#écrits de la lune
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ernestinee · 5 months ago
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T'façons c'est pas compliqué les bases pour améliorer sa santé c'est bien dormir, manger équilibré et bouger. Au moins s'étirer.
Ça fait deux variables sur lesquelles j'ai la possibilité d'agir. Le sommeil j'ai abandonné.
Puis il reste le côté chiant de la santé. Quand il faut agir sur le plan médical. J'ai aussi abandonné l'idée de retourner un jour en gynécologie et en cardiologie. J'ai une sorte de dérèglement depuis deux mois, je ne sais pas d'où il vient mais je sens que mon fonctionnement a changé. C'est difficile à définir. Ça n'a pas l'air "grave", c'est juste différent.
Puis la santé mentale. Ça fait des mois que je n'ai plus écrit dans mon carnet, simplement parce que je ne suis jamais seule dans cette maison. Il y a eu les congés scolaires et autant ça me fait du bien d'avoir + de temps le matin, autant nerveusement ça m'épuise. Il faut penser aux repas plusieurs fois par jour, aux loisirs, conduire l'ado à gauche et à droite, dépenser des sous pendant que je n'en gagne pas, profiter du temps libre pour faire des trucs et bosser, parce que les congés scolaires c'est pour l'ado, pas pour moi. Ça me manque d'écrire, écrire sur les plantes, les saisons, les observations, les couleurs, décrire des lumières, des moments, les liens que je tisse entre le hasard et le voulu, des souvenirs. Il y avait une jolie brume qui montait hier soir, la première brume de septembre, et la lune était très fine, le ciel encore un peu coloré, et ce ne sera pas écrit dans mon carnet. Écrire est à peu près le seul truc qui m'aide à ne pas devenir cinglée entre ces murs. Avec la musique. Là je me nécrose. C'est chouette cette idée de cocher des cases mais il me faudrait une matinée sans case à cocher, à un moment où je suis seule.
Bon j'ai commencé en disant que c'est pas compliqué et en fait c'est compliqué.
Allez. Étirements, marche, écriture et arrêter le sucre rapide.
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soeurdelune · 11 months ago
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*prends une profonde inspiration
pour la dernière fois
le crédit, c'est soeurdelune ou lune
pas soeur de lune
pas Soeur De Lune (nioooon pas les majuscules)
c'est soeurdelune, avec ce que ça implique d'inexactitudes orthographiques, en minuscules, tout collé ensemble
voilà, merci
(mais vraiment sinon écrivez lune c'est plus simple, les deux se valent (ou faites un copié-collé, comme c'est écrit sur les billets de mes avatars en plus))
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dynamiiiight · 6 months ago
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tag game du rpg
règles du jeu : créer un nouveau billet en copiant-collant les questions ci-dessous, y répondre, puis tagger d'autres rpgistes !
Bon je ne fais jamais ces jeux mais si je suis taguée par @valhdia ET @timuschaos (entre autres), j'accepte mon sort. ✨
depuis combien de temps fais-tu du rp? — je ne sais plus exactement quand j'ai commencé et j'ai fait plusieurs pauses entre temps, mais je dirais facilement plus de 10 ans.
quel était le premier personnage que tu as créé? — une gigantesque connasse à la tête d'un empire multimédia, sous les traits de Natalie Portman. C'était une vraie attention whore qui faisait et défaisait les réputations au gré de ses humeurs.
quels sont les faceclaims que tu utilisais souvent à tes débuts? — j'ai abusé de Ben Barnes à une époque mais à part lui, je ne réutilisais pas tant que ça mes fc au départ. Par contre aujourd'hui j'ai mes petits chouchous -- notamment Riz Ahmed qui a volé mon coeur et que je veux jouer absolument PARTOUT, je me confesse.
y a-t-il un genre/univers dans lequel tu n'aimes pas du tout rp? — les forums city vraiment mega chill, de type slice of life, où j'ai beaucoup de mal à trouver une ligne directrice à mes personnages ; je perds la motivation s'ils n'ont pas vraiment d'objectifs.
quelles sont les dynamiques entre personnages/types de liens que tu aimes le plus? — j'aime beaucoup jouer des liens nuancés entre des personnages qui ont un passif très complexe, des relations qui s'étalent sur plusieurs années au cours desquelles iels ont pu être allié.e.s autant qu'ennemi.e.s à des périodes différentes. Dans la même veine, j'adore les ships enemies/rivals to lovers (bonus si c'est un slow burn).
dans quels fandoms ou univers aimes-tu le plus rp? — j'ai un faible pour les univers fantastiques, en particulier les forums avec des créatures surnaturelles. Je dirais que du moment qu'il y a de la magie, le forum a de fortes chances de m'intéresser (je dis ça mais en vrai je suis super picky, oops).
un personnage que tu ne joues plus actuellement mais que tu aimerais reprendre? — LUKYAN. 🐺 Un chasseur de créatures super vénère qui s'est fait mordre par un loup-garou un soir de pleine lune et qui l'a légèrement mal vécu.
y a-t-il des archétypes de personnages que tu joues souvent? — je suis abonnée aux personnages morally grey ascendant bitchy drama queens. 💅
y a-t-il un livre ou un écrit autre qui t'as beaucoup influencé·e pour écrire? — mhmm pas vraiment influencée, mais je citerais tout de même Leigh Bardugo pour l'inspiration que j'ai pu puiser dans ses œuvres pour inventer des univers ou des factions/gangs.
une recommandation pour finir (livre, film, ou pourquoi pas un forum)? — je suis en train de lire Yellowface par Rebecca F. Kuang, ça parle d'appropriation culturelle et de représentation. C'est une sorte de satire de la société actuelle et du monde de l'édition. Je ne suis pas encore très loin dans le livre mais pour l'instant, je suis curieuse de lire la suite!
☞ je tague : les bb @halxmshiral @lunnyii & @amaaaterasu + @maxeine-txt parce que je suis curieuse (sans obligation obvi) ♡
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carraways-son · 11 months ago
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Mardi
Aujourd'hui, tout est allé de travers. Mais j'ai pris mon premier vrai bain de soleil de l'année et mis mes lunettes noires pour lire Kyoto mon amour de Frédéric Chateau. J'ai contacté la Tasmanie, l'Argentine et les USA sur ondes courtes. Côté musique, j'ai découvert Bekar grâce à L, et j'aime bien. Sinon, j'ai visité ces derniers temps des expositions et vu des films dont je n'ai pas parlé ici. A des moments de plus en plus fréquents, je ne trouve rien à dire à personne. Rien qui soit capable de m'intéresser, écrit Pierre Hebey dans "Le goût de l'inactuel - III". Plus loin, il dit aussi, et ça me touche de près : Il y a des êtres qu'on reste tout ébloui d'avoir connus. Ceux qui, dans le passé, nous ont permis de découvrir l'existence d'une cinquième saison, plus joyeuse, plus riche, plus vivante et plus ensoleillée. Demain, c'est le premier jour du printemps, et cette nuit, la lune est belle. Alors...
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prosedumonde · 1 year ago
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Je t’ai écrit au clair de lune  Sur la petite table ovale, D’une écriture toute pâle,  Mots tremblés, à peine irisés Et qui dessinent des baisers. Muets comme l’ombre et légers  Et qu’il y ait le clair de lune Et le bruit des branches penchées Sur cette page détachée
Cécile Sauvage, Je t’ai écrit au clair de lune
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carbonacat · 1 month ago
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2025-01-03 - Illustration - Bonne Année 2025
Fini et posté un peu en retard mais j'ai fait pire :D Une année éprouvante s'est terminée. J'espère sincèrement que 2025 sera meilleure ; dans tous les cas, meilleurs voeux à tous !
Personnage - Carbonacat ~3h30, Marqueurs Alcool, A7
Description - Un dessin avec en lettres colorées vert/jaune/violet/orange/bleu/rouge écrit BONNE ANNEE 2025, avec Carbonacat, un chat bleu portant un chapeau jaune et gris conique surmonté d'une lune d'argent, une clochette à chat d'argent aussi, se léchant la papatte gauche les yeux fermés, et plein de serpents disséminés sur un fond gris étoilé.
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rush-sykes · 13 days ago
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Test : Iron Meat
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Partons tester "Iron Meat" un Contra-like sorti en septembre 2024 sur PC, Switch, consoles PlayStation et Xbox au prix de 19,50€. Un jeu indépendant développé par Ivan Valeryevich Suvorov et Retroware qui s'est aussi occupé de l'édition.
« Article écrit sur JVactu.com »
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C'est du Contra?
J'ai pu le terminer sur PC grâce à l'éditeur et la configuration demandée permet de s'y adonner sans problèmes même sur une machine peu performante. Un titre en pixel art et bien animé qui fait immédiatement penser à Contra rien que dans la gestuelle de notre personnage. D'ailleurs le titre est jouable à deux et trois niveaux de difficultés sont proposés, de quoi le rendre accessible à tous donc.
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De la viande partout!
Le monde est envahi par la viande et elle prend possession des êtres humains mais aussi de tout ce qui nous entoure comme les maisons, les véhicules et même les armes. Une biomasse inter dimensionnelle qui englouti tout sur son passage. Vous incarnez Vadim un soldat qui va devoir à l'aide de son arme tout détruire aux travers de neuf missions. Tout ceci est l'œuvre de Yuri Markov un scientifique fou qui s'adonne à des expériences sur la lune. On est typiquement dans le scénario des jeux des 90's où l'on ne se prenait pas trop la tête pour justifier l'action frénétique. En revanche ce qui est sympathique sont les petites cinématiques introduisant l'histoire mais aussi les boss, très réussies.
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Une réalisation solide
On attend pas ce genre de titre sur son scénario mais il a le mérite de coller aux cadors du genre et je vous avoue que cette viande qui bouffe tout sur son passage m'a bien séduit. D'ailleurs sur un plan technique le jeu est maitrisé avec une belle 2D, des animations sympathiques collant une fois encore au genre et des effets gore très réussis. Sans oublier l'univers sympathique avec laboratoire en ruine, ville mangé par cette biomasse ou encore un train fou que rien n'arrête. Le jeu reste fluide en toute circonstance et la musique rock est parfaite et soutient l'action.
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Un bon vieux gameplay
Niveau gameplay c'est très simple de prise en main avec une touche de tir, une pour le saut et bien sûr le stick ou pavé directionnelle pour diriger votre soldat. Le tout répond parfaitement et il va falloir éviter tous les projectiles sous peine de perdre directement une vie. Le niveau de difficulté détermine lui le nombre de vies disponibles par mission. Comptez en trente en mode facile, seize en normal et seulement huit pour le mode difficile. Le challenge est présent mais bien dosé en normal, quant au mode difficile il va falloir connaître les missions pour réussir. Plusieurs armes aux programmes qui pulsent pas mal pour certaines d'ailleurs même. Vos points en fin de mission vous permettront de débloquer de nouvelle skins et certaines sont très marrantes. Ce système assure aussi une bonne replay value car il faut de nombreux points pour tout débloquer.
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Un goût de reviens-y
Comptez un-peu plus d'une heure pour venir à bout des neuf missions que comporte "Iron Meat" mais il y a de quoi y revenir pour y jouer avec un ami ou pousser la difficulté. Une fois terminé vous débloquerez aussi un mode miroir. J'ai beaucoup aimé les boss qui ont tous un design soigné comme un camion vivant ou un hélicoptère crocodile.
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Sans prise de risque
Le défaut majeur du titre est sans doute son level design avec un seul niveau en vertical axé plateforme, il y avait moyen de proposer un-peu plus de plateforme et des niveaux plus recherchés dans leurs construction. Notre protagoniste pourra par exemple en fin de niveau chevaucher une moto volante pour rejoindre sa prochaine mission et j'aurais adoré un niveau en moto façon Battletoads par exemple. Il y a un mix plateforme et shoot mais j'aurais aimé d'autres missions comme la deuxième pensé tout en vertical avec des obstacles nous demandant de jongler entre tir et saut.
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Conclusion : 8/10
Malgré ce défaut "Iron Meat" est une belle production s'adressant avant tout aux amoureux du retro biberonnés à Contra. On y trouve vite ces marques, l'ambiance est bonne et les boss sont jouissifs à découvrir puis à exploser. Le côté gore est bien rendu et colle au genre. Dommage que le level design ne tente pas plus de nous surprendre en revanche.
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sdkblogs-stuff · 18 days ago
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Chapitre 2: illusion
Silence. Pourquoi es-tu si loin de moi ? Ma tête est lourde, je veux m'appuyer, pleine de toi. Je veux me remplir de ta présence. Ta voix, ton rire me manquent ; leur écho résonne dans mes oreilles. Tout comme les battements de ton cœur, de tes poignets, de tes doigts froids comme la neige. Penses-tu à nous ? Aux souvenirs de toi et moi, sculptés par une âme patiente... ou par une patience sculptée dans l’âme ?
Je crie. Je réclame la joie, mais mon esprit fatigué observe au loin, le soleil se coucher. Comme ce beau feu qui renaît alors que je le croyais éteint, il murmure à mon oreille. Est-ce un espoir ? Il me chuchote de dormir. Non... il me chuchote de fuir, d’arrêter d’attendre. Devant moi, un mirage : sable brûlant, mer éblouissante. Un paradis qui semble à portée de main, mais reste insaisissable.
Je te regarde encore. Figé dans le temps, tu sembles plus clair depuis ma place. Mais tu es triste, pas pour moi... pour toi-même. Pourquoi m’as-tu amenée ici ? Voulait-tu que je te sauve en m’écrasant sous toi ?
Je te tends la main. Regarde autour de toi. La pluie tombe, fraîche, apaisante. Écoute son bruit sur le sable. Mon amant fragile. Enfin, nous retrouvons un chemin. Il est clair, mais effrayant. Un chemin nouveau. Et toi, vois-tu, de l’autre côté, le monde qui reprend forme ?
Tes mains tremblent. Pose ta tête sur moi, mes épaules sont faites pour ça. Le vent dévoile nos secrets, l’un à l’autre. Nous redevenons des enfants, naïfs et insouciants. Mais Dieu efface notre complicité. La nuit tombe. Sur la mer, la lune froissée se reflète. Les vagues, elles, effacent nos traces, nos souvenirs.
Toi, cher toi, triste plénitude. Toi qui as besoin de moi, je le vois, écrit sur tes tempes. Mais voilà que tu t’ouvres enfin, comme une fleur au printemps. Plus beau que jamais : silencieux, vulnérable, heureux. Tes pupilles brillent, illuminées par une mémoire douloureuse, mais douce. Cher oubli... viens. Embrasse-moi.
Souvenirs encore chauds du soleil. Cet abri d’amour pur dont on ne parle pas. Hier, nous tentions chacun de survivre. Aujourd’hui, nous vivons ensemble, partageant une mémoire commune. Comme un corps frêle qui semble flotter sur de la soie dessinant les contours d’un monde fascinant. Nos esprits errent, ivres de joie, ne cherchant plus la voie.
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ladyniniane · 2 months ago
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Coucou ! Pour le jeu des question d'AO3, la 9, 19 et 29 si ça t'inspire s'il te plait ? Merci beaucoup d'avance !
Coucou :) Merci pour les questions !
9) Favorite pairing you wrote for this year?
Alors paradoxalement je n'ai pas tant écrit de choses romantiques (concrétisées s'entend) cette année. J'y ai plus réfléchi.
Pour le couple sur lequel j'ai le plus écrit, il y a bien sûr Sylvain et Ismène. J'aime beaucoup la manière dont leurs personnalités se complètent en mode soleil et lune. Il l'aide à prendre de l'assurance et à sortir de sa coquille, on voit toute la gentillesse et la bienveillance de Sylvain comme dans le soutien avec Marianne, et elle l'aide à trouver la paix.
Parmi les scènes qui m'ont plu, il y en avait une plutôt amusante où ils discutaient de leurs livres préférés et de Loog et la dame du vent
Et puis, c'était drôle en tant qu'autrice de voir Sylvain se creuser la tête sur les origines d'Ismène et être en mode "elle a parfois les mêmes attitude que Dimitri c'est dingue" (peut-être parce qu'ils ont fréquenté la même personne, haha ?)
Sylvain admira son expression déterminée. La similarité avec Dimitri était de nouveau frappante. Amusé, il se vit écrire à son ami :  “Tu ne le croiras pas mais j’ai trouvé ta soeur cachée”. La plaisanterie lui sembla néanmoins de mauvais goût après l'affrontement avec Hildegarde
Sinon dans les relectures j'ai apprécié de voir la relation entre Gladys et Dimitri prendre de l'ampleur et de les voir s'affirmer comme un couple capable de surmonter les désaccords et de gouverner ensemble.
Et bien sûr, même si je n'ai pas écrit dessus, il y a le couple Edith/Anselma. Parce que c'est une énorme dinguerie, mais une qui a finalement beaucoup de sens. Faudrait que je réfléchisse à comment l'écrire sans traiter tout cet UA (parce qu'il y a beaucoup de choses dans cet UA : Lambert renversé, le devenir des persos qui change, Nérine qui est en vie et a une romance avec Glenn...).
En tout cas ça nous aura déjà offert cette magnifique tranche de rigolade :
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19) What’s one pairing you want to explore next year?
La romance entre Zoé et Basile (eh non Zoé tu ne vas pas rester "veuve" toute ta vie, qu'est-ce que tu crois...). J'ai commencé à avoir les scènes clefs donc je sens que ça va être bien divertissant.
Leur première rencontre est assez amusante, en tout cas. Zoé vient à peine d'entrer au palais et le croise sans savoir qui c'est. Il faut dire qu'il n'a aucun insigne sur lui et se fait passer pour un intendant (bon c'est pas faux mais...). Il ne fait pas assez par malice, mais parce qu'il a envie pour une fois d'avoir une conversation normale avec quelqu'un.
Après ça Antonina invite Zoé à voir la procession impériale et Zoé est en mode "mais attends quoi c'était l'empereur ??? &$*sbhdsv!!".
29) Favorite line/passage you wrote this year?
Alors vu que je l'ai retravaillée cette année, je dirais les dernières lignes de Quatre guerrières (mais je les mets pas pour ne pas spoiler :P). Mais allez, petit teaser :
Elle s’appuya sur son coude, un éclat malicieux dans le regard. Il haussa le sourcil. — Quand je pense que quand j’étais petite la prêtresse m’avait dit que les saints seraient toujours là pour veiller sur moi…j’étais loin de m’imaginer que l’un d’entre eux le ferait de cette manière. — Tu es impossible, prétendit-il s’offusquer. 
Sinon il y avait aussi la scène où Miklan se fait déshériter par son père. C'était bien satisfaisant comme il faut.
Sinon je suis fière de l'introduction de Kyphon et Elisabeth qui reflète bien les ressemblances et le contraste entre les deux :
Le garçon et la jeune femme se dirigèrent main dans la main vers le terrain d’entraînement. Douze ans les séparaient, mais ils auraient pu passer pour frère et sœur. Leurs traits ivoirins étaient fins, leurs cheveux des ailes de corbeau aux reflets bleutés et leurs yeux deux sources limpides. La chevelure de la dame ondulait cependant en vagues d’encre. Ses prunelles en amande contrastaient avec celles plus arrondies de l’enfant. Il avait le teint vif et frais mais elle était d’une pâleur diaphane, maladive, tant et si bien que le soleil semblait la transpercer. Un lourd manteau bordé de fourrure l’enveloppait d’ailleurs.
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shakeskp · 10 months ago
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Des nouvelles de l’écriture
On ne va pas se mentir, on n'est pas en mai... Pourtant, ce mois aura été Star Wars. De façon assez démente, d'ailleurs, vu que j'ai écrit et publié une fic de plus de 11 000 mots. Le total du mois se situe à 38 500 mots ! C'est tellement satisfaisant <3
Tous ces mots, c'est un peu de Hallmark Movie - j'ai passé la phase de transition qui me bloquait donc ça va bien redémarrer une fois que ma phase de lune de miel Star Wars sera passée. C'est aussi un peu de Genshin - je sais que j'ai l'air de changer de fandom, mais j'ai encore trois fics en cours pour Genshin et j'ai l'intention de les finir, dès que le jeu nous ramènera à Sumeru, ça ira mieux.
Star Wars m'a donc bouffé la tête, une fic qui devait être une simple ficlet parce que @trinitrine voulait un bisou obikin s'est transformé en un truc qui fait plus de 18 000 mots au nom de code "It was only a kiss" et qui est loin d'être fini, parce qu'apparemment, je suis plus capable d'écrire un truc simple sans éprouver le besoin de le justifier. Cette fic en cours m'aura néanmoins permis d'écrire Et tout au bout, ta main tendue, puisqu'elle me permettait d'y faire mes premières armes et de trouver une "voix" aux personnages.
Dans le tas, il y a aussi une fusion avec Scum Villain que j'aimerais écrire juste parce que je suis ravie de mon plot twist à la fin, mais je ne suis pas sûre d'avoir l'énergie d'aller jusque-là, du bidouillage qui ne mérite pas d'être détaillé, et une ficlette Gen qu'il faut que je corrige.
Je fais des rapports abstraits pour me congratuler, mais est-ce que ça intéresserait quelqu'un que je mette des extraits de temps en temps ?
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sous-le-saule · 1 year ago
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Au revoir
(Le musicien fantôme, épisode 8 et fin – parce que, contre toute attente et à ma grande surprise, j’ai réussi à terminer ce truc. Joie bonheur.)
C’est le moment de vérité. Jamais je ne me suis senti aussi nerveux de présenter une de mes compositions au public. Mais jamais non plus n’ai-je eu affaire à un auditoire si difficile. Une dizaine de sirènes se sont regroupées à bâbord, le visage fermé, après avoir calmé la tempête. Elles attendent sans un mot, dans la lumière de la lune montante, que l’équipage du Musicien fantôme entame son chant. Je sens les spectres fébriles, et même mon impassible grand-père montre des signes de nervosité. Je leur ai donné l’espoir que cette fois serait la bonne, et je n’ose imaginer ce qui se passerait en cas d’échec.
Je chasse cette éventualité de mon esprit. J’ai fait de mon mieux. Sans fausse modestie, cette pièce est mon chef-d’œuvre. Elle arracherait des larmes à une pierre. Quant aux paroles, si j’y ai ajouté une touche poétique, je suis resté le plus fidèle possible aux regrets exprimés par les spectres lors de nos conversations – je ne pouvais formuler d’authentiques excuses à leur place. Mon grand-père a écrit lui-même de longs passages dépeignant la grâce des sirènes, la beauté de leur chant et l’effroyable crime d’y avoir mis fin. Je dois dire qu’il n’a pas une mauvaise plume – et qu’il semblait sincère.
Je suis même parvenu à transformer cette bande de marins en un chœur plus qu’acceptable qui, à force de répétitions exigeantes, est capable d’une interprétation poignante, à défaut d’être toujours juste. Je ne pense pas que nous arriverions à un meilleur résultat avec plus de temps.
Alors, alea jacta est.
D’un geste, je donne le départ. Les premières notes montent dans l’air du soir, un peu tremblantes. Puis elles s’affirment, s’enchainent d’une façon si naturelle que c’en est presque magique et je ne peux m’empêcher, une fois de plus, de m’émerveiller face à cette transformation, quasi alchimique, des notes abstraitement agencées par mon cerveau en une émotion palpable. Concentré sur la direction du chœur, emporté par la musique, j’en oublie l’étrangeté de mes interprètes et la présence, en retrait, de l’équipage de l’Icare. J’en oublie même de me retourner pour scruter les réactions, pourtant capitales, de l’auditoire.
Ce n’est que lorsque le silence retombe, encore porteur de l’écho des dernières notes, que je me soucie enfin du verdict des sirènes.
Est-ce un rayon de lune qui fait briller leurs yeux, ou avons-nous réussi à les émouvoir ? Comme en réponse à ma question, une larme unique coule sur la joue d’une sirène au maintien solennel. Se tournant face à mon grand-père, elle incline lentement la tête dans un geste grave. A ce signal, toutes les sirènes disparaissent d’un même mouvement dans les profondeurs de l’océan, me laissant avec une douloureuse sensation de perte et l’impression de m’éveiller d’un rêve.
Les spectres poussent un long soupir, presque un gémissement, qui n’est pas sans évoquer le souffle glacé qui accompagne l’ouverture d’un tombeau. Je les vois pâlir et perdre leur consistance, ressemblant de plus en plus aux formes éthérées des récits de fantômes. La main sur le cœur, mon grand-père incline le buste vers moi, s’évaporant peu à peu dans la clarté lunaire, jusqu’à ce qu’il ne reste rien de lui.
Je reste planté là, à regarder longuement l’endroit où il se trouvait, jusqu’à ce qu’une main sur mon épaule me tire de mon engourdissement.
« Je ne connais pas grand-chose en matière de musique mais c’était quelque chose. » Esteban a les yeux rougis et, derrière lui, les membres de son équipage essuient furtivement des larmes. Je mentirais si je disais que je n’en retire pas une immense fierté.
Les privations de ces derniers jours, passés presque sans nourriture ni repos, ajoutées à la joie de retrouver Esteban après l’isolement que je me suis imposé pour conserver ma concentration, me laissent chancelant et je m’effondre lourdement dans ses bras. Il me guide précautionneusement jusqu’au bastingage où je m’appuie, pendant qu’il demande à l’un de ses hommes de me trouver quelque chose à manger.
- Tu devrais te reposer, dit Esteban en s’accoudant à mes côtés.
- Dans un moment.
Je veux admirer, aussi longtemps que je le peux, les flots sombres dans lesquels ont disparu les sirènes, les reflets de la lune sur les vagues maintenant apaisées, les étoiles qui brillent dans le firmament dégagé et pur. Nous restons un long moment dans un silence confortable, que je finis par briser :
- Je suis désolé pour ton bateau.
Il a un geste désabusé et semble s’absorber dans la contemplation de la voûte céleste, rétorquant d’un ton qui se veut léger :
- Je suppose qu’avec un nom pareil, il était destiné à se brûler les ailes tôt ou tard.
Ce n’est pas à moi qu’on peut cacher un tremblement dans la voix, si ténu soit-il. Je pose la main sur son avant-bras.
- Il semblerait que j’hérite de celui-ci et qu’il ait besoin d’un capitaine. Il est à toi. C’est le moins que je puisse faire, même si je sais qu’il ne remplacera pas l’Icare.
Il se tourne vers moi et cligne lentement des yeux, avant de me remercier d’un hochement de tête. Avec un léger haussement d’épaules, j’ajoute :
- Je ne sais même pas si c’est un bon navire. Je ne connais pas grand-chose en matière de bateaux.
Cela lui arrache un sourire en coin.
- J’ai eu plus que le temps de l’explorer ces derniers jours. C’est un bon bateau, oui. Même s’il a besoin d’un sérieux entretien. – Il s’étire. – Et d’un nouveau nom.
Il y réfléchit un moment avant de déclarer, catégorique :
- Il me semble qu’Orphée s’impose.
Je secoue la tête avec autant d’amusement que de tendresse. Il va falloir, sur le chemin du retour, que je l’interroge sur cette obsession pour la mythologie.
- Et tu ne crains pas que cela annonce une autre fin tragique ?
- Ah, il y a toujours une fin, plus ou moins tragique. Mais jusqu’à ce qu’elle survienne, ce nom me rappellera un autre musicien intrépide.
A son regard appuyé, je me sens rougir de plaisir.
- « Intrépide » ? Tu me prêtes beaucoup de crédit. Je n’ai cessé de trembler de terreur tout au long de cette aventure.
- Il n’y a pas de réelle aventure dont la peur serait absente, réplique-t-il simplement.
Je considère sa réponse un instant.
- Je ne sais pas si je suis taillé pour l’aventure, finis-je par soupirer. Regarde où ça a mené mon grand-père… et je t’ai fait perdre ton bateau…
Esteban me tapote l’épaule pour me rassurer.
- Je savais que je m’engageais dans une expédition risquée. Et tu as tenu ta part du marché. Je ne me suis pas ennuyé. Quant à moi, il me reste à respecter mon dernier engagement : te ramener à bon port. Je vais donner des ordres.
Il fait un pas vers l’arrière du navire et j’hésite à le retenir. Je voudrais lui dire… mais j’ai peur d’être ridicule. Peut-être a-t-il perçu mon hésitation car il se retourne, l’air incertain lui-même.
- Bien sûr… fait-il à mi-voix, comme s’il craignait de dire ces mots tout haut, si par hasard tu… enfin si tu voulais un peu plus de temps pour réfléchir à… hum… une éventuelle carrière d’aventurier… rien ne nous oblige à rentrer en droite ligne. On pourrait faire un détour…
Malgré l’obscurité, je pourrais jurer qu’il est en train de rougir. Adorable, définitivement adorable. Je souris.
- J’aimerais beaucoup.
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murmuur-vanilja · 1 year ago
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Suis-je un sentiment ?
Lorsque la nuit tombe à la fin de l’année, je me dois de voir que plus de trois sont passées Un ciel sombre, un croissant de lune qui se lève à l’horizon, comme celui qui, de ce recueil, est la raison Les écrits qui me précèdent ne sont pas mal faits, mais ils ne font que prétendre, où peut-être que cet autre moi était mauvais Je me libère du miroir, parce que je n’ai plus à vivre en parallèle d’anciens espoirs Et je le libère aussi, va-t’en, toi et ta tristesse, toi et ton cynisme, toi et ton suicide Mais avant tout, oui, surtout, va-t’en avec tous tes meurtres dont je reprends la responsabilité
De quelle empathie tu parles ? Ne te bats pas pour ce que tu n’es pas Des sentiments, des émotions, évidemment, je ne suis pas supérieur à ce qui existe ici-bas Ce soir, je poste une lettre et je m’en vais, parce que le soleil se lève Nous vivrons ensemble, parce qu’une nouvelle fleur est née, d’une graine qui n’aurait jamais cru voir le bleu du ciel Il n’y a aucun moyen de capturer mon essence, même si j’ai pu essayer
L’art se mouve et l’artiste bouge À demain
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carraways-son · 7 months ago
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Mercredi
Dans onze jours, ce mois de juillet si bizarrement commencé va changer de visage, car si tout va bien, mes Eurasiens d’amour se jetteront alors dans mes bras. En attendant, je rêvasse au soleil, bois du thé glacé, me régale de chansons retrouvées de Bob Dylan, comme Life is hard (album « Together through life ») ou Spirit on the water (album «Modern Times », thème de la tournée qui m’avait permis de le voir en 2008 au Zénith de Toulouse). Et puis je lis avec bonheur « Que reviennent ceux qui sont loin », de Pierre Adrian, qui a pour cadre la Bretagne et la grande maison familiale où se croisent en été toutes les générations. Il écrit, et j’applaudis : Août était le mois qui ressemblait le plus à la vie. Aussi, plus loin : Et je songeais qu’il n’y a qu’au mois d’août qu’on est vraiment un enfant. (sous-entendu, libre, en plein air et en mouvement). Et encore : Je ne supportais pas l’idée d’un lieu où je ne reviendrais plus jamais. (...) Et je croyais que toute la vie, il serait possible de courir partout et de revenir. Comment ne pas penser à notre maison familiale, que j’ai contribué à faire vendre alors que je l'avais toujours considérée comme mon ultime refuge. Auparavant, j’ai lu deux bons romans offerts par mon amie J. : « A pied d’œuvre », de Franck Courtès, et « La Société très secrète des marcheurs solitaires », de Rémy Oudghiri, où j'ai pioché de belles citations : La musique est le désir des choses qu’on ignore, signée Gabriel Fauré, ou : Quand on écoute sans regarder, on voit, de Fernando Pessoa. Les nuages filent, héron cendré et grand cormoran s’affrontent sur les eaux paresseuses de la Garonne, les fruits s’énervent d’été, j'attends le retour de la lune et contemple, rassuré, la pile de livres qui m’attendent : « Dans son sillage », roman de Jessica Andrews recommandé par ma fille, dont je suis aveuglément, ou presque, les prescriptions littéraires et musicales ; « Chelsea Girls », récit autobiographique de la poétesse Eileen Myles ; « Les Jaloux », de l’excellent James Lee Burke (86 ans), dont je lis tout ce qui paraît depuis une quinzaine d’années, comme je le faisais avec d'autres vieux compagnons, Charles Bukowski ou Jim Harrison. Je sais, je parle trop, mais pas souvent.
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claudehenrion · 1 year ago
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La vérité sur Gabriel Attal... et notre futur proche.
Si l'on en croit la totalité des gazetiers lévogyres de toute couleur rose foncée qui polluent le microcosme germanopratin (NDLR : c'est étrange comme tout change, dans le monde, sauf la teinte politique des journaleux : ils ont ''tout faux'', et sur tout... mais ils refusent de le reconnaître !), notre ''young leader'' et premier ministre, n'aurait qu'une seule qualité et qu'une caractéristique : il est jeune... comme si la jeunesse était une excuse et pouvait ternir lieu de ''projet'', et comme si l'inexpérience absolue pouvait être une qualité...
L'avantage, chers amis-lecteurs, qu'il peut y avoir à être abonné à un ''Blog'' comme celui-ci, c'est que vous avez la quasi-certitude de recevoir, ''en avant-première'', des informations ''de derrière les fagots'' qui vous permettront parfois de briller dans les emm.. nuyeux ''dîners-en-ville'' où il est bien vu de sortir une information que les autres n'ont pas.. Et ce matin, comme cela m'arrive de temps en temps, je vais servir une rafale de bottes secrètes passionnantes : je les tiens du cousin berrichon (par son père.. parce que, du côté de sa mère, ce serait plutôt moitié breizh, moitié auvergnat et moitié ariégeois) de mon amie Madame Michu –un ''gens généralement bien informés'' dont les exploits, narrés par Coluche, ont enchanté nos ''années 80''.
Gabriel Attal est, incontestablement, djeunz... au point que certains émettent souvent des doutes sur sa capacité à régner sur ''un pays où il existe 258 variétés de fromages'', pour reprendre cette jolie définition que donnait le Général. Comme on pouvait s'y attendre, la presse s'est ruée sur cette chance formidable : pouvoir répéter, sans en changer un mot, ce que vos chers con frères (que je préfère écrits en deux mots, vous savez ça !) ont déjà recopié sur ceux qui l'avaient lu ailleurs et rapporté. Nous croulons donc littéralement sous le même récit colporté cent et bientôt mille fois, de la vie de ce petit garçon moqué et harcelé qui a été déclaré ''Djeunz'' avant même d'avoir eu le temps d'être ''jeune''. Tout ce qu'il connaît de la vie, c'est qu'il ne sait rien de la vie... Et, nous explique-t-on avec l'air componctueux, c'est ça le mieux, pour diriger un pays. Moi, je veux bien (façon alambiquée de dire : je n'y crois pas une seconde !).
Il n'a manqué à personne qu'il manque à cette analyse... le principal : le thème astrologique de ce fort en thème... Fort heureusement pour vous, votre blogueur personnel est là pour pallier cette lacune, avec l'aide inévaluable de la célèbre Natacha S., astrologue-conseil à Ciboure (c'est ''dans le soixante-quatre'' !) qui se présente, sur le site ''Planète point fr'' comme ''astrologue chevronnée ayant plus de trente ans d'expérience''. (NDLR : on n'est jamais assez prudent, par les temps qui courent, avec tous ces migrants qui courent aussi... mais plus vite que les flics qui voudraient bien les rattraper pour que des juges –inscrits au syndicat rouge dit de la magistrature isochrome-- les relâchent sans relâche...). Comme d'autres, cette experte digne de con courir avec Mc Kinsey pour ponctionner nos budgets déjà défaillants –et même défaillis !-- est formelle : il est né le 16 mars 1989 à 13 h 35 à Clamart (c'est dans le département quatre-vingt-douze, béni, depuis), et il a donc le Soleil en Cancer (à 28°17') et la Lune en Bélier (à 5°33), ce qui change tout...
Mais tout ceci n'est rien : ses Dominantes sont Cancer, Poissons, Capricorne, Lune, Saturne, Soleil et ses Maisons 9, 12, 6 / Eau, Terre / Cardinal, ce qui devrait retenir votre attention. Car ''se trouver en poisson avec un ascendant Cancer... fait éclater une personnalité d'eau, marquée par l'intuition et la douceur... ce qui force l'attention''. (je n'invente rien). Et en plus de toutes ces merveilles, il a une Lune puissante –mais non, voyons ! Ce n'est pas ce que vous croyez : cet édito s'interdit de parler de ce qui n'est pas astral chez Attal et vice-versa-- ''ce qui lui permet de capter l'air du temps avec aisance''. En lisant ça, j'ai été rassuré : imaginez qu'au lieu de capter l'air avec sa Lune et avec aisance, il ait, par exemple, bu la tasse ou craché le morceau ! Ouf ! Dans notre manque de pot, on a du pot ! On doit avoir Saturne... là où vous pensez !
Mais avançons, s'il vous plaît : j'ai été vraiment heureux de constater que la conjonction (en un seul mot, s'il vous plaît : c'est notre PM !) du Soleil et de Vénus en Poissons souligne son habileté à nager dans l'eau au milieu de projets complexes ! Mais je ne vais pas vous faire mariner davantage : ''Il a trois planètes dans sa Maison neuf (et non pas ''neuve'' comme on l'aurait écrit normalement). Cette maison-là est celle de l'humanisme, qui ''élève l'être humain au dessus de sa condition de bête '' --sic ! (NB : je me disais bien, aussi : pour être premier ministre à 34 ans, faut pas être bête !). Mais tout n'est pas rose, malgré ses origines socialistes : la conjonction de Mars et Jupiter (pas Macron... l'autre, si j'ai bien compris !) souligne une forme d'hyper activité (ça, comme dit l'autre, on l'avait remarqué !).
Une conclusion ? Comme il se répète, partout dans Landerneau et à la Lanterne qu'on le jugera sur ses succès (dont le système et le club Bildenberg ont déjà la liste impressionnante, prête depuis bien avant sa nomination officielle), on ne doit tirer de cette magnifique analyse astrale attale... qu'il ne faut pas conclure ! Flaubert, d'ailleurs, ne disait-il pas que ''seuls les imbéciles veulent conclure'' ? Une remarque, tout de même : le patron de notre nouvelle star astrologique aurait pu faire l'économie d'une conférence (en un mot, ici : c'est le président !) de presse pour nous faire découvrir ex nihilo ''SES'' projets pour ''NOTRE'' futur... lui qui a été élu sans le moindre programme et qui nous un impose un, soudain, concocté tout seul dans son coin, à la manière de ces autocrates qu'il feint de critiquer mais dont il imite servilement le comportement.
Le message qu'il va nous emboquer (il y en a pour 2 heures et demi... ) va sans doute tourner autour de ''tout va mieux, on progresse, on a déjà fait 60 ou 70 % du chemin'', et de ''unis, nous vaincrons'' (Question : ''pourquoi plus il nous impose de ses faux progrès, plus les gens sont malheureux ?). Ensuite, je parie qu'il va énumérer les centaines d'actions ponctuelles qui vont (ou pas !) nous tomber sur la cafetière dans les jours qui viennent. Que d'indigestions en perspective ! Mais on est ''rodés'', et personne n'y croit plus. Après ''un premier ministre pour la galerie'', une ''conférence de presse pour rien''... C'est quand, ''la quille'' ? 
H-Cl.
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sofya-fanfics · 1 year ago
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Je t’ai écrit cette lettre
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Fandom : Naruto
Relationship : Sasuke x Sakura
Voici ma participation pour le Year of the OTP 2023 pour le prompt : Je t’ai écrit ceci.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Sasuke rangea rageusement la lettre dans sa poche. Idiot de Naruto, idiot de Kakashi, pensa-t-il. Ils n’avaient aucun besoin de se mêler de ses affaires.
Disclaimer : Naruto appartient à Masashi Kishimoto.
@yearoftheotpevent
AO3 / FF.NET
Sasuke rangea rageusement la lettre dans sa poche. Idiot de Naruto, idiot de Kakashi, pensa-t-il. Ils n’avaient aucun besoin de se mêler de ses affaires.
Sasuke avait loué un petit appartement à son retour à Konoha et Naruto était venu lui rendre visite dans la matinée. Ils ne s’étaient pas revus depuis le lendemain du mariage du jeune Uzumaki car lui et Hinata étaient partis en lune de miel. Ils étaient revenus la veille et Naruto avait décidé de rendre visite à son vieil ami, comme il avait déclaré à Sasuke lorsque celui-ci avait ouvert la porte de son appartement. Au bout d’un moment, Naruto remarqua une lettre posée sur la table basse du salon.
« Qu’est-ce que c’est ? Demanda-t-il en prenant la lettre. »
Sasuke écarquilla les yeux. C’était la lettre qu’il avait écrit à Sakura lors de son voyage de rédemption. Il lui avait écrit qu’il l’aimait et qu’il voulait qu’elle parte avec lui. Cela lui avait été plus facile de coucher ses sentiments sur un papier plutôt que de lui avouer en personne, même s’il n’avait jamais été le genre d’homme à écrire de grandes déclarations d’amour. Mais il n’avait jamais eu le courage de lui envoyer la lettre. Bien sûr, il avait fallu que Naruto la voit. Il n’osait déjà pas la donner à Sakura, alors ce n’était pas pour que Naruto la lise.
« Rends-la moi !
-C’est une lettre pour qui ? C’est pour Sakura-chan ? »
Sasuke rougit.
« C’est une lettre d’amour pour Sakura-chan ? »
Sasuke rougit encore plus et Naruto sourit jusqu’aux oreilles. Sasuke connaissait cette expression. C’était la même qu’il avait lorsqu’ils étaient genins et qu’il cherchait à l’ennuyer. Même s’il était marié et qu’il serait le prochain Hokage, par moment Sasuke avait l’impression qu’il était toujours l’enfant farceur de douze ans qu’il avait été. Naruto s’apprêtait à déplier la lettre. Sasuke se précipita sur lui, mais Naruto l’évita de justesse.
« Naruto, ragea Sasuke. »
Il ne rougissait plus à cause de la gêne qu’il ressentait, il était désormais en colère.
« Allez Sasuke, laisse-moi t’aider. Je peux te dire si ta lettre n’est pas trop mièvre. »
Sasuke essaya de l’attraper, mais Naruto l’esquiva à nouveau avant de s’enfuir par la fenêtre. Le jeune Uchiha le suivit. Il était hors de question qu’il le laisse s’en tirer comme cela. Ils se poursuivirent dans les rues de Konoha, devant le regard médusé de certains passants et indifférent d’autres habitués au comportement des deux amis. Cette poursuite se termina en combat sur le pont du village, Sasuke voulant récupérer sa lettre et Naruto refusant de la lui donner. Tous deux n’avaient pas remarqué que Kakashi les observait. Ils finirent par tomber à l’eau. Kakashi ramassa la lettre qui était tombée par terre et l’ouvrit. Il rit légèrement en la lisant.
« Et bien Sasuke, je ne savais pas que tu écrivais si bien. »
Sasuke rentrait chez lui. Il était trempé et énervé, mais au moins il avait récupéré sa lettre. Il la sortit de sa poche et la regarda à nouveau. Elle était chiffonnée mais au moins, Naruto n’avait pas réussi à la lire. Même si cela le contrariait que Kakashi l’ait lu.
« Sasuke-kun ! »
Il leva les yeux et vit Sakura arriver vers lui. Elle fronça les sourcils en voyant son état.
« Qu’est-ce qui t’es arrivé ?
-Naruto, répondit-il simplement. »
Sakura acquiesça, n’étant pas surprise. Sasuke jeta un coup d’œil à la lettre. C’était maintenant où jamais. Il la lui tendit timidement.
« Je t’ai écrit cette lettre. »
Sakura rougit et la prit. Elle la déplia et commença à la lire. Elle fronça les sourcils et Sasuke sentit son cœur s’accélérer. Est-ce qu’elle allait refuser ses sentiments ? Est-ce qu’elle refuserait de partir avec lui ? Il avait l’impression que tout ce passait bien entre eux. Mais peut-être aurait-il dû réfléchir plus longtemps. Il lui demandait de quitter sa famille, son travail, ses amis pour le suivre. À quoi est-ce qu’il pensait ?
« Sasuke-kun. »
Il retint son souffle quelques secondes.
« Je ne peux pas la lire. »
Elle lui rendit la lettre et il la regarda. Elle était tâchée et par endroit, l’encre avait bavé à cause de l’eau. Elle était complètement illisible. Kakashi n’avait pas pu la lire non plus. Il s’était moqué de lui, pensa Sasuke, agacé.
« Qu’est-ce que tu m’avais écris ?
-Je te le dirai plus tard. Si on allait dîner dans ce nouveau restaurant où tu voulais aller. »
Sakura sourit et acquiesça. Il lui prit la main et ils se dirigèrent vers le restaurant. Ce n’était pas grave si elle n’avait pas lu la lettre, pensa Sasuke. Il était désormais temps qu’il lui avoue ses sentiments et cette fois il les lui dirait de vive voix.
Fin
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rayondelun3 · 1 year ago
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J'ai froid. Il y avait ça par terre. J'ai bien travaillé aujourd'hui. J'hésite à ranger. Il faut que je me démaquille. Ça fait longtemps que je n'ai pas écrit en format journal ici, ou que j'ai reçu une lettre... Les deux me manquent. Il me semble que c'est depuis que mon chat est mort que je ne vous ai plus écrit. J'espère que vous allez bien. Je suis toujours en vie pour ma part - idk how honestly. J'ai étudié à la médiathèque et j'ai trouvé des bouquins incroyables.
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J'ai juste emprunté Nakamura et Inoué au final. Je regrette un peu de ne pas avoir pris un Mishima... Mais il y en a là bas et les autres livres devraient m'attendre sagement aussi alors ne paniquons pas.
J'ai ri un petit peu aujourd'hui.
Il y avait devant T. et moi des personnes que je connaissais mais j'ai évité tout contact. Et puis j'ai évité tout contact avec absolument tout le monde. Je vis dans une bulle de solitude ; je ne me savais pas si solitaire. Je n'apprécie pas être seule, pas spécialement, mais je n'ai pas envie de voir les autres. Je me sens en décalage, j'en ai marre des efforts et des justifications... Tant pis. Ce sera pour quand le soleil reviendra.
J'ai enfin un pantalon de pyjama ! Et il y a un poisson dessus. <3
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Et oui je suis gelée sur une pile de vêtements avec mon énorme ours en peluche contre moi ; oui oui j'ai bien eu 23 ans cet octobre. Oui oui je suis toujours déprimée et je m'auto trigger c'est super. Oui oui c'était sarcastique. Oh merde il me reste 20% de batterie. Fuck. Je vais chercher mon chargeur, me démaquiller et me brosser les dents, déplacer le tas de fringues... Je rangerai demain (promis).
Suis fatiguée et j'en ai marre. Suis aussi triste et me tape une migraine. Suis pas hyper satisfaite de mon poème Cadavre Exquis... Je vais peut-être le retravailler. Sinon je suis tombée sur une citation de Sylvia Plath (vous savez que je l'adore)... C'était dans le livre des symboles, un extrait d'Ariel à propos de la lune :
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La Lune et le cyprès.
Sylvia t'es vraiment super forte. Love you even if you are dead. Might write you a letter one day. Also, I burned things from the past, I enjoyed it. Might do it again.
Gd8.
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