#à la Molinier
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gedjub · 10 months ago
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100224 Dans le monde il n'y a plus les oiseaux, mais certains s'en sont fait un devoir de souvenir : ce garçon refait le corbeau avec sa voix comme sa grand-mère le lui a montré, il crie AAAH! AAAH!, et on l'applaudit en pleurs.
120224 Pour thérapie: pourquoi je ne priorise pas mon propre travail, mon propre temps, moi-même? J'ai encore l'idée abstraite que tout ça, c'est pour plus tard.
+ Offrir une vision d'espace, en dessin. On a besoin d'au moins ça !
150224 Stagnant Stain
+ Ce que j'ai avec mes bâtiments et mes horizons, avec mes reflets, lumières, couleurs et ombres, c'est un goût pour l'érotisme paysagiste.
180224 Je ne suis pas différent du vent, pas non plus différent du froid
190224 Il a dit nuit et jour et Ils ont transcrit "jour et nuit".
200224 Beaucoup de visions m'en rappellent d'autres. Je crois que je me perds régulièrement dans le temps, hors de l'espace.
210224 Fuck and feel like a king again, fuck and feel like a queen again
+ Je te donne un regard, un sourire, un mot, tu veux plus et tu me fais peur. Je te donne un regard, un sourire, un mot, je t'embrasse et je te mords, tu veux plus.
230224 Ce matin je me suis inventé le métier de gratteur de chocolat, s'appelle comme ça celui qui gratte sur le papier sulfurisé les restes de gâteau cuit. Le professionnel prend un couteau rond et avec quelques dents, tient devant lui une extrémité du papier et racle vers le devant, à petits coups: il ne faut pas déchirer la surface, particulièrement fragile quand on arrive sous feu le gâteau, là où les fibres sont encore humides et fragiles. La dégustation qui s'en suis des miettes se fait également au couteau, pratique puisqu'il est plutôt plat. Un bon café accompagne le labeur et sa récompense.
+ Nourrir le feu qui brûlera tout.
+ Avec une amie, pauser la situation.
+ Toujours amusant de voir l'humanité comme un individu : tellement accroché à son passé, le documentant et le recherchant avidement, assidûment, si sérieusement... Je suis un peu comme ça, moi aussi.
280224 Hier c'était la première fois que je parlais à quelqu'un de ma soif inextinguible des visions du passé qui me hantent nourrissent ma vie intérieure depuis toujours d'un seul et même lait mystérieux, sucré, frustrant, ensoleillé de sensations d'extase. J'avais commencé à parler à Frau Von S. de mes rêves récurrents pendant l'enfance, de jour et de nuit. Moi qui ne cesse de leur courir après à en perdre la tête, voilà que j'ai enfin été amené à réfléchir. Gier, c'est le mot qu'elle a prononcé, avidité. (Elle m'a aussi donné "extase".) Après notre conversation d'hier, j'ai compté les moments de visions du passé, un parfum - Mamie Molinier, une plaque d'immatriculation - papa, un ciel - là-bas, un trottoir - forêt, ils sont nombreux dans une journée. Elles me viennent, je les vois et je cherche à les garder, à savoir où c'était, quand, avec qui, pourquoi. Je lui ai dit que j'en avais marre, que je voulais vivre les lieux, les odeurs et les moments pour ce qu'ils sont, d'aujourd'hui, que sinon je ne suis qu'un coureur de chimères. Encore une fois elle m'a dit, comme à la fin de bon nombre de nos conversations: c'est normal d'aimer se souvenir. De ne pas problématiser et de chercher la demi-mesure. Plusieurs fois depuis hier je me suis entraîné à apprécier les visions et à les laisser passer. Encore une fois elle a proposé l'idée, parce que je parlais de drogue, qu'il faudrait chercher ce que j'évite de regarder, en cherchant à fixer le passé. La réponse est facile à trouver. J'ai grandi avec la peur comme modus vivendi, pourtant j'ai bien commencé à comprendre que je ne vis pas en danger des choses du passé. Il y en a d'autres, présentes, que je peux considérer et gérer, avec toute mon attention rassemblée au jour d'hui..
290224 un programme à organiser et s'offrir, avec entre autre une rue ensoleillee dans laquelle on passe à vélo sous quelques ombres d'arbres et une odeur de cheminée nous charme le nez...
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nylon-tentation · 1 year ago
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castelliditalia · 2 years ago
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ANTICA DESCRITIONE DI BARDI
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Il castello di Bardi, con la sua mole ed il suo inconfondibile profilo che caratterizza tutto il paesaggio circostante, è uno dei più affascinanti del Parmense, per la sua arditezza, la sua mole ed il fascino dei suoi intricanti cunicoli, i sotterranei ed i camminamenti.
Carlo Natale, un pittore ed incisore cremonese, nonchè allievo di Guido Reni, vissuto dal 1590 al 1683, ci ha lasciato una bellissima serie di incisioni che descrivono l'antica val Ceno corredate da interessanti annotazioni, di cui voglio riportarne alcune particolarmente suggestive. Tutte antichissime descrizioni che trovano eco ancor oggi in molte realtà del territorio.
Dovete sapere infatti che "Bardi è Cappo della Val di Ceno (...) ha una fortezza in cima à uno sasso tutto rosso, durissimo, e altissimo fuori d'ogni scalata, fortificata per ogni forte di Batteria, monitionata si di vivere, come d'Artiglieria, & altre monitione per offesa, e difesa.
Il Principe Don Federico l'ha ampliata , fortificata, monitionata, e abbellita con appartamenti, giardini, fontane, grotte, tre armerie da fuoco, da ruotta, e da taglio, e fra l'altre arme antiche, che vi sono vi è la spada di Carlo Quinto Magno Imperatore donatale dal Rè di Spagna Filippo II.
Una speceria di quinta essenza, & altre cose rare, và facendo una libraria. (...) V'è una capella ben'ornata con Reliquie, e messe cotidiane. Ha molini, cisterne, botteghe, e ciò che è bisogno. (...) Vi è la Zecha, vi sono dottori de theologia, lege, e medicina".
Tra le bottege e gli artigiani presenti a Bardi, vengono menzionati anche "tre Maestri di lima perfetissimi" e "Lettori di Casi di conscienza".
E la descrizione del territorio continua pittoresca... "Vi è San Giouanni parrochia ancor lei, nella quale se vi fà la vita Christiana. Si fanno hora un'hospitale per l'infermi e pellegrini, e una Compagna De Disciplinati. (...)
Ha miniere di ramo, di ferro, di alabastro codignino, alcuni christalli. Vi è una bellissima miniera di pietre per fare collono, & altri edifici, certi diamantini picoli tanto belli, e tagliati a facete, che paiono fatti à posta". Ancor oggi presso Bardi esiste un luogo chiamato "il bosco dei diamanti" dove io stesso ho trovato diversi cristalli purissimi di quarzo, ed anche in alcuni torrenti nei dintorni si trovano interessanti minerali.
L'autore non manca poi di citare la mitica Città d'Umbrìa: "Vi sono le ruine della Città d'Ombria, gira uno miglio, si vedono ancora le ruine delle muraglie delle case in cima al monte Occa, iui è un monte detto Barregaz, al quale si vede ancora intorno il fosso, & trinchiere intagliate con pietra, che rende segno della sua antichità, e segno, che iui era alloggiato l'essercito che espugnò detta città".
Molto interessante anche la descrizione di altri tesori e della fauna che in quel tempo viveva nelle nostre montagne:
"Si trouono in molti luoghi Medaglie d'argento con l'Impronto, de Romani avanti l'Imperatori. Ha bellissime caccie di Lepri, Pernici, Luppi ceruieri, Orsi, ha li monti Peschiere. Vi nascono Astori, Sparuieri, e falconi esquisiti: aria buonissima, e salutifera ad ogni tempo (...) Hà molti boschi, monti, valli, piane, diversi riui, e fontane, quali vi è una fontana che guarisce li Cutanei.
Il Principe vi hà introdoto hora la razza de Caualli", invero si tratta di cavalli originariamente introdotti dalla Gallia Belgica dai Romani, cavalli piccoli e forti, adatti alla montagna. Il Principe tentò di "migliorare" questi animali con diversi incroci con cavalli arabi, giungendo all'attuale razza divenuta tipica di questa zona, il cavallo bardigiano appunto, razza che rischiò di scomparire agli inizi dello scorso secolo, ma oggi fortunatamente recuperata e protagonista dell'annuale fiera che si tiene in agosto.
da Libro della descritione in rame de i Stati et Feudi Imperiali di Don Federico Landi raccolte ed intagliate da Carlo Natale pittor cremonese - sec. XVII
by Il Viaggiatore senza Meta
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pokemone06 · 2 years ago
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L'Ultra Confort de la Double Gaze de Coton pour notre Chemise EMMA 💜, tu valides ? Colorama 🌈 à découvrir. 🛍️ Boutique L & LUI au 38 rue Molinier sur Agen. 🛒 www.etsy.com/fr/shop/LetLUI tiktok.com/@letlui47 #letlui #influenceur #boutiqueindépendante #hype #tendance #outfitinspiration #femmes #agen #centreville #ruemolinier #ruepiétonne #agenmaville #fashionistas #fashionpolice #passionmode Look Disponible @letlui47 @agencommerces @agencity47 Sois Magnifique ! Une bien belle journée 🤗 (à L & LUI) https://www.instagram.com/p/CpCtbhxN1TN/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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tynatunis · 2 years ago
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Connaissez vous la Galerie Patrick Seguin ! Créée en 1989, la GALERIE PATRICK SEGUIN se situe à la Bastille, dans un espace de 300 m2 réalisée par JEAN NOUVEL. La galerie a révélé le talent de designers français tels que JEAN PROUVÉ, CHARLOTTE PERRIAND, PIERRE JEANNERET, LE CORBUSIER et JEAN ROYÈRE. #Repost @hunterhouse_design 🖤 • via @galeriepatrickseguin “Posted @withregram • @galeriepatrickseguin Jean Prouvé, Charlotte Perriand and Pierre Jeanneret in a private collection in Paris: Jean Prouvé, Direction no. 353 swiveling office chair, 1951, Charlotte Perriand and Pierre Jeanneret, Swiveling armchair, ca. 1946-50 and Charlotte Perriand, Desk, 1948. Contemporary art: Pierre Molinier, "Fleur d'Enfer", ca. 1966, Andy Warhol, "Guns", 1981-82, Violette Banks, "New day rising", 2003 and Adam McEwen, Mirror, 2010. Lamp by Serge Mouille. “ . . #design #eames #charlotteperriand #losangelesdesigner #vintage #losangeles #hanswegner #marcelbreuer #lecorbusier #jeanprouve #pierrejeanneret #photography #interiordesign #midcenturymodern #contemporarydesign #minimalist #art #inspo https://www.instagram.com/p/ChUDpMnM9c_/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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already-14 · 3 years ago
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Pierre Molinier (1900-1976) La dame en noir, circa 1960
Pierre Molinier (1900-1976) La dame en noir, circa 1960 Epreuve gelatino-argentique d'époque Signé à la mine de plomb au dos 17,8 x 12,8 cm
piasa.fr
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maudie-pierre-de-grele · 4 years ago
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Démesure de l’amour
Lecture d’un article d’A. Loute sur la démesure du care, “La démesure du care : surabondance de l’amour, excédent sémantique ou contradiction ?” (accessible ici : http://journals.openedition.org/grm/829). La démesure/surabondance d’investissement dans le soin et l’attention y est analysée politiquement, dans son rapport à la structure capitaliste de nos sociétés. Cet angle d’approche politique problématise d'emblée l’idée que le care soit pensé comme une “disposition morale” ou une simple “vertu”. Souvent le travail de soin déborde et défie les outils d’évaluation habituels, échappe à la mesure gestionnaire. Quel rapport le soin peut-il installer à la valeur-travail ? qu’est-ce qui n’est jamais pris en compte ? où passe cet excès ? que faire dans nos schémas d’analyse du travail de soin (dont la valeur est “inestimable” pour la construction des relations) ? De quel type de “don” s’agit-il ? Un don pensé sous le mode de l’échange (un don qui “oblige” l’autre à un minimum de réciprocité ) ? Ou au contraire un don qui dépasse (surabondance/démesure) le modèle de l’échange ? Extraits.
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“Le care est fondamentalement ambigu. 
L’intérêt personnel, la volonté de conserver son travail, la peur des clients ou des patients, les motifs pour se soucier des autres ne sont pas nécessairement à rechercher du côté d’une nature bienveillante ou aimante. On peut d’ailleurs se demander si le travail de care ne se déploie pas avant tout sous un régime de contrainte, s’il ne faut pas avant tout être forcé pour s’occuper des autres.
Bien que constituant une contribution essentielle à la vie collective, le care est considéré comme un « sale boulot ». « Le care est une zone névralgique de conflits, de tensions, de tiraillements, d’ambivalence et, même dans une société qui pratiquerait la plus parfaite équité sociale, une zone dont on ne peut pas complètement évacuer le “sale boulot”, celui que personne n’a envie de faire, pas tout le temps, pas tous les jours ».
Le care de même que ses travailleuses sont invisibilisés dans l’espace public. L’« indifférence des privilégiés » (Tronto), le sexisme, le racisme, etc., contribueraient à consolider un « pacte dénégatif » (Molinier) qui entraverait la perception du care. Si le care est ambivalent, c’est parce que cette invisibilisation peut être tant le fait de forces extérieures que de quelque chose qui travaille les pratiques de care de l’intérieur. Pascale Molinier a ainsi montré, en formalisant le travail du care grâce aux outils de la psychologie du travail, que ce type de travail implique pour être bien fait d’effacer ses traces. De cette discrétion inhérente à l’efficacité du care, disons, en substance, qu’il s’agit de détecter les besoins des autres et d’y répondre, sans les fatiguer, les importuner ou les mettre mal à l’aise, c’est-à-dire, en règle générale, en anticipant sur leurs demandes ou leurs désirs. (...)
Remettant en question le fait que l’amour soit premier et qu’il motive l’investissement dans le travail de care, Pascale Molinier précise que « maintes situations montrent que l’attachement pour les personnes dont on s’occupe est secondaire au travail, voire que cet attachement constitue une condition psychologique qui en rend les contraintes plus supportables ».
D’un point de vue épistémologique, analyser le care à partir de la « logique du don » et de « la théorie classique du don chez Mauss » pose également de nombreuses questions. Tout d’abord, un auteur comme Marcel Hénaff a souligné à de nombreuses reprises que le fait de parler de la logique du don ou parler du don en général est problématique. En effet, le don cérémoniel des sociétés traditionnelles étudié par Mauss n’a rien à voir avec le don que constitue l’agapè chrétienne, le don dont parle Sénèque ou le don charitable des sociétés humanitaires.
Le don analysé par Mauss reste agonistique, le consensus et la paix constituant un état limite. « L’échange de dons est un duel cérémoniel où s’affrontent des vivants autonomes qui désirent s’associer sans céder sur leur liberté ». De plus, le don cérémoniel se pratique entre groupes sociaux et non entre individus. Ainsi Hénaff écrit-il : « Je raisonne aussi et même avant tout en termes de groupes. (...) [J]’insiste constamment sur le fait que le don cérémoniel est la forme publique de reconnaissance réciproque entre groupes alliés ou visant à la devenir ». La procédure de reconnaissance à l’œuvre dans le don cérémoniel est une procédure publique. L’échange de dons ne se pratique pas dans la sphère privée. Enfin, il faut avoir à l’esprit que Hénaff présente le don cérémoniel comme un don codifié. Des rites codifient les attitudes des partenaires « pour les prémunir contre les risques d’un excès d’arbitraire, contre les variations des sentiments privés ou des émotions éphémères ».
Autant de points sur lesquels le don en régime d’agapè se distingue du don cérémoniel. En régime d’agapè, la générosité du don est surabondante, excessive. L’excès de la générosité n’a pas pour objectif de défier l’autre. Elle est sans attente de retour. À l’opposé, la générosité du don cérémoniel a pour finalité de défier le partenaire et de l’obliger à répondre. On donne beaucoup pour le provoquer. En outre, l’échange de dons généreux en régime d’agapè, déborde toute forme de conventionalité. Suivant la logique excessive de l’amour, ces dons sont imprévisibles; ils ne répondent à aucune attente de comportement. Ils défient toute comparaison, toute équivalence et toute règle. Alors que le don cérémoniel doit se comprendre comme une pratique ritualisée, le don généreux ricœurien ne semble renvoyer qu’à la spontanéité des individus singuliers. Analyser le care à partir des analyses de Mauss nous semble donc éminemment problématique”.
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agauchetoute · 5 years ago
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Vingt-sept hommes, vingt-sept femmes, et pas une seule chercheuse au Haut Conseil à l’égalité (HCE). La composition, proposée par Marlène Schiappa, de cette instance consultative ayant pour mission de produire des rapports sur les droits des femmes, respecte bien la parité numérique. Mais l’absence d’universitaires femmes a entraîné, le 15 juillet, la démission de six chercheurs hommes, au nom de la reconnaissance du «rôle particulier des femmes dans un combat qui les concerne au premier chef». [...]
Dans une tribune du conseil scientifique de l’Institut du genre parue dans Libération le 11 juillet, plusieurs chercheurs et chercheuses reconnus, dont Sandra Laugier, Caroline Ibos ou Pascale Molinier, s’étonnent de cette traduction «caricaturale» de la division du travail : «Les hommes pensent la société, les femmes la font.» Car parmi les femmes nommées, on trouve des élues, des hautes fonctionnaires, des communicantes, des responsables du milieu associatif… mais pas une universitaire. [...]
Vendredi 19 juillet, le cabinet de Marlène Schiappa a adressé aux chercheurs démissionnaires un courrier réaffirmant sa position : le HCE est un «ensemble paritaire» et aucune femme ne pourra être nommée en remplacement des démissionnaires, au regard des règles de parité. Et puis, l’une des hautes fonctionnaires nommées est «bien plus chercheuse» qu’autre chose, tente d'expliquer le secrétariat d'Etat. D’ailleurs, «une autre femme chercheuse avait été contactée» et rien n’empêche le HCE de convier ponctuellement des académiciennes… Fermez le ban !
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parentsetfeministes-blog · 6 years ago
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Tribune de référence
« Pour une Parentalité Féministe » - Le Monde - 27 mai 2018 
Puisque M. Macron se félicite d’écouter la voix des “mamans”, parlons de celles que nous préférons appeler - dans un langage adulte - les mères, et de la maternité comme expérience face à laquelle toutes les femmes sont sommées de se positionner. Il y a, quand les femmes approchent de la trentaine, cette question posée sans détours dans les cercles familial ou professionnel : « Alors les enfants, c’est pour quand ? » Tout le long de la grossesse, ce regard porté sur ce qu’elles mangent, boivent, font ou ne font pas « pour le bébé ». Cette incroyable solitude du congé maternité, quand l’autre parent travaille et que le nouveau-né ne laisse aucun répit, ni pour se doucher, ni pour déjeuner. Ces collègues qui s’étonnent de les voir demander une promotion alors qu’elles rentrent de congé maternité. A l’inverse, il a ces femmes qui doivent régulièrement se justifier de ne pas avoir eu d’enfant. Depuis l’inscription dans la loi du droit à la contraception et à l’IVG, on pourrait croire que les femmes en France choisissent librement d’être mère ou non, au moment qui leur convient. À ces avancées législatives fondamentales, il manque la mise en œuvre des changements nécessaires pour obtenir l’égalité des sexes : nous vivons dans un monde où la parentalité est toujours considérée comme une histoire de (bonnes) femmes. Et où, en miroir, on ne pourrait atteindre l’essence de la “féminité” (sans qu’on sache exactement ce à quoi ce terme renvoie…) qu’à condition d’avoir mis des enfants au monde. La maternité est pourtant une expérience plurielle que chaque femme devrait pouvoir investir de pratiques et d’affects différents. Elle ne doit pas être un frein à notre émancipation, a fortiori pour celles d’entre nous qui, en plus du sexisme, vivent des injustices liées à d'autres expériences : femmes des classes populaires, racisées, migrantes, à l'orientation sexuelle autre qu'hétéro, et/ou dont les corps et le psychisme n'entrent dans les canons socialement admis. Dès lors, les grossesses ne doivent plus priver les femmes enceintes et les parturientes de leur pouvoir d’agir et de décider quant à leur intégrité physique. Elles doivent pouvoir accoucher dans le respect. Il ne faut plus que, faute d’un congé obligatoire et suffisamment long pour permettre une implication réelle du deuxième parent, les femmes hypothèquent leur santé mentale et physique en accomplissant, seules ou presque, le travail qui consiste à prendre soin d’un petit humain. Avec la directive actuellement en discussion sur l’équilibre vie professionnelle - vie privée des parents et des aidants proches, concédons que l’Union Européenne fait preuve d’un certain progressisme sur le congé parental. Mais ce texte est pour le moment insuffisant. Quant à la position de blocage adoptée par le gouvernement français sur ce point, elle est tout bonnement incompréhensible. Les femmes n’ont pas à être seules après la naissance, en proie au doute et à la culpabilité, intériorisés malgré elles tant on leur laisse croire que le bien-être physique et émotionnel des jeunes enfants – et particulièrement des bébés – dépend tout entier des mères et d’elles seulement. Nous ne voulons plus de cette fausse évidence selon laquelle, la présence des mères (mais seulement une à la fois !) serait naturellement plus nécessaire que celle des pères. D’autant que les études le prouvent : cette prise en charge essentiellement monoparentale du nourrisson fait le lit d’inégalités de genre dans la sphère domestique. Pour quelles raisons logiques, celles qui peuvent porter 9 mois leur enfant devraient-elles prendre en charge matériellement, émotionnellement et mentalement une vie de famille qui dure des années ? Pourquoi devraient-elles assumer le rôle de “manageuses du foyer” ? Les femmes n’ont pas à accomplir la majorité de ces tâches qui les épuisent comme elles ont épuisé leur mère et leurs grands-mères. Ce travail gratuit, peu valorisé car considéré comme « naturel », détermine leur parcours professionnel, et par conséquent, conditionne leur nécessaire autonomie financière. Lorsqu’il est rémunéré, il est encore réalisé par des femmes, sous-payées, peu reconnues, en horaires décalés. Au mépris de leur vie personnelle. Les injonctions qui pèsent sur la maternité sont tellement contradictoires, que toutes les mères finissent par se sentir mauvaises : elles ne font jamais comme il faut, jamais suffisamment ou toujours trop. Elles demandent de l’aide ? C’est un signe qu’elles sont faibles. Elles n’en demandent pas ? C’est qu’elles ne mesurent pas l’ampleur de leur responsabilité. Elles décident se consacrer fortement à leurs enfants ? Quelle marque suprême d’aliénation. Elles réclament du temps pour elles ? Quelle monstrueuse manifestation d’égoïsme. Mauvaises mères, elles sont aussi mauvaises travailleuses : tantôt on leur conteste, au motif de leurs occupations familiales, l’accès aux activités pour lesquelles elles ont les compétences ; tantôt on les suspecte, parce qu’elles ont décidé d’investir fortement la sphère professionnelle, d’être des femmes dénaturées. La vie des femmes ne doit pas être entravée par une parentalité qui ne pèse que sur elles. Les changements à initier sont politiques et sociaux. Il est temps d’ouvrir un large débat pour repenser et refonder les conditions sociales de la maternité. Les mères sont des sujets politiques comme les autres : nous prenons la parole, il est temps de nous entendre.
Cette tribune est le fruit d’un travail collectif. Elle a été proposée par le PAF, qui a ensuite donné naissance à deux collectifs, dont le nôtre : Parents Et Féministes Elle a été publiée sur le site du Monde le dimanche 27 mai 2018.
  Liste des signataires, telle qu’elle a été diffusée sur Le Monde le dimanche 27 mai 2018 :
1.     Camille Andres, journaliste indépendante (femmesleaders.ch)
2.     Hélène Assekour, journaliste
3.     Léa Bages, journaliste
4.     Lauren Bastide, journaliste
5.     Alix Bayle, journaliste, réalisatrice
6.     Corine Berté, orthophoniste
7.     Mathilde Bertrand, enseignante-chercheuse
8.     Hélène Bidard, adjointe à la Maire de Paris
9.     Charlotte Bienaimé, documentariste
10.  Sophie Binet, pilote du collectif confédéral femmes-mixité de la CGT
11.  Chantal Birman, sage-femme
12.  Mathilde Bouychou, psychologue clinicienne-psychothérapeute, référente Île-de-France de l'association Maman Blues
13.  Marie-Georges Buffet, députée PCF
14.  Béatrice Cascales, co-auteure de L’Accouchement est politique
15.  Mathilde Castelli, coordinatrice linguistique
16.  Marie Cervetti, mère, grand-mère, présidente du FIT
17.  Laurence De Cock, historienne
18.  Laurence Cohen, sénatrice PCF
19.  Collectif Maternités
20.  Collectif Maternités féministes
21.  Cécile Croquin, secrétaire et trésorière de l’association Maman Blues
22.  Mélanie Déchalotte, journaliste et documentariste, auteure du Livre noir de la gynécologie
23.  Christine Delphy, sociologue
24.  Iris Deroeux, journaliste
25.  Judicaëlle Dietrich, géographe
26.  Valérie Dokhan, médecin
27.  Emma, auteure de blog et dessinatrice féministe
28.  Camille Emmanuelle, auteure et journaliste
29.  Annie Ernaux, écrivaine
30.  Alexia Eychenne, journaliste
31.  Nina Faure, réalisatrice
32.  Amandine Fouillard, co-animatrice du livret égalité femme-homme de France Insoumise, responsable des Féministes Insoumis.es
33.  Claire Fretel, metteure en scène, cofondatrice de la compagnie Les filles de Simone
34.  Alexandra Garcia-Vilà, réalisatrice
35.  Françoise Gaspard, sociologue
36.  Sidonie Gaucher, journaliste
37.  Tiphaine Gentilleau, comédienne, cofondatrice de la compagnie Les filles de Simone
38.  Oriane Graciano, orthophoniste, membre du bureau de Pour une M.E.U.F.
39.  Alice Guastalla, sage-femme au CALM
40.  Deborah Guy, doctorante en sociologie
41.  Bérénice Hamidi-Kim, maîtresse de conférences en études théâtrales
42.  Amandine Hancewicz, chargée de mission lutte contre les discriminations
43.  Estelle Havard, cadre territoriale
44.   Julie Hebting, coordinatrice de projet, co-fondatrice de Maydée
45.  Sophie Heitz, responsable de projets
46.  Clémence Helfter, coordinatrice de la campagne #VieDeMère de l’Ugict-CGT
47.  Coline Herbomel-Ringa, architecte D.E., membre de la commission politique du CALM
48.  Emmanuelle Josse, free lance en édition et communication
49.  Béatrice Kammerer, journaliste, fondatrice Les Vendredis Intellos
50.  Yvonne Knibiehler, historienne des mères et de la maternité
51.  Catherine Laforest, médecin généraliste
52.  Rose-Marie Lagrave, sociologue, directrice d’études à l’EHESS
53.  Marie-Hélène Lahaye, juriste, auteure du blog Marie accouche là
54.  Mathilde Larrère, historienne
55.  Rozenn Le Saint, journaliste
56.  Les Livres de Mumu
57.  Carole Mettavant, kinésithérapeute sexologue
58.  Danielle Michel-Chich, journaliste, auteure
59.  Pascale Molinier, psychologue sociale
60.  Emilie Moreau, psychologue - sexologue
61.  Mouvement Pour le Planning Familial, Paris
62.  Laëtitia Négrié, co-auteure de L'Accouchement est politique
63.  Marianne Niosi, journaliste, animatrice au MFPF
64.  Chloé Olivères, comédienne, cofondatrice de la compagnie Les filles de Simone
65.  Mathilde Panot, députée France Insoumise
66.  Blandine Pélissier, comédienne, traductrice
67.  Michelle Perrot, historienne, professeure émérite de l’Université Paris Diderot
68.  Claire Piot, féministe
69.  Elsa Pottier Casado, co-auteure du blog Maternités féministes, animatrice au Planning familial 92, membre du CALM
70.  Geneviève Pruvost, sociologue
71.  Sandra Regol, porte-parole EELV
72.  Bérénice Renard, juriste, membre du collectif Maternités
73.  Valérie Rey-Robert, auteure du blog Crêpe Georgette
74.  Annie Richard, universitaire, présidente de Femmes Monde
75.  Virginie Ringa, chercheure en santé publique, Inserm
76.  Alice Rocq-Havard, sage femmes sexologue, présidente de l’ANSFO
77.  Axelle Romby, médecin sexologue
78.  Patrizia Romito, psychosociologue
79.  Anne-Françoise Sachet, sage-femme
80.  Moïra Sauvage, journaliste et auteure
81.  Geneviève Sellier, historienne du cinéma
82.  Rosanna Sestito, sage-femme
83.  Charlotte Soulary, responsable de la commission féminisme d'EELV
84.  Gwenola Sueur, formatrice
85.  Sylvie Tissot, sociologue
86.  Sezin Topçu, sociologue des techniques, Cnrs-Ehess
87.  Marie Toussaint, déléguée à l’Europe et à la jeunesse au bureau exécutif d’EELV
88.  Laura Vallet, bibliothécaire, co-auteure du blog Maternités féministes
89.  Caroline Viau, cadre territoriale, syndicaliste
90.  Anne-Sophie Vozari, doctorante en sociologie
91.  Bozena Wojciechowski, adjointe au maire d’Ivry-sur-Seine
92.  Anne-Sophie Zambeaux, responsable de communication
93.  Juliette Zuber, assistante de service social
Liste des nouve·aux·lles signataires :
1.     Nadia Leïla Aïssaoui, sociologue et militante féministe
2.     Maud Alpi, réalisatrice
3.     Uzan Avi
4.     Marie-Anne Bachelerie, chargée des relations avec le public dans une scène nationale
5.     Ellie Baz
6.     Evelyne Berchtold
7.     Anne Bory, sociologue
8.     Baptiste Boulba-Ghigna, enseignant de philo, scénariste, en disponibilité pour élever un jeune enfant
9.     Zebra Cabanini, autrice d'un guide sur la dépression post-partum
10.  Noémie de Lattre
11.  Marie-Anne Delmoitié, professeure-documentaliste
12.  Zoë Dubus, doctorante en histoire, membre de Demeter-Core
13.  Elodie Gadiollet
14.  Olivia Gazalé, philosophe, auteure de Le Mythe de la virilité
15.  Claire Gillio
16.  Marie Krumpe, militante féministe
17.  Magali Legmar, responsable opérationnelle dans la maintenance informatique
18.  Emilie Maxwell, enseignante de français langue seconde
19.  Salomé Merlo
20.  Florence Montreynaud, historienne
21.  Antonine Nicoglou, chercheuse post-doctorante en philosophie
22.  Lola Ostier
23.  Pandora Reggiani, membre du bureau de la commission féministe, EELV
24.  Vanessa Rizk, réalisatrice
25.  Nathalie Rapoport-Hubschman, médecin psychothérapeute
26.  Soizick Rouger, mère et tout le reste
27.  Elisabeth Salvaresi
28.  Sonia Samet, coordinatrice du CPEF Colliard
29.  Daphné Simo, étudiante en Licence 3 histoire, membre des Jeunes Européens Fédéralistes
30.  Aline Stinus, comédienne et porteuse de projet
31.  Anne Sztejnberg, spécialiste en coopération internationale
32.  Elise Thiébaut, journaliste, autrice
33.  Joséphine Yvernault
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lecturesdefemmes · 6 years ago
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Les cinq sexes, Anne Fausto-Sterling
Pourquoi n’y aurait-il que deux sexes ? L’essai d’Anne Fausto-Sterling interroge notre binarité en matière de genre, en s’appuyant sur le cas des personnes intersexes. Un livre très court et percutant pour s’éduquer sur les problématiques liées à l’intersexuation, et plus largement à notre manière d’aborder les genres.
Cet essai, paru en 1993 en anglais, et n’a été traduit que récemment en français, en dépit de la forte résonance qu’il a eue à sa sortie aux États-Unis. La préface de Pascale Molinier permet de re-situer le contexte historique de sa publication et de son impact. Il a été suivi, en 2000, d’un second article d’Anne Fausto-Sterling, « Les cinq sexes, revisités ».
L’idée qu’il y a une distinction à opérer entre sexe (biologique) et genre (identité sociale construite) est aujourd’hui bien ancrée. Pour autant, on reste encore dans l’optique qu’il n’existerait, au niveau biologique, que deux sexes - mâles et femelles. La biologiste Anne Fausto-Sterling s’appuie quant à elle sur le cas de personnes nées avec des attributs mixtes pour réinterroger cette binarité.
Le concept de « genre » tel qu’employé en psychologie n’a pas seulement été descriptif pour l’autrice ; mais « a été surtout opératoire en tant que concept normatif, outil pour la disciplinarisation des corps et des psychés. » (p.24)
Elle s’appuie sur le cas des personnes qu’on appelait les « hermaphrodites », et qui se sont rebaptisées intersexes dans les années 1990, pour étudier le recours normatif au genre par la médecine.
Anne Fausto-Sterling souligne que le traitement de l’intersexuation est en effet un exemple de ce que Michel Foucault appelle le bio pouvoir. La position majoritaire de la médecine à l’égard des personnes intersexes a consisté à vouloir les faire rentrer absolument dans l’une ou l’autre des catégories reconnues de genre - féminin ou masculin.
Et ce, au prix souvent d’opérations chirurgicales lourdes et irréversibles avant qu’iels ne puissent donner leur consentement (avant l’âge de 18 mois). L’intégration sociale et l’épanouissement personnel ne peuvent se faire, dans la logique qui sous-tend cette approche, qu’au travers de cette conformation - physique et mentale - à l’un des deux sexes reconnus.
Or, prenant example sur certains cas documentés, Anne Fausto-Sterling conteste que cette voie soit réellement la garantie de l’épanouissement personnel. Elle convoque des histoires d’individus qui, ayant réussi à passer entre les mailles du filet médical et ainsi pu conserver toutes leurs caractéristiques, ont vécu des vies riches en s’appuyant aussi bien sur leurs attributs mâles et femelles.
À l’inverse, des personnes à qui un genre a été assigné à la naissance en dépit de leurs caractéristiques intersexes, peuvent paraître s’être intégrées - le critère de « réussite » d’une attribution de genre devenant le mariage hétérosexuel - mais vivent par ailleurs parfois un mal-être profond.
Si l’on pense que seule l’identification certaine à un des deux sexes reconnus par la société est la voie du succès, alors la médecine atteint son but, analyse-t-elle. Mais dans le même temps, on peut voir ces mêmes avancées médicales « non pas comme un progrès, mais comme une sorte de discipline. Le corps des hermaphrodites est indiscipliné. »
Indiscipliné, en ceci qu’il n’intègre pas les classifications binaires ; mais finalement, en quoi est-ce un problème ? Quand on cherche à discipliner ce corps qui n’admet pas la binarité, est-ce pour son bien à lui, ou pour préserver les normes de genre acceptées par son entourage et sa société ?
Dans Les cinq sexes, Anne Fausto-Sterling proposait donc d’intégrer de nouvelles catégories : les « herms », qui possèdent un testicule et un ovaire (les organes producteurs de spermatozoïdes et d’ovules, aussi appelés « gonades ») ; les « merms », les » pseudo-hermaphrodites masculins, qui possèdent des testicules et certains aspects de l’appareil génital féminin, mais pas d’ovaires ; les « ferms », les pseudo-hermaphrodites féminins, qui possèdent des ovaires et certains aspects de l’appareil génital masculin, mais pas de testicules. Mais au-delà de ces catégories, elle proposait alors de voir le genre comme un continuum plus qu’une notion binaire.
Cependant en 2000, elle publie une version « revisitée » de son essai de 1993, où elle envisage un affranchissement plus radical des catégories de mâle et femelle. Les genres ne seraient ainsi pas situés dans un continuum dont masculin et féminin seraient des extrémités, mais chacun manifesterait une combinaison unique des différentes composantes du genre - au niveau cellulaire (expression d’un gène spécifique), anatomique (organes génitaux et caractères sexuels secondaires), et social (construction de genre).
« Il peut sembler naturel de considérer que les intersexes et les transgenres vivent à mi-chemin entre les pôles mâles et femelles, mais cela reviendrait à voir ces deux catégories, le masculin et le féminin, comme les deux extrémités d’un continuum. Il est plus juste de conceptualiser le sexe et le genre comme différents points dans un espace multidimensionnel. »
G.C.
Les cinq sexes, pourquoi mâle et femelle ne sont pas suffisants, Anne Fausto-Sterling. Publications originales 1993 et 2000. Traduit de l’anglais par Anne-Emmanuelle Boterf. Préface de Pascale Molinier. Editions Payot&Rivages, Paris 2013 et 2018 pour la préface et la traduction française.
Anne Fausto-Sterling, biologiste, historienne des sciences et féministe, est professeure à Brown University (États-Unis).
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zehub · 2 years ago
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Dans les Monts d’Arrée, le pâturage contre les incendies
Dans le Finistère, des éleveurs font paître leurs bœufs dans la lande. Une activité agricole en collaboration avec le parc d’Armorique pour renforcer la biodiversité et faire face aux incendies. Monts d’Arrée (Finistère), reportage La terre reste noircie, mais la molinie, cette graminée typique des landes, commence déjà à repousser et forme un joli tapis vert sous les premières pluies d’automne. Une image apaisante après le chaos de cet été. Dans le Finistère, 2 208 hectares ont brûlé dans les monts (...)
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pokemone06 · 2 years ago
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thierrytillier-blog · 7 years ago
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((( L'ESPRIT FRANÇAIS CONTRE-CULTURES, 1969-1989 ,,,
"L'esprit français, Contre-cultures 1969-1989"
De la Figuration Narrative à la violence graphique de Bazooka, des éditions Champ Libre à la création des radios libres, de Hara-Kiri à Bérurier Noir, cette exposition rend compte d’un « esprit français » critique, irrévérencieux et contestataire, en proposant une multitude de filiations et d’affinités. À travers une soixantaine d’artistes et plus de 700 oeuvres et documents, rassemblant à la fois journaux, tracts, affiches, extraits de films, de vidéos et d’émissions de télévision, l’exposition assume une forme de révision esthétique, en allant regarder vers d’autres “genres” de la création que ceux généralement mis en avant dans l’art contemporain. Elle est également l’occasion de présenter des pièces rarement montrées telles que des carnets du groupe Dziga Vertov (fondé par Jean-Luc Godard et Jean-Pierre Gorin), une sculpture monumentale de Raymonde Arcier ou les « livres d’école » d’Henri et Marinette Cueco ainsi que de passer commande d’œuvres inédites à Kiki Picasso (Il n’y a pas de raison de laisser le blanc, le bleu et le rouge à ces cons de français, 2016-2017), Jean-Jacques Lebel (L’Internationale Hallucinex, 1970-2017) et Claude Lévêque (Conte cruel de la jeunesse, 1987-2017).
Sexualités, militance, dandysme et violence opèrent comme des fils rouges dans l’exposition qui s’organise en chapitres notamment consacrés aux contre-éducations, au sabotage de l’identité nationale, mais aussi à l’influence du Marquis de Sade sur certaines pratiques radicales. Les modes de production et de diffusion alternatives dans la presse et les médias, en même temps que la persistance d’une violence contestataire et sa répression tout aussi brutale, construisent aussi un paysage social qui s’assombrit, sur fond de crise, d’émergence du chômage de masse, de ségrégation et d’une banlieue trop froide ou trop chaude qui catalyse les malaises.
En France, de la contre-culture à la sous-culture, il n’y a qu’un pas. Beaucoup parmi les artistes montrés, ont d’ailleurs fait le choix volontaire et manifeste de ne pas aller vers l’art, tout en restant à côté, parfois tout proche, comme pour y puiser sans en subir les prescriptions. D’autres, à l’intérieur même de ce champ, sont restés fidèles, à des manières qui ne se faisaient pas : figuration, caricature, ethnographie, militance politique. Autant de dissidences esthétiques qui sont des formes de résistance à un ordre formel des choses et qui viennent redonner de la diversité à une histoire de l’art français un peu monochrome. À travers la convocation d’idées et de pratiques singulières, qui furent un temps marginalisées, il s’agit, sans nostalgie, d’éclairer des mutations culturelles mais aussi de réactiver certaines énergies au présent.
Artistes et auteur.e.s de l'exposition
Djouhra Abouda et Alain Bonnamy, Olivier Agid, Émile Aillaud, Gilles Aillaud, Malek Alloula, Raymonde Arcier, Adolfo Arrietta, Jean Aubert, Jean-Christophe Averty, Igor Barrère, Cathy Bernheim, Bérurier Noir et Laul, Alain Bizos, Julien Blaine, Bertrand Blier, Jean-Pierre Bouyxou et Raphaël Marongiu, Régis Cany, Claude Caroly, Henri Cartier-Bresson, Jules Celma, Olivia Télé Clavel, Nicole Claveloux, Collectif Eugène Varlin et Jacques Kebadian, le Collectif Mohammed, Coluche, la Coopérative des Malassis (Bernard Alleaume, Henri Cueco, Jean-Claude Latil, Mikaëloff, Martin Parré, Gérard Tisserand), Copi, Jean-Louis Costes, Alfred Courmes, Jean Criton, Marinette Cueco, Jorge Damonte, Pierre Desproges, Elles Sont De Sortie (Pascal Doury et Bruno Richard), Catherine Faux, Dan & Guy Ferdinande, Lucien Fleury, Marie France, Bernard Froidefond (Lastar Crémière), Dominique Fury, Serge Gainsbourg, Jean-Pierre Gallèpe, Jean-François Gallotte et Joëlle Malberg, Gébé, Michel Giniès, le Groupe Dziga Vertov (Jean-Luc Godard et Jean-Pierre Gorin), Daniele Huillet et Jean-Marie Straub, Les Insoumuses (Nadja Ringart, Carole Roussopoulos, Delphine Seyrig et Ioana Wieder), Françoise Janicot et Bernard Heidsieck, Michel Journiac, Jean-Paul Jungmann, Peter Klasen, Pierre Klossowski, Eustachy Kossakowski, Arnaud Labelle-Rojoux, Claude Lalanne, Lulu Larsen, Alain Le Saux, Jean-Jacques Lebel, Jean-Patrick Lebel, Claude Lévêque, Lea Lublin, Annette Messager, Pierre Molinier, Jacques Monory, Chantal Montellier, Alain Montesse, Philippe Morillon, Didier Moulinier, Edgard Naccache, ORLAN, Frédéric Pardo, Michel Parmentier, Kiki Picasso, Loulou Picasso, Pierre et Gilles, Daniel Pommereulle, Professeur Choron, Jean-Marc Reiser, Michel Saloff-Coste, Siné, Romain Slocombe, Lionel Soukaz, Lucien Suel, T5Dur, Thierry Tillier, Roland Topor, Jean-Marc Toulassi, Clovis Trouille, le Groupe Utopie, Paul Vecchiali, Bernard Vidal, Georges Wolinski, Henri Xhonneux, Jean Yanne, Rocking Yaset, Pierre Zucca.
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spotjardin · 4 years ago
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La molinie
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PRÉSENTATION La molinie est une plante vivace qui fait partie de la famille des Poacées appelées autrefois graminées. Elle comprend très peu d’espèces puisqu’elles se dénombrent à 2 ou 3. Elle sera parfaite dans un massif grâce à sa silhouette élancée. Sa culture sera très facile ainsi que son entretien. Son besoin en eau sera important.
(more…)
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wallflowersarah · 7 years ago
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"Mais lentement on se résigne . On ne demandait pourtant pas beaucoup de la vie . On apprend à en demander moins encore ... toujours moins . Puis elle ajouta doucement : Et de soi , toujours plus ."
Pauline Molinier , les Faux Monnayeurs , André Gide
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