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Médias numériques: Problèmes et enjeux
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chanelvaive · 7 years ago
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Bilan des thématiques
8 avril 2018 
           Les médias sociaux relèvent plusieurs enjeux dans notre société par rapport à divers sujets. Les thématiques abordées dans ce blogue sont donc une représentation des problèmes et des enjeux qui peuvent survenir sur les plateformes socionumériques. Les nombreux concepts élaborés dans ces thématiques ont permis de susciter une prise en conscience de la puissance du numérique dans notre société moderne. Ainsi, dans ce bilan, je présenterai une hiérarchisation de l’importance que j’accorde aux thématiques, une critique de mes pratiques numériques et de mes résolutions futures dans celles-ci.
           Tout d’abord, j’estime que toutes les thématiques de ce blogue sont importantes puisqu’elles permettent de se questionner sur nos propres pratiques à propos de différents enjeux du numérique. Personnellement, j’accorde une importance primordiale à la thématique de vie privée, sociabilité et vie « en ligne » au temps de Facebook. En effet, le concept de la vie privée sur les réseaux sociaux, qui est présenté par Casilli (2013), est souvent mis en péril avec le contraste de la vie publique sur les plateformes socionumréques. Casilli (2013) explique aussi que la volonté d’avoir un capital social est directement liée à la présentation de notre vie privée (Casilli, 2013, p.6). Ainsi, cette thématique peut être jumelée à celle de la visibilité et « plateformisation » de soi qui est aussi une forme d’incitation causée par le capital social. Étrangement, la divulgation des données personnelles et des publications comme des photos ou des vidéos permettent certainement d’augmenter la visibilité de l’individu, c’est-à-dire le capital social. Toutefois, cette volonté de vouloir s’afficher régulièrement peut donc amener divers problèmes et même, créer une angoisse et des vertiges du numérique. En effet, nos données restent emprisonnées sur le Web, et ce, sur plusieurs sites et plusieurs plateformes socionumériques. Cette thématique est donc aussi importante puisque nos informations personnelles sont constamment visibles sur Internet. Ensuite, j’estime que la thématique de s’informer à l’ère de Google et des médias sociauxest importante puisque la population du Québec s’informe à partir de l’espace numérique. En effet, « ils sont 43 % à aller sur les réseaux sociaux pour s’informer, au détriment des autres sites Web qui affichent un net recul » (CEFRIO, 2016, p.5). Cette statistique démontre que presque la moitié de la population s’informe sur les réseaux sociaux. Ainsi, la question du pouvoir des médias peut être questionnée puisque les utilisateurs des plateformes socionumériques ont maintenant le pouvoir d’être des producteurs d’information. Ceci m’amène donc à la thématique des médias numériques et démocratiequi est présentée par Cardon (2012) comme un pouvoir du peuple, c’est-à-dire que les individus ont la possibilité de s’exprimer sur Internet (Cardon, 2012, p.3). En terminant sur l’importance que j’accorde aux thématiques, les deux dernières, soit panorama des médias numériques et promesses et vertus du numérique ont soulevé moins de questionnements à mon avis, en ce qui concerne les enjeux d’Internet. Toutefois, elles ont contribué à ma compréhension des autres thématiques et à l’établissement de liens entre celles-ci.
           À la suite de ces résumés de ces thématiques, je peux maintenant me questionner sur mes propres pratiques et établir une résolution envers celles-ci. En effet, je constate que j’effectue beaucoup d’archives transactionnelles sur le Web et que cette pratique numérique peut laisser des traces de mes données personnelles (Beer et Burrows, 2013, cité par Zahar, diapositive 6, 1er février 2018). Il serait donc préférable, comme résolution future, de magasiner dans l’espace physique plutôt que dans l’espace numérique. Ainsi, à la lumière de mes apprentissages dans ces thématiques, j’ai réussi à prendre conscience de mes actions et être plus prudente sur les façons de m’informer et de partager mes données personnelles. Après tout, l’espace numérique n’est peut-être pas aussi sécuritaire que nous le croyons.
Bibliographie
CARDON, Dominique, « Visions, Dominique Cardon, la démocratie Internet : Comment et pourquoi la Toile invente un autre type de démocratie », Culture mobile : penser la société du numérique, 3 juillet 2012, 18 pages.
CASILLI, Antonio A, « Contre l’hypothèse de la « fin de la vie privée » : la négociation de la privacydans les médias sociaux », Revue française des sciences de l’information et de la communication,31 juillet2013, p.1-17.
CEFRIO, « Internet pour s’informer et communiquer », NETendances, vol. 7,n°7, 2016, p.1-18.
Hela ZAHAR, Médias numériques: problèmes et enjeux COM2433, Notes de cours: angoisses et vertiges du numérique, Université du Québec en Outaouais, hiver 2018. 
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chanelvaive · 7 years ago
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Médias numériques et démocratie
1er mars 2018
Dans les sociétés démocratiques, la valeur de la liberté d’expression est primordiale à tous les individus pour réussir à atteindre l’égalité. Évidemment, sur Internet, nous pouvons aujourd’hui participer activement à la publication de plusieurs informations diverses, et ce, même si nous ne sommes pas des professionnels (Vitali Rosati, 2010, p.4). Cette forme de culture participative mène à une démocratie virtuelle sur Internet. Ainsi, nous pouvons nous poser la question suivante : comment est-il possible d’avoir une démocratie sur le Web ? Personnellement, je crois que le concept de liberté est au cœur de notre univers virtuel. La liberté d’expression et la liberté d’accéder à l’information sont des éléments qui mènent à la démocratie sur Internet.
 Tout d’abord, la liberté d’expression est omniprésente sur plusieurs sites, blogues et forums. En effet, celle-ci est un bon moyen pour atteindre l’égalité en ce qui concerne l’aspect communicationnel. La démocratie sur Internet contient « l’existence d’une véritable liberté d’expression et d’auto-organisation de la part des citoyens pour le bien commun et le partage du savoir » (Rosanvallon, 2006, cité par Cardon et Smyrnelis, 2012, p.69). Cette citation représente très bien ma vision sur Internet qui agit comme un réseau social égalitaire et libertin, qui permet de transmettre de nouvelles informations aux autres personnes. Par rapport à mes pratiques numériques, je remarque que je participe activement à la discussion de plusieurs publications sur Facebook à propos de l’actualité de notre région ou des nouveautés de produits offerts sur le marché. Je constate qu’il s’agit d’une démocratie puisque chaque internaute a le droit à la parole, et ce, avec une réciprocité.
 Ensuite, nous pouvons comprendre que cette liberté d’expression amène le partage du savoir entre les individus. En effet, la diffusion du savoir sur Internet est omniprésente et elle se propage rapidement. Selon Cardon et Smyrnelis, il s’agit d’un espace hiérarchisé par des internautes et non par des techniques ou des personnes professionnelles (Cardon et Smyrnelis, 2012, p.68). Cette hiérarchie donne donc, selon moi, la possibilité de propager nos idéologies, de s’ouvrir aux autres cultures et aux autres opinions. Par exemple, le réseau social Facebook offre la possibilité de suivre des pages comme Radio-Canada ou CNN qui ceux-ci, publient des vidéos des actualités politiques et culturelles en direct. Cette option offerte me permet donc de visualiser des enjeux ou des événements de partout dans le monde entier, et ce, en utilisant simplement Facebook. Il est aussi possible de commenter ces vidéos en direct, ce qui offre l’opportunité d’échanger de l’information sur le sujet avec d’autres individus. Les commentaires les plus populaires sur la publication se retrouvent majoritairement au début de la liste complète de ceux-ci. Évidemment, il s’agit parfois de commentaires négatifs, mais cette formalité de Facebook ouvre la possibilité d’une discussion collective entre les internautes. Elle peut parfois créer des enjeux sur la véracité de l’information et sur la crédibilité de l’utilisateur, mais l’expression de l’opinion reste présente dans ce contexte. Toutefois, il peut aussi y avoir des répercussions positives comme l’explication de l’actualité présentée ou l’accord des autres individus du commentaire publié. Bref, la liberté des internautes sur Internet dans les sociétés démocratiques est bien présente. Les commentaires, la publication d’information et le partage de celui-ci constituent un droit de parole égalitaire, selon moi. Cependant, cette démocratie coopérative est-elle réellement égalitaire si nous ne faisons pas le même usage d’Internet ?
 Bibliographie
 CARDON, Dominique et Marie-Carmen, SMYRNELIS, « La démocratie Internet : Entretien avec Dominique Cardon », Transversalités, n°123, 2012, p.65-73.
 VITALI ROSATI, Marcello, « L’ambiguïté politique d’Internet : Lecture de la démocratie Internet de Dominique Cardon », Revue internationale : Sens-public, 2010, p.1-6.
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chanelvaive · 7 years ago
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Visibilité et « plateformisation » de soi
22 février 2018
           De nos jours, les médias sociaux ont plusieurs utilités pour les utilisateurs. Il peut s’agir de s’informer, de s’éduquer ou d’être simplement visible sur Internet. Les différentes plateformes numériques contiennent des algorithmes que les utilisateurs doivent saisir pour profiter de la « plateformisation » (Zahar, diapositive 6, 22 février 2018). Ainsi, pour effectuer une visibilité adéquate de soi, il est indispensable de comprendre les normes du réseau numérique que nous désirons nous exposer. Toutefois, est-il normal que nous devions nous conformer à des restrictions pour présenter une image désirée par la société ? Est-ce que nous présentons toujours la vérité de notre personnalité sur le l’espace numérique ? Agissons-nous de la même façon sur tous les médias sociaux ? Pour répondre à ces questions, je traiterai sur les différents types de plateformes numériques et sur la façon que ceux-ci nous prescrivent des normes sociales.
             Les médias sociaux, nous le savons, ne contiennent pas tous le même réseau social. En effet, selon la visibilité que nous voulons offrir et selon le contexte professionnel ou personnel, le média social n’est pas utilisé de la même façon. Par exemple, sur Facebook, je suis en contact avec des amis, des connaissances, des collègues et des membres de ma famille. Sur LinkedIn, qui est un réseau professionnel, je suis en contact avec des collègues et des personnes en affaire, en lien avec mon emploi. Le contraste de ces deux médias sociaux est énorme et je n’utilise pas ceux-ci pour les mêmes buts. LinkedIn est utilisé pour m’offrir une visibilité dans le réseau des affaires dans la région, ce qui m’oblige à garder une certaine discrétion par rapport à ma vie personnelle. Cet « univers du phare » me mène justement à un but spécifique (Zahar, diapositive 9, 22 février 2018), soit de me faire des contacts professionnels. Au contraire, Facebook m’aide à garder le contact avec mon entourage et je l’utilise majoritairement à des fins personnelles.
             Cependant, il est alors intéressant de prendre conscience de ce phénomène de présentation de soi numérique qui est divergent d’un média social à un autre. La forme de visibilité numérique devient donc une image ciblée de notre personnalité que nous voulons présenter aux publics du réseau. Par exemple, ma photo de profil sur LinkedIn n’est pas la même que sur Facebook puisque je juge que je dois avoir une photo professionnelle sur LinkedIn. Ce choix de photographie est directement lié avec le public cible qui est les gens en affaire, ce qui m’incite à me construire une image plus professionnelle. « Les internautes apprennent à gérer ces codes de mise en scène du corps et, comme dans la vie hors ligne, ils apprennent vite à adapter leur comportement et leurs gestes selon l’impression qu’ils cherchent à donner à leurs interlocuteurs » (Casilli, 2012, p.18). Cette citation présente donc l’ampleur de la situation sur notre présentation de soi-même physique et psychologique. Cet enjeu devient de plus en plus important aujourd’hui avec l’importance que nous accordons aux médias sociaux. Cependant, est-il possible de présenter nos propres idéologies à travers une masse qui nous impose inconsciemment des normes sociales ?
 Bibliographie
 CASILLI, Antonio, « Être présent en ligne : Culture et structure des réseaux sociaux d’Internet », Idées économiques et sociales, n° 169, 2012, p.16-19.
 ZAHAR, Hela. (2018). Médias numériques : problèmes et enjeux, présentation cours 7, Notes de cours : Visibilité et ‘plateformisation’ de soi, COM2433, Université du Québec en Outaouais.
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chanelvaive · 7 years ago
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Vie privée, sociabilité et vie « en ligne » au temps de Facebook
15 février 2018
           Depuis les dernières années, l’usage des réseaux sociaux est utilisé pour avoir une certaine visibilité dans notre société. Toutefois, cette volonté de s’exposer sur les plateformes numériques peut engendrer des dangers par rapport à la vie privée de la personne.  Entre visibilité publique et protection de la vie privée, il y a, selon moi, un contraste qui est difficile à appliquer pour notre confidentialité. Ainsi, je me questionne sur la question suivante : comment ma présence sur les réseaux sociaux m’incite-t-elle à avoir un capital social ? Je crois fortement que l’importance d’être visible sur ces réseaux sociaux m’encourage à contribuer à la production et à la consommation de ceux-ci. Pour développer mon argument, j’aborderai sur l’enjeu créé sur les réseaux sociaux par rapport à la vie publique et la vie privée ainsi que sur l’importance de la visibilité numérique.
           Tout d’abord, les réseaux sociaux incitent parfois les internautes à partager leur vie privée avec les autres utilisateurs.  « Le dévoilement de soi a alors été interprété comme une forme d'« individualisme expressif » [Allard et Vandenberghe 2003], visant à produire et entretenir des « identités numériques »[Georges 2008] » (Allard, Vandenberghe et Georges, cité par Casilli, 2013, p.6). Cette citation représente très bien le mouvement social qui se produit actuellement sur Internet. Personnellement, je peux mentionner que je suis dans ce moule de la société puisque j’utilise principalement Facebook pour créer mon image personnelle en publiant des photographies de mes voyages. De cette façon, mon identité numérique sur Facebook me présente comme étant une personne aventurière et qui aime voyager. Évidemment, il y a donc un contraste important dans cette pratique numérique en ce qui concerne ma vie privée qui devient beaucoup plus publique.
             Cette volonté d’être visible sur Facebook s’est produite en lien avec le régime de ce dernier. Selon Grégoire et Tinland, « […] l’objectif de Facebook n’est surement pas de conserver pour chacun de ses utilisateurs un jardin secret, mais plutôt d’inciter l’utilisateur à partager le plus possible des éléments de sa vie personnelle […] » (Grégoire et Tinland, 2016, p.3). Ainsi, nous avons été inconsciemment incités à atteindre le plus de visibilité en publiant des photographies ou en accumulant le plus d’amitié virtuelle. Cette importance que nous accordons aujourd’hui à notre visibilité numérique devient de plus en plus primordiale. Nos publications, notre fréquence de connectivité sur Facebook et l’importance de la quantité d’amis dans notre réseau sont des aspects qui forgent notre capital social sur le média social. Est-ce devenu une problématique dans nos relations sociales cette importance de visibilité ?
 Bibliographie
 CASILLI, Antonio. A., « Contre l’hypothèse de la fin de la « fin de la vie privée » : La négociation de la privacy dans les médias sociaux », Revue française des sciences de l’information et de la communication, n°3, 31 juillet 2013, 17 pages.
 GRÉGOIRE, Aymeline et Christelle, TINLAND, « L’exposition de notre vie privée sur Facebook », Les Mondes Numériques, 2016, 60 pages.
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chanelvaive · 7 years ago
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S’informer à l’ère de Google et des médias sociaux
8 février 2018
            De nos jours, l’accès à l’information est devenu beaucoup plus facile et rapide depuis l’apparition de l’Internet. En effet, la population utilise les nouvelles technologies de l’information pour s’informer, partager, communiquer et s’éduquer. Il est noté que « […] 64 % des internautes canadiens consultent à chaque semaine les nouvelles à partir de leur ordinateur, 24 % à partir d’une tablette numérique et 39 % à partir de leur téléphone intelligent » (Reuters Institute For the Study of Journalism, 2016, cité par CEFRIO, 2016, p.10).  Ce nombre élevé d’individus qui fréquentent le Web en utilisant une plateforme numérique est devenu un enjeu dans notre société concernant la fiabilité de l’information. La propagation de fausses nouvelles est omniprésentes dans notre société. « Une fausse nouvelle est une information, soit carrément fausse, soit détournée, exagérée ou dénaturée […] présentée comme une vraie nouvelle dans le but de tromper les gens » (Yates, 2017, p.1). Cette citation présente la désinformation souvent fréquente dans les nouvelles médiatiques. Nous pouvons alors nous poser la question suivante : les nouvelles technologies de l’information et l’usage de l’Internet ont-ils un impact sur la propagation des fausses nouvelles ? Personnellement, je crois que l’ouverture concernant la liberté d’expression qui est présente sur les médias sociaux peut parfois avoir un effet sur la véracité de l’information concernant une nouvelle. Par exemple, après l’élection du président américain Donald Trump, les articles provenant de plusieurs blogues circulaient sur Facebook et j’ai remarqué que les commentaires des internautes étaient majoritairement négatifs envers ce dernier. Est-il normal d’élire un individu et de le critiquer sur sa propre personnalité ? Selon moi, le pouvoir médiatique que nous connaissons sur les médias sociaux et l’importance de se mouler dans la masse ont eu un impact sur l’apparition de fausses nouvelles sur Donald Trump. « Les médias sociaux ont été accusés de servir de caisses de résonance à ces mensonges désinformant qui minent le débat public et nuisent à la démocratie » (Baillargeon, 2017, p.1). Évidemment, chaque propos du président risque d’être analysé, jugé ou critiqué par la population américaine. Toutefois, je crois que la société devrait utiliser des sources fiables avant de porter un jugement. Ainsi, pour ma part, j’ai tendance à lire les articles au complet avant d’émettre une idéologie à propos d’un sujet. En terminant, les enjeux créés par l’Internet comme la multiplication des supports médiatiques et la convergence en ce qui concerne les rôles des individus ont des impacts sur la propagation de fausses nouvelles. La facilité d’être producteur, médiateur et consommateur de l’information sur les réseaux socionumériques ne garantit pas la véracité de l’information selon mon opinion. Certes, la liberté d’expression peut être positive, mais elle peut aussi être trompeuse dans les situations de fausses nouvelles.
 Bibliographie
 BAILLARGEON, Stéphane, « Les mots de l’année (6/6) : « Fake news », les vraies fausses nouvelles », Le Devoir, 30 décembre 2017, 1 page. En ligne. http://www.ledevoir.com/societe/516529/fake-news-les-vraies-fausses-nouvelles. Consulté le 8 février 2018.
 CEFRIO, « Internet pour s’informer et communiquer », NETendances, vol. 7, n°7, 2016, 18 pages.
 YATES, Jeff, « Mettons les choses au clair : c’est quoi, une « fausse nouvelle » ? », Journal Métro, 12 janvier 2017, 1 page. En ligne. http://journalmetro.com/opinions/inspecteur-viral/1075454/mettons-les-choses-au-clair-cest-quoi-une-fausse-nouvelle/#. Consulté le 13 février 2018.
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chanelvaive · 7 years ago
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Angoisses et vertiges du numérique
1er février 2018
           Depuis quelques années, les pratiques numériques sont devenues importantes avec l’arrivée des nouvelles technologies de l’information. Maintenant, nous utilisons le Web pour avoir une visibilité et de la popularité virtuelle. Toutefois, n’est-il pas dangereux de partager nos informations et nos données personnelles au monde entier? Sommes-nous surveillés lors de nos pratiques numériques sur Internet? Personnellement, j’affirme que j’ai tendance à laisser mes traces numériques, et ce, inconsciemment. Dans ce journal sur les angoisses et vertiges du numérique, j’aborderai sur les catégories d’archives numériques que j’utilise et sur mon identité numérique.
             Tout d’abord, j’utilise principalement deux catégories d’archives numériques soient les archives transactionnelles et les archives « de données de tous les jours » (Zahar, diapositive 6, 1er février 2018). En effet, je fais fréquemment des achats en ligne sur Amazon et d’autres sites de magasinage comme Sephora, Zaful et Dynamite. Cette pratique numérique est efficace puisque nous pouvons magasiner rapidement, et ce, à n’importe quel moment de la journée. Cependant, je me questionne toujours sur l’aspect sécuritaire de ces actions numériques. Je réalise que mes données personnelles qui sont partagées aux détaillants restent dans le Web. Évidemment, il s’agit de sites Internet qui se disent sécuritaires. Avons-nous une preuve de cette affirmation? Il y a constamment de la violence, des vols d’identité et de la criminalité sur le web que nous connaissons aujourd’hui. En effet, « selon le Centre de soutien aux victimes de vol d’identité du Canada, environ 2,25 millions de personnes (près de 10 % de la population) ont été victimes d’un vol d’identité en 2008 » (Fonds FMOQ, 2013, p.1). Cette citation présente l’ampleur de la situation dans notre société actuelle. Il est donc intéressant de se questionner sur le lien entre nos données personnelles et ces attaques informatiques, qui selon moi, sont grandement liées. Par exemple, mon utilisation fréquente de Facebook, qui fait partie des archives « de données de tous les jours », présente mes informations personnelles à une grande communauté. Est-ce vraiment sécuritaire d’exhiber mes données sur le numérique ?
 Ensuite, j’estime que mon identité numérique est diversifiée, c’est-à-dire que je suis à la fois consommatrice de biens matériels sur les sites et je suis aussi visible dans les espaces publics comme Instagram, Pinterest et Facebook. Bref, je réalise que mes informations personnelles comme mon nom, mon adresse, ma date d’anniversaire, mon lieu de travail, mon parcours éducatif et mes relations personnelles se trouvent sur Internet. Est-ce normal de partager ces informations à des personnes inconnues ? Pourquoi n’est-ce pas sécuritaire de le faire dans le monde réel alors ? Ces questionnements devraient nous faire réfléchir sur notre propre sécurité et sur l’effacement de notre vie personnelle. Un phénomène qui, selon moi, est continuellement en processus dans notre société.
 Bibliographie
 FONDS FMOQ, Le vol d’identité : Un malheur qui peut tourner rapidement au cauchemar, juin 2013, 1 page. En ligne. http://www.fondsfmoq.com/publications/articles-publies/bulletin-dinformation-financiere/le-vol-d’identite-un-malheur-qui-peut-tourner-rapidement-au-cauchemar/. Consulté le 13 février 2018.
 ZAHAR, Hela. (2018). Médias numériques : problèmes et enjeux, présentation cours 4, Notes de cours : Angoisses et vertiges du numérique, COM2433, Université du Québec en Outaouais.
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chanelvaive · 7 years ago
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Promesses et vertus du numérique
25 janvier 2018
            L’ère du numérique est gérée différemment par chaque individu dans notre société actuelle. En effet, certaines personnes l’utilisent dans le but de promouvoir leur entreprise et d’autres individus l’utilisent dans le but de profiter de la gratuité offerte sur Internet. Ainsi, je me pose la question suivante : la diversification du contenu offert gratuitement sur le web amène-t-elle des enjeux dans notre société ? Dans cette thématique sur les promesses et vertus du numérique, j’aborderai sur les impacts de la gratuité sur les plateformes numériques.  
 Tout d’abord, la majorité des plateformes numériques ont l’accès gratuit présentement et elles ont l’option de devenir payantes si nous voulons plus de professionnalisme (Zahar, diapositive 8, 25 janvier 2018). Toutefois, plusieurs personnes utilisent ces plateformes seulement pour des motifs de divertissement et elles peuvent ainsi avoir accès à des éléments gratuits. Selon Anderson, « la gratuité va devenir la norme, non plus l’anomalie » (Anderson, cité par Proulx et Goldenberg, 2010, p. 512). Cette citation présente l’ampleur de la situation sur la gratuité offerte sur les plateformes numériques en raison de la diversification des médias et des contenus. Personnellement, je ne crois pas que l’accès aux contenus culturels présents sur Internet devrait être aussi facile. Le matériel comme la musique, les vidéos et les œuvres littéraires restent quand même la possession de l’artiste, et ce, même si le support est numérique. Je crois que les médias sociaux ouvrent donc la porte à la présentation de ces œuvres et parfois, il peut être plus facile pour un individu d’acquérir le matériel gratuitement (Proulx, et Goldenberg, 2010).
 Ainsi, je ne suis pas réellement en accord avec la gratuité offerte sur les plateformes numériques puisque ceci permet non seulement d’avoir un accès facile aux contenus qui sont habituellement payants en magasin, mais aussi, de développer une dépendance aux nouvelles technologies. En effet, j’affirme que l’accès gratuit aux médias sociaux m’incite à être davantage connecté sur les réseaux sociaux comme Facebook, Instagram et YouTube. Cette liberté gratuite de publier du contenu est une forme de culture participative. Toutefois, elle peut créer une dépendance aux médias sociaux. Par exemple, j’aime bien la plateforme Instagram puisque les photographies sont publiées une à la suite de l’autre. Étrangement, il m’arrive de prendre des photographies simplement car je désire les partager sur cette plateforme numérique. Cette gratuité de publier mon contenu photographique sur Instagram est un élément que j’apprécie. Toutefois, il reste que ce contenu visuel est notre propre matériel intellectuel et qu’il est fortement possible qu’il soit téléchargé par un autre utilisateur de la plateforme. Bref, je peux comprendre que même dans une communauté numérique, nous pouvons nous rapprocher, mais aussi, prendre une certaine distance avec les autres utilisateurs. Il s’agit pour plusieurs personnes d’un lieu de rassemblement, mais pour moi, je crois qu’il s’agit aussi d’un espace public à utiliser avec précaution. Il est important de respecter la confidentialité des autres, selon moi, puisque le virtuel est devenu autant important que la réalité. Les impacts négatifs sur les plateformes numériques peuvent avoir des répercussions dans notre vie réelle.
 Bibliographie
 PROULX, Serge et Anne, GOLDENBERG, « Internet et la culture de la gratuité », Revue du MAUSS, n° 35, 2010, p.503-517.
 ZAHAR, Hela. (2018). Médias numériques : problèmes et enjeux, présentation cours 3, Notes de cours : Promesses et vertus du numérique, COM2433, Université du Québec en Outaouais.
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chanelvaive · 7 years ago
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Panorama des médias numériques
18 janvier 2018
           Depuis la dernière décennie, l’avancement technologique dans notre société a grandement modifié nos moyens de communication. L’existence de plusieurs styles de plateformes numériques est devenue vaste et diversifiée, ce qui a un impact sur mes propres pratiques à l’ère de la technologie. Sur le plan du système de la messagerie mobile (Cavazza, 2017), j’utilise majoritairement Facebook et Messenger, et ce, à plusieurs reprises au courant de la journée. Cette utilisation numérique me permet de discuter avec des personnes de ma famille, mes collègues et mes amis. Évidemment, je crois qu’il s’agit aussi d’un excellent moyen pour rester en contact avec des amis qui sont à l’extérieur du pays. Toutefois, n’est-il pas important de revenir à l’essentiel, c’est-à-dire aux médias traditionnels de communication? Nous sommes devenus dépendants de ces nouvelles technologies et de ces plateformes numériques, selon moi. Ainsi, un élément primordial qui a révolutionné la société quelques années passées est le téléphone. J’utilise celui-ci pour effectuer des appels avec mon entourage puisque je crois fortement que les discussions sont davantage efficaces lorsqu’elles sont produites par la voix des individus. Personnellement, j’estime que je discute plusieurs minutes par jour, et ce, grâce au Bluetooth intégré dans ma voiture. Il est alors plus sécuritaire de discuter par la voix au téléphone que par la messagerie mobile sur la route.
             En ce qui concerne ma typologie, j’utilise principalement Facebook, tel que mentionné ci-dessous, qui celle-ci, est une plateforme avec des règles et des normes (Zahar, 2018). En effet, le choix de ma confidentialité sur ce média sociaux est important pour la protection de mes renseignements personnels. Je préfère donc avoir une visibilité pour les personnes qui sont amis avec moi sur Facebook et ainsi, cela permet d’éviter la propagation de mes informations privées. Toutefois, je suis au courant que nous pouvons facilement enregistrer une photographie et que celle-ci peut se propager rapidement sur ce média numérique. Je permets donc à Facebook de publier mes photos et mes renseignements dans la mesure où j’ai le contrôle sur ma confidentialité. De plus, en me comparant avec mon entourage, ma mère a pris la décision de ne pas avoir de profil sur Facebook puisqu’elle désire garder une part de sa vie privée et de ne pas publier celle-ci sur les plateformes numériques. En ce qui concerne ce régime familial, je peux comprendre que nous n’avons pas la même vision des médias sociaux ma mère et moi. En terminant, j’utilise une autre plateforme numérique populaire par rapport au partage d’image (Cavazza, 2017), soit Instagram. La photographie a toujours été une passion à mes yeux puisqu’elle permet de capter le moment présent et de créer des souvenirs personnels. Ce régime numérique nous oblige à publier notre photographie dans un cadrage déterminé, ce qui implique parfois à faire des modifications à notre image initiale. Par exemple, enlever une partie à notre photographie avec l’outil de coupure. Ainsi, je me questionne sur cette question : Pourquoi je publie mes images personnelles sur cette plateforme numérique? La réponse est simple. Instagram me permet d’avoir une vision d’ensemble sur plusieurs photographies différentes et de me plonger dans mes souvenirs personnels.
 Bibliographie
 CAVAZZA, Fred, «Panorama des médias sociaux 2017», FredCavazza.net, 18 avril 2017. En ligne. https://fredcavazza.net/2017/04/18/panorama-des-medias-sociaux-2017/. Consulté le 18 janvier 2018.
 Hela ZAHAR, Médias numériques : problèmes et enjeux, présentation cours 2, Notes de cours : Typologie d’usagers à partir d’une typologie des pratiques, COM2433, Université du Québec en Outaouais, hiver 2018.
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