustrateurs anglais du 19e siècle. Ses expériences d’animateur 3D et story-boarder dans l’univers du jeu vidéo (Eden Games), puis d’illustrateur et concepteur de figurines (Rackham), lui permettent de développer son art de la mise en scène, son sens du détail et sa palette de couleurs.
Avec Freaks’ Squeele (7 tomes), Florent Maudoux a créé un univers BD tellement riche qu’il est tout naturellement sorti de ses cases: non content d’explorer encore le monde de Freak’s Squeele au travers des spin-offs BD – avec Freaks’ Squeele : Funérailles (3 tomes), Rouge (3 tomes) avec Sourya au dessin et Masiko (one shot) – on a pu retrouver les héros étudiants de la F.E.A.H. dans le roman l’Étoile du Soir (co-écrit avec Ophélie Bruneau). Après le roman, le jeu: en mai 2017 sortira Freak’s Squeele, le jeu d’aventure, en démo à Trolls & Légendes dans l’espace jeu.
À la croisée des genres, c’est donc tout naturellement que vous pourrez découvrir le graphisme époustouflant de Florent Maudoux en dans l’expo qui lui sera consacrée.
Laurent Miny (F)
Depuis l’enfance, Laurent Miny se passionne pour le dessin, la peinture et le fantastique. Il dévore très tôt les Conan et Tarzan de Barry Windsor Smith et John Buscema ainsi que toute l’école des comics américains. Puis, c’est le tour de Frazetta, Brian Froud, Alan Lee et Loisel. La confirmation tombe : lui aussi, plus tard, sera illustrateur.
Après un passage de quelques années par le monde de la publicité et du multimédia, Laurent est revenu il y a vingt ans à l’illustration par le biais de plusieurs collaborations avec de nombreux éditeurs comme Pocket, Le Seuil, Bayard, Plon, le Pré aux Clercs, ou encore Milan. Il a collaboré aussi régulièrement à de nombreux magazines, parmi lesquels Science et Vie Junior ou encore les défunts Chaudron Magique et Forêt Mag, où il a eu le bonheur de travailler avec Pierre Dubois.
Il a réalisé les travaux d’illustration du Carnet de route de la Bretagne féerique avec Claudine Glot sous la direction de Jean-Luc Istin, ainsi qu’en 2010 un ouvrage illustré chez Soleil Celtic autour du merveilleux de la forêt, avec Christelle Grandjean à l’écriture ; Le Chant des Brumes, dont une suite est envisagée.
Depuis deux ans, il a opéré un retour sur son domaine préféré ; le jeu de société et plus particulièrement le jeu de rôle. Il vient de terminer un gros travail de créations de personnages pour Heroes and Dragons et Pavillon Noir chez Black Book Editions. De même il a signé plusieurs couvertures pour Skulls and Bones chez les XII Singes. Laurent travaille actuellement sur le développement graphique d’un futur jeu de rôle de Fantasy en collaboration avec Sebastien Célerin.
Laurent enseigne depuis plus de treize ans à l’École Pivaut à Nantes, l’illustration et le concept art à des petits jeunes prometteurs.
Loïc Muzy (f)
Loïc Muzy aka Green Cat est un graphiste qui a illustré OrcQuest (le jeu de carte), Eden (le jeu de figurines), les jeux de société dont les Lames du Cardinal, Mythic Battle (les deux versions dont celle avec les figurines), Sang Rancune (Iello), mais aussi les jeux de rôles suivants : Bimbo, l’Appel de Cthulhu chez Sans-Détour…
Naragam – Mike (f)
Après avoir obtenu une licence à la Faculté d’Arts Plastiques de Rennes et après un petit passage par le Capes d‘Arts Plastiques, Mike, à son retour sur Brest, rencontre l’équipe du fanzine brestois Le Violon Dingue et y publie ses premières planches BD. Parallèlement à son activité de dessinateur BD, Mike travaille aussi dans l’illustration, ce qui est pour lui l’occasion de développer un univers teinté de Fantasy/Dark Fantasy. Il publiera ainsi Bestiaire des Trois Terres et La Nuit chez AK éditions. Il participe également à plusieurs numéro de Khimaira magazine. En mars 2007, poussé par ses amis Obion et Gally, Mike se lance dans la blogosphère BD avec la création de son blog dans lequel, il raconte et mêle, par l’intermédiaire de son alter ego Mikesquad, anecdotes réelles et romancées tout en proposant des recherches et illustrations de ses futurs projets BD. Ce blog retient l’attention de Le Galli et de David Chauvel qui proposent à Mike de faire un essai sur un projet BD documentaire, La Guerre des OGM, pour les éditions Delcourt. Le projet est finalement signé et l’album est publié à la rentrée 2009. La Guerre des OGM à peine terminé, Mike se remet à écrire et à dessiner pour la série Death Squad dans le but d’en faire un album BD. Le projet, signé aux éditions Delcourt, est publié en mars 2011 et reçoit un très bon accueil. Début 2013, une de ces illustrations est publiée dans le tome 13 de la série Hellboy ( Delcourt ). Mike travaille actuellement sur la série Naragam, prévue en trois tomes, aux éditions Delcourt, avec Michaël Le Galli au scénario. Le 1er tome, La Quête de Geön est paru en avril 2015, le tome 2 L’Appel des Primordiaux en août 2016.
Alice Picard (f)
Passionnée d’animation, Alice a étudié à l’école des Gobelins. A l’issue de sa formation, elle entre aux studios Disney et travaille pendant un an et demi comme intervalliste sur le film Tarzan. Par la suite, elle intègre la société éditrice de jeux vidéo Kalisto pour faire de l’animation 3D. En 2002, elle rencontre le scénariste Éric Corbeyran qui, après avoir vu ses dessins, lui propose d’animer la série Weëna, dont le premier tome sort en 2003 et qui compte aujourd’hui huit volumes. Toujours avec ce même scénariste, Alice dessine la série Okhéania qui comporte 5 tomes.
Le spin off de Weëna, La Légende de Noor, a vu le jour en 2015 et a été fort bien accueilli par les libraires et les amateurs du 9ème Art.
Alain Poncelet (b)
Alain Poncelet adore décortiquer le côté obscur de la nature humaine, peindre la noirceur, plonger dans les cauchemars, raconter des histoires que personne n’a envie d’entendre, tremper ses pinceaux dans le métal lourd et faire surgir les angoisses les plus sombres.
Dessinateur freelance, il publie depuis une dizaine d’années des recueils d’illustrations et bandes dessinées peuplées de créatures légendaires et ensorcelées.
Pour Trolls & Légendes, il a décliné cette année le petit Trolls de Cuvée, mascotte du festival, dans de nombreuses versions “viking”.
Pascal Quidault (f)
Illustrateur et concept artist depuis plus de 15 ans, Pascal Quidault a d’abord fait ses armes dans le petit monde du jeux de rôles en travaillant sur des licences telles que Warhammer, Elric ou Runequest. Par la suite, c’est l’édition littéraire fantastique qui lui a permis une meilleurs visibilité grâce à de nombreuses couvertures de romans pour des éditeurs français comme Gallimard, Hachette ou encore Flammarion.
Mais c’est depuis quelques années que son travail principal s’est tourné vers le monde ludique. Celui du jeu de société moderne, notamment avec l’éditeur Space Cowboys (Splendor, Hit Z Road, Elysium, Sherlock Holmes, etc.) mais aussi celui du jeu vidéo (Applibot, Morphiks, Tokkun Studio) et ses applications numériques, ainsi que la presse scientifique.
Actuellement, Pascal Quidault est en activité sur de nombreux projets à venir: Cities of Splendor (Space Cowboys), Mythic Battles (Mythic Games), Legends of Luma (Ludonautes) et encore beaucoup d’autres dossiers actuellement “secrets”.
Valérie Renier (b)
Passionnée d’histoires aventureuses et d’univers fantastiques, Valérie trace les courbes et façonne les traits de personnages féeriques depuis son plus jeune âge. S’étant dessiné un chemin à travers l’illustration, le concept art et l’animation, elle vient vous présenter ses livres et dernières créatures.
Olivier Trocklé (f)
Olivier Trocklé, alias El Théo est un (info)graphiste et dessinateur de BD. Amateur de jeux avec des figurines (de Heroquest à Confrontation) et joueur de jeu de rôle averti il a travaillé sur les gammes d’Extraordinary Worlds Studio, les 12 Singes sur Solipcity, les Editions Sans-Détour sur l’Appel de Cthulhu, BP4P sur Wushu et Pulp Fever sur Luchadores.
Jean-Noël Vulcain (F)
Verrier à la flamme
La première vocation artistique de Jean-Noël Vulcain a été le dessin avec à la clé un diplôme de l’école Emile Cohl obtenu en 2009. Deux ans après, il découvre le travail du verre à la flamme. Fasciné par les possibilités qu’offre ce procédé, Vulcain a voulu se perfectionner en allant à la rencontre d’autres verriers. Il a ainsi fait des stages auprès d’artisans français et étrangers reconnus dans leur métier parfois même mondialement. Ces rencontres lui ont permis de découvrir différentes techniques, comme la réalisation de perles d’art ou encore le verre soufflé au chalumeau.
Jean-Noël travaille essentiellement le verre borosilicate, qui lui permet d’avoir une finesse dans les détails proche d’une sculpture en terre ou en cire. Il travaille également le verre sodocalcique pour de plus petits sujets ou pour la réalisation de perles d’art.
Sa formation artistique, axée sur des techniques académiques, l’a naturellement amené à la réalisation de sculptures figuratives. Plus jeune, il fut marqué par le travail d’artistes comme John Howe, Olivier Ledroit, J-B Monge ou encore James Christensen, ce qui explique qu’une partie de son travail est influencée par l’univers du fantastique. Une autre partie trouve ses influences du coté des peintres et sculpteurs de la fin du XIXème siècle et du début du XXème siècle. Il aime ainsi se plonger dans l’univers animalier de Rembrandt Bugatti ou dans l’expression des corps de Gustav Vigeland et Auguste Rodin ; admirer les femmes alanguies des peintures de William Bouguereau, les croquis fripons de Toulouse Lautrec ; voyager de l’autre coté de l’atlantique avec Edward Hopper ou J.C. Leyendecker et de temps à autre revenir au temps présent et admirer le travail de ses contemporains tel Lorenzo Mattotti, Karl Martens, Richard MacDonald, Christophe Charbonnel…
Animations
De nombreuses animations pour les enfants sont organisés. Comme une chasse aux œufs, des concours de costumes, d’écritures,…
Cinéma
Clive Standen (uk)
Qui de mieux qu’un authentique viking comme invité d’honneur de l’édition 2017 de Trolls & Légendes, placée sous le signe des Légendes du Nord ?
CLIVE STANDEN sera en effet des nôtres en terres montoises !
Avant de devenir le frère de Ragnar, Clive a appris très jeune à se battre à l’épée et à effectuer diverses formes de combat.
Il embrasse ensuite une carrière d’acteur grâce aux rôles d’Archer dans la série Robin des Bois, de Gauvin dans la série Camelot, et du soldat Harris dans la mythique série anglaise Doctor Who.
C’est Vikings, la série de History Channel, qui le propulse véritablement au rang de star. Il y interprète avec brio Rollo, le valeureux frère de Ragnar, qui pâtit pourtant de l’ombre de son aîné.
En 2015, on retrouve Clive en compagnie de noms prestigieux au générique du film Everest. Mais dès mars 2017, c’est lui qui sera la tête d’affiche de la série Taken, très attendue. Cette préquelle à la trilogie des célèbres films verra Clive endosser le rôle de Bryan Mills, joué dans sa version plus âgée par Liam Neeson.
À ses talents d’acteur, Clive ajoute un grand cœur : c’est en effet l’un des porte-paroles de l’association Sea Shepherd Conservation Society, qui veille à la préservation de la vie marine.
Matthew Lewis
MATTHEW LEWIS a été propulsé au rang de star internationale dans son enfance, lorsqu’il a joué le rôle de Neville Londubat dans la série de films Harry Potter tirés des best-sellers de J.K. Rowling. Flanqué de son fidèle crapaud, l’apprenti sorcier au sang pur a conquis le cœur de millions de fans à travers le monde, grâce à son héroïsme et sa fidélité à ses amis de l’Armée de Dumbledore.
Matt ne s’est cependant pas arrêté à Harry Potter : il a ensuite continué à se faire une place dans des films à succès, comme le bouleversant Avant toi, dans lequel il prête ses traits à Patrick, l’ex-compagnon de Louisa.
Il sera bientôt à l’affiche de deux films prometteurs, le thriller Terminal et le drame Playing Mercy, dans lequel il tient le premier rôle en compagnie de Charlotte Riley.
Lorsqu’il ne tourne pas, Matt se passionne pour le sport ou met sa célébrité et son temps au service de nobles causes, en créant par exemple un t-shirt à son effigie et au message plein d’espoir, pour récolter des fonds pour les enfants malades.
Nous sommes particulièrement heureux d’accueillir Matt en Belgique pour la première fois lors de l’édition 2017 de Trolls & Légendes !
Alexander Vlahos (uk)
Alexander a fait ses armes dans le domaine de la fantasy en jouant le rôle de Mordred, la Némésis du roi Arthur, dans la série britannique Merlin. Ce rôle mémorable, aux côtés de Bradley James et Colin Morgan, l’a fait connaître tant des fans de fantasy que du grand public.
Il est depuis devenu la voix de Dorian Gray et bientôt celle de Hamlet pour les audio dramas de Big Finish.
Il a récemment crevé l’écran avec son interprétation magistrale de “Monsieur” le duc Philippe d’Orléans, dans la série originale de Canal+,Versailles. Après le succès international de la saison 1 (diffusée en Belgique sur La Une), la saison 2 sera diffusée sur Canal+ au printemps prochain, juste avant Trolls & Légendes. La saison 3, qui vient d’être annoncée, sera en plein tournage, mais Alexander fera néanmoins le déplacement jusqu’à Mons pour rencontrer le public de Trolls & Légendes.
Je pense que je vais m’en arrêter là.
Un bref résumé: ce festival est simplement inoubliable, j’ai rencontré pleins de maisons d’éditions que je connaissais déjà(lune-écarlate, séma éditions, l’ivre-book, livr’S édition, éditions j’ai lu, éditions underground) et d’autres pas( chat noir, héron d’argent, rebelle éditions, tolkiendil). Je me suis vraiment éclatée, j’ai discuté avec des auteures adorables :)
Donc je dis, à dans 2 ans!
Et vous, qu’en pensez-vous? Aimeriez-vous venir?
Je vous dit à demain,
Alexia
Un jour au festival Trolls et légendes Hello mes lous, Je suis heureuse de vous retrouver pour vous présenter "un jour au festival Trolls et légendes".
#alexandervlahos#éditionsjailu#éditionslunes-écarlates#éditionsmilady#éditionsunderground#clivestanden#festivallittéraire#FionaMacIntosh#GeorgiaCaldera#matthewlewis#Mons2017#sémaéditions#trollsetlégendes#trollsetlégendes2017#éditionslivr&039;S#Livre-bookédition
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Hello mes lous,
Je suis heureuse de vous retrouver pour vous présenter “un jour au festival Trolls et légendes”.
Pour retrouver les autres articles “1 jour à…”: Un jour au salon du livre de Bruxelles et Un jour au carnaval de Binche.
Dernier article: Chronique de Corsaire au nom du roi de Delman auteur.
Durant 3 jours, à Mons s’est tenu le festival littéraire Trolls et légendes. Mais attention, ce n’est pas un festival ordinaire car il regroupe tous les aspects de la Fantasy, de la littérature au jeu en passant par la musique, la bande dessinée, l’illustration et le cinéma. Il se tient tous les 2 ans au lotto Mons expo(près du centre commercial les Grands prés) et est organisé par l’ASBL Trolls&Légendes composée exclusivement de bénévoles.
Cette année, Trolls & Légendes vous conte des Légendes Nordiques et vous emmène à Asgard, le centre du monde, sous la protection de valeureux vikings. Thor a frappé un grand coup de son marteau et l’arbre magique de la vie a jailli. A l’ombre du frêne Yggdrasil se déploie un festival féerique, peuplé de créatures fantastiques. Levez la corne, dégoisez vos scaldes et trinquez à la santé du Valhalla! A Pâques, le temps d’un week-end, le paradis est sur terre…
Pour ma part, j’ai été le samedi et c’était une expérience incroyable!
Je vais vous expliquer ça en détails.
Les préventes
L’espace-lieu
L’ambiance
Les tickets boissons
La bouffe
Les prix des livres
Les livres achetés
Les informations supplémentaires
1.Les préventes
C’était très bien organisés sur le site pour acheter les préventes dessus. J’ai payé 12€ sans concerts, c’était 28€ avec concerts. Grâce à ça, j’ai pu éviter les files d’une heure. Donc si vous voulez y aller, penser à acheter en ligne, ça facilite la vie!
2.L’espace
Juste énorme! Il y avait environ 2 grandes salles principales(exposants, bouffe, boissons, jeux), 2 plus petites salles(expositions, animations), 1 hall où se trouvaient les décors les plus époustouflants, 1 mini-hall qui menait aux 2 grandes salles où se trouvait une magnifique exposition de dessins, 1 espace extérieur où se trouvaient d’autres exposants. La signalétique était facile et on ne pouvait pas se perdre.
3.L’ambiance
Elle était totalement déjantée. Ce qui fait, le succès de ce festival, c’est l’originalité des costumes du public ainsi que des exposants. Je vous montre quelques photos que j’ai prise là-bas :)
4.Les tickets boissons
Comme pour la nourriture, un jeton coûtait 1€ et pour une boisson comme du coca par exemple, c’était 2 jetons avec 1 jeton supplémentaire pour la caution la première fois. L’eau était gratuite. Et à la fin, quand vous sortez, vous récupérez 1€ pour la caution.
5.La bouffe
Ma pote et moi, sommes allés dans le centre commercial “les grands prés”, au Ikea pour manger un repas complet, bon marché. Mais comme expliqué dans les boissons, vous pouvez acheter sur le site, des jetons.
6.Les prix des livres
Les prix étaient relativement bon marchés(de 5 à 18€ sauf trilogie qui revenait à 45€).
7.Les livres achetés
Je me suis laissée tentée par 3 romans.
Le premier est odalisque de Fiona McIntosh aux éditions Bragelonne-Milady. J’ai rencontré l’auteure et elle est juste super adorable :) On a parlé tranquillement en anglais et c’était vraiment top!
J’ai d’ailleurs eu une dédicace du livre ainsi qu’une photo :)
Résumé: Le Zar de Percheron vient de mourir. Le jeune Boaz, fils de sa favorite, lui succède sur le trône. Ambitieuse et calculatrice, sa mère fait éliminer tous ses rivaux et entreprend de constituer un nouveau harem. Ana, lodalisque, découvre un monde où elle ne manquera de rien, sauf de liberté. Elle tente de fuir avec ses seuls amis, Lazar, lÉperon de Percheron, un homme aussi secret que séduisant, et Pez, un nain apparemment fou. Cette évasion entraîne des conséquences dramatiques…
Le deuxième est Actefacts tome 1de F.H Eiffel aux éditions Underground, est une trilogie incroyable, que ma copine Camille et moi, nous sommes partagés le prix de 45€. Elle a gardé les 2 derniers tomes tandis que moi, j’ai pris le premier.
Résumé: Dans les sombres cachots de l’inquisition, les sorcières de Salem sont en proie au doute et à la terreur. Les juges sont là, prêts à leur arracher leurs secrets par le feu et la souffrance.
Venus du présent, deux jeunes garçons vont se lancer dans une folle course contre la montre. Ils devront prendre garde de ne pas altérer la ligne temporelle. Entraînés dans la lutte sans merci que se livrent deux forces qui les dépassent, ils vont être confrontés aux mystères des origines.
Premier tome d’une saga qui vous transportera bien au-delà de l’espace et du temps, offrant une vision nouvelle de la magie et de la sorcellerie, au cœur de la dualité Satan-Lucifer.
Le troisième est Dentelle&Nécromancie, Victorian Fantasy tome 1 de Georgia Caldera aux éditions J’ai lu.
Résumé: D’aussi loin que remontent ses souvenirs, Andraste, issue d’une longue lignée de sorcières, vit dissimulée aux yeux du monde. Son univers restreint ressemble à s’y méprendre à une cage dorée, elle qui ne rêve que de s’envoler. C’est alors qu’une invitation de la main même de la Reine vient bousculer les plans de sa grand-mère qui dirige la famille d’une main de fer. Et une requête royale ne se refuse pas… à moins de souhaiter perdre la tête.
Sa découverte du monde commence, à mille lieues de ce qu’elle imaginait. La cour est pleine de dangers, de rumeurs et de règles qu’elle ne maîtrise pas.
Mais sa plus grande erreur est de succomber au regard aussi noir que la nuit de lord Thadeus Blackmorgan…
8.Les informations supplémentaires
Les invités d’honneur
Jeux – Exposition
Adrian Smith (uk)
Adrian Smith est né dans le Sussex, comté situé au sud de Londres, en 1969. A sa sortie de l’école, il est directement rentré dans le monde du travail mais en se disantqu’ildoit y avoir dans la vie autre chose à faire, il se met donc à étudier l’art graphique à Goring-by-Sea. Sur le conseil d’un ami, il se décide à envoyer un portfolio de ses dessins à Games Workshop, éditeur du célèbre jeu de rôle Warhammer. Recruté, il deviendra à 20 ans l’un de leurs illustrateurs phare. Ainsi, il travaille dès les premiers jours sur Warhammer et Warhammer 40000. Une année plus tard, Adrian décide de reprendre sa carrière freelance. Il produira durant cette période des couvertures pour Toxic, Wizards of the Coast et Fantasy Forge, pour qui il travaillera quelque temps sur le célèbre jeu Kryomek. Il constate alors, qu’il s’est forgé une solide réputation dans le monde du dessin freelance mais il se remet à rêver de Games Workshop après avoir vu la production des nouveaux artistes du studio. Il demande à y revenir et passe une autre année à travailler en interne. Ses innombrables illustrations de guerriers, de créatures et de décors font de lui un maître incontesté de l’heroïc fantasy. Ses dessins sont publiés dans le monde entier dans des magazines de fantasy tels que White Dwarf, et son dessin continue d’inspirer illustrateurs, dessinateurs de BD et concepteurs de jeux vidéo. Il est aussi l’auteur de la série de bande dessinée BRÖZ, avec Pat Mills au scénario, et de Chronicles of Hate, une saga graphique noir et blanc époustouflante en deux tomes. Une sélection de ses peintures, dessins et sketches produits pour Games Workshop, Black Library et Sabertooth Games est sortie en 2003 sous le titre The Art of Adrian Smith, livre aujourd’hui culte mais quasiment épuisé. En 2008, est sorti Dark Fantasy : l’Univers d’Adrian Smith, album cartonné en couleur en forme de bestiaire du monde des ombres. Plus récemment, il a collaboré sur plusieurs grands jeux de plateau tels que Conan, The Others: 7 sins et a créé tout l’univers visuel de Rising Sun (sortie en 2017) et surtout Blood Rage, où des clans Vikings s’affrontent pour la gloire à l’heure du Ragnarok dans un univers rempli de guerriers, de dieux Vikings et de créatures de légende nordiques (Fenrir, Géants…).
Littérature
Fiona McIntosh (uk)
Née en 1960, Fiona McIntosh a grandi et travaillé en Angleterre jusqu’au jour où elle la quitta pour l’Australie. Elle tomba amoureuse à la fois du pays et d’un homme.Sacarrière dans le tourisme lui a valu de parcourir la planète avant de s’établir comme écrivain à plein-temps. En compagnie de son mari et de ses deux fils, elle partage aujourd’hui sa vie entre la ville d’Adélaïde et la nature sauvage de Tasmanie. Elle avoue enfin une obsession pour le chocolat dont elle recherche les meilleurs produits à travers le monde. Elle accorde actuellement ce titre au macaron au chocolat qu’elle goûta à Paris et dont elle ne s’est pas encore remise…
On lui doit les séries Trinity (Betrayal, Revenge, Destiny), Shapeshifter (Severo’s Intent, Saxten’s Secret, Wolf Lair, King of the Beasts), The Lavender Keeper (The Lavender Keeper, The French Promise). En français, et éditées chez Bragelonne, on lui doit en outre les trilogies Le Dernier Souffle, qui a immédiatement obtenu un succès international (Le Don, Le Sang, L’Âme, ainsi qu’un roman indépendant situé dans le même univers, The Scrivener’s Tale), Percheron (Odalisque, Émissaire, Déesse) ou encore Valisar (L’Exil, Le Tyran, La Colère). À côté de ces séries Fantasy, elle écrit également des livres pour enfants (L’Appel du destin, chez Castelmore), de la romance historique (La Rose et la Tour, chez Milady) et des romans policiers (série Jack Hawksworth) sous le nom de Lauren Crow. Elle nous fait l’honneur de traverser la moitié du globe pour venir dédicacer pour la première fois à Trolls & Légendes.
Musique
Warranta (no)
Originaire de Bergen en Norvège. Fondé en 2003. Un must absolu. Wardruna vous fait remonter le temps et vous replonge il y a 900 ans, dans le quotidien d’une horde Viking. Le groupe a d’ailleurs signé la musique de la série télé du même nom. Des instruments surprenants, hors normes ou carrément dévoyés tels arbres, eau, pierres, torches… Ajoutez à cela un chant en alphabet runique et vous obtenez un dépaysement total et puissant!
Korpiklaani (fi)
Un sauvage mélange de folk et de Heavy métal venu de Finlande. En finnois, Korpiklaani (ndlr, Korpi pour les intimes) signifie : Clan des Contrées Sauvages. Tout un programme comme on les aime! Les thèmes chers au groupe oscillent entre ripailles barbares bien arrosées, les femmes, et les légendes forestières scandinaves,… Que demandez de plus?! Au fil des années, Korpiklaani est devenu une référence inévitable dans le monde de la musique métal. Ce qui leur vaut des tournées internationales allant de Rotterdam à Vancouver…
Bande Dessinée
Christophe Arleston (f)
Christophe Arleston (ou Scotch Arleston)est un scénariste de bande dessinée né à Aix-en-Provence le 14 août 1963. Il fait ses études à l’école de journalisme de Marseille dont il sort diplômé en 1987. Il travaille alors comme journaliste et homme de communication.Il fait ses débuts de scénariste BD pour le magazine Circus (Glénat), puis un premier album, Manie Swing, chez l’éditeur Alpen. Les deux premières séries d’importance d’Arleston, Les Maîtres cartographes et Léo Loden, paraissent en 1992 aux éditions Soleil, bientôt suivies des trois tomes des Feux d’Askell. C’est en 1994 que sort le premier tome de sa série la plus connue : Lanfeust de Troy. Scénariste prolifique, Christophe Arleston multiplie les créations dans des styles différents, de la fantasy au polar, de la science-fiction à l’historique en passant par la saga familialo-cullinaire, avec généralement l’humour comme fil conducteur. Mais ses plus gros succès commerciaux étant dans le domaine de la Fantasy, c’est cette image qui lui est toujours le plus immédiatement associée. En 2011, il signe pour la première fois un scénario de BD de son vrai nom, Christophe Pelinq. Il s’agit du premier album de la série Chimère(s) 1887. Un ouvrage très différent de ses productions habituelles. IEn 2016, les éditions ActuSF publient son premier roman, Le Souper des maléfices, un récit de fantasy teinté d’humour.
Son œuvre compte à ce jour plus de 170 ouvrages.
Pour la 1ère fois, Christophe Arleston vient au festival. Il sera en compagnie d’Adrien Floch.
Jean-Luc Istin (f)
Jean-Luc Istin nait le 1 août 1970 à Pontivy dans le Morbihan. En novembre 1997, sa première publication en tant que scénariste-dessinateur se fait au sein d’un collectif “BD-Clip” édité par Zone créative. Il crée alors 4 pages. En 1999, il s’implique en tant qu’auteur et directeur de collection chez Nucléa. C’est à cette époque qu’il crée Merlin, dessiné par Eric Lambert et Aleph avec DIM-D. Il décide de travailler ensuite pour les éditions Soleil où il reprend la série Merlin, et écrit alors Le Seigneur d’Ombre que dessine Dim-D. Jean-Luc Istin dessine également Les Brumes d’Asceltis sur un scénario de Nicolas Jarry. De son intérêt et de son attachement pour la Bretagne, il a l’idée de créer un collectif de contes bretons qu’il baptise Les Contes du Korrigan. Pour cela il fait appel à son ami Erwan Lebreton qui prend en charge le scénario. Suite au succès de cette série, Jean-Luc Istin va imaginer une collection Soleil Celtic qu’il propose à Mourad Boudjellal. Ce dernier accepte et c’est le début d’une aventure qui regroupe aujourd’hui pas moins de 17 titres. Dans cette collection, il est également parfois auteur comme pour Le Sang du Dragon, Les Contes de l’Ankou, Les Druides, Le Grimoire de Féerie, Merlin, la Quête de l’Épée. En 2013, il crée avec Nicolas Jarry, la série concept Elfes, 5 races, 5 scénaristes, 5 dessinateurs, 1 seul univers. Viennent ensuite les séries Les Maîtres inquisiteurs et Nains.
Jean-Luc Istin est aujourd’hui un auteur à multiples casquettes dont les séries se poursuivent, un artisan du 9ème art. A Trolls & Légendes, il sera accompagné de son épouse Laurence qui est coloriste.
Les expositions
Adrian Smith (uk)
Adrian Smith est l’invité d’honneur de cette 7ème édition de Trolls & Légendes. Il a fait l’immense honneur d’ offrir une somptueuse illustration pour l’affiche du Festival.
Didier Graffet (f)
Né en 1970, cet illustrateur français évolue dans un style médiéval-fantastique et explore tout à la fois la mythologie nordique et la mythologie celte. Il a suivi des études d’illustration traditionnelle et d’histoire de l’art et est diplômé de la prestigieuse école Émile-Cohl. Passionné de fantastique et de fantasy, il a commencé sa carrière par le biais du jeu de rôle et a obtenu sa première commande en 1994 pour la couverture du magazine Casus Belli. Il s’est immédiatement imposé comme le principal peintre de la Fantasy en France, notamment par sa collaboration dès la première heure avec les éditions Bragelonne. Parmi ses très nombreux travaux, on compte l’illustration intégrale de Vingt Mille Lieues sous les mers (pour lequel il a reçu le Grand Prix de l’Imaginaire 2003) et de L’Île mystérieuse, de Jules Verne (aux Éditions Gründ), qui l’ont fait connaître du grand public, ainsi que des couvertures des romans de David Gemmell, qui ont essaimé à travers toute l’Europe. Outre de très belles expositions, comme celle qui s’est tenue dernièrement à la galerie Maghen sur le thème du XIXe siècle et qui a été sublimée par la sortie de Steampunk : De vapeur et d’Acier (Le Pré aux Clercs, avec des textes de Xavier Mauméjean), on lui doit le artbook Mondes & Voyages, paru il y a quelques années chez Bragelonne ainsi que le calendrier 2017 A Song of Ice and Fire (d’après l’œuvre mieux connue en français sous le nom du Trône de Fer de George R. R. Martin).
Loïc Canavaggia (f)
Illustrateur originaire du sud de la France, Loïc Canavaggia a toujours été animé par la passion des arts graphiques. Il s’est longtemps essayé à la bande dessinée pour son plaisir personnel et c’est en 2008 qu’il décida d’exposer son travail dans des fanzines. L’incursion dans le milieu de l’illustration est survenue en 2012 après une participation à un salon du livre à l’occasion d’un festival féérique. L’idée de produire un livre illustré s’est alors imposée à lui comme une évidence. Depuis, Loïc a exposé ses travaux lors de nombreuses manifestations littéraires dont Trolls et Légendes à Mons en 2013 et 2015 ou encore les Rencontres de l’imaginaires à Comper en 2014 au cœur de la forêt légendaire de Brocéliande. C’est dans ces conditions que lui fût présenté Anthelme Hauchecorne avec qui il collabora sur le recueil de nouvelles Punk’s Not Dead paru en 2013 et lauréat du prix Masterton. Il a également illustré le roman de l’écrivain, Le Carnaval Aux Corbeaux sorti en février 2016 aux éditions du Chat Noir.
L’actualité de Loïc s’articule désormais autour de la sortie de leur premier livre illustré, Noces d’Écailles, à paraitre aux éditions Au Bord des Continents… au premier semestre 2017.
Charline (f)
Charline est une illustratrice d’origine normande, passionnée par l’Imaginaire et l’imagerie médiévale. Depuis l’enfance, celle-ci développe un univers graphique étonnant empli de détails et de chimères. Inspirée par la nature, elle privilégie comme technique l’aquarelle qui lui permet de créer des atmosphères particulières et poétiques.
Réalisant diverses collaborations éditoriales en jeunesse, féerie, BD ainsi que CD musicaux, elle travaille également en indépendante avec sa collègue Evelyne dont la plume est un véritable écrin pour le petit peuple magique qui habite les pages de leurs ouvrages.
Chloé C. (F) D’origine française, Chloé C. a fait de la Belgique son port d’attache après 5 ans aux Etats-Unis – l’histoire ne dit pas si c’est la bière belge qui l’a convaincue de rester dans nos contrées après y avoir étudié la bande dessinée pendant 3 ans. Curieuse de (presque tout) dans un monde qui la fascine, elle dessine des comics en espérant qu’ils apportent un peu de rires et d’amour. Son œuvre, quant à elle, se déploie en anglais sur le web – un media vivant et immédiat qui lui convient bien. Go Get a Roomie! , son premier webcomic, suit le quotidien de Roomie, une jeune femme qu’on serait tenté de qualifier d’hippie vivant sa vie le coeur (et parfois souvent le reste aussi) à nu, si cela n’était pas un poil trop réducteur.
Mais c’est pour Headless Bliss, son second webcomic qu’elle anime en parallèle, que nous la retrouvons en expo à Trolls & Légendes. Headless Bliss est un véritable coup de cœur, une aventure onirique pareille à aucune autre, explorant le monde des rêves et de la narration, mêlant émotion et humour, têtes volantes et jambes manquantes, univers fantastiques et règles non-existantes! Même si l’anglais n’est pas votre langue maternelle, on ne saurait vous conseiller assez de plonger dans l’étrange conte qu’est Headless Bliss.
Mathieu Coudray (f)
Mathieu Coudray, né en région parisienne le 27 juin 1980, est un illustrateur français spécialisé dans le domaine des mondes imaginaires. Après des études dans la communication graphique et le webdesign, il quitte l’univers des agences de publicité et se lance à son compte en 2007 pour retourner à ses premières amours : l’illustration et la bande dessinée. En 2009, il publie aux éditions du Riez Les Sombres Romantiques : un recueil rassemblant six de ses illustrations, lesquelles ont inspiré six écrivains. Un an plus tard, deux bds voient le jour : Les Zozios, tome 1 : J’crois qu’on nous observe ! et Sticker la Mouche aux éditions Argemmios.
En parallèle, il réalise un grand nombre de couvertures de livres pour les éditions Rivière Blanche, Presses Du Midi, Le Héron d’Argent, Mythologica, Flammèche… Il s’oriente également vers l’univers des jeux de rôles et illustre pour plusieurs éditeurs dont JDR Éditions, Oh My Game, 404 Éditions… Il devient le directeur artistique de Jeux de Rôles Magazine du n°21 au n°27. Il réalise des visuels pour différents évènements tels que le festival Trolls & Légendes 2013 et 2015, Cidre et Dragons 2015, Les Anthinoises 2016… Et le Salon Fantastique de Paris de 2013 à aujourd’hui dont il est le directeur artistique. Pour Mathieu Coudray, le dessin est plus qu’un métier, c’est une passion dévorante qui lui permet de s’exprimer.
Donjons & Dragons – Bosse & Darasse (b & f)
Les liens entre la BD et le jeu de rôle sont multiples (Donjon de Sfar & Trondheim ou Le Donjon de Naheulbeuk pour n’en citer que deux), mais saviez-vous que l’histoire remonte plus loin? Les moins jeunes, pardon, ceux ayant un peu plus de points d’expérience s’en souviendront certainement: en 1984, un étrange groupe d’aventuriers de salon fait son apparition dans les pages du Journal de Tintin. Habitant un petit village sans histoires, 3 jeunes gens se réunissent en cachette le soir pour vivre des aventures épiques autour des parties de Donjon & Dragon dirigées par le maître de jeu, épicier du village au civil. L’abominable trésor du galion maudit, Le Cratère de la Mort qui vole ou encore La Revanche de Grunda l’Impitoyable sont quelques titres de ces aventures extraordinaires truffées de gags, fleurant bon le second degré dans la plus pure tradition de la BD Franco-Belge.
Mais au delà de la BD, Donjons & Dragons est pour la toute grande majorité du lectorat du Journal de Tintin la toute première rencontre avec l’univers du jeu de rôle, amenant au passage de nouveaux joueurs, en témoignent les lettres de lecteurs adressés au journal demandant plus d’informations sur le jeu en question (le journal ayant d’ailleurs consacré un article au phénomène dans le numéro du n437 – 1984). Ce jeu était bien sûr le légendaire jeu Donjons & Dragons, dont la BD s’inspire ouvertement et a repris le titre. Bosse & Darasse sont d’ailleurs partis de réelles parties de jeu pour leurs scénarios, tout en accentuant la distortion entre les actions épiques des joueurs et leurs vies quotidiennes. Malheureusement, la fin du Journal de Tintin en 1988 signifiera aussi la fin de la série, qui ne paraîtra jamais en album (comme une bonne blague belge, une dernière histoire inédite en français paraîtra en néerlandais dans Kuifje, le pendant néerlandophone du Journal de Tintin, qui survivra quelques temps à son homologue francophone).
C’est donc avec une certaine fierté que Trolls & Légendes vous propose de (re-)découvrir, accompagnés de textes explicatifs par Bosse, des crayonnés et planches originales de cette série qui, bien avant notre festival, faisait déjà le lien entre différents pans de la fantasy. En attendant, qui sait, une possible édition future?
Martine Fassier alias Martinefa (f)
Née en 1974 en région parisienne, Martine Fassier alias “martinefa” débute ses études en A3. Après des études en Métiers d’Art, Arts Appliqués puis Arts graphiques, elle se dirige vers l’illustration. Du dessin à la calligraphie, en passant par le volume et la photographie, martinefa est en quête de nouvelles alliances graphiques, reflétant ses inspirations de toujours. Celles des Symbolistes et Préraphaélites, des mythes ancestraux et contes de sa jeunesse, sans oublier le domaine cinématographique avec Tim Burton, Alex Proyas, Jean-Pierre Jeunet, Charlie Chaplin et Buster Keaton qu’elle vénère.
Des contrats en tant que graphiste/sculpteur au sein d’agences de jeux de rôles, maquettiste ou accessoiriste pour le domaine télévisuel, de directrice artistique dans le secteur de l’édition de revues et périodiques, lui permettent d’acquérir toujours plus de techniques, afin de les appliquer au service de l’illustration et de la sculpture, ses principales motivations.
C’est avec ravissement bien que tardivement, que la peinture à l’huile entre dans sa vie, pour enfin lui permettre peut-être un jour, de s’exprimer picturalement comme elle l’a toujours espéré.
Martinefa partage son temps entre illustrations en presse et éditions, couvertures de livres et commandes pour des particuliers, festivals et autres expositions, tout en mettant en œuvre des projets personnels en édition et en peinture.
Trois ouvrages aux éditions martinefa ont déjà vu le jour, Fabliaux et autres chimères, Ze artbook et le Bestiaire encré.
La plupart de ses travaux personnels et professionnels, réalisés ses vingt dernières années, sont répertoriés sur son site en ligne martinefa.net.
Valérie Frances (b)
Valérie Frances est une artiste belge née en 1975. Ayant en poche un AESI (Agrégation de l’Enseignement Secondaire Inférieur) en Sciences, passionnée de biologie marine et de littérature fantastique anglo-saxonne, elle va très tôt écrire ses propres textes, sombres à souhait. Après avoir publié plusieurs nouvelles dans divers fanzines (en Belgique, en France ou encore au Québec), des articles, des interviews et avoir été rédactrice en chef d’un magazine dans le domaine du Fantastique, elle devient l’une des organisatrices de Trolls&Légendes, le festival de toutes les Fantasy (responsable du pôle Littérature et coordinatrice de l’espace Edition).
Dès 2013, après avoir fait ses armes comme directrice de collection aux Editions Asgard, elle dirige en outre l’anthologie de l’événement. Mais c’est pour sa série de livres pour la jeunesse qu’on la retrouve notamment sur les salons. En 2011, sortaient les premières aventures de « Brûlot le dragonneau ». Depuis lors, sont parues deux suites et un quatrième opus est en cours de réalisation. Enfin, depuis quelques années, elle étend sa palette de compétences artistiques dans le domaine du dessin, de la peinture et du modelage de la terre. Côté illustrations, elle réalise ses œuvres à l’encre, à l’aquarelle ou encore à l’acrylique, qu’elle expose lors de divers festivals, passant du Fan Art à la création de mandalas illustrant des créatures mythologiques ou médiévales et inspirés d’art celtique. Bref, tous ces projets s’ajoutent à la fièvre de sa plume qui continue à explorer le papier de ses larmes d’encre, par le trait ou par les mots, dans des mondes de l’Imaginaire toujours plus nombreux.
Mathilde Marlot (F)
Née en 1980 près de la mer, en Normandie, son tempérament rêveur l’amène à baigner très tôt dans l’univers des contes et du fantastique. Après un passage aux Beaux-Arts et en faculté d’arts plastiques, elle se lance en 2006 dans la création d’images et d’objets liés au merveilleux. Elle enseigne depuis de nombreuses années auprès des enfants les arts appliqués et l’illustration, participe régulièrement à de nombreuses expositions d’artistes et de créateurs autour des contes. Son travail s’inspire de la nature, faune et flore confondues, dont elle nourrit les petites créatures et les ambiances auxquelles elle donne vie.
Son univers créatif est plutôt féerique, onirique et fantastique. Mathilde aime travailler de nombreuses techniques : figurines en papier ou pâtes polymères, peinture, couture, illustration. Elle aime créer l’anecdote, confronter, mélanger ou marier les matières.
Depuis quelques années Mathilde réalise des illustrations pour des ouvrages jeunesse et des jeux de société. Très inspirée par PJ Lynch, Scott Gustafson, Rien Poortvliet ou encore Alan Lee, elle travaille sur des contes et un projet de jeu et de livre chez Ouest France. Mathilde réalise actuellement les illustrations d’un porfolio dont les images seront déclinées en jeu de cartes, elle a de même entamé sa première collaboration avec l’univers du jeu de rôle sur la campagne Man In The Maze chez les XII Singes.
Florent Maudoux (f)
Florent Maudoux est né en 1979. Formé au dessin animé à l’école des Gobelins, il sait restituer la justesse du mouvement et créer une narration fluide. Amateur de films hongkongais, ses influences se situent à la croisée des mangas et de l’art classique italien ou encore des illustrateurs anglais du 19e siècle. Ses expériences d’animateur 3D et story-boarder dans l’univers du jeu vidéo (Eden Games), puis d’illustrateur et concepteur de figurines (Rackham), lui permettent de développer son art de la mise en scène, son sens du détail et sa palette de couleurs.
Avec Freaks’ Squeele (7 tomes), Florent Maudoux a créé un univers BD tellement riche qu’il est tout naturellement sorti de ses cases: non content d’explorer encore le monde de Freak’s Squeele au travers des spin-offs BD – avec Freaks’ Squeele : Funérailles (3 tomes), Rouge (3 tomes) avec Sourya au dessin et Masiko (one shot) – on a pu retrouver les héros étudiants de la F.E.A.H. dans le roman l’Étoile du Soir (co-écrit avec Ophélie Bruneau). Après le roman, le jeu: en mai 2017 sortira Freak’s Squeele, le jeu d’aventure, en démo à Trolls & Légendes dans l’espace jeu.
À la croisée des genres, c’est donc tout naturellement que vous pourrez découvrir le graphisme époustouflant de Florent Maudoux en dans l’expo qui lui sera consacrée.
Laurent Miny (F)
Depuis l’enfance, Laurent Miny se passionne pour le dessin, la peinture et le fantastique. Il dévore très tôt les Conan et Tarzan de Barry Windsor Smith et John Buscema ainsi que toute l’école des comics américains. Puis, c’est le tour de Frazetta, Brian Froud, Alan Lee et Loisel. La confirmation tombe : lui aussi, plus tard, sera illustrateur.
Après un passage de quelques années par le monde de la publicité et du multimédia, Laurent est revenu il y a vingt ans à l’illustration par le biais de plusieurs collaborations avec de nombreux éditeurs comme Pocket, Le Seuil, Bayard, Plon, le Pré aux Clercs, ou encore Milan. Il a collaboré aussi régulièrement à de nombreux magazines, parmi lesquels Science et Vie Junior ou encore les défunts Chaudron Magique et Forêt Mag, où il a eu le bonheur de travailler avec Pierre Dubois.
Il a réalisé les travaux d’illustration du Carnet de route de la Bretagne féerique avec Claudine Glot sous la direction de Jean-Luc Istin, ainsi qu’en 2010 un ouvrage illustré chez Soleil Celtic autour du merveilleux de la forêt, avec Christelle Grandjean à l’écriture ; Le Chant des Brumes, dont une suite est envisagée.
Depuis deux ans, il a opéré un retour sur son domaine préféré ; le jeu de société et plus particulièrement le jeu de rôle. Il vient de terminer un gros travail de créations de personnages pour Heroes and Dragons et Pavillon Noir chez Black Book Editions. De même il a signé plusieurs couvertures pour Skulls and Bones chez les XII Singes. Laurent travaille actuellement sur le développement graphique d’un futur jeu de rôle de Fantasy en collaboration avec Sebastien Célerin.
Laurent enseigne depuis plus de treize ans à l’École Pivaut à Nantes, l’illustration et le concept art à des petits jeunes prometteurs.
Loïc Muzy (f)
Loïc Muzy aka Green Cat est un graphiste qui a illustré OrcQuest (le jeu de carte), Eden (le jeu de figurines), les jeux de société dont les Lames du Cardinal, Mythic Battle (les deux versions dont celle avec les figurines), Sang Rancune (Iello), mais aussi les jeux de rôles suivants : Bimbo, l’Appel de Cthulhu chez Sans-Détour…
Naragam – Mike (f)
Après avoir obtenu une licence à la Faculté d’Arts Plastiques de Rennes et après un petit passage par le Capes d‘Arts Plastiques, Mike, à son retour sur Brest, rencontre l’équipe du fanzine brestois Le Violon Dingue et y publie ses premières planches BD. Parallèlement à son activité de dessinateur BD, Mike travaille aussi dans l’illustration, ce qui est pour lui l’occasion de développer un univers teinté de Fantasy/Dark Fantasy. Il publiera ainsi Bestiaire des Trois Terres et La Nuit chez AK éditions. Il participe également à plusieurs numéro de Khimaira magazine. En mars 2007, poussé par ses amis Obion et Gally, Mike se lance dans la blogosphère BD avec la création de son blog dans lequel, il raconte et mêle, par l’intermédiaire de son alter ego Mikesquad, anecdotes réelles et romancées tout en proposant des recherches et illustrations de ses futurs projets BD. Ce blog retient l’attention de Le Galli et de David Chauvel qui proposent à Mike de faire un essai sur un projet BD documentaire, La Guerre des OGM, pour les éditions Delcourt. Le projet est finalement signé et l’album est publié à la rentrée 2009. La Guerre des OGM à peine terminé, Mike se remet à écrire et à dessiner pour la série Death Squad dans le but d’en faire un album BD. Le projet, signé aux éditions Delcourt, est publié en mars 2011 et reçoit un très bon accueil. Début 2013, une de ces illustrations est publiée dans le tome 13 de la série Hellboy ( Delcourt ). Mike travaille actuellement sur la série Naragam, prévue en trois tomes, aux éditions Delcourt, avec Michaël Le Galli au scénario. Le 1er tome, La Quête de Geön est paru en avril 2015, le tome 2 L’Appel des Primordiaux en août 2016.
Alice Picard (f)
Passionnée d’animation, Alice a étudié à l’école des Gobelins. A l’issue de sa formation, elle entre aux studios Disney et travaille pendant un an et demi comme intervalliste sur le film Tarzan. Par la suite, elle intègre la société éditrice de jeux vidéo Kalisto pour faire de l’animation 3D. En 2002, elle rencontre le scénariste Éric Corbeyran qui, après avoir vu ses dessins, lui propose d’animer la série Weëna, dont le premier tome sort en 2003 et qui compte aujourd’hui huit volumes. Toujours avec ce même scénariste, Alice dessine la série Okhéania qui comporte 5 tomes.
Le spin off de Weëna, La Légende de Noor, a vu le jour en 2015 et a été fort bien accueilli par les libraires et les amateurs du 9ème Art.
Alain Poncelet (b)
Alain Poncelet adore décortiquer le côté obscur de la nature humaine, peindre la noirceur, plonger dans les cauchemars, raconter des histoires que personne n’a envie d’entendre, tremper ses pinceaux dans le métal lourd et faire surgir les angoisses les plus sombres.
Dessinateur freelance, il publie depuis une dizaine d’années des recueils d’illustrations et bandes dessinées peuplées de créatures légendaires et ensorcelées.
Pour Trolls & Légendes, il a décliné cette année le petit Trolls de Cuvée, mascotte du festival, dans de nombreuses versions “viking”.
Pascal Quidault (f)
Illustrateur et concept artist depuis plus de 15 ans, Pascal Quidault a d’abord fait ses armes dans le petit monde du jeux de rôles en travaillant sur des licences telles que Warhammer, Elric ou Runequest. Par la suite, c’est l’édition littéraire fantastique qui lui a permis une meilleurs visibilité grâce à de nombreuses couvertures de romans pour des éditeurs français comme Gallimard, Hachette ou encore Flammarion.
Mais c’est depuis quelques années que son travail principal s’est tourné vers le monde ludique. Celui du jeu de société moderne, notamment avec l’éditeur Space Cowboys (Splendor, Hit Z Road, Elysium, Sherlock Holmes, etc.) mais aussi celui du jeu vidéo (Applibot, Morphiks, Tokkun Studio) et ses applications numériques, ainsi que la presse scientifique.
Actuellement, Pascal Quidault est en activité sur de nombreux projets à venir: Cities of Splendor (Space Cowboys), Mythic Battles (Mythic Games), Legends of Luma (Ludonautes) et encore beaucoup d’autres dossiers actuellement “secrets”.
Valérie Renier (b)
Passionnée d’histoires aventureuses et d’univers fantastiques, Valérie trace les courbes et façonne les traits de personnages féeriques depuis son plus jeune âge. S’étant dessiné un chemin à travers l’illustration, le concept art et l’animation, elle vient vous présenter ses livres et dernières créatures.
Olivier Trocklé (f)
Olivier Trocklé, alias El Théo est un (info)graphiste et dessinateur de BD. Amateur de jeux avec des figurines (de Heroquest à Confrontation) et joueur de jeu de rôle averti il a travaillé sur les gammes d’Extraordinary Worlds Studio, les 12 Singes sur Solipcity, les Editions Sans-Détour sur l’Appel de Cthulhu, BP4P sur Wushu et Pulp Fever sur Luchadores.
Jean-Noël Vulcain (F)
Verrier à la flamme
La première vocation artistique de Jean-Noël Vulcain a été le dessin avec à la clé un diplôme de l’école Emile Cohl obtenu en 2009. Deux ans après, il découvre le travail du verre à la flamme. Fasciné par les possibilités qu’offre ce procédé, Vulcain a voulu se perfectionner en allant à la rencontre d’autres verriers. Il a ainsi fait des stages auprès d’artisans français et étrangers reconnus dans leur métier parfois même mondialement. Ces rencontres lui ont permis de découvrir différentes techniques, comme la réalisation de perles d’art ou encore le verre soufflé au chalumeau.
Jean-Noël travaille essentiellement le verre borosilicate, qui lui permet d’avoir une finesse dans les détails proche d’une sculpture en terre ou en cire. Il travaille également le verre sodocalcique pour de plus petits sujets ou pour la réalisation de perles d’art.
Sa formation artistique, axée sur des techniques académiques, l’a naturellement amené à la réalisation de sculptures figuratives. Plus jeune, il fut marqué par le travail d’artistes comme John Howe, Olivier Ledroit, J-B Monge ou encore James Christensen, ce qui explique qu’une partie de son travail est influencée par l’univers du fantastique. Une autre partie trouve ses influences du coté des peintres et sculpteurs de la fin du XIXème siècle et du début du XXème siècle. Il aime ainsi se plonger dans l’univers animalier de Rembrandt Bugatti ou dans l’expression des corps de Gustav Vigeland et Auguste Rodin ; admirer les femmes alanguies des peintures de William Bouguereau, les croquis fripons de Toulouse Lautrec ; voyager de l’autre coté de l’atlantique avec Edward Hopper ou J.C. Leyendecker et de temps à autre revenir au temps présent et admirer le travail de ses contemporains tel Lorenzo Mattotti, Karl Martens, Richard MacDonald, Christophe Charbonnel…
Animations
De nombreuses animations pour les enfants sont organisés. Comme une chasse aux œufs, des concours de costumes, d’écritures,…
Cinéma
Clive Standen (uk)
Qui de mieux qu’un authentique viking comme invité d’honneur de l’édition 2017 de Trolls & Légendes, placée sous le signe des Légendes du Nord ?
CLIVE STANDEN sera en effet des nôtres en terres montoises !
Avant de devenir le frère de Ragnar, Clive a appris très jeune à se battre à l’épée et à effectuer diverses formes de combat.
Il embrasse ensuite une carrière d’acteur grâce aux rôles d’Archer dans la série Robin des Bois, de Gauvin dans la série Camelot, et du soldat Harris dans la mythique série anglaise Doctor Who.
C’est Vikings, la série de History Channel, qui le propulse véritablement au rang de star. Il y interprète avec brio Rollo, le valeureux frère de Ragnar, qui pâtit pourtant de l’ombre de son aîné.
En 2015, on retrouve Clive en compagnie de noms prestigieux au générique du film Everest. Mais dès mars 2017, c’est lui qui sera la tête d’affiche de la série Taken, très attendue. Cette préquelle à la trilogie des célèbres films verra Clive endosser le rôle de Bryan Mills, joué dans sa version plus âgée par Liam Neeson.
À ses talents d’acteur, Clive ajoute un grand cœur : c’est en effet l’un des porte-paroles de l’association Sea Shepherd Conservation Society, qui veille à la préservation de la vie marine.
Matthew Lewis
MATTHEW LEWIS a été propulsé au rang de star internationale dans son enfance, lorsqu’il a joué le rôle de Neville Londubat dans la série de films Harry Potter tirés des best-sellers de J.K. Rowling. Flanqué de son fidèle crapaud, l’apprenti sorcier au sang pur a conquis le cœur de millions de fans à travers le monde, grâce à son héroïsme et sa fidélité à ses amis de l’Armée de Dumbledore.
Matt ne s’est cependant pas arrêté à Harry Potter : il a ensuite continué à se faire une place dans des films à succès, comme le bouleversant Avant toi, dans lequel il prête ses traits à Patrick, l’ex-compagnon de Louisa.
Il sera bientôt à l’affiche de deux films prometteurs, le thriller Terminal et le drame Playing Mercy, dans lequel il tient le premier rôle en compagnie de Charlotte Riley.
Lorsqu’il ne tourne pas, Matt se passionne pour le sport ou met sa célébrité et son temps au service de nobles causes, en créant par exemple un t-shirt à son effigie et au message plein d’espoir, pour récolter des fonds pour les enfants malades.
Nous sommes particulièrement heureux d’accueillir Matt en Belgique pour la première fois lors de l’édition 2017 de Trolls & Légendes !
Alexander Vlahos (uk)
Alexander a fait ses armes dans le domaine de la fantasy en jouant le rôle de Mordred, la Némésis du roi Arthur, dans la série britannique Merlin. Ce rôle mémorable, aux côtés de Bradley James et Colin Morgan, l’a fait connaître tant des fans de fantasy que du grand public.
Il est depuis devenu la voix de Dorian Gray et bientôt celle de Hamlet pour les audio dramas de Big Finish.
Il a récemment crevé l’écran avec son interprétation magistrale de “Monsieur” le duc Philippe d’Orléans, dans la série originale de Canal+,Versailles. Après le succès international de la saison 1 (diffusée en Belgique sur La Une), la saison 2 sera diffusée sur Canal+ au printemps prochain, juste avant Trolls & Légendes. La saison 3, qui vient d’être annoncée, sera en plein tournage, mais Alexander fera néanmoins le déplacement jusqu’à Mons pour rencontrer le public de Trolls & Légendes.
Je pense que je vais m’en arrêter là.
Un bref résumé: ce festival est simplement inoubliable, j’ai rencontré pleins de maisons d’éditions que je connaissais déjà(lune-écarlate, séma éditions, l’ivre-book, livr’S édition, éditions j’ai lu, éditions underground) et d’autres pas( chat noir, héron d’argent, rebelle éditions, tolkiendil). Je me suis vraiment éclatée, j’ai discuté avec des auteures adorables :)
Donc je dis, à dans 2 ans!
Et vous, qu’en pensez-vous? Aimeriez-vous venir?
Je vous dit à demain,
Alexia
Un jour au festival Trolls et légendes Hello mes lous, Je suis heureuse de vous retrouver pour vous présenter "un jour au festival Trolls et légendes".
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