#à voir sans attendre
Explore tagged Tumblr posts
lilias42 · 4 months ago
Text
Etat d'avancement de la BD... un peu...
Musique d'ambiance quand je dessine la partie avec Rhéa :
youtube
Celle quand j'en suis à la page suivante où c'est avec Pyrkaïa :
youtube
...
Tumblr media
Bon, je vais plutôt continuer à dessiner l'histoire de Félicia en fait, le temps que ma tête se calme un peu...
2 notes · View notes
coolvieilledentelle · 10 months ago
Text
Tumblr media
VIEILLIR EN BEAUTÉ ET EN SAGESSE “Vieillir en beauté, c’est vieillir avec son cœur, Sans remords, sans regret, sans regarder l’heure. Aller de l’avant, arrêter d’avoir peur, Car à chaque âge se rattache un bonheur. Vieillir en beauté, c’est vieillir avec son corps, Le garder sain en dedans, beau en dehors. Ne jamais abdiquer devant un effort. L’âge n’a rien à voir avec la mort.
Vieillir en beauté, c’est donner un coup de pouce! À ceux qui se sentent perdus dans la brousse, Qui ne croient plus que la vie peut être douce Et qu’il y a toujours quelqu’un à la rescousse.
Vieillir en beauté, c’est vieillir positivement. Ne pas pleurer sur ses souvenirs d’antan. Être fier d’avoir les cheveux blancs, Car pour être heureux, on a encore le temps.
Vieillir en beauté, c’est vieillir avec amour, Savoir donner sans rien attendre en retour, Car où que l’on soit, à l’aube du jour, Il y a quelqu’un à qui dire bonjour.
Vieillir en beauté, c’est vieillir avec espoir, Être content de soi en se couchant le soir. Et lorsque viendra le point de non-recevoir, Se dire qu’au fond, ce n’est qu’un au revoir!
Ne regrette pas de vieillir. C’est un privilège refusé à beaucoup!”
Texte de Félix Leclerc
58 notes · View notes
e642 · 3 months ago
Text
Paralysée par l'angoisse, je suis incapable de faire autre chose que me réveiller, aller au travail, rentrer, me triturer la peau, attendre d'aller dormir, pas dormir. Le tout agrémenté d'innombrables clopes qui me donnent soit la nausée, soit un coup de barre, soit un dégoût de moi-même. J'aime pas le chemin que prend ma vie depuis assez longtemps pour que ça me soit douloureux d'y penser à chaque fois. Je sais que seul moi peut changer certaines choses mais la peur m'écrase les entrailles. J'ai peur de tout. De la douleur, des études, des repas, du sommeil, des relations sociales, de tout ce qui peut exister. Je me répète. Sans cesse. L'impression de ne plus évoluer me fait mal au cœur. J'enchaîne les petites douleurs psychosomatiques, les maux de tout genre, là pour me réveiller à la base, là pour me faire comprendre qu'il y a bien une chose qui cloche au minimum, mais je préfère attendre que ça passe. C'est juste une consécution. C'est bête d'attendre que ça passe quand on a aucune idée de ce qu'on attend. Ça ne partira jamais si je ne fais rien pour que ça parte. Les vacances sont passées en un clin d'oeil furtif. Je ne crois pas avoir eu le temps de rien. Mais si je l'avais eu, j'aurais rien fait pour autant. Donc j'ai peut-être eu du temps sans le savoir, j'en ai seulement tellement rien fait que ça m'a donné la sensation de ne pas en avoir eu. Ce ne sont que des impasses dans lesquelles je m'engouffre. Visiblement m'exprimer, écrire, réfléchir ne m'aident pas, peut-être que c'est parce que je me cache des choses, peut-être que je ne veux pas voir les choses en face. Je me suis connue tellement plus aventureuse et courageuse. J'ai l'impression d'être tombée mais de ne pas m'être relevée immédiatement me créant cette presque phobie de la prochaine chute. Comme si je pouvais y échapper. Le fait est que je crois qu'on n'échappe à rien dans la vie, on retarde uniquement et après on se plaint que c'est violent. Ça n'aurait pas pu en être autrement. Mon inaction est frustrante. J'attends que tout vienne de l'extérieur, que le monde me rejette pour ne pas avoir à rejeter, que le monde me blesse pour ne pas avoir à blesser, que le monde décide pour ne pas avoir à décider. L'urgence est pourtant précisément dans une prise de position. J'ai aussi peur de regretter ou peur de prendre une énergie monstrueuse à décider pour au final ne pas en voir la nuance, ni le changement, ni rien. Ce sont des excuses. Quand je me regarde j'éprouve une telle répugnance, ça ne m'était pas arrivé depuis longtemps. J'aimerais pouvoir mettre un goût de gomme et tout retracer. J'aimerais vraiment.
16 notes · View notes
lisaalmeida · 10 months ago
Text
Les passantes d'Antoine Pol
Je dédie cette chanson
à chaque femme pensée comme de l'amour
en un instant de liberté
à celle connue à peine
Pas le temps et ça valait le coup
de perdre un siècle de plus
À celle presque à imaginer
Tellement pressé, tu l'as vue passer
Du balcon à un secret plus loin
et tu aimes en rappeler le sourire
qui ne t'a pas fait
et que tu lui as décidé
dans un vide de bonheur
À la compagne de voyage
ses yeux le plus beau paysage
Fans paraître plus court sur le chemin
et peut-être que tu es le seul à la comprendre
et tu la fais descendre sans la suivre
sans avoir touché sa main
À celles qui sont déjà prises
et que je vis des heures déçues
Avec un homme trop changé
Ils t'ont quitté, folie inutile
voir le fond de la mélancolie
d'un avenir désespéré
Des images chères quelques instants
Vous serez bientôt une foule distante
Surmontées d'un souvenir plus proche
pour peu que le bonheur revienne
c'est très rare que l'on se souvienne
des épisodes du chemin
Mais si la vie cesse de t'aider
c'est plus dur de t'oublier
de ces interviews de bonheur
Des baisers qu'on n'a pas osé donner
des occasions laissées pour attendre
des yeux plus jamais revus
Alors dans les moments de solitude
quand le regret devient l'habitude,
une façon de vivre ensemble,
on pleure les lèvres absentes
de toutes les belles passantes
que nous n'avons pas pu retenir
Tumblr media
33 notes · View notes
selidren · 3 months ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Automne 1923 - Champs-les-Sims
3/7
Mise devant le fait accompli, je n'ai pu qu'essayer de l'en dissuader. A t-on idée d'offrir un sarcophage à sa grand-mère centenaire sans qu'elle y imagine un message subliminal glauque ? Il n'a rien voulu entendre, il a même tenté de me convaincre grâce à un argumentaire qui fonctionnerait si on la seule personne qu'on essayait de convaincre était Constantin Le Bris en personne. Il m'a parlé d'un de ses maîtres à penser, qui a forgé sa vocation, l'illustre Auguste Mariette, a été inhumé dans une espèce de sarcophage. Il m'a même fait visiter le monument dédié à ce monsieur lorsque nous sommes passés au Caire. Le lieu ne manque pas de panache, mais je doute que cela soit approprié pour une femme comme Madame Eugénie. Dans une tentative un peu maladroite, il a même ajouté "Allons bon, je ne compte quand même pas la faire momifier". En effet, je doute que l'idée ait plu à sa grand-mère. En plus du cadeau sarcophage s'entend.
En rentrant en France, j'ai donc eu ce mélange de curiosité et d'appréhension quand à savoir la réaction de Madame Eugénie. Pour des raisons évidentes, le sarcophage a été bloqué à la douane de Marseille quelques temps, mais comme nous étions attendus au mariage d'Alexandre, nous avons du nous résoudre à le laisser là-bas et attendre que l'administration fasse son œuvre. Très personnellement, j'ai espéré que le sarcophage soit malencontreusement perdu comme le sont des centaines de lettres par les postes françaises. Malheureusement, il n'est pas aisé de perdre un colis de plus d'une tonne.
Vous voudrez sans doute savoir ce qu'en a pensé Madame Eugénie. Aussi étonnant que cela puisse paraître, elle a semblé apprécier. Elle connait depuis sa naissance le caractère particulier de Constantin et son tact légendaire, alors elle a du trouver malgré tout une forme de contentement. De toute façon, connaissant la dame, elle aurait pu détester et abhorrer le cadeau qu'elle aurait quand même insisté pour être enterrée à l'intérieur. Juste parce que c'est un cadeau de son cher petit-fils.
Transcription :
Eugénie « Et bien, merci mon petit... »
Constantin « Cela vous plaît ? Ah, je savais qu’Albertine se trompait, je vous connais bien mieux qu’elle ! Voulez vous voir l’intérieur ? J’imagine que oui, mais malheureusement la dalle en calcaire est bien trop lourde pour moi. J’ai néanmoins fait polir les encoignures et pour que cela reste sobre mais élégant, j’ai demandé à un sculpteur de Karnak de graver à l’intérieur du couvercle des étoiles comme dans les hauteurs des chambres funéraires des pyramides et dans le fond, une représentation de la déesse Mout. Bon, notre homme n’avait pas le style d’un ancien égyptien, mais il a fait un travail correct. Je lui ai également dicté quelques formules rituelles traditionnelles et j’ai traduit en hiéroglyphes votre nom comme je l’ai pu et vos titres de façon approximatives pour qu’il les grave également à l’intérieur. »
Eugénie « Mes titres ? Je ne suis ni noble ni reine. »
Constantin « Non, mais vous êtes ma grand-mère et le coeur de notre famille. Et bien plus encore. »
Eugénie « Continue Constantin... Qu’as-tu ajouté ? »
Constantin « Mère dévouée, mère aimée, honorable matriarche et protectrice de la lignée.  Je voulais également y inscrire le nom de tous vos descendants, mais je n’aurai pas su comment traduire tous ces noms français et de toute façon, nous étions attendu à Alexandrie. »
Eugénie « C’est un cadeau singulier, tout comme toi mon petit Constantin. Je suis fière d’être ta grand-mère. »
10 notes · View notes
booksfromtheunderground · 1 month ago
Text
Roman-photo, septembre 2024
Bilan de ce mois de rentrée où j'ai commencé ma thèse, repris mon manuscrit en cours et préparé mon déménagement 📚
Cet article est aussi disponible sur Substack, où vous pouvez choisir de lire mes articles dans l'application ou de les recevoir par mail dès qu'ils sont publiés !
Tumblr media
C’est d’ici que je vous écris.
Mais, avant de commencer…
Qui suis-je, et qu’est-ce que je fais ici ?
Tout a commencé le samedi 21 septembre, quand j’ai décidé de lire la dernière newsletter de Sophie Gliocas, Ecrire une newsletter pendant un an : ce que j’ai appris et ce qu’il me reste à apprendre.
Dans son article, Sophie cite quelques newsletters qu’elle a aimé lire, dont une intitulée “the end of our extremely online era.” de Tommy Dixon. C’est un texte dans lequel l’auteur explique que, selon lui, cette “ère” où tout le monde est sans cesse “en ligne” va prendre fin, un jour, et que les signes de cette fin commencent déjà à se voir. Ce n’est pas que cet article m’ait révélé quelque chose – ça fait des années que je quitte, petit à petit, les réseaux sociaux avec lesquels j’ai grandi (RIP Twitter ⚰️) et que je critique (avec quelque mépris, je l’avoue) ces personnes incapables de lâcher leur écran plus de 2 minutes – mais il m’a fait me rendre compte qu’il ne tenait qu’à moi de donner vie à cette nouvelle ère, en supprimant le dernier réseau social auquel j’étais encore attachée… Instagram. J’y étais attachée, et pourtant ça faisait des années que je ne l’utilisais plus que comme une vitrine : vitrine vers ma chaîne Youtube, plus précisément. Et pourtant je suis bien plus suivie sur Youtube que sur Instagram… cherchez la logique.
Quelques jours plus tard, je supprimais Instagram de mon téléphone. Et je décidais d’inventer une manière, plus personnelle, de partager mes photos, et surtout de les mêler à du texte, du vrai texte, pas une pauvre description de deux lignes sous un carrousel de photos. C’est ici qu’a surgi l’idée du roman-photo – je parlerai de la naissance de ce genre narratif du XIXe siècle dans mon prochain article, c’est promis. L’idée était telle : tous les mois, récupérer les photos prises pendant le mois et les expliquer, les contextualiser, les accompagner avec du texte ; ainsi, réunir les deux passions qui me suivent depuis l’enfance : l’écriture et la photographie.
Tumblr media
Bonnard, Young Woman Writing, 1908.
Et moi, alors ?
Je suis, avant tout, une grande passionnée de littérature. J’ai obtenu l’agrégation de lettres modernes en 2023, ce après quoi j’ai effectué mon stage obligatoire d’enseignement dans le secondaire (j’ai tellement détesté que j’ai fait un burn-out, et ça, je n’en ai jamais parlé sur Youtube, mais peut-être qu’ici, cachée derrière mes mots, je pourrais l’évoquer ?). En même temps que cette année de stage, je préparais un projet de thèse, dans l’espoir d’obtenir un contrat doctoral dans mon université : et ce fut le cas. 🥳 Ce mois de septembre, c’était donc mon premier mois de thèse, un mois surtout très administratif et pendant lequel j’ai peaufiné mon organisation.
youtube
Réaliser un seul rêve à la fois ne me suffisant pas, je suis aussi en train d’écrire un livre, un recueil de nouvelles pour être exacte. Là aussi, je pense qu’il faudra attendre un article séparé pour entrer dans les détails, sinon cet article va finir par être plus long que mon manuscrit… On va en parler un peu, mais je vous raconterai l’histoire de sa création un autre jour.
Enfin, n’oublions pas que je suis aussi, à mes heures perdues, professeure de lettres. Pour “valoriser” mon contrat doctoral, j’ai quelques missions d’enseignement à l’université : une classe de L1 au semestre 1, et une classe de M1 au semestre 2. Et pourquoi ne pas commencer par ça ?
Mercredi 25 septembre, je donnais mon premier cours, un cours de littérature contemporaine de 3 heures, pour des L1. Je vous passe le fait que non seulement je suis arrivée avec 2 minutes de retard, mais en plus j’avais complètement oublié de demander ma clef pour ouvrir la salle, donc j’ai du aller chercher la gestionnaire pour qu’elle m’ouvre la porte… tout ça pour me retrouver devant 60 élèves dans une classe qui contenait 30 chaises. Mais la vérité c’est que rien de tout cela n’était stressant, parce que cette université c’est un peu comme ma maison, et qu’y travailler c’était tout simplement un rêve. Forcément, j’avais un peu d’appréhension après le fiasco de mon année en lycée, et puis… je me suis vite rendue compte que 60 élèves de fac, c’était terriblement plus silencieux que 25 élèves de 2nde, et je me suis éclatée pendant 3 heures à parler de notions parfois un peu compliquées, mais qui étaient pour moi beaucoup plus simples à expliquer que la grammaire de la phrase complexe que l’on est forcés de se farcir dans le secondaire. Pas de bavardages, pas d’heures de colle, pas de grammaire : 60 élèves plus ou moins perdus, plus ou moins attentifs, mais qui savaient que s’ils voulaient partir, rien ne les retenait, et qui restaient à m’écouter leur expliquer les débats autour de l’écriture féminine dans les années 1970 et la naissance des gender studies en France. Un pur bonheur.
Tumblr media
Forcément, qui dit rentrée, dit organisation. J’ai donc ressorti mon agenda Muji (♡) que j’ai interdiction (établie par moi-même) d’utiliser pour autre chose que le travail. Comme j’avais préparé mon premier cours la première semaine de septembre, j’ai pu me consacrer à ma thèse pendant la deuxième : j’ai donc continué de lire Romans fin-de-siècle, une anthologie de romans décadents que je lis pour ma thèse (qui est centrée sur le mouvement décadent. Ça aussi, vous voulez un article dessus ?).
Tumblr media
Et puis, je me suis dit que ces articles seraient l’endroit idéal pour parler de ces livres que je parcours pour ma thèse, mais que je ne lis pas en entier, et qui n’ont donc pas le privilège d’être rentrés dans mon Storygraph et comptés dans mes lectures du mois.
Tumblr media
En septembre, j’ai donc travaillé avec La Femme auteur, n°1 de la revue Le Magasin du XIXe siècle. Je pensais y trouver une mine d’or d’informations, finalement je n’ai retenu que l’article de Martine Reid, “Éditer les femmes auteurs”, et l’article de Laurence Brogniez, “Le Naturalisme en bas-bleus : Marc de Montifaud et l’école de la chair”, qui concerne une des autrices de mon corpus principal (Marc de Montifaud, de son vrai nom Marie-Amélie Chartroule de Montifaud).
Je me suis ensuite penchée sur Le Mal dans l’imaginaire littéraire français, une collection d’articles dirigée par Myriam Watthee-Delmotte et Metka Zupančič. En plus de la préface de Max Milner de l’introduction, j’y ai retenu un grand nombre d’articles, tous passionnants pour mon sujet :
“‘Laisse au vieux Platon se froncer l’œil austère.’ Baudelaire, le romantisme français et la thématique du Mal” de Michel Brix
“De Sade à Lautréamont : L’Altérité et le problème du Mal” de Daniel Castillo Durante
“Homosexualité et images du Mal (1900-1950)” de Christopher Robinson
“Malédiction de la féminité” d’Anne-Laure Bucher → ❤️❤️❤️
“L’Infortune des Rougon ou Le mal des origines” d’Auguste Dezalay
“Un roman coupable : Le Jardin des supplices de Mirbeau” d’Emmanuel Godo
“Celles par qui le scandale arrive : Éthique de l’innocence chez Gérard d’Houville et Anna de Noailles” de Catherine Perry
J’ai aussi travaillé avec l’ouvrage de Christophe Cima, Vie et œuvre de Jean Lorrain, ou Chronique d’une “guerre des sexes” à la Belle Époque, qui m’a surtout servi avec son développement sur “Le dandy et la décadence” (II, 2) et, surtout, sur “Le mythe de la ‘femme fatale’” (II, 3). J’y ai pioché un nombre de références incalculable.
Enfin, j’ai commencé à ficher La Décadence. Le mot et la chose, un ouvrage de Jean de Palacio dans lequel il propose une étude linguistique et stylistique de l’écriture décadente, une base nécessaire pour embrayer sur mes propres recherches.
Tumblr media
Alors, forcément, j’ai passé la grande majorité de mes journées à la bibliothèque universitaire…
Tumblr media
… où à lire dans mon canapé :
Tumblr media
Mais je suis enfin parvenue (ce week-end, en fait) à me créer une petite organisation bien équilibrée.
C’est écrasant de logique, mais pour quelqu’un qui a tendance à accumuler les projets, c’est terriblement nécessaire. Du lundi au vendredi, je passe mes journées sur ma thèse et la préparation de mes cours, en faisant l’équivalent d’un 9h-17h ou 10h-18h, sachant que trois soirs par semaine, je me rends dans mon club de natation synchronisée (je ne mens pas quand je dis que je ne m’arrête jamais). Puis, dès que vendredi soir arrive, vient l’heure des passion projects : je me consacre à ma chaîne Youtube, où je publie une vidéo par semaine, et à mon recueil de nouvelles. Mon objectif étant d’écrire trois fois par semaine, j’ai réussi ce week-end à écrire 1 heure vendredi, 1 heure samedi, et je compte bien m’y atteler ce soir. Récemment, j’ai imprimé mon manuscrit et je complète une nouvelle inachevée à la main : je me suis rendue compte que j’étais bien plus motivée à écrire quand je savais que ça ne me forcerait pas à passer 1 heure (ou plus) devant un écran. Donc j’écris à la main, sans vraiment me relire, et quand la nouvelle sera terminée je l’ajouterai au “tapuscrit” (ou alors j’attendrais d’avoir achevé le recueil entier… qui sait).
Tumblr media
Pour finir (et après je vous libère !), j’avais annoncé dans mon dernier vlog que j’allais bientôt déménager. Ce mois-ci, je me suis attelée à un premier tri de mes livres : j’ai vendu ceux que je pouvais vendre sur momox, j’ai mis de côté ceux qui partiraient en boîte à livres (voir photo) et j’ai rangé dans de grandes boîtes transparentes ceux dont je n’aurai pas besoin pour ma thèse, mais que je veux quand même garder. J’ai noté les titres et les auteurs sur des feuilles pour ne pas me perdre quand je chercherai désespérément à retrouver un livre en particulier.
Tumblr media
Le roman le plus drôle que j’aie lu ce mois-ci.
Sur ce… c’est la fin de ce premier roman-photo, qui sera suivi par d’autres (tous les mois !) et par des articles un peu plus thématiques, qui eux viendront quand vient le temps, l’envie et l’inspiration. Mais me connaissant, ça ne saurait tarder. ⏳
Littérairement vôtre,
Ève Antonov
7 notes · View notes
christian-dubuis-santini · 5 months ago
Text
Tumblr media
Jacques Lacan a parlé. Pourquoi?
Pour le savoir, faut-il écouter ceux qui, depuis sa mort, parlent moins de lui que de leur propre position par rapport à lui? Ce n’est pas le bon moyen.
Ce qu’il faut, c’est rappeler qui il était. Il était un homme ; cet homme cherchait la vérité ; le chemin qu’il ouvrait pour la chercher était la parole.
L’HOMME
Les sciences de l’homme sont sans doute ainsi désignées parce qu’elles nous enrichissent d’un savoir sur diverses fonctions de l’homme ; ce faisant, elles nous permettent de masquer et d’oublier notre ignorance de l’homme lui-même, notre inattention au fait que chaque homme est un mystère. Un mystère qui reste insondable.
Jacques Lacan, c’est d’abord un homme, attentif à l’homme, à sa réalité toujours inaccessible, à son désir dont le caractère propre est de ne jamais pouvoir être satisfait.
Dans le monde intellectuel, il était classé tantôt comme psychanalyste, tantôt comme philosophe, voire comme poète, ou encore comme structuraliste, surréaliste, acteur… la liste pourrait s’allonger. Or il est avant tout un homme, dont il ne suffit pas de dire qu’il était humain.
Sa contribution à la psychanalyse, si importante qu’elle soit, ne permet pas de dire qui il était. Bien au contraire, c’est parce qu’il était cet homme unique, nommé Jacques Lacan, qu’il a pu mettre en valeur la découverte inaugurée par Freud : celle de l’inconscient. Mise en valeur telle que le monde des psychanalystes ne l’a pas accueillie sans émoi.
Mais qu’est-ce donc que l’inconscient? En entendant ce mot, chacun se soucie de le définir. Que révèle un tel souci? Il indique le plus souvent moins une recherche de la clarté, que la fuite d’un mystère qui inquiète et qui, cependant, caractérise la vie psychique dans sa réalité.
L’inconscient échappe à toute définition ; il désigne l’homme lui-même dans cette dimension de son mystère qui ne donne aucune prise à sa conscience.
Parler à l’homme de l’inconscient, c’est lui rappeler ce qu’il s’applique à oublier ; c’est le sauver de cet oubli que tout est organisé pour favoriser en cette fin du vingtième siècle. C’est lui rappeler en effet que son centre est ailleurs qu’en lui-même. C’est lui faire découvrir que le chemin à suivre n’est pas celui que Descartes a inauguré.
«Je pense, donc je suis.»
Cette déduction sur laquelle Descartes prend appui va-t-elle lui permettre de connaître ce «Je pense» qui pense ? Lacan réplique: «Je ne suis pas ce que je pense.» La vérité ainsi formulée jaillit de la découverte de l’inconscient, autrement dit de l’homme lui-même. La reconnaissance de l’inconscient permet à l’homme d’avoir accès à sa réalité; loin de s’enfermer dans les limites de sa vie consciente, il doit s’ouvrir à une relation qui le constitue, à une relation avec l’Autre.
Une telle relation suscite une recherche: la recherche de la vérité, de la vérité sur l’Autre et inséparablement, de la vérité sur l’homme, constitué par sa relation à l’Autre.
LA VERITÉ
Jacques Lacan: un homme; donc un chercheur de vérité.
La vérité. Ce que désigne ce mot fait peur. Chacun, comme Pilate, réagit en disant: «Qu’est-ce que la vérité ?» et s’en allant, sans attendre la réponse.
Lacan a découvert, grâce à Freud, le moyen d’entendre la réponse. «Freud, écrit-il, a su laisser, sous le nom d’inconscient, la vérité parler.»
Laisser parler la vérité. Voilà le moyen, le seul, de la connaître. Aucun savoir ne donne accès à cette connaissance. Écouter la vérité est l’unique nécessaire. Si la conscience peut entendre la vérité, elle s’y ferme souvent. L’inconscient est la voix de la vérité refoulée; plus précisément, il est la voie, c’est-à-dire le chemin par lequel elle passe, lorsque l’homme a refusé de l’entendre.
Ici prend place l’intervention du psychanalyste. Il se tait, mais il invite à parler, pour chercher à entendre la vérité qui va passer par des chemins inattendus, la vérité dont va peut-être accoucher l’homme qui parle, non sans douleur.
Ce que Lacan invite le psychanalyste à écouter, est-ce le malade? C’est bien plutôt la vérité que celui-ci a refoulée la vérité de son désir. C’est ce type d’écoute qui fonde sa méthode de psychanalyste.
Il s’agit d’écouter la vérité pour la dire. Mais Lacan sait «qu’il est impossible de dire toute la vérité c’est par cet impossible que la vérité tient au réel.»
Le réel est en effet inaccessible dans sa plénitude. Nous le réduisons à ce que nous en savons, mais nous pouvons nous ouvrir à la connaissance du réel et répondre ainsi au désir profond qui nous constitue. Mutiler ce désir nous rend malades, psychologiquement, ou spirituellement. La santé, comme la sainteté exige que nous cherchions la vérité, et, pour cela, que nous l’écoutions parler.
LA PAROLE
Nous pouvons répondre ici à notre question initiale, «Pourquoi Jacques Lacan parle-t-il?» Car il parle encore depuis sa mort.
On lui a reproché son style, et l’obscurité qui le caractérise. Il réplique: «il suffit de dix ans pour que ce que j’écris devienne clair pour tous.»
En effet chaque fois qu’un homme est porteur, non d’un savoir à communiquer, mais d’une parole invitant à chercher la vérité et, pour cela, à l’écouter, il se heurte à un refus qui se masque souvent derrière une accusation: «Ce qu’il dit est impossible à entendre.» (Évangile selon Saint-Jean 6,60)
Lacan n’a pas parlé pour autre chose que pour ouvrir la porte à la Parole qui vient d’ailleurs, qui est la Parole de l’Autre et dont l’inconscient atteste la présence; cette présence est réelle et elle est manifestée dans sa réalité par la peur qu’elle provoque, et le refus d’écouter qui est le fruit de cette peur.
À travers l’œuvre écrite de Lacan, que faut-il donc chercher? Un enseignement oral inachevé et figé? Nullement, Ce qu’il faut découvrir, c’est un homme en quête de vérité, vérité qui est le trésor évoqué dans la fable: il fallait creuser le champ pour y trouver un trésor caché. Le trésor appartient à ceux qui apprennent par expérience que ce trésor n’est rien qu’on puisse posséder.
Car le bonheur de l’homme, c’est de désirer s’ouvrir à la Parole de l’Autre. Ce désir est suscité par une présence sans laquelle l’homme n’est plus lui-même et grâce à laquelle jaillit de lui une parole qui rend témoignage à la vérité, une parole qui exprime son désir toujours nouveau de la source de sa vie d’homme.
La parole de Jacques Lacan inquiète les hommes qu’elle oblige à sortir de leur fausse paix, en posant la vraie question, la question que voici. Je n’ai pas à me demander en effet: «Que posséder ou que savoir pour devenir un homme?» La vraie question, c’est:
«Qui m’appelle à trouver dans sa recherche le sens de ma vie?»
(Sermon prononcé par Marc-François Lacan, moine bénédictin, à la mémoire de son frère, le 10 septembre 1981 en l’église Saint Pierre du Gros Caillou)
11 notes · View notes
jamie-007 · 5 months ago
Text
Tumblr media
"Je te vois" est pour moi sans conteste une des phrases la plus belle et la plus puissante du film Avatar.
Je te vois tel que tu es tout au fond de toi, là où réside ton âme,
Je te vois sans te juger, sans te blâmer, en accueillant tout de toi,
Je te vois sans attendre quoi que ce soit de toi car mes attentes et mes projections pourraient t'abimer et voiler ton identité profonde,
Je te vois dans toutes tes dimensions et riche de toutes tes expériences,
Je te vois car je sais déjà que tu es un être complet et parfait,
Je te vois, c'est ma façon de t'accueillir sans conditions, et en faisant cela, je te permets à toi aussi de te voir et de t'accueillir tel que tu es,
Je te vois, c'est t'autoriser à être, à irradier, sans filtres, sans masques et sans peurs,
Je te vois 💗
Texte de Géraldine Amelin
11 notes · View notes
sabinerondissime · 4 months ago
Text
Tumblr media
Hier après-midi et pour la première fois depuis mon adolescence, je suis allée au cinéma toute seule ! J'avais très envie de voir Vice Versa 2 mais mes enfants sont trop loin et trop grand et mon petit-fils encore trop petit. Depuis quelque temps, je réalise qu'il va falloir que je fasse les choses que j'ai envie de faire sans attendre que quelqu'un se joigne à moi. L'homme avec qui je vis à des goûts totalement différent des miens, notamment en ce qui concerne les sorties. Mais que je sorte sans lui ne lui a jamais posé de problèmes alors pourquoi m'en priver ? Le cinéma était la première et la plus facile des étapes. Mais croyez-moi, il y en aura d'autres !
12 notes · View notes
allen-san · 3 months ago
Text
Thread pour le Chapitre 252 de D.Gray-man
Pour une fois, je vais essayer de faire un petit Thread, il ne sera pas forcément comme vous avez l'habitude, vu que c'est la première fois que j'essaye, mais j'espère quand même que ça ira ^^
ATTENTION, CET ARTICLE CONTIENT DES SPOILS SUR LE CHAPITRE ALORS N'ALLEZ PAS PLUS LOIN SI VOUS NE L'AVEZ PAS ENCORE LU !
SPOILS ! SPOILS ! SPOILS ! SPOILS ! SPOILS ! SPOILS ! SPOILS ! SPOILS ! SPOILS ! SPOILS ! SPOILS ! SPOILS ! SPOILS ! SPOILS ! SPOILS ! SPOILS ! SPOILS ! SPOILS ! SPOILS ! SPOILS !
Pour commencer : on voit un Allen ado, qui parle à un possible ancien Lavi ( ou le prédécesseur du nom " Lavi ) qui se parlent dans une grotte, qui parlent de voyage et aussi du fait que ce Bookman Jr à renoncer à ses obligations pour protéger Past'Allen . Sauf que d'un coup le souvenir se brouillent pour laisser place à …. quoi ? L'avenir ? Puisqu'on voit Past'Allen adulte ( mamma mia ) affronté Apocryphos qui se sert de l'Innocence pour désintégrer Past'Allen ( ce qui d'ailleurs grâce à Bookman Jr 1er n'a pas totalement fonctionné sinon on n'aurait pas notre Allen national XD ).
je suppose qu'Hoshino-sensei n'a pas voulue s'attarder sur ce fameux long voyage sinon ça aurait pris trop de chapitre. Après tout, nous somme dans un souvenir créer par un poison, il est normal qu'il soit déstructuré car il montre à Allen l'essentiel de la vérité qu'il doit et veux savoir. J'ai eu l'impression de lire Pandora Hearts tellement c'est compliqué XD Mais on nous montre les pièces d'un puzzle ( il doit faire 10 000 pièces ) qu'il faut imbriquer pour y voir clair.
il est probable, qu'en voulant sauver Past'Allen, Bookman Jr 1er est disparu ou plutôt, comme certains le pensent, soit devenu Crown Clown, car on le voit serrer Past'Allen contre lui du côté où l'Innocence, envoyé par Apo, s'est incrustée ….. Sans parler de cette forte volonté de Clown Crown à toujours protéger Allen quoi qu'il arrive, cette Innocence à même une conscience, on la voit sourire, on la voit agir par elle-même, elle greffe une partie d'elle-même dans le coeur d'Allen pour le sauver. Tout ça n'est pas une coïncidence ( pas avec Hoshino XD ). Cela fait longtemps que je me dit que cette Innocence n'est pas normale comparé aux autres, même les autres personnages comme Bak, Bookman Sr ou autre se posent des questions …
et comme Bookman Jr 1er à déshonorer les Bookman et préférant être auprès de Past'Allen il est plus que probable que lorsque Bookman Sr à rencontrer notre Bookman Jr il lui ai donné ce nom, tel un titre de passation ( il y à peut-être eu d'autres " Lavi " par le passé )
je pense qu'on à pas fini de sauter de souvenir en souvenir jusqu'à ce que tout devienne clair ….. En tout cas j'ai l'impression qu'Apo à peur de l'hélice de la vie ou du fait qu'Allen peut la détruire, après tout il est " le destructeur du temps " . Et si il le surveille c'est sûrement par crainte qu'il récupère la mémoire ( j'espère qu'il n'est pas à côté de la Librairie à attendre le bon moment ).
Je me demande dans quel unité se trouver Past'Allen avant ?Sûrement pas Exorciste puisqu'il n'avais pas son bras gauche ( à moins qu'il avait une Innocence type Equipement ? Et aussi, pourquoi Neah l'à choisi ? Neah se savait perdu alors il à choisi Past'Allen comme hôte, mais pourquoi lui précisément ? Connaissait-il son avenir ? Il ne pouvait certainement pas deviné qu'il se ferait attaquer par Apocryphos à un moment donné, ni qu'Allen rencontrerait Mana ...... Et aussi, comment l'a-t-il trouver ? Il le suivait ?
J'ai vraiment hâte d'être dans 3 Mois pour lire la suite parce que là on à vraiment besoin de réponse !
N'hésitez pas à rajouter des questions, théories etc en commentaire ! ^^
7 notes · View notes
lilias42 · 3 months ago
Note
20, 10 et 13 pour le "violence ask game"!
Salut ! Merci pour les questions ! Bon bah, de nouveau, on va partir sur du FE3H ! On a encore des choses à se dire avec ce jeu !
Tumblr media
10 - La pire partie du fanon ?
Alors... pas où commencer... je dirais que la pire partie du fanon, c'est de penser que CF est une bonne fin et une route de héros alors que c'est clair et nette que c'est une route des méchants. C'est évident que les développeurs puis la traduction américaine (et donc la traduction française parce que, qui est l'idiot qui a pensé que c'était une bonne idée de faire une traduction de traduction et pas de prendre le texte original ?!) font tout pour cacher le plus possible que c'est une route des méchants mais, il reste des indices par-ci par-là (en plus du contexte ajouté par toooouuut le reste du jeu + le fait qu'on envahisse 2 nations neutres et qu'on finisse un génocide par pur racisme tout en étant aidé par un peuple de taupe maléfique fabriquant des armes à partir de restes humains) alors, ça me semble assez normal de l'écrire comme une route de méchants.
Mais nopes ! Une grosse minorité très (trop) bruyante est persuadée que c'est une route de héros, avec des héros très gentils et des méchants (les gens qui défendent leurs maisons d'une invasion) sont très méchants alors qu'on ai aidé par un peuple de taupe qui est méchant et fait des expérimentations humaines mais, on les aide à finir l'extermination de leurs ennemis qui sont des méchants colonisateurs (soit un peuple de dragons restant tranquillement à Zanado à se faire dorer au Soleil ou partageant leurs technologies pour aider les autres sans rien demander aux autres, à part qu'on les laisse prendre des bains de soleil tranquille) MAIS, ne vous en faites pas braves gens, on les poignardera dans le dos après la guerre et on les exterminera car ils sont méchants, même si on les a aidé à atteindre leur objectif ultime de brûler Fodlan... franchement, à part que l'amour (factice vu qu'El n'existe pas) d'un tas de pixel rend aveugle et qu'ils sont d'accord avec le fait de tuer tout le monde pour régler les problèmes, je comprends pas... c'est même une des raisons pour lesquelles j'ai commencé à écrire des fanfics que je postais sur Tumblr : je voulais écrire ma propre route CF (paix à son âme de cette fic, nous ne t'oublierons jamais) mais avec ma propre vision du canon et en assumant que c'est la route des méchants (et vu qu'on est chez moi, avec une El grosse gamine car j'aime les méchants immatures, c'est comme confier le bouton de l'arme atomique à un enfant de 5 ans et attendre de voir ce qu'il va faire).
Pour aller avec le point précédent, il y aussi la transformation des agarthans comme de pauvres petites victimes par cette partie du fandom car, Sainte Delagarde doit être aussi immaculée que les plumes de la blanche colombe (et ses cheveux après les expériences agarthannes) et donc, elle ne peut pas s'allier au mal absolu. Encore, qu'on montre les agarthans muets, le peuple sur lequel règne Thalès et les petites mains comme des victimes, pourquoi pas, ils n'ont rien demandé ou n'ont fait que suivre sinon, c'est la mort (même si c'est un énorme débat moral de savoir si oui ou non ceux qui ont "juste" obéis à des ordres horribles sont responsables ou non, je vais pas trancher ici), je veux bien et je le fais moi-même MAIS, avec des agarthans originaux qui n'ont jamais rien fait de mal à l'écran et volontairement. Mais, pas Thalès qui est littéralement le chef qui a décidé de tout, Solon qui tue volontairement Kronya pour le bien de leur plan et est responsable de l'épidémie rendant les gens complètement fou à Remire, ou Kronya qui prend plaisir à tuer tout le monde et a volé l'identité de Monica pendant des mois. C'est eux qui ont décidé de tellement bombarder une région à coup d'armes atomiques que ça a créé Ailell ma parole ! Evidemment que leurs actes doivent avoir des conséquences et que ce ne sont pas que des pauvres petites victimes !
Est-ce qu'ils avaient leur raison aussi ? Peut-être mais je m'en cogne. Ils ont transformé une région entière en enfer de lave, ont créé un monstre, ont génocidé une espèce entière et ont utilisé leur sang et leurs os pour créer des armes surpuissantes pour installé leur monstre comme maitre de Fodlan afin de tout faire brûler parce qu'ils n'étaient pas content qu'on leur tape sur les doigts pour avoir ravagé Fodlan, je vais pas les plaindre, même si ça se sent que leur traitement de faveur vient de leur association avec El.
13 - La pire blorbofication ?
La manière dont Delagarde est vu comme une pauvre pitchoune toute triste, faut la prendre sur tes genoux pour lui caresser la tête et la consoler comme un gros bébé ? Oui, c'est de loin le pire cas de blorbofication que j'ai jamais vu ! Et il est dans le jeu lui-même ! Les développeurs ont blorbocifier leur propre personnage ! (mais bon, c'est leur chouchoute après tout)
Sinon, à part Delagarde dont j'ai déjà pas mal parlé, je dirais que les pires blorbofications que j'ai vu dans FE3H, c'est pour les pères pourris / persos masculins pourris alors que les persos féminins n'ont pas le droit à cette indulgence.
Prenons Rufus, même avant que Nopes en fasse un pauvre miaou miaou parce que "les emblèmes sont le maaaalll !!!". Qu'on le prenne en pitié, d'accord, je veux bien comprendre qu'on le trouve pitoyable car il a perdu son frère de manière horrible donc, logique qu'il soit dans un sale état... mais d'un autre côté, il est quand même régent, c'est lui qui tient la barque et c'est lui qui a laissé le royaume pourrir sur place et de ce qu'on en sait, il n'a rien fait pour empêcher le massacre des duscuriens. Et dans tous les cas, frère mort ou pas, il est aussi un coureur de jupons de niveau olympique, avec toutes les potentiels conséquences que ce type de comportement implique (genre, grossesse accidentelle et possible bâtards bien planqués dans la nature et vivent dans la honte de leur statut de bâtards).
Dans tous les cas, il a laissé son pays à l'abandon, son neveu tout seul dans son coin avec sa maladie mentale, laissé les duscuriens se faire massacrer et a préféré se noyer dans l'alcool ou le foutre. S'il ne voulait pas de son rôle de régent et n'était pas intéressé par le pouvoir (point que je trouve bien plus intéressant et moins classique que "frère A envie le pouvoir de frère B" en n'ayant quelqu'un qui ne veut pas du pouvoir et est très content d'échapper à ses responsabilités), il aurait surement pu confier les rênes du pouvoir à Rodrigue ou quelqu'un d'autre, ce serait surement possible (surtout pour d'aussi grande famille et même le jeu aurait pu faire son ouin-ouin en disant "il a donné le pouvoir à quelqu'un à emblème car, tout le monde ne pense qu'à ça !!!"). Même s'il ne voulait pas le pouvoir, il est fils de roi, frère de roi, oncle de roi alors, ses privilèges de naissance s'accompagnent de devoirs et il se doit de servir le Royaume, pas ses propres intérêts (encore une fois, sans vouloir faire ma rouge de service, selon moi, le dirigeant doit servir ses sujets avant lui-même, pas le contraire). Rodrigue aussi a vécu la même perte, a même dû la subir sans pouvoir rien faire et en devant obéir au roi mais, il arrive à tenir malgré tout et à continuer à être un être humain décent et à s'en faire pour son peuple, sa famille et même la famille des autres avec Dimitri.
Alors, je ne comprend pas le côté "pauvre miaou-miaou Rufus, il est kro triste, sombre et torturé TT_TT" qu'on retrouve à gauche à droite. Je sais pas, on a une horde de stans prêts à tout pour nous enfoncer leur Bible et leur Sainte Parole hurlant que soit Rhéa est trop intervenu dans les affaires humaines si ça les arrange, soit qu'elle n'a pas assez fait pour encadrer les humains qui faisaient n'importe quoi quand ça les arrange plus mais, pour Rufus, c'est le calme plat et pauvre miaou miaou alors qu'il a vraiment la responsabilité des faerghiens et les laissent dans la panade jusqu'au coup... vraiment, je comprends pas.
Ces remarques peuvent également s'appliquer à Ionius en dix milles fois pires et avec la même vénération de la part des fidèles de sa fille alors que des personnages de pères biiiiien meilleurs se reçoivent des tomates pourries (voir mes réponses précédentes à ce jeu de questions) et des femmes (quand elles ont la chance de pouvoir exister dans le cadre) qui se reçoivent aussi les condamnations du monde entier pour avoir fait bien moins pire (Tiana mise à part mais, elle est décrite comme étant plus masculine que féminine et a l'image de la "maman cool et badass" vu que Claude en parle en bien et qu'elle a "vaincu" Nader en combat singulier [car évidemment, c'était un combat "juste, à la régulière et sans aucune pression" entre la reine de son pays et un général qui ne risque pas du tout sa place s'il gagne et humilie donc la reine, bien sûr])
20 - une partie du canon que vous avez trouvée fastidieuse ou ennuyeuse ?
Hum... encore une fois, c'est surement prévisible mais, je dirais que c'est toute la surcouche de "au mon Dieu, pauvre El ! C'est trop injuste de la combattre !!! 😭😭😭" et tout le parasitage de l'intrigue et de l'univers que cela implique. ça va aussi avec le fait que le jeu use et abuse de la technique des narrateurs non fiables alors, c'est très facile pour les gens de hurler que toutes les versions se valent (enfin la leur plus que les autres), alors qu'on a des preuves qui démontre par A + B que les choses se sont déroulés d'une telle manière et pas d'une autre.
L'univers de 3H est ultra intéressant, il aurait pu faire un monde et un lore très fourni et intéressant entre les nabatéens, les agarthans, les origines de Sothis, les rapports entre les différentes factions internes et pays à l'extérieur de Fodlan, l'Eglise... mais, vu que tout doit se concentrer sur Delagarde, ses petits problèmes de petite princesse pourrie gâtée qui fait un caprice parce que son pays ne règne plus sur le continent et que ça fait bobo à son égo biberonné à la propagande nationaliste de son papounet, et que le monde entier se plie sous elle afin de soutenir son discours même quand des éléments objectifs le démonte entièrement, le tout en devant aussi en faire une waifu toute gentille et fragile qui a tellement besoin d'aide pour conquérir le monde, afin que le joueur veuille en faire sa poupée vivante à câliner tout en devenant le chevalier blanc de sa demoiselle en détresse (car honnêtement, c'est ce qu'elle est dans CF, une demoiselle a sauvé de ses propres décisions pour que son chevalier servant qui vaincs tous ses ennemis et la "délivre" d'un "méchant" dragon, on pourrait presque le rapprocher d'une version corrompu du mythe de Saint George qui vainc un dragon / mal mais, où c'est le démon qui a forme humaine et la foi et le bien qui ont une forme draconique [et la comparaison avec une histoire chrétienne va encore mieux vu la manière dogmatique dont ses stans répandent la bonne parole de leur idole, on dirait vraiment des prêcheurs d'une religion ou d'une secte genre témoin de Jéhovah mais évidemment, ils sont anti-religion et ultra athés et indépendant d'esprit, ne vous en faites pas, c'est juste qu'ils n'aiment pas celle qui n'est pas la leur]) et avoir une sensation / fantasme de puissance car, il arrive à conquérir le monde alors que le texte lui dit qu'il est l'out-sider (là où la réalité des faits internes à Fodlan est qu'il arrive, Delagarde se réveille après avoir passé 5 ans à se lamenter en griffonnant son portrait et en se gavant de bonbons, et balaye le monde entier avec l'armée la plus puissante du continent. Clairement, il n'aurait pas fallu d'ellipse pour CF, ça rend Delagarde encore plus incompétente et pathétique qu'elle ne l'ait déjà dans cette route).
(et vous voyez les gens qui hurlent à "MARY SUE !!!" dès qu'il voie Ray dans Star Wars [dans les deux films de la postlogie... quel 3e film ?], ça c'est une Mary Sue : l'univers se tord autour d'elle pour la servir et n'existe plus pour lui-même comme une entité indépendante où le personnage évolue et s'adapte à lui)
Honnêtement et c'est très triste à dire, si l'antagoniste avait été un homme, on n'aurait eu bien moins de problème : le jeu aurait assumé que c'est un méchant, il n'aurait pas tout fait pour nous faire regretter de le combattre ou l'aurait fait d'une manière plus raisonnable / subtile avec de bien meilleur raison que juste "on est triste parce que c'est Delagarde et osef de toooouuuut ce qu'elle a fait comme assassiné des gens ou qu'on la connait à peine. Tu dois être triste de la combattre parce que ça doit être ta waifu... comment ça on a des femmes / des hommes gays / des aroaces / des gens qui n'aiment pas El car c'est une sale pourriture de conquérante impérialiste dans le public ?", et l'univers aurait sans doute pu se déployer sans devoir prendre en compte la donné "Delagarde" à chaque instant et à chaque élément, ce qui aurait moins donné cet aspect "univers en carton pate qui n'existe que pour l'histoire". Voir CF n'existerait tout simplement pas et on aurait pu garder le budget pour améliorer le reste du jeu vu que bon, il en aurait bien eu besoin pour s'améliorer techniquement, ou pour faire d'autres cartes, ou pour avoir plus de cinématique (mort de Rodrigue / scène sous la pluie / aveux de Rhéa...) ou pour donner une vraie histoire indépendante à VW.
8 notes · View notes
lesdamesmures · 4 months ago
Text
Un après-midi avec ma tante
Je garderai à jamais le souvenir de cet après-midi passé à faire les boutiques avec ma tante. On déambulait dans le rayon femme de ce grand magasin à la recherche d'un cadeau pour ma mère quand elle elle s'arrêta devant un mannequin exposant un déshabillé noir paraissant très transparent.
Comme beaucoup de femmes qui peuvent s'empêcher de toucher les vêtements en passant, ma tante se mit à palper le déshabillé et pris du recul comme pour se faire une idée de cette parure suggestive.
En la voyant hésiter j'avais osé la taquiner en lui disant que ca lui irait surement très bien mais ma remarque eu l'effet de l'éloigner du mannequin en me jetant un regard gêné comme si elle avait été surprise à s'imaginer dans ce déshabillé. Elle se mit à sourire en reprenant mon bras en ajoutant qu'on était pas là pour ça.
Une fois trouvé un foulard en cadeau pour ma mère, en repassant devant le mannequin, je souriais en la voyant ralentir et lui dis :
" tu es sûre que tu n'as pas envie d'en profiter puisqu'on a trouvé le cadeau de maman et qu'on est là ?, tu peux prendre ton temps si tu veux regarder "
Elle me regarda en s'arrêtant avant de toucher la texture à nouveau et se tourna vers moi comme si elle était curieuse d'avoir l'avis d'un jeune homme
" Tu penses vraiment que ca m'irait ? "
" Oh oui j'en suis certain ! mais je peux t'attendre si tu veux l'essayer je ne suis pas pressé maintenant qu'on a trouvé le cadeau de maman "
Après l'avoir rassuré, elle vérifiait l'étiquette visible sur le côté à l'intérieur du déshabillé. Elle enfourcha ses lunettes sur son nez pour lire l'étiquette en chuchotant
" Ah ce n'est surement pas ma taille malheureusement "
Entretemps j'avais déjà repéré le portant un peu plus loin et lui suggérai de vérifier sa taille en lui montrant du doigt les quelques déshabillés alignés sur des ceintres.
Je la laissais tranquille en la regardant faire défiler les déshabillés un à un tout en vérifiant les étiquettes. Elle s'arrêta et en extirpa un du portant le tenant à bout de bras devant elle comme pour l'inspecter le tournant et retournant à plusieurs reprises.
Je la regardais en souriant, elle était concentrée, hésitante avant de relever les yeux pour chercher un miroir qu'elle trouvait un peu plus loin. Elle leva les yeux vers moi avec un sourire gêné et se dirigea vers le miroir en plaçant le déshabillé devant. Je pouvais deviner ses vêtements à travers le tissus transparent, je la regardai avec attention et lorsqu'elle tourna le regard vers moi, de loin je lui montrai mon pouce levé comme pour lui indiquer que c'était un bon achat.
Elle revint vers moi avec le déshabillé à la main et le glissa dans le panier avant de se justifier
"C'est une folie je crois bien mais après tout c'est pas tous les jours que je m'accorde ce genre d'achat et que j'ai un avis masculin pour ce genre de tenue. Allez ! on file d'ici je t'ai suffisamment fait attendre "
En sortant du magasin, elle me remercia de l'avoir conseillée ajoutant que c'était agréable de faire les boutiques avec un homme patient qui sait donner son avis
Je lui répondais en vantant sa féminité et finissait par une pointe de regret sachant que malheureusement je ne la verrai jamais porter cette tenue.
Elle s'arrêta interloquée et me répondait en me taquinant
" et bien coquin je n'allais tout de même pas me déshabiller pour te demander si ca m'allait bien" puis elle parti en éclat de rire comme si elle venait d'imaginer la situation.
Sans me dégonfler je répondais spontanément
"Oui je sais bien tatie mais j'aurai bien aimé te voir le porter"
Elle passa son doigt sur ma joue en me faisant un clin d'oeil, je la sentais d'humeur légère après ce moment intimiste
J'étais rentré chez moi, j'avais apprécié ce moment avec ma tante. Même si on était proche ona vait encore jamais fait les boutiques tous les 2. Vers 22h je recevais un sms, c'était ma tante. Jamais elle ne m'écrivait mais je pouvais lire ...
Tumblr media Tumblr media
8 notes · View notes
e642 · 10 months ago
Text
Mes parents m'ont toujours dit que j'étais une enfant qui s'ennuyait beaucoup mais que je ne le verbalisais pas. Que je pouvais passer beaucoup de temps à rien faire sans demander d'alternative. Je ne me rappelle plus si ça me pesait ou pas. Puis, en grandissant, je suis devenue une adolescente qui s'ennuyait beaucoup. Ça m'a laissé pas mal de temps pour développer pas mal de troubles, pour me poser pas mal de questions, pour penser silencieusement à pas mal de choses. Et finalement, j'ai continué à m'ennuyer jusqu'à devenir une adulte. Maintenant. Un manque de passion criant. Je n'ai jamais eu d'hobby particulier, et je n'en ai jamais cherché. Ce qui a toujours eu le don d'exaspérer mes parents. Encore aujourd'hui, ils ont du mal à me voir rien faire, à me regarder attendre que ça passe. J'ai de l'admiration pour les gens qui ont des passions ou même de la passion, des envies, des activités qui leur tiennent à cœur. Et ça ne m'a jamais trop posé d'ennui socialement jusqu'à comprendre que j'étais la seule à rien avoir de distrayant dans ma vie. Ça a amorcé la création de petits sillons m'éloignant des autres. Quand on épuise notre passé, notre vie quotidienne et nos avis, on a vite plus rien à dire. J'ai jamais forcé les discussions de mon côté. J'ai souvent favorisé le silence ou la répétition. Là où ça me pose des problèmes c'est quand je côtoie des gens plus d'une après midi car ils sont amenés à constater que j'attends. Ils ne le supposent plus, ils le voient. Mon copain le voit actuellement. Et c'est vrai que moi je peux me satisfaire de passer beaucoup de temps à rien faire, rien dire, juste être avec l'autre. Mais c'est pas sain. Alors je passe beaucoup de temps à m'ennuyer quand lui investit son temps de choses qu'il aime. Et c'est bien normal. Ça me met toujours un coup de mou, de la rancoeur mal placée évidemment. C'est pas parce que moi j'ai rien et que je n'ai rien fait pour avoir, que ça devrait être pareil pour les autres. Je me suis souvent sentie pas à ma place pour ces raisons, en voyant que les autres ne supportaient pas de s'ennuyer, ne pouvaient pas juste apprécier rien faire avec moi, ça m'a fait me sentir de trop. C'est pas un truc que je partage ou explicite parce que j'ai tort. Il n'y a pas une pensée viable dans ma conception de l'ennui et des autres. J'ai un rapport juste toxique et j'arrive à me sentir triste que les autres ne l'aient pas. Pas jalouse. Seulement déçue. J'ai peur de m'ennuyer toute ma vie. Et une des raisons pour lesquelles je n'aimerais pas habiter avec quelqu'un c'est pour ça, que la personne réalise que je ne suis construite sur rien et que je passe beaucoup de temps à me sentir seule, à m'ennuyer, à attendre comme un chat devant la porte pour qu'on lui ouvre. J'ai du mal à exister normalement et ça m'a souvent créé des piques d'angoisse qu'on vienne à découvrir l'être inconsistant que je suis.
25 notes · View notes
lounesdarbois · 1 year ago
Text
"Ordure multipliée par merde" Céline.
L'affaire Crépol accumule tous les éléments de scénario rêvés par le pouvoir profond en France .
Des Français "font la fête" dans une salle polyvalente réservée pour l'occasion. En 2023 en pleine invasion on ne fait pas la fête. On ne vit pas sous occupation comme on vivait libre il y a 35 ans. "Faire la fête" c'est prendre le risque de voir rappliquer des intrus qui n'ont rien à perdre et tout à gagner. Les pires horreurs adviennent toujours parce que des cons font la fête, qu'ils ont avec eux des meufs et contre eux des prédateurs. Lire une page de faits divers de n'importe quel journal depuis les années 80.
Des intrus sont arrivés. Qui les a appelé ? Des meufs de la fête ? Si oui elles doivent en porter la responsabilité devant les parents des victimes et payer pour les conséquences ultérieures, elles en tout premier lieu, et les meurtriers en second. Celles qui ont de près ou de loin participé à légitimer les barbares se sont mises elles-même hors de la Civilisation et ne peuvent plus recevoir ni bienveillance ni protection.
Rieu et Bassem prennent des positions. Chacun a ses raisons mais chacun se garde bien de parler des intermédiaires qui se trouvent derrière. Rieu a Gilles-William et Bassem a David. Le jour où chacun congédiera son encombrant agent la vrai paix sur le terrain se fera entre les vrais gens de terrain. N'avez-vous pas étudié le processus libanais ? Ce sont les triangulations absurdes et les alliances contre-Nature qui ont détruit le Liban maronite et ismaëlite (pays jadis florissant), au bénéfice d'une troisième équipe. À E&R (dont la vocation profonde est d'empêcher la guerre civile) AS nous à toujours dit "surtout, n'appelez pas aux vengeances, et pour parler évitez les intermédiaires !"
Des natios organisent une contre-manif avec les pires slogans possibles. Qui a scandé ces mots le premier? Qui les ont fait reprendre ces slogans ? Pourquoi le seul terme qu'il fallait mentionner, et qui est "racaille", est-il absent des slogans?
La police manœuvre de manière curieuse sur le terrain. Rappel en actes pour ceux qui croient encore que la police protège les Blancs. Il est impossible que les services n'aient pu anticiper la venue de 80 jeunes natios sur les lieux. Voilà les méthodes du pouvoir et de ses préfets, commissaires-divisionnaires tous franc-maçons.
Les images tournent en boucle partout, avec leur effet désastreux, elles renforcent les médias, la troisième équipe, tous les prédateurs, tous les salopards. Tous les attentistes, tous les profiteurs se frottent leurs sales mains. On ne lutte pas contre la racaille en attaquant un château-fort à 1 contre 10 mais se retirant du terrain afin que le poids des racailles repose entièrement sur les bobos/FM/médias/canaille comme lors des émeutes de juin 23. La Libération du pays commence lorsque la canaille d'occupation supporte seule le poids de la racaille d'occupation sans aucune intervention des Français. Relisez Bagatelles pour un massacre.
Crépol est la contraction des termes crépu et créole, c'est là un signe qui nous rappelle la véritable menace qui pèse sur la civilisation: non pas l'ismaëlisme mais l'invasion crépue et la créolisation (métissage, abrutissement) au profit du sémitisme (ingénierie sociale de prédation sur les Blancs). Dans cette vraie lutte les femmes sont le vrai enjeu. Les hommes de bonne volonté qui connaissent l'Histoire savent ce qu'il convient de faire avec les femmes qui franchissent la ligne en période d'invasion aggravée. "Ils nous persécutent, ils nous tuent, tu leur ouvres ton cul? D'accord alors voilà ce qui va se passer..."
Il reste à attendre la prochaine "fête" d'imbéciles, les prochaines putes pour les livrer à la racaille, les prochaines racailles pour rafler les putes et poignarder les imbéciles, les prochains David et Gilles-William pour en tirer la sève dans les médias, tout le bordel de merde habituel puisque tout le monde aime cela et ne comprend jamais la leçon. En vrai tout le monde s'en fout et personne n'aime son frère. "May God help us all".
20 notes · View notes
perduedansmatete · 11 months ago
Text
j'ai perdu le compte des jours mais finalement le deuxième soir où on voulait sortir on a fini par rester manger chez la mère d'elyas, on n'arrivait pas à partir car ses petites sœurs ne voulaient pas nous lâcher et c'était une super soirée, elles m'ont demandé plusieurs fois quand est-ce que je revenais, il y avait des chats, une quiche à la butternut et encore des cadeaux même pour moi, la plus petite sœur m'a fait un bracelet et c'est d'ailleurs à cause de ça qu'on n'a pas pu aller dans le salon pendant une heure, elle finissait tous ses petits cadeaux, on a joué à un jeu de société jusqu'à tard en entendant au loin radiohead et je sais plus quel groupe d'un des deux gars des black keys, le beau-père d'elyas s'entendrait très bien avec le mien, en fait toute la famille d'elyas s'entendrait bien avec la mienne il faut vraiment qu'on organise le retour de ma grand-mère en alsace en emmenant peut-être mon père aussi avec nous, enfin bref du coup pas de copains de strasbourg ce soir-ci j'étais un peu triste mais hier on a couru partout pour chercher les cadeaux du père noël surprise et donc j'ai passé l'après-midi à paniquer moi aussi pour trouver un cadeau à romain, comme c'est vraiment une vieille personne dans sa tête elyas m'a dit que ce qui lui ferait très plaisir c'est une écharpe toute douce donc on a écumé tous les magasins du coin pour trouver la plus douce et spoiler il l'a adoré, il m'a offert une grosse boite avec plein de petits cadeaux j'étais aux anges, puis la soirée était super je me sens vraiment bien à strasbourg et avec tous ces copains, j'ai limite envie de rater mon train retour, ce qu'on m'a proposé pour passer le nouvel an ici, on a joué à des jeux encore une fois puis on est rentrés tard sous la pluie en marchant avec un ami compagnon du devoir que j'adore lui aussi, et je me suis réveillée tôt à cause des enfants du dessus qui crient à la mort comme chaque matin, j'ai essayé de travailler sans succès en attendant que ma soeur et elyas se réveillent car on avait dit que pour ma dernière journée on se baladait et on se faisait un resto mais il est midi et ils dorment toujours, je suis donc coincée à les attendre avant d'aller ensuite à nouveau dîner chez le père d'elyas puis de voir romain et la clique dans sa coloc et de faire nuit blanche car mon train est tôt demain matin
16 notes · View notes
orageusealizarine · 7 months ago
Text
ferme les yeux au moment de… - je veille, je veux rester lucide, plissée, lisant tant bien que mal à ton corps les sursauts et les plénitudes, je me modère et me ruisselle - refus d'abandon, joie crispée pour voir tonner la tienne - orage si fertile, ondée si salutaire (je meurs de soif au pied de ta fontaine) : la canicule qu'en plein hiver tu me fais - nuits brûlantes sans autre source que le soleil qui point à l'intérieur.
alors, pour supporter - aurore, chaleur, sécheresse - je me dénude. rabattant draps et couvertures - et dans ma gorge, c'est la nuit à peine, séchée. assoiffée. givré février sans écart. mais tu fais affluer mon sang à la surface de ma peau, tu fais bouffées et terres évaporées, arides : gerçures d'été qui fendillent mon corps et sans limite et sans retenu.
soleil - affolant - que je porte en moi, aride terreur qui me mine, tu fais - encore - affluer, à ma bouche, la salive (et je t'abreuverais si tu me le demandais - encore) - car tes prières font le soleil coupant. font le soleil humide. et ni la nuit ni l'hiver ne ternissent cette chaleur à l'intérieur.
la générosité de ton ardeur me dérive, me désancre et me soumet à un autre climat. érection solaire du verbe être que tout pressentait - et presque un siècle à mûrir ! à engendrer. mais mon avidité n'est pas parcimonieuse - elle mord à plein... dans cette chair généreuse, elle décroche - elle arrache, elle écorche - aux branches, les fruits. et les éclate avec les doigts.
ton silence - source fluviale à ma bouche quémandeuse. d'assèchement, excédée (mais de nos canicules, jamais), je ne crains pas de t'épuiser : désir renaissant toujours, source ne désemplissant jamais et soif jamais comblée - je peux attendre. une saison dans le lit desséché de la rivière...
afflux - dérive - désert - désir, tu dévies. dans l'éternel. entre puissance et plaisir. mes envies à ton corps et les liqueurs qu'il faut pour me désassoiffer, pour me combler et pour m'éclore (tonneau percé) - tu les connais. en secret. tu m'abreuves et m'arroses pour, fleurie, me saisir - rassasier la brûlure - soleil, à l'intérieur.
16 notes · View notes